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  1. Publié le 21 novembre 2008 à 20h09 | Mis à jour à 20h13 Les conservateurs vont réduire le budget de Radio-Canada Bruce Cheadle La Presse Canadienne Ottawa Les partis de l'opposition reprochent au gouvernement conservateur d'amadouer le public alors qu'il se prépare à faire des coupures dans le budget du réseau de Radio-Canada, sa cible idéologique préférée. Les libéraux et les néo-démocrates affirment que le gouvernement de Stephen Harper a déjà commencé à préparer le terrain, évoquant une économie en difficulté et des renseignements sur les dépenses exécutives du réseau divulguées en vertu de la Loi sur l'accès à l'information. Dans un premier temps, le ministre des Finances, Jim Flaherty, a rappelé la fin de semaine dernière la subvention fédérale d'un milliard de dollars que reçoit annuellement Radio-Canada. Alors qu'il se trouvait à Winnipeg, M. Flaherty soulevait l'idée de vendre des actifs fédéraux pour équilibrer le budget du gouvernement. Une lettre sévère du ministre du Patrimoine, James Moore, a par la suite mis en garde la direction de Radio-Canada de freiner ses dépenses, après qu'un «excédent rapporté» eut été distribué dans divers succursales du média, mercredi. Une série d'histoires concernant les dépenses pour l'année 2006 du président des services français de Radio-Canada, Sylvain Lafrance, avaient également attiré d'autres critiques au radiodiffuseur public, qui est jugé par certains comme étant trop dépensier. Radio-Canada a depuis répliqué que les dépenses ne dépassaient pas les limites établies par la société. Une note à l'interne, rédigée par le président de Radio-Canada, Hubert Lacroix, et distribuée au personnel cette semaine, qualifiait certaines des histoires rapportées dans les médias de «contenu sale, hors contexte» qui mélangeait les dépenses personnelles de M. Lafrance aux dépenses qu'il a déclarée comme étant corporatives. La porte-parole du Nouveau Parti démocratique en matière de patrimoine, Libby Davies, a dénoncé que les messages successifs témoignent d'un gouvernement qui «prépare le terrain» pour frapper d'un dur coup son soufre-douleur. Le député libéral Scott Brison a quant à lui déploré qu'au moment même où les conservateurs augmentent les dépenses fédérales, ils démontrent une volonté de procéder à une diminution des dépenses basée sur des motifs idéologiques. M. Brison a par ailleurs prédit que l'approche d'une récession servirait d'excuse à d'autres coupures.
  2. Publié le 16 novembre 2008 à 08h08 | Mis à jour à 08h09 Aider l'Ontario? Alain Dubuc La Presse Le premier ministre ontarien David McGuinty se bat pour convaincre le gouvernement fédéral de participer à un plan de sauvetage de l'industrie automobile, dont les déboires frappent durement sa province. Les conservateurs, pourtant peu portés sur ce genre d'intervention, envoient des signaux indiquant qu'ils vont sans doute se laisser convaincre. Il y a beaucoup d'argent en jeu. Peut-être un milliard. Comment réagir? En principe, il y a un rituel canadien pour la chose. Au Québec, il faut être contre, parce que l'auto, c'est en Ontario. De la même façon que les Ontariens dénoncent invariablement le soutien à l'aérospatiale, même si cette aide a donné des fruits. Ou que les gens de l'Ouest s'indignent des règles sur les brevets qui favorisent une industrie pharmaceutique concentrée à Montréal. À l'inverse, le torontois National Post, allergique à l'aide étatique, a marché sur ses principes cette semaine pour appuyer une aide à l'automobile. Bref, la loi du clocher. Il faudrait pouvoir s'extraire de cette logique paroissiale. L'effondrement de l'industrie automobile est une catastrophe pour l'Ontario, dont c'est la principale industrie, qui compte pour le quart de ses exportations. C'est ce qui fait que la province voisine est plus malmenée que le Québec par la conjoncture. Si, par exemple, le Conference Board estime