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  1. La Presse Quelques slogans de villes québécoises, créés comme signature de la municipalité ou pour une campagne de promotion. - Bégin : J'ai le béguin pour Bégin! - Blainville : Blainville, tu m'inspires! - Boucherville : Pour un avenir prometteur. - Cayamant : Là où il fait bon vivre. - Delson : À fond de train. - Granby : La capitale du bonheur. - Lachute : Lachute en harmonie, naturellement! - La Doré : Si on s'y mettait maintenant. - Lanoraie : Pour l'amour de Lanoraie, pour l'avenir de nos amours. - La Plaine : Ville nature. - Laval : Ma ville, mon avenir. - Lévis : Lévis s'active. - Mascouche : La destination gagnante! - Matane : Mon centre-ville, une affaire de coeur! - Manseau : Agir pour accueillir l'avenir. - Mirabel : Une ville à choisir, un avenir à réussir! (slogan de la Ville), et À Mirabel, la vie est belle (promotion résidentielle). - Montréal Arrondissement d'Anjou : Anjou pour la vie. - Montréal Arrondissement de Saint-Léonard : Mon choix de ville (slogan de la ville), et Intensément Saint-Léonard, passionnément Saint-Léonard (campagne de promotion). - Plessisville : Le choix d'une qualité de vie. Repentigny : Complètement ville, totalement nature. - Saint-Ludger-de-Milot : Venir chez nous, c'est y prendre goût. - Saint-Paul-de-Montminy : Bâtir ensemble. - Sainte-Julie : La famille au coeur de Sainte-Julie. - Sherbrooke : Sherbrooke, plus que jamais. - Terrebonne : Une histoire de vie.
  2. Voici un bel exemple, en premier un article sur le positionnement de Montréal dans le palmarès des villes offrant la meilleure qualité de vie avec un commentaire d'un représentant de chez Mercer. Et ensuite un "éditorial" sur ce dit palmarès et qu'est ce que Montréal doit faire. Regardes les partis en gras. Le climat et l'aéroport désavantagent Montréal Sébastien Rodrigue La Presse C'est la faute de l'hiver et des liens aéroportuaires si Montréal se classe derrière Toronto au palmarès de la qualité de vie, mais les deux métropoles offrent tout de même des conditions de vie semblables, selon le récent palmarès de la firme Mercer. Un peu plus d'un point sépare la Ville reine de Montréal selon le palmarès global de la firme en ressources humaines rendu public hier. Vancouver se retrouve en troisième place, Ottawa en 18e position et Calgary au 24e rang. Gordon Frost, conseiller principal pour Mercer, indique que les villes figurant parmi les 25 premières offrent une qualité de vie similaire. «Montréal reçoit une note de 9 ou 10 pour la plupart des critères», explique-t-il. Montréal obtient toutefois une note de 4 sur 10 pour son climat. Toronto a cependant une moins bonne note que Montréal pour ses services de transport en raison de la congestion routière. La criminalité joue aussi contre la Ville reine. Montréal perd quant à lui un point sur la capitale ontarienne pour les liens directs entre son aéroport et les autres villes. Mercer prépare ce palmarès pour les entreprises voulant établir les primes pour leurs employés affectés à l'étranger. Pour les 50 premières villes du classement, la qualité de vie est si bonne que les primes ne sont pas nécessaires, indique M. Mercer. La première ville au classement est Zurich, en Suisse, tandis que la dernière est Bagdad, en Irak. L'évaluation a été faite selon 39 critères. Richard Shearmur, professeur à l'INRS Urbanisation, souligne que ce type de palmarès s'adresse à des expatriés. «Cela n'a rien à voir avec la qualité de vie de tous les jours pour 95 % des Montréalais», observe-t-il. M. Shearmur ajoute que les Montréalais, contrairement aux expatriés, ne se comparent pas avec le reste du monde. Alan De Sousa, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal, concède tout de même qu'il y a place à l'amélioration. M. De Sousa fait valoir que son administration