Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'été'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Nom: Altitude Hauteur: 33 étages/124 mètres Coût du projet: Promoteur: Groupe Daca Architecte: Groupe Daca Emplacement: University/Cathcart Début de construction: Printemps 2010 Fin de construction: Été 2012
  2. Voici une compilation de photos que j'ai prises cette année à Montréal Je suis tombé par hasard sur la plupart des fresques, les photos ont donc été prises à l'improviste avec mon iPhone. Ça reste une qualité d'image de iPhone
  3. http://www.ledevoir.com/politique/montreal/434231/tarifs-2015-bixi-montreal-mise-sur-les-utilisateurs-sporadiques TARIFS 2015 Bixi Montréal mise sur les utilisateurs sporadiques 12 mars 2015 |Karl Rettino-Parazelli | Montréal Le Devoir Les tarifs de courte durée sont revus à la baisse pour 2015. Bixi veut reconquérir la clientèle des usagers occasionnels et prend les moyens d’y parvenir. Le comité exécutif de la Ville de Montréal a adopté mercredi la nouvelle grille tarifaire du service de vélo en libre-service, qui prévoit une diminution des tarifs de courte durée. Les utilisateurs réguliers constateront toutefois une légère augmentation du prix de l’abonnement annuel. Le prix de l’accès 24 heures passera cet été de 7 à 5 $ et celui de l’accès 72 heures, de 15 à 12 $. Bixi Montréal introduit également un nouveau tarif « aller simple » à 2,75 $, moins dispendieux qu’un billet de métro ou d’autobus. Ces ajustements ont été effectués pour répondre à l’importante baisse des revenus liés à la clientèle occasionnelle au cours des dernières années. Ceux-ci ont diminué de près de 40 % depuis 2012. « BIXI veut maximiser et accroître l’usage de son réseau, qui fait partie de l’offre de transport collectif », a expliqué par voie de communiqué la présidente du conseil d’administration de Bixi Montréal, Marie Elaine Farley. Pour ce qui est des abonnements, les membres annuels devront débourser 85 $ cet été, comparativement à 82,50 $ l’an dernier. L’abonnement pour 30 jours passe de 31,25 $ à 30 $, tandis que l’abonnement demi-saison, d’août à novembre, s’élève à 55 $. Pour la première fois cette année, les utilisateurs qui le désirent pourront également profiter d’un abonnement demi-saison s’échelonnant d’avril à juillet. Utilisation en baisse Les Bixi devraient faire leur apparition dans les 460 stations installées dans les rues de Montréal à partir du 23 mars, mais la saison ne débutera officiellement que le 15 avril prochain. De manière générale, Bixi Montréal a dénombré 33 216 membres actifs en 2014, contre 35 548 en 2013, une baisse de 6,5 %. Les 3,2 millions de déplacements enregistrés en 2014 constituaient par ailleurs une baisse de 4 % par rapport à la moyenne des résultats des cinq années précédentes. Le maire de Montréal, Denis Coderre, a assuré la survie des vélos en libre-service en acceptant en novembre dernier de verser une aide financière annuelle de 2,9 millions de dollars pendant cinq ans à Bixi Montréal.
  4. Un paddock rénové à Montréal Charles Rooke Journal de Montréal 13/02/2008 10h29 Le paddock du circuit Gilles- Villeneuve ne devrait plus être la risée du circuit de la formule 1 car, selon ce qu'a appris le Journal de Montréal, une subvention de 1,25 million de dollars du gouver nement fédéral serait accordée afin qu'on procède à sa réfection. L'an der nier, Ber nie Ecclestone, le grand manitou du cirque de la formule 1, avait critiqué les installations du Grand Prix de Montréal. Durant la semaine du Grand Prix, des employés de l'écurie Honda avaient été jusqu'à affirmer que les installations montréalaises étaient «une honte». Les écuries avaient même dû faire la vaisselle avec l'eau provenant du bassin olympique. Les organisateurs du Grand Prix ont donc fait une demande de subvention de deux millions de dollars au gouver nement fédéral en novembre afin de remédier à la situation. La somme de 1,25 million serait débloquée prochainement, et l'annonce de l'octroi de la subvention pourrait être faite au cours des prochaines semaines. Quelques détails à régler L'entente ne serait pas encore finalisée, mais il resterait quelques détails à fignoler afin d'officialiser le tout. Le ministre des Travaux publics, Michael Fortier, aurait fait une priorité de ce dossier. On n'a toutefois pas voulu confirmer la nouvelle du côté de son bureau. Il a été impossible de joindre un membre de l'organisation du Grand Prix hier. Cette nouvelle tombe sans doute à point pour le Grand Prix de Montréal car, la semaine dernière, Bernie Ecclestone, un Britannique, a menacé de retirer le Grand Prix d'Angleterre en raison de la désuétude des installations. Le Grand Prix des États-Unis a, quant à lui, déjà été rayé du calendrier de la formule 1 en 2008. Le gouvernement provincial pourrait également annoncer sa participation à ce projet. Cette année, le Grand Prix du Canada aura lieu du 6 au 8 juin. http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2008/02/20080213-102902.html
  5. Je prévois y aller en juillet pour 3 journées complètes mais j'ai peur de m'y ennuyer ! Avez-vous des endroits à me recommander ? Des activités que je dois absolument faire ? J'ai peur qu'après avoir visité le battery park, marché un peu dans le centre-ville et avoir été en haut de la Willis Tower et Hancock tower, que je n'aie plus rien à faire. Merci !
