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  1. http://plus.lapresse.ca/screens/859bc2a2-f0ed-470c-862f-943a02746c63%7C_0.html FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE La place Émilie-Gamelin est bien accueillante pour les manifestants, qui s’y donnent rendez-vous ces jours-ci. Mais pour le flâneur urbain, on repassera… C’est un espace hypercentral, dans une ville hypersécuritaire. Un espace auquel on a ajouté de gros jeux d’échecs et des camions de bouffe. Mais personnellement, je ne ferais pas de détour pour y passer un samedi après-midi avec mon fils, disons. Bon, ça prouve peut-être que je suis un papa poule. Mais surtout, que tout ce qui a été tenté au cours des dernières années pour faire de la place Émilie-Gamelin un lieu public accueillant et invitant – pour tous – a cruellement échoué. Cette fois sera-t-elle la bonne ? Je l’espère. J’ai appris qu’on va tenter complètement autre chose, cette année. On va fermer la place pour un mois, à partir de lundi prochain, afin de la transformer en « village » animé jour et soir, tout l’été, avec resto, bar, café, jardins et spectacles. On va aménager un marché public, un jardin communautaire, une terrasse avec tables et parasols, un immense lieu de projections. Bref, on va tenter d’en faire un lieu convivial pour tout le monde. Pas juste les revendeurs de drogue. *** Ça fait maintenant quatre ans que le Partenariat du Quartier des spectacles tente de « renipper » la place Émilie-Gamelin avec des événements ponctuels. Mais rien à faire : dès qu’ils prennent fin, le lieu redevient insécurisant. Changement complet de stratégie, donc. Fini les coups de pinceau et les interventions à la pièce. On a embauché l’organisme derrière le Village éphémère, Pépinière & Co, afin de créer un village semi-permanent, de mai à octobre. « On veut vraiment changer l’allure de la place, et sa réputation par le fait même », précise Pascale Daigle, du Partenariat. Sous l’enseigne lumineuse « Jardins Gamelin », on va donc retrouver de nombreux bancs, des bacs à fleurs, des chaises de type Adirondack, ainsi qu’une scène circulaire où se tiendront des événements programmés et spontanés : spectacles, conférences, animation, yoga matinal. On ajoutera une canopée lumineuse ainsi qu’une « œuvre magistrale illuminée » en suspension. À l’ouest, on ouvrira un restaurant dans une construction de conteneurs où l’on vendra du café tôt le matin, et de la bière tard le soir. On installera une dizaine de tables avec chaises et parasols afin que les gens puissent profiter de leur consommation ou de leur propre lunch. Au sud de la place, on retrouvera de l’agriculture urbaine : jardin de tournesols, production de légumes, plantations diverses, serre, etc. Et à l’est, on installera un marché de fruits et légumes et on se servira de la façade de la Place Dupuis comme toile de projection. « Montréal est une ville d’événements, fait remarquer Jérôme Glad, de Pépinière & Co. Mais l’événementiel est souvent en rupture avec la ville au quotidien : on installe des clôtures et des tentes génériques, puis une fois terminé, on remballe tout. » « Là, on veut inverser la logique : investir le lieu, en faire un canevas cohérent, puis y attirer des événements qui donneront à la place un caractère propre. » *** Est-ce qu’on est dans l’embourgeoisement localisé ? Une façon de repousser ceux qu’on préférerait ne pas voir ? De remplacer ceux qui ont élu domicile dans le parc par des hipsters et leur macchiato ? Le Partenariat du Quartier des spectacles s’en défend. Il assure que son village s’implantera avec l’aide de l’arrondissement et du Service de police de la Ville de Montréal, qui veilleront à maintenir la cohabitation. Comme à l’époque des interventions de l’ATSA. À l’arrondissement de Ville-Marie, on ne cache pas que « les comportements de personnes marginalisées » sont source de préoccupation. Mais le but n’est pas de les faire disparaître, assure la porte-parole Anick de Repentigny. « Il n’est pas question d’exclure qui que ce soit. L’arrondissement souhaite une cohabitation sociale optimale. » De toute façon, renchérit Jérôme Glad, l’idée n’est pas de lisser l’endroit pour en faire une autre place des Festivals. « On a vraiment une approche de quartier, à échelle humaine, ouverte et inclusive. On veut que ça devienne un lieu propice aux rassemblements et aux pique-niques. On veut que ce soit une grande terrasse pour tout le monde. » Pas une autre place des Festivals, donc, mais pas un autre « Village éphémère » non plus, ces événements populaires et branchés qui ont eu lieu ces deux dernières années (bonne nouvelle : une démarche est en cours pour que cet événement revienne au Pied-du-Courant à compter du 19 juin). « On mise plutôt sur une réappropriation d’un lieu public par toutes sortes de monde », affirme Jérôme Glad. Pensons au Marché des ruelles dans la rue Sainte-Catherine, ou au Marché des possibles dans le Mile End. Ne nous contons pas d’histoire. Ce sera tout un défi d’assurer une cohabitation des usagers actuels et futurs. Mais un défi qu’il vaut certainement la peine de tenter de relever. Car s’il ne faut pas chasser les marginalisés, on ne peut chasser non plus les riverains et les commerçants. sent via Tapatalk
