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  1. https://www.lapresse.ca/societe/sante/en-forme/201910/27/01-5247192-une-nouvelle-salle-descalade-de-bloc-pour-aguicher-les-grimpeurs.php Une nouvelle salle d’escalade de bloc pour aguicher les grimpeurs PHOTO BERNARD BRAULT, LA PRESSE Le Café Bloc occupera un espace de près de 930 mètres carrés à deux pas du métro Saint-Laurent. L’endroit sera consacré au bloc (escalade courte et très technique effectuée sans corde) et à la convivialité. Au Québec, on a vu des salles d’escalade se monter dans des églises, des cinémas abandonnés ou autour d’un silo industriel. Dès l’an prochain, ce sera au sein d’un ancien peep-show du boulevard Saint-Laurent que les amateurs de bloc pourront monter au septième ciel. Publié le 28 octobre 2019 à 15h00 Sylvain Sarrazin La Presse Les gyms d’escalade, c’est comme les cafés de chats : ces derniers temps, ça prolifère à Montréal. Qui s’en plaindra ? Surtout pas les grimpeurs du centre-ville qui auront accès, à deux pas du métro Saint-Laurent, à un espace de près de 930 mètres carrés (10 000 pieds carrés) consacré au bloc (escalade courte et très technique effectuée sans corde) et à la convivialité. ILLUSTRATION FOURNIE PAR CAFÉ BLOC Plan du futur Café Bloc C’est après avoir multiplié les voyages d’escalade autour du monde que Jean-François Gravel et Sébastien Aubé, deux entrepreneurs et amis montréalais, ont commencé à hisser le projet de Café Bloc – en partant d’assez bas, étant donné l’ancienne vocation érotique du local, et surtout son délabrement avancé. « Le bâtiment était à moitié démoli et abandonné depuis plusieurs années. On a même trouvé de vieilles cassettes érotiques dans le sous-sol ! Le toit coulait, la céramique était cassée dans tous les sens, etc. C’était un gros défi d’en faire un espace d’escalade », expliquent-ils. PHOTO TIRÉE DE FACEBOOK Jean-François Gravel Mais une fois les dernières prises vissées aux pans, début 2020, le changement d’ambiance radical devrait émoustiller les athlètes du coin. « Notre but, c’était surtout de reproduire le vibe de la communauté de grimpeurs, quand les gens se retrouvent à la falaise, jasent, soupent ou prennent une bière ensemble, lisent dans un hamac… », expliquent les deux complices depuis l’île grecque de Kalymnos, où ils étaient en voyage d’escalade. On souhaite que ce ne soit pas juste un endroit où on vient, on grimpe, puis on repart. — Jean-François Gravel et Sébastien Aubé ILLUSTRATION FOURNIE PAR CAFÉ BLOC Plan du futur Café Bloc À l’issue de ce programme de rénovation extrême, on retrouvera donc, outre une centaine de « problèmes » (mini-voies de bloc) pour tous les niveaux et répartis sur une salle principale et une mezzanine, une salle d’entraînement, des espaces de détente et de restauration (avec cafés, repas et bières de microbrasserie) puis, peu avant l’été, une grande terrasse sur le toit avec hamacs et slacklines. Pour les voies comme pour les bières, la rotation sera de mise, avec un renouvellement régulier de celles-ci. Un tiers des « problèmes » sera destiné aux débutants, la moitié aux niveaux intermédiaires, et le reste aux experts des mouvements inhumains. Sauna et petits soins Indéniablement, on assiste à une explosion de l’escalade et des structures dans la région montréalaise sur les 10 dernières années : naissance de Zéro Gravité, Bloc Shop, Canyon Escalade, développement d’Allez Up… Ce nouvel acteur qui intervient en pleine floraison pourrait-il provoquer une saturation ? PHOTO TIRÉE DE FACEBOOK Sébastien Aubé « On pense que la demande pour l’escalade dépasse l’offre et qu’on est dans le pic. Avec Café Bloc, on offre quelque chose de différent et une localisation très accessible pour les travailleurs et les étudiants, qui peuvent venir facilement pendant leur pause, avant ou après leur travail », indique Sébastien Aubé. Question distinction, on y retrouvera en effet des services singuliers qui devraient séduire les grimpeurs aux muscles endoloris, à savoir un sauna sec et des services de soins en massothérapie et ostéopathie. « On trouvait qu’un sauna pour pouvoir vraiment relaxer, ça manquait dans les salles à Montréal. Quant à la salle de traitements, qui permet d’avoir des services et un suivi sur place, elle est très complémentaire à l’escalade de bloc, où l’on se blesse souvent », fait remarquer Jean-François Gravel. L’ancien peep-show séduira-t-il les adeptes de la grimpe ? Au vu de ses futurs atouts, l’affaire semble dans la poche. Le gym sera situé au 1211, boulevard Saint-Laurent. Tarifs prévus : 18 $ pour la journée, 70 $ pour l’abonnement mensuel (respectivement 17 $ et 60 $ pour les étudiants) Allez Up ouvrira aussi une salle de bloc... Au-delà de l’inauguration olympique de la discipline, 2020 sera assurément l’année de l’escalade. Le centre Allez Up, qui dispose déjà d’une salle à Pointe-Saint-Charles, prévoit aussi d’inaugurer au printemps prochain une nouvelle structure à l’intersection de la rue Bishop et du boulevard René-Lévesque. « Ce nouvel emplacement de 14 000 pieds carrés [1300 mètres carrés] sur deux étages sera dédié à l’escalade de bloc et à l’entraînement spécifique », a indiqué à La Presse Antoine Séguin, directeur général du centre. ... de même que Le Crux à Laval Les grimpeurs lavallois ne seront pas oubliés puisque le centre Le Crux, implanté à Boisbriand, inaugurera à son tour une nouvelle salle de 1580 mètres carrés (17 000 pieds carrés) consacrée au bloc uniquement, à côté de la station de métro Montmorency. L'ouverture est prévue pour la fin de l'hiver, soit mars ou avril 2020.