  6. http://journalmetro.com/actualites/national/419174/ces-eglises-qui-changent-de-vocation/ <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">Ces églises qui changent de vocation Par Marie-Eve Shaffer Métro </header><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; color: rgb(86, 86, 86); font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif; font-size: 15px; line-height: 27px; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">Archives MétroL’église Sainte-Germaine-Cousin, à Montréal, abritera sous peu une salle communautaire ainsi qu’un centre de la petite enfance.</figcaption></figure> Depuis une décennie, pas moins de 285 églises du Québec ont changé de vocation, sinon elles sont sur le point de le faire. La majorité de ces églises ont été converties. Elles ont été mutées en centres communau*taires, en bibliothèques, en salles de spectacle ou même en im*meubles à logements abordables, d’après une compilation scrupuleuse du Conseil du patrimoine religieux du Québec (CPRQ), un organisme à but non lucratif qui veille à la mise en valeur des biens et des immeubles de l’Église. Parfois, les nouvelles fonctions de ces églises sont multiples. Par exemple, l’église Sainte-Germaine-Cousin, dans l’arrondissement de Rivière-des-Pariries–Pointe-aux-Trembles, abritera sous peu une salle communautaire ainsi qu’un centre de la petite enfance. À la place de l’ancien presbytère, un immeuble à logements pour des personnes âgées sera construit. <aside class="related-articles" style="border-style: solid; border-color: rgb(218, 218, 218); border-width: 1px 0px; font-size: 13px; line-height: normal; font-family: Arial, sans-serif; padding: 25px 0px;">À ce sujet: Les rideaux du Théâtre Paradoxe prêts à s’ouvrir </aside>Les activités de culte ne sont pas nécessairement écartées des projets. Plusieurs communautés religieuses ont d’ailleurs racheté ces églises. Dans d’autres cas, un espace plus restreint a été accordé aux religieux. À La Durantaye, dans Chaudières-Appalaches, l’église Saint-Gabriel a été trans**formée en centre multifonctionnel. Les bancs ont été retirés. Le chœur y est toujours, mais il est dissimulé derrière un rideau lors des activités laïques. Dans moins de 1% des cas, les églises ont été modifiées pour abriter des condos. «Des projets de condos, ce n’est pas l’avenir, a indiqué le chargé de projet du CPRQ, Denis Boucher. Il y a toutes sortes de modifications qui doivent être faites et leur coût est énorme.» D’après la professeure titulaire à la Faculté de théologie et des sciences de la religion à l’Université de Montréal, Solange Lefebvre, le Québec est en avance sur plusieurs pays, notamment européens, lorsqu’il est question de trouver un nouvel usage aux églises. «On est plus avancé dans la mesure où on en a déjà converti, a-t-elle dit. On a assumé déjà le fait qu’il fallait [convertir ces églises]». Mme Lefebvre a notamment souligné la création de la Fondation du patrimoine religieux du Québec, en 1995, qui est devenue en 2007 le CPRQ, ainsi que le rapport de la Commission de la culture déposé en 2006, Croire au patrimoine religieux du Québec. La deuxième vie des églises du Québec Infographie: Steve Proulx/37e avenue Le gouvernement du Québec a en plus consacré près de 275 M$ dans la restauration du patrimoine religieux depuis 1995. Bien que le Québec ait fait un pas de plus, il est encore trop souvent en mode réaction, a déploré l’architecte Ron Rayside. «Il faudrait que l’archevêché, les églises, la Ville et peut-être même le gouvernement du Québec s’assoient ensemble pour voir quel sera le plan pour les 20 prochaines années. Il faut qu’on ait une grande réflexion et surtout le temps de la faire», a-t-il fait savoir. En 2006, la Commission de la culture a demandé en vain au gouvernement du Québec de décréter un moratoire «sur l’aliénation et la modification des bâtiments religieux». Ron Rayside regrette que trop souvent, les communautés cherchent à la va-vite un nouvel usage à leurs églises. Lorsque celles-ci sont fermées, elles se détériorent rapidement, faute d’entretien. Et le temps que les communautés, sinon les promoteurs, trouvent un projet réalisable et le financement nécessaire, la dégradation s’accélère. «Quand on trouve un acquéreur, il y a une facture de mise à niveau qui est énorme, a rapporté M. Boucher. Et je ne parle pas de mise aux normes et de tout ce que le bâtiment peut exiger selon l’usage qu’on veut en faire.» Près de 100 ans de changement Depuis près d’un siècle, des églises du Québec sont vendues, transformées sinon démolies. Elles ont laissé leur place dans un premier temps à des développements immobiliers ou même autoroutiers. Sinon, elles sont devenues inutiles en raison de la fusion de deux communautés religieuses. À partir des années 1990, la désertion des églises, le vieillissement de la communauté religieuse et la baisse des vocations religieuses ont poussé les diocèses et les fabriques à commencer à se départir de leurs bâtiments, dont l’entretien est onéreux. Une poignée d’églises changeaient alors de main à chaque année. De 1900 à 2003, près de 250 églises ont été converties, selon l’évaluation de la Chaire de recherche en patrimoine urbain de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, la cadence s’est accélérée. Tellement qu’aujourd’hui, près d’une église par semaine est fermée, vendue ou transformée. Au moins 50 églises délaissent annuellement en tout ou en partie leur fonction religieuse. Des travaux sont actuellement réalisés dans 13 d’entre elles. *** Le financement, le nerf de la guerre Le ministère de la Culture dispose d’une enveloppe budgétaire, dont une partie est gérée par le CPRQ, pour protéger le patrimoine religieux. Le CPRQ accorde son aide financière à hauteur de 70% des coûts des projets. Il évalue ceux-ci selon la valeur patrimoniale de l’église – un classement des églises cons*truites avant 1945 a été fait –, la teneur des travaux et la participation de la communauté. Du côté du ministère de la Culture, il finance en partie les projets situés