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  1. Nom du projet : Les Berges de la Rivière Description : Nouveau projet au bord de l'eau à Ste-Dorothée, Laval. Près de tous les services, gare, centre-d'achats, autoroute 13 et 440. -À cinq minutes de marche des stations St-Dorothée et Ile Bigras. -Une courte distance du Méga Centre Sainte Dorothée incluant des boutiques, restaurants, et autre -À proximité de superbes terrains de golf, écoles, sentiers de promenade, parcs, et activités sportives -Un stationnement sous-terrain sécuritaire et bien éclairé -Des constructions en ciment à l’épreuve du feu Site : Les Berges de la Riviere | Exceptional Laval Condos Images : http://www.lesbergesdelariviere.com/wp-content/uploads/2012/10/Lavalle-Condos-Building-980x610.jpg http://www.lesbergesdelariviere.com/wp-content/uploads/2012/10/condo-homes-montreal.jpg
  2. Le projet QUARTET CONDOS 13e AVENUEest situé à 10 minutes du Métro St-Michel, sur la même rue que l’École primaire Ste-Bibiane, à quelques pas du Collège Jean-Eudes et à 7 minutes à pieds du Cégep de Rosemont. En vivant en plein cœur de Rosemont et près de la Promenade Masson, vous aurez accès à toutes les commodités à distance de marche : marchés d’alimentation, pharmacies, restos, cafés, bistros, boutiques, piscines, parcs, écoles et encore plus… 5797, 13e Avenue, Montréal, H1X 2Y3
  3. Bonjour ! J'ai décidé hier de créer une série de photo sur l'architecture des écoles. J'adore l'architecture et j'étudie en photo, donc un des mes sujets favori en photo est l'architecture et l'urbanisme. L'architecture des écoles n'est pas ce qu'il y a de plus extraordinaires, surtout celles construites après les années 60. Dans cette série j'espère pouvoir vous faire découvrir et partager des angles de vues qui feront sortir la beauté de ces immeubles souvent en mauvaise état. Voici la première photo de cette série. Construit en 1967 par le Collège Français, ce bâtiment était un annexe pour la division primaire du collège Français jusqu'en 2000. Depuis 2000, elle abrite "L'École des Premières Lettres", une OSBL dirigé par les parents des enfants.
  4. Des ponts. Des routes. Des écoles. Des hôpitaux. On le sait, la construction d'infrastructures sera au coeur du plan de relance économique du président Obama Pour en lire plus...
  5. Le contrat vise l'élaboration et la gestion d'une plateforme électronique destinée aux écoles, aux collèges et aux universités financés par les fonds publics de l'Ontario. Pour en lire plus...
  6. Efforts de marketing réussis des commerçants? Écoles plus exigeantes? La rentrée scolaire est devenue une intense période de magasinage, avec d’autant plus de stress pour les parents qui font face cette année à une quasi-récession. Pour en lire plus...
  7. Le mardi 23 octobre 2007 5,6 milliards pour retaper les écoles La ministre Michelle Courchesne a fait plaisir au monde de l’éducation hier en annonçant des investissements de 5,6 milliards dans les infrastructures pour corriger «30 années de laisser-aller». (Archives PC) Agrandir l'image La ministre Michelle Courchesne a fait plaisir au monde de l’éducation hier en annonçant des investissements de 5,6 milliards dans les infrastructures pour corriger «30 années de laisser-aller». Archives PC Violaine Ballivy La Presse Des toits qui coulent et des fenêtres qui laissent passer le vent: Québec n'en veut plus dans ses écoles et allongera 5,6 milliards d'ici 2012 pour corriger «30 années de laisser-aller». Après celui des Transports, c'était au tour du ministère de l'Éducation de chiffrer sa ration de la cagnotte de 30 milliards que Québec dépensera pour remettre en état les infrastructures de la province. Taille du texte Taille du texte Imprimer Imprimer Envoyer Envoyer À consulter aussi Lisez d'autres articles sur ces sujets : Macro-économie (100%) Écoles, collèges et lycées (99%) Université (82%) Budget (80%) Autres nouvelles À consulter aussi Les 3560 édifices des commissions scolaires du Québec obtiendront la plus grosse part du gâteau avec une enveloppe de 3,3 milliards répartie sur cinq ans. Cet argent servira d'abord aux «réparations d'urgence» dans ces écoles majoritairement construites sous Duplessis pour accueillir les hordes de baby-boomers. Elles portent aujourd'hui le poids de leur âge et le déficit d'entretien y frise les 2 milliards. Mais Michelle Courchesne tient aussi à moderniser et rendre plus agréables les locaux. Elle a fait son annonce hier à l'école secondaire Saint-Luc, à Montréal, où les 350 élèves inscrits à la concentration en musique ne disposent pas d'un auditorium adéquat pour leurs représentations. «C'est le genre de chose que l'on pourra corriger», a-t-elle indiqué. «Les écoles sont beaucoup plus que des lieux de savoir, ce sont de véritables milieux de vie. Plus nos établissements seront propres, sains, attrayants et sécuritaires, plus nos jeunes