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  1. Et bien, il me semble que j'avais entendu qu'il voulait même rester jusqu'aux prochaines élections via Radio-Canada : Richard Bergeron quitte la direction de Projet Montréal Mise à jour le lundi 27 octobre 2014 à 8 h 26 HAE Le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, quitte la direction du parti. Il en fera l'annonce à 11 h ce matin en compagnie de celui qui deviendra le chef intérimaire. On ignore toutefois qui lui succédera. Après les élections municipales en novembre dernier, Richard Bergeron avait dit qu'il quitterait éventuellement la formation qu'il a lui-même créée. Mais il avait déclaré récemment qu'il pourrait aussi rester, puisqu'il aimait le travail que lui a confié le maire Denis Coderre. En février dernier, le nouveau maire de Montréal lui a en effet confié la direction du dossier du recouvrement de l'autoroute Ville-Marie, dans l'est du centre-ville de Montréal. Richard Bergeron est l'un des principaux idéateurs de ce projet, qui consiste à recouvrir la tranchée formée par l'autoroute Ville-Marie afin d'y aménager des espaces verts et des places publiques.
  2. Élections générales le 12 juin en Ontario La première ministre de l'Ontario, Kathleen Wynne, déclenche des élections générales pour le 12 juin. Elle a rencontré le lieutenant-gouverneur en début d'après-midi pour ensuite s'adresser aux médias. Après avoir annoncé que l'Assemblée législative sera dissoute dans l'après-midi, Kathleen Wynne n'a pas tardé à livrer son discours de campagne et à attaquer ses adversaires politiques. Elle a aussi critiqué le premier ministre, Stephen Harper pour ne pas avoir financé des projets d'infrastructure comme celui du Cercle de feu et pour ne pas avoir amélioré les revenus des retraités qui ne bénéficient pas de régime de pension de leur entreprise. La première ministre, Kathleen Wynne arrive chez le lieutenant gouverneur.La première ministre, Kathleen Wynne arrive chez le lieutenant gouverneur. Photo : Claudine Brulé Elle a affirmé que les électeurs ont maintenant le choix entre une approche libérale équilibrée pour la création d'emploi et la croissance économique et celle d'un parti d'opposition qui mettrait la reprise à risque avec des stratégies imprudentes. « Le 12 juin les Ontariens auront le choix. Le choix entre des mains sures et des tactiques risquées », a-t-elle déclaré. Kathleen Wynne et le chef conservateur Tim Hudak ont déjà annoncé la tenue de rassemblements vendredi soir. Les libéraux seront à Toronto et les conservateurs à Ottawa. Selon Kathleen Wynne, les élections sont déclenchées à cause des chefs du Nouveau Parti démocratique et du Parti progressiste-conservateur qui ont rejeté le budget libéral. « Le NPD fait des promesses, mais ne dit pas comment il compte les payer », a dit Kathleen Wynne en ajoutant « alors ce n'est pas le moment pour des chimères ». Les conservateurs « feraient régresser » l'Ontario en « déclarant la guerre » aux organisations syndicales et en réduisant les programmes gouvernementaux sur lesquels comptent les gens, a dit la chef libérale. « Leurs compressions dévasteraient des services publics cruciaux en santé et en éducation », a-t-elle affirmé. « Leurs compressions nous mèneraient sur la voie des bas salaires et d'une faible croissance économique ». Un peu plus tôt dans la journée, Mme Wynne se disait déçue d'apprendre que les néo-démocrates avaient choisi de ne pas appuyer le budget. Une élection provinciale en chiffres | Create Infographics La chef néo-démocrate Andrea Horwath a en effet