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  1. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2010/08/27/004-montreal-fragment-urbanite.shtml
  2. Photos: http://www.journalmetro.com/linfo/article/601300--un-stationnement-du-vieux-montreal-devenu-vacant-reprend-vie
  3. Le promoteur immobilier, Groupe BCH Développement, poursuit l’effervescence résidentielle qui persiste en Montérégie par la vente d’un immense terrain sur lequel on prévoit la construction d'un complexe de copropriétés et de résidences. Sur une superficie de 450 000 pi2, BCH a planifié la réalisation d’un développement représentant 75 millions $ d’investissements en unités d'habitation. C’est à l’intersection de la route 132 et du Chemin St-François-Xavier, rue desservie par Candiac, que seront érigés ces immeubles. « Après avoir travaillé trois ans sur le potentiel de cette portion de terrain, nous venons tout juste de recevoir toutes les autorisation nous permettant d’inviter les entrepreneurs à profiter de belles opportunités que représentent ce site, souligne Gaétan Houle, promoteur immobilier responsable du projet. Le changement de zonage maintenant complété, il sera enfin possible d'habiter dans un concept de vie urbaine, à Delson. » La vie urbaine en pleine nature Selon ce dernier, le zonage permet la construction d’un projet de résidence de 430 unités pour personnes retraitées, immeuble érigée sur 12 étages. « Les municipalités de Delson et Candiac ont vu leur population diminuer lorsque les gens arrivaient à leur retraite justement parce qu’il n’y a pas de projet de la sorte pour répondre aux besoins de ce type de clientèle, insiste le promoteur. Nous voulons offrir aux résidents des copropriétés de qualité au design sophistiqué dans un ensemble urbain bien pensé. Ce sera donc un quartier à la fois animé, sécuritaire, où tous les services seront à proximité, explique le promoteur. » Le terrain possède une dénivellation, soit un plateau qui peut supporter une douzaine d’étages, selon les tests effectués par les promoteurs. L’accès à la rivière La Tortue en fait vraiment un site exceptionnel pour les nouveaux résidents qui choisiront de s’établir dans ce nouveau quartier et qui y trouveront une multitude d’avantages. Projet mixte En plus d’une résidence, il sera possible de construire 3 ou 4 immeubles de 6 à 12 étages, pouvant totaliser 250 unités de condominiums dont la brochette de prix varie de 250 000 $ à 800 000 $ pour des penthouses. «En plus d’habiter un endroit très sécuritaire, précise-t-il, les futurs résidents pourront profiter d’un environnement extérieur digne d’un havre de paix grâce à un site privé, des espaces intimes ainsi que de fenestration abondante leur permettant de profiter d’une vue imprenable sur Montréal, puisqu’à partir du 4e étage, on a une vue splendide sur la métropole.» Le concept propose un milieu de vie complet, où différentes sphères d'activités quotidiennes cohabiteront dans un même quartier. Plusieurs entrepreneurs ont déjà démontré leurs intérêts et il y a tout lieu de croire que le projet devrait démarrer cette année. « Nous travaillons actuellement sur les plans qui seront probablement d’ici 3 ou 4 mois, conclut Gaétan Houle. L’échéancier des travaux devrait se poursuivre jusqu’ au printemps 2011. Retour Imprimer Envoyer à un ami Commentaires(0)
  4. Dany Villanueva doit quitter le Canada et retourner dans son pays d'origine, le Honduras. Telle est l'ordonnance rendue mercredi par le commissaire à l'immigration et au statut de réfugié. Rappelons que Dany Villanueva est un témoin-clé dans l'enquête du coroner sur la mort de Fredy Villanueva, son jeune frère qui a perdu la vie lors d'une altercation avec les policiers dans un parc de Montréal-Nord, en août 2008. Par l'entremise de son avocat, Dany Villanueva a sur-le-champ porté cette ordonnance en appel, ce qui a pour conséquence de suspendre la décision du commissaire. Il contestera cet avis d'expulsion auprès de la section d'appel de la Commission de l'Immigration et également en cour fédérale. Le processus pourrait s'échelonner sur plus d'un an. Dany Villanueva a le statut de résident permanent au Canada. Il y vit depuis son adolescence et soutient qu'il n'a plus aucune attache avec le Honduras, où les autorités canadiennes souhaitent le renvoyer. D'autres rendez-vous avec la justice D'ici là, Dany Villanueva devra répondre d'accusations de conduite en état d'ébriété et de possession de cannabis. Ces événements se sont produits la semaine passée à Charlemagne, non loin de Repentigny, où il habite. Dany Villanueva devra aussi subir un procès pour une affaire de vol