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  1. Après une attente de 90 ans, l'Oratoire St- Joseph aura finalement son ascenseur! L'appareil facilitera l'accès pour les visiteurs et les pèlerins à mobilité réduite et les familles avec des poussettes. Il reliera la chapelle votive, la salle des pas perdus et le niveau où est conservé précieusement le cœur du frère André. Son accès, à partir de la chapelle votive au niveau de la crypte, longe le roc du mont Royal sur plusieurs mètres et offre un coup d'œil unique sur dix mètres de falaise intérieure. Cette nouvelle installation sera inaugurée vendredi.
  2. Le projet d’expansion de l’Église de scientologie à Montréal serait-il paralysé? 12 août 2013 | Gaétan Pouliot | Actualités en société Photo : Annik MH De Carufel - Le Devoir Aucuns travaux n'ont été entamés sur le bel immeuble de pierre de six étages de la rue Sainte-Catherine acheté en 2007 par les scientologues. Le vaste projet immobilier de l’Église de scientologie est toujours sur les rails au Canada. Même s’il ne progresse pas au rythme souhaité par l’organisation, les scientologues jurent qu’ils transformeront tous leurs locaux, souvent défraîchis, en lieux accueillants et modernes. Des embûches semblent toutefois paralyser certains projets, dont celui de Montréal. Situé rue Sainte-Catherine, l’ancien édifice du journal La Patrie doit accueillir les nouveaux locaux de cette organisation internationale controversée, reconnue comme une corporation religieuse au Québec. Aucuns travaux n’ont cependant été entamés sur le bel immeuble de pierre de six étages acheté en 2007 par les scientologues au coût de 4,2 millions de dollars. Après avoir hébergé une galerie d’art au cours de la dernière année, le bâtiment est maintenant vacant. Les scientologues veulent pourtant y construire un somptueux temple, qu’ils appellent « organisation idéale », comme celui ouvert dans la basse-ville de Québec en 2010. Fondée en 1954 par l’auteur de science-fiction L. Ron Hubbard, l’Église de scientologie vend, à fort prix, des cours et des thérapies qui permettraient de purifier le corps et l’esprit. L’objectif est, dit-on, d’ouvrir la voie à un monde sans guerre ni criminalité. Et c’est pour atteindre cet objectif qu’elle doit construire des « organisations idéales », partout sur le globe. L’Église de scientologie soutient que le projet de Montréal n’accuse aucun retard. L’immeuble est toujours dans « sa phase de conception et de planification », a dit au Devoir Erin Banks, porte-parole de l’organisation à Los Angeles. La présidente de l’Église au Canada, Yvette Shank, souligne quant à elle qu’en raison de l’âge de l’immeuble - construit en 1905 -, la planification est plus longue. En 2010, Mme Shank disait pourtant espérer que les nouveaux locaux de la rue Sainte-Catherine seraient inaugurés à la fin de 2011. L’ouverture espérée de l’immeuble a aussi été reportée plusieurs fois sur le site Internet de l’organisation. Si le projet de Montréal semble battre de l’aile, les choses bougent ailleurs au pays. En février dernier, des centaines de scientologues se sont ressemblés à Cambridge, en Ontario, pour souligner l’ouverture de leur « nouvelle église ». À l’image de celle inaugurée à Québec, le bâtiment de deux étages accueille les visiteurs dans un environnement tape-à-l’oeil et lumineux. On y retrouve des salles de formation, une chapelle, un centre d’information et un sauna. À Toronto, siège de l’organisation au pays, toutes les activités ont été déménagées temporairement en vue de rénovations majeures dont l’immeuble de huit étages, situé à quelques minutes de Queen’s Park, doit être l’objet. À un peu plus d’une heure de route de la métropole ontarienne, les scientologues sont aussi propriétaires d’un terrain de près de 80 hectares qu’ils veulent convertir en centre de formation. Du côté de Winnipeg, le scénario ressemble à celui de Montréal. L’Église de scientologie possède un immeuble historique de six étages dans le quartier de la Bourse. Les travaux en sont, là aussi, au stade de la planification. Escroquerie Cette stratégie immobilière financée à coup de millions de dollars et menée dans tous les pays où les scientologues sont présents s’attire de nombreuses critiques. L’un des détracteurs les plus connus du mouvement est Mike Rinder, ex-directeur des communications de la maison-mère de l’Église de scientologie. Ce scientologue de longue date qui a quitté le mouvement en 2007 estime que les « organisations idéales » sont ni plus ni moins qu’une escroquerie. « Si Montréal et Winnipeg avaient l’argent pour rénover leur immeuble, ils l’auraient fait », écrit-il dans un échange de courriels avec Le Devoir, ajoutant que ce programme est une stratégie de l’actuel leader de l’Église, David Miscavige, pour récolter de l’argent. M. Rinder soutient que l’Église de scientologie utilise ces immeubles afin de prétendre que l’organisation est en croissance. De son côté, l’Église a refusé de répondre à toutes les questions du Devoir concernant les coûts de sa stratégie immobilière. La raison officielle de ce vaste chantier : « l’Église de scientologie connaît une grande période de croissance un peu partout dans le monde », affirme Erin Banks. Cette affirmation est difficile à vérifier. Les données de Statistique Canada indiquent par contre qu’il n’y avait que 1745 scientologues au pays lors du recensement de 2011. Ils étaient 1525 adhérents recensés en 2001.
