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  1. Cet édifice fédéral est situé dans le nouveau quartier écologique d'Estimauville à Québec. Photographe : Stéphane Groleau
  2. Du développement commercial et industriel, le parfait complément à la densification démographique de l'île de Montréal. Je proposerais incidemment un nouveau slogan: des emplois là où habitent les gens, en sonnant le glas à l'expansion des villes-dortoirs. Dans le but de faire échec à l'étalement urbain, un programme incitatif devrait encourager prioritairement la création d'emplois et de logements sur l'île, avec effet décroissant selon l'éloignement vers les couronnes. J'irais même jusqu'à charger une taxe spéciale sur toute nouvelle construction en dehors des zones déjà urbanisées ou dans de nouveaux lotissements, sur tout le territoire de la banlieue. Je ferais cependant exception de Laval qui est déjà en phase de densification. Une ville plus dense diminue les besoins en déplacements automobiles et rentabilise davantage le développement des transport en commun, avec effet durable sur le plan environnemental. Il faut changer les mentalités et briser la dichotomie de la banlieue qui veut que ce soit l'endroit idéal pour élever une famille. Il reste d'ailleurs suffisamment d'espace disponible sur les deux îles (Laval et Montréal) pour facilement doubler la population, tout en renforçant les pôles économiques centraux. On économiserait au passage les meilleures terres cultivables qui restent encore dans le voisinage de la ville, tout en préservant une précieuse ceinture verte, indispensable à l'équilibre écologique et sociologique du grand Montréal. Si on veut véritablement améliorer notre bilan carbone et réduire la pression des villes sur l'environnement, nous n'avons pas le choix que de penser globalement. Ce n'est qu'avec des efforts concertés et simultanés dans tous les domaines d'activités humaines que nous y arriverons. Pour cela il est nécessaire que la volonté vienne du gouvernement provincial lui-même, car c'est le seul qui a les moyens législatifs pour véritablement changer les choses. On n'a plus le choix si on veut léguer aux générations futures, un monde meilleur et en plus grande harmonie avec la nature. L'occupation du territoire est déjà une agression en soi, mais on peut diminuer notre empreinte par toutes sortes de mesures de naturalisation qui réconcilieraient la ville avec le milieu naturel. Une prise de conscience est déjà en voie de se faire, mais il y a encore beaucoup de résistance et d'opposition. Et tant que le message ne viendra pas de la plus haute instance, avec des moyens concrets pour y arriver, on sera limité à des interventions ponctuelles et trop localisées pour faire une différence appréciable. Comme le discours économique est à la mode aujourd'hui, on peut ajouter à cette vision écologique, l'effet positif sur le développement de Montréal en premier lieu, et aussi bien sûr les villes déjà établies, mais dans une moindre mesure. Un Montréal plus populeux et plus dense est un gage d'enrichissement collectif, avec des revenus plus importants et de plus grands moyens pour assurer son développement futur. J'en conclue que la prospérité soutenue de la ville passe nécessairement par l'arrêt de l'étalement urbain, et la fin de la dispersion de nos forces et de nos énergies, dans un territoire devenu démesuré par rapport à sa densité.
  3. Il semblerait que Saint-Michel aura des trolleybus d'ici 2017. Jarry, Beaubien et autres en auront aussi peu après. Il faut savoir qu'un trolleybus n'est pas un tramway mais un simple autobus électrique rattaché à des fils. D'après les exemples de certaines villes, comme Vancouver, le trolleybus n'emmènerait pas d'augmentation foncière, ou très peu; leurs bénéfices est (presque) exclusivement écologique. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2013/10/07/003-trolleybus-montreal-politique-economique-electrique.shtml
  4. RBC investira 30 M$ en rénovations à la Place Ville Marie 26 août 2011 Communiqué RBC annonçait hier qu'elle investira 30 millions $ dans la rénovation de ses bureaux au 1, Place Ville Marie. Les travaux de rénovation devraient commencer en octobre 2011 et être achevés d'ici le printemps 2013. Ce projet permettra d'offrir aux employés un environnement de travail moderne et à la fine pointe de la technologie, qui favorisera la collaboration et l'innovation et améliorera l'expérience employé dans son ensemble. En plus d'ajouter à ses bureaux du 1, Place Ville Marie de nouvelles salles de conférences et de formation, RBC procédera entre autres à la rénovation des toilettes et des halls d'entrée des ascenseurs. Les espaces de travail des employés et les salles de réunion seront rénovés conformément aux normes de conception globales de RBC, qui prévoient une utilisation de matériaux, de meubles, de tapis et de technologies qui permettent à l'entreprise de réduire ses empreintes écologique et opérationnelle.
