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  1. Laval: près de 75% des contrats à huit entrepreneurs Bruno Bisson La Presse Publié le 21 octobre 2009 à 06h31 | Mis à jour à 09h55 Un petit groupe de huit entrepreneurs obtient les trois quarts des sommes versées par la Ville de Laval pour ses travaux de voirie et d'infrastructures, selon une compilation des soumissions publiées entre 2001 et 2008 dans le système officiel d'appel d'offres du gouvernement du Québec. La Presse a écrit, hier, qu'une quinzaine d'entreprises se partagent la moitié des contrats de travaux publics à Montréal. Mais à Laval, la concentration est encore plus forte. Un point commun, toutefois: dans les deux villes, c'est l'homme d'affaires Tony Accurso qui se tient au sommet du palmarès. Les entreprises de M. Accurso, Construction Louisbourg et Simard-Beaudry, ont en effet raflé le quart des sommes attribuées par la Ville de Laval entre 2001 et 2008, soit 97 millions sur un total de 388 millions. Pendant la même période, 24 autres sociétés ont obtenu des contrats totalisant à peine plus que les seules entreprises de M. Accurso, soit 100 millions. Il est de notoriété publique que M. Accurso a ses entrées directes dans le bureau du maire Gilles Vaillancourt. Il n'a pas été possible de parler à M. Accurso hier: il était absent de son bureau. Pour sa part, le maire Vaillancourt a confirmé hier par écrit, à La Presse, qu'il «a rencontré M. Accurso à quelques reprises» par le passé. Le maire de Laval, élu pour la première fois à ce poste en 1989, a aussi admis avoir assisté à l'inauguration du bar que possède M. Accurso à Laval, le TOPS. Des règles normales Les sept autres entreprises à qui la Ville de Laval a remis les sommes les plus importantes sont, dans l'ordre, Nepcon, Poly Excavation, J. Dufresne Asphalte, Jocelyn Dufresne, Demix Laval, Valmont Nadon Excavation et Timberstone. Tout comme Construction Louisbourg et Simard-Beaudry, ces entreprises ont obtenu ces contrats en suivant les règles d'attribution normales. «Tout contrat est soumis au processus de soumission publique et octroyé au plus bas soumissionnaire conforme», a souligné l'attachée de presse du maire, hier. Dans des réponses écrites à La Presse, M. Vaillancourt n'a toutefois pas voulu commenter le fait qu'un nombre très restreint d'entreprises ait obtenu la plus grande part des travaux octroyés par la municipalité: «Compte tenu de la période couverte par votre demande et du court délai que vous nous accordez, nous ne pouvons confirmer les pourcentages que vous avancez.» Des entreprises bien établies Le maire de Laval a longtemps été le partenaire du propriétaire de Poly Excavation (une des entreprises qui ont obtenu beaucoup de contrats) dans une société immobilière qui possède un vaste terrain vacant en bordure de l'autoroute 13, dans la municipalité de Boisbriand, au nord de Laval. M. Vaillancourt était alors le troisième actionnaire de la société Parc Domiciliaire Boisbriand, dont le président était l'entrepreneur Léo Lefrançois, principal dirigeant de Poly Excavation. Après le décès de M. Lefrançois, en 1995, l'entreprise a été prise en charge par son fils, Marc, qui en est toujours le président. M. Vaillancourt a affirmé hier dans son courriel à La Presse qu'il avait vendu ses intérêts dans Parc Domiciliaire Boisbriand en 2001, et qu'il ne sait pas qui en sont, aujourd'hui, les actionnaires. Pour leur part, les sociétés Nepcon, présidée par Tony Mergl, et Jocelyn Dufresne, dirigée par l'entrepreneur du même nom, sont des habituées des contrats d'infrastructures de Laval depuis au moins deux décennies, où elles brassent l'une et l'autre la majorité de leurs affaires, dans divers domaines de la construction. En 2000, la firme Nepcon a été reconnue coupable de collusion avec cinq autres entreprises de la région métropolitaine, dans l'obtention de six contrats de déneigement régionaux du ministère des Transports du Québec (MTQ). À l'époque, le Bureau de la concurrence du Canada avait accusé ces entreprises de s'être entendues pour se partager les territoires de déneigement et pour fixer le prix des contrats à un coût environ 20% plus cher que ce que le MTQ anticipait. Les six entreprises impliquées ont été