  2. http://www.lapresse.ca/sports/autres-sports/olympisme/201604/17/01-4972297-la-ministre-des-sports-favorable-a-des-jeux-a-quebec.php Publié le 18 avril 2016 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 La ministre des Sports favorable à des Jeux à Québec Vincent Brousseau-Pouliot La Presse Au cours de la prochaine année, la ministre des Sports et des Personnes handicapées a l'intention de réunir les décideurs du milieu olympique canadien, pour établir une stratégie nationale pour l'accueil des grands événements sportifs internationaux. La ministre fédérale des Sports, Carla Qualtrough, estime que le Canada «doit accueillir» les Jeux olympiques ou les Jeux du Commonwealth d'ici 2030. Et elle se demande à voix haute si ce n'est pas le tour d'une ville québécoise, par exemple Québec pour les Jeux d'hiver de 2026. «Ça aurait du sens», a-t-elle dit en entrevue avec La Presse. «Je suis plutôt favorable à l'idée d'avoir différentes régions du pays [qui accueillent les Jeux], a indiqué la ministre Qualtrough. Je ne sais pas si c'est le tour de Québec, c'est au COC de décider, mais ce serait agréable d'avoir les Jeux à Québec, ça aurait du sens. Nous avons accueilli des Jeux olympiques à Vancouver et à Calgary, nous avons accueilli des Jeux à Montréal, mais c'était il y a quelque temps. Maintenant, si Edmonton disait qu'elle voulait des Jeux, je dirais qu'Edmonton serait aussi une bonne ville hôtesse.» La ministre Qualtrough a de bons mots pour le maire de Québec Régis Labeaume, qui a rencontré le président du Comité international olympique (CIO) Thomas Bach en Suisse la semaine dernière. Au cours de la prochaine année, la ministre des Sports et des Personnes handicapées a l'intention de réunir les décideurs du milieu olympique canadien, incluant le Comité olympique canadien (COC), qui a le dernier mot sur les candidatures olympiques. L'objectif: établir une stratégie nationale pour l'accueil des grands événements sportifs internationaux, afin d'avoir des efforts mieux concertés. «Nous ne pouvons pas accueillir tous les événements, dit-elle. Il faut s'asseoir avec tous les décideurs et faire un plan. Ils [COC, Commonwealth Games Canada, CONCACAF] ont le droit de déposer une candidature, j'ai les dollars fédéraux. Nous manquons des occasions quand nous le faisons seuls. Je ne veux pas avoir une situation où nous avons une candidature pour les Jeux d'hiver de 2026, les Jeux d'été de 2028 et les Jeux du Commonwealth en 2030. Nous ne pouvons pas financer ni remporter tous ces événements. Nous devons être stratégiques: voulons-nous des Jeux dans une ville qui a besoin d'infrastructures ou dans une ville qui a déjà les infrastructures? Nous devons avoir ces discussions difficiles», a précisé la ministre Qualtrough, avocate et ancienne nageuse paralympique qui a gagné trois médailles aux Jeux de Séoul (1988) et de Barcelone (1992). Il n'y a pas qu'à Québec qu'on démontre de l'intérêt pour une candidature olympique. Toronto a évalué la possibilité de présenter une candidature pour les Jeux d'été de 2024, mais le maire John Tory en a finalement décidé autrement, notamment en raison des réticences du gouvernement provincial et des délais serrés. Toronto, qui a accueilli les Jeux panaméricains l'été dernier, pourrait être tenté à nouveau pour les Jeux d'été de 2028. Accueillir les Jeux olympiques ou les Jeux du Commonwealth représente un investissement de plusieurs milliards de dollars pour le gouvernement fédéral, en grande partie en raison des infrastructures et de la sécurité. Pour l'instant, le gouvernement Trudeau n'a pas statué à savoir s'il appuierait une éventuelle candidature canadienne. «Je serai le plus grand défenseur d'une candidature [au cabinet], mais c'est un grand investissement et c'est une décision du cabinet», a dit la ministre Qualtrough, qui croit que l'obtention de tels événements est «une bonne chose» sur le plan économique. La ministre Qualtrough rappelle que les premiers Jeux du Commonwealth ont eu lieu à Hamilton, au Canada, en 1930 et que les Jeux du Commonwealth auront 100 ans en 2030. Patience avec le COC jusqu'aux Jeux de Rio Six mois après la démission de Marcel Aubut en raison d'allégations de harcèlement sexuel, le Comité olympique canadien (COC) a engagé des spécialistes et commence à changer ses politiques internes, mais l'organisme en fait-il assez pour contrer le harcèlement sexuel et assurer un climat de travail sain? La ministre fédérale des Sports, Carla Qualtrough, veut «donner du temps» à la nouvelle présidente du COC, Tricia Smith. «À un moment donné, je penserai différemment, peut-être après [les Jeux de] Rio», dit-elle. Résumé en trois déclarations. «Nous devons donner à Tricia [smith] le temps de travailler sur ce processus. Ils ont engagé un spécialiste de la gouvernance, un spécialiste des ressources humaines. Certaines de ces choses prennent du temps. Elle a choisi d'être discrète, je suis prête à attendre et voir quel type de changements il y aura.» [Le COC a dévoilé hier sa politique contre le harcèlement sexuel. L'entrevue avec la ministre Qualtrough a eu lieu la semaine dernière, avant cette annonce] «Vous devez vous rappeler qu'il ne reste que six mois avant les Jeux de Rio. Je n'ai pas de problème avec le délai, c'est raisonnable dans leur situation. À un moment donné, je penserai différemment, peut-être après Rio.» «Jean-Luc Brassard est un héros sportif canadien. Il est extrêmement respecté, par moi et par tous les gens que je connais. Il a fait un choix personnel, le COC traverse des moments difficiles, je comprends pourquoi il a démissionné [comme chef de mission des Jeux de Rio]. Je suis ravi que Curt [Harnett] puisse prendre la relève et qu'il n'y ait pas de dérangement pour les athlètes. Je partage le point de vue de Jean-Luc et de Curt voulant que nous ayons besoin d'un changement de culture au COC, mais aussi leur point de vue que Tricia Smith [la présidente ayant succédé à Marcel Aubut] sera capable de le faire, et beaucoup d'athlètes de haut niveau pensent la même chose.»