qualifié, dans laquelle il est accusé aux côtés de quatre autres personnes. Ce procès doit avoir lieu en novembre. En 2006, Dany Villanueva avait purgé une peine de 11 mois de prison pour un autre vol qualifié. Ce sont ces faits que l'Agence des services frontaliers a invoqués pour expliquer sa demande que Dany Villanueva soit expulsé vers le Honduras. Enfin, Dany Villanueva poursuivra le 3 mai sa comparution dans l'enquête du coroner André Perreault sur les circonstances et les causes entourant la mort de son jeune frère Fredy. Appartenance passée à un gang de rue Devant le coroner André Perreault, plus tôt cette année, Dany Villanueva avait reconnu qu'il avait déjà entretenu des liens avec un gang de rue. Il avait tenu à préciser qu'après avoir été emprisonné, il avait signifié à ce gang qu'il ne souhaitait plus y être associé. Dany Villanueva a expliqué en substance au coroner qu'il souhaitait, de cette manière, faire en sorte que son jeune frère Fredy ne suive pas ses traces. Fredy Villanueva, 18 ans, a perdu la vie lors d'une altercation avec les policiers Stéphanie Pilote et Jean-Loup Lapointe. La scène s'est produite dans un stationnement attenant à un parc, dans l'arrondissement Montréal-Nord, en août 2008. Dany Villanueva était présent. Devant le coroner Perreault, le policier Lapointe a argumenté que Dany Villanueva avait fait preuve d'agressivité au point où le policier avait craint pour sa vie. Jean-Loup Lapointe a fait feu, atteignant mortellement Fredy Villanueva. Source: Radio-Canada. Bon débarras?
  5. 4040 Lafontaine À quelque pas du métro Pie-IX, du marché maisonneuve et de la promenade Ontario, ce nouveau projet de 16 condos vous offre des unités unique de grande dimensions dans un milieu de vie urbain en plein développement. http://www.habitationslaurendeau.com/4040.php
  6. Secteur Angus, 2ème et Gilford J'ai de la misère a visualiser exactement ou le projet va être construit. -------------------------------------------------------------------------------- Un copier-coller du projet au Dix30 Découvrez prochainement Cité Angus dans le Quartier Angus. Imaginée par le Groupe Cholette, Cité Angus propose un concept d'habitation unique de condominiums contemporains et de maisons urbaines spectaculaires sur un ou deux étages. À deux pas de l'activité piétonne du Quartier Angus, à quelques minutes du centre-ville de Montréal, un endroit où l’on vie au rythme du Quartier. Au cœur de la vie urbaine du Quartier Angus à Montréal, d'élégants immeubles de condominiums contemporains au design unique tant par l'architecture et la conception de ces derniers. Vaste choix de modèles de condominiums et de maisons de ville urbaines sont offerts. Du choix pour tous les goûts à prix abordables. À distance de marche, on y retrouve marchés et boutiques spécialisés, restaurants, centre de conditionnement physique, garderie, piscines extérieures municipales, magnifiques parcs et espaces verts. Situé à l'angle de la rue Gilford et la 2ième avenue à Montréal dans le Quartier Rosemont, le site est accessible via le boulevard Saint-Jospeh, à proximité de l’avenue Papineau. Ouverture du pavillon des ventes automne 2010 Pour des informations svp communiquer avec nous et inscrivez-vous pour recevoir des informations privilégiés via notre formulaire de réservation prioritaire ou par courriel au ventes@groupecholette.com Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
  7. Wow!!! C'est un tour de force! Un autre Montréalais qui s'affirme à l'étranger. Michel Dolbec La Presse Canadienne Paris L'écrivain québécois d'origine haïtienne, Dany Laferrière, a remporté mercredi le Prix Médicis pour L'énigme du retour, son 19e ouvrage publié au Québec par les Éditions Boréal et en France par Grasset. Le romancier l'a emporté dès le premier tour de scrutin par quatre voix contre une à Justine Lévy pour Mauvaise fille et une autre à Alain Blottière pour Le Tombeau de Tommy.Le nom du lauréat a été dévoilé dans un restaurant de la Place de l'Odéon, envahi par les médias. Immédiatement, Laferrière a été happé par un tourbillon d'interviews, qui risque de durer un bon moment. «Un prix, c'est une fête, a déclaré Laferrière, quelques minutes plus tard. Ma vie d'écrivain, c'est une intimité qui se nourrit d'abord d'angoisse et d'inquiétude. Le prix ne peut que me sortir de cette zone d'angoisse, légèrement, mais pas plus. Ça va durer deux jours.» Dany Laferrière est ravi d'avoir décroché le Médicis, prix prestigieux qui nourrit, souligne-t-il, un «certain sens du risque». «Je ne pouvais rêver meilleur prix pour ce livre-là», a-t-il dit en parlant de L'énigme du retour, dans lequel