que l'Ontario frôlera la récession mais que le Québec l'évitera, c'est largement parce que l'Ontario est plombé par son industrie automobile tandis que le Québec est soutenu par son aérospatiale. On peut parfaitement comprendre que le gouvernement canadien en vienne à conclure qu'il ne peut pas abandonner à son sort l'Ontario, la principale province canadienne et son coeur industriel. Le Québec ne doit pas non plus être indifférent, en raison de l'intégration des deux économies. Les difficultés ontariennes vont nous toucher. Voilà pour les grands principes et les bons sentiments. Mais ce sera compliqué. Tout d'abord, il faut rappeler que ce n'est pas l'industrie automobile qui est en crise, mais les trois géants américains, GM, Ford et Chrysler. Par exemple, Honda, qui fabrique ses Civic au Canada, n'est pas au bord du gouffre. Leurs problèmes, même s'ils ont été amplifiés par la crise financière et ses effets sur la demande, remontent à bien plus loin. Ils s'expliquent largement par une structure de coûts intenables, l'inefficacité d'une gestion qui multipliait les marques, une stratégie désastreuse qui a misé sur des modèles déphasés. Une aide à cette industrie est certainement une sorte de prime à l'incompétence. Pour cette raison, l'argument de McGuinty et du chef néo-démocrate Jack Layton, qui s'indignent du fait que l'on aide les banques et pas l'automobile, ne tient pas la route. Le soutien aux banques s'inscrit dans un effort global pour enrayer la crise financière. Ce n'est pas une aide aux banques, qui sont en bonne santé, mais une intervention pour faciliter le crédit. Et elle ne coûtera rien au Trésor public. Ce n'est pas un débat théorique. En aidant GM, on soutient une entreprise pratiquement en faillite. Les deux autres grands ne vont pas tellement mieux. La doctrine contemporaine veut que l'on évite de soutenir des canards boiteux. GM n'entre même plus dans cette catégorie; parlons plutôt d'un volatile en état avancé de décomposition. Le risque est donc énorme que les fonds injectés ne fassent que retarder l'échéance, et que l'on gaspille inutilement des fonds publics. Voilà pourquoi une aide à cette industrie n'a de sens que si celle-ci amorce une restructuration substantielle, de son organisation, de sa stratégie de développement, de sa capacité d'innover, de sa volonté de réduire l'impact environnemental des véhicules, de ses coûts, notamment salariaux. Ce qui mène à un autre problème. Le Canada abrite des filiales des trois grands, sans pouvoir décisionnel, sans influence sur les orientations stratégiques de la maison mère. Les choix vont être faits aux États-Unis par les Américains et pour les Américains. D'autant plus que le président désigné, Barack Obama, en faveur d'un plan de sauvetage, contrairement à George W. Bush, risque de lui donner une coloration protectionniste et l'assortir de conditions pour protéger les jobs des Américains. Une aide canadienne doit donc réussir à s'inscrire dans une dynamique nord-américaine, avec toutes les difficultés que cela implique. Bref, il faut faire quelque chose pour l'automobile. Mais quoi? Les obstacles sont énormes et il sera difficile de concevoir un plan de relance qui soit équitable, intelligent et efficace, qui ne dilapide pas les fonds publics. adubuc@lapresse.ca
  3. Leurs ventes pour novembre et décembre vont demeurer sensiblement au même niveau que celles de l'an dernier, si l'on en croit un sondage mené du Conseil québécois du commerce de détail. Pour en lire plus...
  4. Deux sondages récents indiquent que les Québécois n'entendent pas réduire significativement leurs achats pour le temps des Fêtes, et ce, en dépit des menaces de récession au pays. Pour en lire plus...
  5. Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, a accueilli favorablement, dimanche, l'ensemble de mesures économiques annoncées par la Chine et croit que d'autres pays vont bientôt l'imiter. Pour en lire plus...