condamnées solidairement à payer une amende de 1 million. Pour sa part, l'entrepreneur Jocelyn Dufresne s'est récemment retrouvé au centre d'une controverse entre la Ville de Laval et le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP), à cause d'un terrain utilisé comme dépotoir de débris d'asphalte et de béton. En 2005, la municipalité considérait les activités de Dufresne comme légales et conformes au zonage en place, alors que le MDDEP les considérait comme illégales, au sens de la Loi sur la qualité de l'environnement. Des avis d'infraction ont alors été émis par le MDDEP, après que La Presse eut publié des photos de ce dépôt de matériaux secs qui était en activité depuis plusieurs années, selon les témoignages recueillis à l'époque. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/200910/21/01-913326-laval-pres-de-75-des-contrats-a-huit-entrepreneurs.php ..... L'autre article qui disait qu' "une quinzaine d'entreprises se partagent la moitié des contrats de travaux publics à Montréal" : Contrats de construction: des entreprises très sollicitées André Noël La Presse http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200910/19/01-912904-contrats-de-construction-des-entreprises-tres-sollicitees.php
  2. Publié le 26 juin 2009 à 07h36 | Mis à jour à 09h59 Les scandales de Montréal dans The Economist Martin Croteau La Presse Les scandales qui ébranlent la mairie de Montréal commencent à attirer l'attention des médias étrangers, et non les moindres. La prestigieuse revue britannique The Economist consacre un article aux allégations de conflits d'intérêts qui minent l'administration Tremblay dans sa livraison d'hier, une terrible publicité pour la Ville selon l'opposition. Intitulé «Eau et crasse» («Water and Grime»), l'article de quatre paragraphes rapporte que cinq enquêtes policières sont en cours sur les agissements de proches du maire Gérald Tremblay. Il donne certains détails sur les dossiers de la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) ainsi que sur le contrat des compteurs d'eau.The Economist explique que l'ancien chef de cabinet du maire Tremblay a présidé à la vente d'un terrain évalué à 31 millions à une fraction de sa valeur. Le promoteur qui l'a acheté «avait été photographié par la police avec Nicolo Rizutto, un gangster octogénaire et père du mafioso numéro un au Canada«. L'hebdomadaire résume aussi l'attribution du contrat des compteurs d'eau à un consortium mené, entre autres, par Tony Accurso, «un vieil ami de Frank Zampino, qui a dirigé le comité exécutif de la Ville», peut-on lire. Il rappelle que l'ancien bras droit du maire Tremblay avait séjourné deux fois sur le yacht de M. Accurso avant d'accepter un emploi chez Dessau, l'autre firme du consortium GÉNIeau. «Peu soupçonnent (le maire Gérald) Tremblay, qui avait eu une longue carrière au Parti libéral du Québec, d'être malhonnête et il n'y a aucune preuve à cet effet», précise le magazine. Mais pour les partis de l'opposition, le mal est déjà fait. Louise Harel, candidate à la mairie pour Vision Montréal, estime qu'un tel reportage est la pire publicité imaginable pour Montréal. Car The Economist est lu par des décideurs et des gens d'affaires partout dans le monde. «Le message qu'ils envoient, c'est qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, a-t-elle dit. Et pire encore, qu'il y a de la corruption. Et donc, c'est un message qui est de nature à décourager les investisseurs.» «Quand on passe dans The Economist, c'est un fait d'armes inouï, a renchéri le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. Mais pas pour le motif pour lequel on passe aujourd'hui. C'est honteux que la réputation de Montréal soit faite ainsi.» «Nous avons largement commenté, et à maintes reprises, le sujet traité par cet article, a indiqué le porte-parole du maire, Martin Tremblay. Il n'y a aucun élément nouveau, et nous n'avons rien à ajouter à ce qui a déjà été dit.» The Economist est imprimé dans cinq pays, et distribué à 1,3 million d'exemplaires dans le monde. Illustration(s) : Goupil, Jean Les odeurs de scandales qu'exhale depuis quelque temps l'hôtel de ville de Montréal ont eu des échos jusque dans la prestigieuse revue britannique The Economist.
