Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'vie'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Y a-t-il une vie professionnelle après plusieurs années passées dans le giron rassurant d'une grande entreprise? Oui, répondent des gens qui sont passés par là. Pour en lire plus...
  2. Le président sortant du plus important syndicat du secteur privé au Canada a confié avoir été approché par Stéphane Dion mais a cependant déterminé que sa vie familiale était plus importante. Pour en lire plus...
  3. La deuxième vie de l’usine sherbrookoise de fabrication de bâtons de hockey, Sherwood-Drolet, risque d’être très courte. Elle pourrait fort bien ne pas survivre à l’été. Pour en lire plus...
  4. Son temps aurait pu lui être compté. Au terme de récents ennuis de santé, Céline s'est aperçue à quel point ce temps lui était devenu précieux. Pour en lire plus...
  5. Hydro-Québec annonce, à Bécancour, un investissement majeur pour prolonger la vie de la seule centrale nucléaire québécoise. Pour en lire plus...
  6. L’essence qui grimpe à 1,50$, les actions qui piquent du nez, les banques qui resserrent leurs conditions de crédit… La crise du crédit a eu des conséquences importantes dans la vie des Canadiens. Pour en lire plus...
  7. Les douaniers américains pourront fouiller les portables Agence France-Presse 01 août 2008 | 17 h 07 «Au 21ème siècle, la plus dangereuse des contrebandes est souvent contenue dans les médias électroniques», affirment les autorités américaines. - Photo La police des frontières américaines pourra désormais saisir les ordinateurs portables des voyageurs pour en analyser le contenu même si aucun soupçon ne pèse sur l'individu ou les informations qu'il transporte, ce qui suscite les protestations de défenseurs des libertés. «Depuis le fondement de la République, nous avons eu la capacité de faire des recherches aux frontières afin d'éviter l'entrée dans le pays d'individus et de produits dangereux», affirme Amy Kudwa, la porte-parole du département de la sécurité intérieure (DHS). «Au 21ème siècle, la plus dangereuse des contrebandes est souvent contenue dans les médias électroniques et pas sur du papier. L'ère des dossiers de papiers et des microfiches est révolu», ajoute-t-elle. Le DHS a rendu public en juillet les modalités de cette nouvelle politique qui autorise le personnel des douanes à «détenir les documents et les équipements électroniques, pour une période raisonnable afin de pouvoir faire une recherche approfondie» sur place ou en envoyant l'ordinateur à des spécialistes. «Au cours d'une fouille et en l'absence de toute soupçon, les officiers peuvent examiner et analyser l'information transportée par un individu qui tente d'entrer, de réentrer, de partir, de passer en transit ou qui réside aux États-Unis», dit le document visible sur l'Internet. Tim Sparapani, principal conseiller juridique à l'Association américaine des libertés civiles (ACLU), a qualifié ces saisies et ces fouilles d'inconstitutionnelles. «C'est une saisie sans qu'il y ait une cause probable qu'un crime a été ou va être commis. La division des douanes et des frontières du DHS essaye de transformer la frontière américaine en une zone de non-droit constitutionnel», a-t-il déclaré. Le sénateur démocrate Russ Feingold, qui a récemment présidé une audition au Congrès sur les méthodes du DHS, a estimé que ces fouilles étaient «inquiétantes» et représentaient une violation de la vie privée. «Je suis plus convaincu que jamais qu'une législation est nécessaire pour protéger les bons citoyens américains de cette flagrante violation de leur vie privée. J'ai l'intention d'introduire un tel projet de loi bientôt», a déclaré l'élu dans un communiqué. Le mois dernier, la puissante association de défense des droits civiques, ACLU a accusé le DHS de mettre en danger «la vie privée et les libertés des citoyens américains sans renforcer pour cela leur sécurité», faisant notamment référence à la liste terroriste du DHS qui s'est enflée d'au moins un million de noms. L'ACLU accuse aussi les agents aux frontières américaines de cibler injustement les voyageurs d'origine arabe, asiatique et également latino dans le cadre de la lutte contre l'immigration illégale.