  5. êtes-vous fatigués de ces conneries: IMPERATIF FRANCAIS - Apple, une pomme de discorde - La pollution des ondes Le "MacBook Air" MONTREAL, le 1er fév. /CNW Telbec/ - Avez-vous vu et entendu la publicitédéfrancisante d'Apple sur son nouveau portable "MacBook Air" diffusée sur lesondes de plusieurs médias? Une publicité presque entièrement en anglais pour le marché québécoisbien qu'Apple écrit dans son site que "le nouveau "MacBook Air" s'inscrit dans la démarche écologique permanente d'Apple". Sauf qu'il est évident à voir,mais surtout à entendre sa publicité, que sa "démarche écologique" n'inclut pas le respect de l'écologie culturelle et de l'environnement linguistique dumarché québécois qui est de langue et de culture d'expression française! De plus, Apple se vante dans son site Web d'avoir produit "le portable leplus mince au monde...". Ce qui est surtout mince chez Apple dans ce cas-ci, nous dirions même très mince, c'est le respect de l'identité et de ladifférence québécoise. Si la société Apple prétend se soucier de l'écologie comme elle l'affirme, elle doit retirer cette publicité des ondes de nos médias. Vous pouvez voir cette publicité irrespectueuse d'Apple à partir de sonsite Web à www.apple.com/ca/fr Renseignements: Jean-Paul Perreault, Président, Impératif français,Recherche et communications, (819) 684-8460, www.imperatif-francais.org
  6. le 8 novembre 2007 Le Comité pour la Protection du Patrimoine Île-des-Sœurs (CPP-IDS) s’associe à une quarantaine d’organismes de la grande région montréalaise pour demander la protection des derniers milieux naturels du domaine bioclimatique de l’érablière à caryer. Le but de cette démarche collective est de créer un nouveau parc national, le Parc écologique de l’Archipel de Montréal. Les partenaires de ce regroupement veulent préserver les derniers espaces naturels dans le sud-ouest du Québec. Ils invitent tous les paliers de gouvernement à appuyer le projet de parc afin d’assurer qu’un minimum de 12% de ce domaine écologique soit protégé à perpétuité. Les organismes demandent qu’une action politique soit rapidement entreprise pour protéger concrètement ce «patrimoine naturel menacé de disparition, alors qu’il recèle la plus grande biodiversité au Québec». Depuis des années, des citoyens et des organismes travaillent pour qu’un tel parc voie le jour. Les milieux naturels feront partie d’un nouveau concept unique visant à protéger et à mettre en valeur une mosaïque de forêts, de milieux humides, de corridors verts et d’îles reliés entre eux par les grands cours d’eau qui sillonnent le Québec méridional afin de créer le Parc Écologique de l’Archipel de Montréal . À ce jour, plus de 100 sites d’importance ont déjà été identifiés dans la zone de conservation ciblée qui se situe dans un rayon d’une cinquantaine de kilomètres à partir du centre de l’Île de Montréal. Un grave retard Les partenaires affirment que Montréal est classée bonne dernière parmi quatorze autres villes canadiennes pour la superficie d’espaces verts per capita. Seulement un peu plus de 3% du territoire naturel montréalais serait actuellement protégé, 0,73% du territoire de Laval et 3,69% pour la Montérégie. Quant aux régions du Suroît et Mirabel-Blainville, les pressions sur leur territoire sont énormes avec l’augmentation de plus de 30% de leur population au cours des cinq dernières années. En comparaison, Toronto possède déjà, depuis 1954, un programme pour la protection du bassin versant de la région métropolitaine. Ainsi, en 2005, l’Ontario s’est dotée d’une immense ceinture verte (environ 720 000 hectares) dans la région. Quant à la Colombie-Britannique, il y a trente ans, cinq millions d’hectares ont été mis de côté pour protéger les terres agricoles et les milieux naturels autour des centres urbains. La ceinture verte à l’intérieur et autour de Vancouver est reconnue comme un modèle de réussite à travers l’Amérique du Nord. Les organismes partenaires et tous les citoyens qu’ils représentent s’inquiètent de voir disparaître rapidement les milieux naturels qui les entourent, comme ils s’inquiètent des changements climatiques. Ils demandent donc que les gouvernements fédéral et provincial remplissent leurs engagements concernant la Convention des Nations Unies sur la biodiversité, signée en 1992, alors que Jean Charest occupait le poste de ministre de l’Environnement au gouvernement fédéral. Cette convention a par ailleurs été appuyée par l’Assemblée nationale du Québec. Ces engagements doivent conduire ultimement à mieux protéger la biodiversité sur l’ensemble du territoire. Les organismes partenaires sont convaincus que la création du Parc Écologique de l’Archipel de Montréal permettrait de remplir ces engagements. Le regroupement de partenaires invite tous les organismes intéressés par ce projet à se joindre à eux pour le mener à bien. Ce lancement n’est évidemment que le début des démarches collectives visant la protection et la mise en valeur réelle des milieux naturels de la région.
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