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  1. C'est pas un gros projet de construction, mais j'ai figuré que ca allait ici, ils ont tout refait l'intérieur du centre d'achat, mais je suis tombé sur cette photo de ce qu'ils vont faire a l'extérieur avec le stationnement étagé Voici les études conceptuelles de la nouvelle facade du stationnement étagé qui donne sur la metropolitaine architectes: Lemay et Associés Pas mal plus beau que le parking brun actuel
  2. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5997,102503571&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=25474&ret=/pls/portal/url/page/bur_du_maire_fr/rep_bur_du_maire/rep_communiques/coll_communiques Création du Bureau du centre-ville de Montréal - Vers une première stratégie centre-ville pour Montréal 27 août 2015 Montréal, le 27 août 2015 – Le responsable de la stratégie pour le centre-ville au comité exécutif, M. Richard Bergeron, est heureux d'annoncer la création du Bureau du centre-ville de Montréal. L'objectif de ce Bureau est de préparer une stratégie pour le centre-ville en élaborant une vision d'avenir qui contribuera à optimiser son potentiel de développement, en plus de proposer des mesures concrètes et ciblées qui guideront sa croissance. « Le Bureau du centre-ville vise avant tout à créer un centre-ville encore plus attrayant, animé et dynamique. Issue de la volonté du maire de mettre en valeur les formidables attraits de notre centre-ville, cette stratégie, dotée d'objectifs mesurables, tracera la voie vers un futur résolument urbain où il fera bon vivre, travailler, étudier et se divertir », a déclaré M. Bergeron. Lors de la séance du mercredi 26 août, le comité exécutif a autorisé le lancement d'appels d'offres pour la fourniture de services professionnels afin de dresser un portrait des conditions actuelles et identifier les opportunités qu'offre le territoire du centre-ville. Dans un second temps, s'appuyant sur ces études et ces analyses, les professionnels de la Ville et de l'arrondissement Ville-Marie élaboreront la stratégie à déployer pour le centre-ville. Les études en question porteront sur : le milieu de vie (aménagement et patrimoine, habitation, services, sécurité); l'accessibilité et la mobilité au centre-ville (transports et circulation); la vitalité économique du centre-ville (économie urbaine). Depuis 15 ans, les quartiers centraux ont fait l'objet de plusieurs initiatives de planification particulière. L'arrondissement de Ville-Marie compte, à lui seul, plusieurs projets d'envergure issus de démarches de planification. La stratégie du centre-ville s'appuiera sur ces plans et les intégrera en une seule et même vision cohérente du centre-ville. Elle ciblera des initiatives structurantes en lien avec les divers champs de compétence de l'administration municipale. La stratégie établira les bases du Plan directeur de l'aménagement et du développement du centre-ville dont l'élaboration est un des objectifs du Schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal adopté en 2015. « Avec des initiatives concrètes, des outils de planification et une vision concertée du développement du centre-ville, nous améliorerons son développement, aurons un impact positif sur la qualité de vie des Montréalais et renforcerons l'attractivité économique et touristique de ce secteur névralgique », a conclu M. Bergeron. sent via Tapatalk
  3. http://journalmetro.com/actualites/montreal/906723/un-nouveau-gesu-a-letude/ Un nouveau Gesu a l’étude Par Laurence Houde-Roy Métro Archives Métro Le Gesù Le comité exécutif de la Ville de Montréal devrait accorder mercredi matin un soutient financier de 78 000$ au Gesù. Cette somme aura pour but de réaliser des études de faisabilité concernant un projet de réaménagement que les responsables de l’église du Gesù aimeraient concrétiser. Le sous-sol de l’immeuble est depuis longtemps l’hôte d’activités artistiques dans un amphithéâtre qui y est aménagé, mais l’église est peu utilisée, souvent que quelques heures par semaine, peut-on lire dans des documents de la Ville. Les dirigeants souhaiteraient ainsi transformer l’église pour y accueillir des événements culturels. Aussi, la résidence jésuite, adjacente à l’église, serait transformée en espace à bureaux pour des organismes partenaires. Avec l’amphithéâtre au sous-sol, cela a pour but de «former un tout cohérent». «Le projet global, qui prend le nom de Nouveau Gesù, vise à créer un pôle de partenaires et d’organismes clés autour des axes culturels, artistiques, sociaux et spirituels au coeur du Quartier des spectacles. Certains partenaires seront des utilisateurs résidents et d’autres seront des utilisateurs non résidents», expliquent les documents de la Ville. Les études de faisabilité se pencheront sur ce projet. Des études acoustiques, d’électricité, un inventaire des composantes patrimoniales et une stratégie de conservation et de mise en valeur seront notamment fait. La contribution financière de Montréal de 78 000$ représente 49% de l’ensemble du budget de la phase d’étude et de développement qui est de 160 060$. Le Gesù déboursera également 82 060$. L’église du Gesù est actuellement un immeuble patrimonial classé. Le projet vise «la mise en valeur et la pérennité» de l’immeuble. La Compagnie de Jésus du Canada français, propriétaire du site de l’église, souhaiterait, dans le cas où le projet irait de l’avant, se retirer de l’oeuvre et organiser la passation du patrimoine. sent via Tapatalk