  3. La Maison des Encans de Montréal a quitté l'ancienne église de Saint-Henri (872, rue du Couvent), aussi appelée église Saint-Thomas-Aquinas . L'immeuble était en vente pour 4 M$ Source : http://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=169466&type=bien#.XJ7Q4JhKiUk L'intérieur ressemblait à ça L'immeuble sera converti en salle de réception appelée « Entrée principale ». Les couleurs bizarres ont été enlevées
  4. https://www.citylab.com/design/2018/11/epidemic-of-empty-churches-adaptive-reuse/576619/?utm_medium=social&utm_content=edit-promo&utm_campaign=citylab&utm_source=facebook&utm_term=2018-11-26T16%3A02%3A29&fbclid=IwAR1w3Q8SMw5B2PraPABJmYjARlb8vMaAUTyiRnLdZwYs-Q8vxvczs9oDbZU A man walks inside an empty church in the Ninth Ward area in New Orleans. Carlos Barria/Reuters America’s Epidemic of Empty Churches JONATHAN MERRITT 11:02 AM ET Between 6,000 and 10,000 churches die in the U.S. every year, and many are sitting on prime real estate. Three blocks from my Brooklyn apartment, a large brick structure stretches toward heaven. Tourists recognize it as a church—the building’s bell tower and stained-glass windows give it away—but worshippers haven’t gathered here in years. The 19th-century building was once known as St. Vincent De Paul Church and housed a vibrant congregation for more than a century. But attendance dwindled and coffers ran dry by the early 2000s. Rain leaked through holes left by missing shingles, a tree sprouted in the bell tower, and the Brooklyn diocese decided to sell the building to developers. Today, the Spire Lofts boasts 40 luxury apartments with one-bedroom units renting for as much as $4,812 per month. It takes serious cash to make God’s house your own, apparently. Many of our nation’s churches can no longer afford to maintain their structures—between 6,000 and 10,000 churches die each year in America—and that number will likely grow. Though more than 70 percent of our citizens still claim to be Christian, congregational participation is less central to many American’s faith than it once was. Most denominations are declining as a share of the overall population, and donations to congregations have been falling for decades. Meanwhile, religiously unaffiliated Americans, nicknamed the “nones,” are growing as a share of the U.S. population. Any minister can tell you that the two best predictors of a congregation’s survival are “budgets and butts,” and American churches are struggling by both metrics. As donations and attendance decrease, the cost of maintaining large physical structures that are only in use a few hours a week by a handful of worshippers becomes prohibitive. None of these trends show signs of slowing, so the United States’s struggling congregations face a choice: start packing or find a creative way to stay afloat. When a hallowed building is resurrected as something else, those who feel a connection to that symbol may experience a sense of loss. Closure and adaptive reuse often seems like the simplest and most responsible path. Many houses of worship sit on prime real estate, often in the center of towns or cities where inventory is low. Selling the property to the highest bidder is a quick and effective way to cut losses and settle debts. But repurposing a sacred space for secular use has a number of drawbacks. There are zoning issues, price negotiations, and sometimes fierce pushback from the surrounding community and the parish’s former members. A church building is more than just walls and windows; it is also a sacred vessel that stores generations of religious memories. Even for those who do not regularly practice a religion, sacred images and structures operate as powerful community symbols. When a hallowed building is resurrected as something else, those who feel a connection to that symbol may experience a sense of loss or even righteous anger. After St. Augustine Church in South Boston was abandoned, developer Bruce Daniel encountered a number of unforeseen difficulties. Demolishing the 140-year-old building and starting from scratch was the most economical option, but sentimental neighbors’ protests forced Daniel to retrofit the existing building into condos. Many local residents remain unsatisfied with the compromise. “Anybody who goes into a neighborhood and buys a church, without having some knowledge and sensitivity, they’re asking for trouble,” Daniel told The Boston Globe. St. John the Baptist Church in the Black Rock district of Buffalo, N.Y., awaits a new tenant in 2007. (Don Heupel/AP) Converting old churches into residential spaces, like St. Augustine and St. Vincent De Paul, is becoming increasingly popular. Churches’ architectural flourishes—open floor-plans, exposed brick, vaulted ceilings, and arched windows—often draw buyers of means who are looking for a residential alternative to ubiquitous cookie-cutter developments. While this type of sacred-to-secular conversion may be a tough pill for former members to swallow, many are even less satisfied with the alternatives. A large number of abandoned churches have become wineries or breweries or bars. Others have been converted into hotels, bed and breakfasts, and Airbnbs. A few have been transformed into entertainment venues, such as an indoor playground for children, a laser-tag arena, or a skate park. When St. Francis de Sales Church in Troy, New York closed in 2009, it was converted into a fraternity house for the Phi Sigma Kappa chapter at Rensselaer Polytechnic Institute. A communal symbol that once served as a beacon of hope and welcome now seems like little more than an emblem of American youthful superficiality. Imagine the emotional impact of driving past the place of your mother’s baptism only to see frat boys stumbling down the front steps. Calling it quits isn’t the only option for dwindling congregations in possession of expansive, expensive buildings. Some are moving upstream of the crisis, opting to repurpose their buildings before they go under. Larry Duggins left a successful career in investment banking a decade ago to attend seminary at Southern Methodist University. There he met a professor of evangelism named Elaine Heath with whom he brainstormed ways to help dying churches who maintain a will to live. The pair eventually found the Missional Wisdom Foundation, a 501c(3) that functions as a kind of think tank for “alternative forms of Christian community that makes sense for traditional churches that may be declining.” “Years ago, the neighborhood church was the place many in America got together and, along with local schools, was where they got to know their neighbors,” Duggins told me. “But this model is no longer relevant for