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  1. Richmond Condominiums Localisé au coeur de Griffintown, Ã* l'angle de la rue William et de la rue Richmond, le Richmond Condominiums se démarquera par la taille généreuse de ses espaces de vie. Projets de condos a Montreal a venir | Samcon
  2. Vous avez des dettes des litiges financiers et toutes vos tentatives dans les banques et institutions financier n'a rien donné jusque là à cause de votre mauvais crédit ou autre alors contactez moi et en moins de 48 h à un taux raisonnable de 2,5% l'an et sur le temps de remboursement qui vous conviens je vous offre le prêt qui vous sauve la vie. Mon mail: bripilotta@gmail.com
  3. Des clins d'oeil a Montreal chez soi | Andre Laroche | Design Publié le 06 janvier 2017 à 11h00 | Mis à jour le 06 janvier 2017 à 11h00 Des clins d'oeil à Montréal chez soi Neige sur Montréal PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE André Laroche collaboration spéciale Une aquarelle de la carte géographique de Montréal? Des images encadrées de lampadaires typiquement montréalais? Grâce à des oeuvres de designers montréalais, on peut faire de jolis clins d'oeil à la métropole dans son décor. Cette collection s'appelle « Code Souvenir Montréal ». Elle compte quelque 200 objets créés par 59 artistes d'ici. On y trouve, par exemple, des assiettes de porcelaine ornées d'une simple ligne évoquant un bâtiment emblématique de Montréal, des verres à eau estampés « Saint-Laurent frappé », ou des housses de coussin inspirées des fenêtres distinctives de l'aéroport de Dorval. Loin d'être de simples articles promotionnels, ces objets du quotidien évoquent avec subtilité ou humour les emblèmes de la vie montréalaise : le pont Jacques-Cartier, le Monstre, l'enseigne Farine Five Roses, les escaliers en colimaçon, un bagel, une voiture de métro ou simplement le code YUL. Cette collection a d'abord été lancée en 2010 par le Bureau de design de Montréal, voué à faire connaître les designers et les architectes montréalais. Au départ, elle ne devait servir qu'à rassembler une sélection de cadeaux pour les invités de la Ville et des différentes institutions publiques. Elle a cependant permis aussi une formidable source d'émulation, remarque Béatrice Carabin, commissaire au Bureau du design. «La collection s'est raffinée au fil des éditions, car les designers ont développé une meilleure compréhension du message.» <cite>Béatrice Carabin </cite> Les carrés de soie créés par la designer Claire Papillon Photo fournie par la designer Claire Papillon Le catalogue a également franchi les murs de l'hôtel de ville, suscitant l'engouement des Montréalais eux-mêmes dans les boutiques du Jardin botanique et d'Espace pour la vie. En 2017, certaines de ses pièces seront offertes sous l'étiquette « Code Souvenir Montréal » dans plusieurs boutiques de la ville. L'annonce sera faite dans les prochaines semaines. « C'est un projet qui met en valeur la diversité de la vie montréalaise : son territoire, ses habitudes, sa nourriture... Il remet en lumière des choses très ancrées dans la culture d'ici », croit Mme Carabin. Pots à plante, par Alice in Montréal Photo fournie par Alice in Montréal Ce projet se trouve en droit fil avec la démarche de Claire Papillon. Cette artiste travaillait sur une collection de carrés de soie aux motifs évoquant l'histoire, l'architecture ou les événements marquants de Montréal lorsqu'elle a entendu l'appel du Bureau de design. Le catalogue lui offre une vitrine inespérée. « C'est important de bénéficier d'un tel appui, car nous travaillons tous seuls. Le Bureau nous procure une visibilité collective impossible à créer chacun de notre bord avec nos petits drapeaux », croit-elle. > Accédez au catalogue en ligne
  4. Provenant de La Presse+. http://plus.lapresse.ca/screens/a45ecad0-51d0-4577-b836-0de86525e75d%7C_0.html [h=1]MONTRÉAL EN 91 JOURS[/h]Passer trois mois dans une ville, puis passer à une autre destination. Voilà le mode de vie des deux hommes derrière le blogue For 91 Days, qui ont choisi la métropole pour leur 16e escapade. Nous les avons rencontrés dans un quartier souvent ignoré par les touristes : Saint-Henri. MARIE-EVE MORASSELA PRESSE Mike Powell et Jürgen Horn ne parlent pas français, mais s’ils restaient au Québec assez longtemps, ils diraient probablement d’eux-mêmes qu’ils ont la bougeotte. Le couple s’est rencontré à Boston en 1999, puis s’est installé en Allemagne, en Irlande et en Espagne, où il a habité trois appartements différents dans la seule ville de Valence.« On s’est rendu compte assez rapidement qu’on a une maladie commune qui fait qu’on ne peut rester au même endroit, dit Jürgen. Un jour, on dinait et on a parlé de changer encore d’appartement. On s’est rendu compte qu’il fallait faire quelque chose d’autre. »Les déménagements successifs sont devenus le nouveau mode de vie des deux hommes. En séparant l’année en quatre, il leur est apparu que passer 91 jours dans chaque ville serait l’idéal. Ils ont tout vendu ce qu’ils avaient et leur vie de nomade a commencé, consignée sur leur blogue For 91 Days.Ils choisissent leurs destinations au gré de leurs envies et non selon les invitations des offices de tourisme. « On ne veut pas être en dette, avoir la pression de tout aimer », précise Jürgen. La publicité sur leur blogue leur permet de faire un peu d’argent, mais tous deux sont des travailleurs autonomes en informatique. « Le blogue, on le voit comme un passe-temps. Si c’était une entreprise, ça changerait la manière dont on le fait », croit Mike.Montréal est leur 16e destination, après Tokyo, Istanbul, Buenos Aires et Savannah, notamment. « On décide où on va selon l’argent qu’on a et la météo. Pour Montréal, la météo est un pari qu’on a perdu ! », dit Mike en riant. Arrivés dans la métropole en avril, ils ont découvert avec effarement que la neige pouvait tomber à la mi-mai. « On a visité beaucoup de musées, mais on commençait à avoir hâte de découvrir la ville de l’extérieur », disent-ils.LA COHUE PRINTANIÈRE Déjà, ils constatent que, contrairement à certains endroits où l’on se réfugie à l’air climatisé dès que la chaleur se fait trop sentir, les Québécois se ruent dehors dès que le mercure grimpe.« Lundi, on a loué une voiture pour aller au mont Saint-Hilaire et on s’attendait à une journée tranquille. Nous ne savions pas que c’était une journée de congé… On a été pris dans le bouchon pour y aller, puis il y a eu de la congestion une fois sur la montagne tellement il y avait de gens ! »En plus de la congestion routière, Montréal leur a fait d’autres surprises. La ville est plus étalée que ce qu’ils avaient imaginé, le festival Chromatic – découvert au hasard d’une promenade – les a charmés et s’ils avaient à choisir un quartier où habiter, ce serait dans la Petite Italie.Mais ils quitteront Montréal à la fin du mois de juin. Le couple est aujourd’hui propriétaire d’un appartement à Valence et se repose à la maison entre deux voyages. Le nomadisme, c’est bien, tant qu’on peut en revenir de temps en temps.Les coups de cœur des blogueursJÜRGEN« J’ai beaucoup aimé aller à la cabane à sucre. La bouffe était super bonne, la météo était parfaite ! »MIKE« Nous sommes allés voir un match du Canadien. Nous étions dans la dernière rangée en haut, ils ont perdu 4 à 1, mais j’ai beaucoup aimé ça ! » Ce texte provenant de La Presse+ est une copie en format web. Consultez-le gratuitement en version interactive dans l’application La Presse+.