tente d'améliorer la qualité de vie des Montréalais en investissant dans les infrastructures, les transports et l'environnement, notamment. Chaque année, la firme Mercer publie ce palmarès. Depuis 2001, Montréal se classe autour de la 20e position. Les critères L'enquête de Mercer est basée sur une quarantaine d'"éléments de qualité de vie" regroupés dans les catégories suivantes : > Environnement politique et social (stabilité politique, criminalité, application des lois, etc.); > Environnement économique (régulation des taux de change, services bancaires, etc.); > Environnement socioculturel (censure, atteintes aux libertés individuelles, etc.); > Considérations médicales et sanitaires (fournitures et services médicaux, maladies infectieuses, traitement des eaux, élimination des déchets, pollution de l'air, etc.); > Écoles et éducation (niveau et disponibilité des écoles, etc.); > Services publics et transports (électricité, eau, transports publics, encombrement de la circulation, etc.); > Loisirs (restaurants, théâtres, cinémas, sports et loisirs, etc.); > Biens de consommation (disponi-bilité de la nourriture, de produits de consommation courante, voitures, etc.); > Logement (logement, appareils électroménagers, meubles, services de maintenance, etc.); *********************************************************** Idées pour Montréal Nathalie Collard La Presse De toutes les villes canadiennes, c'est à Vancouver qu'on vit le mieux selon une liste établie par une firme de consultants en ressources humaines. Basé sur des critères comme l'accès aux soins de santé, la qualité de l'air, la vie culturelle et le service de transport en commun, ce palmarès de la qualité de vie situe Ottawa en quatrième position, 18 places devant Montréal qui fait piètre figure en 22e position. Cette liste très objective est évidemment incapable de traduire le bonheur que procure un spectacle en plein-air au Festival de jazz, une balade dans les ruelles du Plateau mont-Royal ou un après-midi d'emplettes au marché Jean-Talon. Ce sont des choses intangibles. Les palmarès, eux, se concentrent sur du concret. Cela dit, plutôt que ronchonner et de jalouser Vancouver, les Montréalais devraient plutôt lui voler ses bonnes idées. On ne peut pas importer les Rocheuses, l'océan ou le temps doux mais on peut très bien améliorer notre accès à l'eau. Le premier coup de coeur du visiteur qui débarque à Vancouver est pour le Seawall, cette promenade qui ceinture la ville et qui permet aux piétons et aux cyclistes d'en faire le tour de façon très agréable. On l'a répété souvent: Montréal est une île coupée de l'eau. Le projet du déplacement de l'autoroute Bonaventure serait un premier pas vers l'accès au fleuve qui nous fait cruellement défaut. Deuxième atout de Vancouver: la grande efficacité de son système de transport en commun. Dès l'aéroport, le visiteur apprécie la facilité de s'y retrouver ainsi que l'exactitude des informations qui lui sont fournies. On peut aisément se rendre au centre-ville ou au traversier pour l'île de Vancouver sans perdre sa valise ou sa patience. Dans la ville, autobus, train aérien et aquabus sont d'une efficacité redoutable et permettent d'aller partout dans des délais plus que respectables. La STM devrait prendre des notes. Autre domaine où Vancouver peut servir de modèle: les pistes cyclables. Bien délimitées, facilement identifiables, sécuritaires, elles quadrillent toutes la ville. Et la relation automobiliste-cycliste semble beaucoup moins conflictuelle qu'à Montréal. Les Montréalais ont également beaucoup à apprendre de l'engagement vert des résidants de Vancouver. On ne compte plus les initiatives de la ville dans ce domaine, à commencer par l'ambitieux plan de réduction de gaz à effet de serre qui vise non seulement les activités de la ville mais aussi les comportements