many people, so churches have to think creatively about how to help people encounter others and God in their everyday lives.” Recommended Low-Income Communities Are Struggling to Support Churches PATTON DODD JAN 8, 2018 Vacancy: America’s Other Housing Crisis RICHARD FLORIDA JUL 27, 2018 In Massachusetts, a Mayor and a Church Spar Over Sanctuary TERESA MATHEW APR 4, 2018 In order to test their idea, Duggins and Heath approached the pastor of White Rock United Methodist in Dallas about collaborating. Half a century ago, it was a massive congregation with robust weekly programming, a strong reputation in the community, and a 60,000-square-foot building. But the neighborhood’s demographics shifted in recent years and church membership waned. Its combination of sprawling space and shrinking attendance made White Rock the perfect guinea pig for Duggins and Heath’s experiments. Missional Wisdom moved into the bottom 15,000 square feet of White Rock’s building and got to work. It converted the fellowship hall into a coworking space and transformed Sunday School rooms into a workshop for local artisans, including a florist and a stained-glass-window artist. It formed an economic empowerment center where the group teaches a local population of African refugees language and business skills. And it finished out the space with a yoga studio and a community dance studio. Today, the church building is bustling most days and the congregation is both covering expenses and generating revenue from its profit-sharing agreement with Missional Wisdom. Next, the Missional Wisdom team partnered with Bethesda United Methodist Church in Asheville, North Carolina—a congregation with challenges similar to White Rock’s. Together, they created a community center called Haw Creek Commons. In addition to coworking space, they retrofitted the building with a textile and woodworking shop, meeting rooms that are used by local business and AA groups, a retreat space that can sleep up to nine, and a commercial kitchen in the basement for local bakers and chefs. Outside, Missional Wisdom constructed a community garden, food forest, beehives for the Haw Creek Bee Club, a greenhouse, and a playground for the children who attend the school next door. Duggins says that the goal of these two experiments was simply to create opportunities and space for the community to gather and connect with each other. But as with White Rock, Haw Creek Commons has had residual positive effects on its host congregation. “We wanted to transform the church into a place that would draw people who might not otherwise come, and in Asheville, we’ve seen it break down stereotypes of what the church is,” says Duggins. “At Bethesda, there were less than 10 people in the church on a given Sunday, but now there are more than 50.” Multipurpose spaces lower the barriers to entry. When someone using a co-working space experiences a personal crisis, they have a comfortable place to turn. This relatively small organization can only do so much to turn the tide of congregational death in America. Missional Wisdom has shifted its focus from one-off projects to publishing books, conducting seminars, and consulting with struggling churches. They hope these resources will be helpful to America’s flailing congregations who are forced to choose between evacuation and innovation. The latter may be the harder road to travel, but many faithful will find it preferable to watching their childhood church converted into luxury lofts. This post originally appeared on The Atlantic. About the Author Jonathan Merritt @JONATHANMERRITT FEED Jonathan Merritt is a contributing writer for The Atlantic. He is the author of Learning to Speak God from Scratch: Why Sacred Words are Vanishing – And How We Can Revive Them.
  5. Malheureusement... À Montréal Église complètement ravagée Agence QMI 06/02/2010 13h27 Une église vacante appartenant à la communauté franciscaine a été complètement ravagée par les flammes, samedi matin, sur le boulevard René-Lévesque entre les rues Hope et Lambert-Closse. Les pompiers ont finalement dû démolir la structure, celle-ci étant devenue trop dangereuse. Le lieu saint a pris feu à environ 5h, samedi matin. Après avoir déclenché l’alerte générale, 150 pompiers ont dû s’affairer jusqu'à midi pour combattre les flammes. Aucune évacuation n’a été nécessaire, l’église en question et le presbytère étant vacants depuis 2007. L’incendie a également lourdement endommagé un presbytère qui se trouvait à proximité. Après avoir examiné la scène, les pompiers n’ont pas été en mesure de déterminer les circonstances du feu. Les enquêteurs du Service de police de la ville de Montréal (SPVM) se rendront sur les lieux dans les prochaines heures pour ce faire. Ce malheureux incident est non seulement une perte religieuse pour Montréal, mais aussi une perte historique considérable, car le bâtiment avait été construit en 1892 par la Communauté des Frères Franciscains.
  6. Voir ce lien pour les superbes images http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/special/2016/7/eglises-montreal-decouvrir/ Vue sur la nef à l'intérieur de l'église Sainte-Geneviève VOICI 7 ÉGLISES DE MONTRÉAL À DÉCOUVRIR De l'Art déco à la représentation de Mussolini, préparez-vous à voyager à travers le patrimoine religieux montréalais. Au-delà des lieux de culte que proposent les guides touristiques, plusieurs églises restent méconnues et mériteraient d'être découvertes. Nous avons demandé à deux spécialistes du patrimoine religieux de nous proposer quelques détours. Un photoreportage d'Anne-Louise Despatie À la fin du XIXe siècle, on parlait de Montréal comme étant la ville aux 100 clochers. En fait, il y en a beaucoup plus dans la métropole québécoise. Aujourd'hui, malgré la fermeture de paroisses, la vente et la conversion de dizaines d'églises, il en reste plus de 300 encore dédiées au culte. Plusieurs sont de magnifiques bâtiments que les passants ne voient plus. En voici certaines, suggérées par nos deux experts en patrimoine religieux qui ont accepté de se limiter à deux ou trois églises, celles qui, selon eux, méritent d'être mieux connues. L'église Saint-Georges : retour au Moyen-Âge Carte indiquant l'emplacement de l'église Saint-GeorgesExtérieur de l'église Saint-Georges, située sur la rue Stanley à Montréal Située devant la gare Windsor, l'église Saint-Georges est un lieu patrimonial méconnu. Nichée dans les arbres et à l'ombre des immeubles qui l'entourent, l'église anglicane est un véritable bijou, selon le professeur David Hanna de l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Vue sur le choeur à l'intérieur de l'église Saint-Georges Construite en 1870 par l'architecte