  5. Découvrez très bientôt le Prescott condos services, relié à la résidence pour retraités Chartwell Le Prescott, un immeuble de grande qualité comprenant 68 unités résidentielles ergonomiques, alliant modernité, chaleur et souvenir du passé ferroviaire de la région Vaudreuil-Dorion. De plus, les copropriétaires pourront profiter à leur guise des espaces communs et des services du Chartwell Le Prescott. Voilà un investissement solide et durable à la hauteur de votre train de vie. http://www.leprescottcondos.ca/
  6. Cher monsieur Coderre en ce qui concerne les réfugiés: Question qualité prix c'est pas mal mieux a Toronto.En plus le federal payent 80% de leurs salaires. Ton copain Dorais va etre la seulement 3 mois ouaip pas fort tant qu'a y etre il ne serait pas la et ca ne changerai pas grand chose. http://www.lapresse.ca/actualites/201512/11/01-4930118-refugies-quatre-employes-a-toronto-pour-le-prix-dun-a-montreal.php Problemes majeurs ici au Quebec les immigrants ne restent pas ici. Pas de jobs pour eux. On leur compliquent la vie pour obtenir un permis de conduire. On leur bloque le chemin pour les jobs avec les ordres professionnel qui creer de la rareté artificiel de main d'oeuvre.
  7. C’est avec une grande fierté que Réseau Sélection annonce le développement de son 26e complexe pour retraités, le Vice Versa Châteauguay. La construction de ce complexe de plus de 300 appartements vient tout juste de débuter et sera prêt à accueillir ses premiers résidents à l’été 2016. Il s’agit d’un investissement d’environ 45 M $ qui permettra la création d’une trentaine d’emplois dans la région. Deuxième cuvée du concept Vice Versa, le complexe de Chateauguay proposera notre nouvelle offre d’habitation unique qui offre des appartements pour aînés avec services et d’autres sans services. Cette offre diversifiée permet de répondre de façon plus précise aux différents besoins de la clientèle tout en s’assurant que chacun y trouve son compte ! Les aînés désirant vivre dans un cadre de vie plus structuré seront comblés par le complexe avec services tandis que les retraités qui recherchent plutôt un milieu de vie sans toutes les commodités d’une résidence pour aînés apprécieront les appartements sans service. Répartis dans deux tours, le Vice Versa Châteauguay comptera 303 appartements au total, dont 199 avec services et 104 sans services. http://reseau-selection.com/residence/vice-versa-chateauguay/
  8. http://cbgcondos.com/ Quartier Profitez de la vie dans un des secteurs les plus en vogue de Montréal. Niché à côté du centre-ville, vos déplacements seront des plus aisés et vous pourrez ainsi bénéficier pleinement de la vie culturelle de la métropole. L’arrondissement Rosemont La-Petite-Patrie est reconnu tant pour sa tranquillité que pour l’accès à une gamme de services des plus variés. Les espaces verts y sont nombreux, la circulation automobile réduite et le transport en commun est multimodal et accessible à pied (bixi, autobus, métro) . Édifice 3 étages avec mezzanine comportant un espace commercial de 3 500 pi.ca. et 22 unités de condos : Des unités aux espaces bien dessinés et généreusement fenestrés. Terrasse commune en mezzanine avec toiture verte pour contrer l’effet d’îlot de chaleur. Stationnements intérieurs disponibles incluant également des espaces pour vélos et des espaces de rangement. Systèmes de contrôle d’accès, d’alarme et de protection d’incendie pour la sécurité.