de ses résidants, l'efficacité énergétique des bâtiments publics ET privés, etc. Autre excellente initiative qui devrait stimuler nos mairies d'arrondissement: des projets communautaires comme Green Streets, qui invite les citoyens à prendre en charge l'aménagement paysager de leur rue (plates-bandes, ronds-points fleuris, etc.) et ce, sans qu'aucun col bleu ne se sente menacé. Il faut dire qu'en Colombie-Britannique, le souci environnemental est doublé d'un sens aigu de la communauté. Le sens de la communauté, ça s'importe? Si oui, Montréal devrait en commander quelques caisses. nathalie.collard@lapresse.ca
  3. (Le lundi 02 avril 2007)Vancouver est la ville canadienne qui s'est le mieux classée au palmarès mondial de la qualité de vie des habitants: elle arrive au troisième rang, après les villes suisses de Zurich et Genève, indique un sondage mondial rendu public lundi. Les autres villes canadiennes figurant dans l'étude sont Toronto, 15e au classement mondial, Ottawa, 18e, Montréal, 22e, et Calgary, 24e. Dans le cadre de son enquête annuelle, la firme Mercer, Consultation en ressources humaines, attribue à Vancouver une note de 107,7, à égalité avec Vienne en troisième place et tout juste derrière Zurich (108,1) et Genève (108). Pour Danielle Bushen, de Mercer à Toronto, Vancouver a obtenu de bons résultats dans tous les domaines, mais son point faible est son taux de criminalité. «De façon générale, les taux de criminalité en Amérique du Nord tendent à être légèrement plus élevés qu'en Europe, et cela se confirme quand on compare des endroits comme Zurich et Genève à Vancouver», note Mme Bushen. Le sondage classait 215 villes à travers le monde à partir de 39 critères de qualité de vie, incluant notamment des facteurs politiques, sociaux, économiques et environnementaux, comme la sécurité des personnes, la santé, l'éducation, les transports et d'autres services publics. Les villes étaient comparées à New York, à laquelle était attribué un pointage de référence de 100. Les cinq villes canadiennes incluses dans l'enquête ont toutes obtenu des résultats supérieurs à n'importe quelle ville américaine évaluée. Honolulu est la ville des États-Unis ayant eu le meilleur résultat: elle se classe 27e au monde. Bagdad est considérée comme la ville la moins attrayante, avec un résultat de 14,5. D'autres villes reléguées au bas de la liste incluent Brazzaville au Congo (29,5), Bangui en République centrafricaine (30,6) et Khartoum au Soudan (31). Toutes les villes canadiennes du sondage se situent également dans les 25 premières pour ce qui est de la santé et de l'hygiène publiques. À ce chapitre, Calgary obtient le tout premier rang au classement mondial, suivie d'Ottawa en 4e position, de Montréal et Vancouver, à égalité au 10e rang et de Toronto au 21e rang. La position torontoise s'explique notamment par le nombre relativement élevé de jours, particulièrement en été, où la qualité de l'air de la ville fait l'objet d'alertes-météo. Les performances en santé et en hygiène publiques sont évaluées en fonction de la qualité et de l'accessibilité des services hospitaliers et médicaux, des niveaux de pollution atmosphérique et de maladies infectieuses. On tient aussi compte de l'efficacité des systèmes d'aqueduc et de traitement des eaux usées, de la qualité de l'eau potable et de la présence d'animaux et d'insectes nuisibles. La pire ville au monde pour la santé et l'hygiène publiques est Bakou, capitale de l'Azerbaïdjan, qui se voit attribuer une note de 27,6. Autres villes peu favorisées sur ce plan, Dacca au Bangladesh, Antananarivo à Madagascar et Port-au-Prince en Haïti obtiennent respectivement 29,6, 30,1 et 34. Les résultats de l'enquête annuelle de Mercer visent à aider les administrations publiques et les multinationales qui affectent du personnel à l'étranger.