sur des sites patrimoniaux, désignés par lui-même ou les municipalités. «Dans le cas de la basilique Notre-Dame, dans le Vieux-Montréal, il n’y a pas de problème, c’est une église reconnue qui est bien classée par le [CPQR]. Quand l’église n’est pas bien classée, elle n’est pas dans les “winners” qui ont accès à l’argent», a expliqué la professeure titulaire à la Faculté de théologie et des sciences de la religion à l’Université de Montréal et la titulaire de la Chaire religion, culture et société, Solange Lefebvre. Par région Nombre d’églises fermées, transformées ou en cours de transformation par région du Québec Bas-Saint-Laurent: 15 Saguenay–Lac-Saint-Jean: 14 Capitale-Nationale: 18 Mauricie: 14 Estrie: 30 Montréal: 58 Outaouais: 8 Abitibi-Témiscamingue: 15 Côte-Nord: 4 Nord-du-Québec: 0 Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine: 4 Chaudière-Appalaches: 17 Laval: 1 Lanaudière: 5 Laurentides: 21 Montérégie: 47 Centre-du-Québec: 14 TOTAL: 285 Source: Le Conseil du patrimoine religieux du Québec. Les chiffres sont basés sur un inventaire des lieux de culte réalisé en 2003 et mise à jour régulièrement par le CPRQ. Série Métro propose cette semaine une série sur le patrimoine religieux au Québec Aujourd’hui. Ces églises qui trouvent une nouvelle vocation et Les rideaux du Théâtre Paradoxe prêts à s’ouvrir Demain. Ces églises qui ne sont plus Mercredi. Une conversion unique: un spa Jeudi. Très-Saint-Nom-de-Jésus en attente Vendredi. Le cas de l’Oratoire Saint-Joseph
  7. Nom: Unity - Phase 3 Hauteur en étages: 14 Hauteur en mètres: Coût du projet: Promoteur: Développements d'Arcy McGee Ltée Architecte: Atelier Big City-Cormier, Cohen, Davies Architectes Entrepreneur général: Magil Construction Emplacement: sur la rue De la Gauchetière O entre la Côte Beaver Hall et la rue Saint-Alexandre Début de construction: 2013 Fin de construction: été 2014 Site internet: Lien webcam: Autres informations: * Ce projet devait initialement avoir 20 étages, mais a été réduit à 14 étages étant donné le secteur protégé de l'immeuble Unity, le Ministère de la culture n'a pas autorisé de dérogation qui permette une hauteur supérieure à la hauteur de l'immeuble Unity. * 100 unités résidentielles locatives * Unités commerciales au RdeC Rumeurs: Aperçu du projet:
  8. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2016/07/06/004-politique-nationale-architecture-saint-laurent-de-sousa-ordre-architectes-quebec.shtml Saint-Laurent veut mettre un terme aux horreurs architecturales au Québec Publié le mercredi 6 juillet 2016 à 13 h 07 Centre-ville de Montréal Photo : iStockPhoto L'arrondissement de Saint-Laurent, à Montréal, devient la première instance municipale à demander officiellement au gouvernement du Québec une politique nationale de l'architecture, ce qui serait une première en Amérique. Il veut ainsi en finir avec les laideurs architecturales dans la province. Un texte de Marie-Ève MaheuTwitterCourriel Saint-Laurent a reçu plusieurs prix d'architecture et de design pour sa Bibliothèque du Boisé, construite en 2013 et certifiée LEED platine. Il veut maintenant servir d'exemple. Le conseil municipal a récemment adopté une résolution pour interpeller Québec. « Si nous voulons avoir des bâtiments qui sont faits avec la beauté, la fonctionnalité, mais aussi avec la performance environnementale, il reste encore beaucoup de barrières pour les villes et les instances municipales », dit le maire de Saint-Laurent, Alan De Sousa. Il donne en exemple le manque de latitude pour ouvrir les projets de construction à des concours d'architecture, ce qui a été possible pour la Bibliothèque du Boisé, réalisée par les firmes Cardinal Hardy, Labonté Marcil et Éric Pelletier architectes, réunies en consortium. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Photo : Yien Chao L'Ordre des architectes du Québec réclame depuis longtemps une politique nationale de l'architecture. « Les processus d'appel d'offres au Québec ne favorisent pas nécessairement la qualité. On choisit les professionnels ou les entrepreneurs selon le plus bas prix. Je ne dis pas qu'il faut payer plus cher, mais il faut qu'on fasse des projets de qualité. C'est tout le monde qui en bénéficie », soutient sa présidente, Nathalie Dion. Fin juin, l'Ordre a déposé un mémoire pour réitérer sa demande dans le cadre des consultations publiques du ministère de la Culture sur le renouvellement de la politique culturelle, qui ont lieu tout l'été. C'est ce qui a inspiré le conseil municipal de Saint-Laurent, avec l'objectif que d'autres villes lui emboîtent le pas. Manque de vision « On se pâme sur les exemples qui se font en Scandinavie ou dans d'autres pays en Europe. Pourquoi on n'est pas capable de faire aussi bien ici? », se désole Nathalie Dion, de l'Ordre des architectes du Québec. Oui, ça me décourage, surtout de savoir des fois que ce ne sont pas les architectes qui manquent de talent. C'est qu'on a pris des décisions basées sur des budgets. (Nathalie Dion) Un exemple? La reconstruction de l'école Saint-Gérard dans Villeray, à Montréal, qui se voulait un projet du 21e siècle, mais qui a été ramené à sa plus simple expression pour des questions budgétaires. Le système de géothermie a finalement été sauvé, mais l'atrium central et le toit vert sont passés à la trappe. « On aurait peut-être pu se permettre l'atrium en se disant que c'est un investissement pour les jeunes pour le futur, dit Mme Dion. Il n'y a peut-être pas d'étude qui dit textuellement que quand tu as une belle école tu vas mieux réussir, mais en général le cadre bâti influence la qualité de vie des gens au bureau ou dans un hôpital. Dans une école, c'est sûr que c'est important. » Une politique nationale de l'architecture permettrait de se donner une vision de l'architecture, dit Nathalie Dion, en termes d'esthétisme, de fonctionnalité et de durabilité environnementale entre autres. Et pas besoin d'être un pays pour en avoir une, souligne-t-elle. Elle donne les exemples de l'Écosse et de la capitale du Danemark, Copenhague.