s'entremêlent les rythmes et les formes d'écriture. Mais le romancier garde la tête froide. «Un prix, ça ne change pas la vie d'un écrivain, du moins si on s'en tient à la littérature. C'est mon 19e ouvrage: c'est trop tard pour changer», ajoute-t-il avec malice. Dany Laferrière est le deuxième écrivain québécois à remporter le Médicis, après Marie-Claire Blais en 1966 pour Une saison dans la vie d'Emmanuel, et le sixième canadien à se tailler une place dans l'implacable course aux prix littéraires français. Les écrivains canadiens, en l'occurrence des écrivaines, qui ont remporté des prix littéraires en France se comptent d'ailleurs sur les doigts d'une main. Gabrielle Roy avait été la première, elle qui avait décroché le Femina en 1947, pour Bonheur d'occasion. Anne Hébert, qui vivait à Paris, avait eu droit à la même récompense en 1982 pour Les fous de Bassan, tout comme Nancy Houston en 2002 pour Lignes de faille. L'Acadienne Antoine Maillet avait reçu pour sa part en 1979 le plus prestigieux des prix littéraires français, le Goncourt, pour Pélagie la Charrette. http://www.cyberpresse.ca/arts/livres/200911/04/01-918165-dany-laferriere-remporte-le-prix-medicis.php
  8. L'école HEC Montréal fait un constat qui tombe comme une tonne de briques sur le Québec: il souffre d'un «retard économique significatif et chronique» et d'un niveau de vie inférieur comparativement au reste du Canada et aux États-Unis. C'est la principale conclusion qui ressort de l'étude Productivité et prospérité au Québec publié vendredi par le Centre sur la productivité et la prospérité des HEC. Il ne s'agit pas de préjugés mais d'un bilan chiffré pour la période démarrant en 1981 et se terminant en 2008. Le produit intérieur brut québécois a crû de 73%. Pendant ce temps, celui des voisins ontariens s'accroissait de 112%, celui de l'ensemble du Canada de 105% et celui des États-Unis de 120%. Cela a fait reculer le poids économique du Québec de 3,5 points à 18,8% de 1981 à 2008. Pourtant, le poids démographique de la province allait reculer plus lentement, soit de 3,1 points à 23,3% à la fin de la même période... HEC calcule que le niveau de vie par habitant se situait à 38 897,99 $ en 2008 au Québec, ce qui est seulement 85,5% des 45 471,82 $ constatés en Ontario. L'étude note qu'un écart grandissant se creuse entre le Québec et les autres territoires recensés. Le rapport ne dépeint pas une province qui vit dans la misère. Toutefois, il avertit qu'«en dépit du fait que sa population jouit d'une qualité de vie qui peut être enviable, le Québec est néanmoins en perte de vitesse par rapport à ses voisins immédiats.» Le coeur du problème se trouve dans les gains de productivité, disent les HEC. Au sein des 20 membres de l'OCDE, seule la Suisse enregistre un gain inférieur à celui du Québec. Les États-Unis et le Canada se trouvent dans les bas fonds avec le Québec sur cet aspect. HEC estime que le problème de productivité se situe principalement dans les services. Ces derniers sont le principal moteur de croissance en matière de productivité et c'est là où le Québec est en retard, notamment dans le commerce de gros et le transport. Robert Gagné, directeur du Centre sur la productivité et la prospérité, blâme le phénomène sur un environnement qui ne favorise pas une plus grande efficacité. Il s'attarde à la technologie, à la formation, à la fiscalité et à la réglementation. Il ne tient toutefois pas des propos comparables à ceux de l'ancien premier ministre Lucien Bouchard, qui affirmait que les Québécois pourraient passer plus de temps au boulot. Et ce même s'ils travaillent 73 heures de moins par année que les Ontariens. «Cette faible productivité n'a pas sa raison d'être, dit M. Gagné. On peut faire le choix de ne pas travailler ou de moins travailler. Par contre, lorsqu'on est au travail, on ne peut pas faire le choix d'être moins productif.» Le directeur reconnaît qu'il ne peut pas proposer de solutions concrètes pour l'instant. «Les solutions viendront, je l'espère, des recherches que mènera le Centre au cours des prochaines années en matière de capital humain, des comportements des entreprises et de politiques publiques.» Étude : http://expertise.hec.ca/centre_productivite_prosperite/wp-content/aa-2008-01_bilan-1981-2008_fra_sept-2009_final_web.pdf Source: http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2009/09/20090925-123051.html