  6. La volatilité économique du dernier mois est profitable aux automobilistes, puisque les consommateurs bénéficient depuis quelques jours d'un litre d'essence à la pompe qui se vend autour de 90 cents le litre. Pour en lire plus...
  7. Fin de la vague des investissements des détaillants 23 octobre 2008 - 06h40 La Presse Laurier Cloutier Les commerces vont devoir encore rénover pour battre la concurrence, mais la vague des investissements amorcée depuis 2000 est terminée. La récession appréhendée et le plafonnement des ventes au détail n'arrêteront toutefois pas ceux qui veulent bâtir des géants dans les chaînes de pharmacies. Voilà entre autres ce qui va marquer la prochaine année dans le commerce, selon une étude de Joëlle Noreau, économiste principale de Desjardins. Le document dresse le portrait de ce secteur méconnu, malgré ses 650 000 employés répartis dans 40 000 entreprises, et perturbé notamment par la hausse du prix de l'essence et les dettes des ménages. Statistique Canada a par ailleurs dévoilé hier que les ventes au détail ont baissé de 0,3% au pays en août dernier, à 35,9 milliards, principalement en raison du secteur automobile. Le courtier Scotia Capital a rabaissé de 11% ses prévisions de profits annuels des détaillants. Investissements débridés Depuis 2000, la moyenne annuelle des investissements a atteint au Québec 933,5 millions chez les grossistes et près de 1,4 milliard chez les détaillants. «En 2009, ce sera plus difficile de soutenir de tels investissements», déclare à La Presse Affaires Joëlle Noreau. «Après la vague d'investissements soutenue, sinon débridée, les commerçants vont devoir davantage concentrer les efforts sur la préservation de leurs acquis», ajoute l'économiste de Desjardins. «La tendance des investissements risque de changer, sauf pour des projets spéciaux», renchérit Jacques Nantel, spécialiste du commerce de détail, professeur et secrétaire général de HEC Montréal. Titans de la pharmacie La concentration devrait s'accentuer dans la pharmacie. "On verra naître des titans de la pharmacie, semblables à ceux qu'on a créés dans l'alimentation et la quincaillerie", souligne Joëlle Noreau. Deux ou trois géants se sont en effet détachés du peloton dans l'alimentation (Loblaw-Provigo, Sobey-IGA et Metro) au cours des années 1990, et dans la quincaillerie (Rona-Réno-Dépôt, Home Depot) après 2000. «On voit d'ailleurs déjà des pharmacies grossir à vue d'oeil», note l'économiste, dont des Jean Coutu et des Pharmaprix. Surtout, le grossiste McKesson, un des leaders mondiaux du secteur, a acheté la bannière Proxim (ex-Essaim), l'été dernier, et tenterait aussi d'attirer Uniprix dans son giron, dit-elle. «La pharmacie sera un des secteurs les moins affectés par la récession, mais elle connaîtra sans doute une concentration», ajoute Jacques Nantel. Dans l'alimentation, il reste des investissements à faire, mais dans la quincaillerie, le travail est fait, dit-il. Il faut garder au moins deux concurrents. Des chaînes américaines et européennes (H&M, Zara, Mango) ont déjà débarqué au Québec et d'autres viendront, estime tout de même Joëlle Noreau. Elles tiendront cependant compte de la croissance limitée du marché (population, dépenses). Leur arrivée pourra faire mal à des concurrents, mais des indépendants vont tout faire pour fidéliser leur clientèle. Certains vont devoir déclarer forfait, selon Joëlle Noreau; d'autres vont passer aux fusions et acquisitions, dit Jacques Nantel. Par ailleurs, les baby-boomers en particulier, mais aussi les autres clients avec des budgets grugés par l'essence, vont concentrer davantage leurs achats, pour rouler moins et trouver un meilleur rapport qualité-prix. «La consommation deviendra plus raisonnée que débridée», lance Joëlle Noreau. «Ce ne sera pas un épiphénomène« en outre, selon Jacques Nantel. «Le prix le plus bas ne sera pas l'unique critère d'achat», dit l'économiste. Joëlle Noreau ne prévoit «pas un krach des ventes au détail, mais un rythme de croissance beaucoup plus lent». La concentration des achats pourra favoriser des artères commerciales dynamiques, mais aussi des centres commerciaux et des centres style de vie (lifestyle centres) avec une bonne ligne de biens et de services regroupés.