  2. Alexander Appartements (Tour no 7 du Square Children) Reçu par courriel : Début des locations au Alexander Appartements : https://alexanderappartements.com/newsletter/2019-10-15-13929/index.html Bizarrement, Devimco pense que c'est dans Griffintown --> https://devimco.com/appartements/montreal/griffintown/alexander
  3. Peut-être pas le meilleur article informant d'un projet mais première fois j'entends parler d'un futur projet sur ces terrains. Un promoteur au passé trouble s’étend au centre-ville L’homme avait des relations avec l’ex-parrain Vito Rizzuto, selon la commission Charbonneau Le promoteur Giorgio Tartaglino a acquis plusieurs immeubles des rues Peel et Cypress pour 42 millions $. Les sept propriétés, entre le boulevard René-Lévesque et la rue Sainte-Catherine, incluent les locaux du Peel Pub Vendredi, 25 octobre 2019 Un promoteur qui a déjà brassé des affaires avec des relations de la mafia montréalaise vient d’acheter pour 42 millions $ de vieux immeubles en plein cœur de la métropole L’acquéreur, Giorgio Tartaglino, a payé le gros prix pour mettre la main sur sept propriétés du centre-ville de Montréal, qui abritent notamment le Peel Pub et le Pub McLean. Les courtiers qu’a consultés notre Bureau d’enquête croient que l’acheteur veut remplacer ces immeubles, construits entre 1870 et 1920, par un nouveau projet. Tartaglino a construit les tours jumelles du Roccabella, à deux pas du Centre Bell https://www.journaldemontreal.com/2019/10/25/un-promoteur-au-passe-trouble-setend-au-centre-ville
  4. https://www.basket3.ca/ Du 6 au 8 septembre 2019, Montréal vibrera aux rythmes des arts et du sport urbain à travers B3 Montréal. Pour la première fois, la ville accueillera la 8e étape de la Série mondiale 3x3 de la FIBA (3x3 FIBA World Tour) et la 12e étape de la Série mondiale 3x3 de la FIBA chez les femmes. Ces deux séries présentent les meilleurs joueurs internationaux de basketball 3x3 qui, pour la première fois, joueront en 2019 pour se qualifier pour les Jeux olympiques de Tokyo en 2020. B3 Montréal, c’est aussi une programmation culturelle complète ! Au cours du week-end, plusieurs activités auront lieu tant dans le stade principal qu’aux abords de celui-ci. Compétitions de danse urbaine de calibre international, démonstrations de danse et de cheerleading, activités d’initiation pour toute la famille, et plus encore !
  5. Quelqun sait c'est quoi cette structure sur les quais en 1967? On dirait une sorte de High Line. Il apparaît dans un vidéo d'Expo 67.
  6. Brivia a acheté l'immeuble du Mansfield Gym situé au 1230 Mansfield Street. Source: https://www.gascon.ca/en/2019/08/06/sale-of-the-building-housing-the-mansfield-athletic-club/ Le gym fermera ses portes à la fin du mois d'août 2019.
  7. Publié le 30 juillet 2019 à 06h00 | Mis à jour à 06h14 La tour Aimia prendra le nom d'Air Canada https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201907/29/01-5235524-la-tour-aimia-prendra-le-nom-dair-canada.php La tour Aimia prendra bientôt le nom d'Air Canada. Richard Dufour La Presse La tour Aimia, édifice voisin du siège social de la Banque Nationale au centre-ville de Montréal, prendra bientôt le nom d'Air Canada. C'est ce que la société immobilière Kevric - propriétaire du bâtiment - a indiqué hier. La décision de rebaptiser la tour découle de l'acquisition par Air Canada, en début d'année, des activités du programme de fidélisation Aéroplan qui appartenaient à l'entreprise montréalaise Aimia. Environ la moitié des 1500 employés que comptait Aimia en date du 1er janvier dernier devaient être transférés à Air Canada à la suite de la transaction d'un demi-milliard de dollars. Le siège social d'Aimia demeure officiellement à Montréal, même si plusieurs hauts dirigeants sont à Toronto. « Nous prévoyons conserver une présence importante à Montréal, soutient la porte-parole d'Aimia, Karen Keyes. Une portion significative de notre équipe de direction reste à Montréal. » Située en face du square Victoria, à l'angle de la rue Viger et de la côte du Beaver Hall, la tour Aimia est un projet à vocation mixte de 35 étages. Des espaces de bureaux occupent les 10 premiers étages. La portion restante est constituée des 152 condos de la tour résidentielle Altoria de 25 étages. Les travaux de construction de l'immeuble avaient débuté en 2011 et s'étaient terminés en 2014. Société de marketing Avec la vente d'Aéroplan, Aimia se définit comme une société de marketing propulsé par les données et l'analytique de la fidélité. Il y a deux semaines, Aimia a nommé deux nouveaux membres à son conseil d'administration ayant une expertise en fusions et acquisitions et en répartition de capital. L'entreprise a souligné que ces deux administrateurs indépendants allaient renforcer la « direction stratégique de l'entreprise en qualité de consolidateur dans le secteur de la fidélisation et du voyage ». Aimia possède et exploite le programme de fidélisation Air Miles au Moyen-Orient et possède des intérêts dans d'autres programmes de fidélisation. En date du mois de mars, l'effectif d'Aimia s'élevait à 590 