  9. Mis à jour aujourd'hui à 8h01 --------------- Publié le 12 août 2009 à 05h45 | Mis à jour à 08h01 Le secteur du stade passe au vert En plus de la Ville, la Régie des installations olympiques prendra aussi des initiatives dans le secteur. «C'est trop bétonné à notre goût, dit Sylvie Bastien, porte-parole de la RIO. Ça pourrait faire un lien visuel vert.» Avec l'apport de la RIO, le projet dépassera les 200 millions d'investissements. Éric Clément La Presse La Ville de Montréal, les Muséums nature de Montréal ainsi que les gouvernements fédéral et provincial lanceront en septembre un ambitieux projet à la fois touristique, muséal et écologique appelé le Quartier de la vie, a appris La Presse. Le secteur du Jardin botanique et les abords du Stade olympique seront reliés par une «immense place publique interactive». Le projet total est évalué à 189 millions de dollars. Cinq institutions en feront partie: le Biodôme, le Jardin botanique, le Planétarium et l'Insectarium, de même que le futur Centre sur la biodiversité. Le Quartier de la vie aura pour but de prolonger la mission des quatre muséums, soit de faire connaître et apprécier les sciences de la nature et la nature elle-même aux générations présentes et futures. Ces quatre muséums représentent déjà le plus grand complexe muséal de sciences naturelles au Canada. Le Quartier de la vie sera une expérience sociale et environnementale inédite pour le visiteur. «Rien à voir avec du show-business ou des activités commerciales habituelles, nous dit une source proche du concepteur. Les activités seront en phase avec les valeurs fondamentales des gens, pour qu'ils se reconnectent avec la nature et pour que, à terme, un citoyen qui trouve un papier par terre le ramasse même si ce n'est pas le sien.» La place publique qui sera créée partira de la station de métro Viau et se prolongera près du Biodôme et du nouveau Planétarium, qui sera construit d'ici à l'été 2011 au pied de la tour du Stade olympique. Elle se rendra ensuite jusqu'au Centre sur la biodiversité, près du Jardin botanique, en passant sous la rue Sherbrooke. «Il s'agira de la première place publique mondiale dédiée à l'humain et à la nature», nous dit la même source. Ce ne sera pas une place comme les autres. On n'y trouvera pas de parasols, de tables ou de chaises en plastique. Le lieu rendra hommage à la nature, et les citoyens pourront l'aménager à leur façon, par exemple... en déplaçant des «arbres sur roulettes» ou en érigeant des bâtiments écologiques. Le touriste pourra s'approprier les lieux et participer au façonnement de la place, qui évoluera dans le temps au gré des initiatives et des réalisations des visiteurs. Parmi les aménagements qui pourraient être bâtis, on pourrait, par exemple, construire des restaurants sur pilotis en bambou, pour que même les concessions alimentaires soient conformes à l'esprit des lieux. «La facture sera toujours inusitée et audacieuse», nous dit-on. On prévoit que 2,7 millions de personnes participeront chaque année à l'expérience. Le projet lancé par les Muséums nature est coordonné avec la Régie des installations olympiques puisqu'il s'agit de ses terrains. La RIO prendra aussi des initiatives dans le secteur. L'esplanade de béton située au coin du boulevard Pie-IX deviendra verte dans la deuxième phase du projet. «C'est trop bétonné à notre goût, dit Sylvie Bastien, porte-parole de la RIO. Ça pourrait faire un lien visuel vert.» Avec la RIO, le projet total dépassera les 200 millions. L'investissement consenti par la Ville, soit 189 millions, proviendra du programment triennal d'immobilisations et de subventions fédérales et provinciales. La somme comprend les coûts de construction du Planétarium (33 millions) et du Centre sur la biodiversité (24,5 millions), la création de la place publique (30 millions) et les coûts liés à la mise aux normes et à l'amélioration des muséums nature. Ainsi, on créera au Biodôme un nouvel écosystème consacré à l'humain, «une espèce en équilibre avec la nature, essentielle à sa survie». À l'Insectarium, les visiteurs pourront défier leurs peurs et vivre des expériences «d'immersion entomologique» afin d'apprendre à mieux vivre avec les insectes. La création du Planétarium est financée par Québec, Ottawa, Montréal et Rio Tinto Alcan, qui donnera son nom à l'édifice moyennant 4 millions. Quant au Centre sur la biodiversité, les travaux de construction commenceront ces jours-ci près du Jardin botanique. Le bâtiment, voué à la recherche scientifique, à la conservation et à la valorisation de collections biologiques, à la promotion de la préservation des espèces et au transfert des connaissances, sera inauguré l'an prochain. Les élus du comité exécutif ont découvert le projet du Quartier de la vie la semaine dernière et l'ont bien accueilli. «C'est un projet extraordinaire pour le développement de Montréal, nous a dit, hier, un membre de l'administration municipale. Il va permettre la mise en valeur de tout un quartier, au coeur de l'arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, et va grandement contribuer à améliorer la stature internationale de Montréal.» *** Wow !! Intéressant
