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  1. https://www.ledevoir.com/culture/547819/le-monastere-ouvre-un-cabaret-de-cirque-dans-une-eglise http://le-monastere.ca/ Le Monastère ouvre un cabaret de cirque dans une église [Culture] Photo: Marie-France Coallier Le Devoir Jeudi et vendredi, les trapézistes Shannon Gélinas (sur cette photo) et Evelyne Paquin-Lanthier se produiront à l’église anglicane St. Jax, s’entortillant dans un long tissu blanc devant des vitraux emblématiques. Caroline Montpetit 14 février 2019 Culture Evelyne Paquin-Lanthier s’élance du haut du plafond de bois de l’église anglicane St. Jax, s’entortille dans un long tissu blanc et atterrit au sol avant de remonter par le même chemin, devant un vitrail illustrant l’Ascension. Bienvenue au Monastère, cet organisme sans but lucratif qui s’est donné pour mission de tenir des cabarets de cirque à Montréal. Depuis peu, c’est dans la vieille église montréalaise de St. Jax, rue Sainte-Catherine, que l’organisme a élu domicile. Rosalie Beauchamp et Guillaume Blais, les deux fondateurs du Monastère, sont tous deux issus du milieu du cirque. Après avoir bourlingué à travers le monde, ils ont senti le besoin d’offrir une scène aux artistes de cirque québécois. Ceux-ci sont invités à y présenter leurs propres créations. Les cabarets se succéderont au rythme d’une dizaine par année, et seront présentés par un maître de cérémonie. Jeudi et vendredi, les 14 et 15 février, on pourra notamment y voir le duo des trapézistes Evelyne Paquin-Lanthier et Shannon Gélinas. On pourra aussi y voir en première montréalaise le duo de sangles de Guillaume Paquin et Nicole Faubert, qu’ils viennent de présenter au Festival mondial du cirque de demain, à Paris. Cette semaine, c’est Joe de Paul qui sera maître de cérémonie. « C’est l’un des meilleurs clowns de Montréal », dit Guillaume Blais. « Montréal est qualifiée de capitale du cirque, mais il n’y a aucun artiste qui travaille ici. Les gens viennent se former ici, mais personne ne présente ses oeuvres. Même pour les grosses compagnies, 90 % du marché est à l’international », dit Guillaume Blais. « Les artistes ont créé des numéros qu’on considère comme des oeuvres d’art », dit Rosalie Beauchamp. Les cabarets du Monastère leur permettent de les présenter à l’état pur. Ils veulent démontrer comment on peut ramener les gens dans les églises, à travers l’art entre autres — Rosalie Beauchamp Mais c’est vraiment le lieu qui donne toute sa particularité à cette nouvelle édition du cabaret du Monastère. L’église de style néogothique St. Jax a été inaugurée en 1864 sous le nom de Saint-James the Apostle. À l’époque, elle était située au milieu d’un champ. Comme la plupart des églises du Québec, depuis quelques années, elle a vu le nombre de ses fidèles baisser. Plutôt que de fermer ses portes, elle a décidé de diversifier ses activités. « Il y a encore une messe qui est célébrée tous les dimanches », dit Rosalie Beauchamp. L’église a cependant évacué les bancs d’église de son sanctuaire pour faire place à des chaises, qui peuvent être déplacées lors de la tenue de spectacles. En fait, les bancs d’église ont même servi à la construction d’un bar, où on servira des alcools locaux lors de la tenue des cabarets du Monastère. « C’est encore une église fonctionnelle, dit Guillaume Blais. Mais la réalité des églises d’aujourd’hui, c’est qu’elles ne sont pas pleines et qu’il y a des coûts d’entretien. Donc plutôt que de fermer l’église et de la vendre pour que cela devienne des condos, ils ont décidé de ramener des gens de la communauté ici, par l’entremise de projets artistiques sans but religieux. » « Ils veulent démontrer comment on peut ramener les gens dans les églises, à travers l’art, entre autres. C’est un projet-pilote de leur côté aussi », dit Rosalie Beauchamp. Les deux artistes circassiens avaient d’abord eu l’idée de présenter des spectacles dans une autre église, rue Jarry, abandonnée puis démolie depuis. Ils ont présenté l’an dernier quelques éditions de leurs cabarets au Théâtre Plaza, rue Saint-Hubert, avant de s’installer pour de bon à l’église St. Jax. L’aménagement d’une scène de cirque en pleine église a nécessité de nombreux travaux. « Il a fallu faire venir des ingénieurs », pour assurer la transformation des lieux, dit Guillaume Blais. Le Monastère Cabaret de cirque, 14 et 15 février, église St. Jax, Montréal
