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  1. Train à haute vitesse Montréal-Boston: Tout le monde à bord? http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/200911/13/01-921553-train-a-haute-vitesse-montreal-boston-tout-le-monde-a-bord.php Yves Schaëffner (Boston) Le projet de train à haute vitesse entre Montréal et Boston est bel et bien sur les rails, si l'on en croit le gouverneur du Massachusetts, Deval Patrick, et le premier ministre Jean Charest. Les deux hommes, qui ont eu un entretien d'une demi-heure vendredi midi, ont dit vouloir tabler sur l'intérêt de l'administration Obama pour le transport ferroviaire afin de faire avancer le projet. «Il y a beaucoup d'intérêt, a assuré le gouverneur américain. Nous avons des échanges commerciaux très importants, nous avons des liens sociaux très forts et, durant certaines périodes de l'année, c'est intéressant d'aller et de venir entre les deux places pour les matchs de hockey», a plaisanté le gouverneur. Entouré de ses deux chiens dans son bureau, il a poursuivi en expliquant qu'un lien Montréal-Boston pourrait s'inscrire dans le cadre du projet de train régional à haute vitesse sur lequel planche plusieurs États du nord-est des États-Unis. Montréal pourrait un jour devenir le dernier arrêt sur cette ligne. Les gouverneurs de la Nouvelle-Angleterre qui ont soumis différents tracés espèrent recevoir l'appui de l'administration Obama pour développer leur projet. Si le projet d'un train à haute vitesse reliant Boston à Montréal fait l'objet de spéculations depuis des années, Jean Charest pense que le projet est davantage sur les rails aujourd'hui qu'il ne l'était par le passé. «D'abord, ce qu'il faut noter, c'est que les États de la Nouvelle-Angleterre se sont mis ensembles pour présenter des tracés conjoints. Cela ne s'était jamais fait auparavant, a-t-il précisé après sa rencontre. Le contexte est évidemment unique parce que le gouvernement fédéral (américain) a annoncé sa volonté d'investir massivement dans le transport ferroviaire, ce qui n'était pas le cas jusqu'à l'élection du gouvernement Obama.» Abondant dans le même sens, le gouverneur du Massachusett a renchéri: «Nous sommes plus avancés dans le sens qu'il y a des sommes qui sont mises de côté dans le plan de relance économique. Il y a des crédits budgétaires tangibles.» Alors, à quand la première pelletée de terre? «Vous devez demander ça au gouvernement fédéral (américain), a répondu M. Patrick. Je lui pose également la question. Espérons que cela soit bientôt.» À travers son plan de relance économique, l'administration Obama compte investir 8 milliards de dollars US pour moderniser le système ferroviaire du pays. Mais, évidemment, la compétition est rude entre les différents États pour obtenir ne serait-ce qu'une portion de cette somme. En juillet, le gouvernement fédéral avait déjà reçu des demandes totalisant plus de 100 milliards dans le cadre de ce programme, selon le Boston Globe. Ça me semble bien intéressant comme projet...mais disons que je ne suis pas convaincu que nous allons voir un nouveua lien à haute vitesse entre MTL et BOS d,ici 2015!!!
  2. Plus de 5 700 statisticiens, provenant de partout sur la planète, se donnent rendez-vous à Montréal entre les 3 et 8 août prochains. Parmi eux: un jeune génie américain des prévisions. Pendant cette période, le Palais des congrès de Montréal accueillera le Joint Statistical Meeting 2013, la plus importante rencontre de statisticiens sur la planète. À cette occasion, les participants en profiteront pour célébrer l’Année internationale de la statistique, et discuteront ensemble – à l’aide de 700 conférenciers et tables rondes- des plus récentes pratiques susceptibles de contribuer à l’avancement de cette science. La statistique occupe une position centrale dans l’établissement, entre autres, de politiques publiques, de décisions d’affaires, de mesures économiques ou financières. D’autres disciplines comme le sport, le météorologie et la médecine en font également un usage quotidien. Le «prodige» des prévisions Entre autres invités de renom, notons la présence de Nate Silver, fondateur du blogue politique FiveThirtyEight.com. Qualifié de prodige du «number-crunching» par le New York Times, M. Silver s’est d'abord fait connaître en 2008 en parvenant à prédire le résultats de l’élection présidentielle, dans pas moins de 49 des 50 États américains. Quatre ans plus tard, l'an passé, le jeune statisticien américain a laissé sans voix l’ensemble des analystes et journaliste politiques américains en parvenant cette fois à prédire le résultat du scrutin présidentielle dans l’ensemble des 50 États du pays. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/des-milliers-de-statisticiens-bientot-a-montreal/559973#.UfGZGKw8CCg
  3. Le pays que s'apprête à diriger Barack Obama traverse en ce moment l'une des pires crises économiques de son histoire. À l'aube de la nouvelle présidence, petit état des États. Pour en lire plus...