  9. https://maps.google.ca/maps?q=7272+clark,+montr%C3%A9al&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.534783,-73.620462&spn=0.00251,0.005681&sll=45.502602,-73.565875&sspn=0.020092,0.045447&t=h&hnear=7272+Rue+Clark,+Montr%C3%A9al,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec+H2R&z=18&layer=c&cbll=45.534783,-73.620462&panoid=aFTt9TaFFPmqgZCFObE6bg&cbp=12,208.94,,0,-3.82 Au cœur d’un quartier en plein essor, l'Espresso est un immeuble de type loft urbain. Ce bâtiment industriel style art-déco sera entièrement aménagé en copropriétés résidentielles. Localisé à moins de 100 mètres du métro Castelnau, tout près du marché Jean-Talon, Parc Jarry et de la petite Italie, cet immeuble offre un emplacement exceptionnel et sera composé de dix-huit unités (avec ou sans garage). Tous les niveaux seront desservis par un ascenseur. Les plafonds en béton et les colonnes structurales archées offrent un niveau d’insonorisation et un cachet intérieur appréciés d’une clientèle branchée. L'ouverture du bureau des ventes fut officiellement inaugurée avec un grand succès le 17 mars 2012. En date du d'auhourd'hui, 13 unités sur 18 ont été réservées par voie de contrat préliminaire. SVP veuillez contacter le courtier, M. Ghislain Quevillon au 514-220-9149 qui vous guidera rapidement dans le choix des unités restantes selon vos besoins. La plupart des acheteurs apprécient grandement la grande qualité de finition intérieure qui est comprise dans le prix de base ainsi qu'une localisation tout à fait unique. http://condo-ahuntsic-villeray.ca/index.html
  10. http://grandquebec.com/montreal-touristique/parc-emilie-gamelin/ Parc Émilie-Gamelin Le Parc Émilie-Gamelin se trouve au cœur de Montréal, tout près de la station de métro Berri-UQAM. Ce parc a été inauguré officiellement le 29 août 2005, mais la place était déja bien connue des Montréalais depuis la construction de la station de métro Berri-UQAM. Son aménagement évoque le paysage de Montréal, symbolisant ses terrasses par le biais d’un plan incliné de verdure. Les sculptures métalliques sont l’oeuvre de l’architecte Melvin Charney. Elles symbolisent la recherche de la cohabitation entre les paysages naturels et les espaces construits d’une grande ville. Le parc porte le nom Émilie Tavernier de Gamelin qui a consacré des fonds hérités de son époux, Jean-Baptiste Gamelin pour des oeuvres de bienfaisance. Curieusement, ce lieu semble être hanté par quelque force mythique. En effet, le Parc Émilie-Gamelin a changé de nom à plusieurs reprises. On l’appelle parfois le parc Berri, la place Émilie-Gamelin, la Place du Quartier Latin, le Parc du Quartier Latin, le Square Berri ou encore le Parc UQAM. Autrefois, on l’appelait aussi parc de Montigny, d’après le nom initial de la station de métro, Berri-de-Montigny qui fut changé en 1987 pour celui deBerri-UQAM. L’origine du nom Berri est obscure. On pense que ce nom réfère au colon Simon Després, dit Berry. Il fit acquisition, le 25 avril 1659, d'un terrain dont la limite occidentale constituait une partie du tracé de cette rue. Une autre version dit pourtant que le nom vient du nom de la province française de Berri, mais aucun document ne le confirme. Le Parc Émilie-Gamelin n’est pas très vaste, mais il est entouré d’institutions et d’organismes très importants: l’Université du Québec à Montréal - UQAM, créée en 1969, la Grande Bibliothèque qui est la plus grande bibliothèque au Québec, la station centrale d’autobus (autrefoisTerminus Voyageur) et la Place commerciale Dupuis qui abrite des boutiques et plusieurs organismes provinciaux dont le SAAQ et le Carrefour d’intégration du Ministère d’Immigration et des Communautés culturelles du Québec. Le parc est la porte d’entrée du Quartier Latin. Le parc Émilie-Gamelin est indiscutablement un des pôles d'animation les plus actifs de la ville de Montréal. Plusieurs spectacles, concerts et festivals s’y tiennent régulièrement. Le Parc Émilie Gamelin lors de la célébration du Festival Présence autochtone. Photo :Martine Geronimi. Le parc en été. Photo : © V. Petrovsky Voir aussi : Biographie d'Émilie Gamelin Quartier Latin de Montréal Station de métro Berri-UQAM
  11. 13/08/2007 Un nouveau lien routier entre Montréal et Laval pourrait être construit grâce au prolongement de l'autoroute 440. Le tracé passerait par Sainte-Dorothée, traverserait la rivière des Prairies et se rendrait à l'autoroute 40 via l'Île-Bizard, Pierrefonds et Kirkland. Ce sont les travaux de prolongement des autoroutes 25 et 30 qui ont ravivé cette vieille idée. Le projet avait déjà été présenté une première fois il y a 35 ans, mais il avait été mis sur la glace après le moratoire de 1977. Les maires de l'ouest de l'île préfèreraient un boulevard urbain, mais le maire de Laval Gilles Vaillancourt croit qu'une autoroute est la seule solution pour régler les problèmes de circulation.
  12. Le Grand Montréal fait de l’effet à Cinesite. La métropole québécoise confirme sa position stratégique sur l’échiquier mondial de l’industrie cinématographique Montréal, le 18 août 2015 – La société britannique Cinesite, chef de file mondial spécialisé dans la production d’effets visuels et d’animation pour le cinéma et la télévision, a annoncé des résultats exceptionnels, dix-huit mois après son implantation dans le Grand Montréal. Le studio montréalais a en effet largement dépassé les attentes en recrutant 220 personnes en un temps record, soit deux fois plus rapidement que prévu, et en travaillant sur de prestigieuses réalisations cinématographiques. L’annonce a été faite par M. Antony Hunt, directeur général de Cinesite, en présence de M. Jacques Daoust, ministre de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations, de M. Nick Baker, consul général du Royaume-Uni à Montréal, de Mme Dominique Anglade, présidente-directrice générale, Montréal International et de M. Élie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal, Montréal International. Une plaque honorifique a été dévoilée pour célébrer ce succès et souligner l’appui stratégique du gouvernement du Québec, d’Investissement Québec et de Montréal International. Cinesite est particulièrement reconnue pour ses effets spéciaux spectaculaires, dont ceux des huits films d’Harry Potter. Depuis son implantation en 2014, le studio de Montréal a complété plusieurs films de renom, dont X-Men: Days of Future Past, San Andreas, The Man From U.N.C.L.E., et d’autres qui sortiront prochainement : The Last Witch Hunter, The Revenant, Pride and Prejudice and Zombies et Now You See Me: The Second Act. « Nous sommes enchantés de voir que notre croissance à Montréal dépasse nos objectifs, notamment en matière de recrutement. L’équipe qui grandit chez Cinesite se démarque par son talent inégalé », a indiqué le directeur