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  1. http://affaires.lapresse.ca/economie/grande-entrevue/201405/30/01-4771436-david-culver-lalcan-davant-nexiste-plus.php À 89 ans, David Cutler se rend encore à son bureau tous les matins à 9h, pour y passer la journée. Mieux encore, l'ancien PDG de l'Alcan - qui a fondé la firme d'investissement CAI, lorsqu'il a pris sa retraite de la multinationale montréalaise en 1989 - vient de faire paraître un livre où il relate les grands évènements de sa vie peu banale. Publié aux éditions McGill-Queen's University Press, Expect Miracles - Recollection of a Lucky Life, a été coécrit par l'ex-journaliste Allan Freeman qui a longtemps travaillé pour le Wall Street Journal avant de devenir correspondant à l'étranger du Globe and Mail à Londres et Washington. «Ce goût d'écrire m'est venu de ma mère. Même si elle n'a pas fait de grandes études, elle a écrit toute sa vie. Des poèmes, des nouvelles, un journal. De 1926 à 1986 elle a écrit, à la main, un total de 48 000 pages qui sont aujourd'hui aux Archives nationales. «Elle était passionnée d'histoire et s'intéressait beaucoup à la culture francophone. Entre les deux guerres, elle a écrit une «Histoire des Canadiens français de 1629 à 1940 «. J'aimerais la publier pour donner la vision que pouvait avoir de la société francophone du Québec, une Canadienne anglaise, née à Halifax», m'explique David Culver, dans son bureau de la rue Drummond, situé à quelques pas de marche de la Maison Alcan, rue Sherbrooke Ouest. Toute sa vie durant, David Culver a évolué dans le «Golden Square Mile», le bastion de la bourgeoise anglophone - de 1850 à 1930 - dans le secteur centre-ouest du centre-ville de Montréal. Il a grandi sur la rue Peel, au coin de l'avenue Doctor-Penfield, dans une maison de 12 pièces, chauffées, sur quatre étages, et que son père louait 150$ par mois. Puis il a construit la Maison Alcan, rue Sherbrooke. Depuis 1989, il a son bureau tout juste à côté, rue Drummond. Après avoir obtenu un diplôme en sciences de l'Université McGill, David Culver a décroché un MBA de l'Université Harvard et un certificat du Centre d'études industrielles de Genève. Il commence sa carrière chez Alcan en 1949. Il y a travaillé durant 40 ans.. Une entreprise pro-Québec Il est donc évidemment beaucoup question d'Alcan dans le livre de David Culver. Il est devenu le président de la division Alcan Canadian Company en 1975, un an avant l'élection du Parti québécois et l'exode anglophone qui a suivi. «Contrairement à beaucoup d'entreprises canadiennes-anglaises, Alcan a toujours entretenu de bonnes relations avec les gouvernements du Québec et la communauté francophone», souligne l'homme d'affaires. Ce trait culturel a pris origine en 1928, lorsque Alcan, qui était basée à Pittsburgh, a envoyé R.E. Powell au Canada pour y superviser les activités qui y prenaient une forte expansion. Rapidement, ce dirigeant américain a compris que l'avenir de l'entreprise allait être intimement lié au fort potentiel hydroélectrique dont elle pouvait disposer au Saguenay-Lac-St-Jean. Il a décidé de déménager le siège social canadien d'Alcan de Toronto à Montréal. Contrairement au CN qui se targuait de n'avoir aucun vice-président francophone à son siège social montréalais, R.E. Powell a embauché beaucoup de Canadiens français à des postes-clés de la direction d'Alcan. «On a toujours eu de bonnes relations avec Québec et c'est dans ce contexte qu'en 1976, au lendemain de l'élection du PQ, j'ai annoncé au conseil d'administration qu'il fallait investir 500 millions pour la construction d'une nouvelle usine à La Baie. On avait besoin de ces nouvelles capacités. «Les administrateurs m'ont dit: tu es fou. Le PQ s'est engagé à tenir un référendum et ils peuvent vouloir nationaliser notre entreprise ou nos actifs hydroélectriques. Si tu veux ton projet, fais signer une lettre à René Lévesque - avec son sang - dans laquelle il s'engage à ne jamais nous nationaliser. «Je leur ai répondu qu'il y aurait au moins de 10 à 15 autres gouvernements qui allaient se succéder au Québec pendant la durée de