  4. http://journalmetro.com/actualites/montreal/841294/ une-cooperative-pour-un-projet-de-monorail/vitesse Par Marie-Eve Shaffer Métro Coop MGV Un groupe de citoyens a mis sur pied une coopérative dans l’espoir de concrétiser le fameux projet de réseau de monorail à grande vitesse au Québec. «Pour que le projet se réalise, on croit que ça doit passer dans une coopérative. On veut que la population soit impliquée dans ce projet», a affirmé mardi le président de la nouvelle coopérative de recherche et de développement Coop MGV, Patrick Leclaire. La nouvelle organisation veut démontrer l’acceptabilité sociale du projet de réseau de monorail afin de trouver le financement nécessaire à la poursuite des études et à sa réalisation, tant auprès des gouvernements que des entreprises privées. Une somme de 250M$ est à prévoir pour la recherche et le développement et un montant oscillant entre 9M$ et 12M$ doit être budgété pour chaque kilomètre que parcourrait le monorail. Le projet que caresse la Coop MGV vise à créer un réseau de lignes de monorail entre plusieurs villes du Québec. Les navettes seraient suspendues à dix mètres du sol à des rails aériens supportés par des poteaux installés dans l’emprise des autoroutes. Elles pourraient accueillir jusqu’à 70 passagers et elles se déplaceraient à 250 km/h grâce à la technologie du moteur-roue, qui a été inventée par l’ingénieur Pierre Couture et qui fonctionne à l’électricité. 3G$ Pour la Coop MGV, l’une des premières lignes de monorail qui devrait voir le jour est celle qui relierait Montréal à Québec. Sa construction coûterait près de 3G$. Les Montréalais pourraient se rendre dans la capitale en une heure environ. «On sait que le projet est rentable. Il coûterait trois fois moins cher qu’un TGV», a dit le vice-président de Coop MGV, Michel Laforest. Ce dernier a vanté l’efficacité du monorail et son impact minime sur l’environnement. D’après la Coop MGV, les études préliminaires, qui serviront à peaufiner et éprouver la technologie du monorail dans le climat du Québec, prendront de trois à cinq ans. Ensuite, la construction de lignes de monorail pourront commencer, tant au Québec qu’à l’étranger. D’autres organisations militent aussi en faveur de la création d’un réseau de monorail à grande vitesse au Québec. L’organisme à but non lucratif MGV Québec, dont le conseil d’administration est notamment formé par l’ancien président du Mouvement Desjardins, Claude Béland, et de l’ex-premier ministre du Québec, Bernard Landry, tente de son côté de sensibiliser les autorités publiques et les industries à la pertinence du projet. «On a les mêmes objectifs [que Coop MGV], mais on n’a pas les mêmes moyens, a expliqué le coordonnateur de MGV Québec, Nicklaus Davey. Ce dernier souhaite que le projet de monorail à grande vitesse soit inclus dans la nouvelle Stratégie d’électrification des transports que doit dévoiler sous peu le gouvernement du Québec. «Quand les études de faisabilité seront déclenchées, [Coop MGV] est une partie prenant avec laquelle on va vouloir travailler parce que ce sera la voix des citoyens, a dit M. Davey, C’est un projet de développement durable. Alors, le volet d’acceptabilité sociale est important. La Coop MGV s’assure qu’en amont, l’enjeu d’acceptabilité sociale est abordé.» L’organisme TrensQuébec essaie pour sa part de convaincre des groupes étrangers puisque selon son directeur, Jean-Paul Marchand, le gouvernement du Québec ne semble pas ouvert au projet de monorail à grande vitesse. «Les choses avancent, mais elles risquent de prendre encore un peu de temps, a écrit M. Marchand dans un courriel adressé à Métro. Chose certaine, nous allons réussir à mettre sur le rail ce système, parce que les retombées pour le Québec sont immenses.» sent via Tapatalk