  3. Montréal, ville des congrès par excellence en Amérique du Nord, en 2013 Montréal se classe en tête de liste des villes d'Amérique du Nord ayant accueilli le plus de congrès internationaux, en 2013. La métropole québécoise avait également remporté cet honneur en 2012. Ce classement est établi par l'International Congress and Convention Association (ICCA), qui recueille des données sur le sujet pour les grandes villes du continent, telles que Toronto, Vancouver, New York, Boston, San Francisco, Washington, San Diego et Chicago. Les congrès internationaux constituent une source de revenus appréciables pour la métropole. Ainsi, pour l'année financière 2013-2014, les 25 congrès internationaux et les 17 congrès canadiens qui ont eu lieu au Palais des congrès de Montréal ont généré près de 161 millions de dollars en retombées économiques, pour la métropole. De manière plus globale, en 2013-2014, Montréal a été l'hôte de 71 événements internationaux auxquels ont participé 37 000 personnes. Pour Raymond Larivée, président-directeur général au Palais des congrès, ces résultats sont le fruit du travail de collaboration entre son organisation et Tourisme Montréal, les hôtels et Aéroports de Montréal, entre autres partenaires. Dans le monde, les villes les plus courues pour les grands congrès sont Paris, Madrid et Vienne, toujours selon l'ICCA. L'ICCA représente les principaux spécialistes dans l'organisation, le transport et la tenue de grands événements et de rencontres majeures. L'Association compte dans ses rangs un millier de compagnies et d'organisations, implantées dans plus de 90 pays. Elle effectue son classement des villes hôtes de congrès depuis cinquante ans. Par continent, pour une période couvrant les années 2008 à 2012, c'est en Europe que l'on retrouve plus de la moitié des grands événements internationaux, chaque année. L'Asie et le Moyen Orient viennent en seconde place avec 18 % des grands congrès. Suivent l'Amérique du Nord avec 12 % et l'Amérique latine avec 10 %. Toujours durant les années 2008 à 2012, le Canada arrive au onzième rang des pays ayant été l'hôte de grands congrès. Les États-Unis arrivent en tête du classement. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/05/13/003-montreal-congres-amerique-nord-villes.shtml
  4. http://journalmetro.com/actualites/montreal/474566/un-quai-evenementiel-permanent-sur-le-canal-de-lachine/ Un quai événementiel permanent sur le canal de Lachine Par Laurence Houde-RoyMétro Le QuaiPrevious photoNext photo Un quai flottant pouvant accueillir des événements culturels sera installé sur le canal de Lachine tout l’été. Le ponton, d’une longueur de 24 mètres et d’une largeur de 11 mètres, sera principalement utilisé et entreposé au Bassin Peel. Amarré aux berges, il y sera relié par une passerelle. Les promoteurs ou artistes intéressés à louer la structure pour leurs événements pourront aussi demander à le déplacer le long du canal, entre le Vieux-Port de Montréal et le lac Saint-Louis. La structure pourra notamment recevoir des spectacles de musique, un cinéma en plein air et des réceptions de près de 200 personnes. Le promoteur Simon Lebrun, également à la tête du Défi canot à glace Botabota, fera la présentation de ce projet vendredi au congrès de l’Association des architectes paysagistes du Québec. «On s’est rendu compte qu’à Montréal, c’était difficile d’organiser des événements près des berges ou sur l’eau. Il n’y avait pas de lieux saisonniers à la disposition des promoteurs et offerts à la location» -Simon Lebrun qui lancera officiellement la structure à la fin du mois de mai. Si certains artistes espéraient pouvoir présenter leur travail sur l’eau, les coûts d’assemblage d’une telle structure les rebutaient bien souvent. «Oui, nous voulons attirer les événements du milieu corporatif, mais nous voulons aussi rendre ce quai accessible», ajoute M. Lebrun qui, avec un ponton en permanence sur l’eau, compte offrir des prix plus modiques aux artistes. Ce genre d’emplacement permanent est déjà disponible dans plusieurs grandes villes internationales, indique le promoteur. «Le pouvoir attractif d’un événement sur l’eau est incroyable. Un écran de cinéma devient soudainement beaucoup plus intéressant s’il est sur l’eau», ajoute-t-il. Les discutions avec Parcs Canada, qui gère le Canal-de-Lachine, se font depuis l’automne dernier. L’institution fédérale devait notamment s’assurer que la plateforme n’affecte pas le passage des plaisanciers et que sa taille respecte les normes. Le quai événementiel sera à la disposition des promoteurs de la fin mai jusqu’au mois d’octobre. Si la réponse est positive, son promoteur pourrait agrandir sa superficie pour les années suivantes. Parc Jean-Drapeau Le congrès de l’Association des architectes paysagistes du Québec accueillera également une conférence de Daniel Blier, directeur général de la Société du parc Jean-Drapeau. Il présentera les avancements de la revitalisation du secteur dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. Le projet, dont les plans ont été présentés aux partenaires en décembre dernier, compte offrir aux visiteurs un meilleur accès au fleuve ainsi qu’une entrée plus fournie, avec notamment des points de restauration et un comptoir d’accueil. «Nous sommes assez emballés par rapport à la direction que prend ce projet. Il respecte autant les besoins contemporains, tout en conservant la mémoire des lieux», affirme Luc Beauchemin de la Fondation Expo 67 qui a pris connaissance des esquisses. La restauration de la Place des Nations, l’une des legs majeurs du 375e anniversaire, est particulièrement intéressante pour M. Beauchemin. «La restauration se fera avec les matériaux d’origine», se réjouit celui qui espère retrouver l’esprit d’Expo 67 après les travaux. Selon les plans qu’il a consultés, un arrêt d’autobus devrait également s’ajouter près de la Place des Nations, un attrait supplémentaire pour les visiteurs, estime-t-il. La Société du parc Jean-Drapeau songe également à offrir l’endroit pour la diffusion de spectacles ou de concerts à ciel ouvert, selon M. Blier. M. Beauchemin espère toutefois que les principaux acteurs d’Expo 67 seront reconnus à travers ces travaux en renommant les axes de circulation du parc en leur nom.
