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  1. http://www.ledevoir.com/societe/consommation/449987/l-architecture-a-la-conquete-des-oceans-pour-batir-les-villes-de-demain L’architecture à la conquête des océans, pour bâtir les villes de demain 14 septembre 2015 |Olivier Dessibourg - Le Temps | Consommation À Amsterdam, depuis 2013, le quartier expérimental IJburg construit sur des îles artificielles s’enrichit de maisons flottantes. Photo: Margriet Faber Agence France-Presse À Amsterdam, depuis 2013, le quartier expérimental IJburg construit sur des îles artificielles s’enrichit de maisons flottantes. Les océans constituent le prochain espace de conquête architecturale et urbanistique de l’homme. Que ce soit pour y ériger les villes du futur pensées comme des refuges techno-modernes et autonomes en énergie, voire des lieux de vacances hyperexclusifs promus par les images de synthèse de cabinets d’architectes, ou plus simplement parce que les villes et régions déjà les plus peuplées, et souvent situées sur les côtes, devront faire face à une montée des eaux certaine due au réchauffement. Partout, dans les milieux technologiques, économiques, du design, on se demande comment s’installer dans ce Far West aquatique. « Jusqu’à aujourd’hui, les villes en bordure des océans ont été érigées de manière statique, fixe, souvent désordonnée », dit Koen Olthuis. Cet architecte hollandais de 44 ans, nommé en 2007 parmi les personnes les plus influentes par Time Magazine, est l’un des fers de lance de ce mouvement en plein essor. « Dans les cités côtières des pays en développement, les bidonvilles sont souvent proches de ou sur l’eau, et sont ainsi très fragiles face aux inondations. De plus, aux environs de plusieurs mégapoles, il existe parfois d’énormes no man’s land situés entre terre et mer, pour l’heure inoccupés, détaille celui qui a été l’une des stars d’une récente conférence mondiale sur le sujet, à Bangkok. Ce sont ces zones qu’il s’agit de viser en priorité, à l’heure où la population urbaine mondiale va exploser. » Et d’indiquer que des agglomérations comme Londres, Miami, Tokyo ou Djakarta vont étendre leur superficie de 5 à 10 % sur les eaux d’ici à 2030. Bâtiments flottants Avec d’autres, le cofondateur de l’agence d’architectes néerlandaise Waterstudio a dessiné des systèmes permettant de rendre moins vulnérables les habitations côtières, qui se trouvent 90 % du temps sur la terre ferme. « Lorsque l’eau monte, nos constructions y font face sans être submergées. Parmi les solutions d’architecture amphibie envisagées pour les fondations de ces maisons “résilientes” : des “flotteurs” en béton renforcé et remplis d’air, mais tout de même liés au sol. Au final, l’édifice flotte sans se déplacer. De même que, si vous devez porter une charge dans les vagues, vous le pouvez grâce à la force d’Archimède, vos jambes jouant alors le rôle de support fixe. » Selon l’expert, le défi principal consiste à stabiliser l’ensemble en cas de répartition inégale du poids en surface. « C’est possible, grâce à des systèmes de remplissage de compartiments stabilisateurs avec de l’eau. » Des expériences réelles sont déjà menées, avant tout aux Pays-Bas, plate région concernée au plus haut point par la montée des eaux. À Amsterdam, depuis 2013, le quartier expérimental IJburg, construit sur des îles artificielles, s’enrichit de maisons flottantes. L’agence Waterstudio développe aussi des projets de constructions entièrement flottantes, comme ce café Internet qui devrait être installé sur une barge dans un bidonville émergé au Bangladesh. « La technologie des habitations flottantes n’est