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  1. La chaîne de dépanneurs Alimentation Couche-Tard (ATD.B) a reconnu lundi que sa volonté d'accroître sa présence aux États-Unis pourrait se réaliser par l'acquisition de certaines des 2000 stations-service dont Shell prévoit se départir au cours des prochaines années. «Nous sommes toujours intéressés par n'importe quel actif disponible aux États-Unis pouvant s'intégrer dans notre réseau déjà existant», a indiqué le directeur financier de l'entreprise, Richard Fortin. «Si Shell est vraiment intéressée à vendre certains actifs et nous les offre, nous pourrions être intéressés.» M. Fortin a ajouté que plusieurs publications avaient rapporté que Shell, le troisième plus important exploitant de stations-service et de dépanneurs aux Etats-Unis, voulait se départir de certains de ses éléments situés dans des marchés importants. Jessy Hayem, de Valeurs mobilières Desjardins, a indiqué dans une note de recherche que Couche-Tard entretenait une relation solide avec Shell et occupait une position favorable afin de faire une offre pour certains des actifs de la société pétrolière. Selon elle, l'entreprise pourrait s'intéresser à des stations situées dans des marchés de Houston, Dallas, Portland et Sacramento. Shell entend compléter la vente d'ici au troisième trimestre de 2009. M. Fortin a affirmé n'avoir reçu aucune nouvelle de Shell à propos des ventes projetées et ne peut dire si son entreprise a l'intention de présenter une offre dès la première occasion. Il a ajouté que sa stratégie était d'ajouter des stations dans des marchés où son entreprise est déjà présente. «Nous n'achèterons pas 50 stations-service qui seraient perdues dans des marchés où nous sommes inexistants», a-t-il dit. Alimentation Couche-Tard, dont le siège est à Laval, a fait l'acquisition de 286 points de vente de Shell dans le cadre de trois différentes transactions, en 2004 et 2006. La chaîne prévoit acheter 250 magasins durant l'exercice fiscal 2008, un chiffre largement inférieur à celui des 413 acquisitions effectuées en 2007, l'entreprise préférant concentrer son attention sur l'intégration des quelque 200 magasins acquis de Shell en décembre dernier. M. Fortin a indiqué que son entreprise pouvait utiliser ses marges de crédit et des excédents de trésorerie pour faire des acquisitions.
  2. Ceci peut paraitre anodin pour certain, mais j'ai travaillé en gestion de portefeuille pour l'industrielle alliance en tant qu'étudiant (stage d'été) en 2002. À ce moment la compagnie avait +/- $8 milliards en actif sous gestion. Avec cette transaction, elle passe maintenant à $75 milliard, donc presque 10 fois plus en 14 ans. Excellente croissance. L'Industrielle Alliance rachete HollisWealth a la Banque Scotia | Services financiers Publié le 05 décembre 2016 à 17h59 | Mis à jour le 05 décembre 2016 à 17h59 L'Industrielle Alliance rachète HollisWealth à la Banque Scotia Le groupe financier Industrielle Alliance a annoncé lundi avoir conclu une entente qui lui permettra de racheter la firme de conseil HollisWealth des mains de la Banque Scotia. Selon le chef de la direction de l'Industrielle Alliance, Yvon Charest, l'acquisition fera l'assureur de Québec «une des plus grandes firmes-conseils non bancaires en gestion de patrimoine au Canada», avec des actifs sous gestion totalisant 75 milliards $. HollisWealth compte des actifs sous gestion atteignant 34 milliards $, en plus de 800 conseillers autorisés, 400 000 comptes actifs de clients et plus de 300 bureaux au Canada. La firme était passée sous le giron de la Banque Scotia en 2011, lorsque cette dernière avait acquis DundeeWealth, qui comprenait en outre la firme de gestion d'actifs Dynamic Funds. Dynamic ne fait pas partie de la transaction annoncée lundi et restera chez la Scotia. Le prix de l'acquisition dépendra de la valeur de l'actif sous gestion au moment de la clôture de la transaction, laquelle est prévue pour le troisième trimestre de l'an prochain. L'opération sera financée à même les liquidités de l'Industrielle Alliance, ainsi qu'à l'aide d'une émission d'actions ordinaires. À ce sujet, l'Industrielle Alliance s'est entendue avec un syndicat de preneurs fermes dirigé par Valeurs mobilières TD sur l'achat de 2,5 millions d'actions au prix de 55,65 $ chacune, pour un produit brut de 139 millions $. Une option de surallocation pourrait augmenter ce produit brut de 13,9 millions $. La clôture du placement devrait avoir lieu vers le 14 décembre. L'action de l'Industrielle Alliance a clôturé la séance de lundi en baisse de 21 cents à la Bourse de Toronto, à 56,78 $.