employés. Les actions d'Aimia sont négociées à la Bourse de Toronto depuis une quinzaine d'années. L'inscription en Bourse avait été réalisée sous le nom de Fonds de revenu Aéroplan. L'entreprise publiera ses prochains résultats trimestriels à la mi-août. Fiera met son nom sur l'ancien siège social de la Laurentienne L'ancienne tour Banque Laurentienne, au centre-ville de Montréal, porte dorénavant la signature du gestionnaire d'actifs Fiera Capital. La tour nord de l'immeuble érigé au 1981, avenue McGill College, entre De Maisonneuve et Sherbooke, devient la tour Fiera Capital. L'entreprise a procédé à cette annonce hier en signalant l'établissement de son nouveau « siège social international ». Plus de 300 employés travaillent au nouveau quartier général de Fiera qui occupe trois étages de l'immeuble détenu en copropriété par IA Groupe financier. Fiera conserve un quatrième étage pour satisfaire ses « futurs besoins d'expansion ». Dans le cadre de son plan de transformation, la Banque Laurentienne a déménagé l'an dernier tous ses employés de bureau de l'île de Montréal, y compris ceux de son siège social, dans la Cité du commerce électronique, pour les regrouper au 1360, boulevard René-Lévesque, à proximité du Centre Bell.
  8. SILO NO 5 NOUS AVONS UN GAGNANT ANDRÉ DUBUC LA PRESSE C’est la proposition du promoteur Devimco qui a été retenue par le comité d’évaluation mis sur pied par la Société immobilière du Canada (SIC) pour mettre en valeur les terrains de la Pointe-du-Moulin et du Silo no 5, a appris La Presse en consultant plusieurs acteurs de la scène immobilière. Le groupe présidé par Serge Goulet a été préféré aux deux autres finalistes, soit First Capital, qui fait équipe avec Montoni, et Prével. À la mi-juin, ces trois groupes avaient présenté de vive voix leur proposition au comité, auquel siègent huit personnes, dont Dinu Bumbaru, directeur des politiques à Héritage Montréal, Pierre Bellerose, VP à Tourisme Montréal, et Sylvie Vachon, PDG du Port de Montréal. À la Société immobilière du Canada, le responsable des relations médias, Jean-Philippe Rochette, dit qu’il ne peut rien confirmer ou infirmer, le processus étant toujours en cours. « Aucune annonce ne sera faite avant plusieurs semaines », soutient-il. « Nous ne pouvons commenter ce dossier, ayant signé une clause de confidentialité avec la Société immobilière du Canada », a fait savoir de son côté André Bouthillier, porte-parole de Devimco. À ce stade du processus, on ignore la teneur de la proposition gagnante, tout comme de celle des deux autres finalistes. Faisant un demi-kilomètre de long, le Silo no 5 est désaffecté depuis 1994. Les projets et annonces à propos de sa mise en valeur se sont succédé au fil des ans. Par exemple, en novembre 2010, la SIC annonçait vouloir réhabiliter le silo à temps pour le 375e anniversaire de Montréal, en 2017. Les frais d’entretien de ce mastodonte oscillaient autour de 500 000 $ par année à l’époque. De son côté, le Port de Montréal avait lancé un appel d’offres à propos de sa conversion en 2005. Il était alors question d’y ériger une tour locative de 50 étages et d’y déménager le Musée d’art contemporain. CETTE FOIS SERA LA BONNE ? La SIC a lancé un appel public à propositions en février dernier. Elle prévoyait que le processus d’évaluation des propositions durerait environ sept mois. Dans ses critères d’évaluation, la SIC s’intéresse à la qualité et à la viabilité du développement, à la préservation des structures patrimoniales, à l’accessibilité du secteur riverain pour le public et aux connectivités avec les quartiers voisins. Il était aussi question de donner des points à la proposition en fonction du profil du promoteur, de son expérience, de la qualité du projet proposé et de sa solidité et de sa viabilité financières. L’objectif, expliquait la SIC en février, est de densifier le secteur de la Pointe-du-Moulin, qui s’étend sur 750 000 pi2 en y aménagement un quartier à usages multiples : à la fois résidentiel, commercial et touristique. L’aménagement permet de financer la réhabilitation du Silo no 5 en un projet emblématique pour la métropole, une condition sine qua non à l’acceptation du projet. La Pointe-du-Moulin est composée du Silo no 5 et des terrains en bordure de la rue Mill. DEVIMCO, INCONTOURNABLE Retenu pour lotir la Pointe-du-Moulin, Devimco augmente ainsi son emprise sur un secteur de la ville à fort potentiel, à proximité du centre-ville, et qui profitera de l’arrivée du Réseau express métropolitain (REM) dès 2021. « L’intérêt manifesté par Devimco [pour la Pointe-du-Moulin] est logique dans les circonstances », a dit Jean Laurin, président et chef de la direction de l’agence Devencore, à qui La Presse a demandé de commenter l’information. Ce vétéran de l’industrie fait référence au fait que Devimco est déjà bien présent dans le quartier. Le promoteur, qui construit actuellement des tours d’habitation au square Children’s, sur le site de l’ancien Hôpital de Montréal pour enfants, et dans le quartier Solar, à Brossard, détient des options d’achat sur environ 30 % de