qu’un pan de l’architecture amphibie, mais le plus emblématique », admet Koen Olthuis. Pour preuve, la pléthore de projets futuristes, voire utopistes, récemment divulgués. La dernière salve en date est celle du Seasteading Institute. Fondée en 2008 en Californie par Patri Friedman, petit-fils du Nobel d’économie Milton Friedman, cette institution rêvait d’ériger une ville entière au large, sur les eaux territoriales, et d’y fonder une nouvelle société autogérée politiquement. Puis ses instigateurs ont reconnu qu’il serait plus aisé de rapprocher leur projet des côtes, pour des raisons évidentes de logistique et d’approvisionnement, mais avec alors la nécessité d’obtenir l’autorisation d’un État hôte qui leur reste à trouver. Des îles-villes, une utopie ? Les visionnaires tiennent à leur idée de base, et viennent de révéler les résultats d’un concours d’architecture visant à façonner leur île-ville pour 167 millions de dollars. Le concept proposé : des plateformes carrées ou pentagonales, de 50 m de côté, supportant des édifices de trois étages ou des parcs (voire les éléments herbeux d’un golf !) que l’on relie à souhait pour former une agglomération. Selon une étude de faisabilité de la société d’ingénierie DeltaSync, chaque plateforme coûterait 15 millions de dollars, soit un prix par mètre carré équivalent à ce qu’on trouve à New York ou Londres. Observateur du monde de l’architecture puisqu’il dirige la revue Tracés, Christophe Catsaros juge « sensée l’idée de gagner du terrain sur les terres immergées près des côtes, comme cela se fait depuis longtemps sur les polders dans le nord de l’Europe. » Par contre, les projets futuristes, « s’ils évoquent l’avenir, n’en ont en fait pas, tant leur coût énorme implique qu’ils ne s’inscrivent pas dans notre logique économique immobilière. » Koen Olthuis admet aussi que, « au regard des besoins dans les pays en développement, ces visions ne constituent pas une priorité, tant elles servent uniquement les riches ». Même si elles demeurent relativement abordables : dans une récente présentation TEDx, l’architecte explique que si une personne fortunée doit sortir 30 millions de dollars pour acquérir un yacht de luxe, une île artificielle ne coûterait qu’une douzaine de millions. Un nouveau marché de luxe Son entreprise a d’ailleurs imaginé de petits îlots équipés d’une résidence de luxe, qui peuvent être installés n’importe où. Depuis cet été, la société Christie’s International Real Estate les commercialise. « Cet hiver, nous construirons aux Pays-Bas les premières îles d’un lot de 33 qui sera acheminé vers Dubaï », dit Koen Olthuis. Selon lui, viser ce segment du luxe n’est pas en contradiction avec sa vision première, car « dans ce cas, les riches paient pour développer des technologies d’architecture amphibie qui pourront être démocratisées partout dans le monde ». Un argument qui ne convainc pas Christophe Catsaros : « L’architecture spectacle peut parfois faire apparaître des avancées intéressantes, mais le plus souvent, elle génère des concepts kitsch qui vieillissent mal. » Le débat naît donc sur ce que d’aucuns qualifient de « révolution bleue ». Et que l’agence DeltaSync, dans son étude de faisabilité servant aussi de manifeste, résume : si les terres viennent à manquer, « où irons-nous ? Dans le désert ? Les ressources en eau manquent. Dans l’espace ? Toujours trop cher. Reste l’océan. […] Ce siècle verra l’émergence sur l’océan de nouvelles cités durables […]. Elles contribueront à offrir un haut standard de vie à la population, tout en protégeant les écosystèmes. Un rêve ? Non, la réponse au principal défi du XXIe siècle. »