  4. Deux jours après une réunion du G20 dont très peu de choses sont ressorties, les investisseurs craignent de plus en plus que les États ne soient pas en mesure de juguler rapidement la crise. Pour en lire plus...
  5. Réagissant aux critiques du vérificateur général du Québec, le premier ministre, Jean Charest, nie que ses états financiers présentés au cours des trois dernières années ne soient pas conformes à la Loi sur l'équilibre budgétaire. Pour en lire plus...
  6. Les bourses asiatiques et européennes sont en forte progression au lendemain de l'annonce d'un plan de sauvetage par plusieurs pays européens et à quelques heures d'une mesure similaire aux États-Unis. Pour en lire plus...
  7. L'homme d'affaires Thomas Nakos n'a pas le choix: il doit transmettre à deux importants investisseurs montréalais les états financiers d'un Casino grec grâce auquel il a encaissé 34 millions de dollars. Pour en lire plus...
  8. Vers une Bourse du carbone nord-américaine 24 septembre 2008 - 06h00 La Presse François Cardinal Sans attendre Ottawa, le Québec s'associe à trois provinces et sept États américains pour créer la deuxième Bourse du carbone en importance au monde, dont les bases seront jetées dans un peu plus d'un an. Réunis sous l'égide du Western Climate Initiative (WCI), les 11 gouvernements ont dévoilé hier les grandes lignes du futur programme de plafonnement et d'échanges de droits d'émissions de gaz à effet de serre, qui entrera en vigueur en 2012. En clair, il s'agit d'un marché financier où s'échangeront des droits de polluer. Les émissions des grandes entreprises seront plafonnées, après quoi les mauvais élèves, qui ne réussiront pas à respecter leur limite, devront acheter des crédits aux bons élèves, qui auront émis moins de gaz à effet de serre que permis. «(Ce système) devrait constituer les assises du futur marché du carbone réglementé de l'Amérique du Nord», s'est réjoui hier le premier ministre Jean Charest, dans un communiqué. Le Québec, comme le Manitoba, la Colombie-Britannique et l'Ontario, ont donc choisi d'aller de l'avant sans Ottawa, qui tarde à implanter un tel système d'échange au pays. Même chose au sud de la frontière, où sept États ont également choisi de faire un pied de nez au gouvernement central, jugé trop laxiste. «Nous envoyons un message fort à nos gouvernements fédéraux, a d'ailleurs affirmé hier le gouverneur de la Californie, Arnold Schwarzenegger. Les États et les provinces vont de l'avant face à l'absence d'action fédérale.» Premiers pas Basée sur le principe du protocole de Kyoto, la future Bourse du carbone fera ses premiers pas en 2010, alors que s'ouvrira une période de déclaration obligatoire des gaz à effet de serre. Puis, en 2012, un plafond d'émissions sera instauré pour les secteurs de la grande industrie et de la production d'électricité afin que s'amorcent les premiers échanges de crédits. "Il s'agira du plus gros système d'échanges de droits d'émissions en dehors de l'Europe", a précisé hier soir la ministre de l'Environnement, Line Beauchamp, par l'entremise de son porte-parole, Philippe Cannon. L'objectif d'une Bourse du carbone est d'inciter les entreprises à investir dans la modernisation de leurs équipements et dans l'innovation technologique, afin qu'elles réduisent leurs émissions et, ainsi, qu'elles capitalisent sur les crédits vendus. La cible est une réduction de 15% des émissions d'ici 2020, par rapport au niveau de 2005. "C'est vraiment très important (a big deal), a soutenu Judi Greenwald, du respecté Pew Center on Global Climate Change. C'est un système plus vaste que tout ce qui a été entrepris ailleurs dans le monde à ce jour." Frictions Survenant en pleine campagne électorale canadienne, cette annonce pourrait envenimer les relations déjà tendues entre Québec et Ottawa, plus précisément entre le gouvernement Charest et les conservateurs. Ces derniers sont en effet plutôt tièdes à l'idée d'imposer aux entreprises un plafond absolu d'émissions, alors qu'il s'agit d'une condition nécessaire à la bonne conduite d'une Bourse du carbone. Le système d'échange de la WCI s'ajoutera d'ailleurs en parallèle au marché climatique du Canada, inauguré en mai à Montréal. Bien que cette Bourse existe déjà, elle n'en est qu'à ses balbutiements (quelque 400 contrats à terme y ont été négociés), en raison de son caractère volontaire. Vaste marché «Le système d'échange d'émissions du Western Climate Initiative permettra aux industriels québécois d'avoir accès à un marché plus vaste encore, d'autant qu'il sera compatible avec les autres systèmes qui se mettent actuellement en place ailleurs dans le monde», a précisé