la superficie des terrains du bassin Peel, où l’on projette de construire un stade de baseball pour le retour des Expos. D’ailleurs, Devimco fait équipe avec Claridge, le holding familial de Stephen Bronfman, pour acquérir un terrain de 1 million de pieds carrés du bassin Peel appartenant aussi à la SIC. En outre, Devimco détient aussi des options sur la cour de conteneurs de la société Ray-Mont Logistiques en bordure de la rue Wellington, dans le même secteur. Une fois que le projet retenu sera annoncé publiquement par la SIC, il est prévu qu’il fasse l’objet de consultations publiques. Un changement de zonage s’ensuivra. Suivront l’étape des plans et devis puis le début des travaux. http://plus.lapresse.ca/screens/61ff2939-df4a-48c8-9357-115c19a71a6d__7C___0.html?utm_medium=Ulink&utm_campaign=Internal+Share&utm_content=Screen
  9. Proposition des AmiEs du courant Sainte-Marie Modernisation de la rue Notre-Dame pour la porte d'entrée de la métropole Un boulevard urbain verdoyant, inspiré de l’organisation des modes de transport de ce croquis, ajouterait sûrement à procurer une meilleure expérience pour les personnes qui fréquentent les espaces publics côté fleuve, comme le parc du Pied-du-Courant. La circulation intense, la vitesse ainsi que le bruit des automobiles et camions lourds sur la rue Notre-Dame posent particulièrement problème pour des usagers qui veulent s’approcher de notre fleuve dans le secteur à l'est du pont Jacques-Cartier. Il est essentiel de créer une bonne distance (25 mètres dans cet exemple) entre les véhicules privés et les espaces publics afin de réduire les effets néfastes. Frontenac vers l'ouest Iberville vers le fleuve Vers le nord (Iberville)
  10. https://www.pzrealestate.com/building/980-saint-antoine-ouest/ Tenants have started to receive eviction notices and lease non-renewals. The building will be vacant in two years and will be demolished and replaced by a 34 storey residential tower. The same fate awaits 1000 Saint-Antoine, but that is only 6 years from now. They are capping those leases to 5 years.
  11. Big project coming soon stay tuned 🤐
  12. Don’t believe I’ve seen a thread for this rental project on MacKay north of the Centra project. https://www.ruemack.com/
  13. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1171725/station-metro-montreal-ligne-verte-renovations La station Beaudry change de visage, mais la métamorphose est loin d'être terminée Publié aujourd'hui à 4 h 53 Mis à jour aujourd'hui à 5 h 11 Des travaux majeurs étaient rendus nécessaires à la station Beaudry en raison de nombreuses infiltrations d'eau. Photo: Radio-Canada / Ivanoh Demers Jérôme Labbé Fermée depuis le 1er octobre, la station Beaudry, sur la ligne verte du métro de Montréal, rouvrira comme prévu le lundi 3 juin, et ce, même si les travaux sont loin d'être finis. Visite de chantier. « C'est sûr qu'il n'y aura pas un "effet wow" », prévient Simon Brossard, surintendant au bureau de projet de la Société de transport de Montréal (STM). À première vue, rien n'indique que Beaudry sera prête pour la réouverture prévue dans 10 jours : des débris de chantier traînent un peu partout, des fils pendent du plafond et les tourniquets, entassés dans un coin, attendent toujours d'être réinstallés. Pourtant, les usagers seront admis de nouveau dans cette station de la ligne verte dès 5 h 30 le matin du 3 juin, confirme M. Brossard. Il avait déjà été décidé de rouvrir la station dès que la sécurité de la clientèle et des opérations pourrait être assurée, répétera-t-il à quelques reprises lors de notre passage. La finition architecturale, elle, attendra. Les travaux se poursuivront pendant 10 mois, jusqu'en mars 2020. De nuit, surtout. Des échafaudages sont utilisés la nuit venue pour réparer les fissures qui se sont formées dans la structure de béton qui forme le tunnel où passent les trains. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers Entre-temps, les usagers devront se faufiler entre les échafaudages et se contenter d'un seul escalier le long des tapis roulants. Ces derniers devraient toutefois être fonctionnels le 3 juin. Et, grande nouveauté : les tapis pourront tous deux fonctionner en montée, ce qui n'était pas le cas auparavant. Le filage de la station, qui se trouvait auparavant sous les escaliers, a été déplacé au-dessus des tapis roulants. Ces fils disparaîtront dans les prochains mois sous un nouveau plafond suspendu. Les panneaux d'aluminium, eux, ne reviendront pas. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers Les tapis roulants de Beaudry – qui relient la mezzanine, où se trouve la loge du changeur, et la passerelle, qui surplombe les rails du métro – sont non seulement les éléments les plus emblématiques de la station, mais ce sont aussi les seuls trottoirs mécaniques du réseau. Pourquoi un tapis roulant à Beaudry? La station Beaudry ne figurait pas dans les plans originaux de la ligne verte du métro de Montréal. Mais il en a été décidé autrement en 1963, en raison de la trop grande distance entre les stations Berri-de-Montigny (aujourd'hui Berri-UQAM) et Papineau. Et c'est au coin des rues Sainte-Catherine Est et Beaudry que les décideurs ont finalement choisi de la construire, là où se trouvait déjà une longue rampe d'accès utilisée par les camions pour transporter le roc excavé. Une fois le tunnel de la ligne verte terminé, cette rampe d'accès a été transformée en voûte et équipée de tapis roulants, la pente étant trop faible pour y installer des escaliers mécaniques standards. C'est aussi pour cette raison que la STM rechigne à construire un ascenseur qui permettrait aux personnes à mobilité réduite d'accéder à la station, au grand dam de celles-ci. Cette voûte de 75 mètres de long est au coeur des raisons qui ont poussé la STM à fermer complètement la station en octobre – une stratégie rarement utilisée. « Des infiltrations d'eau menaçaient l'intégrité structurale de la voûte », explique Simon Brossard. Des dépôts de calcaire s'étaient notamment formés sur les panneaux d'aluminium fixés au plafond de la voûte, symptôme évident d'une structure ayant perdu une bonne partie de son imperméabilité. Les panneaux ont été retirés, et des injections de polyuréthane ont été pratiquées dans le béton pour remplir les fissures qui s'étaient formées au fil du temps. La rue Beaudry a également été excavée pour permettre aux travailleurs de changer une membrane bitumineuse, posée par-dessus la structure de béton, afin d'empêcher les infiltrations d'eau. La nouvelle membrane bitumineuse sera posée sur le béton cet été. La rue Beaudry sera ensuite rouverte à l'automne entre la rue Sainte-Catherine Est le boulevard De Maisonneuve. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers Mais en plus des travaux visant à assurer l'étanchéité de la structure, les ingénieurs de la STM ont voulu profiter de l'occasion pour offrir une véritable cure de jeunesse à une station de métro vieille de 52 ans. Les portes de l'édicule ont été changées; l'éclairage a été refait; et les escaliers, dont les paliers avaient été construits en pente, ont été redressés pour répondre aux normes en vigueur. Mais il reste encore beaucoup à faire, notamment en ce qui concerne le quai et la passerelle. La rénovation de la station de métro Beaudry a permis à la STM de procéder à plusieurs types de travaux en différents endroits. En voici quelques-uns. Photo : STM Le revêtement mural, par exemple, renouera à terme avec le concept architectural d'origine : des tuiles rouges, beiges et brunes. Sur le quai, la signalétique sera actualisée, mais les bancs, eux, resteront les mêmes. « Ça, ça fait partie du patrimoine », explique Simon Brossard. Une couche de peinture leur donnera cependant un nouveau lustre. Même chose pour l'oeuvre d'art de la station, une série de colonnes arc-en-ciel érigées près de l'entrée, en plein coeur du Village gai. Elles seront repeintes. À Montréal, une oeuvre d'art est exposée dans chaque station de métro. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers Ce chantier est coordonné en partenariat par le bureau de projet de la STM et l'entrepreneur général, la compagnie MGB Associés, qui a remporté l'appel d'offres de construction avec une soumission de quelque 23 millions de dollars. Jusqu'à maintenant, les travaux se déroulent rondement, assure Simon Brossard. Tant le calendrier que le budget sont respectés. Mais le chantier comporte son lot de défis. La station est étroite, longue, profonde : à environ 30 mètres sous le niveau du boulevard De Maisonneuve, c'est l'une des plus profondes du réseau, avec la station Charlevoix. Sans compter le fait que les trains n'ont jamais arrêté de circuler dans le tunnel, ce qui a obligé la STM à maintenir des dispositifs de sécurité au cas où un train devrait effectuer un arrêt d'urgence à Beaudry. La voûte, par exemple, a dû être scindée en deux : pendant que l'une était transformée en chantier, l'autre devait permettre la libre circulation des personnes, et vice versa. Les boules multicolores ont refait leur apparition depuis quelques semaines sur la rue Sainte-Catherine Est, devant la station de métro Beaudry. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers La présence d'un seul édicule pour accéder à la station a également donné d'importants maux de tête aux ingénieurs, qui ont tenté en vain de trouver des solutions qui auraient pu éviter de devoir fermer la station pendant huit mois. Une demi-douzaine d'autres scénarios ont été étudiés. La STM a finalement opté pour une fermeture entre les mois d'octobre et mai, notamment parce que, contrairement à la plupart des autres stations du réseau, l'achalandage de Beaudry est plus important pendant l'été que durant le reste de l'année. Sa réouverture coïncidera avec le début de la saison touristique, une période cruciale pour les commerçants du Village, qui voient la rue Sainte-Catherine Est transformée en artère piétonne chaque année, du début mai à la fin septembre.
  14. Je cherche un bon magasin près du centre-ville qui conçoit/construit des PC pour la modélisation/rendus en 3D. C'est un peu les mêmes exigences (CPU/GPU) que les PC pour des gamers. Merci!