précisé, vendredi matin, qu'elle voterait contre le budget du gouvernement libéral minoritaire. « J'ai perdu confiance en Kathleen Wynne », a affirmé Mme Horwath, rappelant les différents scandales qui ont frappé le gouvernement libéral en place depuis deux ans et demi, dont l'effacement de courriels gouvernementaux au sujet de l'annulation de deux projets de centrales électriques au coût de plus de 1 G$. « Il est temps pour Kathleen Wynne d'être imputable. C'est le temps que les électeurs décident. » — Andrea Horwath, chef du NPD La chef néo-démocrate avait reconnu que le budget contenait plusieurs mesures favorables aux moins nantis et aux familles, comme la création d'un nouveau régime de retraite. Mais elle « n'a pas confiance » que les libéraux puissent réaliser leurs promesses, après ne pas avoir rempli celles du budget de l'an dernier, comme la réduction des primes d'assurance automobile. Budget Ontario 2014 La chef libérale Kathleen Wynne, avait donné une semaine à Mme Horwath pour faire connaître sa position sur le budget. Les conservateurs avaient déjà fait savoir qu'ils voulaient des élections. Vendredi, le chef du Parti progressiste-conservateur, Tim Hudak, a qualifié les néo-démocrates d'hypocrites leur reprochant d'avoir pris beaucoup de temps avant de décider de ne pas appuyer les libéraux. « Si vous cherchez celui qui sera le meilleur comédien sur la scène, si vous cherchez quelqu'un qui veut gagner un concours de popularité en promettant des subventions pour toutes sortes de projets, mais qui n'a pas les moyens de payer, et bien votez pour la chef libérale ou la chef néo-démocrate », a dit Tim Hudak à Ottawa. « Mais si vous voulez un plan de redressement pour remettre l'Ontario au travail, regardez-moi, regardez mon équipe, regardez mon plan » a affirmé le chef conservateur. Pour sa part, le syndicat Unifor est « très déçu » de la décision du NPD, affirmant que le budget libéral était « bon pour les travailleurs de l'Ontario ». http://ici.radio-canada.ca/regions/ontario/2014/05/02/001-budget2014-elections-reax-horwath.shtml
  3. Voyons si les sondages CROP-Lapresse-Ipsos-etc. sont aussi juste que notre sondage maison ! Alors, pour qui allez-vous voter ?
  4. MtlMan

    Coderre maire?

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-canadienne/201009/28/01-4327537-coderre-reflechit-a-son-avenir.php
  5. Source: ProposMontréal Je me permets en ce premier janvier de faire un top 5 des événements positifs qui frapperont Montréal en 2013. 5. Le retour du Hockey 4. La bouffe de Rue 3. Le Stade Olympique 2. Les Grues 1. Les élections Municipales. Lisez l'article pour plus de détails, cette liste n'est qu'une opinion personnelle. Vous pouvez être d'accord ou non.
  6. http://affaires.lapresse.ca/economie/energie-et-ressources/201210/01/01-4579266-le-plan-nord-est-enterre.php Plus ce genre de nouvelles se multiplient et plus je vais trouver le temps trés long les prochaines élections... Ps:je ne suis pas autorisé a poster dans la section politique je n'ai pas assez de posts.
  7. SONDAGE TRADITIONNEL - ÉLECTIONS - ÉDITION 2011! AVIS: les discussions politiques sont normalement réservées au forum de la politique, mais typiquement pour les élections on fait une exception en créant un sondage. Ce fil n'est pas pour débattre la politique mais simplement pour partager vos intentions de vote - pas plus. Pour le débat, veuillez consulter le forum politique. I will be monitoring this thread closely. At the slightest deviation from the established rules, the other moderators and I will be swift in deleting posts.