  5. Source: ProposMontréal Je me permets en ce premier janvier de faire un top 5 des événements positifs qui frapperont Montréal en 2013. 5. Le retour du Hockey 4. La bouffe de Rue 3. Le Stade Olympique 2. Les Grues 1. Les élections Municipales. Lisez l'article pour plus de détails, cette liste n'est qu'une opinion personnelle. Vous pouvez être d'accord ou non.
  6. (Montréal) Avec l'arrivée du printemps, les coureurs ont repris leur entraînement en vue du Marathon de Montréal, en septembre prochain. Pour la première fois, celui-ci sera organisé par une société californienne appartenant à des financiers de New York, dont l'objectif est de maximiser le profit de ses sociétés en portefeuille. Cela n'empêchera pas l'organisation de faire appel à 1500 bénévoles, ni de recevoir des centaines de milliers de dollars en aide publique. En septembre dernier, Bernard Arsenault a vendu la société Gesport, organisatrice du Marathon de Montréal, à Competitor Group, de San Diego. Depuis cette date, le Marathon de Montréal est présidé par Peter Englehart, associé de Falconhead Capital, une firme de capitaux privés de New York qui détient 100% de Competitor Group. «Competitor détient 100% de Marathon de Montréal», a confirmé Dana Allen, première vice-présidente, dans un entretien. Le communiqué publié à l'époque par M. Arsenault a annoncé l'association entre l'épreuve montréalaise et la série de marathons Rock'N'Roll, qui a attiré 390 000 participants en 2011, mais il ne faisait pas mention d'un transfert de propriété. Par la suite, des articles parus sur le sujet ont parlé d'une «vente partielle» de l'épreuve montréalaise, sans en préciser les détails. Les parties refusent de dévoiler le prix de la transaction. Un OSBL «En fait, le Marathon est encore un organisme sans but lucratif, précise Dominique Arsenault, fille de Bernard et responsable des communications de Marathon de Montréal. C'est la société qui gère le Marathon [qui a été vendue]. C'est probablement une des meilleures façons d'amener l'événement à un autre niveau, poursuit-elle. Les capitaux que nous n'aurions pas pu nécessairement aller chercher, les gens de Competitor Group les ont. C'est déjà une grosse machine bien implantée», explique-t-elle. L'an dernier, la course montréalaise a attiré près de 24 000 participants; 27 000 sont attendus en 2012. «On veut augmenter la participation, surtout en provenance des États-Unis», a dit Dana Allen. La société pour laquelle elle travaille vaut au moins 115 millions US (voir autre texte). «Notre but est d'amener plus de touristes à Montréal en faisant la promotion de l'événement dans nos magazines et auprès des coureurs inscrits dans notre banque de données.» Les marathons Rock'N'Roll sont des événements festifs, où les coureurs ont la possibilité de voir des performances musicales tous les deux kilomètres le long du parcours. Un concert est aussi prévu au fil d'arrivée. Les subventions sont-elles nécessaires? Comme bien des épreuves du genre en Amérique, le Marathon de Montréal fait appel aux bénévoles et à l'argent des contribuables pour la tenue de la course. Qu'une société à but lucratif valant plus d'une centaine de millions fasse appel à des bénévoles et à l'argent des contribuables pour tenir une épreuve de course à pied a soulevé la controverse ailleurs, à San Diego notamment, où Competitor Group a dû rembourser des subventions de 344 000$ aux autorités locales (voir autre texte). Au Québec, les bailleurs de fonds publics acceptent volontiers de subventionner des événements populaires comme les grands festivals qui sont gérés par des sociétés commerciales, du moment que les retombées économiques et les touristes sont au rendez-vous. Dana Allen ne craint pas pour ses subventions, malgré le statut à but lucratif du nouveau propriétaire du Marathon. «Dans les discussions que nous avons eues avec la Ville et les responsables de l'industrie touristique, nous avons senti beaucoup d'enthousiasme. Ils nous appuient et sont persuadés que ce sera bon pour la ville parce que nous allons faire venir à Montréal plus de coureurs de l'extérieur», dit-elle. L'an dernier, Québec a versé 177 000$ au Marathon de Montréal. De son côté, la Ville de Montréal offre