  8. La société aurifère paie 13 M$ comptant pour une participation dans une mine qui arrive à la fin de sa vie utile. Pour en lire plus...
  9. La Cour suprême s'est prononcée hier en faveur du congédiement par Hydro-Québec d'une employée malade qui avait manqué 960 jours de travail entre 1994 et 2001. Le jugement, qui rappelle que les employeurs doivent faciliter la vie aux employés malades, souligne qu'ils n'ont pas pour autant à «modifier de façon fondamentale les conditions de travail d'un salarié». Pour en lire plus...
  10. Les stars qui ont choisi de s'installer à Mont-Tremblant, comme Michael Douglas et Catherine Zeta-Jones, doivent un peu de leur qualité de vie à une petite entreprise. Pour en lire plus...
  11. «Avez-vous songé que nous passons le tiers de notre vie allongé sur un matelas? Il a donc tout intérêt à être confortable et durable», raconte Jacques René,. Pour en lire plus...
  12. Johanne a 14 ans de moins que Claude. Pourtant, c'est elle qui a eu la frayeur. Atteinte d'un cancer en 2005, elle a dû abandonner les clients pour lesquels elle faisait de la tenue de livre comptable. Après cette épreuve, nous écrit la femme de 49 ans, elle a décidé de profiter de la vie avec son mari. Pour en lire plus...
  13. Le plus important prêteur hypothécaire au Royaume-Uni a connu hier sa pire dégringolade à vie. Pour en lire plus...
  14. Le détaillant de lingerie et de maillots québécois créera une coentreprise avec la firme hongkongaise Retail CHINA afin d'implanter des boutiques en Chine. Pour en lire plus...
  15. http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/January2008/17/c9748.html Avec l'aide de Montréal International - Triad Semiconductor inaugure une filiale à Laval pour lancer son expansion au Canada La nouvelle filiale permettra de répondre à la croissance de la demande mondiale de puces à signaux mixtes MONTREAL, le 17 janv. /CNW Telbec/ - Afin de satisfaire la croissance rapide de la demande mondiale pour ses solutions de circuits intégrés spécifiques (Application Specific Integrated Circuit, ou ASIC) à signaux mixtes, la compagnie américaine Triad Semiconductor a inauguré aujourd'hui sa première filiale, Triad MDG (Montréal Design Group), à Laval, dans la région de Montréal. Les ingénieurs chevronnés de Triad MDG travaillent sous la supervision du directeur général, M. Richard Prescott. Triad MDG offre des services de conception et de développement de propriété intellectuelle analogique interne de pointe, ainsi que des services de soutien aux ventes et au développement d'applications pour le marché canadien. M. Lynn Hayden, président-directeur général de Triad Semiconductor, explique : "L'ouverture de Triad MDG marque une nouvelle étape du développement de Triad. Cette filiale canadienne nous permettra d'accroître notre infrastructure de soutien et de proposer nos solutions performantes et économiques à davantage d'entreprises développant des applications médicales, industrielles, de communications, de détection, etc. Partout dans le monde, nos clients bénéficient des avantages d'une réduction des coûts récurrents d'ingénierie et d'une mise en oeuvre accélérée, tout en pouvant apporter des modifications techniques rapidement." Montréal International a assisté Triad Semiconductor à toutes les étapes clés du projet et continuera de favoriser l'expansion de ses activités dans le Grand Montréal. Pour M. Pierre Brunet, président du conseil d'administration de Montréal International, "la décision de Triad Semiconductor d'ouvrir sa première filiale canadienne à Laval est une excellente nouvelle, illustrant les nombreux avantages offerts aux entreprises étrangères qui décident d'investir dans la région". M. Prescott ajoute : "Le Grand Montréal est un important centre de haute technologie, reconnu pour ses entreprises oeuvrant dans les domaines de l'aérospatiale, de l'électronique, des télécommunications, des sciences de la vie et des transports, ainsi que pour ses services d'ingénierie et de recherche et développement. C'est l'endroit idéal pour Triad MDG, ce qui nous permettra de proposer aux entreprises du Canada et d'ailleurs les avantages de nos circuits intégrés à signaux mixtes en termes d'économies de temps et d'argent." "La