vie utile de notre usine. Il ne fallait pas s'inquiéter pour rien», relate David Culver. L'ex-dirigeant assure qu'il a toujours eu de bonnes relations avec René Lévesque, qui comprenait bien l'importance d'Alcan. Davis Culver a même profité de la panique anglophone de la fin des années 70 pour réaliser son rêve de donner à Alcan son propre siège social à Montréal. «On était locataire dans une tour et je voulais donner un siège social chaleureux pour nos employés. J'ai décidé d'acheter la maison de Lord Althelson, située en face du Club Mont-Royal, et six autres édifices qui étaient attenants. «Ça nous a coûté moins de 5 millions. La tenue prochaine du référendum de 1980 avait fait chuter totalement les prix», se rappelle-t-il dans un large sourire. La vente de la Maison Alcan et le déménagement prochain du siège social de Rio Tinto Alcan dans la nouvelle Tour Deloitte chagrine d'ailleurs David Culver, passionné d'architecture qui aimait bien la chaleur et le rayonnement du complexe Alcan. Il souhaite que Guy Laliberté, l'un des acheteurs de la Maison Alcan, se serve de l'atrium pour y présenter des spectacles. «Cet endroit doit continuer de vivre», souhaite David Culver. L'ex-PDG d'Alcan est aussi désolé par le départ annoncé cette semaine de la PDG Jacynthe Côté et constate que l'entreprise ne sera plus jamais ce qu'elle a déjà été. «L'Alcan d'avant n'existe plus. Je ne critique pas Rio Tinto mais l'aluminium, ce n'est pas le même business que le minerai de fer. On marche par cycles de dix ans où on fait beaucoup d'argent pendant deux ans et les huit autres années, il faut gérer de façon serrée. On reste profitable mais on n'obtient pas les mêmes marges que le minerai de fer», expose-t-il. Lorsqu'il a quitté la présidence d'Alcan, en 1989, l'entreprise comptait plus de 70 000 employés dans le monde. Aujourd'hui, en incluant ses coentreprises, Rio Tinto Alcan compte 26 000 employés.
  2. C'est un sujet qui me passionne, je crée un fil pour partager des articles intéressants au lieu de créer plein de fils différents. Pas 1929, 1873! Le Devoir Antoine Robitaille Édition du jeudi 09 octobre 2008 Mots clés : Histoire, Crise financière, Crise économique, Économie, Québec (province), États-Unis (pays) La grave crise économique du XIXe siècle a plusieurs points en commun avec les problèmes de 2008 Photo: Agence Reuters Québec -- «Le moindre problème économique est tout de suite appelé une "crise", et une véritable crise est tout de suite comparée à LA crise, celle de 1929», notait le collègue Éric Desrosiers en début de semaine. C'est sans compter que, selon l'historien américain Scott Reynolds Nelson, le fameux krach n'est pas le meilleur parallèle historique pour la situation actuelle. Car 1929, c'est d'abord une affaire de surproduction, d'inventaires débordant, doublée d'un effondrement total des Bourses; le tout aggravé par l'incapacité de l'Allemagne à payer ses dettes de guerre, ce qui s'est répercuté sur les réserves d'or anglaises, explique Nelson dans The Real Great Depression, un texte disponible sur le site Chronicle for Higher Education (chronicle.com). Aucun facteur de ce type ne caractérise vraiment ce que nous vivons actuellement, dit-il. Les entreprises contemporaines exercent un contrôle serré de leur production; les problèmes boursiers font suite à des problèmes bancaires qui ont commencé à apparaître il y a un an. Et «il n'y a aucun problème international sérieux avec les réserves d'or, simplement parce que les prêts des banques n'ont plus de rapport avec celles-ci». En fait, la «Panique de 1873», comme on l'a appelée, aurait beaucoup plus de similitudes avec les perturbations actuelles. «Les similitudes avec ce qui se passe actuellement me bouleversent», écrit Nelson. Nos malheurs ressemblent à ce que sa «grand-mère de 96 ans appelle encore la vraie grande dépression», celle que ses propres grands-parents avaient eu à affronter, écrit cet universitaire du collège William & Mary en Virginie. Tout a commencé autour de 1870, en Europe, avec... des prêts hypothécaires très faciles à obtenir. Dans l'Empire austro-hongrois, en