William Thomas, son style gothique impose un retour au Moyen-Âge, même si elle est beaucoup plus récente. « L'ambiance est médiévale, souligne M. Hanna. C'est une traduction extraordinaire, je trouve, de l'apogée du gothique en Angleterre ». Il faut remarquer ses vitraux, son choeur, la richesse et le travail du bois. La nef de l'église Saint-Georges La charpente de l'église est remarquable. Cette structure à blochets qui soutient le toit permet d'éliminer les colonnes. L'effet arqué de ces poutres de bois est unique à Montréal. C'est l'un des plus grands plafonds du genre dans le monde. Des gargouilles sculptées autour de l'entrée de l'église Saint-Georges À l'extérieur, il faut s'attarder aux détails et aux sculptures dans le grès. Les arbres constituent un écrin de verdure pour cette église dédiée au saint patron de l'Angleterre. L'église Saint-Esprit-de-Rosemont : Art déco unique Carte indiquant l'emplacement de l'église Saint-Esprit-de-RosemontExtérieur de l'église Saint-Esprit-de-Rosemont, située sur la rue Masson à Montréal Sa façade est particulière et fait la fierté des gens de Rosemont, sondage à l'appui. Construite au début des années 1930, Saint-Esprit-de-Rosemont a d'abord porté le nom de Sainte-Philomène jusque dans les années 1960. Elle porte la signature de l'architecte Joseph-Elgide-Césaire Daoust. Pour le professeur Luc Noppen de l'UQAM, ce monument mérite d'être mieux connu. Ce serait la seule église de style Art déco au Canada. Bancs de style Art déco à l'intérieur de l'église Saint-Esprit-de-Rosemont Tout est intégré et porte la signature de l'architecte. Les luminaires, les confessionnaux, le chemin de croix et le mobilier. À l'avant, les bancs des marguilliers sont uniques et entièrement Art déco; un style prisé dans les bâtiments institutionnels des années 1930, mais qui a été plus rarement utilisé dans les églises. Luminaire de style Art déco dans la nef de l'église Saint-Esprit-de-Rosemont Les luminaires sont remarquables et caractéristiques. Ils mettent en valeur l'ensemble. « Lorsqu'ils sont éteints, on a l'impression qu'il manque quelque chose. Ils font partie de l'effet recherché par l'architecte », explique Luc Noppen, professeur et historien d'architecture. Vitrail de Nincheri L'église Saint-Esprit compte une importante collection de vitraux signés par l'artiste montréalais Guido Nincheri. Il faut remarquer le vitrail de la tribune d'orgue, un chef-d'oeuvre d'Art déco. L'église unie Saint-James : véritable surprise Carte indiquant l'emplacement de l'église unie Saint-JamesExtérieur de l'église unie Saint-James, située sur la rue Sainte-Catherine à Montréal La façade de grès rose et jaune ne passe pas inaperçue, mais peu de gens osent entrer. Il faut prendre le temps de regarder les animaux sculptés dans le bandeau sous la rosace qui est joliment éclairée le soir. Motifs sculptés à la place du prolongement d'une colonne à l'intérieur de l'église Saint-James, construite en 1888. L'architecte Francis Dunlop a remplacé les colonnes par une structure complexe dissimulée derrière le plafond de style gothique. Cela permet à tous les fidèles d'avoir une meilleure vue. Les bancs arrondis au balcon de l'église unie Saint-James « Chez les protestants, l'accent est mis sur les chants, sur la célébration, c'est pourquoi l'architecte a conçu l'église comme un amphithéâtre », explique le professeur David Hanna. L'effet de courbe des bancs au jubé est magnifique. C'est de là-haut qu'il faut contempler cette église. Vue de la façade de l'église Saint-James sur la rue Sainte-Catherine Des années 1920 à 2005, la façade de grès et l'immense rosace étaient cachées par des commerces construits devant l'église. Leur démolition a permis à l'église Saint-James de retrouver sa place rue Sainte-Catherine. Saint-Pierre-Apôtre : rare catholique néo-gothique Carte indiquant l'emplacement de l'église Saint-Pierre-ApôtreExtérieur de l'église Saint-Pierre-Apôtre, située sur la rue de la Visitation à Montréal C'est l'une des rares églises catholiques construites dans le style néo-gothique. Saint-Pierre-Apôtre a été réalisée par l'architecte Victor Bourgeau de 1851 à 1853, selon des plans de John Ostell. Des arcs-boutants en métal plutôt qu'en pierre à l'extérieur de l'église Saint-Pierre-Apôtre Les catholiques ont abandonné le gothique associé davantage aux églises anglicanes et protestantes. Ce virage a été amorcé par monseigneur Ignace Bourget, évêque de Montréal, pour que les églises catholiques se distinguent. La chaire de style gothique de l'église Saint-Pierre-Apôtre Ses colonnes de pierre sont uniques. L'église qui devait être toute en pierre a finalement été terminée en bois et en plâtre. « Le travail n'est pas terminé en haut des colonnes. Tout à coup, on revient avec les traditions du Québec : du bois et du plâtre et forcément de l'imitation de pierre », raconte l'historien d'architecture Luc Noppen. Des banderoles multicolores dans la nef de l'église Saint-Pierre-Apôtre Saint-Pierre-Apôtre est la paroisse du village gai. On y trouve l'arc-en-ciel emblématique et une chapelle dédiée aux victimes du sida. L'église Sainte-Geneviève de Pierrefonds : un classique Carte indiquant l'emplacement de l'église Sainte-Geneviève de PierrefondsExtérieur de l'église Sainte-Geneviève, située sur le boulevard Gouin Ouest à Montréal Située près de la Rivière-des-Prairies, l'église Sainte-Geneviève a été terminée en 1844. C'est la seule église montréalaise signée par l'architecte Thomas Baillairgé de Québec. Vue du balcon sur la nef de l'église Sainte-Geneviève Pour le professeur Luc Noppen, c'est une église qui vaut le détour. « L'architecte Victor Bourgeau qui a travaillé à la voûte va ensuite prendre ce modèle d'église et en construire d'autres dans la région de Montréal. C'est une architecture qui va connaître un certain succès, dit-il, et ça commence ici! » Colonne de style néo-classique à l'intérieur de l'église Sainte-Geneviève Réalisée dans le style néo-classique, l'église Sainte-Geneviève est bien conservée. L'église de la Visitation de la Bienheureuse-Vierge-Marie : vestige du régime français Carte indiquant l'emplacement de l'église de la Visitation de la Bienheureuse-Vierge-MarieExtérieur de l'église de la Visitation de la Bienheureuse-Vierge-Marie, située sur le boulevard Gouin Est à Montréal Dans le quartier Ahuntsic, La Visitation est la plus ancienne église datant du régime français encore debout. La nef et la première sacristie datent des années 1750. Cependant, la façade actuelle a été réalisée près de 100 ans plus tard. Choeur à l'intérieur de l'église de la Visitation de la Bienheureuse-Vierge-Marie La décoration d'une grande finesse est un plaisir pour les yeux. C'est