  2. J'ai essayé de formuler ma question autrement mais elle ne rentre pas complètement dans la case du titre. L'idée est de savoir si vous seriez favorable à l'installation d'un ascenseur pour vélos et personnes, reliant le boulevard René-Lévesque au Pont Jacques-Cartier. J'ai exposé brièvement l'idée dans le fil sur le développement des terrains de Radio-Canada, mais je pense qu'elle pourrait faire l'objet de discussions à part. Pourquoi alors ne pas profiter de l'engouement du vélo et des bixis, en installant un ascenseur qui relierait un des trottoirs du pont (ou les deux par une passerelle sous le pont) à la piste cyclable qui longe déjà le boulevard René-Lévesque. Ainsi on connecterait le réseau cyclable à la rive sud, aux iles et au réseau de la voie maritime du St-Laurent à peu de frais. Un énorme incitatif autant pour le vélo dans l'offre du transport en commun que pour le loisir et les déplacements en ville. Cet ascenseur aurait l'avantage d'éviter un long et pénible détour, serait plus sécuritaire et couperait la longueur du trajet pour relier les deux rives. Il rendrait en plus le circuit plus accessible aux randonneurs du dimanche qui hésitent devant les pentes et se privent de pistes cyclables parmi les plus belle de la région. Même sur le plan touristique ce serait un avantage certain puisqu'il attirerait une clientèle jeune et dynamique qui recherchent ce genre d'expériences en voyage. Finalement il favoriserait un circuit en boucle à travers les iles pour revenir au centre-ville par le pont de la Concorde. On pourrait en faire la promotion dans les brochures, louer des vélos de randonnée près de l'ascenseur et même organiser des activités connexes. On trouve ce genre d'ascenseurs dans certaines villes (dont Barcelone) et qui relient deux quartiers voisins mais situés à des hauteurs différentes. Ce pourrait être fait en PPP et on pourrait demander un tarif raisonnable et même l'inclure dans la CAM et aussi dans le bixi. Je n'y vois que des avantages et une excellente opportunité d'offrir en même temps un magnifique point de vue sur la ville sans autre formalité.
  3. Avertissement. Ce n'est qu'une question de jours, peut-être d'heures mais les bâtiments situés au coin Iberville et Notre Dame Est. Anciennement Paramount Décor au 2540 et les citernes à melasse de la GRANDMA’S Molasses du 2450 seront aussi démolis. Les pelles mécaniques ont été livrées, les toilettes portables sont installées et les deux édifices sont complètement clôturés Bientôt, les gens passant sur Notre-Dame pourront voir les rives et les îles. Franchement bon débarras. Maintenant que Matelas Dépôt est démoli depuis l'été passé et que ces deux autres seront bientôt de l'historie ancienne, il ne reste que Ressorts Montréal. Je me demande si Phyllis Lambert et Dinu Bumbaru seront la pour les protéger ?
  4. Publié le 20 septembre 2011 à 07h32 | Mis à jour à 13h05 Trois îles à protéger contre les promoteurs à Laval Charles Côté La Presse Les cinq députés libéraux de Laval, la ministre Michelle Courchesne en tête, ont réitéré ce matin leur appui à la protection de trois grandes îles de la rivière des Mille-Îles, entre Laval et Terrebonne. «Nous sommes sensibles à la valeur et au potentiel écologique des iles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre», ont souligné les députés lavallois dans un communiqué commun, dans lequel ils «réitèrent l'importance de protéger les trois grandes îles de la Rivière des Mille Îles». Hier, une étude réalisée à la demande de Mme Courchesne a été publiée par l'organisme Sauvons nos trois grandes îles. L'étude réalisée par Éco-Nature affirme