  2. 330 Christin (Accueil Bonneau) Démolition de l'immeuble Le Riga: et remplacement par 7 étages d'accueil bonneau
  3. https://www.journaldemontreal.com/les-surs-grises-veulent-leguer-la-maison-de-mere-dyouville-en-heritage-aux-montrealais Les Sœurs Grises veulent léguer la Maison de Mère d’Youville en héritage aux Montréalais PARA-SOL ARCHITECTURE ET DÉVELOPPEMENT GUILLAUME PICARD Mercredi, 6 février 2019 13:39 La Maison de Mère d’Youville, dans le Vieux-Montréal, pourrait être mise en valeur dans le cadre d’un projet de conservation de plus de 35 millions $ visant à en assurer la pérennité et à en faire un pôle patrimonial, éducatif et culturel. Mais avant que les ouvriers ne débarquent sur place, il faudra compléter le montage financier avec l’aide d’Ottawa, de Québec et de la Ville de Montréal, avec qui les discussions se poursuivent. Et il faudra aussi retenir les services d’un promoteur pour mettre de l’avant la proposition présentée mercredi, fruit du travail des firmes d'architectes Para-Sol, Beaupré Michaud et Associés ainsi que Civiliti. L’ensemble, qui est classé bien patrimonial, date de 1693 et comprend plusieurs éléments architecturaux du 17e siècle. Abritant autrefois l’ancien hôpital général de Montréal, il pourrait être conservé pour les prochaines générations dans le cadre d’un projet émanant de la congrégation des Sœurs Grises de Montréal, avec la collaboration du musée Pointe-à-Callière et de l’Université de Montréal. C’est ainsi que les Sœurs Grises souhaitent voir naître l’Espace Marguerite d’Youville au terme de travaux qui pourraient s’échelonner sur deux ans. On y mettrait en lumière l’héritage de Marguerite d’Youville (1701-1771), fondatrice en 1737 de la congrégation des Soeurs de la Charité de Montréal (Sœurs Grises). Les Sœurs Grises ont travaillé avec des experts en patrimoine et en archéologie afin de permettre éventuellement aux visiteurs de s’imprégner de l’époque de la Nouvelle-France, alors que Montréal n’était encore qu’une bourgade. «Au moment où de nombreux immeubles patrimoniaux du Québec se trouvent dans une position de fragilité, nous tenons non seulement à assurer la protection de cet espace historique, mais aussi à donner une nouvelle vie à la Maison de Mère d’Youville. Il est important pour nous de contribuer activement à la transmission de notre histoire et de notre patrimoine», a dit sœur Aurore Larkin, supérieure générale des Sœurs Grises de Montréal. L’idée est de donner accès à des lieux inédits, dont la Salle des pauvres où les gens moins nantis se sustentaient et se reposaient à une autre époque. Elle est «quasi intacte» depuis le 17e siècle. De plus, les gens pourraient accéder à une voûte de l’époque de la Nouvelle-France. Elle est, dit-on, «unique par son ampleur» et les curieux pourraient y découvrir un four à pain d’origine. L’Espace Marguerite d’Youville serait un lieu d’enseignement, de recherche et de diffusion. Il accueillerait le laboratoire d’archéologie citoyenne de l’Université de Montréal. L’institution d’enseignement pourrait ainsi poursuivre, avec le musée Pointe-à-Callière, ses activités de recherche et de formation. On souhaiterait de plus, avec l’Espace Marguerite-d’Youville, réunir des collections archéologiques à Pointe-à-Callière, lieu de fondation de Montréal. Ces pièces sont disséminées en plusieurs endroits en ce moment. «Ce partenariat avec la congrégation des Sœurs Grises et Pointe-à-Callière permettra à nos chercheurs et à nos étudiants de profiter d’un espace patrimonial exceptionnel, tout près du lieu de fondation de Montréal. Un cadeau rare», a indiqué M. Frédéric Bouchard, doyen de la Faculté des arts et des sciences de l’Université de Montréal. Mais avant de procéder à la première pelletée de terre, le projet devra obtenir le soutien de tous les ordres de gouvernement, a-t-on précisé en point de presse, mercredi après-midi. «Notre congrégation demande l’appui financier nécessaire des gouvernements et de la Ville de Montréal pour permettre à cet ensemble patrimonial unique de continuer à témoigner de la fondation de notre ville et de notre congrégation. Face à l’enthousiasme que notre projet suscite, nous sommes persuadées de recevoir l’aide financière souhaitée. Nous avons des partenaires solides, l’Université de Montréal et Pointe-à-Callière, et un projet exemplaire», a dit sœur Aurore Larkin.