  5. http://spacing.ca/montreal/2014/02/04/podcast-jaime-montreal-gerard-beaudet-urbaniste/?utm_source=twitterfeed&utm_medium=facebook Podcast Dans cet épisode, de “J’aime Montréal”, enregistré vendredi le 22 novembre, Louise-Marie Bouchard échange avec l’urbaniste et professeur à l’Institut d’urbanisme de l’Université de Montréal, Gérard Beaudet sur divers sujets reliés à sa profession et à Montréal. Dans cet extrait, il parle de la région métropolitaine, sa relation évolutive au fleuve, et du quartier des spectacles. Pour les discussions complètes, ne manquez pas l’émission J’aime Montréal en direct, tous les vendredis de 13h à 14h à la radio CIBL 101.5. Louise-Marie Bouchard est aussi docteure en études françaises et elle enseigne à l’Université Concordia. Durant les prochaines semaines, vous pouvez encore écouter cet émission complète en ligne. http://spacing.ca/montreal/2014/02/04/podcast-jaime-montreal-gerard-beaudet-urbaniste/?utm_source=twitterfeed&utm_medium=facebook Image: Place des Arts par Roberta Baker (cc flickr)
  6. These are some renders of a planned project done by Christian Thiffault for Canvar in 2010. We all know how Canvar projects just happen to start without too much hoopla so who knows when Canvar will start digging and piling for this beauty!!!!! Bassin Peel – 1000 Brennan septembre 2010 Études des propriétés et des immeubles pour le recyclage du 1000 Brennan et la construction d’un immeuble de grande hauteur à proximité. Étude réalisée en 2010 pour le compte du groupe Canvar.
  7. Place Charles-Le Moyne : un centre des congrès et un nouvel hôtel en vue ? L’évaluation foncière du projet devra être supérieure à 80 M$ Alexandre Lampron Le Courrrier du Sud - Publié le 14 juillet 2011 à 11:40 LONGUEUIL. La Ville de Longueuil vient d’approuver une entente majeure avec la société immobilière Maestri Terra pour la mise en valeur de certains lots situés dans la partie du stationnement P-2, à proximité de la bretelle d’accès du pont Jacques-Cartier, dans le secteur de la station du métro de Longueuil. Le projet prévoit entre autres un centre de congrès, un complexe hôtelier, des espaces commerciaux et résidentiels et un stationnement souterrain. Selon les documents obtenus par Le Courrier du Sud, la société immobilière Maestri Terra, dont la présidence est actuellement occupée par l’homme d’affaires bien connu à Longueuil Jean-Guy Parent, désire participer au développement d’une partie de ce secteur fort névralgique de la ville. Ces documents précisent spécifiquement que «l’évaluation foncière minimum de ce projet devra être supérieure à 80 M$». «L’entente prévoit que le terrain est réservé pour une durée d’un an, en échange d’une somme mise en garantie (25 000$), le temps de réaliser les études de faisabilité, dont les résultats seront ensuite communiqués à la Ville, a expliqué la porte-parole de Longueuil, Alexandrine Coutu. La somme proposée au pi2 est d’environ 60$ par rapport à la quarantaine de dollars pour le prix payé pour des terrains comparables dans le même secteur, notamment le projet Blü Rivage.» Des détails Ainsi, les informations obtenues par Le Courrier du Sud confirment que le promoteur devra réaliser, d’ici au 30 juin 2012, les études avant le démarrage d’un éventuel projet de construction. Cela comprend des études de marché, des concepts d’aménagement préliminaires, le démarchage pour adjoindre la municipalité à un groupe hôtelier, la prospection de différents locataires pour des composantes de bureaux et commerciales, ainsi que le plan de mise en marché de la composante habitation. «À la fin de cette période, le promoteur bénéficiera aussi d’une option d’achat de ce terrain, d’une superficie de 11 200 m2, jusqu’au 30 décembre 2012, au prix de 645$ le m2, pour un montant total de 8 229 942$, taxes comprises, ce qui constitue la valeur du marché tel qu’établi par la Direction de l’évaluation municipale», peut-on lire dans les documents de la Ville. De plus, il est également précisé que «les activités du complexe immobilier devront s’inscrire en complémentarité de l’Université de Sherbrooke». Ainsi, une passerelle pourrait relier le projet au campus situé en face. Le projet tel que présenté par Maestri Terra devra également faire l’objet d’une approbation du comité consultatif d’urbanisme (CCU), conformément à la réglementation municipale actuellement en vigueur. «La Ville sera partie prenante des études, faisant un suivi régulier, permettant de mieux planifier la mise en valeur et le développement des îlots avoisinants», précise-t-on dans les documents. Aucun appel d’offres? Étrangement, Le Courrier du Sud a constaté qu’aucun appel d’offres n’avait été produit et lancé par la Ville de Longueuil dans le cadre de cet immense projet. La porte-parole de la municipalité a pour sa part expliqué que «rien ne le prévoit dans la loi». «Cependant, par souci de transparence, ces transactions sont rendues publiques, a ajouté Mme Coutu. Dans ce projet spécifiquement, deux groupes étaient intéressés par le terrain. Le projet retenu était le plus structurant pour le secteur et entraînait à long terme les retombées plus importantes pour la Ville de Longueuil.»