Prusse et en France, les empereurs avaient appuyé «une série de nouvelles institutions qui se sont mises à émettre des prêts hypothécaires dans les domaines de la construction municipale et résidentielle». Le secteur du bâtiment explose à Vienne, à Paris et à Berlin. La valeur des terrains croît rapidement et donne l'impression d'une pente de croissance pour toujours ascendante. «Les emprunteurs cupides accumulent les emprunts, se servant d'édifices non construits ou non achevés comme garanties», note Nelson. Mais les éléments fondamentaux de l'économie sont peu solides. Entre autres parce que l'«invasion commerciale américaine», comme on l'a appelée en Europe, se préparait à menacer la «European way of life» (selon l'expression rigolote de Nelson). Les producteurs de blé américains, par exemple, grâce à des innovations technologiques comme des élévateurs à grains, des trains et des navires géants, font chuter les prix. Au XIXe siècle, «les producteurs agricoles du Midwest», dit Scott Reynolds Nelson, sont un peu comme les Chinois de notre époque, eux qui fournissent les Wal-Mart. L'historien Jean-Claude Robert, de l'UQAM, trouve la thèse de Nelson intéressante mais s'inscrit toutefois en faux ici: «Les États-Unis, à l'époque, font chuter les prix en raison de leurs innovations technologiques et non, comme la Chine actuelle, parce qu'ils paient des petits salaires.» Toujours est-il qu'en 1871, l'Angleterre, principal importateur de l'époque, décide subitement de s'approvisionner en blé américain. La Russie et l'Europe centrale en pâtissent. Les prix de la farine, du colza et du boeuf en subissent des contrecoups. En mai 1873, c'est le krach en Europe centrale. Les mauvais prêts hypothécaires coulent les banques continentales. Les banques britanniques retiennent leur capital. Le prêt entre les banques devient prohibitif et la crise frappe les banques américaines à l'automne de 1873. Nelson raconte que «les compagnies ferroviaires tombent en premier» puisqu'elles avaient inventé... devinez quoi: «De nouveaux instruments financiers qui garantissaient des rendements constants, bien que peu de gens comprenaient exactement ce qui était garanti aux investisseurs en cas de problème.» En fait, rien, aucun actif. Le prix de ces bons s'effondre. Les compagnies contractent des prêts à court terme pour se financer, mais rapidement les taux explosent, ce qui en contraint plusieurs à la faillite. En septembre 1873, quand un grand financier du domaine ferroviaire, Jay Cooke, se déclara incapable de payer ses dettes, ce fut le krach dans les Bourses. «La panique dura pendant quatre ans aux États-Unis et pendant six ans en Europe», écrit Nelson. Conséquences au Québec Au Canada et au Québec, la crise de 1873 a eu plusieurs conséquences. «C'est la première vraie crise du capitalisme moderne», rappelle Jean-Claude Robert. La croissance économique du Québec en est affectée. Des Québécois immigrent aux États-Unis en masse, car malgré la crise, il y a des emplois dans les manufactures. En réaction, le gouvernement du Québec lance des projets de colonisation et accélère l'ouverture de paroisses (sorte de «plan Nord» de l'époque?). En 1879, le gouvernement fédéral adopte la Politique nationale, qui vise à hausser radicalement les tarifs douaniers pour les produits fabriqués au Canada. Aux yeux des historiens, cela contribue grandement à l'essor de la révolution industrielle au Canada, «notamment de Montréal», note Éric Bédard, de la Téluq. Aujourd'hui, c'est surtout aux États-Unis que le protectionnisme risque de faire un retour en force. Déjà, note Jean-Claude Robert, Barack Obama et Hillary Clinton ont évoqué la «nécessité» de revoir l'ALENA. 2008, comme 1873, pourrait bien déboucher sur une de ces périodes où «tout le monde veut vendre à tout le monde, mais où personne ne veut acheter», dit Jean-Claude Robert. «L'échec en juillet de la ronde de Doha de l'OMC, qui a commencé il y a sept ans, indique qu'une ère de protectionnisme pourrait pointer à l'horizon», écrit Scott Reynolds Nelson. Au Québec, le premier ministre Jean Charest mise sur une ouverture des marchés. L'idée est bonne, croit l'économiste Pierre Fortin. Charest aurait raison de voir l'échec des négociations multilatérales (Doha) comme une occasion de se tourner vers des ententes bilatérales. Mais la crise actuelle, si elle s'avère effectivement une resucée de 1873, pourrait bien nuire à ses nombreux projets de libre-échange, notamment celui avec l'Europe, dont les négociations doivent être lancées officiellement la semaine prochaine à Québec. http://www.ledevoir.com/2008/10/09/209839.html (9/10/2008 10H18)