  8. Les commerces vont devoir encore rénover pour battre la concurrence, mais la vague des investissements amorcée depuis 2000 est terminée. Pour en lire plus...
  9. Les principaux dirigeants de la planète vont se réunir le 15 novembre à Washington à l'occasion d'un sommet sur la crise financière mondiale. Pour en lire plus...
  10. Les ventes automobiles au Québec vont bien 21 octobre 2008 - 15h25 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Voilà qui risque de chambouler les idées reçues: l’année 2008 risque d’être excellente au chapitre des ventes des véhicules neufs au Québec. C’est ce qu’affirme la Corporation des concessionnaires d’automobiles au Québec qui souhaite rectifier le tir alors que les médias font grand cas des malheurs de l’industrie automobile américaine. «La situation économique dans le secteur automobile est bien meilleure au Québec et au Canada qu’aux États-Unis», souligne Jacques Béchard, président de la Corporation. Et les chiffres le prouvent. À la fin septembre de cette année, les concessionnaires de la province, toute marque confondue, avaient vendu 351 421 véhicules neufs, par rapport à 327 422 en 2007 pour la même période. Il s’agit d’une augmentation de 7,3 %. «De plus, comme nous avions considéré 2007 comme une bonne année avec 413 000 véhicules neufs vendus, 2008 s'annonce encore meilleure», poursuit le PDG. C'est donc dire que «les Québécois continuent donc d’acheter ou louer à long terme des véhicules chez les concessionnaires du Québec», précise la Corporation. La crise financière, le ralentissement économique et la hausse des prix du carburant ont plombé l’industrie automobile – surtout aux États-Unis - dans les derniers mois. Des géants comme General Motors ont connu des déconvenues quasiment impensables il y a seulement quelques mois. La situation est à ce point critique que GM et Chrysler auraient pour objectif de boucler une fusion dans les 15 prochains jours, avant l'élection présidentielle du 4 novembre afin de faire face à cette situation périlleuse. Le titre de GM se situait à 6,57 $ à la Bourse de New York mardi alors qu’il était aux environs de 40 $ lors de son sommet des 52 dernières semaines.
  11. Voilà qui risque de chambouler les idées reçues: l’année 2008 risque d’être excellente au chapitre des ventes des véhicules neufs au Québec. C’est ce qu’affirme la Corporation des concessionnaires d’automobiles. Pour en lire plus...
  12. Il n'y a pas que le bois qui sera coupé à Saint-Michel-des-Saints. Les chèques de paie des travailleurs de la scierie aussi. N'empêche, les hommes vont rentrer à l'usine avec le sourire aux lèvres. Pour en lire plus...
  13. Le passage du plan de sauvetage des banques, qui porte son nom, et la mise en oeuvre de ses mesures n'entraînera pas une fin immédiate des difficultés actuelles, souligne le secrétaire d'État au Trésor. Pour en lire plus...
  14. C'est ce que souligne la banque TD qui croit que l'économie canadienne sera touchée par les importantes pressions que subit le système financier américain, Pour en lire plus...
  15. La débâcle financière aux États-Unis et la menace d'une récession mondiale qui nuirait aux ventes des magasins ne semblent pas toucher les promoteurs immobiliers liés aux centres commerciaux. Pour en lire plus...