une église à découvrir aussi pour son emplacement au bord de la Rivière-des-Prairies. Vitrail dans la nef de l'église de la Visitation de la Bienheureuse-Vierge-Marie Des artistes ont travaillé et sculpté l'intérieur pendant des décennies. Il s'agit de Philippe Liébert, David-Fleury David et Louis-Amable Quévillon. Portes menant à la sacristie de l'église de la Visitation de la Bienheureuse-Vierge-Marie Il faut s'attarder aux deux portes du sanctuaire. Richement travaillées, leur état de conservation les rend uniques. L'église Notre-Dame-de-la-Défense : pour voir Mussolini Carte indiquant l'emplacement de l'église Notre-Dame-de-la-DéfenseExtérieur de l'église Notre-Dame-de-la-Défense, située sur l'avenue Henri-Julien à Montréal Très italienne, l'église Notre-Dame-de-la-Défense a été inaugurée en 1919 dans la Petite-Italie, à côté du parc Dante. Elle fut réalisée selon les plans de Roch Montbriand et Guido Nincheri, peintre et artiste-vitrier qui a travaillé dans une centaine d'églises. Fresque représentant Benito Mussolini à l'intérieur de l'église Notre-Dame-de-la-Défense La présence de Mussolini à cheval et à côté du pape Pie XI dans la fresque au-dessus du choeur a de quoi surprendre. La fresque du Duce a même valu à son auteur d'être emprisonné pendant la Deuxième Guerre mondiale. Le peintre et artiste-vitrier Guido Nincheri a toujours soutenu avoir été obligé par l'Église de représenter Mussolini. Vue sur la chaire en marbre de l'église Notre-Dame-de-la-Défense Outre les fresques de l'abside, il faut remarquer les vitraux et le travail du marbre importé d'Italie. Un groupe visite l'église Notre-Dame-de-la-Defense Avec un peu de chance, vous croiserez le petit-fils de l'artiste Guido Nincheri. Photographe et guide, Roger Nincheri raconte comment son grand-père s'est inspiré de membres de sa famille pour peindre les anges dans la fresque de l'abside. La passion des experts Luc Noppen, historien d'architecture, auteur et professeur au Département d'études urbaines et touristiques de l'UQAM Luc Noppen est historien d'architecture, auteur et professeur au Département d'études urbaines et touristiques de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) David Hanna, professeur à l'UQAM Spécialiste en patrimoine et développement durable, David Hanna est professeur à l'UQAM. Il est l'ex-président du Conseil du patrimoine religieux du Québec. Le choix a été difficile pour Luc Noppen et David Hanna qui ont accepté gracieusement de se plier à l'exercice. Ils ont choisi les églises qui méritent d'être mieux connues du grand public pour leur beauté et leurs particularités. En bons traducteurs de l'architecture religieuse, ils nous font faire ces belles découvertes. Si vous connaissez une église qui mérite un détour, n'hésitez pas à partager et à m'écrire : anne-louise.despatie@radio-canada.ca. Sent from my SM-T330NU using Tapatalk
  7. Cette église http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/21959 a été récemment détruire pour faire place à ceci
  8. http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/459813/quebec-songe-a-proteger-une-eglise-menacee-de-demolition Québec songe à protéger une église menacée de démolition 9 janvier 2016 |Jeanne Corriveau | Villes et régions L’église Saint-Gérard-Majella sera-t-elle épargnée ? Le ministère de la Culture examine la possibilité de classer cette église de Saint-Jean-sur-Richelieu jugée exceptionnelle, mais condamnée à la démolition. Si un tel statut était accordé au bâtiment, sa destruction deviendrait impossible. Construite en 1962 selon les plans de l’architecte Guy Desbarats, l’église Saint-Gérard-Majella a été vendue en octobre dernier à des promoteurs immobiliers pour 800 000 $. Les nouveaux propriétaires prévoient de raser le bâtiment pour construire un projet domiciliaire de 104 appartements sur le site. Même si l’église dotée d’une voûte asymétrique spectaculaire a reçu du Conseil du patrimoine religieux du Québec la plus haute évaluation, soit la cote « A », la paroisse Saint-Jean-L’Évangéliste a décidé de la vendre, faute de financement pour la rénover. Les travaux de restauration avaient été estimés à 3 millions de dollars. Le Devoir a appris qu’après avoir reçu une demande d’intervention le 16 novembre dernier, le ministère de la Culture a décidé d’examiner la possibilité de classer l’immeuble. « Le ministère a entamé une analyse pour voir ce qu’il est pertinent de faire comme intervention en vertu de la Loi sur le patrimoine. Le classement fait partie de cette réflexion », a confirmé Philip Proulx, attaché de presse de la ministre de la Culture, Hélène David. « Le ministère a eu pour mot d’ordre de faire une analyse rapidement, étant donné qu’il y a des craintes concernant la possible démolition de l’église. » M. Proulx précise qu’advenant la signature d’un avis d’intention de classement par la ministre, la protection entrerait aussitôt en vigueur et la démolition de l’église serait interdite. Église vidée Le président de la fabrique de la paroisse Saint-Jean-L’Évangéliste, Louis-Charles Fontaine, ignorait qu’un classement était envisagé par le ministère lorsque Le Devoir l’a joint vendredi. « Ça serait très bien ! Je pense qu’il faut s’intéresser au patrimoine avant qu’il soit trop tard. Il est déjà tard, mais mieux vaut tard que jamais », a dit M. Fontaine. En l’absence de mobilisation pour préserver l’église et de fonds pour la rénover, la paroisse, qui compte six autres lieux de culte, avait décidé de vendre Saint-Gérard-Majella. En décembre, la fabrique a même vidé l’église et vendu le mobilier et les objets qui s’y trouvaient. « Mais avoir su qu’on aboutirait à ça, je n’aurais pas vendu les bancs et les objets », regrette M. Fontaine. La Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu n’entend pas se mêler du dossier ni contribuer à la restauration de l’église, mais elle devra éventuellement autoriser le changement de zonage, la démolition de l’immeuble et la conformité du projet immobilier, a indiqué Sylvain Latour, attaché de presse du maire Michel Fecteau. Maison des patriotes Quant à la maison Chénier-Sauvé, une demeure patrimoniale de Saint-Eustache elle aussi menacée de démolition, le ministère dit suivre le dossier de près. La Ville de Saint-Eustache affirme que la maison aurait besoin de coûteuses rénovations de 2,8 millions, et elle songe à la démolir malgré une subvention de près d’un million accordée par Québec. « On a mis de l’argent sur la table pour assurer une restauration. On attend de voir quel est le plan de match [de la Ville] », a indiqué Philip Proulx. La Ville entend décider du sort de la propriété ayant appartenu au patriote Jean-Olivier Chénier dans les prochains mois.