  3. Grosse transaction dans le monde immobilier via LaPresse : Publié le 26 août 2014 à 16h01 | Mis à jour à 17h06 Cominar achète un portefeuille de 15 immeubles d'Ivanhoé Cambridge La Presse Canadienne Le Fonds de placement immobilier Cominar a annoncé mardi l'acquisition d'un portefeuille de 15 immeubles auprès d'Ivanhoé Cambridge pour un montant de 1,527 milliard $, ce qui fera bondir la valeur de ses actifs de 25 pour cent, à plus de 8 milliards $. En incluant les intérêts des partenaires de la filiale immobilière de la Caisse de dépôt et placement du Québec dans deux immeubles, la transaction est évaluée à près de 1,63 milliard $ pour Cominar (T.CUF.UN). La transaction comprend 11 centres commerciaux, trois immeubles de bureaux et un immeuble industriel, situés au Québec et en Ontario. Le Mail Champlain (Brossard), le Centropolis (Laval), le Rockland (Ville Mont-Royal), les Galeries Rive-Nord (Repentigny), Les Rivières (Trois-Rivières), le Carrefour Rimouski, le Centre commercial Rivière-du-Loup, le Carrefour Saint-Georges, les Galeries de Hull et le Carrefour Frontenac (Thetford Mines) passeront notamment entre les mains du fonds de placement immobilier établi à Québec. Les quelque 120 employés d'Ivanhoé Cambridge dans les propriétés incluses dans la transaction seront transférés au sein de la structure de Cominar. Le président et chef de la direction de Cominar, Michel Dallaire, a souligné que cette acquisition était «complémentaire» au portefeuille d'immeubles commerciaux actuellement détenus par la société. Pour financer la transaction, Cominar a notamment émis 500 millions $ en nouvelles parts, dont une tranche de 250 millions $ achetée par Ivanhoé Cambridge, qui devient ainsi son plus important détenteur de parts, avec 8,5 pour cent. En date du 31 décembre dernier, les actifs d'Ivanhoé Cambridge - répartis principalement au Canada, aux États-Unis, en Europe, au Brésil ainsi qu'en Asie - totalisaient plus de 40 milliards $. De son côté, Cominar se présente comme le troisième fonds de placement immobilier diversifié ainsi que le plus important propriétaire d'immeubles commerciaux au Québec. Son portefeuille est actuellement constitué de 526 immeubles.