  16. Les PDG de Lehman Brothers et de l'assureur AIG vont être entendus prochainement au Congrès sur les déboires de ces deux institutions financières, a annoncé mercredi dans un communiqué la commission parlementaire du Contrôle et de la Réforme du gouvernement. Pour en lire plus...
  17. Les besoins d'énergie du Vermont vont sans cesse croissant et c'est le Québec qui va en profiter. Pour en lire plus...
  18. RBC soutient que Transat sera vendu Le voyagiste montréalais Transat A.T. sera vendu d’ici quelques années. C’est ce que soutient l’analyste Nick Morton, de RBC Capital, dans son plus récent rapport de recherche sur l’entreprise dirigée par Jean-Marc Eustache. La vente de Transat s’inscrira dans la foulée du mouvement de consolidation en Europe, souligne Nick Morton. L’analyste de RBC recommande l’achat (sector outperform) des actions de Transat. Jusqu’à vendredi dernier, il recommandait de conserver le titre. M. Morton abaisse cependant son cours cible à 34$ d’ici 12 mois. Il était auparavant de 37$. Nick Morton souligne que la concurrence va demeurer intense pour Transat cet hiver avec les SunWing, Sunquest, Signature, Air Canada et WestJet qui vont tous se battre pour attirer des consommateurs dans un contexte de ralentissement économique. «Tout indique qu’il va se produire une importante transformation dans l’industrie et les joueurs les moins bien capitalisés vont être éliminés», croit l’analyste de RBC. «Transat devrait survivre en raison de sa solidité financière», ajoute Nick Morton qui s’attend à ce que la direction de Transat continue de racheter de ses actions sur les marchés. Mercredi dernier, Transat a révélé que l’entreprise n’avait pas été rentable pendant le troisième trimestre de l’année. Les revenus ont augmenté de près de 16%, mais le prix du carburant a entraîné le voyagiste dans le rouge. Transat a perdu 2,4 M$ cette année pendant les mois de mai, juin et juillet. L’action de Transat se transige présentement à un peu plus de 16$, son niveau le plus bas des 52 dernières semaines. Il y a un an, le titre valait plus de 40$ à la Bourse de Toronto.
  19. Ces prêts vont aider les banques qui subissent les turbulences de la crise du crédit. La banque centrale a révélé mercredi que ces nouveaux prêts s'étendraient sur une période de 84 jours. Pour en lire plus...
  20. «Les affaires vont comme à l'habitude», a notamment fait savoir Gilles Labbé, président et chef de la direction d'Héroux-Devtek. Pour en lire plus...
  21. Les ventes du fabricant de harnais et câbles B3CG -fournisseur de Volvo Nova Bus, le constructeur d'autobus urbains de Saint-Eustache- vont bondir de 50% grâce aux carnets de commandes gonflés et à sa nouvelle usine de Plattsburgh, dans l'État de New York. Pour en lire plus...
  22. Les États-Unis vont sortir 250 000 barils de pétrole de leurs réserves stratégiques pour faire face aux perturbations dans l'approvisionnement causées par le passage de l'ouragan. Pour en lire plus...
  23. Parmi les étudiants qui retournent sur les bancs d’école, certains n’y vont pas dans l’espoir d’obtenir un emploi à la fin de leurs études. Pour en lire plus...
  24. Il admet cependant que les tensions géopolitiques entre la Russie et la Géorgie vont certainement «refroidir un peu les investisseurs», a indiqué le numéro deux de l'Agence internationale de l'Énergie. Pour en lire plus...