  9. Avantage Montréal et le Québec Le faible coût de la vie et des services publics compense amplement les impôts plus lourds 4 février 2015 |Éric Desrosiers | Actualités économiques Photo: Maridav / iStock Le coût de la vie est généralement beaucoup plus bas au Québec qu’en Ontario, en Alberta ou aux États-Unis, même lorsqu’on tient compte de sa fiscalité plus lourde, conclut une étude. Caractérisée notamment par des services publics à bas coût et une fiscalité plus lourde mais progressive, Montréal s’avère nettement plus abordable que Toronto pour les 19 types de ménages analysés, constatent deux économistes de l’UQAM dans une étude d’une trentaine de pages réalisé pour le compte de la CSN. La métropole québécoise fait mieux également que Calgary, à l’exception des familles à revenu plus élevé qui n’ont pas d’enfant à la garderie ou à l’université. Il en coûte aussi nettement moins cher de vivre dans la ville américaine de Philadelphie pour les ménages plus riches, en raison de la fiscalité, mais aussi en raison de l’éclatement de la bulle immobilière aux États-Unis. Combinant le fardeau fiscal au coût d’un panier de biens et services, l’étude montre qu’un couple avec un seul enfant inscrit à l’université et un revenu annuel de 60 000 $ fait face, dans la région montréalaise, à un coût de la vie global de 55 700 $ par année, soit 4300 $ de moins que dans la région de Calgary, 9400 $ de moins que dans celle de Toronto et 12 000 $ de moins qu’à Philadelphie. L’avantage montréalais se révèle nettement plus marqué pour un couple avec un enfant inscrit à la garderie (CPE) qui gagne seulement 35 000 $ par année, à raison d’un coût de la vie de 33 800 $, soit 12 800 $ de moins qu’à Calgary, 16 000 $ de moins qu’à Toronto et 16 800 $ de moins qu’à Philadelphie. Le Québec se démarque moins à l’autre bout du spectre des tranches de revenus analysées, puisqu’un couple ayant deux enfants dont un inscrit à l’université et gagnant 160 000$ par année fait face à des coûts globaux de 166 500 $ dans la métropole québécoise, soit 3600 $ de plus qu’à Calgary, 24 700 $ de plus qu’à Philadelphie, mais encore et toujours 28 300 $ de moins que dans la région de Toronto. Logements, garderies, universités… Pour cette étude, les professeurs Jean-Denis Garon et Dalibor Stevanovic, du Département de sciences économiques de l’UQAM, se sont basés sur des chiffres produits par Runzheimer International, une firme de consultants habituée de comparer le coût de la vie dans les villes américaines pour aider les entreprises à fixer leur rémunération. Le panier de biens et services a été établi en fonction des habitudes de chaque type de ménage. Il comprend les coûts de logement — comme locataire pour les ménages au revenu égal ou inférieur à 60 000 $, ou comme propriétaire pour les autres — de transport et de consommation courante (alimentation, vêtements, ameublement, loisirs) ainsi que les frais de santé, de scolarité et de garderie. La charge fiscale comprend l’impôt sur le revenu, les taxes à la consommation et les taxes foncières. On estime ainsi que, pour se loger, il en coûte en moyenne 18 900 $ par année à un couple ayant un enfant et un revenu annuel de 88 000 $ dans la proche banlieue de Montréal, soit 5500 $ de moins que dans des quartiers équivalents à Calgary, 10 000 $ de moins qu’en banlieue de Toronto, mais 4700 $ de plus que dans celle de Philadelphie. Le même couple devra débourser 1540 $ à Montréal pour voir son enfant à la garderie et 2371 $ à l’université, soit beaucoup moins qu’à Calgary (+7800 $ et +3400 $), Toronto (+9000 $ et +3400 $) et Philadelphie (+10 700 $ et +9700 $). « Nous utilisons ces paniers de biens et services comme outils de comparaison, a expliqué mardi au Devoir Jean-Denis Garon. Dans certains cas, comme les frais de garderie ailleurs qu’au Québec ou l’assurance santé pour les moins nantis aux États-Unis, on sait bien que leurs coûts deviennent proportionnellement tellement prohibitifs que les gens doivent y renoncer. » Impôts plus élevés Les écarts sont si grands en matière de coûts de santé, entre le Canada et les États-Unis, et en matière de frais de garderie, entre le Québec et le reste de l’Amérique du Nord, observent les auteurs de l’étude, que la récente réforme de la santé adoptée sous l’égide du président américain Barack Obama et l’augmentation des tarifs de garderie par le gouvernement québécois de Philippe Couillard ne risquent pas de réduire vraiment l’avantage québécois. « Il faut noter aussi que nous ne tenons pas compte, dans notre comparaison, de la qualité des services offerts », ajoute Dalibor Stevanovic. La fiscalité plus lourde au Québec permet aux autres de le rattraper en matière de coût de la vie, mais pas complètement. Généralement plus progressive qu’ailleurs, la charge fiscale totale pour un couple ayant un seul enfant à la garderie et un revenu annuel de 35 000 $ s’élève à 4400 $ au Québec, soit 2800 $ de plus qu’en Alberta, 1300 $ de plus qu’en Ontario et 1500 $ de plus qu’en Pennsylvanie. L’écart se creuse au sommet de l’échelle des revenus, car un couple ayant deux enfants dont un à la garderie et gagnant 160 000 $ par année doit retourner aux gouvernements 76 100 $ à Montréal, soit un peu plus qu’à Toronto (-4000 $) et bien plus qu’à Calgary (-18 700 $) et Philadelphie (-26 800 $). Loin de l’enfer Ce portrait de la situation n’est pas tellement différent d’un autre que la CSN avait elle-même réalisé il y a une dizaine d’années, a d’abord remarqué mardi, en entretien avec Le Devoir, le trésorier de la centrale syndicale québécoise, Pierre Patry. Il arrive aussi à point nommé, ajouté le syndicaliste, qui venait de passer la journée en commission parlementaire, où on étudiait une fournée d’augmentations de tarifs et de réformes de l’État québécois proposées par le gouvernement Couillard. « Cette étude nous alerte sur l’importance de ne pas régresser. Dans le contexte actuel, où le gouvernement du Québec passe au peigne fin l’ensemble des programmes gouvernementaux et la fiscalité, nous pensons qu’il faut avancer avec prudence et surtout se poser la vraie question : quelle sorte de fiscalité voulons-nous pour financer quelle sorte de politiques publiques ? Si tout est toujours perfectible, il faut quand même constater que le Québec est loin d’être l’enfer que certains disent. » Voir aussi le tableau au lien http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/430818/avantage-montreal-et-le-quebec