  4. Très bonne nouvelle! Rendement de 13,1 % pour la Caisse de dépôt La forte progression des marchés boursiers américains et la vigueur du secteur immobilier aux États-Unis ont permis à la Caisse de dépôt et de placement du Québec (CDPQ) de générer un rendement moyen de 13,1 % en 2013, une preuve que la stratégie d'investissement de la Caisse « porte fruit », selon le président et chef de la direction, Michel Sabia. Il s'agit d'un rendement supérieur à celui de 9,6 % enregistré en 2012. L'actif net des déposants a atteint 200,1 milliards de dollars au 31 décembre 2013, une hausse de près de 25 millions de dollars en un an. Le rendement annualisé sur quatre ans atteint 10 %. « Dans un environnement économique marqué par d'importants ajustements dans les marchés émergents, une longue période de récession en Europe et des États-Unis en rémission, nous avons gardé le cap sur notre stratégie et continué d'investir dans des actifs de qualité ancrés dans l'économie réelle » — Michel Sabia, président et chef de la direction de la CDPQ M. Sabia a également donné un aperçu de sa stratégie pour les prochains mois. « Nous entrons maintenant dans une période de normalisation qui nous entraînra en terrain inconnu et créera beaucoup d'incertitude. Dans ce contexte, nous allons continuer d'être sélectifs et de miser sur la gestion en absolu et une connaissance en profondeur des entreprises et des marchés dans lesquels nous investissons pour générer des rendements stables, aussi loin que possible des humeurs de marché. » La Caisse souligne qu'elle a poursuivi le déploiement de sa nouvelle stratégie d'investissement en 2013, qui a été guidée par quelques grandes orientations : Augmenter les investissements au Québec (les actifs de la Caisse au Québec ont atteint 53,8 milliards de dollars au 31 décembre 2013) Miser sur la gestion en absolu Investir dans des actifs moins liquides, en infrastructure et en immobilier Renforcer son expertise au sujet des pays émergents http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2014/02/26/004-resultats-caisse-depot-2013.shtml
  5. Désolé pour els amateurs de mauvaises nouvelles. Voici un artcile sur la progression de PSP Investissement, une caisse de retraire comparable à la caisse de dépot et 100% basé à Montréal (mis à part un bureau bidon à Ottawa pour de la représentation). La croissance de leur actif les positionnent maintenant au 4e rang des caisses de retraire au Canada derrière CDP, CPP et Teacher's. Un jour ils auront leur propre tour dans le CV de Montréal je vous le garantie. Publié le 13 décembre 2013 à 06h42 | Mis à jour à 09h29 Actif doublé à plus de 85 milliards en quelques années à peine. Effectif montréalais approchant les 500 employés. Plus de 4 milliards par an en nouveaux capitaux à investir. Le tableau de bord de la société montréalaise Investissements PSP a de quoi susciter l'envie parmi les gestionnaires d'actif des plus grandes caisses de retraite au Canada. Mais au dire de son président et chef de la direction, Gordon Fyfe, les défis de gestion chez PSP s'apparentent encore à ceux d'une entreprise en pleine émergence: produire de bons résultats courants et futurs tout en gérant une croissance rapide de l'actif et des effectifs. «Pendant que nous développons nos équipes de placement et leur portefeuille, nous devons aussi gérer beaucoup de liquidités qui entrent et qui sortent chaque année dans notre actif», résume Gordon Fyfe en entrevue avec La Presse Affaires. «Néanmoins, cet afflux de liquidités est aussi l'un de nos principaux avantages comparatifs parmi les gestionnaires d'actif de grosses caisses de retraite. Nous avons plus de flexibilité pour effectuer nos transactions aux moments les plus avantageux selon nos objectifs de rendement.» D'où provient cet avantage? Pour l'expliquer, il faut rappeler qu'Investissements PSP a été créée il y a 13 ans par le gouvernement fédéral en tant que société d'État autonome avec le mandat de mieux gérer l'actif des caisses de retraite de plusieurs dizaines de milliers d'employés fédéraux. Il s'agit d'abord de la caisse principale des fonctionnaires, mais aussi celles de la Défense nationale, de la Gendarmerie royale du Canada et, depuis peu, des membres de la Réserve militaire. À l'époque, en 2000, l'actif combiné de ces caisses de retraite se chiffrait à une dizaine de milliards de dollars. Treize ans plus tard, il vient de passer le seuil des 85 milliards. Et il est déjà prévu autour des 300 milliards dans une quinzaine d'années, selon les hypothèses actuarielles des caisses de retraite fédérales. En ce moment, la croissance de l'actif géré par PSP est en partie attribuable aux revenus de placement accrus par une gestion active. Ces revenus ont atteint 7,1 milliards lors de l'exercice terminé le 31 mars, ce qui a porté à 23 milliards le