auront le goût d'y passer du temps, d'y réussir et d'y réaliser des projets d'avenir», a indiqué la ministre, évoquant le besoin de «réparer les erreurs du passé». Les 48 cégeps obtiendront de leur côté 800 millions pour leurs 200 immeubles, tandis que les universités empocheront à elles seules un milliard, pour un total de 540 édifices. La priorité sera de combler les lourds déficits d'entretien accumulés, mais aussi de construire des laboratoires et de voir à la mise à niveau des systèmes informatique et de sécurité. Enfin, une enveloppe de 442 millions sera distribuée au fil des cinq prochaines années pour «améliorer et remplacer» des équipements, au gré du ministère en fonction des projets qui lui seront soumis. Les modalités n'ont toutefois pas encore été détaillées. Satisfaction Cette distribution de millions a fait naître plusieurs sourires hier, même si une part importante avait déjà été annoncée dans le dernier budget et que les investissements en argent frais s'élèvent en réalité à 1,4 milliard. Gaëtan Boucher, président de la Fédération des cégeps, a salué la répartition équitable des subventions entre les trois niveaux d'enseignement. «On a eu du mal à se faire entendre dans le passé et le partage était souvent inéquitable. Mais le Ministère nettoie l'ardoise cette fois. Son évaluation de nos besoins correspond à la nôtre.» Transferts fédéraux Ces sommes, calcule M. Boucher, permettront aussi de faire un usage plus intéressant des transferts fédéraux annoncés par Ottawa dans son dernier budget. Les millions promis pourront être dépensés pour améliorer les services offerts aux étudiants, plutôt que pour assurer l'entretien minimal des établissements. André Caron, président de la FCSQ, a parlé hier d'«investissements majeurs qui permettront de maintenir à tout le moins la tête au-dessus de l'eau», une évaluation de la situation qui a trouvé un écho au sein des universités. Réaction positive La présidente de la Confédération des recteurs et des principaux des universités, Heather Munroe-Blum, a réagi «très positivement» à la lecture du plan, jugeant qu'il permettra à la fois d'assurer le maintien des actifs universitaires et de régler, sur une période de 15 ans, le problème de déficit d'entretien.
  8. Le MBA de HEC Montréal remarqué par Forbes 27 août 2007 - 12h11 LaPresseAffaires.com Jean-François Cloutier Agrandir Photo HEC Grossir caractèreImprimerEnvoyer Pour la troisième fois consécutive, HEC Montréal figure dans le palmarès biennal des meilleurs MBA hors États-Unis du magazine financier Forbes à paraître cette semaine. var nsteinWords;nsteinWords = unescape('');L’école de commerce montréalaise arrive dernière, au 11e rang sur 11, dans une liste des meilleurs MBA d’un an qui inclut des écoles prestigieuses comme Cambridge, Oxford et l’Insead. Avec HEC Montréal, l’Université Queen’s de Kingston est la seule école canadienne à figurer au classement, une place plus haut que HEC à la 10e place. Le classement de Forbes est basé sur le retour sur investissement obtenu par un étudiant après avoir complété son MBA. Sur la base de questionnaires envoyés à des finissants de la promotion 2002, le magazine a calculé qu’en moyenne l’étudiant inscrit aux HEC faisait 34 000$ par année avant de commencer son programme, et 86 000$ trois ans après l’avoir complété. C’est l’IMD, de Lausanne en Suisse, qui se situe au premier rang. Forbes a calculé que le salaire d’un étudiant «pré-MBA» s’élevait à 70 000$ et passait à 183 000$ deux ans après avoir eu son diplôme. 18 500 diplômés en 2002 de 102 établissements à travers le monde ont été sondés par la revue. Le directeur du MBA pour cadres de l’UQAM, Benoît Bazoge, se défend d’offrir un moins bon MBA qu’HEC. Il explique l’absence de son établissement du classement par le fait que le programme offert est exclusivement en français et est sensiblement différent. L’UQAM offre un MBA dit «executive» qui s’adresse à une clientèle plus âgée qui effectue le programme à temps partiel. Récemment, HEC Montréal s’était aussi classée dans une liste des meilleurs MBA établie par Business Week, où l’école arrivait cette fois au 20e rang sur 20 des meilleures écoles hors États-Unis. Âgé en moyenne de 30 ans, le candidat au MBA chez HEC est généralement issu des filières de l’administration, du génie ou des sciences, et possède une expérience de six ans sur le marché du travail. Kathleen Grant, directrice des communications et du recrutement chez HEC, fait valoir que le retour sur investissement est encore plus grand pour un étudiant québécois. S’il en coûte 21 000$ par année pour un étudiant étranger pour s’inscrire au MBA, les droits de scolarité ne s’élèvent qu’à 5000$ environ pour celui-ci. Le programme de MBA de HEC est offert en français, en anglais ou dans les deux langues. >>> Voyez le classement de Forbes.
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