qu'il faut agir rapidement pour les préserver. «En raison de la situation précaire de nombreuses espèces et des pressions grandissantes sur l'habitat, il apparaît capital d'assurer la protection de ces habitats le plus rapidement possible», affirme le rapport. Les auteurs du rapport ont passé en revue différents inventaires de la faune et de la flore réalisés au cours des dernières années, en plus de faire de nouvelles études sur le terrain. Les îles sont situées juste à l'ouest de l'autoroute 25, entre le quartier Saint-François de Laval et la ville de Terrebonne. Elles totalisent près de 200 hectares, le quart de la superficie du parc des Îles-de-Boucherville. «À elles seules, les trois grandes îles abritent 245 espèces végétales, dont 14 sont actuellement en péril et deux représentent des plantes d'intérêt. Ces habitats diversifiés supportent une richesse animale tout aussi impressionnante avec 226 espèces observées», précise le rapport. On trouve une forêt ancienne dans l'île aux Vaches, la plus grande. Cette érablière à érables noirs serait la plus vaste du Québec. On trouve aussi dans l'archipel de nombreux noyers cendrés, une présence «remarquable» pour cet arbre actuellement menacé dans toute l'Amérique du Nord par une maladie. Parmi les espèces animales observées, certaines sont en péril, comme l'aigle royal, l'alose savoureuse, l'esturgeon jaune ou la tortue géographique. «Ces îles contribuent à la biodiversité de la Rivière des Mille Îles, assurent le maintien de nombreuses espèces en péril et constituent une composante naturelle majeure dans le paysage urbain de la grande région de Montréal», conclut le rapport. «Tout ce qu'on demande, c'est que le gouvernement soit l'instigateur d'un projet d'acquisition aux fins de conservation», dit Huguette Larochelle, de l'organisme Sauvons nos trois grandes îles, qui a recueilli une pétition de plus de 40 000 signataires à l'appui de son projet de parc de conservation. Une filiale de la firme immobilière Monit, de l'homme d'affaires Alex Kotler, est propriétaire de la majeure partie de l'île aux Vaches. La Ville de Laval évalue son terrain à 5,6 millions. Monit détient aussi l'île Saint-Pierre, évaluée à 627 000$. L'île Saint-Joseph, la seule à être reliée par un pont, appartient en majeure partie à une société dirigée par Luigi Liberatore. Les terrains détenus par la société de M. Liberatore valent 2,4 millions.
  5. Comment augmenter la symbiose entre les visiteurs du Vieux-Port et le fleuve Saint-Laurent? Comment mettre en valeur l'ïle Sainte-Hélène et l'ile Notre-Dame en qualité d'Oasis extraordinaire pour les montréalais? Il faut construire une passerelle pour piétons et cyclistes entre le Vieux Port et le pont des Iles! regardez la carte sur ce lien, et imaginez un joli pont relieant le Vieux port et le pont des Iles. Cela créerait du coup un accès direct à l'archipel sous utilisé, et créerait un véritable itinéraire pédestre-cyclable. En ce moment, très peu de visiteurs font le parcours entre le Vieux port et les Iles parce que le détour est trop grand, avec une passerelle de quelques centaines de mètres, il y aurait une réelle connexion entre les iles, le fleuve et le Vieux. Qu'en pensez-vous? http://maps.google.com/maps?f=q&source=s_q&hl=en&geocode=&q=old+port,+montreal.+qc&sll=45.545447,-73.639076&sspn=0.531854,1.235962&ie=UTF8&ll=45.503896,-73.547244&spn=0.008316,0.019312&t=h&z=16