total des revenus engrangés au cours des quatre dernières années, depuis le revers de 9,5 milliards subi l'année de la crise financière. Mais aussi, admet d'emblée Gordon Fyfe, la croissance d'actif chez PSP provient encore beaucoup de l'influx annuel de 4 à 5 milliards de dollars en nouveaux capitaux à investir. PSP se retrouve ainsi dans une situation singulière parmi les gestionnaires d'actif des plus grandes caisses de retraite du secteur public au Canada. Selon M. Fyfe, cette situation découle de la «jeunesse démographique» des caisses de retraite fédérales dont PSP gère les placements, comparativement à ses semblables comme la Caisse de dépôt et placement du Québec et les caisses Teachers' et OMERS en Ontario. «Ces caisses de retraite sont plus matures démographiquement, et certaines déjà en phase de sortie de liquidités [NDLR: nombre croissant de retraités-prestataires par rapport aux salariés-déposants]. Chez PSP, les caisses dont nous gérons les actifs ne seront pas dans cette situation avant 15 à 20 ans.» D'où l'avantage comparatif auquel prétend PSP parmi ses pairs en pouvant compter sur un apport considérable de capitaux neufs à investir pour plusieurs années. Aussi, PSP peut orienter sa recherche d'actifs selon deux critères principaux. D'une part, des actifs à potentiel supérieur de croissance mais à long terme, notamment dans les économies émergentes par rapport aux économies développées. C'est ce qui explique en partie la part de 16% de l'actif total de PSP qui est identifiée aux régions d'économies émergentes comme l'Asie et l'Amérique latine. Flexibilité D'autre part, explique Gordon Fyfe, PSP a la flexibilité de liquidités pour investir rapidement dans des actifs de qualité mais qui se retrouvent en «détresse» temporaire en raison d'une conjoncture négative ou de problèmes financiers chez leurs propriétaires. Un exemple de cette flexibilité? Au lendemain de la crise financière de 2008, et même si le rendement de son actif en avait été très affecté comme chez ses pairs, PSP avait encore des milliards de dollars en capitaux neufs à investir dans des actifs soudainement dépréciés. C'est ainsi que PSP a pu profiter de la crise immobilière dans plusieurs villes américaines, dont New York, pour garnir son portefeuille de bons immeubles commerciaux à prix avantageux. Quelques années plus tard, le portefeuille immobilier de PSP approche les 10 milliards, à hauteur de 12% de l'actif total sous gestion. Et le rendement courant de ce portefeuille immobilier (11% durant l'exercice terminé le 31 mars) cote au double de celui de l'indice de référence sectoriel. «Nous réalisons de solides rendements de nos divers portefeuilles depuis quelques années et nous entendons bien continuer ainsi», affirme Gordon Fyfe. Quant à sa lecture courante des marchés du placement, il préfère s'en tenir à sa philosophie de direction des équipes de portefeuille chez PSP. «Ce qu'il y a d'intéressant dans notre domaine, c'est qu'il y a toujours quelque part de bons actifs qui se retrouvent dans le trouble. Et chez PSP, nous avons les moyens de transiger rapidement dans ce type d'actifs, mais toujours quand ça nous plaît vraiment et selon nos objectifs de rendement.» Investissements PSP en un coup d'oeil > Activités: gestion des placements de l'actif de quatre caisses de retraite d'employés fédéraux: fonction publique, Défense nationale, GRC, Force de réserve > Actif net (au 1er déc. 2013): 86 milliards > Rendement annualisé depuis quatre ans: 12,2% (au 31 mars) > Siège administratif: Montréal > Effectif: 470 employés > Frais d'exploitation: 0,24% de l'actif net (au 31 mars) > Rémunération des cinq principaux dirigeants: 16,1 millions (+57% en 2013) > Année de fondation: 2000 (société d'État fédérale) Source: Investissements PSP Les grands gestionnaires de fonds de retraite > Office d'investissement du Régime de pension du Canada: 192 milliards (au 30 sept. 2013) > Caisse de dépôt et placement du Québec: 186 milliards (au 30 juin 2013) > Teachers (Régime de retraite des enseignants de l'Ontario): 129 milliards (au 31 déc. 2012) > Investissements PSP: 86 milliards (au 1er déc. 2013) > Alberta Investment Management Corp.: 68 milliards (au 31 déc. 2012) > Omers (Régime de retraite des employés municipaux de l'Ontario): 61 milliards (au 31 déc. 2012) > BC Pension: 31 milliards (au 31 mars 2013) > OPB (Commission des régimes de retraite de l'Ontario): 19 milliards (au 31 déc. 2012) Sources: rapports annuels, Bloomberg, archives média Eureka