  10. Allez Mark, chiale que ce n'est pas assez bon! Toronto et Montréal sont les meilleures villes où vivre, selon «The Economist» Toronto et Montréal ont beau alimenter une rivalité, il n'en demeure pas moins que ce sont deux villes formidables où habiter. Du moins si on se fie à un récent classement de The Economist. Le Economist's Intelligence Unit (EIU) Safe Index 2015, publié lundi, classe les villes majeures de partout dans le monde en fonction de différents aspects liés à la sécurité. Toronto s'y trouve au 8e rang et Montréal, au 14e. Mais lorsque The Economist compile les résultats de ses différents classements, c'est-à-dire dans son «index des index», la ville de Toronto apparaît alors au sommet du classement, suivie de Montréal. The Economist fait son calcul global en se basant sur trois classements au niveau des villes (sécurité, qualité de vie et coût de la vie) et trois classements au niveau du pays (environnement des affaires, démocratie et sécurité alimentaire). Comme le rapport l'indique, le choix d'une ville où s'établir reste un choix bien personnel. «Décider de la ville où s'établir est un choix personnel. Pour certains, la sécurité sera primordiale. D'autres mettront l'accent sur la culture et la créativité. Deux voisins peuvent avoir des visions opposées sur la démocratie ou le coût de la vie», peut-on lire dans le document. http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/01/29/classement-meilleures-villes-the-economist-toronto-montreal_n_6571982.html
  11. GDS

    Le Namur (2017)

    Le projet « Le Namur » est situé cœur du quartier « Le Triangle » dans l’arrondissement Côtes-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce. Situé à proximité de trois stations de métro (Namur, de la Savane et Plamondon), les Habitations Trigone, en partenariat avec Le Fonds immobilier de solidarité FTQ, sont fiers de vous présenter ce tout nouveau projet TOD (Transit-Oriented Developement). D’une architecture urbaine et épurée, nous vous offrons un magnifique bâtiment de 10 étages comportant 176 unités. Le bâtiment sera composé de studios ainsi que d’unités avec une ou deux chambres de façon à desservir les diverses clientèles composées entre autres d’étudiants, de jeunes professionnels et de jeunes familles. De plus, il comportera deux niveaux de stationnement souterrain ainsi que plusieurs caractéristiques afin de répondre au style de vie actif des locataires et leur donner plus de confort. Le plan de développement du quartier « Le Triangle », par l’arrondissement Côtes-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce, vise non seulement à augmenter l’offre résidentielle dans ce secteur mais également l’ajout d’espaces verts, de pistes cyclables et de nouveaux commerces à proximité. http://www.habitationstrigone.com/fiche_projet/namur/
  12. http://ici.radio-canada.ca/emissions/c_est_pas_trop_tot/2014-2015/chronique.asp?idchronique=358943 Vivre en ville ou en banlieue, dans la chronique de François Cardinal Vivre en ville ou en banlieue, dans la chronique de François Cardinal Photo : Cadillac Fairview / iStockphoto Contrairement aux prévisions, les baby-boomers ne semblent pas vouloir revenir s'installer plus près du centre-ville, observe le chroniqueur François Cardinal. Cette nouvelle donne pourrait non seulement ralentir le « boom des condos », mais aussi l'aménagement des banlieues. « On n'a peut-être pas envie à 65 ans d'une vie urbaine trépidante », soumet M. Cardinal comme hypothèse. Il faut dire que beaucoup de familles choisissent de s'établir en périphérie, notamment à cause du prix des maisons. Leurs parents, les baby-boomers, font donc peut-être le choix de rester près de leurs petits-enfants, ajoute le journaliste sent via Tapatalk
  13. MONTRÉAL - En l'honneur de Jean Béliveau, décédé le 2 décembre, la Banque CIBC a allumé les lumières de certains étages de son siège social de Montréal de façon à former le chiffre 4, soit le numéro porté par l'ancien célèbre capitaine des Canadiens de Montréal. Les quatre côtés du gratte-ciel situé sur le boulevard René-Lévesque, visible d'un peu partout au centre-ville, étaient illuminés de cette façon, samedi soir. «M. Béliveau était l'un des meilleurs joueurs de tous les temps, mais aussi un homme exceptionnel qui a embelli la vie de bien des gens dans la province et au Canada, a déclaré Victor Dodig, président et chef de la direction de la Banque CIBC, dans un communiqué. Nos employés cherchaient une façon appropriée de lui rendre hommage.» L'homme derrière cette idée est Luc Grenier, un conseiller en placement. http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/canadiens/archives/2014/12/20141206-220113.html
  14. LAVAL, QC, le 7 août 2014 /CNW Telbec/ - Habitations Trigone s'apprête à démarrer son premier projet de développement résidentiel sur le territoire lavallois. Le projet nommé « District Concorde » sera situé au coin de l'avenue Léo-Lacombe et François-Souillard. Celui-ci sera à moins de 700 mètres de la station de métro et de la gare de train De La Concorde. Habitations Trigone est fière d'inaugurer un autre projet de type T.O.D (développement orienté vers le transport en commun) qui s'accorde parfaitement avec la philosophie de la compagnie. District Concorde offre une grande variété de produits qui saura combler les besoins des futurs propriétaires. Le projet compte 480 unités de condos réparties dans 9 bâtiments incluant un stationnement hors sol avec toit vert ainsi qu'un stationnement souterrain. Ce projet innovateur favorisera un mode de vie actif puisque les résidents pourront marcher afin de se rendre au métro ou au train. Le premier bâtiment devrait être complété d'ici le printemps 2015. Le projet District Concorde s'insère dans le cadre d'une volonté de la ville de Laval à vouloir revitaliser le secteur de la station de métro concorde. La ville prévoit revoir complètement le concept d'aménagement afin de créer un milieu de vie de qualité pour les futurs résidents. De plus, un crédit de taxe sera accordé par la ville aux nouveaux propriétaires de ce secteur. Nous sommes heureux d'annoncer que l'ouverture du bureau des ventes du projet aura lieu ce samedi 9 août dès midi sur la rue François-Souillard à Laval. Habitations Trigone est une entreprise active dans le secteur de la construction domiciliaire depuis près de 25 ans, ayant à son actif plus de 10 000 unités construites sur la Rive-Sud et Rive-Nord de Montréal. C'est la réputation de qualité et d'intégrité d'Habitations Trigone qui a permis à cette entreprise de se hisser aux premiers rangs de la construction domiciliaire au Québec. Notre passion de construire est toujours aussi vivante et nous continuerons à développer des projets innovateurs, localisés sur des sites de choix, pour des espaces de vie accessibles à tous. Condo neuf a vendre a Laval-des-Rapides, District Concorde | Habitations Trigone