  3. Publié le 11 mai 2009 à 06h39 | Mis à jour à 06h42 Surfait, le Plateau-Mont-Royal? Lise Leduc La Presse Ceux qui commencent à trouver qu'il faudrait en revenir, du Plateau-Mont-Royal, n'ont sans doute pas tort de trouver que ce quartier de Montréal est un peu, beaucoup idéalisé dans les journaux. Pour tout dire, autour du Plateau, il y a carrément «sublimation médiatique», à en croire une professeure de l'Université d'Ottawa qui vient de produire une étude sur le «processus de consécration du Plateau-Mont-Royal». Michel Tremblay a écrit son Albertine en cinq temps; Kenza Benali, elle, a étudié le Plateau en trois temps en examinant des centaines d'articles publiés ici. Elle présentera ses conclusions cette semaine dans le cadre du Congrès de l'Association francophone pour le savoir (ACFAS). Dans les années 70, le Plateau est déstabilisé par la poussée de la ville. «Dans un contexte marqué par le populisme et le traditionalisme, le Plateau est alors investi d'un discours médiatique qui l'érige comme le symbole de la «ville traditionnelle» par opposition à la «ville moderne» projetée par les autorités municipales», écrit Mme Benali. Le Plateau est alors présenté comme un espace de «cohabitation pacifique entre différentes classes et ethnies», poursuit-elle. Comme le dernier rempart contre la ville tentaculaire, quoi. C'est l'époque de la «bohème artistique et intellectuelle» et le Plateau se présente alors comme «le ghetto de la contre-culture québécoise», «la capitale du macramé». Les artistes célèbrent le Plateau, s'y installent et entraînent la première phase d'embourgeoisement. Arrivent les années 80. Il y a revitalisation commerciale, rénovation domiciliaire, création de parcs. Le quartier se met à incarner le renouveau urbain, mais il perd au passage sa réputation de quartier populaire pour s'embourgeoiser. On le dépeint désormais comme un quartier convoité, cher. «Si plusieurs acteurs sociaux (journalistes, résidants, militants, etc.) ont apprécié cette métamorphose urbaine, d'autres l'ont vivement contestée», peut-on lire dans l'étude de Mme Benali. Plus positif Les années 90 voient réapparaître dans la presse un ton résolument plus positif, «même que le quartier connaît une sublimation médiatique sans précédent», avance Mme Benali. Il devient l'un des quartiers les plus branchés en Amérique du Nord et «avec la notoriété internationale de Michel Tremblay et de son oeuvre, il acquiert ses lettres de noblesse». La presse lui pardonne son embourgeoisement et avance que sa mixité lui permet de retrouver l'équilibre d'antan au plan de la diversité sociale. Les médias l'opposent à des quartiers comme Outremont, le Vieux-Montréal et le Centre-Sud, «comme si ces derniers étaient les rivaux potentiels du Plateau». Dans ce discours, Outremont est «catalogué comme un ghetto bourgeois sclérosé», le Vieux-Montréal comme un «musée figé» et le Centre-Sud comme un quartier «dont la stigmatisation négative freine la relance». Le Plateau devient la petite ville dans la grande ville, le quartier par excellence où l'on a su réconcilier la ville et la nature. Bernard Lamizet, professeur à l'Institut d'études politiques de Lyon, avait bien raison, conclut Mme Benali au sujet du Plateau, quand il a écrit que la ville imaginée et la ville réelle «participent toutes deux au dynamisme de la vie urbaine». La ville, comme le disait Lamizet, «n'est pas seulement le lieu où nous vivons et où nous mettons en oeuvre nos stratégies de sociabilité: elle est aussi le lieu que nous investissons de notre imaginaire, de nos désirs, de nos utopies».