  6. This is good news. The guy is a Wall Street pro and brings very good expertise to Mtl financial sector. This fund will manage International, US & Canadian money (vs just Canadian). La Presse Publié le 24 mars 2012 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Au cours des huit dernières années, François Trahan a été désigné cinq fois le meilleur stratège boursier de Wall Street et trois fois le second par le magazine Institutional Investor, la bible du capital. Même s'il continue de gérer sa firme newyorkaise Wolfe Trahan & Co, le stratège va lancer le 2 avril prochain son premier «hedge fund» international, le Fonds Opportunités Trahan qui sera administré par sa nouvelle firme montréalaise Gestion de Capital Trahan. Le Fonds Opportunités Trahan destiné exclusivement aux investisseurs canadiens sera dupliqué en deux fonds miroirs, le Trahan hedge Opportunitys (THO) inscrit à New York pour le marché américain et un autre THO enregistré aux Îles Caïman et destiné aux investisseurs internationaux. «On n'a pas enregistré notre fonds aux Îles Caïman dans le but de permettre aux investisseurs de profiter d'un paradis fiscal. Ça n'a rien à voir. Les caisses de retraite aux Etats-Unis peuvent profiter d'un crédit d'impôt si elles investissent aux Îles. «C'est aussi le seul moyen qu'on avait pour offrir notre fonds à nos clients du Japon, de l'Australie ou de Hong Kong», insiste François Trahan, dans ses nouveaux bureaux du centre-ville de Montréal où il a installé sa nouvelle boîte Gestion de Capital Trahan. Cela fait plusieurs années que François Trahan est sollicité par les démarcheurs du Centre financier international de Montréal pour qu'il vienne s'installer dans la ville où il a obtenu son diplôme en Finances aux HEC. Même le premier ministre Charest lui a fait du genou lors d'un coktail à New York... Mais ce n'est pas pour ces raisons que la star de Wall Street a décidé de revenir chez lui. Après 12 ans à New York, il a décidé au printemps d'installer sa famille à Montréal pour se rapprocher de son père qui était gravement malade. Une semaine sur deux, il retourne à Manhattan pour superviser avec son associé les activités de sa boîte Wolfe Trahan qui compte maintenant 50 employés. «Je voulais lancer mon propre «hedge fund» et j'ai décidé de le faire à Montréal, sans en parler à personne», m'explique le spécialiste boursier. Avec le recul, il estime qu'il aurait mieux valu utiliser ses contacts parce qu'il a trouvé très laborieuses les démarches pour s'enregistrer auprès de l'Autorité des marchés financiers (voir autre texte). Collé à l'économie Comme tous les fonds alternatifs, le Fonds Opportunités Trahan sera offert exclusivement aux investisseurs aguerris, c'est-à-dire aux particuliers qui ont au moins 1 million en actifs financiers et aux investisseurs institutionnels qui utilisent ce type de placement pour réduire le risque de leur exposition aux marchés. «Notre but est de produire à chaque année un rendement positif, peu importe le comportement des marchés. Quand la bourse recule de 40% et que mon courtier me dit que je m'en tire bien avec des pertes de 30%, ce n'est pas vrai que je m'en tire bien. J'ai quand même perdu 30%», explique François Trahan. Il existe quelques fonds alternatifs gérés de Montréal mais leurs actifs sous gestion sont inférieurs à 100 millions. François Trahan anticipe que son fonds génèrera des actifs sous gestion de 1,1 milliard. «C'est le maximum que l'on peut aller chercher. À 1,1 milliard, on peut liquider nos positions en deux jours sans affecter la valeur des titres de notre portefeuille. C'est la norme qu'on a fixée. S'il y a encore de la demande on pourra lancer un fonds Opportunités 2», résume-t-il. La composition du portefeuille de ce fonds sera faite par François Trahan qui s'inspire depuis toujours de la macro-économie pour réaliser ses choix d'actifs. «Je privilégie la spécialité du portefeuille en me basant sur l'analyse quantitative. Je cherche les meilleurs actifs en tenant compte des mouvements de l'économie», explique-t-il. Deux exilés de retour Pour le lancement de sa firme montréalaise, François Trahan s'est associé à Marlyn Bilodeau, une spécialiste de l'investissement qui a longtemps oeuvré elle aussi à New York. Elle a été notamment gestionnaire de risque chez l'assureur AXA et responsable du développement de produits chez Credit Suisse Assets Management. «On a un parcours similaire. Je suis marié à une Américaine et nous avons trois enfants. Marlyn est mariée à un Américain et a trois enfants. On est revenu tous les deux à Montréal en juin dernier à une semaine d'intervalle, sans que l'on se consulte. C'est en lui envoyant un courriel durant l'été que j'ai appris qu'elle était elle aussi de retour au pays», relate avec amusement François Trahan. Marlyn Bilodeau sera président de Gestion de Capital Trahan et François Trahan, Chef des placements. «J'ai trois associés américains dans le financement de la firme mais tout le capital de départ (seed money) du Fonds Opportunités Trahan sera mon argent à moi. J'investi beaucoup d'argent dans ce nouveau fonds», souligne le stratège boursier.