  15. Nom du projet : Eau Vie Description : Projet de condos haut de gamme de 10 étages à Laval-des-Rapides, sur le bord de la rivière des Prairies. Immeuble avec salle d'exercice, sauna, jacuzzi, quais privés, piscine intérieure et plus. Site : http://www.condoeauvie.com/ Images : http://www.condoeauvie.com/gx/_carousel/01_g.jpg http://www.condoeauvie.com/gx/_carousel/01_g_grande.jpg
  16. Publié le 02 juillet 2014 à 07h28 | Mis à jour le 02 juillet 2014 à 07h28 Turcot: «Je perds 16 ans de ma vie», déplore un locataire expulsé http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201407/02/01-4780349-turcot-je-perds-16-ans-de-ma-vie-deplore-un-locataire-expulse.php Hugo Pilon-Larose La Presse Les résidants du 780, rue Saint-Rémi, dans le quartier Saint-Henri de l'arrondissement Le Sud-Ouest, à Montréal, ont fait leurs derniers adieux à leurs appartements, hier. Après des années de batailles et de négociations, le grand chantier du nouvel échangeur Turcot aura finalement eu raison d'eux. Depuis bientôt sept ans, les locataires de ces lofts tentaient de sauver l'immeuble qui, selon les plans du ministère des Transports du Québec (MTQ), doit être démoli pour céder la place à l'échangeur, ramené au niveau du sol. En vain. Depuis l'immense stationnement déserté, hier après-midi, l'imposant édifice revêtu de briques rouges semblait déjà vide. Seul entre les cônes orange et les bretelles de l'autoroute 720. Abandonné par la centaine de locataires qui se sont pourtant battus pour sa survie. Au deuxième étage, auquel on accède par une cage d'escalier bétonnée sans couleur ni décoration, la lumière du jour s'infiltrait dans le corridor par la porte ouverte d'un logement. La pièce était vide, sans aucune trace de la vie qui devait y régner jusqu'à tout récemment. Puis, apercevant La Presse, Andrew Kolakowski s'est présenté, visiblement ému de quitter l'endroit. «On avait tout pour nous ici. L'accès à l'autoroute était facile, nous avions accès à un grand jardin et, surtout, le loyer était abordable. Pour près de 500$, tout compris, on pouvait vivre en paix», a-t-il dit d'une voix trahissant son découragement et sa colère. En ce 1er juillet, festival des déménagements dans la métropole, l'homme d'origine polonaise a quitté ses quartiers contre son gré. Son nouvel appartement, qui est situé tout près d'une station de métro, se console-t-il, lui coûtera 900$ par mois. Une hausse soudaine du coût de la vie avec laquelle il doit composer. Un peu plus loin dans le long corridor sans fenêtres de l'immeuble construit en 1922 (il abritait à l'époque les quartiers généraux de l'Imperial Tobacco Company of Canada), une deuxième porte s'est ouverte. La lumière chaude du soleil de juillet frappait de plein fouet les fenêtres hautes de 15 pieds de ce loft entièrement aménagé. Le locataire, qui terminait de réunir ses affaires personnelles, a expliqué l'hostilité implacable qu'il vouait envers le MTQ. «Tout ce que tu vois ici, c'est moi qui l'ai construit. En quittant mon loft, je perds 16 ans de ma vie. J'aimerais bien être dédommagé, mais on ne nous offre presque rien. Le gouvernement a été présent juste pour fuck up our life», a dit Tasso Klavdianos, contenant difficilement sa colère. Promesse de nouveaux lofts Amers, les résidants quittent des lofts dont certains offrent une vue imprenable sur le centre-ville de Montréal. Mais un projet se prépare, a expliqué le plus ancien des locataires de l'immeuble, Michel Charbonneau, rencontré dans son logement au troisième étage. «La bataille a été tellement longue. On nous disait parfois qu'on pouvait garder nos logements, puis le Ministère changeait d'idée. On a finalement reçu la lettre finale d'éviction en avril dernier. Maintenant, on sait qu'un projet se prépare pour qu'on puisse être relogés dans quelques années dans des locaux sur la rue Ottawa. On ose y croire», a expliqué celui qui a longtemps été concierge au 780, rue Saint-Rémi. Le projet en question, piloté par l'entreprise d'économie sociale Bâtir son quartier, vise à offrir aux locataires évincés un loft dans un nouvel aménagement préparé sur le site de l'ancien centre de tri postal à l'angle des rues Guy et Ottawa, toujours dans Saint-Henri. «Ça fait huit ans qu'on nous promet d'être relogés, mais ça n'arrive jamais. Il faut aussi considérer le coût d'un déménagement. Ce n'est pas donné», a dit Lorraine Élément, conjointe de M. Charbonneau. Le couple, ensemble depuis 22 ans, a vécu plus de 16 ans dans ce loft qu'il quitte à contrecoeur. Assis autour de la table de cuisine, le seul meuble toujours présent pour occuper le premier étage de leur loft avec mezzanine, les deux amoureux ont profité d'une pause dîner pour se remémorer de bons souvenirs. «Quand tu t'assoyais sur le sofa, là-bas, près des fenêtres, les grandes feuilles de la plante cascadaient au-dessus de ta tête. C'était comme écouter la télévision dans la jungle», s'est rappelé M. Charbonneau, fier des dizaines de plantes, toutes d'une taille supérieure à un mètre, qui transforment son salon en oasis de fraîcheur. «Mes plantes, sais-tu où elles iront, dans quelques minutes?», a-t-il demandé en fin d'entrevue, sans donner plus de détails. La réponse à sa question se trouvait à la sortie de l'immeuble, placée de façon bien évidente, près du stationnement... Dans le conteneur à déchets.