gratuitement les services policiers et d'autres services publics, comme elle le fait d'ailleurs pour le Tour de l'île ou les festivals. La valeur des services atteint 425 000$ pour la course de 2012 (321 000$ en 2011). Tourisme Montréal, qui gère la taxe d'hébergement de 3% du revenu de location des chambres d'hôtel, finance également l'événement depuis trois ans, mais l'organisme refuse de divulguer publiquement sa contribution. Des critiques Un ancien organisateur du Marathon se montre critique. «Idéalement, l'organisation d'un événement comme ça devrait être donnée à un groupe local», soumet Alain Bordeleau, qui en a été le responsable de 1992 à 1996. Il est aussi détenteur du record québécois au marathon avec un temps de 2 heures 14 minutes et 19 secondes, réalisé en 1984 à Ottawa. «L'idée que le Marathon puisse réinvestir ses profits dans le milieu pour soutenir le développement des athlètes ou l'offre de services est une avenue intéressante», croit l'ancien olympien, qui gagne sa vie dans l'import-export. C'est le cas à la Coupe Rogers, organisée par Tennis Canada. Les profits de l'événement vont au développement des joueurs, confirme Valérie Tétreault, coordonnatrice des communications de Tennis Canada. «Si ce sont des intérêts américains qui organisent le Marathon, les profits vont aller du côté des États-Unis», s'inquiète Alain Bordeleau. Johanne Turbide, professeure de comptabilité à HEC Montréal et spécialiste en gestion financière des OSBL, ne partage pas les mêmes craintes. Elle souligne que les OSBL doivent démontrer aux autorités que sans l'appui public, l'activité ne peut pas faire ses frais. «Les bailleurs de fonds publics font le travail de vérification», soutient-elle. L'universitaire reconnaît néanmoins que les OSBL manquent de transparence. Au Québec, ceux-ci n'ont de compte à rendre qu'à leurs membres (au minimum trois personnes) et, à l'occasion, aux bailleurs de fonds. Competitor a refusé de divulguer les chiffres de Marathon de Montréal. Un précédent Outre la question de la transparence, la vente du Marathon à des intérêts étrangers soulève des interrogations quant au transfert de propriété des grandes manifestations populaires comme les festivals. «Avec le Marathon, on est en présence d'une forme de précédent», estime Martin Roy, directeur général du Regroupement des événements majeurs internationaux (REMI), lequel ne compte pas le Marathon de Montréal parmi ses 22 membres. «Au REMI, on est là pour travailler à la pérennité d'un secteur qui a été formé par des visionnaires qui, un jour, passeront la main. On espère que ça va se faire au profit de la collectivité et des Québécois», a-t-il indiqué. ---------------- La manifestation sportive en un coup d'oeil Date 23 septembre 2012 Épreuves > marathon > demi-marathon > 10 km > 5 km > 1 km Participants en 2011 24 000 ---------------- Qui est le nouveau propriétaire du Marathon de Montréal? Competitor Group Création : 2007 Propriétaire : Falconhead Capital (100%) Président et chef de la direction : Scott Dickey Principaux actifs > 58 événements, dont 27 Marathons Rock'N'Roll > Base de données de plus de 7 millions de coureurs et de triathlètes > 4 magazines spécialisés: tirage mensuel de 600 000 copies > Plateformes numériques (Competitor.com et Raceit.com) ----------------- MARATHONS LES PLUS POPULAIRE EN 2011 NEW YORK 47 133 FINISSANTS CHICAGO 35 755 FINISSANTS LONDRES 35 126 FINISSANTS BERLIN 32 816 FINISSANTS TOKYO 32 395 FINISSANTS Source : Rapport annuel, Running USA http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201204/23/01-4518267-le-marathon-de-montreal-entre-les-mains-de-financiers-new-yorkais.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS8
  7. Voici quelques articles sur le projet Félix-Martin. La phase 1 réalisée de 1986 à 1988 devait être suivie de la phase 2, un édifice de 33 étages. Vous pourrez lire les évènements qui ont entraînés l'annulation de ce projet. Les commentaires négatifs sur l'architecture de ce projet n'ont pas dû aider non plus.
  8. De titan des télécoms avant 2000, Nortel a connu une longue descente aux enfers. Voici les principaux événements qui ont touché l'entreprise depuis quelques années. Pour en lire plus...