  4. Le mardi 27 mars 2007 ( La Presse) Montréal Deux ans après l’adoption du premier plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise, Montréal et 76 partenaires économiques et sociaux annoncent un certain nombre d’initiatives en faveur d’une qualité de vie plus agréable sur l’île mais la Ville refuse de se prononcer sur des irritants environnementaux comme l’agrandissement de l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau. Lors de la première phase du plan, Montréal a pris des initiatives pour réduire les émissions des gaz à effet de serre. La deuxième phase se poursuit jusqu’en 2009 avec 19 actions en faveur de l’environnement. La Ville s’est engagée ce lundi à encourager les produits équitables, l’achat local, l’économie sociale et le verdissement. Elle a annoncé qu’une collecte des résidus verts et de table pour en faire du compost s’en vient. Mais il n’y a pas d’échéance pour ce projet. Parmi les partenaires de la Ville figure Communauto, qui multiplie les projets d’autopartage et se bat depuis des années pour obtenir du gouvernement Charest une reconnaissance afin de diminuer le nombre de véhicules en circulation à Montréal. Mais Alan DeSousa, responsable du développement durable à Montréal, ne s’est pas engagé à aider leur cause. Selon le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, depuis que Gérald Tremblay est devenu maire, le parc automobile de l’île croît au rythme de 10 700 véhicules par an, pour un total de 42 800 véhicules durant son premier mandat. « Sous le maire Jean Doré, au tournant des années 1990, des efforts réels de promotion du transport collectif avaient permis de limiter cette croissance à 1 050 véhicules par année, soit dix fois moins qu’aujourd’hui », dit M. Bergeron. De plus, M. DeSousa n'a pas voulu dire si l’agrandissement de l’aéroport de Dorval, qui fera disparaître des espaces verts et contribuera à augmenter la fréquentation de l’aéroport, annulera une partie des actions prises afin d'améliorer la qualité de vie des Montréalais.
  5. Les Québécois optimistes Un sondage Géocom Recherche pour le compte du Conseil du commerce de détail indique que les Québécois sont relativement satisfaits de leur situation financière. Ainsi, les ménages québécois estiment que leur situation financière s'est améliorée ou est demeurée stable au cours des 12 derniers mois dans une proportion de 82 %. Cette proportion était de 80 % en mars 2006. Pour les 18 % qui ont indiqué une détérioration de leur situation financière au cours des 12 derniers mois, on l'impute soit à l'augmentation du coût de la vie (44 %), à une diminution des conditions de travail (22 %), à un changement de statut: retraite, retour aux études (15 %) ou à la perte d'un emploi (15 %). Quant à leur situation financière pour les 12 prochains mois, 89 % des ménages estiment que leur situation devrait ou bien demeurer la même (55 %), ou bien s'améliorer (34 %). Seulement 7 % des ménages s'attendent à une détérioration, occasionnée principalement par l'augmentation du coût de la vie. Situation financière du Québec Les Québécois sont moins optimistes quant à la situation financière de la province. 29 % estiment que la situation financière va se détériorer au cours de l'année. Ce taux représente toutefois une diminution par rapport à l'an dernier quand 45 % se montraient pessimistes. Intentions d'achat 27 % des ménages prévoient effectuer un achat majeur au cours des 12 prochains mois. Il s'agit de la proportion la plus élevée depuis 2003. C'est toujours l'automobile qui est au premier rang des achats importants prévus chez 10 % des ménages, viennent ensuite les électroménagers (6 %), la maison (5 %), les meubles (3 %) et l'informatique (3 %). Le facteur âge L'étude révèle que l'âge constitue un facteur déterminant d'optimisme. Les 18-54 ans affichent, selon les tranches d'âge, des taux de confiance de 107,4 à 100,9 tandis que les 55-64 ans et les 65 ans et plus enregistrent respectivement des indices de 90,5 et 85,7. Le sondage a été effectué sur un échantillon aléatoire de 1002 Québécois(es) entre le 14 et le 28 février 2007. La marge d'erreur est d'environ 3,2 %, 19 fois sur 20. Le Conseil du commerce de détail est la plus importante association représentant le secteur du commerce de détail au Québec. Il représente une industrie regroupant plus de 56 000 établissements commerciaux, plus de 500 000 emplois, soit près d'un travailleur sur cinq au Québec et plus de 86 milliards de dollars de ventes au détail en 2006.
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