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  1. Le Québec au coeur du succès de la reprise canadienne Publié le 16 juin 2010 à 06h38 | Mis à jour à 06h43
  2. La Caisse de dépôt aurait évité le pire 9 septembre 2008 - 06h00 La Presse Martin Vallières La Caisse de dépôt et placement aurait évité le pire de l'effondrement boursier des sociétés hypothécaires Fannie Mae et Freddie Mac, selon les registres de la SEC américaine. Leurs actions, très dévalorisées depuis quelques mois, ont subi un coup de grâce de 85% hier. Le coup est venu des investisseurs convaincus de la quasi-éradication de ces actions avec le plan de recapitalisation de Washington. Pourtant, au 31 mars dernier, la Caisse détenait 10,6 millions d'actions de Fannie Mae (ou Federal National Mortgage), pour une valeur déclarée de 280 millions US. C'était presque 10 fois plus d'actions de cette société que le nombre déclaré à la fin de son exercice précédent, au 31 décembre 2007. Aussi, la Caisse détenait alors 64 806 actions de Freddie Mac, pour une valeur déclarée de 2,2 M$ US. Mais dans sa plus récente déclaration à la SEC, en date du 30 juin, la Caisse de dépôt n'avait plus d'actions de l'un ou l'autre de ces géants hypothécaires. À quel prix de revente a-t-elle pu se départir de ces actions? Et la Caisse de dépôt a-t-elle pu en tirer profit ou, du moins, limiter ses pertes? On refusait de répondre à ces questions hier au siège social de la Caisse de dépôt et placement. Pour des raisons de complexité de transactions, d'une part. Mais aussi parce que "ça fait partie des stratégies internes de gestion de portefeuille", a indiqué son vice-président aux affaires publiques, Mark Boutet, mais après pris soin de valider les chiffres relevés par La Presse Affaires.
  3. L'économie du Québec tient bon 19 juin 2008 - 06h00 La Presse Hélène Baril Agrandir Monique Jérôme-Forget La situation économique a beau se dégrader tout autour, le Québec ne montre encore aucun signe de ralentissement économique, et la ministre des Finances Monique Jérôme-Forget ne s'inquiète pas outre mesure pour la suite des choses. «L'argent entre toutes les semaines comme prévu, a-t-elle indiqué hier lors d'une «ntrevue à La Presse. Je ne veux pas le dire trop fort, ni avoir l'air trop optimiste mais à tous les lundis, le sous-ministre m'informe que l'argent entre. Il n'y a aucun signe de ralentissement.» Malgré cet optimisme, la ministre craint quand même que l'économie québécoise, qui exporte 54% de sa production aux États-Unis, finisse par souffrir du ralentissement américain. Si ça devait arriver, il ne faut pas attendre de réaction en forme de plan de relance de la part de Québec. «On arriverait trop tard», estime Monique Jérôme-Forget qui croit que ce que le gouvernement pouvait faire pour stimuler l'économie a été fait. Demande stimulée La ministre des Finances souligne que les baisses d'impôts de son dernier budget, de même que le programme de réfection des infrastructures routières et les investissements d'Hydro-Québec dans de nouvelles installations de production hydroélectriques et éoliennes stimulent la demande intérieure, qui pourra compenser la faiblesse des exportations. «Ces mesures, ça représente 1,2% de croissance économique», souligne la ministre des Finances, qui a révisé à la baisse, à 1,5%, sa prévision de croissance du produit intérieur brut pour 2008. Ce qui aide aussi, selon elle, c'est que le Québec ne ressent pas aussi cruellement la hausse du prix des aliments, à cause de la hausse du dollar canadien. Même si les baisses d'impôts sont grugées par l'augmentation des contributions sociales au régime d'assurance parentale et au régime d'assurance médicaments, la ministre Monique Jérôme-Forget soutient que les Québécois ont plus d'argent dans leurs poches. Le régime d'assurance parentale, dont les cotisations augmenteront de 7,5% pour la deuxième année consécutive, "est un choix de société", dit la ministre des Finances. «C'est clair qu'il y en a qui trouvent que c'est coûteux, mais si on a le choix entre avoir une société vieillissante et faire des bébés, je vais choisir de faire des bébés.» Un combat gagné Par ailleurs, Monique Jérôme-Forget a choisi de ne pas se battre contre la décision de la Bourse de Toronto de préférer un candidat de l'extérieur à Luc Bertrand au poste de grand patron. Déçue, elle espère néanmoins qu'il est possible qu'un Québécois soit nommé un jour à la direction de la Bourse de Toronto. «Je le souhaite, a-t-elle dit. Il ne faudrait pas qu'on pense que c'est par racisme que ces gens-là n'ont pas choisi Luc Bertrand. S'ils ont choisi quelqu'un de Singapour, ils devraient être capables de choisir quelqu'un de Montréal.» Par contre, la ministre des Finances a bien l'intention de remporter un autre combat, celui qui l'oppose à Ottawa sur la création d'un organisme unique de réglementation des valeurs mobilières. «Je vous promets que je vais gagner la bataille, a-t-elle lancé. Je n'ai aucun doute que je vais gagner la bataille.» L'assurance de Monique Jérôme-Forget s'appuie sur le fait que le mandat des commissions des valeurs mobilières est d'abord la protection des épargnants, ce qui est une juridiction provinciale. «Je suis en train de gagner des points parce que je défends ça», soutient-elle. La ministre des Finances affirme aussi que la protection des épargnants est une affaire de proximité. «Aux États-Unis, ce n'est pas la SEC (Securities and Exchange Commission) qui a découvert Enron et compagnie, précise-t-elle. Ça s'est fait au niveau des États parce que les gens voyaient ce qui se passait.» La commission des valeurs mobilières de Londres est très efficace, selon elle, parce que tout le monde financier se connaît et se côtoie. «Tout le monde va au pub, et commère, et s'échange de l'information formelle et informelle. D'où les vertus de la proximité.» La ministre des Finances du Québec estime aussi que la création d'un organisme unique de réglementation des valeurs mobilières n'est une priorité pour personne sauf pour le ministre fédéral des Finances Jim Flaherty. «Pour les banquiers de Bay Street, que j'ai consultés, c'est la priorité numéro 54», affirme-t-elle. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080619/LAINFORMER/806190910/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  4. La Cour suprême va entendre rapidement l'appel de BCE dans l'affaire qui l'oppose aux porteurs d'obligations, a-t-elle annoncé lundi après-midi. Pour en lire plus...
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