  9. 1902 1903 1902 1902 1895 1895 1902 1880 1902 1902 1902 1887 1902- ce à quoi Montréal devait ressemnbler 25 ans plus tard 1902- une enseigne au ciel 1902- Montréal de l'avenir 1902- l'image en bas au milieu représente un déménagement du futur, par le ciel
  10. C'était très prévisible et inévitable -------------- Dès 2010 GM ne sera plus le commanditaire principal du Festival de jazz 17 décembre 2008 - 15h46 La Presse Canadienne Dans la foulée de la tourmente économique mondiale, le Festival international de jazz de Montréal perdra son commanditaire principal, General Motors, à compter de 2010. GM a indiqué aux organisateurs du Festival que son entente de commandite principale ne sera pas renouvelée lorsqu'elle viendra à échéance. C'est donc dire que la 30e édition de l'événement, en juillet prochain, sera sa dernière à titre de commanditaire principal. Le retrait du géant de l'automobile n'a pas surpris les organisateurs de l'événement, compte tenu des sévères difficultés de l'industrie automobile. «On s'y attendait, avec le contexte économique qu'ils vivent», a dit en entrevue, mercredi, le président et fondateur du Festival, Alain Simard. «On avait prévu au contrat, justement, une date butoir pour un renouvellement à long terme, de façon à ce qu'on ait le temps, ce qui nous donne un an et demi pour trouver un remplaçant. GM, dans le contexte actuel, n'était pas en mesure de confirmer qu'il renouvelait pour cinq ans», a-t-il ajouté. M. Simard s'est dit confiant de pouvoir dénicher un autre commanditaire principal, malgré la tourmente économique. «Ce qui m'inquiéterais plus, c'est l'effet domino sur les plus petits événements. Je suis très confiant que le Festival de jazz est une propriété convoitée par les commanditaires. Mais est-ce qu'ils vont se retirer d'autres événements plus petits pour pouvoir se payer le Festival de jazz? C'est sûr que c'est jamais une bonne nouvelle pour l'économie en général.» Alain Simard se dit déçu du départ de GM, faisant valoir que le constructeur automobile s'était montré un partenaire de choix. Il n'écarte pas d'autres associations dans l'avenir avec GM. Le montant de la commandite n'a pas été rendu public. On sait cependant que près de la moitié du budget de 25 millions $ du Festival provient de commandites et qu'à titre de commanditaire principal, l'investissement de GM était à tout le moins de quelques millions de dollars. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/12/20081217-154650.html
  11. Montréal fait rêver les passagers de Swiss Caroline Rodgers, collaboration spéciale La Presse C'est en regardant des photos du Stade olympique, du Marché Bonsecours et du Palais des congrès que les passagers de Swiss pourront rêver pendant leur prochain vol. Le Swiss Magazine, distribué à bord des avions de la compagnie aérienne, met Montréal en vedette au mois d'octobre. Vingt pages, dont 13 consacrées à de magnifiques photos, tracent un portrait flatteur de la métropole. Le chef Martin Picard, la foule des Piknic Electronik et les smoked-meat de Schwartz's sont au nombre des stars choisies du photographe. Et en page couverture, les vitraux multicolores du Palais des congrès. Dans les éditions précédentes, des villes comme Sofia, Shanghai, Florence et Londres étaient mises en lumière. Au tour de Montréal de se faire complimenter... et de jouir d'une grande visibilité auprès de milliers de visiteurs potentiels! Montréal est décrite comme une ville unique, mélange de simplicité nord-américaine et de distinction à l'européenne, avec une touche festive et artistique. En cette semaine douloureuse pour le Grand Prix, on ne peut toutefois s'empêcher de remarquer l'ironie involontaire d'un certain passage: «De festivals de films en événements sportifs comme la Formule 1, il se passe toujours quelque chose à Montréal», peut-on lire. Et à la classique question «pourquoi Montréal?», la designer de mode Mariouche Gagné répond: créativité, mélange culturel, paradis culinaire et sécurité. Un carnet d'adresses bien garni présente enfin les restaurants, hôtels et autres choix incontournables du journaliste. De quoi donner envie aux voyageurs du monde entier de nous rendre visite. http://www.cyberpresse.ca/voyages/nouvelles/200810/22/01-31725-montreal-fait-rever-les-passagers-de-swiss.php
  12. Le port de Montréal aura un journée « porte ouverte » pour la première fois en plusieurs années le 31 août prochaine. -Accès gratuit sur le site - Autobus gratuit du métro berri-UQAM -Visite les installations du port par bus, train, et bateau Plus de détails à venir The new CEO is really reaching out to the community Suite aux événements du 11 septembre 2001, il est impossible d’avoir un vrai « porte ouverte ».
  13. Selon un analyste de l'Institut Fraser, le financement public des événements bien établis, tels le Festival Juste pour rire et le Festival international de jazz de Montréal, devrait être aboli. Pour en lire plus...