  8. Un premier effet des hôpitaux universitaires? En tout cas, c'est une bonne nouvelle! http://www.cyberpresse.ca/sciences/genetique/201102/14/01-4369991-une-sommite-mondiale-de-la-genomique-a-mcgill.php
  9. Le Centre Saint-Pierre réalisera, au cours de la prochaine année, des études de préfaisabilité Une étude de marché a déjà été réalisée pour le volet hôtelier du projet de requalification Steeve Duguay/Métro L'église Saint-Pierre Apôtre JENNIFER GUTHRIE MÉTRO Publié: 13 décembre 2010 15:55 Mis à jour: 13 décembre 2010 16:33 L’îlot Saint-Pierre-Apôtre, situé dans le quadrilatère formé des rues Panet, de la Visitation, Sainte-Rose et du boulevard René-Lévesque, pourrait connaître une deuxième vie. Le Centre St-Pierre, qui forme l’îlot avec l’église Saint-Pierre Apôtre et le presbytère de la rue de la Visitation, réalisera au cours de la prochaine année des études de préfaisabilité qui, si elles s’avèrent concluantes, pourraient mener à un projet de requalification évalué à près de 30 M$. «Les Oblats, qui sont propriétaires de l’îlot Saint-Pierre, nous ont dit, il y a deux ans, qu’ils ne pourraient plus continuer de s’occuper des bâtiments et qu’ils voulaient se départir de l’ensemble du quadrilatère, a expliqué le DG du Centre St-Pierre, Raymond Levac. Ils nous ont mandatés pour trouver une vocation aux bâtiments pour que ce soit rentable et que le projet poursuive la mission sociale, culturelle et spirituelle des Oblats.» Le projet hôtelier, qui prendrait forme dans le presbytère, est, pour le moment, le plus avancé. Une étude de marché a déjà été réalisée et sera analysée au début de l’année 2011 par un comité de travail qui réunit, entre autres, le Fonds FTQ, le Chantier de l’économie sociale et la Caisse d’économie solidaire. «L’étude est positive, a affirmé M. Levac. Il faudra voir si les bailleurs de fonds considèrent aussi qu’elle est concluante.» Une étude de marché sera également réalisée pour le Centre St-Pierre afin de déterminer s’il y a lieu d’augmenter sa capacité d’accueil. Le stationnement du centre pourrait quant à lui devenir sous-terrain, ce qui permettrait l’aménagement d’un jardin en surface. Enfin, l’église Saint-Pierre Apôtre fera l’objet d’études acoustiques afin de déterminer si elle peut accueillir davantage d’événements culturels et de concerts. Le sous-sol de l’église pourrait également être aménagé afin de loger des artistes. Le comité exécutif de la Ville de Montréal a approuvé, la semaine dernière, une aide financière de 127 500 $ au Centre St-Pierre afin de lui permettre de mener à bien ses études. Échéanciers Selon le calendrier envisagé par le Centre St-Pierre, un projet complet devrait être présenté à la fin de l’année 2012. Le transfert de propriété devrait aussi être complété en 2012. Les Oblats souhaitent vendre leurs bâtiments pour une somme symbolique à un organisme sans but lucratif mis sur pied par le Centre St-Pierre. Les premiers travaux devraient suivre en 2013-2014. http://www.journalmetro.com/linfo/article/718391--une-transformation-de-30-m-pour-l-ilot-saint-pierre-apotre
  10. Un « pôle de santé » sera créé sur la Rive-Sud Alexandre Lampron Actualités - Publié le 28 novembre 2010 à 09:00 RIVE-SUD. Parce que la demande pour des soins de santé sera accrue par le vieillissement de la population de la Rive-Sud au cours des prochaines années, l’Hôpital Charles LeMoyne (HCLM), les CSSS Champlain et Pierre-Boucher et le campus de Longueuil de l’Université de Sherbrooke travaillent à mettre en place un projet de «pôle de santé», la Cité Santé Universitaire (CSU). La vice-rectrice du campus de Longueuil de l’Université de Sherbrooke, Lyne Bouchard, et le directeur général de l’HCLM, Yvan Gendron, ont présenté les grandes lignes de ce projet, le 17 novembre denier, au cours d’un dîner-conférence organisé par la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud (CCIRS). Les données de l’Institut de la Statistique du Québec (ISQ) démontrent entre autres que, de toutes les régions, c’est la Montérégie qui devrait connaître la plus forte augmentation de sa population en nombres absolus (+ 297 000 personnes), une croissance de 22% entre 2006 et 2031. Les personnes