  8. MtlMan

    L'esprit des lois

    Peu importe comment ils veulent spinner ça, c'est croche. Point. Pis à ça on peut rajouter la petite magouille de Jason Kenney qui se sert de matériel public pour faire son prosélytisme partisan. Avec une majorité, vous pensez vraiment qu'ils vont s'empêcher de piger dans la caisse? Surtout que la tendance conservatrice à l'idéologisme zélé les pousse inévitablement à justifier, dans leur esprit du moins, toutes les manoeuvres pcq, après tout, "la fin justifie les moyens". Des boutons libéraux se pointent sur leur visage. Attention à la crise d'acné! http://www.cyberpresse.ca/place-publique/editorialistes/andre-pratte/201103/04/01-4376141-lesprit-des-lois.php
  9. Yves Boisvert le 8 novembre 2010 La Presse En écoutant le dernier épisode d'Enquête, on pourrait être absolument découragé du délabrement de la démocratie municipale au Québec. Il y a de quoi. Mais réjouissons-nous tout de même: la pourriture municipale est exposée. On a des noms, des dates, des faits. Ce qui ressort de cette série déprimante de portraits municipaux, c'est l'insignifiance des institutions de contrôle. Le Directeur général des élections manque toujours de preuve, le ministère des Affaires municipales est mou et tout continue comme avant. «Tout le monde» sait comment ça fonctionne... rien n'arrive. Comment se fait-il qu'encore une fois, ce sont des journalistes qui font le travail? On a vu, à visage découvert, l'entrepreneur Jean-Guy Ouellet dire à la caméra de Radio-Canada que le maire de Mascouche, Richard Marcotte, lui a demandé une maison gratuitement en échange d'un droit de construire. Rien que ça! On a vu le député péquiste de Masson, Guillaume Tremblay, dire qu'il a été intimidé par l'entrepreneur Normand Trudel, proche du maire de Mascouche. On n'a pas eu la version de MM. Marcotte et Trudel, qui ont refusé de répondre aux questions. En attendant, le reportage nous apprend que le maire de Mascouche a acquis pour 100 000$ deux copropriétés dans un nouveau complexe, copropriétés qu'il a revendues assez rapidement avec des profits de 35 000$ et 45 000$. Il a du flair, le maire. Se plaçait-il en conflit d'intérêts en achetant des copropriétés autorisées par son administration municipale? Ah, ça, on le saura quand la loi 109 aura été adoptée et un Code d'éthique des municipalités mis en vigueur, n'est-ce pas... Un code, c'est bien. Un sens de l'éthique, c'est mieux. *** La femme du maire de Sainte-Julienne, Marcel Jetté, travaille pour le cabinet d'avocats Dunton Rainville. Ce même cabinet a obtenu des contrats de la Ville. Ce n'est pas un crime, mais on aurait aimé voir le maire au moins reconnaître le début d'une apparence de conflit d'intérêts. C'était trop demander. Dunton Rainville, d'ailleurs, est un joueur majeur dans le monde municipal dans la grande région de Montréal. Dans plusieurs municipalités, le cabinet a des contrats de gestion des relations de travail et des mandats en droit municipal. Bien plus troublant encore, on voit que le monde municipal a conçu des stratégies pour soustraire au regard du public un certain nombre de projets. À Laval, où le monarque Gilles Vaillancourt règne depuis 21 ans, il n'y a aucun conseiller municipal de l'opposition. Zéro. Et le conseil municipal n'aime pas trop la contestation. La Ville a confié à un organisme à but non lucratif le projet d'une «Cité de la culture et des sports», évalué à près de 100 millions. Même s'il est dirigé par des hauts fonctionnaires de la Ville, l'organisme fonctionne hors du champ d'examen public. Enquête nous dit également que son conseil est composé de fonctionnaires municipaux. Son porte-parole est un avocat de Dunton Rainville payé par la Ville. S'il est vrai que les fonds injectés dans le projet sont publics à 80%, au nom de quoi permettrait-on que cet organisme ne soit pas public? *** Il y a 1104 municipalités au Québec. La moitié des maires y sont réélus par acclamation. Ils ne doivent pas être si mauvais. Mais là où il y a des élections, moins de la moitié des électeurs inscrits vont voter. L'intérêt et la surveillance des citoyens n'y sont tout simplement pas. On ne sera donc étonné qu'à moitié de voir la mollesse du ministère des Affaires municipales et du Directeur général des élections du Québec. Le meilleur exemple étant les élections clés en main?: comment des firmes de professionnels organisent des élections dans la région de Montréal en échange de contrats. Tout le monde le sait, on connaît les noms, on a les photos... un rapport a été fait là-dessus il y a bientôt 10 ans... mais personne n'a jamais été accusé. Manque de preuve hors de tout doute. Les projets de loi présentement à l'étude à Québec vont resserrer les règles. De nouveaux vérificateurs sont déjà à l'oeuvre pour enquêter sur les contrats municipaux. Mais ce n'est pas assez. Il faut centraliser dans un seul organisme la surveillance de la démocratie municipale, manifestement malade, et envoyer un signal clair. Tout comme les informations sur les contrats et appels d'offres - en ce moment disponibles ville par ville. Pourquoi un trottoir coûterait plus cher à Montréal qu'à Brossard? Les prix, les noms, les contrats doivent être connus de tous et facilement comparables. Voyez comment les prix des travaux municipaux ont chuté à Montréal. Pourquoi? Parce que les magouilleurs se sentent surveillés. À défaut de restaurer la vie démocratique municipale, qu'au moins on restaure la concurrence honnête. Ce sera déjà ça.