  14. EXCLUSIF Philippe Couillard veut un nouveau Colisée La construction d’un nouveau Colisée est un incontournable, estime le ministre Philippe Couillard. L’amphithéâtre actuel n’est plus à la hauteur d’une capitale. (Photothèque Le Soleil) Simon Boivin Le Soleil Québec La rénovation ou la construction d’un nouveau colisée à Québec est incontournable, estime le ministre Philippe Couillard, qui veut articuler le développement de la capitale autour de l’accueil de grands événements internationaux. Le succès financier du Championnat mondial de hockey a fouetté la confiance de la population en sa capacité à organiser des activités d’envergure, juge le parrain de la région de la Capitale-Nationale. «À Québec, avec la taille de la ville, le statut de capitale, on est capable de faire beaucoup de développement en ayant ça en tête, lance le ministre Couillard, en entrevue au Soleil. Si j’avais un thème pour les prochaines années, ce serait celui-là : Québec, site d’accueil de grands événements internationaux. On a prouvé avec le championnat qu’on est dans cette ligue-là.» La construction d’un nouvel amphithéâtre lui apparaît indispensable et parfaitement cohérente avec la volonté de favoriser cet axe de développement. M. Couillard cite en exemple la construction du MTS centre et ses 15 000 places, à Winnipeg, bâti au coût de 130 millions $, dont 60 millions $ de fonds publics. «Ce n’est pas juste pour une équipe de hockey, mais aussi de grands événements artistiques, de grands congrès, évoque le ministre Couillard. Il y a plein d’utilisations qu’on peut faire de ça et il m’apparaît judicieux et nécessaire qu’on se dote d’une meilleure infrastructure que le Colisée actuel. On doit avoir mieux que ça pour une population comme la nôtre et l’est du Québec.» Il est toutefois impératif que des promoteurs sérieux présentent un plan d’affaire et démontrent qu’ils peuvent sortir de l’argent de leurs poches. «Pour la construction d’un nouveau Colisée, que je pense nécessaire à Québec, ça prend des promoteurs qui arrivent avec plus qu’une simple intention, dit-il. On demande toujours au contribuable de faire le premier geste. Ce n’est pas normal.» Le ministre responsable de la capitale n’a toujours pas été rencontré par ceux qui caressent le projet d’un nouveau Colisée, Me Guy Bertrand en tête. Le Groupe nouveau Colisée (GNC), qui souhaite construire un nouvel amphithéâtre, mais aussi un complexe hôtelier et un centre d’amusement familial, a rencontré le maire de Québec début février. «Me Bertrand n’a pas pris rendez-vous ici, mais la première question que j’aurais à poser à son groupe est : “Combien êtes-vous prêt à mettre?”» Appel du pied D’autres projets prêts à être lancés et qui cadrent dans la thématique «Accueil de grands événements internationaux» sont toujours en attente. Le Super PEPS, le Centre de foires et le Musée national des Beaux-Arts poireautent toujours dans l’espoir que l’entente du programme Chantiers Canada concrétise les engagements financiers d’Ottawa. «Nous aussi, on s’impatiente», indique le ministre Couillard. «Entre les ministres, il y a entente, mais elle doit passer dans les comités et au Conseil des ministres fédéraux, poursuit-il. Alors on est un peu encore dans l’expectative.» Le temps qui passe engendre des augmentations de coûts par rapport à l’évaluation initiale, notamment en raison de la hausse du prix des matériaux. Le ministre s’attend à ce que la facture supplémentaire soit assumée moitié-moitié par Québec et Ottawa. Le coût du Super PEPS a déjà augmenté de 4 ou 5 millions $, selon le recteur Denis Brière. Le nouvel aéroport, la politique sur les croisières, les études sur un train à haute vitesse. Tous des projets pour faciliter l’accès à la capitale. Le ministre député de Jean-Talon souhaite que 2008 soit l’occasion de déterminer collectivement quels projets devraient être priorisés pour faire de Québec une ville d’événements internationaux. «On a un centre des congrès de très haut niveau, une des plus belles villes au monde, une croissance économique remarquable, une population compétente... On doit être en mesure de décider ensemble de projets qui nous amènent là», propose M. Couillard. http://www.cyberpresse.ca/article/20080605/CPSOLEIL/80604324/6488/CPACTUALITES
  15. Le président du conseil d'administration accuse le milliardaire de déformer la réalité et de manipuler les faits sur les événements récents avec Microsoft. Pour en lire plus...
  16. Quelque 800 événements culturels auront lieu cet été dans la province. Plusieurs régions bénéficient de retombées d'environ 500 millions de dollars par année générées par ces événements. Pour en lire plus...
  17. Mardi 24 Juillet 2007 " Si nous voulons que Montréal retrouve une place privilégiée dans l'échiquier touristique, elle doit créer de nouveaux événements ", lancent à l'unisson les hôteliers du centre-ville. "C'est bien beau tous les genres de festivals, mais notre ville a besoin d'un nouvel événement pour attirer des touristes. Il faut que Montréal suscite davantage la curiosité ", indique Cynthia, une des responsables du marketing dans un hôtel du centre-ville. Dans ses fonctions, Cynthia voyage à travers le pays et les États-Unis pour participer à des salons de l'industrie touristique. " La ville de Toronto et le gouvernement de l'Ontario mènent des campagnes percutantes pour vanter la ville. Après l'épisode du SRAS, les gens de Toronto ont redoublé d'ardeur afin d'effacer cette image négative et la ville n'a jamais subi les effets secondaires du SRAS. De nouveaux événements ont été créés et l'industrie touristique se porte bien dans cette ville, explique-t-elle. On devrait suivre l'exemple de Toronto. Québec et ses fêtes du 400e anniversaire et Vancouver et les Jeux olympiques 2010 mènent aussi des offensives pour sensibiliser les agences de voyage aux mérites de leur ville. Des études menées par American Traveling Institute révèlent que 57,9 % des voyageurs qui planifient une ou deux escapades annuelles se laissent influencer par les campagnes publicitaires. " Avec ce que nous présentons, Montréal n'est pas dans la parade. On regarde passer le défilé des villes de Québec, Toronto et Vancouver et on ramasse des miettes " poursuit Cynthia. CONGRÈS Le nombre de congrès a chuté en 2007. " Les planifications ont été faites en fonction de 2006 et de 2008. Beaucoup de congrès l'an dernier, plusieurs à venir en 2008 mais le creux de vague en 2007 ", explique à son tour Patrick de l'hôtel-boutique 19e Siècle dans le Vieux-Montréal.