Philippe Cannon. Précisons qu'il existe actuellement deux Bourses du carbone en Amérique du Nord, à New York et à Chicago, mais elles sont sans commune mesure avec le "marché de permis européen" parce que les États-Unis n'ont pas ratifié le protocole de Kyoto. Actions précoces Le document dévoilé hier contient par ailleurs une bonne nouvelle pour les industries de la province: les réductions d'émissions réalisées avant la mise en place de la Bourse seront reconnues. Les entreprises québécoises qui ont pris de l'avance ne seront donc pas pénalisées. «Le programme est d'autant plus intéressant pour le Québec qu'il offre une grande souplesse aux partenaires et aux entreprises auxquels il s'adresse et qu'il permet de considérer les actions de réduction précoces, un enjeu important pour le secteur industriel québécois qui a significativement réduit ses émissions depuis 1990», a d'ailleurs indiqué le premier ministre Charest. Autre nouveauté: le système d'échange est celui qui, pour l'instant, ratisse le plus large. Aux secteurs de la grande industrie et de la production de l'électricité s'ajouteront, dès 2015, le transport ainsi que la combustion dans les secteurs résidentiel, commercial et de la petite industrie. Le projet englobera donc plus de pollueurs que tous les autres plans régionaux adoptés au Canada et aux États-Unis. «Le programme de la WCI innove en ce sens que ce sera la première fois qu'un programme de ce genre englobera autant de secteurs qui sont à la source des émissions de GES, tel que le prévoit le protocole de Kyoto», a précisé hier Mme Beauchamp. En vigueur dès 2012, le marché climatique de la WCI pourrait bien toucher bien plus que les 11 États et provinces actuellement concernés, si l'on se fie à sa récente popularité. Créée en février 2007 par les États américains de la Californie, de l'Arizona, de l'Oregon, de Washington et du Nouveau-Mexique, cette coalition n'a cessé d'élargir ses rangs depuis. Le programme intégral de la future Bourse du carbone devrait être connu à la fin de 2008.
  9. L’Alaska donne son appui à TransCanada Dominique Lemoine, Lesaffaires.com 10:30 TransCanada se prépare à la construction de son pipeline reliant l'Alaska aux autres états américains. TransCanada a obtenu l’appui de l’Assemblée législative de l’Alaska pour l’obtention d’un permis qui lui permettra de lancer son projet de pipeline reliant l’Alaska et les autres états américains, en passant par l’Alberta, dont l’exploitation est prévue pour 2018. «Ce projet pipelinier de gaz naturel permettra de raccorder les réserves de gaz naturel américaines isolées et de les transporter jusqu'aux consommateurs de l'Alaska et des 48 états inférieurs», soutient le président et chef de la direction de TransCanada, Hal Kvisle. La ratification du permis en vertu de l'Alaska Gasline Inducement Act (AGIA) facilitera la poursuite des négociations avec les expéditeurs possibles, précise Hal Kvisle. Il ajoute que cette ratification améliorera la possibilité d'un appel de soumissions réussi. La conclusion d'un premier appel de soumissions est prévue vers juillet 2010. Si des contrats fermes suffisants sont négociés, TransCanada commencera les travaux après l'obtention des autorisations et le pipeline sera en exploitation vers septembre 2018. Selon le Globe & Mail, le projet de 26 milliards de dollars ne sera pas mis en route tant qu’Exxon Mobil n’aura pas signé de contrat d’utilisation du pipeline. Le projet de TransCanada est en compétition avec ceux de BP PLC et ConocoPhillips. «Rien ne va de l’avant sans qu’Exxon soit d’accord», a précisé Hal Kvisle au Globe and Mail. Exxon Mobil, qui a le contrôle sur les plus grandes quantités de gaz en Alaska, n’aurait jusqu’à maintenant appuyé aucun des trois projets, soutient le Globe & Mail. Le pipeline de TransCanada s'étendrait sur 2760 km, à partir d'une usine de traitement de gaz naturel de Prudhoe Bay jusqu'en Alberta. La section de l'Alaska aurait une longueur d'environ 1200 km. La section canadienne vers l'Alberta aurait environ 1550 km. L'intégration du pipeline au réseau de l'Alberta de TransCanada assurerait l'accès aux marchés des 48 états inférieurs, à l'échelle des États-Unis, précise TransCanada. TransCanada dit que son projet satisfait les exigences de l'AGIA, dont la protection des intérêts de l'Alaska au moyen de conditions commerciales raisonnables, la capacité de fournir des livraisons de gaz dans l'état et des occasions d'emploi pour l'Alaska.
  10. Le géant de l'automobile américain, en difficulté financière, annonce qu'il abandonne la location de véhicules à long terme aux États-Unis et au Canada. Pour en lire plus...