âgées de 65 ans et plus passeront pour leur part de 175 300 à 418 900 au cours de la même période, soit une augmentation de 238%. Consolider un secteur L’objectif du CSU consiste d’abord à faire de Longueuil l’un des pôles majeurs de formation, d’enseignement et de recherche de santé au Québec. «La Cité Santé Universitaire n’a pas d’adresse puisque c’est un concept qui a pignon sur rue sur l’ensemble de la Rive-Sud, a déclaré Yvan Gendron. Parce que sa création entraînera un mouvement de population et de main-d’œuvre imposant sur notre territoire, il était devenu essentiel de mobiliser les acteurs régionaux autour d’une stratégie commune afin d’accentuer davantage les coopérations avec les institutions scolaires, mais également avec les partenaires gouvernementaux.» «Nous avons collectivement une formidable opportunité qui découle du partenariat étroit entre nos organisateurs de la Rive-Sud, a pour sa part affirmé Lyne Bouchard. Nous espérons donc que la communauté des gens d’affaires soit aussi enthousiaste que nous et qu’elle tire profit de notre présence et de nos activités pour se développer davantage.» Longueuil adhère au projet La Ville de Longueuil, par la voie de sa mairesse, Caroline St-Hilaire, a signifié son adhésion à ce vaste projet. La municipalité réalisera de nouvelles études de circulation et d’urbanisme pour le développement du pôle Santé-Université, le long du boul. Taschereau, entre la route 116 et le boul. Auguste, qui se traduiront, à moyen terme, sous la forme d’un programme particulier d’urbanisme (PPU). «On observe actuellement un plus grand roulement au niveau des commerces, des demandes de la part de divers propriétaires afin de revoir la vocation du boulevard Taschereau et une polarisation des activités qui gravitent autour du monde médical», peut-on lire le sommaire exécutif rendu public par la Ville de Longueuil, le 16 novembre dernier. Les études seront réalisées entre les mois de février et mai 2011.
  11. Les cégeps pleins à craquer Mise à jour : 13/06/2010 10h23 http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2010/06/20100613-102345.html Moi je vien d'etre refuser au CEGEP Vanier... Trop de demande. C'a fait chier!
  12. Malartic : 600 emplois dès l’été 2009 Dominique Lemoine, Lesaffaires.com 11:26 Osisko prévoit débuter la production commerciale en avril 2011. Photo Si elle obtient les permis nécessaires dans les temps prévus, la société aurifère Osisko prévoit commencer la construction de ses installations de la mine d’or à ciel ouvert Malartic à l’été 2009. Elle aura alors besoin d’entre 600 et 800 employés. Les études de faisabilité, des investissements sur des délais de longue livraison et la relocalisation d’une partie de la ville sont déjà complétés ou avancés, selon le vice-président aux finances d’Osisko, Brian Coates. Osisko prévoit débuter la production commerciale en avril 2011. L’exploitation nécessitera 465 emplois directs dans la région de Malartic. Il y actuellement une centaine d’employés sur la liste de paie, précise Brian Coates. La valeur des investissements pour le projet Malartic atteindra 789 millions de dollars américains, soit un milliard de dollars canadiens, dit M. Coates. Osisko a annoncé le 4 février la conclusion d’une prise ferme de plus 350 millions de dollars. Une partie de cette somme servira au projet de mine à ciel ouvert de Malartic. Des bons de souscription et des options pourraient encore faire augmenter le montant amassé à 600 millions de dollars, selon Brian Coates. Il précise que 38,5 millions bons de souscription ont été émis à 5,45 dollars chacun, ce qui pourrait rapporter 200 millions. Brian Coates soutient que l’entreprise est en discussion avec des institutions financières pour obtenir le reste du montant. «On parle à d’autres institutions financières, incluant celles du gouvernement provincial. On continue nos discussions», a-t-il dit en entrevue à LesAffaires.com. La population a été invitée le 5 février dernier par le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) à une séance d’information sur le projet minier. Les études environnementales ont été complétées en septembre et reçues par le BAPE en janvier.