  10. Montréal parmi les 25 villes ayant la meilleure qualité de vie Agence QMI Julie Charette 23/07/2009 16h11 - Mise à jour 23/07/2009 16h24 Palmarès - Montréal parmi les 25 villes ayant la meilleure qualité de vie Une vue de Montréal Archives En dépit de l'été maussade et de tous les scandales qui l'ont éclaboussé, Montréal se hisse au 19e rang mondial des villes ayant la meilleure qualité de vie. Le magazine londonien Monocle publie dans son édition de juillet une liste des 25 meilleures villes où vivre sur la planète. Deux seules villes canadiennes font partie de ce palmarès soit Vancouver en 14e place et Montréal au 19e rang. Le magazine souligne d'ailleurs l'ouverture d'esprit et la joie de vivre des Montréalais. Zurich au premier rang Parmi le top cinq des villes où il fait bon vivre, Zurich rafle le premier rang grâce à son excellent service de transport en commun et ses sévères mesures environnementales. Suivent dans l'ordre Copenhague, Tokyo, Munich et Helsinki. La seule ville américaine qui trouve grâce aux yeux de Monocle est Honolulu, au 11e rang. L'an dernier, Minneapolis et Portland avaient aussi une place dans ce club sélect. Monocle analyse des critères comme la vie culturelle, les transports publics, l'éducation et les politiques environnementales.
  11. Une femme meurt écrasée par un bloc de béton Catherine Handfield La Presse Une femme de 33 ans est morte ce soir dans le centre-ville de Montréal, écrasée sous un bloc de béton qui s'est détaché du 17e étage d'un immeuble. Le tragique accident est survenu vers 18h, à la résidence Inn Marriott, située sur la rue Peel, à l'angle de l'avenue De Maisonneuve.La victime et son conjoint, également âgé de 33 ans, soupaient au rez-de-chaussé de l'immeuble quand le bloc s'est détaché, a traversé la verrière et terminé sa chute sur la dame. Son décès a été constaté à l'hôpital. Le conjoint, qui a été également blessé, a subi un important choc nerveux. L'homme, dont la vie est hors de danger, a perdu des doigts, selon Olivier Lapointe, porte-parole de la police de Montréal. Les enquêteurs sont sur les lieux pour élucider les causes du drame, qui semblent pour l'instant accidentelles.
  12. Une semaine après la publication de l’indice du bonheur, qui concluait que les Montréalais étaient parmi les plus malheureux au Québec, on apprend aujourd’hui que les citoyens de la Métropole disposeraient d’une des meilleures qualités de vie au monde. Dans un rapport publié ce matin par la firme Mercer, on apprend en effet que la Métropole occupe la 22e position d’un classement de 215 villes en ce qui a trait à la qualité de vie de ses citoyens. «Montréal fait bien sur à peu près tous les facteurs considérés, mais perd toutefois quelque plumes en raison de la rigueur de son hiver», explique Georges cabana, conseiller principal chez Mercer. Fait à noter, cette 22e position ne constitue pas une amélioration pour la Métropole qui occupait la même position dans la première édition de cette étude, l’année dernière. Montréal n’est par ailleurs pas la seule ville canadienne à avoir fait bonne figure dans cette étude. Le document conclut que cinq villes, dont Montréal, se retrouvent dans la tranche supérieure de 15% de l’échantillon mondial. De toutes les villes canadiennes évaluées, c’est Vancouver qui obtient la meilleure note, occupant la 4e position mondiale avec un indice de qualité de vie de 107,4, trois points devant Montréal qui a enregistré une note de 104,2 dans ce même classement. Par la suite, les villes de Toronto (15e), Ottawa (16e), Montréal (22e) et Calgary (26e), complètent le palmarès canadien du sondage. De toutes les villes évaluées, c’est celle de Vienne en Autriche qui a raflé la première position avec un indice de qualité de vie de 108,6, dépassant ainsi Zurich qui occupait la tête du classement l’année dernière. À l’opposé, en raison de son climat politique instable et des nombreux attentats qui s’y produisent, c’est la ville de Bagdad qui occupe la dernière position du classement avec un indice de qualité de vie de 19,6. Pour arriver à ce classement final, la firme Mercer évalue les conditions de vie selon 39 facteurs. On compte notamment l’environnement politique et social, l’environnement économique et socioculturel, la santé et l’hygiène ainsi que les divertissements disponibles dans chaque ville étudiée.