  9. Cela faisait 37 ans que la magnifique église Saint-Enfant-Jésus du Mile-End avait perdu deux de ses statues extérieures, dû à leur dégradation avancée. Ces deux œuvres sont maintenant restaurées! J'ai pris quelques photos aujourd'hui (18 juin 2015): En espérant que la prochaine restauration ne prenne pas 4 décennies! Montréal souffre souvent d'un déficit d'entretien de son beau patrimoine. Pour plus de renseignement sur cette restauration, voici un lien vers un article du Journal Métro: http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/794384/patrimoine-religieux-redonner-vie-aux-anges-du-mile-end/
  10. Salut ! J'ai trouvé cette photo carte postale sur internet, mais j'ai pas réussi à retrouver l'église avec les infos fournis. Quelqu'un là connais ? Infos: http://www.delcampe.com/page/item/id,250583239,var,Notre-Dame-Du-Rosaire-De-Fatima-JACQUES-CARTIER-Quebec-Canada-50-60s,language,E.html Merci !
  11. Cette ancienne église transformée en centre communautaire est à l’abandon depuis longtemps. La voici endommagée par un effondrement, elle sera probablement démolie dans un proche avenir.
  12. L'église Saint-Joseph situé au 550 rue Richmond devriendra le Salon 1861 dans les plans du Quartier de l'Innovation. LE SALON 1861 ET LE LABORATOIRE DE CULTURE URBAINE Riche de son histoire et des nombreux artistes qui y ont habité, le territoire qu’occupe le QI continue d’accueillir de nombreux joueurs de la scène culturelle montréalaise : espaces de diffusion, galeries d’art et studios, notamment. Le Laboratoire de culture urbaine du QI profitera de cette effervescence et de l’expertise universitaire dans le domaine des arts afin de créer des occasions d’échange entre artistes, professeurs, étudiants et résidents du quartier. Le Laboratoire s’installera au sein du QI, dans le Salon 1861, qui pourra accueillir des projets de recherche collaborative, des expositions, des événements, des ateliers d’artistes et des organismes communautaires, tout en favorisant l’échange avec la communauté. Piloté par : Will Straw, professeur, Département d’histoire de l’art et d’études en communications, Université McGill et Natalie Voland, présidente, Gestion immobilière Quo Vadis. Ce site explique l'histoire de cette église : http://avantlautoroute.com/2011/01/10/leglise-st-joseph-rue-richmond/ Article sur la transformation : SALON 1861: THE AFTERLIFE OF L’ÉGLISE ST-JOSEPH Mark Twain has said of Montreal, “this is the first time I was ever in a city where you couldn’t throw a brick without breaking a church window”. Quebec’s history has left the city with a wealth of beautiful churches that are now threatened due to lack of funds for upkeeping. The Église St-Joseph, located in Montreal’s Little-Burgundy neighbourhood, is an example of how the city is rapidly evolving while preserving its communities’ heritage. Starting this summer, Quartier de l’innovation, a McGill University and École de technologies supérieures initiative, will be working in partnership with Gestion Immobilière Quo Vadis to transform l’Église St-Joseph into The Salon 1861, which will host the Laboratory of Urban Culture while still remaining a fixture in the community. Conversion of churches to preserve the architecture and heritage is not uncommon in Montreal. In the city, there are many churches that have been given a second life and yet continue to create value for the community. The Montreal Museum of Fine Arts converted the Erskine and American United Church on Sherbrooke West into a Canadian Art pavilion, completed in 2011, and a successful reinvention of the museum took place to integrate the church into its exhibits. Chic Resto Pop is the site of another converted church in Montreal accessible to surrounding residents. The former Saint Barnabé-Apôtre Church was sold for $300,000 in 2002 and converted into an affordable cafeteria large enough for 300 people. Le Saint-Jude spa opened in fall 2013 is the site of another converted church in the Plateau Mont-Royal district. The spa and health club was renovated into the century old church costing 2.65 million dollars and won the design excellence award in 2013 from Canadian Architect magazine. Soon the Laboratory of Urban Culture will be amongst the list of churches in Montreal that receives a prolonged existence and continues to benefit Montrealers. "a gathering for social or intellectual distinction through discussions, exchanges and ideas of all sorts." The idea for the Laboratory of Urban Culture emerged from a study mandated by the Quartier de l’innovation (QI) in 2012 to study the arts and cultural needs in the district. The QI is an innovative ecosystem located in Montreal’s historic Southwest district – Griffintown, Saint-Henri, Petite Bourgogne and Pointe Saint-Charles. It aims to increase collaboration between academia, the private sector, and the community, as well as encourage research and industrrial projects for social and cultural innovation. QI seeks to address needs and face real challenges, in order to improve the quality of life in its district. A collaboration between École de technologie supérieure (ÉTS) and McGill University, since June 2013, the QI has developed into a non-profit organization that continues to develop impactful projects for the district. map of QI The zone marked in red is the area of QI The inception of the Laboratory of Urban Culture was a result of the study completed by Professor Will Straw, Director of the McGill Institute for the Study of Canada. The direct conclusion was the need to create “a YMCA of culture”: or a neutral space in the community for the intersection of academia, arts and culture. The Laboratory of Urban Culture is establishing an accessible link between different stakeholders to promote arts and culture in the community. Around the same time, Natalie Voland, President of Gestion Immobilière Quo Vadis, had just made quite an astounding purchase: a church! Initially intended for conversion into condominiums, Voland sought efforts to maintain its heritage having