  4. https://www.lobby.gouv.qc.ca/servicespublic/consultation/ConsultationCitoyen.aspx Cosoltec inc. est enregistré comme lobbyistes par rapport à une demande de permis de construction en vertu des règlements municipaux de construction mixte, construction résidentielle (condos ou hôtel) et commerciale (bureaux) sur la rue de Lorimier et le boul. de Maisonneuve Cette même firme est impliquée dans le projet Le Havre Frontenac, un projet mixte localisé autour de la station de métro Frontenac. https://cosoltec.com/projet/le-havre-frontenac/
  5. Terrains vacants à vendre juste au sud de la Place Bonaventure (brochure en français disponible sur le site Web) : - http://matrix.cwcanada.com//filecabinet/Trans/498605/Terrains_South_Block_Lands_Teaser_(E)_final.pdf - http://www.cushmanwakefield.ca/properties/m1078627-1 Est-ce que quelqu'un sait s'il y a un (ou des) projet(s) sur ce site?
  6. [J'ai effectué diverses recherches avant de créer ce fil, espérant ne point créer de doublon.] Rumeur à confirmer, probablement via le registre des lobbyistes du Qc puis l'un des prochains conseils d'arrondissement de Ville-Marie, soit en février ou mars. Bleury n'a de cesse de se réinventer et est en voie de devenir une avenue prestigieuse!
  7. Il y a quelques années, TVA a réussi à faire imposer un terrain de stationnement en surface sur la rue Sainte-Catherine. C'était durant l'époque du Maire Tremblay. Ce stationnement et entrée de garage crée une sorte de trou noir qui nuit à l'animation de la rue commerciale et brise la ligne de continuité des autres bâtiments sur la rue commerciale principale du quartier. Avec la réincarnation du Village et le secteur limitrophe, il est temps de réfléchir sur comment TVA peut corriger ce que je considère une des pires plaies urbanistiques dans le secteur. En plus d'être un stationnement, ce terrain sera souvent à l'ombre, car il est entouré par des bâtiments. En plus, le Projet Bourbon est présentement en construction en face. Puisque l'aménagement du stationnement et la construction du batiment en arrière est relativement récent, je ne pense pas que TVA sont à veille de le remplacer par un bâtiment qui respect la trame commerciale qui existait depuis plus de cent ans. Avec la consultation du PPU des Faubourgs, ça serait peut-être l'opportunité d'imaginer des solutions créatives, plus ou moins permanentes pour réparer la rue à cet endroit. Par exemple, une solution possible serait de construire un cadrage qui rappelle la forme des bâtiments voisins ainsi que la continuité de la rue pour supporter de l'art public. On pourrait s'inspirer du mur rideau du côté de l'entrée principale de notre Palais de Congrès sur la place Jean-Paul Riopelle pour créer une oeuvre artistique. TVA pourrait faire appel à une artiste ou une collective pour créer une vaste murale vitrée qui changera selon l'heure de la journée et au fils de saisons. Il y a certainement d'autres possibilités pour régler cette erreur qui démontre une vraie lacune dans notre plan d'urbanisme selon moi.
  8. 9111344 CANADA INC. Mandat : Période couverte par le mandat : du2018-12-05au2019-12-05 Contrepartie reçue ou à recevoir : moins de 10 000 $ Objet des activités : Proposition législative ou réglementaire, résolution, orientation, programme ou plan d'action Renseignements utiles : L'object du mandat est l'obtention d'une résolution ou de toute autorisation nécessaire afin d'acheter directement de la Ville de Montréal un terrain situé au 1001 rue Saint-Dominique à Montréal, Québec, H2X 2W1. Le client à l'intention de garder l'immeuble intact mais d'utiliser la densité disponible afin de construire sur le terrain adjacent, lot 1 180851, Ru De Bullion, un projet immobilier résidentiel et commercial soucieux de l'environnement et à la fine pointe des technologies d'énergies renouvelables, le tout afin de remplir les besoins du Centre hospitalier de l'Université de Montréal. Notamment, il s'agira de logements sociaux, de cafétérias, de logements pour les familles de patients, pour les docteurs, employés et scientifiques du Centre hospitalier de l'Université de Montréal, et de commerces tel des pharmacies et cliniques médicales. Il y aura de plus des loisirs comme une piscine, un jardin intérieur et des espaces de stationnement intérieurs.