  13. "Le maire de Longueuil, Claude Gladu, a annoncé hier qu’il ne sera pas candidat à la prochaine élection municipale, le 1er novembre prochain. Son collègue, le vice-président du Parti municipal de Longueuil (PML), Jacques Goyette, prendra sa relève en tant que chef du parti et il devrait faire face à l’ex-députée bloquiste Caroline St-Hilaire à l’élection. Conseiller municipal depuis 1982, M. Gladu a été maire de Longueuil de 1994 à 2001, pour ensuite occuper le poste de président de l’arrondissement du Vieux-Longueuil de 2002 à 2005. Élu maire à nouveau le 6 novembre 2005, il aura eu une vie politique active de 27 ans." http://www.journalmetro.com/linfo/article/215616--la-parole-a-claude-gladu-maire-demissionnaire-de-longueuil J'aimais bien M. Gladu. Il a 69 ans, je pense qu'il voulait prendre sa retraite. Je l'ai recontré à plusieurs reprises, il était un supporteur de mon organisme culturel, c'était un bon gars et un bon politicien. Merci Claude!
  14. Ma préférée du gouv. Charest s'en va ----------------- Politique Monique Jérôme-Forget annonce son départ La Presse Canadienne 08/04/2009 09h33 - Mise à jour 08/04/2009 10h03 Monique Jérôme-Forget démissionne de ses fonctions ministérielles de même que de son poste de députée de Marguerite-Bourgeoys. L'annonce a été faite par Mme Jérôme-Forget elle-même, ce matin, à l'Assemblée nationale, en présence du premier ministre Jean Charest, qu'elle a qualifié d'ami à vie. La ministre des Finances et ministre responsable des Infrastructures entend désormais se consacrer à sa vie familiale. Elle a souligné qu'elle avait décidé depuis un certain temps de quitter la politique. Quant au premier ministre Charest, il a dit être très ému par le départ de Mme Jérôme-Forget. Il a souligné la longue carrière politique de sa fidèle alliée, qui s'étale sur plus de 40 ans. Il a aussi noté la difficulté des mandats que sa ministre a néanmoins accepté de relever au gouvernement du Québec. Elle a été élue pour une première fois à l'Assemblée nationale aux élections générales du 30 novembre 1998. Mme Jérôme-Forget devrait tenir une conférence de presse en après-midi dans sa circonscription de Marguerite-Bourgeoys, dans l'arrondissement LaSalle, à Montréal.