  10. Un an après avoir été réélu à la mairie de Montréal en promettant «d'incarner le changement», Gérald Tremblay n'a convaincu personne. Trois Montréalais sur cinq souhaitent maintenant le voir partir, révèle un sondage Léger Marketing. Le coup de sonde, réalisé un an, jour pour jour, après la troisième élection de Gérald Tremblay à l'Hôtel de Ville, montre que le maire traîne de la patte. À peine un électeur sur cinq (19 %) voterait pour lui si des élections avaient lieu ces jours-ci. On est loin des 38 % qu'il avait récoltés lors des élections du 1er novembre 2009. De fait, 59 % des Montréalais interrogés souhaiteraient un changement à la mairie. Moins d'un électeur sur quatre dit vouloir continuer avec l'équipe du maire Tremblay. Pas rassurant «Ce n'est rien de rassurant pour Gérald Tremblay. Alors qu'il devait amener du changement dans sa façon de faire les choses, les gens constatent que, finalement, rien n'a changé», analyse le président de Léger Marketing, Jean-Marc Léger. Toutefois, la rivale du maire, Louise Harel, ne profite pas réellement des déboires de Gérald Tremblay. La chef de Vision Montréal fait à peine mieux, avec 23 % des intentions de vote. Même Richard Bergeron, chef de Projet Montréal, qui a été nommé, par Gérald Tremblay, au sein du comité exécutif de la Ville, ne réussit pas à s'imposer, avec un maigre 11 %. «C'est comme au provincial : les gens sont insatisfaits du gouvernement, mais le sont aussi de l'opposition. Il y a une fatigue dans l'électorat. Actuellement, c'est le parti du peut-être qui l'emporterait», constate M. Léger. Mieux dans les arrondissements Toutefois, les Montréalais semblent apprécier davantage les élus de leurs conseils d'arrondissement. Près de 40 % souhaitent conserver les équipes en place, contre 25 % qui préféreraient du changement. * Aux élections de l'an dernier, Gérald Tremblay avait récolté 38 % des voix, contre 33 % pour Louise Harel et 25 % pour Richard Bergeron. Seulement 39 % des électeurs inscrits avaient exercé leur droit de vote. * Les derniers sondages effectués la veille de l'élection donnaient les trois candidats pratiquement nez à nez. Si les élections municipales avaient lieu aujourd'hui à la mairie de Montréal, pour qui voteriez-vous ? Gérald Tremblay 19% (38% aux élections) Richard Bergeron 11 % (25% aux élections) Louise Harel 23 % (33% aux élections) Autre : 11 % Aucun / Ne votera pas : 9 % Ne sait pas : 25 % Si les élections municipales avaient lieu aujourd'hui à la mairie de Montréal, souhaiteriez-vous un changement à la mairie ou voudriez-vous continuer avec l'équipe en place ? 59 % : Un changement 23 % : Continuer Et si les élections municipales avaient lieu aujourd'hui dans votre arrondissement, est-ce que vous voteriez pour le maire actuel ou pour un autre candidat ? 39 % Maire actuel 25 % Autre candidat La présente étude a été réalisée entre le premier et le 2 novembre 2010 auprès de 827 personnes âgées de plus de 18 ans et habitants au Québec. Les données finales du sondage ont été pondérées selon l'âge, le sexe, la langue maternelle, le degré de scolarité et la composition du foyer 9avec ou sans enfant), de façon à garantir un échantillon représentatif de la population des villes sondées. http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/actualites/national/archives/2010/11/20101103-035309.html
  11. http://www.cyberpresse.ca/dossiers/elections-municipales/200908/17/01-893333-elections-jacques-goyette-veut-longueuil-en-tete.php
  12. Tremblay seul dans la course À l'aube d'une année électorale qui pourrait lui donner un troisième mandat à la mairie de Montréal, Gérald Tremblay semble complètement seul dans la course, selon un sondage Léger Marketing réalisé pour le compte du Journal de Montréal. Le maire de Montréal éclipse totalement ses deux adversaires déclarés, Benoît Labonté et Richard Bergeron. Les résultats du sondage sont particulièrement catastrophiques pour le chef de l'opposition et nouveau chef de Vision Montréal, Benoît Labonté. Avec seulement 4 % des intentions de vote, il se retrouve derrière le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. «Benoît Labonté doit démontrer qu'il est une alternative sérieuse