  9. https://www.newswire.ca/fr/news-releases/declaration-pour-revitaliser-lest-de-montreal---chantal-rouleau-et-valerie-plante-annoncent-des-actions-pour-revitaliser-lest-de-montreal-702780792.html?fbclid=IwAR13v0RN1WwjGtQkhj1VKrdKeixgfrJcGc8TGpL3PaD-HFHN61IyAQW3lO4 https://www.tvanouvelles.ca/2018/12/14/annonces-pour-la-revitalisation-de-lest-de-montreal Annonces pour la revitalisation de l’est de Montréal Agence QMI | Publié le 14 décembre 2018 à 12:41 - Mis à jour à 12:56 La rue Notre-Dame sera revitalisée dans l’est de Montréal, où l’on entreprendra de plus un vaste programme de décontamination des sols, des engagements pris en campagne la Coalition avenir Québec (CAQ). Play Video La rue Notre-Dame sera revitalisée dans l’est de Montréal, où l’on entreprendra de plus un vaste programme de décontamination des sols, des engagements pris en campagne par la Coalition avenir Québec (CAQ). L’ancienne mairesse de l’arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, Chantal Rouleau, qui est devenue la ministre responsable de la métropole, a annoncé vendredi, aux côtés de la mairesse de Montréal, Valérie Plante, la création d'un bureau de revitalisation de la rue Notre-Dame. Les deux femmes, jadis adversaires à l’hôtel de ville, ont signé la Déclaration pour revitaliser l’est de Montréal. Les partenaires que sont le gouvernement du Québec, la Ville de Montréal et l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) travailleront en collaboration, a-t-on précisé, en ajoutant que «l'objectif est de redessiner cette artère stratégique pour en faire un boulevard urbain, un corridor de mobilité durable reliant les quartiers de la pointe de l'île au centre-ville». Cette annonce survient à deux jours de l’élection partielle pour justement trouver un successeur à Chantal Rouleau à la mairie de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles. Au cours des dernières décennies, plusieurs promesses ont été faites concernant la réfection de la rue Notre-Dame Est, entre le pont Jacques-Cartier et le quartier Pointe-aux-Trembles. Le premier ministre François Legault s’était aussi engagé, en campagne, à décontaminer les sols, un enjeu important pour l’est de Montréal, réclamé depuis des années par les gens d’affaires. «Il est temps qu'on s'occupe, enfin et très sérieusement, de ce territoire trop longtemps délaissé. Avec la Ville de Montréal et nos autres partenaires, nous nous attaquerons à des problèmes criants. Nous allons investir pour faire progresser des projets structurants, dont la revitalisation de la rue Notre-Dame et la décontamination de terrains», a dit Chantal Rouleau, qui est aussi ministre déléguée aux Transports. «Les besoins sont nombreux dans l'est de Montréal et nous devons agir afin d'améliorer la qualité de vie de ses résidents et résidentes, a indiqué de son côté la mairesse Valérie Plante. Nous avons lancé plusieurs projets innovants et d'autres seront déployés à court terme afin d'aider la population à vivre dans des quartiers accessibles et agréables. C'est en travaillant tous ensemble que nous pourrons faire de Montréal une ville où il fait bon vivre d'une rive à l'autre.» L’est de Montréal fait l’objet, en parallèle, de plusieurs autres projets déjà sur la table à dessin ou en chantier, comme le prolongement de la ligne bleue du métro, la mise en place du service rapide par bus (SRB) sur le boulevard Pie-IX et le projet de navette fluviale entre Pointe-aux-Trembles et le Vieux-Port.