  6. Un cabinet d'avocats des îles Caïmans s'installera à Montréal Maples and Calder, un cabinet d'avocats des îles Caïmans que le président américain Barack Obama accuse de faciliter l'évasion fiscale, établira une antenne à Montréal d'ici l'automne. «Le bureau permettra à Maples Finance de puiser dans le réservoir de talents locaux tout en offrant un centre d'activités à partir duquel nous pourrons servir notre clientèle nord-américaine croissante dans les domaines de l'administration de fonds, de la comptabilité de même qu'à titre d'agent des registres et transferts», a indiqué la firme dans un document affiché sur son site Web. «La raison pour laquelle nous avons choisi Montréal, c'est que nous sentions que vous aviez une main-d'oeuvre de très haut calibre et que c'est un bon endroit pour faire des affaires si vous voulez servir vos clients nord-américains», a expliqué un porte-parole de Maples, Thor Valdmanis, au cours d'un entretien téléphonique avec La Presse Canadienne depuis New York. Maples a obtenu le statut de Centre financier international (CFI), ce qui lui donnera droit à une exemption d'impôt provincial sur certains revenus et à une réduction de 75 pour cent des cotisations au Fonds des services de santé du Québec. M. Valdmanis a dit ne pas être au courant de ces avantages fiscaux. Une centaine de sociétés actives à Montréal sont actuellement reconnues comme CFI. Le bureau montréalais de Maples doit amorcer ses activités d'ici la fin septembre. On ne sait pas encore combien de personnes y travailleront. «Des membres de l'équipe mondiale actuelle de Maples Finance ouvriront le bureau afin de faire en sorte que du personnel pleinement formé soit disponible dès le départ», a précisé la firme. Cet «investissement à long terme» vise à développer dans la métropole québécoise «un centre régional qui étendra la présence mondiale de Maples Finance», a précisé la chef de la direction de la firme, Maxine Rawlins. Outre les îles Caïmans, Maples Finance compte déjà des bureaux à Dublin, Dubaï, Hong Kong et au Luxembourg. Controverse Maples and Calder défraye les manchettes depuis plusieurs mois dans le cadre du débat sur les paradis fiscaux. Pendant la campagne présidentielle de l'an dernier, M. Obama a fait mention à plusieurs reprises, sans le nommer, du siège social de la firme, Ugland House, qui sert d'adresse officielle à près de 19 000 entreprises et fonds internationaux. «Il s'agit du plus gros édifice du monde ou de la plus importante arnaque fiscale du monde», a encore répété le président la semaine dernière. «Je suis désolé de décevoir qui que ce soit, mais notre bureau n'est ni le plus gros édifice du monde, ni un centre d'inconduite financière», a rétorqué Charles Jennings, associé directeur de Maples and Calder, à l'agence de presse Bloomberg. «Détenir une adresse enregistrée aux îles Caïmans est motivé par des considérations commerciales et non pas pour faire de l'évitement fiscal, a-t-il ajouté. Cela permet aux entreprises d'obtenir des capitaux et de mener des affaires à l'échelle mondiale.» Dans le but de rétablir la réputation de l'ancienne colonie britannique, le président de la Cayman Islands Financial Services Association, Anthony Travers, vient d'écrire à Barack Obama. Dans sa lettre, il a soutenu que les îles Caïmans collaboraient pleinement avec les autorités américaines et que le pays ne permettait pas aux entreprises d'éviter les impôts. «Les îles Caïmans offrent un faible taux d'imposition, comme le font l'Irlande et d'autres pays, a écrit M. Travers. Cela n'est pas une mauvaise chose et ce n'est certainement pas suffisant pour laisser entendre qu'il s'agit d'évasion fiscale illégale.» Selon les autorités des îles Caïmans, le fait que certaines sociétés des États-Unis ou d'autres pays payent un faible pourcentage d'impôts ne relève pas d'elles, mais des autres gouvernements.