  17. Le 2245 Jean-Talon offre 10 condos de 1 ou 2 chambres, de 865 à 1070 pieds carrés, à deux pas des stations de métro Fabre et D'Iberville, dans Rosemont. Situé à deux pas d'un parc, de nombreuses école et services, le projet est idéal pour les jeunes familles qui cherchent un environnement de vie paisible et à la fois bien situé. Caractéristiques: Terrasses et balcon privé Choix de couleur de plancher, armoire et comptoir (condo personnalisé) Finition de qualité Possibilité de personnaliser son condo en ajoutant ou en enlevant des pièces Occupation automne 2014 Plus d'information à la page: http://www.leshabitationsjuliens.com
  18. Situé dans Ville Émard, au Sud-Ouest de Montréal, Condos Monk propose 31 unités, de 1, 2 et 4 chambres, de 561 à 1377 pieds carrés, dans un bâtiment au design moderne. Se trouvant à quelques pas du canal de Lachine, dans un quartier chaleureux, très diversifié et en plein renouveau, le projet offre un cadre de vie à la fois paisible, facilement accessible en transports en commun et proche des commerces et autres services. Projet admissible au Programme d’accession à la propriété de la ville de Montréal pour les premiers acheteurs. (Subventions de $4,500 à $12,500) Plus d'information à la page: http://www.condosmonk.com
  19. http://affaires.lapresse.ca/economie/grande-entrevue/201405/30/01-4771436-david-culver-lalcan-davant-nexiste-plus.php À 89 ans, David Cutler se rend encore à son bureau tous les matins à 9h, pour y passer la journée. Mieux encore, l'ancien PDG de l'Alcan - qui a fondé la firme d'investissement CAI, lorsqu'il a pris sa retraite de la multinationale montréalaise en 1989 - vient de faire paraître un livre où il relate les grands évènements de sa vie peu banale. Publié aux éditions McGill-Queen's University Press, Expect Miracles - Recollection of a Lucky Life, a été coécrit par l'ex-journaliste Allan Freeman qui a longtemps travaillé pour le Wall Street Journal avant de devenir correspondant à l'étranger du Globe and Mail à Londres et Washington. «Ce goût d'écrire m'est venu de ma mère. Même si elle n'a pas fait de grandes études, elle a écrit toute sa vie. Des poèmes, des nouvelles, un journal. De 1926 à 1986 elle a écrit, à la main, un total de 48 000 pages qui sont aujourd'hui aux Archives nationales. «Elle était passionnée d'histoire et s'intéressait beaucoup à la culture francophone. Entre les deux guerres, elle a écrit une «Histoire des Canadiens français de 1629 à 1940 «. J'aimerais la publier pour donner la vision que pouvait avoir de la société francophone du Québec, une Canadienne anglaise, née à Halifax», m'explique David Culver, dans son bureau de la rue Drummond, situé à quelques pas de marche de la Maison Alcan, rue Sherbrooke Ouest. Toute sa vie durant, David Culver a évolué dans le «Golden Square Mile», le bastion de la bourgeoise anglophone - de 1850 à 1930 - dans le secteur centre-ouest du centre-ville de Montréal. Il a grandi sur la rue Peel, au coin de l'avenue Doctor-Penfield, dans une maison de 12 pièces, chauffées, sur quatre étages, et que son père louait 150$ par mois. Puis il a construit la Maison Alcan, rue Sherbrooke. Depuis 1989, il a son bureau tout juste à côté, rue Drummond. Après avoir obtenu un diplôme en sciences de l'Université McGill, David Culver a décroché un MBA de l'Université Harvard et un certificat du Centre d'études industrielles de Genève. Il commence sa carrière chez Alcan en 1949. Il y a travaillé durant 40 ans.. Une entreprise pro-Québec Il est donc évidemment beaucoup question d'Alcan dans le livre de David Culver. Il est devenu le président de la division Alcan Canadian Company en 1975, un an avant l'élection du Parti québécois et l'exode anglophone qui a suivi. «Contrairement à beaucoup d'entreprises canadiennes-anglaises, Alcan a toujours entretenu de bonnes relations avec les gouvernements du Québec et la communauté francophone», souligne l'homme d'affaires. Ce trait culturel a pris origine en 1928, lorsque Alcan, qui était basée à Pittsburgh, a envoyé R.E. Powell au Canada pour y superviser les activités qui y prenaient une forte expansion. Rapidement, ce dirigeant américain a compris que l'avenir de l'entreprise allait être intimement lié au fort potentiel hydroélectrique dont elle pouvait disposer au Saguenay-Lac-St-Jean. Il a décidé de déménager le siège social canadien d'Alcan de Toronto à Montréal. Contrairement au CN qui se targuait de n'avoir aucun vice-président francophone à son siège social montréalais, R.E. Powell a embauché beaucoup de Canadiens français à des postes-clés de la direction d'Alcan. «On a toujours eu de bonnes relations avec Québec et c'est dans ce contexte qu'en 1976, au lendemain de l'élection du PQ, j'ai annoncé au conseil d'administration qu'il fallait investir 500 millions pour la construction d'une nouvelle usine à La Baie. On avait besoin de ces nouvelles capacités. «Les administrateurs m'ont dit: tu es fou. Le PQ s'est engagé à tenir un référendum et ils peuvent vouloir nationaliser notre entreprise ou nos actifs hydroélectriques. Si tu veux ton projet, fais signer une lettre à René Lévesque - avec son sang - dans laquelle il s'engage à ne jamais nous nationaliser. «Je leur ai répondu qu'il y aurait au moins de 10 à 15 autres gouvernements qui allaient se succéder au Québec pendant la durée de vie utile de notre usine. Il ne fallait pas s'inquiéter pour rien», relate David Culver. L'ex-dirigeant assure qu'il a toujours eu de bonnes relations avec René Lévesque, qui comprenait bien l'importance d'Alcan. Davis Culver a même profité de la panique anglophone de la fin des années 70 pour réaliser son rêve de donner à Alcan son propre siège social à Montréal. «On était locataire dans une tour et je voulais donner un siège social chaleureux pour nos employés. J'ai décidé d'acheter la maison de Lord Althelson, située en face du Club Mont-Royal, et six autres édifices qui étaient attenants. «Ça nous a coûté moins de 5 millions. La tenue prochaine du référendum de 1980 avait fait chuter totalement les prix», se rappelle-t-il dans un large sourire. La vente de la Maison Alcan et le déménagement prochain du siège social de Rio Tinto Alcan dans la nouvelle Tour Deloitte chagrine d'ailleurs David Culver, passionné d'architecture qui aimait bien la chaleur et le rayonnement du complexe Alcan. Il souhaite que Guy Laliberté, l'un des acheteurs de la Maison Alcan, se serve de l'atrium pour y présenter des spectacles. «Cet endroit doit continuer de vivre», souhaite David Culver. L'ex-PDG d'Alcan est aussi désolé par le départ annoncé cette semaine de la PDG Jacynthe Côté et constate que l'entreprise ne sera plus jamais ce qu'elle a déjà été. «L'Alcan d'avant n'existe plus. Je ne critique pas Rio Tinto mais l'aluminium, ce n'est pas le même business que le minerai de fer. On marche par cycles de dix ans où on fait beaucoup d'argent pendant deux ans et les huit autres années, il faut gérer de façon serrée. On reste profitable mais on n'obtient pas les mêmes marges que le minerai de fer», expose-t-il. Lorsqu'il a quitté la présidence d'Alcan, en 1989, l'entreprise comptait plus de 70 000 employés dans le monde. Aujourd'hui, en incluant ses coentreprises, Rio Tinto Alcan compte 26 000 employés.