du studio Cinesite, M. Antony Hunt. « Nous tenons à remercier Investissement Québec, le ministère de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations et Montréal International pour leur appui et leur connaissance pointue du milieu des effets visuels qui nous permettent de voir loin pour notre studio », a-t-il ajouté. Une industrie avec le vent dans les voiles « L’industrie des effets spéciaux, Cinesite et Montréal ont en commun qu’ils sont des lieux de convergence entre les arts et la technologie. Montréal est une pionnière de l’industrie, et l’embauche de 220 travailleurs par Cinesite témoigne de la qualité des programmes de formation montréalais ainsi que de l’accès aux talents. Ces résultats confirment le positionnement de Montréal, ville de cinéma, et réaffirme que la Métropole est une véritable ville intelligente avec un attractif bassin de talents créatifs », a affirmé le maire de Montréal, M. Denis Coderre. Dans le Grand Montréal, l’emploi au sein du secteur des effets visuels a en effet connu une croissance annuelle d’environ 24 %, et ce, depuis la bonification du crédit d’impôt en 2009 et l’implantation subséquente de joueurs internationaux, incluant non seulement Cinesite mais également Framestore, Technicolor ou Atomic Fiction. « L’industrie des effets visuels constitue une véritable valeur ajoutée pour le Québec puisque ses entreprises investissent davantage dans les salaires de leurs travailleurs et dans le capital intangible, c’est-à-dire les dépenses en R-D et transfert technologique, en formation et développement des compétences », a affirmé Mme Dominique Anglade, présidente-directrice générale de Montréal International. « Le succès d’un joueur majeur comme Cinesite renforce également toute l’attractivité de la métropole québécoise sur l’échiquier cinématographique et contribue à positionner la région comme chef de file mondial des industries créatives à haute valeur ajoutée », a-t-elle ajouté. Mentionnons que Cinesite a récemment conclu une entente avec 3QU Studios pour créer un pipeline d’animation et soutenir la production de quatre films, le premier étant Charming (Demi Lovato, Avril Lavigne) dont la sortie est prévue pour 2016. À propos de Cinesite (http://www.cinesite.com) Établie à Londres, Cinesite est l’un des principaux fournisseurs d’effets visuels numériques dans le monde. À l’origine propriété de Eastman Kodak, l’entreprise qui a vu le jour en 1995 a été l’une des premières compagnies spécialisées en effets spéciaux au monde. Avec 650 employés, dont 500 au Canada, Cinesite est l’un des plus grands employeurs en effets visuels au Canada. Depuis plus de 20 ans, la société crée des effets visuels pour de grosses productions cinématographiques. De James Bond à Harry Potter, d’Iron Man 3 à World War Z, Cinesite a participé à la réussite d’une grande variété de films et de productions télévisuelles. Plusieurs ont d’ailleurs été récipiendaires de BAFTA et d’Oscars, et Generation Kill a même remporté un Emmy en 2009. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/le-grand-montreal-fait-de-leffet-a-cinesite/
  13. http://axedumarche.com/ Quadrilatère Théodore/Rouen/Leclaire Ce projet est situé à l'emplacement d'un bâtiment industriel qui a été démoli cet été. De plus, il se situe juste à côté du tout nouveau parc linéaire.
  14. http://www.lapresse.ca/arts/television/201402/20/01-4740668-un-documentaire-sur-jean-drapeau-en-preparation.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_hotTopics_sujets-a-la-une_1664122_accueil_POS2 Publié le 20 février 2014 à 08h40 | Mis à jour à 08h40 Un documentaire sur Jean Drapeau en préparation Jean Drapeau en novembre 1982. PHOTO: ARCHIVES LA PRESSE =author%3AAndr%C3%A9+Duchesne&sort=recent"]ANDRÉ DUCHESNE La Presse Le réalisateur Bruno Boulianne prépare actuellement un documentaire sur l'ancien maire de Montréal Jean Drapeau. Le projet est une initiative de Marc Laurendeau, a appris La Presse. «Marc Laurendeau a toujours été fasciné par Jean Drapeau. Journaliste, il l'a interviewé quelques fois; dans Les Cyniques, il s'est moqué de lui et il voulait faire un film sur lui. De fil en aiguille, j'ai été approché comme réalisateur», explique M. Boulianne. Le film est construit à partir d'entrevues avec des gens qui ont connu Jean Drapeau et d'archives visuelles. Lise Bissonnette, Lise Payette, Jean-Claude Germain, Richard Bergeron ainsi que deux journalistes de La Presse, Guy Pinard (à la retraite) et l'éditorialiste François Cardinal, font partie de ceux qui livrent un témoignage devant la caméra. «C'est la première fois que Guy Pinard acceptait de parler de ce sujet parce qu'il avait été commissaire à la commission Malouf (sur le scandale des coûts associés aux Jeux olympiques d'été de 1976)», indique Bruno Boulianne. À La Presse, M. Pinard a talonné l'administration Drapeau durant de longues années. «Marc Laurendeau a voulu faire ce film pour mieux faire connaître Jean Drapeau aux jeunes générations, enchaîne M. Boulianne. Et c'est avec François Cardinal qu'on amorce l'histoire lorsqu'il raconte avoir couvert les funérailles du maire (en 1999) alors qu'il commençait sa carrière au Devoir. Il est le seul regard plus extérieur au personnage. Les autres qui témoignent ont travaillé avec Drapeau, l'ont critiqué ou l'ont couvert parce qu'ils étaient journalistes.» Un personnage fort Avocat de formation, Jean Drapeau s'est fait connaître des Montréalais dans les années 1940 par son opposition à la conscription, et au début des années 1950 par les enquêtes qu'il a menées avec Pacifique Plante sur la corruption et la moralité à Montréal. Il est élu maire de la ville en 1954, mais est défait par Sarto Fournier en 1957. Il reprend la mairie en 1960 et se fait réélire sans interruption jusqu'en 1986, année où il tire sa révérence. Le film se concentre sur les années de vie politique du maire et son influence sur Montréal. «Ce qui est fascinant avec Jean Drapeau, c'est que son discours est particulier dans chaque décennie, dit Boulianne. Il s'est construit politiquement dans les années 1940 avec la crise de la conscription, puis il a fait son premier mandat de maire dans les années 1950. Il est bâtisseur dans les années 1960 (la Place Ville Marie, la Place des Arts, Expo 67). Dans les années 1970, il est plus contesté parce qu'il devient plus autocrate. Arrivent enfin les Jeux olympiques et un long déclin jusqu'à son départ. Dramatiquement parlant, on a un personnage fort.» Marc Laurendeau n'apparaît pas à la caméra, mais sa présence est constante. Il mène les entrevues et fait la narration hors champ. Le tournage du film a eu lieu l'été dernier. Bruno Boulianne et son équipe en sont maintenant à la postproduction. Le documentaire devrait être diffusé en 2016 sur les ondes de Radio-Canada.