  11. Les États membres de l'OMC acceptent de poursuivre les négociations sur la libéralisation du commerce mondial après la présentation d'un projet d'accord rapprochant les positions des pays développés et en voie de développement. Pour en lire plus...
  12. Si le conseiller du CRTC avait l'air aussi exaspéré jeudi, c'est que les frères Rémillard ont refusé de déposer leurs états financiers comme l'organisme fédéral l'avait demandé. Pour en lire plus...
  13. Le CRTC exhorte Remstar à intégrer l'information locale dans son plan de relance du réseau de télévision et à montrer ses états financiers. Pour en lire plus...
  14. Leo-Paul Lauzon : «16 G$ aux paradis fiscaux» L’étude de Leo-Paul Lauzon s’appuie sur les états financiers de grandes banques. Photo: Photo.com Les techniques «d’évasion fiscale» de la part des banques canadiennes auraient privé le Canada de 16 milliards de dollars de revenus fiscaux. Ces chiffres compilés par le professeur de l’UQAM, Leo-Paul Lauzon portent sur une période allant de 1993 à 2007 pour la RBC, la Banque Scotia, la CIBC, la BMO et la Banque TD. L’étude s’appuie sur les états financiers de ces grandes banques qui divulguent les économies impôts sur leurs activités à l’étranger dans des pays où le taux d’imposition est inférieur à celui en vigueur au Canada. Dans la définition de paradis fiscal, Léo-Paul Lauzon regroupe pêle-mêle des pays insulaires à population inférieure à 20 000 habitants et des centres financiers comme Hong Kong ou Singapour. Le professeurs de l’UQAM qualifie d’«évasion fiscale», les revenus d’impôts que le Canada n’aurait pas perçus sur l’activité des cinq grandes banques canadiennes à l’étranger. Que ces activités soient conformes au cadre juridique canadien n’empêche pas Léo-Paul Lauzon de les qualifier de «fraude». «Si le gouvernement met en place des lois très complaisantes, tout va être légal», soutient-il. «C’est quoi la légalité alors que les services publics crient famine?» Et de plaider pour que le gouvernement établisse une liste noire de pays qui ne pourraient se qualifier pour des ententes fiscales ou pour des transactions commerciales avec le Canada. Articles de l'industrie http://www.lesaffaires.com/article/0/economie/2008-05-27/478463/leopaul-lauzon--etlaquo16-gdollars-aux-paradis-fiscauxetraquo.fr.html
  15. Nouvelle alliance économique Plus d'info Sept provinces canadiennes - le Québec et six autres provinces du Manitoba à l'Atlantique - ont décidé de former une alliance formelle avec six États du Sud-Est américain. Il s'agit de l'Alliance des États du Sud-Est des États-Unis et des provinces du Centre et de l'Est du Canada, un forum économique voué à la promotion du commerce, des exportations et del'investissement entre les partenaires. L'Alliance a été scellée au cours d'une conférence à Montréal, coprésidée par le premier ministre du Québec, Jean Charest, et le gouverneur de la Georgie, Sonny Purdie. Des dirigeants d'entreprises ont aussi participé aux échanges, puisque ce nouveau forum a pour but de développer le commerce et les investissements entre les deux régions. Selon M. Charest, il était temps de renforcer les liens économiques entre ces deux blocs régionaux au moment où le Canada perd des parts de marché au profit de la Chine. Surtout que le Québec a un excédent commercial de 4,4 milliards de dollars avec ces États, et que 13,5 % des exportations du Québec se font dans cette région des États-Unis. Jean Charest et Raymond Bachand « Comme tous les autres pays, on est très préoccupé par l'émergence de la Chine et de l'Inde. [...] L'expérience nous apprend qu'on a tendance à négliger ce qu'on a dans notre propre cour. Et que nous avons encore beaucoup d'opportunités, beaucoup de travail à faire pour relever encore davantage d'occasions d'affaires entre le Canada et les États-Unis », a déclaré M. Charest. Les secteurs économiques du Québec qui devraient profiter le plus de cette nouvelle alliance sont les secteurs forestiers, de l'aérospatial, de la biotechnologie et des énergies alternatives. En Ontario, on mise beaucoup sur l'industrie automobile. La question du passeport était également à l'ordre du jour, et tous ont convenu que les mesures de sécurité ne devaient pas nuire au commerce transfrontalier. La nouvelle alliance devrait être « dirigée » par l'entreprise privée, et les gens d'affaires se réuniront en juin prochain, à Savannah, en Georgie. L'Alliance L'Alliance réunit six États du Sud-Est des États-Unis - Géorgie, Caroline du Sud, Caroline du Nord, Tennessee, Mississippi et Alabama - et sept provinces canadiennes - Québec, Ontario, Nouvelle-Écosse, Nouveau-Brunswick, Manitoba,Île-du-Prince-Édouard et Terre-Neuve-et-Labrador.
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