  20. Séduit par la Nuit blanche qu'il a vécue samedi dernier, le maire de Montréal, Denis Coderre, se dit prêt à autoriser des projets pilotes «dans certaines artères» où les bars resteraient ouverts jusqu'à 6h du matin. Devant les 10 autres membres de son comité exécutif réunis ce matin, le maire a demandé un débat sur la question, «une consultation, notamment en terme de sécurité, en terme de résidences, sur la question du bruit (...) Ça fait partie de la vie d'une ville, de la vie d'une métropole, mais ça ne doit pas se faire au détriment de qui que ce soit.» Il n'a cependant pas caché son opinion sur la question, qui rejoint celle de «plusieurs commerçants et jeunes entrepreneurs», estime-t-il. «Je pense qu'on est une grande métropole et qu'on devrait se compter comme telle (...) On est prêts à amorcer ce genre de débat-là. À la lumière de ce que j'ai vécu avec le festival Montréal en lumière, je pense qu'on peut le vivre de façon tout à fait décente et correcte, démontrer comme la ville vibre à Montréal.» Le maire Coderre avait déjà évoqué la possibilité, fin février, de permettre aux bars de rester ouverts après trois heures du matin. Il n'a pas encore précisé dans quels secteurs cette prolongation serait autorisée, ni quand cette consultation aurait lieu. Au comité exécutif ce matin, il a fait allusion de façon un peu nébuleuse à certaines rues plus problématiques, comme Saint-Laurent, où, «quand tout le monde sort en même temps, ça crée une certaine situation de toute façon sécuritaire». http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201403/05/01-4744843-bars-ouverts-jusqua-6h-coderre-veut-des-projets-pilotes.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1
  21. Tombée sur cet article via le blogue de Gary Lawrence du journal L'actualité Appel à la jeunesse de France désireuse de s’installer au Canada Cette année, ils sont près de 50 000 français grincheux à oser se présenter sur la ligne de départ. 50 000 maudits français, âgés entre 18 et 35 ans, qui n’aspirent qu’à une seule chose : décrocher leur fichu PVT (Permis Vacances Travail) pour découvrir les charmes surcotés de ce Canada de pacotille, poser les premières pierres de ce qui constituera pour nombre d’entre eux la grande aventure d’une émigration qui s’achèvera quelques mois plus tard dans les larmes et le sang. L’adieu à la France, la fin du cauchemar, l’au-revoir parfois définitif à cette terre nourricière dont, confis d’ingratitude, repus d’égoïsme anti-patriotique, ils ne veulent plus entendre parler, pauvre petits pioupious fatigués de vivre dans la désespérance d’une nation qui, pétrie d’immobilisme, figée dans de vieux schémas séculaires, creuse sa tombe et n’attend plus que le coup de grâce pour basculer dedans. 50 000 enfants gâtés qui ne calculent pas leur chance de vivre dans un pays où le Doliprane est presque gratuit, où un état providence les chouchoute et les câline avec la même attention qu’une mère nourricière vis-à-vis de sa tripotée de moutards, où ils ont la possibilité de se loger dans un vingt mètres carrés somptuaire en déboursant à peine moins d’un millier d’euros par mois. Sauf qu’au final, ils ne seront que 6750 à décrocher ce précieux sésame. Les autres seront obligés de retourner à la mine. Franchement, je ne comprends pas bien cet engouement pour le Canada. Ces jeunes gens prétendument las de vivre dans un pays à l’horizon embouché ont-ils seulement conscience qu’ils s’apprêtent à poser le pied dans une contrée où les gens sont heureux de vivre ? Comprennent-ils réellement le sens de cette horrible assertion ? Se rendent-ils compte ce que cela peut signifier de se retrouver ainsi parachuté au sein d’une population versée dans un optimisme béat, perdu au milieu d’une faune d’énergumènes qui ne savent que sourire et passent leur temps à se dire bonjour ou à s’échanger des sourires complaisants ? De vrais culs-terreux qui prennent la peine de remercier le chauffeur de bus d’avoir stoppé leur engin à l’arrêt prévu, qui ne cessent d’afficher en toutes circonstances une affabilité extrême, toujours prompts à défendre la veuve et l’orphelin, jamais fichus de grommeler leur insatisfaction atavique ou de montrer le début d’un soupçon de mécontentement en éructant une palanquée d’injures ? Imagine-t-on un seul instant le choc culturel que cela peut représenter ? Sans oublier l’implacable flexibilité du monde du travail, la retorse capacité des employeurs à vous juger non pas sur la liste de vos prétendues qualités affichées sur votre CV mais bien plus sur vos réelles aptitudes à accomplir le travail demandé, cette outrecuidance insupportable à vous accepter tels que vous êtes, noirs, arabes, auvergnats sans jamais se soucier de vos origines. Le Canada n’est pas le paradis qu’il prétend être. Il faut débourser des sommes folles pour déguster un ersatz de fromage, être prêt à se farcir des baguettes de pain aussi appétissantes que des sushis polonais, déguster des vins aussi gouleyants à boire que des citronnades norvégiennes, s’empiffrer de burgers indigestes ou de poutines écœurantes. Etre dérangé au restaurant toutes les deux minutes par l’intervention inopinée d’une serveuse vous harcelant de demandes intempestives et incongrues ” Ca vous plaît ? “, “ La cuisson vous convient ? ”, ” Besoin de rien d’autre ? “ quand elle ne vient pas vous remplir à ras bord votre verre d’eau tout en vous adressant un grand sourire enjôleur. Etre confronté à une administration des plus sadiques qui écoute vos récriminations sans jamais s’emporter ou élever la voix, devoir se frotter à des entreprises de service public qui comprennent vos attentes et se mettent en quatre pour les satisfaire, être contraint de marmonner un “ très bien, merci ” à votre caissière de supermarché qui ne manque jamais une occasion de vous demander ”comment se passe votre journée jusqu’à présent” ? Un véritable voyage au bout d’un enfer climatisé placé sous le sceau de la tranquillité de vivre. Une plongée radicale au cœur d’une société émolliente à souhait où les enfants sont heureux d’aller à l’école, où l’on pratique le bénévolat animé de la seule volonté de contribuer à rendre la vie meilleure, où l’on ne cesse de promouvoir le respect de chacun, de ses traditions, de ses coutumes, de son mode de vie, afin de vivre ensemble dans la concorde et l’harmonie. Vouloir émigrer de France au Canada, c’est comme désirer d’échanger son valeureux pitbull contre un indolent Saint-Bernard. C’est renoncer à exister en s’opposant. C’est consentir à penser que finalement l’homme est bon par essence. Une horreur existentielle. Jeunesse de France, ne pensez pas que l’herbe est plus verte au Canada que dans l’hexagone. Elle est juste mieux entretenue.