  15. Le mercredi 21 mars 2007 (Presse Canadienne )Les Canadiens riches et instruits s'inquiètent du réchauffement du climat, mais pas suffisamment pour renoncer à leurs VUS énergivores, révèle un sondage rendu public jeudi. On y apprend aussi que les Québécois sont les plus préoccupés par l'environnement et davantage enclins à faire quelque chose de concret à ce sujet, tandis que les Albertains sont ceux qui s'en soucient le moins. Le tiers des Canadiens estiment que les changements climatiques constituent le plus important des problèmes auxquels fait face l'humanité aujourd'hui, selon le sondage mené sur Internet et dont les résultats ont été communiqués à la Presse Canadienne. La seule fois que l'environnement a autant préoccupé les Canadiens remonte aux années 1980, quand les craintes au sujet des précipitations acides et de la pollution avaient donné lieu à la mise en place, un peu partout, de programmes de collecte de matières recyclables. En revanche, les Canadiens bien nantis et instruits sont les plus réticents à changer leur comportement pour aider à préserver l'environnement. Selon Angus Reid, les personnes interrogées ne sont pas prêtes à opter pour des véhicules moins énergivores, ou à abaisser le thermostat chez elles. Ce sondage auprès de 3500 personnes a été effectué au début du mois et comporte une marge d'erreur n'excédant pas 1,9 points de pourcentage, 19 fois sur 20.
  16. (C'est un vieil article, mais ça résume bien le projet) Un nouveau projet de logements abordables à Laval-des-Rapides Par Claude-André Mayrand Mardi 29 octobre 2013 15:46:30 HAE LAVAL - La Société d’habitation du Québec (SHQ) a dévoilé lundi après-midi les grandes lignes d’un important projet d’habitation de coopérative qui comptera 166 logements et qui sera érigé à proximité du métro de la Concorde, dans le secteur Laval-des-Rapides. Le projet de la Coopérative de solidarité du Bois Ellen, dont les coûts de construction sont évalués à environ 23 M $, sera financé à moitié par la SHQ. La Ville de Laval fournit de son côté 3.5 M $ ainsi que des rabais de taxes pour cinq ans et des ristournes sur les droits de mutation. «Nous prévoyons lancer l’appel d’offres après les vacances Noël et ouvrir le chantier dès avril 2014, affirme Aziz Dennoune, chargé de projet pour le groupe de ressources techniques Réseau 2000+, qui copilote le projet avec la Coopérative de solidarité. On aimerait compléter le projet entre juillet et septembre 2015.» M. Dennoune a parlé du projet comme un besoin pour la communauté. «Si on se fie au bilan de développement de Laval pour la période 2006-2011, il y a un accroissement flagrant au niveau des personnes de 65 ans et plus, des femmes monoparentales et des familles issues de l’immigration, illustre-t-il. Les objectifs de la coopérative sont la solidarité, l’intégration et l’apprentissage par l’implication.» Deux édifices de 13 et six étages seront construits en forme de «L», annexés à un édifice d’un étage qui comptera une cuisine, une salle à manger et une salle communautaire. Des 166 unités, 56 seront destinées aux personnes autonomes et 110 aux personnes en légère perte d’autonomie. Le terrain, une cour à bois de vocation résidentielle depuis peu, propriété de Mandy Ellen, a été acquis en décembre 2011 au montant de 2.2 M $. Volonté de mixité sociale Le député Léo Bureau-Blouin parle d’un projet qui a été construit avec des objectifs de mixité sociale pour ses résidents. «La mixité sociale contribuera à la création d’une richesse où les forces de chacun pourront être utilisées pour le bien-être de tous et cette solidarité intergénérationnelle est une valeur très importante pour notre gouvernement, explique le jeune député de Laval-des-Rapides, qui représentait le ministre responsable de la SHQ, Sylvain Gaudreault, lors de l’annonce. Le futur complexe permettra à des familles et à des aînés d’évoluer dans un environnement de qualité et adapté aux besoins de chacun.» Francine Néméh, directrice générale de la Fédération des coopératives d’habitation intermunicipale du Montréal métropolitain, a profité de l’annonce de lundi pour rappeler l’importance des logements sociaux. «Chaque dollar investi dans le logement social, il y a 2,30 $ injectés dans l’économie, en plus du surplus de flexibilité financière de 152 M $ par année réalisées par le logement social pour les personnes à faibles revenus, sans compter les économies sur l’aide à itinérance, aux handicapés et les services de santé mentale. Nous voulons voir ce genre d’investissement de multiplier», précise-t-elle. Le projet inclut des mesures d’efficacité énergétique novatrices telles qu’un système de récupération de chaleur et un système de préchauffage d’air par l’énergie solaire. http://www.hebdosregionaux.ca/laval/2013/10/29/un-nouveau-projet-de-logements-abordables-a-laval-des-rapides ------- Source : http://fechimm.coop/fr/cooperatives/bois-ellen Il s'agit de la grue qui se trouve à côté du Logix depuis quelques mois déjà. Selon l'article, le projet sera complété cet été. On peut mal juger le design parce que l'image ci-haut est le seul "rendu" disponible. En tout cas, c'est un projet bien situé et doté d'une mission claire.