au maire Tremblay. Mais actuellement, pour les Montréalais, il n'y a pas de réelle alternative», analyse le sondeur Jean-Marc Léger. Car la principale force du maire sortant, c'est sa popularité. «Il est très populaire. Les autres sont accueillis dans l'indifférence actuellement», ajoute-t-il. Des inconnus De fait, les deux adversaires de Tremblay sont totalement inconnus de la majorité de la population. Trois personnes sur cinq ne connaissent par Benoît Labonté et seulement une personne sur cinq dit connaître Richard Bergeron, qui était pourtant candidat à la mairie aux dernières élections de 2005. Il avait fini avec 9%des voix. Est-ce possible que l'un des deux réussissent à surprendre Gérard Tremblay au fil d'arrivée? «Rien n'est impossible. Il peut se passer bien des choses d'ici les élections. Mais si des élections avaient lieu maintenant, Gérald Tremblay l'emporterait haut la main», indique M. Léger. Vision Montréal en déroute Le sondage tombe bien mal pour Benoît Labonté qui essaie tant bien que mal de maintenir l'unité de son parti Vision Montréal. Depuis l'automne dernier, au moins quatre personnalités de premier plan du parti ont claqué la porte: Robert Laramée, Claire Saint-Arnaud, Pierre Minville et, plus récemment, Christine Hernandez. Élu maire de l'arrondissement Ville-Marie sous la bannière du parti de Gérald Tremblay en 2005, Benoît Labonté a claqué la porte en septembre 2007 et rejoint Vision Montréal, l'ancien parti de l'ex-maire Pierre Bourque. Il a été nommé chef de Vision Montréal en mai dernier. Si Gérald Tremblay est élu pour un troisième mandat, il sera le premier à réussir l'exploit de-puis Jean Drapeau. Ni Jean Doré ni Pierre Bourque n'ont réussi à se faire élire trois fois.
  13. Régis Labeaume rêve grand: http://equipelabeaume.com/quebec-2014.html
  14. Publié le 17 août 2009 à 14h33 | Mis à jour à 14h38 Élections: Jacques Goyette veut Longueuil en tête Éric Clément La Presse Le chef du Parti municipal de Longueuil (PML), Jacques Goyette, a dévoilé ce lundi après-midi en conférence de presse un ambitieux programme électoral surnommé «Longueuil en tête». M. Goyette a dit vouloir poursuivre le développement de Longueuil en «respectant le cadre budgétaire de la Ville» et il s'est engagé à obtenir un milliard de nouveaux investissements à Longueuil d'ici quatre ans. Rappelant que Longueuil a été reconnue comme étant au premier rang des villes les mieux gérées au Québec et également en tête au Canada pour le plus bas taux résidentiel moyen, le chef du PML a dit que la grande ville de la rive-sud va se doter d'un Plan de transport global comprenant l'ajout de six stations de métro, le redéveloppement du boulevard Taschereau avec notamment un tramway, la construction d'un système léger sur rail (SLR) dans l'axe du pont Champlain et la création d'un service de vélos en libre-service Bixi. Répondant aux questions des médias, M. Goyette a dit qu'il avait confiance que des annonces soient faites prochainement en ce qui a trait au transport en commun régional. Le candidat qui veut succéder au maire Claude Gladu veut aussi implanter, comme à Montréal, un centre d'appels téléphoniques 311, pour permettre de répondre aux questions des citoyens sept jours sur sept. Il veut aussi accroître l'accessibilité des élus en instaurant partout dans la Ville des façons d'améliorer les communications entre la classe politique et les citoyens. Il a rappelé qu'il veut faire adopter par le conseil municipal un code d'éthique pour tous les élus et ce, dans les six mois suivant son éventuelle élection. «Je demande aux Longueuillois et aux Longueuilloises de prendre le temps de lire les programmes et de se faire leur propre idée, et surtout d'aller voter le 1er novembre prochain en ayant eux-aussi Longueuil en tête.» M. Goyette a-t-il chiffré l'ampleur de ses promesses? Non. Mais le chef du PML dit que chaque promesse a été évaluée. «Nos engagements sont réalistes, dit-il. Bien des projets vont se faire avec d'autres instances gouvernementales afin que Longueuil puisse profiter, comme les autres grandes villes, de grands projets.» Le programme de Jacques Goyette peut être consulté à http://www.equipejacquesgoyette.com.