  13. Le promoteur immobilier Luc Poirier demande à Québec de prendre une décision rapidement dans le dossier du développement immobilier sur l'île Charron, à Longueuil. Dans une sortie en règle contre «l'immobilisme du gouvernement», Luc Poirier dénonce le manque de vision de la ministre de l'Environnement, Line Beauchamp, qui a imposé un moratoire de deux ans sur le projet, en novembre 2007. Ce moratoire avait pour objectif de permettre au gouvernement de mener des études d'impact environnemental sur le terrain de 20 hectares jouxtant le parc national des Iles-de-Boucherville, sur la Rive-Sud de Montréal.Selon M. Poirier, le gouvernement aurait déjà entre ses mains les résultats de ces études. Il serait donc en mesure de prendre une décision. Pourtant, aucune rencontre n'a été prévue avec le promoteur qui dit avoir présenté un projet novateur et visionnaire en termes de développement durable, notamment par l'utilisation de la géothermie, de toits verts et par le développement du transport en commun. M. Poirier dit faire les frais de l'ambivalence de Québec en devant payer des taxes sur le terrain sans pouvoir le développer, ni le vendre. Il affirme vouloir profiter de la présente campagne électorale pour pousser la ministre Beauchamp à prendre une décision. Rappelons qu'Investissements Luc Poirier a acquis le terrain de l'île Charron de Desjardins Sécurité Financière, en 2006. La transaction avait alors fait l'objet de vives critiques de la part d'organisations environnementales qui craignaient l'arrivée de milliers d'habitants sur cette île où vit notamment une importante population de cerfs de Virginie. Luc Poirier prévoit y construire environ 2500 unités d'habitation. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/200811/21/01-803129-ile-charron-le-promoteur-veut-une-decision-rapide.php
  14. L'Institut national de la statistique et des études économiques prévoit une contraction du PIB français au troisième et quatrième trimestre. Pour en lire plus...
  15. Parmi les étudiants qui retournent sur les bancs d’école, certains n’y vont pas dans l’espoir d’obtenir un emploi à la fin de leurs études. Pour en lire plus...
  16. LAB Recherche réinvestit 40 M$ dans la Cité de la biotech Une seconde expansion en moins de deux ans par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 7 octobre 2007 à 5:47 Soyez le premier à commenter cet article LAB Recherche s'apprête à doubler ses installations au coeur de la Cité de la biotechnologie et de la santé humaine. (Photo: Martin Alarie) Fichier: LAB LAB Recherche réinvestit 40 M$ dans la Cité de la biotech Une seconde expansion en moins de deux ans Décidément, la croissance est au rendez-vous chez LAB Recherche, qui entreprend de doubler ses installations dans la Cité de la biotechnologie et de la santé humaine. Moins d'un an après l'inauguration de la nouvelle aile construite au coût de 12 M$, voilà que cette entreprise réinvestit 40 M$ dans une nouvelle phase d'expansion qui portera à 170 000 pieds carrés la superficie totale de ses locaux bordant le boulevard Armand-Frappier. Concrètement, les salles dédiées aux études de toxicologie de nouveaux médicaments sur les rongeurs et les plus grands animaux passeront de 33 à 80. Nécessaires au développement de médicaments pour le traitement de maladies humaines, ces recherches précliniques contribuent à mettre au travail 225 personnes dans les installations lavalloises. Les travaux d'agrandissement devraient être mis en chantier ce mois-ci. Tripler les revenus «Cette expansion nous permettra de tripler nos revenus en cinq ans», déclarait, mercredi, au Courrier Laval le président et chef de la direction, Luc Mainville. Au fil des 18 prochains mois, une centaine de techniciens et scientifiques joindra les rangs lavallois de LAB Recherche, dont les effectifs se chiffrent présentement à 525 employés à travers le monde. Plus de 40 % de ces employés sont basés à Laval, là où LAB International a implanté le siège social de sa division recherche, qui opère également des locaux au Danemark et en Hongrie. Spécialisé dans les services de recherches contractuelles offerts aux grandes sociétés pharmaceutiques et biotechnologiques, LAB Recherche teste l'efficacité et la sécurité de nouveaux médicaments en phase préclinique. «Le marché mondial [de la sous-traitance] est estimé à 4 milliards de dollars par année avec une croissance annuelle avoisinant les 18 %», indique M. Mainville. La demande est là, justifiant pleinement ces investissements colossaux liés directement à l'augmentation de la capacité des recherches in vivo non clinique. «Nous sommes le 8e plus gros joueur dans le domaine», reprend le grand patron de LAB Recherche qui entend bien accroître ses parts de marchés. Pour l'instant, l'entreprise lavalloise détient moins de 2 % du marché mondial. Au printemps dernier, cette entreprise de services contractuels avait remporté la palme dans la catégorie <@Ri>Innovation technologique<@p> lors du gala Dunamis honorant les sociétés les plus méritantes de la région. 50 M$ en 2006 LAB Recherche a clôturé l'année 2006 avec des revenus de 49,6 M$, fruits de plus de 1200 études réalisées auprès d'une clientèle notamment formée de plus de 700 pharmaceutiques et sociétés en biotechnologie de par le monde. À la lumière des résultats publiés au terme du premier semestre de l'année en cours, il appert que les affaires marchent plutôt rondement. Les ventes ont atteint 28,3 M$, une hausse de 23 % par rapport à la même période l'an dernier. Aux dires de la vice-présidente finances, Louise Bussières, les sociétés provenant des États du nord-est américain auraient généré beaucoup d'activités en 2007, alors que l'importante clientèle basée sur la côte ouest leur est toujours aussi loyale. Bon an mal an, les études en toxicologie menées dans les laboratoires de Laval sont effectuées pour le compte d'entreprises nord-américaines dans une fourchette de 70 % à 80 %, principalement des sociétés américaines, précise Luc Mainville. Quant aux mandats que les pharmaceutiques et biotechs de l'Asie et de l'Australie confient à LAB Recherche, plusieurs sont effectués aux bureaux de Laval, pendant que les contrats émanant du continent européen sont traités depuis les installations du Danemark et de la Hongrie.Fichier: LAB
  17. La Presse Le mardi 19 juin 2007 Devant la levée de boucliers des résidants de L'Île-des-Soeurs, la Ville de Montréal abandonne l'idée de construire un lien routier sur les berges du Saint-Laurent afin de desservir le futur siège social de Bell, a appris La Presse. L'idée était de permettre aux véhicules circulant sur l'autoroute 15, en direction du pont Champlain, de rejoindre la portion de l'île où seront construits les édifices devant accueillir 3000 employés ainsi qu'un millier de nouveaux résidants. Or selon les informations obtenues, les études préliminaires réalisées par la firme Génivar donnent raison aux citoyens qui craignaient l'impact environnemental de ce projet sur les arbres, la vie aquatique et surtout, les milieux humides de l'île. Devant de telles conclusions, le maire de l'arrondissement de Verdun, Claude Trudel, a choisi de reculer, ce qu'il annoncera ce soir en assemblée publique. Il précisera du coup qu'il relance les études en vue de l'implantation d'une bretelle plus au sud, en pleine zone commerciale. Le problème, c'est que le lien routier prévu jusqu'ici (connu sous le nom de bretelle # 9) devait longer les berges du Saint-Laurent, sous le pont de L'Île-des-Soeurs. En outre, il devait passer à moins de 50 pieds du complexe résidentiel SAX, selon les résidants à l'origine d'une pétition contre le projet. En lieu et place, l'arrondissement privilégiera ainsi un nouveau tracé (connu sous le nom de bretelle # 11) qui nécessitera la construction d'un viaduc, mais qui permettra d'éviter les milieux humides et les zones résidentielles. Cette option avait initialement été mise de côté par l'arrondissement, car elle était plus coûteuse et plus complexe sur le plan technique. Or les choses ont changé depuis. D'abord parce que les problèmes environnementaux du site convoité laissent craindre des retards et des coûts supplémentaires. Surtout que le tracé devait traverser la principale alimentation électrique de L'Île-des-Soeurs ainsi que la conduite maîtresse du réseau d'eau municipal. Ensuite parce que le maire Trudel a réussi à s'entendre avec la Société des ponts fédéraux, propriétaire des terrains visés par le tracé # 11. Elle cède ainsi un droit de passage à la Ville qui sera responsable de l'entretien du nouveau lien routier. «J'ai été agréablement