  10. https://www.shdm.org/fr/actualites/un-projet-dhebergement-de-la-shdm-pour-femmes-en-difficulte-est-approuve-par-la-ville-de-montreal/ http://www.seao.ca/Recherche/avis_trouves.aspx?callingPage=3&Results=1&searchId=3307ffbd-0cd8-4b0c-a63e-a9b000cdb763#p=6 DEV-CP18-097 / 1220564 - Montréal Démolition de deux bâtiments et reconstruction d'un nouveau bâtiment d'habitation de 26 studios au 2231 à 2235 et 2239 à 2243 De Champlain, à Montréal Avis d'appel d'offres - Bâtiments Société d'habitation et de développement de Montréal
  11. Nouveau projet du Groupe Tidan (hotel + résidentiel) Le mandat consiste à représenter le client auprès de l’Arrondissement Ville-Marie de la ville de Montréal dans le processus d’approbation d’un projet de transformation et d’agrandissement mixte (résidentiel, commercial et hôtelier) situé sur les lots 1065568 et 1065569 à l’intersection des rues Guy et Sherbrooke Ouest dans la ville de Montréal. Il s'agit de la restauration de l'immeuble résidentiel existant avec agrandissement de résidences avec services hôteliers. Les activités prévues auprès de l’arrondissement consistent à demander une modification de la hauteur permise au plan d’urbanisme de la Ville de Montréal ainsi qu’au règlement d'urbanisme No 01-282. La limite de la hauteur est actuellement à 14 mètres, et le projet nécessiterait une hauteur de 65 mètres. https://lobby.gouv.qc.ca/servicespublic/consultation/AfficherInscription.aspx?NumeroInscription=pq1RKHDlqd%2bcO%2fE7jxFZAQ%3d%3d#D119759 Ça inclut l'immeuble au coin sud-ouest de l'intersection, et la victorienne à l'ouest. (1620 Sherbrooke O.)
  12. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7317,79867570&_dad=portal&_schema=PORTAL Conseil du 5 decembre CA: 40.25 · Un rez-de-chaussée commercial (3 commerces) · 94 unités résidentielles aux étages supérieurs; · 2 niveaux de stationnement souterrain pour un total de 41 unités automobiles et 40 emplacements de vélo. · 14 emplacements extérieurs pour vélo
  13. Registre des lobbyistes Placements Sergakis Mandat : Période couverte par le mandat : du2018-10-31au2019-06-01 Contrepartie reçue ou à recevoir : de 50 000 $ à 100 000 $ Objet des activités : Proposition législative ou réglementaire, résolution, orientation, programme ou plan d'action Permis, licence, certificat ou autre autorisation Renseignements utiles : Démarche en vue d'obtenir une modification du règlement d'urbanisme de la Ville de Montreal en vertu du règlement d'urbanisme, pour implanter un bâtiment résidentiel locatif de densité et de hauteur supérieures aux critères établis dans le plan d'urbanisme. Démarche en vue d'obtenir un permis de construction de la Ville de Montréal en vertu du règlement de zonage municipal, pour implanter un bâtiment résidentiel locatif d'environ 200 unités locatives situées au 1946 Ste-Catherine. VM_152_Dollarama.pdf
  14. Discussion générale sur le Vieux-Montréal et ses infrastructures
  15. http://plus.lapresse.ca/screens/dabcdc4e-71b3-4791-8032-85cb8fa02fec__7C___0.html?utm_medium=Facebook&utm_campaign=Internal%2BShare&utm_content=Screen&fbclid=IwAR39zmO6kN7BiFc0xrv_JKoQdekQNXDtfeoZigmuw-nqe6XCjI9YPCERj7o ÉDITORIAL FRANÇOIS CARDINAL INFRASTRUCTURES DE MOBILITÉ DURABLE POURQUOI TANT DE LAIDEUR ? FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE Montréal est une ville qui se marche. Une ville qui se pédale. Une ville qui mise sur les modes de transport alternatifs comme le BIXI et l’autopartage. Et c’est très bien ainsi ! Mais une simple question : pourquoi se soucie-t-on aussi peu de la beauté des infrastructures de mobilité durable ? Pourquoi, autrement dit, se permet-on autant de laideur lorsque le but visé par le mobilier urbain est louable ? La question peut paraître tirée par les cheveux, mais suivez le guide, vous comprendrez rapidement… Imaginez-vous dans le secteur le plus touristique de la ville, le Vieux-Montréal. Et mettez-vous dans les souliers d’un croisiériste qui vient d’accoster à la nouvelle gare maritime dans le Vieux-Port. D’abord, il est frappé par la beauté du grand quai et par l’architecture du terminal. Ça promet ! Puis il quitte la jetée Alexandra et aussitôt… ça se gâte. Il avait lu dans son guide qu’une grande allée piétonne s’étirait le long du fleuve, mais tout ce qu’il aperçoit, c’est une voie qui peut accueillir trois véhicules de large, à laquelle on a ajouté un trottoir. C’est ça, la voie piétonne magistrale ? Montréal ouvre ses bras