région de Montréal est également reconnue pour le dynamisme de son environnement d'affaires, sa main-d'oeuvre multilingue et hautement qualifiée, l'excellente réputation de ses universités, la vitalité et la créativité de ses entrepreneurs et industries culturelles, sans oublier son coût de la vie très raisonnable et sa qualité de vie unique en Amérique du Nord", conclut M. Brunet. Pour sa part, M. Pierre Desroches, président du conseil de LAVAL TECHNOPOLE, s'est dit très heureux d'accueillir Triad Semiconductor au sein de Laval Technopole. "Triad vient ainsi enrichir la masse critique du e-POLE lavallois en se joignant à un réseau d'entreprises de calibre international, capables d'inventer, de produire, de commercialiser et de compétitionner partout dans le monde", a-t-il ajouté. Triad MDG est une filiale en propriété exclusive de Triad Semiconductor. Elle est située au 3090, boulevard Le Carrefour, bureau 304, Laval (Québec). A propos de Triad Semiconductor (www.triadsemi.com) Triad Semiconductor effectue le développement, le prototypage et la production sans fabrication de puces ASIC à signaux mixtes pour des volumes de production allant de quelques milliers à des millions d'unités. Sa technologie Via Configurable Array (VCA) (brevet en instance) permet de créer des matrices ASIC avec des fonctions analogiques et numériques sur silicium éprouvées qui réduisent le temps, le coût et les risques liés aux configurations entièrement personnalisées. De plus, le routage réalisé uniquement par trous d'interconnexion de Triad facilite grandement les tâches d'ingénierie et accélère la fabrication, ce qui permet de développer des prototypes et d'appliquer des modifications techniques rapidement et à un coût minime. Fondée en 2003, Triad est une compagnie privée ayant son siège social à Winston Salem, en Caroline du Nord.
  16. Vivre en anglais au Québec: possible mais contraignant Louise Leduc La Presse Pour la première fois depuis 1976, le nombre d'anglophones est en hausse au Québec. En 2006, il atteignait 607 000 personnes, comparativement à 591 000 en 2001, révélaient cette semaine les toutes dernières données du recensement. Tout se passe comme si, finalement, les anglos se plaisaient bien au Québec et qu'un modus vivendi avait été trouvé avec les francophones. Puis survient une «affaire» Koivu. Une controverse autour d'un projet de loi sur l'identité québécoise. Suffirait-il de presque rien pour que? Marvin Rotrand se lève. Il fait son discours. Pour une première intervention à l'hôtel de ville de Montréal, il est plutôt fier de lui, fier de son éloquence, fier de son aisance. Il se rassoit. Personne ne dit mot. À la pause, il interroge ses confrères conseillers. Pourquoi personne n'a réagi? Parce que personne n'avait compris. Il avait parlé anglais du début à la fin. Vingt-cinq ans plus tard, Marvin Rotrand est toujours conseiller municipal, mais il est aujourd'hui bilingue. «Tout mon français, je l'ai appris à l'hôtel de ville.» Jusque-là, dit-il, il avait vécu «à part», en anglais, à Montréal. Par la force des choses. Ses parents, arrivés ici après avoir survécu aux camps de concentration, ont été dirigés vers des commissions scolaires anglophones puisqu'ils n'étaient pas catholiques. Puis un jour, pour être élu, Marvin Rotrand a eu besoin de votes. «Si on veut être interviewé par Radio-Canada, c'est bien utile, de savoir parler français...» Combien sont-ils aujourd'hui à vivre tout le temps en anglais à Montréal? David Corcos, qui étudie au collège Dawson, affirme qu'il a autour de lui «autant d'amis bilingues que d'amis incapables de suivre une conversation en français». «Mon chum est photographe et le fait de ne pas parler un mot de français est très limitant pour lui, raconte pour sa part Shana Panasuk, étudiante au même collège. Quand il veut photographier des gens, je dois les aborder pour lui.» À l'inverse, le fait d'être parfaitement bilingue facilite la vie de Shana. «Quand j'ai postulé pour un emploi de caissière au Canadian Tire, je l'ai eu tout de suite. Celui qui m'a interviewé exigeait des candidats bilingues, et j'étais la seule à l'être.» Lindsay Green, résidante de Côte-Saint-Luc âgée de 18 ans, est unilingue et n'y voit encore aucun