surpris par l'efficacité de la Société», s'est réjoui le maire lors d'un entretien téléphonique, hier. Retard moins important Tout ce branle-bas de combat entraînera un retard dans les travaux, mais M. Trudel croit qu'il sera moins important que s'il avait choisi d'aller de l'avant avec le tracé # 9. On prévoit maintenant construire la bretelle au printemps plutôt qu'à l'automne, si bien sûr les études sont concluantes. En outre, une révision sommaire du coût de chacune des deux bretelles fait miroiter de possibles économies à la Ville: le projet pourrait passer d'une fourchette de 3,7 à 4,3 millions à une fourchette de 3,2 à 3,5 millions de dollars. Du coup, l'arrondissement répond à certaines exigences financières, mais surtout au souhait des résidants mécontents qui ne comprenaient pas pourquoi un tracé en zone résidentielle était privilégié aux dépens d'un tracé en zone commerciale. Tout cela se fait dans un contexte de forte ébullition immobilière à L'Île-des-Soeurs. Quiconque a roulé sur l'autoroute 15 ces derniers mois aura aperçu les quatre grues en action sur la pointe nord de l'île. Il s'agit du futur emplacement qui regroupera, dès l'automne 2008, 3000 employés de Bell actuellement répartis dans différents lieux de travail du centre-ville et de Laval. Certains résidants craignent la nouvelle circulation que cela engendrera, d'autant que le chantier d'un projet résidentiel de 1800 unités démarrera en septembre 2008. La Ville versera 27 millions de dollars pour financer les améliorations des entrées et sorties de l'île, l'aménagement paysager et l'implantation d'une piste cyclable. Le nouvel accès à L'Île-des-Soeurs devait initialement passer près des immeubles SAX, en plein quartier résidentiel, en plus d'avoir un impact négatif sur les milieux humides.
  18. Les 1,9 milliard de dollars que Québec versera sous peu aux 360 000 employés de l’État visés par le règlement sur l’équité salariale soutiendront les dépenses de consommation et atténueront le ralentissement appréhendé de l’économie québécoise en 2007, prévoit le service des Études économiques de Desjardins. «Bien que ces montants ne touchent qu’une partie des employés de l’État, l’ampleur des sommes en jeu alimentera les dépenses de consommation au Québec en 2007, ce qui permettra d’éviter un essoufflement trop marqué», écrit l’économiste Hélène Bégin, dans un document intitulé Point de vue économique publié la semaine dernière. Au cours d’un entretien, Mme Bégin a indiqué qu’en se basant sur des études préalables, Desjardins estime qu’environ le tiers du 1,9 G$ * 633 M$ * sera affecté à des dépenses de consommation. «Le reste passera en impôts et en épargne», a-t-elle dit. Cette injection d’argent dans l’économie permettra aux dépenses de consommation de progresser de 2,8%, soit 0,2% ou 0,3% de plus que prévu, croit-elle. «L’écart de pourcentage peut paraître insignifiant, mais on parle de gros sous», a soumis Mme Bégin. Les dépenses de consommation * qui comptent pour 60% de l’économie québécoise * ont surpris en 2006 avec une hausse de 3,1%. Ralentissement dans l’emploi Mais une régression prévue dans la création d’emplois (30 000 en 2007, la plus faible progression depuis 1995), provoquée par un ralentissement de l’économie américaine et un recul des exportations, fera passer la hausse des dépenses de consommation sous la barre du 3%. L’année 2008 sera meilleure, prévoit Desjardins, parce que l’économie américaine devrait prendre du mieux, et le PIB du Québec gonflera de 2,3%, un score plus robuste que le 1,1% attendu cette année. Hélène Bégin note que l’impact de l’équité salariale continuera de se faire sentir sur l’économie québécoise au cours des prochaines années. Le montant de 1,9G$ * qui devrait être versé d’ici la fin mars * ne constitue en effet que la portion rétroactive du règlement sur l’équité salariale. Les salaires annuels des 360 000 personnes visées * des fonctionnaires et des travailleurs de la santé et de l’éducation * seront aussi augmentés de plus de 2000$ en moyenne. «Selon les estimations contenues dans le budget de cette semaine, les hausses salariales liées à l’équité salariale totaliseront 720M$ en 2007-2008, 809M$ en 2008-2009 et 825M$ en 2009-2010», explique Hélène Bégin.
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