  15. Secteur Bridge-Bonaventure D’une superficie de 2,3 km2, situé à cheval sur les arrondissements du Sud-Ouest et de Ville-Marie, il comprend les abords des ponts Champlain et Victoria, le parc d’entreprises de la Pointe-Saint-Charles, les rives du fleuve, les bassins Peel et Wellington, la Cité du Havre, la Pointe-du-Moulin ainsi que le quai Bickerdike. Le secteur Bridge-Bonaventure est actuellement fortement minéralisé, morcelé par les infrastructures de transport, peu convivial pour les transports actifs, mais aux paysages et patrimoines uniques. Il est occupé par des activités économiques diversifiées, mais est très peu habité, même s'il jouxte le quartier résidentiel de Pointe-Saint-Charles. De mai à octobre, plusieurs activités de consultation en personne et en ligne seront organisées afin de permettre à tous de s’informer, de discuter de la vocation du secteur, de mieux le découvrir, de s’inspirer d’exemples d’ici et d’ailleurs et de donner son opinion. Les résultats de la consultation permettront à l’équipe de la Ville de Montréal de préparer un document de planification comprenant des hypothèses de mise en valeur. Site Web : http://ocpm.qc.ca/bridge-bonaventure Diffusion en direct des séances : http://ocpm.qc.ca/en-direct Modélisation 3D du secteur : https://ocpm.maps.arcgis.com/apps/webappviewer3d/index.html?id=4ea1dddba94849acb657dcb26175c8fb Rapport de l'OCPM : https://ocpm.qc.ca/sites/ocpm.qc.ca/files/pdf/P103/rapport_final_bridge-bonaventure.pdf
  16. 170-188, boul. René-Lévesque Est 180 René-Lévesque Est Client : Hillpark Capital Architecte : NEUF Architect(e)s Le 180 René-Lévesque Est est une tour de 21 étages avec deux sous-sols à l’entrée du centre-ville de Montréal ayant une présence marquée parmi les bâtiments voisins de plus faible hauteur. La tour possède une dalle en tréfonds accueillant des arbres matures, ainsi qu’un podium au quatrième étage abritant une piscine pour les usagers de cette tour résidentielle. PRINCIPAUX DÉFIS RELEVÉS : Conception d’un radier sur la totalité de l’empreinte du bâtiment en raison de la faible capacité portante du sol; Élaboration d’une stratégie de soutènement des terres afin d’éviter les ouvrages souterrains et permettant la reprise en sous-œuvre de deux bâtiments voisins de plus de trois étages. http://elema-ing.com/fr/projets/180-rene-levesque-est
  17. La Ville de Montréal vient de vendre le terrain de stationnement à l'est de la Place d'Armes (lot 1180954) au gouvernement fédéral. Des idées de ce que le Fédéral peut en faire? 1. Identification de l'unité d'évaluation Adresse :46 Rue Saint-Jacques Arrondissement :Arrondissement de Ville-Marie Numéro de lot :1180954 Numéro de matricule :0040-36-7848-5-000-0000 Utilisation prédominante :Terrain de stationnement pour automobiles Numéro d'unité de voisinage :1970 Numéro de dossier : 30 - F11027402 2. Propriétaire Nom :VILLE DE MONTREAL Statut aux fins d'imposition scolaire :Personne morale Adresse postale :303 NOTRE-DAME E 3.500, MONTREAL QUEBEC, H2Y 3Y8 Date d'inscription au rôle :01-01-2001 Superficie : 2 023,80 m² https://www.tvanouvelles.ca/2019/05/01/ottawa-achete-un-terrain-au-lourd-passe Ottawa achète un terrain au lourd passé Dominique Cambron-Goulet | Journal de Montréal Publié le 1er mai 2019 à 07:51 - Mis à jour à 07:55 Le gouvernement du Canada mettra la main pour 7,4 millions $ sur un terrain du Vieux-Montréal qui a fait les manchettes dans une affaire de présumé pot-de-vin. La Ville de Montréal approuvera mercredi la vente au fédéral de ce terrain situé sur la rue Saint-Jacques, à l’est de la place d’Armes, sur lequel se trouve actuellement un stationnement. La Ville tente tant bien que mal de se départir de ce terrain, depuis plus de 15 ans. Mais une enquête du Bureau de l’inspecteur général (BIG) et une poursuite judiciaire ont notamment retardé les choses. Pot-de-vin refusé En 2005, le comité exécutif de la Ville de Montréal, à ce moment présidé par Frank Zampino, décide pour une raison obscure de ne pas donner suite à la meilleure offre d’achat de 3,6 M$ faite par une compagnie à numéro. Peu de temps après, l’un des entrepreneurs ayant répondu à l’appel d’offres a été sollicité sans succès par « un tiers » pour obtenir 100 000 $ en pot-de-vin, « en échange de la progression du dossier auprès des autorités politiques », a fait savoir le BIG dans un rapport publié en 2014. Une autre firme, Constructa, poursuit encore à ce jour la Ville après que le maire Gérald Tremblay eut mis fin aux discussions avec elle. La firme demandera même d’interroger l’ex-argentier du parti Union Montréal, Bernard Trépanier, aujourd’hui décédé, dans cette cause. Une autre transaction, cette fois à Groupe Antonopoulos et DevMcGill, a été annulée en 2014, à la suite du rapport du BIG, dévoilant de nouvelles irrégularités.