  3. Voici les photos du Yacht de Tony Accurso sur lequel est allé Frank Zampino pendant l'appel d'offre du contrat de 355 millions pour les compteur d'eau: Monarques et Figurines Patrick Lagacé, 4 Avril 2009 Comment se fait-il que je n'aie jamais été invité sur le yacht de Tony Accurso, moi? Non mais, on dirait que tout le monde, sa soeur et son caniche ont été invités à venir se faire bronzer sur le Touch, le bateau du discret mais prospère entrepreneur en construction québécois. Tout le monde, bon, j'exagère. Mais M. Accurso a accueilli Michel Arsenault, président de la FTQ, et Frank Zampino, alors président du comité exécutif de la Ville de Montréal. Mais pas moi. Je n'ai jamais été invité sur le yacht de M. Accurso. M. Accurso est riche et je n'ai rien contre les riches. Les riches ont le droit de l'être. Ils ont le droit de rénover à grands frais des yachts de 119 pieds pour fendre les flots des mers du Sud en tout confort. David Whissell, ministre du Travail de Jean Charest, n'a pas enfilé son Speedo sur le pont du Touch. Mais ce que M. Whissell partage avec Messieurs Arsenault et Zampino, des hommes de pouvoir qui ont des liens privilégiés avec M. Accurso, c'est... comment dire... euh... je cherche mes mots. C'est cette réticence, oui, c'est le mot, cette réticence à parler de sa relation avec l'entrepreneur. Tous trois, lorsque questionnés sur M. Accurso, n'ont pas exactement fait preuve d'empressement pour confirmer ou expliquer la nature de cette relation. Je ne sais pas trop pourquoi. Tenez, ça peut en surprendre quelques-uns, mais j'ai moi aussi des amis. Disons que vous me demandez si Dominic Fugère (je le prends au hasard) est mon ami. Il me fait parfois un peu honte, surtout depuis qu'il porte la queue de cheval, mais je vais vous le confirmer. Je ne vais pas faire de cachettes. Oui, c'est mon ami. Oui, il m'a fait faire un tour de Volvo. Je ne vais pas d'abord vous dire que l'entretien ne porte pas sur ça (comme David Whissell à propos de M. Accurso), je ne vais pas d'abord vous donner du «no comment» (comme Michel Arsenault à propos de M. Accurso), je ne vais pas d'abord vous dire qu'il s'agit de «ma vie privée» (comme Frank Zampino à propos de M. Accurso). D'où cette question: pourquoi tous les hommes de pouvoir qui se retrouvent liés à M. Accurso par les caprices de l'actualité sont-ils si gênés de dire qu'ils sont amis avec lui, qu'ils ont des liens avec lui, qu'ils sont allés se faire bronzer sur son bateau? Frank Zampino a le droit d'être ami avec Tony Accurso. Il l'était, dit-il, depuis 25 ans, avant d'aller sur son bateau. Frank Zampino, alors numéro deux de la Ville de Montréal, a séjourné sur le Touch, dans les Caraïbes. Là, je dis: non, il n'avait pas le droit. Il y est allé PENDANT le processus d'appel d'offres du plus gros appel d'offres (350 millions de dollars) de l'histoire de la Ville (pour des compteurs d'eau); appel d'offres auquel M. Accurso participait, au sein d'un consortium. Appel d'offres finalement remporté par le consortium en question, GéniEAU, composé de la firme Simard-Beaudry (propriété de M. Accurso), de la firme de génie Dessau et du Fonds de solidarité de la FTQ. À propos du Touch: on ne parle pas ici d'une chaloupe. Ni d'un pédalo. On parle d'un bateau de 119 pieds. On parle de grand luxe. D'un bateau rénové et retapé pendant des années par M. Accurso. On parle d'un palace flottant. Qui se loue 60 000$US par semaine. Sauf erreur, c'est le genre de gâteries qui, au prix du marché, était difficilement à la portée d'un élu gagnant le salaire de M. Zampino. Peut-être que maintenant, M. Zampino peut se payer ce genre de luxe maritime. Il est après tout devenu, après son départ de la politique, vice-président de Dessau, une grande firme d'ingénierie, une firme qui doit bien payer ses chefs. Oui, oui, le Dessau de GéniEAU. Si au moins, dans le cas de dérives éthiques comme celle de M. Zampino, leurs collègues se taisaient. Mais non. Ils en remettent. Prenez Claude Dauphin. M. Dauphin, vice-président du comité exécutif de la Ville, a dit de la croisière de M. Zampino, avant que ce dernier ne se mette à table: «On ne peut pas vous garantir ce soir qu'il y est allé ou qu'il n'y est pas allé ou jamais allé ou qu'il n'ira jamais: c'est du domaine privé.» Il y a des blagues pour adultes de Mike Ward, l'humoriste, qui sont moins vulgaires que cette déclaration de M. Dauphin. D'autres exemples de gâteries acceptées par des gens de pouvoir? Tiens, trois ex-ministres libéraux. Allan Rock est allé pêcher au camp d'une riche famille du Nouveau-Brunswick. Claudette Bradshaw est montée dans le jet privé de la même famille pour retourner à Moncton. Martin Cauchon est allé à la pêche avec Jean Lafleur, désormais célèbre fournisseur de l'État... Ces jours-ci, j'écoute beaucoup Alain Bashung, le chanteur français récemment décédé. Je redécouvre Osez Joséphine. C'est une chanson coquine, mais c'est fou, je l'écoute et je pense à des compteurs d'eau et à des voyages de pêche. Extrait: À l'arrière des berlines on devine des monarques et leurs figurines juste une paire de demi-dieux livrés à eux ils font des petits ils font des envieux... C'est pour ça que des types comme Arsenault ou Zampino, élus ou hommes de pouvoir, devraient oser refuser les cadeaux des monarques. Parce qu'en les acceptant, on devient une figurine.
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