problème. «Je veux devenir architecte. Peut-être que, plus tard, ce sera un problème de parler anglais seulement, mais ça ne l'est pas pour l'instant. J'étudie en anglais, mes amis sont anglophones, ça ne m'arrive jamais d'avoir à parler français.» L'appel du large Les étudiants unilingues rencontrés ont tôt fait d'évoquer la possibilité de quitter le Québec. Si ça ne marche pas, j'irai ailleurs. Entendre: à Toronto, surtout. Le feront-ils? Contre toute attente, depuis cinq ans, malgré le boom albertain, les anglophones sont restés au Québec comme jamais depuis 1976. «Pourquoi partiraient-ils? Ils sont bien! Ils peuvent vivre en anglais tous les jours de leur vie au Québec!» lance Charles Castonguay, mathématicien de l'Université d'Ottawa qui a passé sa vie à décortiquer l'évolution du fait français au Québec et qui a été catastrophé par le dévoilement des derniers chiffres du recensement. Larry Smith, PDG des Alouettes, doute aussi - mais pour d'autres raisons - que les anglophones mettent encore massivement les voiles. «Toronto, c'est vraiment un autre monde. Toronto, c'est comme New York. C'est l'argent et le travail. Ici, au Québec, on travaille, mais avoir du fun, c'est important aussi. On tient à notre qualité de vie.» Marvin Rotrand refuse pour sa part de se hasarder dans des prédictions sur l'avenir de la communauté anglophone de Montréal. «Trop imprévisible. Qui sait, peut-être les anglophones de Toronto ou d'ailleurs réaliseront-ils à quel point la vie est bonne ici, et qu'un loyer à Montréal, c'est moins cher qu'à Halifax!» Une communauté éclatée Ce qui est sûr, c'est que la communauté anglophone est moins homogène qu'avant, se confondant aujourd'hui avec les allophones qui demeurent nombreux à adopter l'anglais. Moins homogène, et manifestement plus dispersée. «J'ai longtemps habité rue Brébeuf, dans le Plateau, et j'étais vraiment le seul anglophone là! dit Brian Wright, qui travaille dans le milieu théâtral. Mes amis ne déménageaient jamais à l'est de la rue Saint-Denis. Aujourd'hui, il y a plein d'anglophones dans le Plateau, et même au coeur d'Hochelaga-Maisonneuve. Je ne suis plus seul de ma gang!» Selon les dernières données sociodémographiques, le Plateau-Mont-Royal comptait 12% de résidants ayant l'anglais pour langue maternelle. De la même manière, «les châteaux forts anglophones ne sont plus aussi homogènes qu'ils l'étaient, fait observer le reporter Stéphane Giroux, qui couvre la communauté anglophone pour la chaîne CTV. Aussi francophones soient-ils, mon frère et ma soeur habitent dans le West Island et ils sont loin d'être l'exception.» Les anglos et nous: mythes et réalités Les anglophones québécois sont plus riches Le revenu personnel médian des anglophones et des francophones est presque identique au Québec (21 619$ contre 21 166$) et à Montréal (21 966$ contre 21 599$). Les anglophones ont de meilleurs emplois La proportion d'anglophones qui occupent un poste de cadre (13,4%) est plus élevée que la moyenne provinciale (10,4%). Toutefois, selon les dernières données à ce sujet (en 2001), le taux de chômage des personnes de langue maternelle anglaise était supérieur à la moyenne dans toutes les grandes régions du Québec, à l'exception de Montréal. Les lois linguistiques donnent des boutons aux anglophones. Un vaste sondage CROP réalisé en 2001 pour l'Institut Missisquoi révélait que la moitié des anglophones du Québec croyaient légitime que le gouvernement québécois adopte des lois visant à protéger la langue française. Anglophones et francophones se sentent menacés. Soixante-six pour cent des répondants d'un sondage CROP mené en 2001 disaient croire que l'avenir de la communauté anglophone de leur région était menacé. Seulement 14% des francophones le croyaient. À l'inverse, 61% des francophones croyaient que le français était menacé au Québec. Près des deux tiers des anglophones sont en désaccord avec cette idée. Maudits anglos? Quatre-vingt-trois pour cent des francophones, dans le même sondage, ont déclaré avoir de bonnes ou de très bonnes relations avec les anglophones. Sources: Vers l'avant: évolution de la communauté d'expression anglaise au Québec, novembre 2004; CROP, Survey of the English-Speaking Community of Québec, 2001.