  15. Stephen Jarislowsky: la nature humaine guide la finance Publié le 21 février 2009 à 11h50 | Mis à jour à 11h57 Philippe Mercure La Presse Il a vécu en Allemagne, aux Pays-Bas, en France, aux États-Unis. Il a débusqué les nazis au Japon pour les services secrets américains. Il a étudié le génie, les affaires, la culture asiatique. Il est devenu milliardaire, a combattu les abus du monde de la finance, n'a jamais craint la controverse. Et à 83 ans, Stephen Jarislowsky semble incapable de s'arrêter. «Me reposer? Je me repose assez. Pas besoin de me reposer plus.» «On a vécu comme des chiens qui pouvaient manger autant qu'ils le voulaient. Un chien va manger tout ce qui est devant lui, même si ça le rend malade. On a fait exactement la même chose.» Voilà comment Stephen Jarislowsky, président du conseil, président et directeur de la firme d'investissement Jarislowsky Fraser, explique la crise financière qui secoue actuellement la planète. Sa liste de coupables est longue. Certaines banques «ont fait beaucoup trop de spéculation» sans avoir les capitaux pour soutenir leurs acrobaties, constate-t-il. Mais M. Jarislowsky blâme aussi les consommateurs qui ont «trop dépensé et ont cédé à l'appât du gain». Cette crise, dont il avoue n'avoir pas su prédire l'ampleur, le désole. «J'ai vécu ma jeunesse pendant la Dépression et on dirait bien que je vais finir mes jours dans le même contexte. Ce n'est pas amusant, ça. Ça veut dire qu'en l'espace d'une vie comme la mienne - plus de 80 ans -, l'être humain est resté aussi idiot.» Derrière les énormes lunettes, le regard est perçant. Le bureau de Stephen Jarislowsky est rempli de plantes qui étendent leurs feuilles dans toutes les directions. À l'une des branches pend un singe en peluche. Des peintures sont accrochées aux murs, rappelant que le financier est aussi un grand amateur d'art. La nature humaine, explique l'oracle, carbure à la peur et à l'appât du gain. Et c'est l'alternance de ces deux émotions qui explique les cycles économiques. «Ça m'étonne qu'on n'enseigne pas la nature humaine dans les écoles, dit-il. Si elle ne change pas, ça serait pourtant facile!» Et vous, M. Jarislowsky, vous avez toujours su résister à la peur et à l'appât du gain? «Toujours», répond le milliardaire. Et vous n'avez aucun regret? «Aucun.» Si Stephen Jarislowsky est un homme rongé par les remords, disons qu'il cache bien son jeu. «Je suis fier du fait que j'ai vécu une vie qui me plaît, dit-il. J'ai apporté, peut-être, un peu de bien ici et là. J'ai gagné le respect de la société dans laquelle je vis. Je suis bien accepté dans les sociétés ethniques et dans les deux cultures du Canada.» Liberté chérie Celui qu'on a appelé «la conscience du milieu financier» rappelle qu'il a créé 21 chaires de recherche universitaire et qu'il est à l'origine de l'Institut sur la gouvernance des organisations publiques et privées, qui combat les abus du monde de la finance et défend les droits des petits actionnaires. A-t-il fait des erreurs de parcours? «On fait toujours des erreurs, dit-il. J'ai fait de très grandes erreurs dans ma vie. D'abord, mon premier mariage et le fait que je n'ai pas pu éduquer mes deux fils. Et puis j'ai fait beaucoup d'erreurs d'investissement, surtout récemment avec les actions d'entreprises financières.» À 83 ans, que lui reste-t-il à accomplir? Il répond en décrivant de nouvelles batailles qui s'inscrivent dans la guerre qu'il mène depuis des décennies. «Récemment, j'ai été responsable du fait que certains présidents de banques n'ont pas accepté de prime à la fin de l'année. Je leur ai dit: «Messieurs! Vous allez le regretter si vous acceptez ces primes-là. Ça va être très mal vu.» Ils ont compris - sauf un ou deux.» Comment peut-il faire la leçon aux PDG alors qu'il est lui-même l'un des hommes les plus riches au Québec? La question le fait bondir. «On n'est plus dans le vieux Québec où quelqu'un qui fait de l'argent est un voleur», lance-t-il. S'il est riche, c'est qu'il a fondé lui-même sa propre compagnie et qu'elle a eu du succès, explique-t-il. «Mon salaire a toujours été très bas - il n'a jamais dépassé 32 000$. Et les taux de Jarislowsky Fraser sont les plus bas de toute l'industrie», dit celui qui a fait fortune avec ses actions. Son rapport à l'argent? «L'argent vous donne la liberté de vous exprimer et de faire tout ce que vous voulez, dit-il. Aussitôt que vous faites ce que vous voulez, l'argent n'a plus aucun but. Je n'ai pas besoin de yacht ou d'avion privé. Je conduis ma propre voiture - j'ai gardé la dernière pendant 18 ans!» Stephen Jarislowsky n'a donc jamais cherché à être riche? «Mon but était de devenir assez riche pour avoir cette liberté, dit Stephen Jarislowsky. Liberté! Liberté chérie! Combats avec tes défenseurs!» s'écrie-t-il tout à coup. Oui, la crise financière est désolante. Et Stephen Jarislowsky, malgré des décennies consacrées à instaurer