realized its priceless architectural value. Built in 1861, l’Église St-Joseph is one of the oldest catholic churches in Montreal with a heritage value close to that of the Oratoire St-Joseph. Having visited the church, the awe factor makes anyone who has seen the interior eager to preserve it. Voland then began a search for ways to preserve the Église St-Joseph. After learning about the purchase of the church in the QI, Isabelle Péan, Project Director of QI at McGill, met with Voland to present the vision of the Laboratory of Urban Culture. Soon after, a collboration was established between QI and Quo Vadis to host the Laboratory of Urban Culture within the Église St-Joseph, now called the Salon 1861. The name “Salon 1861”, comes from old French, meaning a periodic gathering for social or intellectual distinction through discussions, exchanges and ideas of all sorts. The Salon 1861 will be a socially responsible project put together by the synergy of diverse partners. The historically significant heritage building of l’Église St-Joseph will be maintained and transformed into a modern representation still carrying out its intended purpose, a place for civic community, culture and collaboration. In the coming months a McGil Arts doctorate student will finalize programming of workshops, lectures and concerts in the Laboratory. The Laboratory of Urban Culture will be an important aspect of the creative ecosystem, which will be established in the Salon 1861. Other elements of this ecosystem include an art gallery, event spaces and a co-working space in the church’s basement targeted at social economy and arts entrepreneurship. Students will have a variety of opportunities to get involved with the Laboratory and the Salon 1861. Currently, Mark Ramsey, a graduate student in architecture from McGill University, is working with Quo Vadis on the legacy and patrimonial work of the church before reconstruction begins. More internships and projects for students are currently being established within this framework. Essentially, the Salon 1861 will become an ecosystem where different components will mutually complement and benefit the community. Natalie Voland has said “The concept of the Salon 1861 has really been inspired by the QI’s vision. The Salon 1861 will be at the heart of the community and will be a real destination for cultural and social innovation in the District”. To stay connected with the developments of QI, including the progress of the Laboratory of Urban Culture, follow them on Facebook or Twitter! WRITTEN BY ZOEY TUNG IMAGE BY SAM GREGORY
  13. Ça fait quelque temps que cette église et le terrain voisin semblait subir une transformation majeure. Il affiche est installée depuis une semaine ou deux. On transforme cette église en spa! http://www.constructiondelaberge.ca/R%C3%A9alisations/Commercial/SpaSaintJude.aspx
  14. Publié le 28 avril 2010 à 07h37 | Mis à jour le 28 avril 2010 à 07h39 Vendre son âme à Toronto Nathalie Petrowski La Presse Il y a longtemps que je ne fréquente plus les églises et que leur lustre suranné n'exerce plus aucun charme sur moi. Et pourtant, dès l'instant où j'ai mis les pieds dans l'église Saint-Nom-de-Jésus au coeur d'Hochelaga-Maisonneuve, j'ai été renversée, bouleversée, totalement «flabergastée». Par quoi? Par l'extraordinaire beauté de cette église, tendue de feuilles d'or et d'une incroyable richesse décorative avec ses quatre anges sculptés par Alexandre Carli, ses vitraux importés de France et cet imposant tableau de la Pentecôte peint par Georges Delfosse, sans oublier l'orgue, le majestueux orgue Casavant de 90 jeux et de 6500 tuyaux, restauré à grands frais par le gouvernement et qui domine la nef, tel un magnifique oiseau déployant ses ailes dorées. Que ce sanctuaire d'une incomparable richesse érigé en 1905 ait veillé sur un quartier pauvre et ouvrier pendant plus d'un siècle est en soi le signe d'une générosité sociale qui mérite d'être rappelée et applaudie. J'ai découvert l'église Saint-Nom-de-Jésus il y a deux ans, un soir de concert pendant le festival Orgues et couleurs qui a été créé justement pour mettre en valeur l'orgue Casavant. Et ce soir-là, moi qui me fous des églises et de la religion, j'ai pris la pleine mesure, pour ne pas dire la pleine démesure, du patrimoine religieux québécois. De sa valeur. De son importance. De son poids historique dans la lente édification d'une identité et d'une culture québécoises. Déjà ce soir-là, j'avais cru comprendre que l'église était menacée par les bulldozers d'une entreprise de démolition à la solde du dieu condo. Mais à ce moment-là, tout n'était pas joué pour Saint-Nom-de-Jésus. La possibilité, mince mais réelle, que l'église abandonnée par les fidèles se trouve une nouvelle vocation en devenant une salle de concert et un musée de l'orgue, existait encore. Deux ans plus tard, face à l'inertie et à l'indifférence du gouvernement, ce n'est malheureusement plus le cas. Si personne ne vient à la rescousse de l'église d'ici juillet, l'orgue Casavant, qui demeure le sixième orgue quant à la taille en Amérique du Nord, sera acheté par une prospère cathédrale de Toronto qui le déménagera chez elle. Privée du plus grand joyau, voire de son âme même, Saint-Nom-de-Jésus perdra la moitié de sa valeur et de son pouvoir d'attraction. Et comme l'archevêché de Montréal vient d'annoncer qu'il ne pourra assumer les travaux de réparation urgents d'un million dont a besoin Saint-Nom-de-Jésus, il ne lui restera qu'à vendre. Vous me direz que ce n'est pas la première fois qu'une église de Montréal est vendue en pièces détachées ou sacrifiée au dieu condo. C'est vrai à cette nuance que l'église Saint-Nom-de-Jésus est une des plus belles, sinon la plus belle église de Montréal. En matière de flamboyance, elle n'a rien à envier à la basilique Notre-Dame. Dilapider une telle oeuvre d'art est non seulement un péché mortel, c'est une honteuse aberration. Comme l'écrit Réjean Charbonneau de l'Atelier d'histoire d'Hochelaga-Maisonneuve, «nul besoin d'être