  17. Un projet de 20 étages a été présenté hier au conseil d'arrondissement. Le projet intégrera en partie les locaux du magasin d'instruments de musique Steve's sur la rue St-Antoine. 150 condos 65 mètres Habitations St-Luc (même promoteur que le Solano)
  18. Cette étude relativement actuelle (avril 2014) a été rendue publique en marge de la consultation de l'OCPM sur le projet du site des Franciscains. http://ocpm.qc.ca/sites/ocpm.qc.ca/files/pdf/P82/4.9_ad_hoc_-rapport_synthese_-_etude_acheteur_copropriete.pdf
  19. Une Maison olympique pour Montréal 5 fév. 2014 - par Alec Castonguay Photo : © Mathieu Rivard Dès le mois d’avril, Montréal aura une Maison olympique en plein centre-ville. Un projet de plusieurs millions de dollars qui donnera une vitrine permanente au célèbre mouvement aux cinq anneaux. L’actualité a obtenu les détails avant l’ouverture officielle, ce printemps, dans le cadre d’un grand portrait de Marcel Aubut, publié dans le numéro en kiosque (et Ipad) à partir du vendredi 7 février. Les voici. * * * Marcel Aubut, président du Comité olympique canadien, s’arrête devant le gratte-ciel de 26 étages, au coin du boulevard René-Lévesque et de la côte du Beaver Hall, à Montréal, et ouvre grand les bras, comme pour bien montrer le gigantisme de son nouveau chantier. « On a réussi à avoir le rez-de-chaussée et le premier étage, en plein centre-ville. Ce qu’on pourra faire ici est sans limites », dit-il, excité. La Maison olympique de Montréal, au 500 René-Lévesque Ouest, sera l’un des legs de la présidence de Marcel Aubut au Comité olympique canadien (COC). Et une pièce importante dans la stratégie de mise en valeur de l’organisme et des athlètes amateurs d’élite, que le COC veut imposer dans la culture sportive canadienne. Elle devrait être inaugurée en grande pompe à la fin d’avril. Marcel Aubut négocie avec le CIO, en Suisse, pour obtenir le droit d’installer les anneaux olympiques aux quatre coins du toit, bien visibles. « Je pense être capable de les convaincre, je m’entends bien avec le nouveau président, Thomas Bach », dit-il, avant de sortir une feuille de papier sur laquelle sa vision est dessinée. On y aperçoit les anneaux, de nuit, avec les couleurs olympiques qui illuminent le bâtiment. « On va les voir de tous les ponts en entrant à Montréal ! » lance-t-il. Lors du passage de L’actualité sur le chantier, fin novembre, la moitié des travaux étaient complétés. Dehors, les ouvriers s’affairaient à aménager la grande terrasse, qui longe le devant et le côté de l’immeuble, et qui pourra accueillir des réceptions de plus de 1 000 personnes. Une cuisine pour les traiteurs a été installée. Sur la façade, à une dizaine de mètres au-dessus du trottoir, une bande défilante électronique diffusera des résultats de sports amateurs et des messages aux passants. Des télévisions retransmettront des épreuves et des championnats du monde. À l’intérieur, un mur complet — 3 m 65 sur 3 m — a été transformé en écran géant. « Les gens pourront venir écouter des compétitions. L’ambiance sera incroyable », affirme Marcel Aubut, à la tête du COC depuis 2009 — avocat, Aubut a également été président des Nordiques de Québec, dans la Ligue nationale de Hockey. Un musée interactif sur le sport amateur sera éventuellement déployé dans le hall, et une boutique aux couleurs du COC permettra aux touristes et visiteurs d’acheter des souvenirs toute l’année. La gestion du magasin a été confiée à Kevin Gilmore, chef de l’exploitation des Canadiens de Montréal, que Marcel Aubut a attiré au conseil d’administration du COC. Plus loin, au fond, des salles de réunion avec ordinateurs ont été aménagées pour les fédérations sportives et les athlètes. « Si l’un de nos sportifs cherche un endroit pour étudier, nos portes lui seront ouvertes », dit Aubut en montrant ces locaux vitrés aux murs blancs et au design raffiné. La Maison olympique abrite aussi les dizaines d’employés du COC, qui s’affairaient encore à ouvrir des boîtes au premier étage lors de notre passage. Une petite salle d’entraînement et un vestiaire avec douche ont été aménagés. De grandes peintures colorées ornent les murs. « On est loin de notre trou dans le sous-sol du Stade olympique ! » me dit un employé, visiblement ravi. « C’est important de travailler dans un bel endroit. Ça aide à la productivité », dit Aubut. Le bureau du COC à Montréal compte maintenant plus de 50 employés — ils étaient à peine 6 il y a trois ans. Les activités du bureau d’Ottawa, récemment fermé, ont été transférées à Montréal, où l’on s’occupe de la préparation de la délégation canadienne pour les Jeux olympiques, de l’aide aux fédérations sportives et des communications en français. La Maison olympique de Montréal est une réalisation de plusieurs millions de dollars, au cœur de la ville des Jeux de 1976. Marcel Aubut refuse de dévoiler à combien s’élève la facture. « Mais le plus beau, c’est qu’on ne paie pas un sou ! » lance-t-il avec le sourire. Ordinateurs, téléphones, téléviseurs, tables, chaises… tout provient de commandites. La facture de transformation de l’immeuble et de la grande terrasse est quant à elle en grande partie absorbée par les propriétaires du bâtiment, une société en commandite que contrôlent deux hommes d’affaires montréalais, Simon Margel et George Gantcheff, qui ont flairé le prestige (et la valeur) d’accueillir le mouvement olympique. « Pour leur montrer l’importance de l’olympisme, j’ai invité les propriétaires aux Jeux de Vancouver. Ils n’ont pas été difficiles à convaincre ! » dit Marcel Aubut. Une Maison olympique pour Montreal - L'actualite
  20. Incendie au Manège militaire: le feu aux portes du Vieux-Québec Une partie de l’histoire de Québec s’est envolée en fumée, tard vendredi soir, quand un impressionnant incendie a fortement endommagé le Manège militaire, aux portes du Vieux-Québec. Nos photos de l’incendie L’incendie s’est déclaré vers 21h30. À ce moment, plusieurs témoins disent avoir entendu une explosion assez importante, qui aurait été vue jusqu’à Saint-Émile. Ensuite, les flammes se sont rapidement attaquées à la toiture de la partie centrale de l’immense bâtiment. Ce secteur abritait une salle de cérémonie. Les pompiers n’ont pas hésité une seconde pour sonner une quatrième alarme, ce qui représente l’intervention d’une soixantaine de pompiers. La Grande Allée a été fermée entre le Dagobert et l’Assemblée nationale. Des centaines de curieux assistaient à la scène, impuissants, le long des rubans de sécurité qui ont été installés par les policiers. Plusieurs camions-pompes ont été dépêchés sur place afin de lutter contre l’incendie, qui n’a jamais cessé de prendre de l’intensité. Vers 22h10, devant la puissance des flammes, une partie du toit s’est écroulée. Un autre pan important de la toiture s’est effondré quelques dizaines de minutes plus tard. «Je marchais devant sur la Grande Allée et à un moment donné, j’ai entendu un gros bruit qui ressemble à du gaz qui prend