  7. Plan Nord' exploited Mining, energy Charest would expand Hydro-Québec output WILLIAM MARSDEN, The Gazette Published: 14 hours ago Premier Jean Charest ventured into solid Parti Québécois territory yesterday where he announced his government's intention to supercharge Hydro-Québec with $19 billion in new energy projects as part of his plan to open Quebec's north to massive development and resource exploitation and make the province an economic powerhouse. "We are the party that forges Quebec's future," he told an audience of Liberal faithful huddled under a large white tent erected in the rain-soaked Port of Sept Îles. As part of a continued string of staged events where local Liberals pack the crowd, the premier used the opening of new port facilities in Sept Îles, which were actually completed two years ago, to hammer home his vision of turning Quebec's north into an economic powerhouse of mining and energy exploitation. He calls it the "Plan Nord." His said new energy expansion plans that will add 3,500 megawatts to Hydro-Québec's grid by 2035. That's enough power to run about 600,000 homes - or Quebec City. Charest traveled in a chartered plane from Montreal to Sept Îles Thursday with his wife, Michelle, and then flew yesterday to the town of Gaspé to tour a Danish factory called LM Glasfiber that makes windmill blades. From Montreal to the Gaspé, every time he tours a plant, the Liberals make sure workers are lined up to shake his hand for the cameras. The Liberals campaign slogan, "The economy first, yes?" festoons his podiums and he never fails to mention the need for a majority government to navigate the province through the international slowdown. Yet in most of the areas he visits, the economy is doing well. With the exception of forestry, most other resource industries continue to thrive. So Charest warns of an "approaching storm." But it's a hard sell. Unless you are at sea, it's hard to see the hurricane before it hits and Charest finds himself frequently questioned about the embattled health-care system. This problem he blames on Pauline Marois and the PQ when they retired thousands of nurses and doctors in the late 1990s, creating a huge deficit of medical staff. He argues that without wealth generation Quebec cannot maintain its social services. Yet the expansion plans he announced yesterday won't see the light of day until at least 2015. So he tries to appeal to Quebecer's pride. "Quebec's north is mineral resources, it's energy for the future, clean and renewable energy. It's energy that we have developed and it's energy that is in our genes," he told the audience to great applause. "We have to plan for the future, for the future of our children," he said. Hydro-Québec is about to embark on several giant projects that will add another 4,500 megawatts to the grid, increasing its overall capacity of 38,000 megawatts by about 12 per cent. They will exact a high environmental price, environmentalists say. Charest hopes the grandeur of his economic vision will entrance Quebecers to support his Plan Nord strategy. He links it with signing labour mobility agreements with France and Ontario, which he claims will help open new markets for Quebec's resources. But even here it often sounds as though he wants to give jobs to foreigners. Yet it's hard to gage audience reaction, since they are all Liberals.
  8. Voici des photos pêle-mêle de ma petite promenade petite sur les Iles Charon (Définitivement la plus belle vue sur Montréal) et sur le Mont St-Bruno. Je voulais juste les partager Iles Charon, vues sur la ville. Ma favorite : Macro : Beubite du diable !! Jolie sauterelle Ville de Ste-Julie Village Olympique [/img] Surprise sur la montagne Détail important a remarquer avant d'entrer sur le site ... Et c'est ça qui arrive !! haha 400 Sherbrooke ouest
  9. Lorsque Gilles Champagne et sa fille Marilyne ont démarré leur PME dans un garage de Grand-Mère il y a 11 ans, ils étaient loin de se douter que leur idée ferait des vagues jusqu'aux îles Turks-et-Caïcos. Pour en lire plus...
  10. Le Cirque du Soleil à vendre ? 16 juin 2008 - 11h21 LaPresseAffaires.com Le Cirque du Soleil serait à vendre. Enfin, c’est ce qu’affirme le London Daily Telegraph dans son édition de lundi. Le populaire cirque qui a des activités partout sur le globe aurait été approché par plusieurs acheteurs potentiels notamment un groupe d’investisseurs de Dubaï. Le nom de ce possible acheteur n’est pas nommé par le quotidien anglais, mais la transaction pourrait valoir 2 G$. Nakheel PJSC, promoteur des fameuses îles de Dubaï, a déjà offert au Cirque du Soleil de construire un théâtre permanent sur un des complexes, la Palm Island. Un porte-parole du Cirque du Soleil a indiqué que la nouvelle selon laquelle la troupe aurait été approchée par Istithmar, une firme associée à Nakheel, n’est que «rumeurs et spéculations».
  11. L'organisme observe une légère diminution du nombre de dommages cette année sur la Côte-Nord, au Bas-Saint-Laurent, en Gaspésie et aux Îles comparativement à une hausse pour l'ensemble de la province. Pour en lire plus...
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