  7. La valeur nette nationale du Canada a augmenté de 20G$ 15 mars 2010 | 10h44 La Presse Canadienne La valeur nette nationale du Canada a augmenté de 20 milliards $ au quatrième trimestre pour atteindre 6 billions $. Statistique Canada indique que cette hausse reflète l'augmentation de 0,7 pour cent de la valeur du patrimoine national, particulièrement les actifs en biens immobiliers résidentiels. La progression de la valeur nette nationale a été tempérée par un accroissement de 19 milliards $ de la dette extérieure nette en raison d'une diminution de l'épargne nationale. La valeur nette nationale correspond au patrimoine national moins la dette extérieure nette. Elle constitue la somme de la valeur nette des particuliers et des entreprises individuelles, des sociétés et des administrations publiques. Du troisième trimestre au quatrième trimestre, la valeur nette nationale par habitant n'a pas changé, s'étant établie à 175 900 $. Cependant, la valeur nette des ménages a augmenté de 93 milliards $ pour atteindre 5,9 billions $. L'accroissement de la valeur des actifs financiers, surtout les actions, les assurances-vie et les rentes, ainsi que celui des biens immobiliers résidentiels, explique en grande partie l'augmentation de la valeur nette. La valeur nette des ménages par habitant a progressé pour atteindre 172 600 $ au quatrième trimestre. Pendant ce temps, la dette nette des administrations publiques a continué d'augmenter. La valeur nette du secteur des administrations publiques a baissé de 20 milliards $, car la valeur de la dette nette continuait de croître. Le ratio d'endettement des sociétés a diminué légèrement. Le financement par actions des sociétés non financières a ralenti du troisième trimestre au quatrième trimestre, tandis que l'émission d'obligations s'est affermie. Toutefois, la valeur globale des émissions d'actions et des bénéfices non répartis a dépassé celle de l'emprunt.
  8. Étude - Les urbains marchent, les banlieusards jardinent Le Devoir Mélissa Guillemette Édition du lundi 03 août 2009 Mots clés : Banlieusards, Étude, Activité, Canada (Pays) Les «450» et autres banlieusards du pays sont aussi actifs que les résidents des grandes villes, selon une étude de Statistique Canada. La plupart des études sur le sujet, surtout américaines, démontraient jusqu'à présent que les banlieues nord-américaines, par leur urbanisme, favorisent la sédentarité et l'utilisation de la voiture pour tous les déplacements, tandis que les villes incitent davantage à se déplacer à pied ou à vélo. Peut-être, admet Martin Turcotte, analyste chez Statistique Canada, mais les banlieusards passent plus de temps que les autres à travailler sur leur terrain, ce qui compense leur tendance moins forte aux déplacements actifs. Les déplacements utilitaires sont effectivement deux fois plus populaires chez les résidents de grands centres, qui vont pédaler ou marcher pour se rendre au travail ou à l'épicerie un peu moins d'une fois sur trois, contre environ une fois sur sept pour les habitants de quartiers résidentiels de faible densité. Toutefois, les banlieusards pellettent, jardinent, tondent le gazon et entretiennent leur terrain dans une proportion de 12 %, contre 5 % en ville. Le temps alloué à la pratique d'un sport pour le plaisir ne change pas selon le lieu de résidence. Une personne sur quatre participe à une activité sportive pendant ses loisirs, en banlieue comme en ville. Qu'est-ce qu'une activité physique? Christian Duval, professeur à la faculté de kinanthropologie de l'Université du Québec à Montréal, se