un peu d'éthique dans le monde de la finance, admet qu'il n'a pas réussi à corriger la nature humaine. Mais ce n'est pas ce qui l'empêchera de déclamer La Marseillaise dans son bureau en rigolant. La Caisse de dépôt et placement «Ils ont essayé de rivaliser avec Teachers'. Ils ont acheté toutes sortes de choses, la gestion du risque n'était pas suffisante. Il n'y avait pas assez de personnes au conseil d'administration qui comprenaient l'investissement fiduciaire.» «Les caisses de retraite en général ont fait de la spéculation, elles ont acheté toutes sortes d'investissements qu'on n'achetait jamais auparavant, quand on gérait en bon père de famille - ce qui est quasiment la seule façon de gérer les fonds qui appartiennent à d'autres, surtout les caisses de retraite.» L'issue de la crise «La seule chose qui peut nous sauver, c'est l'inflation. Moi, je déteste l'inflation, mais là, on n'a pas le choix. Si on a de la déflation, le prix des maisons et des actions va baisser encore.» M. Jarilowsky se prononce aussi en faveur d'investissements massifs dans les infrastructures et propose que les gouvernements rachètent les actifs toxiques des banques. Barack Obama «Je ne sais rien de ce bonhomme-là, c'est une question qui reste ouverte. Au moins, il essaie de prendre une direction un peu différente de George W. Bush. Mais, pour le moment, il n'a pas accompli grand-chose, sauf peut-être Guantánamo.» Ses prises de position politiques «Pour moi, c'est évident que, si vous êtes citoyen d'un pays démocratique, vous dites ce que vous avez à dire. J'ai eu la chance d'avoir une bonne éducation. Et si on apprend quelque chose, il faut quand même l'utiliser pour faire du bien à la société.» Sa pensée politique «Je ne suis pas un homme de droite. Je me trouve un peu à gauche du milieu.» * * * Une vie bien remplie Stephen Jarislowsky est né à Berlin en 1925. Peu après la mort de son père, sa mère prend la décision de l'envoyer aux Pays-Bas avec son frère et sa soeur alors qu'il n'a que 5 ans. La famille se réunit à nouveau en 1937 à Paris, puis s'installe à Aix-en-Provence, dans le sud de la France. Au début de la Deuxième Guerre mondiale, la famille quitte l'Europe pour s'installer aux États-Unis. Stephen Jarislowsky fait ses études en génie mécanique à l'Université Cornell avant d'être recruté par l'armée américaine à l'âge de 19 ans. L'armée l'envoie à l'Université de Chicago pour y apprendre le japonais, puis à Tokyo, où il travaille pour les services de renseignement. L'un de ses rôles: interroger les Allemands pour déterminer lesquels sont des nazis qui doivent être expulsés. De retour aux États-Unis en 1946, Stephen Jarislowsky fait des études en histoire et culture orientales, puis décroche un MBA à Harvard. Il est embauché par Aluminium Limited (l'ancêtre d'Alcan) et s'installe à Montréal. Il quitte tout quelques années plus tard pour aller diriger l'entreprise de sa belle-famille à New York, puis revient à Montréal où il décide de se lancer en affaires. Buanderie à Laval, fonds communs axés sur les pétrolières, il tâte de tout avant de mettre 100$ dans une entreprise qui accumule des données financières sur les entreprises et les revend à des investisseurs. Jarislowsky-Fraser, une firme qui gère aujourd'hui des actifs d'environ 42 milliards pour une large gamme de clients privés et institutionnels, est née.
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  20. Source: Cyberpresse Nouvelle signalisation dans le Vieux-Montréal Une nouvelle signalisation sera installée dans le Vieux-Montréal à l'intention des automobilistes. Plus de 80 panneaux d'affichage électronique seront progressivement installés pour faciliter le stationnement dans ce quartier très achalandé de la métropole.Ces panneaux indiqueront en temps réel le nombre de places disponibles ainsi que l'itinéraire pour s'y rendre. André Lavallée, qui est responsable de l'aménagement urbain à la Ville, estime que ce nouveau système permettra d'améliorer la qualité de vie des résidants tout en aidant les visiteurs à trouver une place de stationnement. Ce système de «jalonnement dynamique» est inspiré d'une technologie très utilisée en Europe, coûtera 1,5 million $ et sera pleinement opérationnel d'ici avril prochain.
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  22. L'annonce devancée de très mauvais résultats par la Sun Life a provoqué une grosse gifle boursière parmi ses pairs. Pour en lire plus...
  23. La compagnie d’assurance vie de Winnipeg a indiqué qu’elle détient des obligations de 101 M$ de Lehman Brothers. La valeur des investissements est de 347 M$ envers AIG et ses filiales. Pour en lire plus...
  24. Y a-t-il une vie professionnelle après plusieurs années passées dans le giron rassurant d'une grande entreprise? Oui, répondent des gens qui sont passés par là. Pour en lire plus...
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