  18. https://idu.quebec/fr/evenements/detail/sylvain-fortier-chef-de-linvestissement-et-de-linnovation-ivanhoe-cambridge-et-panel/10627 ÉVÉNEMENTS Sylvain Fortier, Chef de l'investissement et de l'innovation, Ivanhoé Cambridge et invités Les dernières années ont été synonymes de transformation pour le centre-ville de Montréal, comme en témoignent les nombreux projets qui s’y sont entrepris depuis 5 ans. Cœur de la métropole, le centre-ville se doit de demeurer attractif, compétitif. Il se veut en constante évolution, toujours en mode séduction. Au moment même où la ville accélère ses investissements dans la mise à niveau des infrastructures, où de nouveaux modèles d’affaires émergent et où les grands propriétaires investissent des sommes considérables dans leurs bâtiments, c’est un nouveau centre-ville que l’on voit émerger. Les consommateurs adoptent et modifient leurs habitudes de consommation et stimulent une réflexion plus pertinente que jamais : qu’est-ce qui doit caractériser ce nouveau centre-ville, à la fois pour le résident, le consommateur, le travailleur et le touriste? Comment aménager des espaces et des milieux de vie attrayants qui les attirent et surtout quelles sont les stratégies de rétention pour les garder? Pour la première fois à sa tribune, l’IDU se réjouit d’accueillir Sylvain Fortier, Chef de l’investissement et de l'innovation pour Ivanhoé Cambridge afin de répondre à toutes ces questions et animer un panel composé de Philippe Demers, CEO & Creative Director, MASSIVart, Anne-Marie Hubert, Associée Directrice, Québec pour EY et François Lacoursière, Chef de la direction marketing, associé principal, Sidlee. ANIMATION DU PANEL: Sylvain Fortier Chef de l'investissement et de l'innovation Ivanhoé Cambridge PANEL: Philippe Demers CEO & Creative Director MASSIVart Anne-Marie Hubert Associée Directrice, Québec EY François Lacoursière Chef de la direction marketing, associé principal Sidlee Événement présenté par Commanditaires principaux
  19. http://www.augusteetlouiscondos.com/fr https://augusteetlouiscondos.com/?fbclid=IwAR0Cbcmzp5_9r3AhQj8DM9bWoSwMLsD0pvpjVEfndiXhxyoG5CcdR8eYJg8 Partie Ouest du site Radio-Canada Une entente est intervenue entre Devimco et le Groupe Mach, propriétaire des terrains de Radio-Canada, afin de planifier et développer la partie ouest de ce site. 8.64_devimco_immobilier_inc.pdf
  20. Publié le 11 avril 2019 à 05h00 | Mis à jour à 06h18 Pont d'étagement en mauvais état: un parcours d'autobus doit être détourné https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201904/10/01-5221728-pont-detagement-en-mauvais-etat-un-parcours-dautobus-doit-etre-detourne.php Le ministère des Transports a décidé d'imposer une limite de poids de 18 tonnes sur le pont d'étagement Saint-Urbain. La STM a donc pris la décision en décembre de ne plus y faire circuler ses autobus. Pierre-André Normandin La Presse La détérioration d'un pont d'étagement au centre-ville de Montréal force la Société de transport de Montréal (STM) à détourner l'un de ses principaux parcours d'autobus. Le ministère des Transports du Québec (MTQ) a imposé une limitation de poids en attendant de réparer une structure qui se trouve près de l'endroit où avait eu lieu un effondrement en 2011. « On estime qu'en éliminant le passage de certains véhicules plus lourds, on peut conserver la structure ouverte pour la circulation », explique Sarah Bensadoun, porte-parole du MTQ. En novembre 2017, une inspection sur le pont d'étagement Saint-Urbain avait permis de constater de nombreux défauts. Les ingénieurs recommandaient un suivi serré en raison du « risque de chute de fragments de béton ». Le rapport de 49 pages illustre l'étendue des problèmes, plusieurs éléments « à surveiller » ayant été ciblés. Sur plusieurs poutres, les armatures sont apparentes et montrent des signes de corrosion avancée. Des câbles d'acier, appelés torons, sont sectionnés en plusieurs endroits. « Après cette inspection, on a déterminé qu'on devait faire des études supplémentaires », a expliqué Sarah Bensadoun. Après avoir reçu les résultats en août dernier, le MTQ a décidé d'imposer une limite de poids de 18 tonnes. « Il n'y a pas de risque d'effondrement. On veut assurer la sécurité des usagers en fonction de la capacité structurale », a indiqué Mme Bensadoun. Quelque 13 300 véhicules circulent à cet endroit chaque jour, dont 7 % de camions. Le MTQ planifie actuellement les travaux de réparation. On ignore pour le moment l'étendue des travaux à faire, ni quand ils auront lieu. Ce secteur de l'autoroute en tunnel est tristement connu pour l'effondrement d'une structure en béton en juillet 2011. Des paralumes, un dispositif pour empêcher les automobilistes d'être éblouis par le soleil, s'était effondré sur l'autoroute Ville-Marie, près du boulevard Saint-Laurent. L'accident n'avait fait aucun blessé, mais avait forcé le MTQ et la Ville de Montréal à resserrer l'entretien des structures routières. « Il n'y a pas de lien entre les paralumes et la limitation de charge. Ce n'est pas du tout la même nature ni de travaux ni d'importance », assure Mme Bensadoun. Impact sur la STM Cette limite de 18 tonnes est tout près du poids d'un autobus de la STM. Un véhicule fonctionnant au diesel pèse environ 