dit «perplexe» devant cette étude. Selon lui, considérer l'entretien extérieur de la maison comme une activité physique est une aberration. «Le jardinage, c'est bon, mais à long terme, ça ne réduit pas les risques d'hypertension, d'obésité ou d'accident cardiaque. Si c'était vrai, personne ne ferait d'accident cardiaque en pelletant! Tant qu'on va flatter le monde dans le sens du poil et leur faire croire que jardiner est une activité physique, on n'aura pas une population en forme.» L'étude ne révèle pas que le taux d'activité est le même en ville comme en banlieue, mais plutôt «que le taux d'inactivité est le même», ironise M. Duval. Il ajoute que même les déplacements actifs ne contribuent pas vraiment à améliorer la santé physique, «à moins qu'une douche soit nécessaire en arrivant au travail», signe d'un effort physique soutenu. «Il faut faire de l'activité dans le but de se dépenser.» Les données de Statistique Canada ont été obtenues grâce à un questionnaire général sur l'emploi du temps des répondants, ce qui a permis d'éviter que des personnes gonflent le temps qu'elles allouent à l'activité physique. «C'est sûr qu'idéalement il aurait fallu équiper tous les répondants d'appareils qui évaluent l'effort physique, mais ça coûterait très cher, explique Martin Turcotte. Mais cette étude a l'avantage de s'intéresser à toutes les formes d'exercice physique. Dans plusieurs études, c'était seulement les déplacements actifs qui étaient comptés.» L'étude a été menée auprès d'habitants de 27 régions métropolitaines canadiennes, dont Montréal, Sherbrooke, Québec, Trois-Rivières, Saguenay et Gatineau. http://www.ledevoir.com/2009/08/03/261444.html
  9. 21 avril 2007 Des travaux de réfection des fenêtres, de la maçonnerie et de la plomberie seront entrepris à la caserne 30. Cette caserne, située au 5, avenue Laurier Ouest, a été construite en 1905. On a d'ailleurs souligné son centième anniversaire en 2005. Plusieurs composantes de l'immeuble ont atteint leur durée de vie utile et présentent un état de dégradation avancé. Le projet de rénovation prévoit la réfection complète de la maçonnerie, des portes et fenêtres ainsi que du système d'alimentation en eau. Ces rénovations s'inscrivent dans un plan annoncé la semaine dernière pour la rénovation de cinq casernes à Montréal. Les autres casernes sont situées dans les arrondissements Sud-Ouest, Villeray/Saint-Michel/Parc-Extension, Lachine et Verdun. «Ces travaux sont nécessaires afin de freiner la détérioration des bâtiments, de préserver les actifs de la Ville de Montréal et d'assurer un environnement plus sain et plus sécuritaire pour les occupants de ces casernes, nos pompiers », a commenté Claude Dauphin, vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal, responsable de la sécurité publique. «En agissant maintenant, nous éviterons la détérioration du parc immobilier et la croissance des coûts directs et indirects reliés à l'entretien et à l’exploitation de ces immeubles», a-t-il ajouté. Prévus dans le programme d’entretien, ces travaux franchiront l’étape d’appel d’offres après que le conseil d’agglomération les aura entérinés.
  10. Des experts s'interrogent sur l'avenir de la papetière au moment où elle s'apprête à dévoiler ses résultats du dernier trimestre 2008. La vente de ses actifs québécois pourrait être une solution à son manque de liquidités. Pour en lire plus...
  11. Le géant américain des médias réduit la valeur de ses actifs de 24milliards de dollars américains et déclare une perte nette de 16 milliards pour 2008. Pour en lire plus...