  4. En bref - Grâce à la machine à laver... Reuters Édition du mardi 10 mars 2009 Mots clés : libération, machine à laver, Femme, Italie (pays) Rome -- Plus que la pilule, le droit à l'avortement ou l'accès au travail, c'est la machine à laver qui a contribué le plus à la libération de la femme, estime l'Osservatore Romano. Intitulé «Mettez le détergent, refermez le couvercle et détendez-vous», l'article, écrit par une femme, est paru ce week-end dans le journal du Vatican à l'occasion de la Journée internationale de la femme. http://www.ledevoir.com/2009/03/10/238299.html (10/3/2009 13H25) :rotfl:
  5. C'est ce qu'a écrit lundi dans une note l'analyste Benoît Poirier, de Valeurs mobilières Desjardins. Pour en lire plus...
  6. Avec l'accélération des communications, les gestionnaires n'ont jamais tant écrit. Hélas, pour plusieurs, quantité ne rime pas toujours avec qualité. Et tant pis pour l'image. Pour en lire plus...
  7. Johanne a 14 ans de moins que Claude. Pourtant, c'est elle qui a eu la frayeur. Atteinte d'un cancer en 2005, elle a dû abandonner les clients pour lesquels elle faisait de la tenue de livre comptable. Après cette épreuve, nous écrit la femme de 49 ans, elle a décidé de profiter de la vie avec son mari. Pour en lire plus...
  8. Aérospatiale: le dollar entraînerait des déménagements 18 juin 2008 - 11h57 Presse Canadienne L'industrie aérospatiale canadienne profitera d'une remontée de la production pour afficher cette année son niveau de bénéfice le plus élevé en cinq ans, estime le Conference Board du Canada. L'institut de recherche économique avertit toutefois que la vigueur du huard pourrait entraîner au cours des prochaines années des transferts de production - incluant les appareils de la Série C projetée par Bombardier (BBD.B) - au profit d'autres pays plus concurrentiels. Dans sa note de conjoncture sectorielle du printemps sur l'industrie aérospatiale, l'institut de recherche écrit que les bénéfices escomptés cette année s'élèveront à 533 M$, soit leur plus haut niveau depuis 2003. De 2009 à 2012, ils devraient afficher une croissance à deux chiffres, soutient le Conference Board, mais les marges de profit demeureront minces par rapport aux niveaux enregistrés jusqu'à présent dans l'industrie. En outre, deux facteurs instables risquent d'entraîner une détérioration de la conjoncture dans l'industrie, soit les cours record du pétrole et la vigueur du dollar canadien. Ce dernier élément, qui rendrait le Canada moins attrayant que d'autres pays comme lieu de production, pourrait entraîner le déménagement de la production dans d'autres pays, y compris la fabrication des pièces des avions de 100 à 149 places de la Série C que Bombardier songe à lancer cette année, écrit le Conference Board du Canada. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080618/LAINFORMER/80618122/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
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