  15. Tremblay seul dans la course Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 16/02/2009 05h17 - Mise à jour 16/02/2009 11h33 Gérald Tremblay semble bien en selle la mairie de Montréal. À l'aube d'une année électorale qui pourrait lui donner un troisième mandat à la mairie de Montréal, Gérald Tremblay semble complètement seul dans la course, selon un sondage Léger Marketing réalisé pour le compte du Journal de Montréal. Le maire de Montréal éclipse totalement ses deux adversaires déclarés, Benoît Labonté et Richard Bergeron. Les résultats du sondage sont particulièrement catastrophiques pour le chef de l'opposition et nouveau chef de Vision Montréal, Benoît Labonté. Avec seulement 4 % des intentions de vote, il se retrouve derrière le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. «Benoît Labonté doit démontrer qu'il est une alternative sérieuse au maire Tremblay. Mais actuellement, pour les Montréalais, il n'y a pas de réelle alternative», analyse le sondeur Jean-Marc Léger. Car la principale force du maire sortant, c'est sa popularité. «Il est très populaire. Les autres sont accueillis dans l'indifférence actuellement», ajoute-t-il. Des inconnus De fait, les deux adversaires de Tremblay sont totalement inconnus de la majorité de la population. Trois personnes sur cinq ne connaissent par Benoît Labonté et seulement une personne sur cinq dit connaître Richard Bergeron, qui était pourtant candidat à la mairie aux dernières élections de 2005. Il avait fini avec 9%des voix. Est-ce possible que l'un des deux réussissent à surprendre Gérard Tremblay au fil d'arrivée? «Rien n'est impossible. Il peut se passer bien des choses d'ici les élections. Mais si des élections avaient lieu maintenant, Gérald Tremblay l'emporterait haut la main», indique M. Léger. Vision Montréal en déroute Le sondage tombe bien mal pour Benoît Labonté qui essaie tant bien que mal de maintenir l'unité de son parti Vision Montréal. Depuis l'automne dernier, au moins quatre personnalités de premier plan du parti ont claqué la porte: Robert Laramée, Claire Saint-Arnaud, Pierre Minville et, plus récemment, Christine Hernandez. Élu maire de l'arrondissement Ville-Marie sous la bannière du parti de Gérald Tremblay en 2005, Benoît Labonté a claqué la porte en septembre 2007 et rejoint Vision Montréal, l'ancien parti de l'ex-maire Pierre Bourque. Il a été nommé chef de Vision Montréal en mai dernier. Si Gérald Tremblay est élu pour un troisième mandat, il sera le premier à réussir l'exploit de-puis Jean Drapeau. Ni Jean Doré ni Pierre Bourque n'ont réussi à se faire élire trois fois.
  16. Voici les sujets qu'il faudra surveiller en 2008: Aeromart: Salon de l'aviation, première fois en Amérique du nord Aloft PET: ouverture Autoroute Bonaventure: Dépôt de l'étude d'avant projet Autoroute 25: début de la construction Autoroute 30: soumission des 3 candic Budget provincial. Budget fédéral. CHUM - appel d'offre pour la construction de la tour Crystal de la Montagne: ouverture CSeries: décision de Bombardier Déménagement des 3000 employés de Bell à l'ïle des soeurs. Déménagement de l'Hippodrome de Montréal Élections provinciale? Élections fédérales? Éolien: choix des soumissionaires par le gouvernement du Québec. Hilton Garden Inn: Ouverture. Hotel-Complexe Chateau Viger : début des travaux Lien Centre-ville - Aéroport P.E.T. Dépôt des études de coûts et appel d'offres; Locations de vélos Montréal. Mariott PET: ouverture Marque de commerce de Montréal: choix final MUHC: dépôt du budget et des détails du projet Nombres de naissance au Québec en 2007 Ouverture Stade Saputo Place Norman-Bethune: réfection Phase 1 Quartier des spectacles Reconstruction de la Place d'Armes Ritz Carleton, début des travaux de rénovations; STM: cartes à puces Swatow: ouverture Vistal 1: ouverture Westin: ouverture N'hésitez pas à en suggérer dans ce fil.