17 tonnes lorsqu'il est rempli. Les modèles hybrides pèsent un peu plus en raison de la présence d'une batterie sur le toit tandis que les articulés pèsent davantage encore. Le transporteur montréalais a ainsi pris la décision en décembre de ne plus faire circuler ses autobus sur le pont d'étagement Saint-Urbain. Or, la ligne 55 emprunte normalement cette artère pour se rendre dans le Vieux-Montréal. Il s'agit d'un des parcours les plus achalandés, alors que 18 700 personnes l'empruntent en moyenne chaque jour. À l'heure de pointe matinale, environ un passager sur cinq transite par le pont d'étagement Saint-Urbain. Depuis la mi-décembre, les véhicules de la STM doivent ainsi emprunter un détour. Ils bifurquent désormais sur le boulevard René-Lévesque pour aller emprunter la rue de Bleury afin de traverser l'autoroute Ville-Marie, ce pont d'étagement ayant été refait à neuf en 2015. En plus du parcours 55, deux circuits du réseau de nuit sont aussi détournés, soit les 361 et 363. « Ça arrive très rarement que des tracés soient déplacés en raison des limitations de poids », a dit Isabelle Tremblay, porte-parole de la STM. Bien que le détour allonge le tracé d'environ 1 km, la STM assure que cela ne nuit toutefois pas à la fréquence de passage des autobus, ce circuit faisant partie du réseau de service toutes les 10 minutes au maximum. Fait particulier, l'entrée de la caserne 20 du Service de sécurité incendie de Montréal donne directement sur le pont d'étagement Saint-Urbain. Après discussions avec la métropole, le MTQ a autorisé les camions de pompiers, qui dépassent la limite de poids, à y circuler malgré tout. Le nombre de leurs passages n'est pas assez élevé pour représenter un problème. Son voisin aussi Ce n'est pas le seul pont d'étagement du secteur en mauvais état qui fait l'objet d'une limitation de poids. Tout près, celui permettant au boulevard Saint-Laurent d'enjamber l'autoroute Ville-Marie - et qu'emprunte également le circuit d'autobus 55, en direction nord - fait aussi l'objet d'une limitation de poids. Celle-ci est toutefois plus élevée, à 24 tonnes, ce qui n'empêche pas le passage des autobus. « Ça n'a pas d'impact sur la 55 parce que nos autobus, tant à vide que chargés, sont en deçà de 24 tonnes. En aucun cas on ne dépasse ce poids », assure Isabelle Tremblay. Reste que les autobus doivent actuellement être détournés du boulevard Saint-Laurent en raison d'un affaissement sous la chaussée un peu plus au nord. L'incident survenu au cours de la fin de semaine n'a pas de lien avec l'état du pont d'étagement. Les autobus doivent transiter par Jeanne-Mance dans le secteur. La Ville ignore pour le moment quand l'artère pourra rouvrir à la circulation, les études étant toujours en cours pour déterminer comment réparer le tout. À noter, ces deux structures en mauvais état qui font l'objet de limitations de poids ont été construites en 1972, tout comme celle qui se trouvait sur la rue de Bleury et qui a dû être refaite à neuf en 2015. Une autre structure construite en 1972 nécessitant des réparations se trouve également dans le secteur, avenue de l'Hôtel-de-Ville, mais elle est fermée à la circulation depuis le recouvrement de l'autoroute Ville-Marie, près du CHUM. Invitée à commenter, l'administration Plante estime que « cette situation illustre le déficit d'entretien et le sous-investissement dans les infrastructures de mobilité. C'est la raison pour laquelle [l']administration investit massivement dans les infrastructures routières et de transports collectifs trop longtemps négligées », a indiqué Geneviève Jutras, attachée de presse de la mairesse. Montréal doit d'ailleurs dévoiler aujourd'hui la liste des chantiers prévus en 2019. - Avec Bruno Bisson, La Presse
  21. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1161733/fermeture-club-prive-357c-vieux-montreal ACCUEIL ÉCONOMIE AFFAIRES Vieux-Montréal : le club privé 357c fermera en mai Publié il y a 54 minutes Le nom du club 357c a été mentionné lors de la commission Charbonneau, parce que certains politiciens y ont été invités. Photo: Radio-Canada La Presse canadienne Le club privé pour gens d'affaires 357c, installé depuis 16 ans dans un immeuble de la rue de la Commune Ouest, dans le Vieux-Montréal, fermera ses portes le 24 mai prochain. Dans un message affiché sur son site web, la direction explique que les habitudes d'affaires ont changé au cours des dernières années et que le niveau des taxes municipales imposées sur l'édifice est élevé. Le message ajoute que les contraintes d’exploitation et d'expansion dans l'immeuble limitent grandement le développement de nouvelles possibilités d'activités commerciales pour l'établissement. Le club 357c dit avoir voulu redonner vie à un immeuble important du patrimoine de Montréal qui avait été laissé à l'abandon pendant de nombreuses années. Le bâtiment a été bâti il y a plus de 140 ans; des travaux majeurs de rénovation et de reconstruction y ont été réalisés. Il y a quelques années, le nom du club 357c, qui était jusque-là méconnu du grand public, a été évoqué pendant les audiences de la commission Charbonneau sur l'octroi et la gestion des contrats publics dans l'industrie de la construction.
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