  25. Les prix de l'immobilier vont se stabiliser, croit Greenspan 13 août 2008 - 21h18 Agence France-Presse New York L'ancien président de la Réserve fédérale américaine, Alan Greenspan Photo Patrick Sanfaçon, La Presse Les prix de l'immobilier américain, à l'origine de la crise financière, vont se stabiliser dans la première moitié de l'année 2009, estime l'ancien président de la Réserve fédérale (Fed), Alan Greenspan, dans un entretien mercredi au Wall Street Journal. «Les prix de l'immobilier aux États-Unis vont probablement commencer à se stabiliser ou toucher le fond dans la première moitié de 2009», affirme M. Greenspan. L'effondrement du secteur immobilier américain, provoqué par la crise des crédits immobiliers à risque dits «subprime», a causé un durcissement des conditions du crédit, préjudiciable à l'activité économique. Économistes et analystes estiment en conséquence qu'une reprise du marché de l'immobilier donnerait un signal positif aux marchés financiers et offrirait de meilleures perspectives pour la croissance américaine. La fin du déclin des prix de l'immobilier est «une condition sine qua non pour l'issue de la crise financière mondiale actuelle», avance M. Greenspan, qui reste très écouté par la planète financière. Revenant sur les solutions gouvernementales pour sauver les deux géants du refinancement hypothécaire américain Fannie Mae et Freddie Mac, plombés par la débâcle des «subprime», M. Greenspan juge qu'elles sont «mauvaises». «Ils (l'administration Bush) auraient dû faire fi des actionnaires (et) nationaliser les institutions avec une législation adaptée les scindant en 5 ou 10 unités (...) bénéficiant du soutien nécessaire des contribuables pour qu'elles soient financièrement viables», suggère M. Greenspan. Victimes de la détérioration du marché de l'immobilier et de l'effondrement de leurs cours de Bourse, Freddie Mac et sa soeur jumelle Fannie Mae ont connu, début juillet, une crise qui a nécessité l'intervention du département du Trésor, équivalent du ministère français de l'économie et des Finances. Les autorités ont ainsi mis en place un plan de sauvetage, validé par le Congrès et signé par le président George W. Bush, qui permet notamment au Trésor d'acheter des actions des deux organismes ou de leur prêter plus d'argent, jusqu'à fin 2009. Les prix de l'immobilier américain, à l'origine de la crise financière, vont se stabiliser dans la première moitié de l'année 2009, estime l'ancien président de la Réserve fédérale (Fed), Alan Greenspan, dans un entretien mercredi au Wall Street Journal. «Les prix de l'immobilier aux États-Unis vont probablement commencer à se stabiliser ou toucher le fond dans la première moitié de 2009», affirme M. Greenspan. L'effondrement du secteur immobilier américain, provoqué par la crise des crédits immobiliers à risque dits «subprime», a causé un durcissement des conditions du crédit, préjudiciable à l'activité économique. Économistes et analystes estiment en conséquence qu'une reprise du marché de l'immobilier donnerait un signal positif aux marchés financiers et offrirait de meilleures perspectives pour la croissance américaine. La fin du déclin des prix de l'immobilier est «une condition sine qua non pour l'issue de la crise financière mondiale actuelle», avance M. Greenspan, qui reste très écouté par la planète financière. Revenant sur les solutions gouvernementales pour sauver les deux géants du refinancement hypothécaire américain Fannie Mae et Freddie Mac, plombés par la débâcle des «subprime», M. Greenspan juge qu'elles sont «mauvaises». «Ils (l'administration Bush) auraient dû faire fi des actionnaires (et) nationaliser les institutions avec une législation adaptée les scindant en 5 ou 10 unités (...) bénéficiant du soutien nécessaire des contribuables pour qu'elles soient financièrement viables», suggère M. Greenspan. Victimes de la détérioration du marché de l'immobilier et de l'effondrement de leurs cours de Bourse, Freddie Mac et sa soeur jumelle Fannie Mae ont connu, début juillet, une crise qui a nécessité l'intervention du département du Trésor, équivalent du ministère français de l'économie et des Finances. Les autorités ont ainsi mis en place un plan de sauvetage, validé par le Congrès et signé par le président George W. Bush, qui permet notamment au Trésor d'acheter des actions des deux organismes ou de leur prêter plus d'argent, jusqu'à fin 2009.
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