  18. Montréal veut facturer la sécurité Archives La Presse Ariane Lacoursière La Presse Le Grand Prix du Canada, l'International des feux Loto-Québec, la course NASCAR et d'autres grands événements lucratifs pourraient devoir payer pour la sécurité assurée sur leurs sites et leurs environs par les policiers du SPVM. La Ville de Montréal estime que les contribuables ne devraient plus payer les coûts des effectifs supplémentaires de policiers qui surveillent ces événements chaque année. Elle souhaite ainsi refiler la facture aux organisateurs. «Ce sont de beaux événements pour Montréal. Mais pourquoi reviendrait-il aux citoyens de payer pour ça?» demande le responsable de la sécurité publique à la Ville de Montréal, Claude Dauphin. Car les frais de sécurité sont substantiels, selon lui. Par exemple, chaque mercredi de l'été, un grand nombre de policiers se déplacent dans les environs du pont Jacques-Cartier pour diriger les citoyens qui observent les feux d'artifice de La Ronde. «Dans ce seul cas, on estime que les coûts supplémentaires pour le service d'ordre sont de 300 000$», soutient Claude Dauphin. La même situation se produit lors du Grand Prix de Formule 1. Mais cette fois, les dépassements de coûts avoisinent les 170 000$. La Ville aimerait bien obliger les grands événements lucratifs à payer ces frais excédentaires. «On pourrait sauver entre 4 et 5 millions par année si on le faisait», estime M. Dauphin. Les manifestations spontanées et les événements culturels comme le Festival de jazz ou les FrancoFolies seraient toutefois exemptés de cette obligation. «Ces activités sont une richesse pour Montréal. On ne veut pas les pénaliser», affirme M. Dauphin. Au Canada, la Ville de Toronto fait déjà payer les organisateurs pour les frais additionnels de sécurité qu'engendrent leurs événements. «Mais là-bas, toutes les activités sont tarifées, même les festivals. Je le répète, ce n'est pas notre intention, dit Claude Dauphin. Les défilés de toutes sortes et les activités communautaires ne seraient pas touchés non plus.» La Loi interdit présentement à Montréal de percevoir cet argent. «Mais on a demandé à Québec de changer la loi pour pouvoir le faire dès l'an prochain», dit M. Dauphin. Cette demande fait partie des nombreux pouvoirs réclamés par Montréal, comme une hausse du pouvoir de taxation. Ces demandes sont toutes incluses dans le projet de loi 22, qui sera voté à l'Assemblée nationale en septembre. Seule ombre au tableau pour la métropole: l'adoption de ce projet de loi est loin d'être assurée. C'est qu'en plus de donner plus de pouvoirs à Montréal, le projet de loi 22 propose aussi d'importantes modifications du système de gouvernance de la Ville. Il suggère entre autres de créer un secrétariat d'agglomération qui donnerait plus de pouvoir aux villes défusionnées. Le maire Gérald Tremblay a déjà manifesté son mécontentement devant cette proposition. Le Parti québécois a aussi déjà annoncé qu'il votera contre le projet de loi. Dans un contexte de gouvernement minoritaire, la position de l'Action démocratique sera donc décisive. Les organisateurs de l'International des feux Loto-Québec et des autres grands événements ne sauront donc pas avant l'automne si leur facture de sécurité sera plus salée dès l'an prochain. «Quand le projet de loi sera voté, ils seront fixés. Ils pourront s'ajuster. Oui, peut-être que les prix des billets pour ces événements vont augmenter. Mais au moins, ce n'est pas l'ensemble des contribuables qui va payer», a conclu M. Dauphin.
  19. 25/04/2007 De nombreuses activités se tiendront au cours des prochains mois au parc Jean-Drapeau à Montréal pour marquer le 40e anniversaire de l'Expo 67. Entre autres, l'exposition «Expo 67, passeport pour le monde» sera présentée du 23 juin au 3 septembre au Complexe aquatique de l'île Sainte-Hélène. On y retrouvera des montages photographiques, des artefacts, des capsules d'information et des projections vidéo. Également, «La Balade du 40e» proposera une visite guidée des îles, du 4 juillet au 31 août. Des activités d'animations accompagneront ce parcours faisant revivre l'esprit d'Expo 67. Le parcours «Une galerie d'art à ciel ouvert» proposera d'autre part un circuit de découverte des oeuvres d'art créées à l'occasion de l'Expo 67, dont l'Homme de Calder. L'Orchestre symphonique de Montréal présentera un concert au parterre de l'île Sainte-Hélène en hommage à Montréal dans le cadre de son programme «L'OSM dans les parcs», le 28 juillet à 20 heures. Ce concert soulignera deux événements marquants de la Ville: les 350 ans de l'arrivée des Sulpiciens à Montréal et les 40 ans de l'Expo 67. Parmi les autres événements qui se dérouleront au parc Jean-Drapeau, il faut souligner le déménagement de la «Fête des enfants de Montréal» et les «Week-ends du monde au parc Jean-Drapeau» dont la thématique sera les 40 ans d'Expo 67. Rappelons que l'exposition universelle de Montréal s'est déroulée du 27 avril au 29 octobre 1967. Plus de 50 millions de visiteurs se sont retrouvés sous le signe de l'amitié, de la paix et de la fraternité, avec une moyenne quotidienne de 271 900 visiteurs.
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