  17. Voyant les politiciens promettre de l'aide aux secteurs manufacturier, de la santé et de l'éducation, des acteurs du secteur des technologies de l'information (TI) s'estiment négligés par la campagne électorale. Pour en lire plus...
  18. En pleine tourmente financière, le marché du travail a lâché pied aux États-Unis alors qu'il l'avait encore au Canada, grâce aux élections fédérales. Pour en lire plus...
  19. Après l'euphorie provoquée par les élections américaines, les marchés boursiers ont tous clôturé en forte baisse. Pour en lire plus...
  20. L'idée que l'élection d'un nouveau président américain serait généralement le prélude à une montée du Dow Jones ne peut pas servir de stratégie, selon Jean-Marc Bourgineau, analyste chez Jitney Trade. Pour en lire plus...
  21. Publié le 06 octobre 2008 à 07h03 | Mis à jour à 07h20 Jacques Parizeau veut entendre parler de souveraineté Violaine Ballivy La Presse La souveraineté du Québec devra occuper l'avant-scène du programme du Parti québécois durant la prochaine campagne électorale, estime l'ancien premier ministre Jacques Parizeau. Alors que des rumeurs voudraient que Jean Charest déclenche des élections cet automne, Jacques Parizeau a déclaré hier que le Parti québécois doit établir dès maintenant et très clairement ses intentions, en n'hésitant pas à faire de la question nationale son principal enjeu électoral. «Le Parti québécois a une sale habitude depuis bien des années: à l'approche des élections, le débat commence à savoir si on va parler de souveraineté ou bien si on va mettre cela sur la glace (...) pour avoir accès à un plus grand nombre d'électeurs.» Jacques Parizeau s'inquiète des conséquences d'un tel discours. «On ne peut pas dire «je suis souverainiste mais un peu moins de ce temps-ci parce qu'on s'en va en élection. Et dès que l'élection sera passée, on le sera davantage.» On finit par perdre la confiance des gens.» «Le moment où l'on s'est le plus rapprochés de la souveraineté, c'est en 1995, et la campagne électorale de 1994 avait porté essentiellement sur la souveraineté», a-t-il relevé. Jacques Parizeau croit aussi que, maintenant que Pauline Marois a «réglé une fois pour toute la question de la date d'un référendum», le parti est en meilleure posture. Selon lui, l'obligation de tenir un référendum au cours du premier mandat d'un gouvernement péquiste était un «corset», une «mauvaise idée» que le parti traînait depuis 1976. «Il est tout à fait possible qu'il y ait deux élections l'une après l'autre. Ce n'est écrit nulle part qu'il y a forcément un long moment entre deux élections et qu'on a le temps de faire un référendum là-dedans. Il fallait régler cette affaire.» Il a déploré que certains aient décelé dans les propos de Mme Marois une intention cachée de mettre en veilleuse la souveraineté. «Elle ne l'a pas écartée», a-t-il dit à plusieurs reprises M. Parizeau n'a pas voulu spéculer sur la possibilité d'élections provinciales à l'automne, alors qu'il participait justement à l'assemblée d'investiture de sa femme, Lisette Lapointe, dans la circonscription de Crémazie. Il a tout de même exhorté les troupes péquistes à commencer à se mobiliser: «Quand M. Charest décidera qu'il veut des élections, on sera en élections. Soyons prêts.» L'ancien premier ministre n'a pas voulu se prononcer sur le déroulement de la campagne électorale fédérale.
  22. La candidate indépendante dans la circonscription de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques propose une stratégie pour contrer les effets de la hausse vertigineuse du prix du carburant. Pour en lire plus...
  23. La Chambre des notaires du Québec est divisée par une bataille juridique. Au coeur du litige: les élections qui ont porté Denis Marsolais à la présidence le 10 avril dernier. Pour en lire plus...
  24. Au moment où des élections fédérales agrémenteront vraisemblablement l'automne canadien, les investisseurs et les acteurs du marché boursier du pays garderont un oeil sur l'élection qui aura lieu de l'autre côté de la frontière. Pour en lire plus...
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