en feu, explique Vincent Jaffré, un citoyen français en visite. J’ai immédiatement couru à mon hôtel pour prévenir le personnel, mais personne ne me croyait!» Selon un représentant de l’armée canadienne, Paul Saccà, personne ne se trouvait à l’intérieur de l’édifice quand les flammes ont commencé leur travail destructeur. «Nous n’avions aucune arme d’entreposée dans cet édifice, affirme-t-il. Il y avait bien quelques solvants, mais aucun explosif et aucune munition.» La puissance du brasier impressionnait. Des tisons assez gros ont été vus, volant dans les airs, jusqu’à l’ouest de l’hôtel Le Concorde. Le personnel de ce même hôtel a même fermé l’ascenseur panoramique durant un bon moment. Au moment d’aller sous presse, le brasier avait détruit une grosse partie du centre de l’édifice et commençait à s’attaquer à la partie ouest, qui abrite un musée, et la partie plus à l’est, qui contient notamment des bureaux administratifs. Les flammes avaient perdu de leur intensité, mais les pompiers avaient encore beaucoup de travail devant eux avant de maîtriser complètement l’incendie. «Les pompiers en ont probablement pour la nuit avant de contrôler la situation», estimait le porte-parole de la Ville de Québec Jacques Perron. La conseillère municipale de la Ville de Québec et responsable des dossiers de patrimoine, Denise Trudel, s’est présentée sur les lieux de l’incendie dès qu’elle a appris la triste nouvelle. «C’est une catastrophe pour Québec, s’est-elle écriée. Plusieurs activités devaient être présentées dans le Manège militaire dans le cadre des activités du 400e anniversaire de Québec. C’est une journée très triste pour nous.» Mme Trudel avait entrepris des démarches récemment afin d’inclure le Manège militaire et la Grande Allée dans la zone historique protégée. «Rebâtissez ça au plus vite», dit Labeaume, atterré Joint à Paris au beau milieu de la nuit, le maire de Québec, Régis Labeaume, était atterré hier à l’annonce de la nouvelle de l’incendie qui a ravagé le Manège militaire. «Je suis dévasté, je suis à terre, je n’en reviens pas!» a lancé le maire Labeaume en entrevue à LCN, en direct de Paris. «Ça fait partie du mobilier de Québec. (...) Il manque un très gros morceau. Ça fait partie du système sanguin de la ville», a ajouté le maire à propos de cet incontournable de la capitale. «Instinctivement, j’ai envie de dire au gouvernement fédéral “Rebâtissez ça au plus vite, c’est tellement important dans notre vie”.» M. Labeaume, visiblement secoué, a soulevé la possibilité d’écourter son voyage en France et de rentrer plus tôt au Québec, «si je peux être utile». Il devait passer encore une semaine en Europe. Il a contacté d’urgence son chef de cabinet pour évaluer la situation. Stéphanie Martin http://www.cyberpresse.ca/article/20080404/CPSOLEIL/80405004/5019/CPSOLEIL
  21. Un nouveau projet dans le secteur Namur / Jean-Talon Il sera situé entre le Parc De La Savane et Côté Ouest Phase II Lien EDIT: I'm attaching the presentational document by the promoter and architectural firm
  22. Initialement, la tour IBM devait avoir 75 étages. Je crois que ça a été réduit en raison de la limite du Mont-Royal, mais je ne suis pas certain. Habsfan en sait plus que moi sur ce premier projet. http://grandquebec.com/upl-files/tour_ibm.jpg
  23. Nouveau projet immobilier sur l'Ilot Mont-Royal Ford - Le Plateau sans concession ! MONTREAL, le 4 sept. /CNW Telbec/ - C'est lors d'une rencontre avec les citoyens de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal que le Groupe Gabriel a dévoilé hier son projet de développement sur l'ancien site du concessionnaire Mont-Royal Ford, entre les rues Fullum et Messier. Le Groupe Gabriel a ainsi annoncé son intention de démolir, dès que possible, tous les bâtiments de l'ancien concessionnaire automobile pour les remplacer par un projet résidentiel avec une partie commerciale sur le côté nord de l'avenue du Mont-Royal. Des bonnes nouvelles pour les résidents du secteur Le projet propose la relocalisation du Metro Supermarché Mont-Royal (actuellement au coin de la rue Parthenais), lequel comprendra, aux deux étages supérieurs, 46 unités d'habitation dont 23 logements sociaux. Ce nouvel emplacement, d'une superficie plus grande, notamment pour la préparation d'aliments en sous-sol, permettra non seulement une meilleure offre alimentaire dans le secteur, mais aussi une gestion nettement améliorée des livraisons et de la circulation. Sur la portion nord du site, 180 unités d'habitation en copropriété seront construites, dont plus d'une quarantaine spécifiquement destinée aux familles. Une attention toute particulière a été portée afin d'élaborer un projet qui saurait maximiser les espaces verts, minimiser le stationnement sur rue et offrir des avantages aux cyclistes. C'est ainsi que l'architecte Louis-Paul Lemieux, de l'Atelier Ville Architecture Paysage, a présenté un projet aux lignes architecturales originales, proposant la construction de quatre bâtiments disposés perpendiculairement aux rues Fullum et Messier. Cette disposition des bâtiments, contrairement aux alignements traditionnels en façade des rues, permet des percées visuelles majeures tout en améliorant la qualité du milieu de vie et de l'environnement. Tout au long de la soirée, les citoyens ont émis des commentaires constructifs visant la bonification du projet. Il a notamment été question de la proportion de logements sociaux et abordables, de l'aménagement des façades de côté du marché Metro et de l'intégration d'une dimension artistique ou culturelle au projet. L'ensemble de ces commentaires ont été reçu favorablement par les représentants du Groupe Gabriel et de Metro qui se sont engagés à les considérer en vue de pouvoir les intégrer au projet. "Nous souhaitons ardemment participer à la revitalisation du quartier. Nous sommes très heureux d'avoir pu rencontrer nos voisins afin de les informer de ce projet dont nous sommes très fiers. Cela nous a non seulement permis de répondre à leurs questions, mais aussi de connaître leurs préoccupations. Nous visons la meilleure intégration possible de notre projet dans ce secteur de l'arrondissement qui en a bien besoin", a déclaré M. Fadi Azouz, responsable du projet au sein du Groupe Gabriel. Le Groupe Gabriel est une entreprise familiale québécoise en affaires depuis plus de 20 ans et particulièrement active dans les domaines de l'automobile et de l'immobilier. Renseignements: Pierre Guillot-Hurtubise, (514) 581-6068; Source: Groupe Gabriel
  24. Le Mackay "revisité"..... http://www.journalmetro.com/linfo/article/610291--feu-vert-a-la-construction-d-une-residence-etudiante-sur-mackay Permettez un commentaire: PUTAIN D'OCPM! Ils auront réussi à transformer un projet qui avait de la gueule en tourette sans envergure.... C'est vrai que je n'ai pas vu les nouveaux rendus, mais de 34 à 23 étages, parions que ça va passer pas mal plus inaperçu! Surtout à cet endroit! Un vrai crime...
×
×
  • Créer...