  17. Aujourd'hui, il faisait beau, plus chaud, et j'avais à faire au centre-ville. J'en ai profité pour marcher un peu avant que le soleil ne se couche. ------------------------------------------------------------------ 333 Sherbrooke Le Montmarte Hilton Garden Inn Il me fascine... Louis Bohème Le Monstre Il faut que je fasse ça dans ma vie Pour la deuxième fois dans ma vie, j'ai apprécié la Place Ville-Marie
  18. Montréal consacre 15 millions à la démolition ou à la transformation des bâtiments industriels ou commerciaux dans les secteurs résidentiels. Montréal, le 16 novembre 2007 - M. Alan DeSousa, responsable du développement économique, du développement durable et de Montréal 2025 au comité exécutif de la Ville de Montréal, est heureux d'annoncer la création du programme PR@M-revitalisation. Doté d'une enveloppe de 15 millions de dollars, ce programme offre aux arrondissements un outil supplémentaire dans l'application de leur plan d'urbanisme, en apportant un appui financier à la démolition ou la transformation de bâtiments à usages dérogatoires, industriels ou commerciaux, situés dans les secteurs résidentiels. «Avec ce nouveau programme, les arrondissements pourront agir sur certaines nuisances qui affectent la qualité de vie des citoyens dans plusieurs secteurs résidentiels », a déclaré M. DeSousa. On trouve encore, sur le territoire de la Ville, des activités industrielles et commerciales qui sont exercées dans des bâtiments localisés au cœur de quartiers résidentiels. La quiétude et le bien-être des résidants en souffrent, en raison notamment du bruit, des poussières et des odeurs. De plus, le volume de circulation et le passage de véhicules lourds affectent directement leur sécurité. Le PR@M-revitalisation offre un soutien financier afin d'encourager les propriétaires de ces bâtiments à utiliser l'espace pour construire de nouvelles unités d'habitation. Le propriétaire de l'immeuble ne devra finalement payer qu'une partie du coût des travaux puisque le nouveau programme couvrira 75 % des coûts admissibles, allant jusqu'à 1 500 000 $. Toute demande de subvention doit être présentée avant le 31 décembre 2009. Le projet doit être réalisé dans les 36 mois, à compter de l'acceptation de la demande d'aide financière par la Ville. La durée du programme est donc de cinq ans, à compter du 1er janvier 2008, et son application prendra fin le 31 décembre 2012. Le programme couvre tout le territoire de la Ville de Montréal. Pour y adhérer, les arrondissements doivent adopter une résolution et contribuer au tiers du 75% des coûts admissibles assumés par la Ville. « Le PR@M-revitalisation s'ajoute ainsi au PR@M-industrie et au PR@M-commerce annoncés le mois dernier. Il s'inscrit dans la stratégie de développement économique 2005-2010 de la Ville, réussir@montréal. Il vient répondre à un besoin largement exprimé par les arrondissements d'enrayer certaines nuisances et d'améliorer la qualité de vie des secteurs résidentiels de la ville. Prendre soin de nos quartiers, c'est accroître le pouvoir d'attraction et de rétention de Montréal auprès des citoyennes et des citoyens à la recherche d'un milieu de vie à la fois inspirant et stimulant pour leur famille », a précisé M. DeSousa.