  12. Le sauvetage des banques pourrait coûter 2000 milliards de plus Publié le 29 janvier 2009 à 10h27 | Mis à jour à 10h32 Les États-Unis pourraient consacrer jusqu'à 2000 milliards de dollars US supplémentaires pour renflouer leurs banques, plombées par des actifs invendables et la montée des impayés liés à la récession, affirme jeudi le quotidien économique Wall Street Journal. Le Congrès a débloqué en janvier la deuxième tranche des 700 milliards de dollars prévus par la loi de stabilisation économique d'urgence d'octobre pour stabiliser le système financier, mais selon le journal, les élus du Capitole pourraient se voir demander d'autoriser le déblocage de fonds supplémentaires.Citant des sources proches du dossier, le Wall Street Journal écrit que le gouvernement envisage de dépenser entre 1000 et 2000 milliards de dollars de plus pour maintenir les banques du pays en état de marche. Une partie des 350 milliards de dollars débloqués en janvier par le Congrès pour les banques a déjà été retenue pour d'autres projets, comme le soutien à l'industrie automobile américain ou l'aide aux propriétaires immobiliers menacés de saisie. Selon le quotidien, le gouvernement envisage de créer une structure de défaisance chargée de racheter les actifs invendables des banques et qui serait dotée de 100 à 200 milliards de dollars prélevés sur la deuxième tranche du plan de sauvetage. Le reste des fonds nécessaires à son fonctionnement (de 1000 à 2000 milliards) serait levé par de nouveaux emprunts du Trésor ou de la Réserve fédérale, ajoute l'article. Le gouvernement de Barack Obama cherche également à injecter des fonds frais de manière plus efficace que ne l'avait fait celui de George W. Bush, et envisage d'acheter des actions ordinaires dans les établissements bancaires bénéficiant de son aide, indique le journal.
  13. Trois mois après un premier plan de sauvetage financier salué de par le monde, le gouvernement de Gordon Brown devrait une nouvelle fois voler au secours des banques britanniques cette semaine, en assurant sur les deniers publics leurs actifs à risque, selon les médias. Pour en lire plus...
  14. La banque américaine enregistre des pertes considérables au quatrième trimestre et sépare ses activités saines de ses actifs à risques. Pour en lire plus...
  15. Ben Bernanke a lancé une mise en garde hier, soulignant que les stimulants fiscaux ne seront peut-être pas suffisants pour susciter un redressement. Pour en lire plus...
  16. Comme rarement auparavant, le contexte semble favoriser les ambitions des banques canadiennes qui lorgnent des actifs à prix dévalués. Pour en lire plus...
  17. La Caisse de dépôt et placement du Québec devra débourser plus de 75 millions $ en honoraires dans le dossier du papier commercial adossé à des actifs (PCAA). Pour en lire plus...
  18. Les épargnants et institutions financières du Canada voient peut-être le bout du tunnel dans la crise du papier commercial adossé à des actifs, grâce au feu vert pour sa restructuration. Pour en lire plus...
  19. La valeur totale des actifs des Québécois atteignait un peu plus de 94 milliards au troisième trimestre de 2008, selon les données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ). Pour en lire plus...
  20. Le voyagiste déclare une perte sur les instruments financiers visant à se protéger des fluctuations du prix du carburant et sur le papier commercial adossé à des actifs. Pour en lire plus...
  21. Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador adopte une loi afin d'exproprier tous les actifs d'AbitibiBowater dans la province, exception faite de l'usine de l'entreprise à Grand Falls-Windsor. Pour en lire plus...
  22. Ironore Company of Canada et Diavik figurent sur la liste des actifs dont Rio Tinto pourrait se départir, estiment certains analystes. Pour en lire plus...
  23. Le deuxième producteur mondial de zinc soutient qu'il a entamé des pourparlers avec des «parties intéressées» à acquérir des actifs aurifères. Pour en lire plus...
  24. Gestion ACE Aviation, la société mère d'Air Canada, a annoncé qu'elle prévoit dépenser plus de 500 millions $ pour racheter sa dette et ses actions privilégiées. Pour en lire plus...
  25. Les actifs comprennent une licence de radiodiffusion, un portefeuille d'environ 30 000 abonnés à ses services de télévision numérique et ses services Internet, de même qu'un spectre d'environ 1000 MHz. Pour en lire plus...
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