catholique pour estimer que ce trésor patrimonial doit être protégé à tout prix.» À quoi j'ajouterais, protégé et sauvé. On ne peut évidemment pas comparer le démantèlement d'une église à un tremblement de terre, à un désastre naturel ou à une catastrophe humanitaire. Face aux calamités qui s'abattent sur les plus démunis du monde, les Québécois ont été d'une générosité exemplaire, n'hésitant jamais à donner pour venir en aide aux sinistrés d'Haïti, du Liban, du Chili et j'en passe. Les artistes québécois n'ont pas été en reste non plus avec leurs spectacles bénéfice si nombreux qu'ils sont presque devenus une industrie. Sauver la vie et les meubles des autres est noble, mais sauver ses propres meubles l'est aussi. Or à ce chapitre, notre feuille de route est loin d'être exemplaire. Nous avons regardé partir et mourir des pans entiers de notre patrimoine architectural sans verser une larme. Nous avons laissé des édifices, des sculptures et des statues pourrir et moisir sans que cela nous fasse un pli sur la différence. On ne peut pas tout sauver, tout sauvegarder. Il y a un tri à faire, des priorités à dégager et une hiérarchie de la conservation à établir. Or ces gestes-là n'ont toujours pas été faits par le gouvernement québécois qui attend sans doute que le ciel lui tombe sur la tête pour se doter d'une politique du patrimoine religieux. Et plus le gouvernement attend, plus il hypothèque l'avenir de ce patrimoine. L'église Saint-Nom-de-Jésus, je le répète, n'est pas qu'une simple église. C'est un trésor national qui doit être protégé et dont l'âme mérite mieux que d'être vendue à l'encan à Toronto. Nul besoin d'être catholique pour comprendre cela.
  15. Les Habitations Paul-Pratt Nouveau projet de 4 étages à Longueuil 65 logements communautaires Complété en Octobre 2008 Bel exemple du genre de densification qui se passe à Longueuil. On est officiellement en banlieu, mais on retrouve ici un projet de style proprement urbain. Anciennement sur le site : une petite église (avec un gros stationnement) pas particulièrement belle et abandonnée depuis un certain temps.
  16. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200907/09/01-882855-saint-lambert-une-maison-de-la-culture-pour-sauver-une-eglise.php La Presse seems to have a crusade out for St Lambert mayor Sean Finn. All the articles published about him are in negative light. A few other things that irritate me about this article: 1) They neglect to mention the fact that the building is a fire hazard. No events can be held in the building without the fire department present. 2) Dinu Bumbaru is consulted. Not only he is a resident of Montreal (not even a neighbouring municipality on the south shore), La Presse goes out of their way to track him down in Sydney Australia to discuss this case and provide an anti-Finn administration quote. 3) There is little of architectural interest about this building. It is faux tudor, rather poorly constructed, and has not been maintained properly (the rear of the building was demolished on orders from the fire department a few years ago). 4) It hasn't been an Anglican church in over 80 years. A newer, nicer church was built next door in 1927 which is not being torn down (contrary to the photo in today's La Presse newspaper) 5) This same journalist, Eric Clément seems to be writing nearly all these anti-Finn articles.
  17. Beau char jaune Rue de Rouen, grosse démarquation entre Hochelaga et Ville-Marie Rue Montgomery Belle bécane ! N'importe quoi ! Vieilles industries sur Ontario Vieil édifice plein de potentiel Église Promenade Ontario Rue Winnipeg J'aime bien cette vue Longueuil Magnifique rue .... Belle ruelle aussi ...
  18. Une cathédrale neuve dans Ahuntsic Sophie Ouimet-Lamothe La Presse Alors que Montréal ne sait plus que faire de ses églises, une cathédrale est en construction dans l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville. Le 5 août, la communauté grecque melchite catholique célébrera sa messe du dimanche dans une église flambant neuve. Coût du projet: neuf millions de dollars. Le chantier a commencé en août dernier. Il y a 35 ans, la communauté melchite a acheté le terrain, sis boulevard de l'Acadie, dans le but d'y construire un lieu de culte. Les membres ont commencé par bâtir un centre communautaire. Puis, plusieurs années plus tard, l'église a suivi. Le financement s'est fait en grande partie par des dons recueillis auprès de la communauté, selon Samir Cassab, membre du comité technique aviseur pour le projet. «Le bon Dieu nous a trouvé de grands donateurs, grâce à qui on a réussi à ramasser une bonne partie de l'argent», précise-t-il. Sept cent cinquante personnes pourront trouver place dans la cathédrale de style byzantin, dessinée par les architectes Gagnier et Villeneuve. Ses murs sont en pierre naturelle et ses coupoles, en cuivre. L'air y sera climatisé. Un stationnement de 150 places jouxte l'église, qui mesure 27 mètres de large et près de 50 mètres de long. La communauté loue actuellement l'église Notre-Dame-des-Anges, sur le boulevard Gouin à Cartierville. Auparavant, elle était propriétaire de l'église Saint-Sauveur qui se situe sur l'emplacement du futur CHUM, au centre-ville. Les melchites catholiques n'ont de grec que leur nom. Ils ont immigré d'un peu partout au Moyen-Orient. Leurs origines sont aussi diversifiées que l'Égypte, le Liban, la Syrie, la Palestine et l'Irak. Pourquoi ne pas avoir acheté une des nombreuses églises existantes de Montréal? «Nous avons essayé à plusieurs reprises», affirme M. Cassab. Sans succès. «Quelques églises sont à vendre, mais pas dans ce secteur», confirme Sylvie Lemay, de l'archevêché de Montréal. Parmi les quelque 175 églises montréalaises, quatre ou cinq seraient à vendre, selon elle. Mme Lemay affirme qu'il s'agit de la seule église en construction à Montréal. «Mais on en a qui tombent en morceaux», relève-t-elle. Certaines sont dans un tel état qu'il coûterait plus cher de les réparer que de les démolir.
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