  19. Le concours Design Montréal salué Article mis en ligne le 23 août 2007 à 14:42 Soyez le premier à commenter cet article Le concours Design Montréal salué Le concours Commerce Design Montréal a été sélectionné comme l’une des 48 meilleures pratiques parmi 703 candidatures soumises et provenant de 88 pays au 2006 Dubai International Award for Best Practices to Improve the Living Environment de l’ONU-Habitat. Cette récompense souligne l’excellence des projets qui contribuent de façon durable à l'amélioration du cadre de vie. Les meilleures pratiques ont été définies par les Nations unies et par l’ensemble de la communauté internationale comme étant des initiatives qui se sont avérées un succès et qui, entre autres, contribuent de manière tangible et visible à l'amélioration de la qualité de vie des populations concernées. « Par cette prestigieuse distinction, l’ONU-Habitat reconnaît que le programme Commerce Design Montréal constitue un modèle éloquent pour le développement d’une ville durable par ses efforts envers la revitalisation des milieux urbains anciens, le maintien des services de proximité et la promotion d’une mixité sociale et culturelle des quartiers centraux», a déclaré Benoit Labonté, responsable de la culture au comité exécutif de la ville de Montréal. Rappelons que le concours Commerce Design Montréal a primé plusieurs commerces du secteur Ville-Marie, comme le 1000 Atriums ou L'épicier restaurant dans le Vieux-Montréal.. Commerce Design Montréal : un concept qui s’exporte bien! Organisé par la Ville de Montréal de1995 à 2004, Commerce Design Montréal avait pour but de faire valoir auprès des commerçants montréalais les bénéfices d’investir dans la qualité de l’aménagement de leur établissement avec l’aide d’un professionnel qualifié. Aujourd'hui, le concept est exporté et les demandes de transfert d’expertise se multiplient. Depuis 2003, cinq licences ont été accordées à la demande de la Ville de Trois-Rivières, de Saint-Étienne, de la Chambre de commerce et d’industrie de Marseille et de Lyon en France, et le District Times Square à New York.
  20. Le mardi 27 mars 2007 ( La Presse) Montréal Deux ans après l’adoption du premier plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise, Montréal et 76 partenaires économiques et sociaux annoncent un certain nombre d’initiatives en faveur d’une qualité de vie plus agréable sur l’île mais la Ville refuse de se prononcer sur des irritants environnementaux comme l’agrandissement de l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau. Lors de la première phase du plan, Montréal a pris des initiatives pour réduire les émissions des gaz à effet de serre. La deuxième phase se poursuit jusqu’en 2009 avec 19 actions en faveur de l’environnement. La Ville s’est engagée ce lundi à encourager les produits équitables, l’achat local, l’économie sociale et le verdissement. Elle a annoncé qu’une collecte des résidus verts et de table pour en faire du compost s’en vient. Mais il n’y a pas d’échéance pour ce projet. Parmi les partenaires de la Ville figure Communauto, qui multiplie les projets d’autopartage et se bat depuis des années pour obtenir du gouvernement Charest une reconnaissance afin de diminuer le nombre de véhicules en circulation à Montréal. Mais Alan DeSousa, responsable du développement durable à Montréal, ne s’est pas engagé à aider leur cause. Selon le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, depuis que Gérald Tremblay est devenu maire, le parc automobile de l’île croît au rythme de 10 700 véhicules par an, pour un total de 42 800 véhicules durant son premier mandat. « Sous le maire Jean Doré, au tournant des années 1990, des efforts réels de promotion du transport collectif avaient permis de limiter cette croissance à 1 050 véhicules par année, soit dix fois moins qu’aujourd’hui », dit M. Bergeron. De plus, M. DeSousa n'a pas voulu dire si l’agrandissement de l’aéroport de Dorval, qui fera disparaître des espaces verts et contribuera à augmenter la fréquentation de l’aéroport, annulera une partie des actions prises afin d'améliorer la qualité de vie des Montréalais.
×
×
  • Créer...