aux touristes avec cet axe aux allures d’autoroute ? Et pourquoi, au juste, a-t-on déposé sur ce chemin 50 cloches de béton banales tout autour du terminal comme si c’était une forteresse ? Tout en se grattant la tête, le touriste décide de marcher vers le Vieux-Montréal, en direction du musée Pointe-à-Callière. Il arrive rapidement à l’intersection de la rue de Callière, beaucoup trop large pour qu’il se sente en sécurité en la traversant, puis il déambule à droite et à gauche, le long de la rue de la Commune. En route, il croise de bien belles choses, mais aussi, il faut le dire, deux stationnements disgracieux réservés aux véhicules en partage car2go. Le premier, au coin de la rue Mills, est laid avec ses gros blocs de béton rectangulaires qui jurent avec le pavé installé avec soin. Et le second, à proximité du boulevard Saint-Laurent, est d’une horreur qui rappelle les cours de voirie municipale, et ce, même s’il est situé le long du fleuve, à mi-chemin entre les belles façades du Vieux-Montréal et le Centre des sciences. Vraiment ? On n’a pas pu faire mieux pour délimiter ce stationnement situé dans l’épicentre touristique de la métropole que ces cubes de béton amochés qui datent probablement des années 80 ? Ben coudon. Le visiteur poursuit sa balade. Il remonte la rue McGill, qui a eu droit à une véritable transformation ces dernières décennies. Elle est passée de rue déserte à haut lieu touristique et gastronomique, grâce notamment à de superbes façades patrimoniales. Mais le regard du touriste est aussitôt attiré vers le milieu de la rue. Il est attiré, plus précisément, vers ces nouvelles tiges vertes en plastique bon marché cordées le long de la piste cyclable. Qui a eu l’idée de défigurer ainsi McGill avec des dizaines de bollards sans créativité comme on en utilise pour délimiter les entrées de garage à déneiger ? L’arrondissement de Ville-Marie n’avait pas envie d’imiter Barcelone, disons, où les éléments de marquage sont discrets, à quelques centimètres du sol seulement ? Le touriste continue de marcher. Il longe le magnifique square Victoria, puis décide d’aller admirer la place Riopelle, vantée dans son guide comme l’une des plus belles à Montréal. Il emprunte la rue Saint-Antoine et il croise en chemin ce qui ressemble à de grosses pompes à essence, avec de grands câbles perchés dans les airs et des tuyaux noirs qui traînent au sol. Puis il réalise qu’il s’agit de bornes à voitures électriques. D’horribles bornes de recharge qui ne s’harmonisent nullement au Quartier international. Et personne n’y voit de problème ? Personne n’a cru nécessaire de trouver des bornes qui s’intègrent au mobilier urbain signé par le grand Michel Dallaire ? Suffit pourtant de croiser des bornes Tesla pour comprendre que l’électricité peut rimer avec beauté… Le touriste poursuit sa marche et pique vers le nord. Il bifurque sur Viger pour arriver enfin à la place Jean-Paul-Riopelle, précisément à la bonne heure, alors que la sculpture est mise en valeur par des jets de brume et un cercle de feu impressionnant. C’est tout simplement magnifique, se dit-il… jusqu’à ce qu’il tente de se positionner pour admirer la place dans sa globalité. Et il se demande alors pourquoi quelqu’un a installé ce « rack » à vélos à cet endroit précis ? Pourquoi quelqu’un a cru bon placer une rangée de BIXI précisément là où la perspective est la plus intéressante, avec vue sur le mur coloré du Palais des congrès et le parvis du bâtiment de la Caisse de dépôt ? D’où la question initiale : pourquoi, lorsqu’on implante du mobilier urbain et des infrastructures réservés aux piétons, aux cyclistes et aux abonnés de l’autopartage, a-t-on aussi peu de souci pour leur intégration au paysage urbain ? Pourquoi accepte-t-on autant de laideur lorsqu’on prend le virage de la mobilité durable ? Pourquoi aussi peu d’efforts lorsque le but visé par l’infrastructure est noble ? Les infrastructures réservées aux piétons et cyclistes devraient être à la hauteur de leur mission, non ? Bien sûr, on peut se dire qu’il n’y a là rien de dramatique. On peut même se dire que la beauté est toute relative. Mais pensez-y : ce n’est pas qu’une question de look, de beau ou de pas beau. C’est plutôt une question de design, de conception harmonisée, d’intégration architecturale et urbanistique. N’est-ce pas la base même de ce que devrait être une « Ville UNESCO de design » ?
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