  22. La Presse: La revanche du centre-ville Depuis plus de 10 ans, on dénigre Montréal sur bien des tribunes. Au cours des dernières années, ses détracteurs ont eu beau jeu de dépeindre la métropole québécoise comme une ville en crise, avec ses scandales à l'hôtel de ville, ses nids-de-poule, son pont Champlain qui se dégrade et son métro régulièrement en panne, pour ne donner que ces exemples. Pourtant, quand on enlève nos lunettes noires pour regarder la situation dans son ensemble, on s'aperçoit que la métropole est loin d'avoir dit son dernier mot. Cette année, le centre-ville verra apparaître plus de grues qu'il n'en a vues depuis bien longtemps. Pour 2014 seulement, on parle de huit édifices à vocation résidentielle ou mixte de plus de 30 étages en cours de transformations majeures, en construction ou sur le point de l'être. Avec Le V (40 étages, 250 unités), l'Altoria/Aimia (34 étages, 152 unités), le Roccabella (41 étages, 540 unités), l'Icône (39 étages, 357 unités), le Waldorf Astoria (34 étages, 100 unités), l'Avenue (50 étages, 315 unités), la Tour des Canadiens (48 étages, 700 unités), la Tour Union/Tom condos (35 étages, 377 unités), ce sera de près de 3000 nouveaux logements qui verront s'installer des travailleurs intéressés par la vie au centre-ville et possédant un pouvoir d'achat important. Un milieu de vie «Il y a un très grand intérêt pour le centre-ville et la demande est forte parce que la vie au centre-ville de Montréal est vibrante, intéressante, sûre et agréable, dit Paul Lewis, professeur d'urbanisme à l'Université de Montréal. Les gens constatent de plus en plus que ce style de vie présente beaucoup d'avantages.» En offrant un milieu de vie attrayant sur le plan résidentiel, on stimule non seulement l'apparition de nouveaux commerces destinés à répondre aux besoins des nouveaux habitants, mais on attire aussi les emplois. «L'élément le plus important pour les entreprises dans le choix d'une ville, c'est de pouvoir compter sur un bassin de main-d'oeuvre qualifiée. La floraison de nouvelles entreprises technologiques qui choisissent les quartiers centraux est liée au développement résidentiel. Les travailleurs de ces entreprises sont souvent des jeunes professionnels qui aiment habiter près de leur lieu de travail», dit Mario Polèse, professeur et chercheur au Centre urbanisation, culture et société de l'Institut national de recherche scientifique. Selon lui, il ne faut pas s'inquiéter outre mesure au sujet des problèmes actuels d'infrastructures. «Tout le monde est d'accord sur le fait qu'ils sont extrêmement gênants et qu'il est important de les régler, mais c'est une phase qui va passer et que d'autres villes traversent aussi, dit-il. Ce n'est pas cela qui va déterminer, à long terme, la santé économique de la région de Montréal. Je n'ai pas encore entendu une entreprise ou un homme d'affaires dire qu'ils ne viendront pas s'installer à Montréal à cause de ses problèmes d'infrastructures.» Par contre, ces enjeux médiatisés en font oublier d'autres, moins spectaculaires, et sur lesquels il faudrait se pencher davantage, explique le chercheur. «Ce qui est tout aussi important pour qu'une grande métropole puisse rayonner sur le plan économique, ce sont les éléments qui favorisent sa connectivité à l'échelle internationale et régionale. C'est important pour les gens d'affaires d'avoir des interactions faciles avec le reste du monde, comme des vols directs vers d'autres grandes villes. La situation de Montréal à cet égard est loin d'être idéale, pour diverses raisons, que l'on parle du train ou de l'avion. La liaison avec New York, par exemple, est lamentable.» Un nouveau maire L'arrivée de Denis Coderre à la mairie suscite d'énormes attentes. Le nouveau maire a annoncé six priorités pour la Communauté métropolitaine de Montréal: un pont Champlain sans péage, planifier les transports en commun, mettre en place une stratégie économique, mettre en oeuvre le Plan métropolitain d'aménagement et de développement, favoriser le logement social et assurer un leadership fort. Avec autant de défis à relever, les prochaines années s'annoncent cruciales pour le développement et l'avenir de Montréal. «L'un des plus grands défis sera d'attirer et de retenir les familles de classe moyenne, et de stopper leur exil vers la banlieue, dit Paul Lewis. Mais ce ne sera pas une bataille facile.» MONTRÉAL EN CHIFFRES > Population : 1,98 million (2012) > Nombre d'emplois : 977 900 (décembre 2013) > Nombre d'établissements manufacturiers : 9055 (2010) > Taux d'activité : 65 % (décembre 2013) > Taux d'emploi : 59,1 % (décembre 2013) > Taux de chômage : 9,1 % (décembre 2013) > PIB aux prix de base par habitant : 58 126 $ (2012) > Revenu disponible des ménages par habitant : 26 469 $ (2012) Source : Institut de la statistique du Québec PRINCIPAUX SECTEURS D'ACTIVITÉ À MONTRÉAL EN 2012 1. Commerce de gros et de détail: 141 300 emplois (15,0% du total) 2. Soins de santé: 113 040 emplois (12,2%) 3. Services professionnels, scientifiques et techniques: 106 446 emplois (11,3%) 4. Fabrication: 101 736 emplois (10,8%) 5. Information, culture et loisir: 68 766 emplois (7,3%) 6. Hébergement et restauration: 62 172 emplois (6,6%) Source: Desjardins, Études économiques
  23. Ce projet sera voisin de celui-ci: http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/20551 *** Le Rockland Outremont Projet unique de 13 condos luxueux à Outremont au coin de l'Avenue Rockland et Van Horne. Tout pres du Metro Outremont. Condos de 1,2 et 3 chambres allant de 733 pieds carrés à 1729 pieds carrés pour les penthouses. Plusieurs options incluses tel que plafond de 9 pieds et comptoirs de quartz. Garage et terrasses sur le toît en option. Grands unités familiales disponibles. Livraison le 1er décembre 2014. Adresse 801 Avenue Rockland au coin de Van Horne Quartier Le Rockland Outremont offre un style de vie incomparable à ces futurs propriétaires. Vous pourrez ainsi bénéficier des nombreux restaurants, boutiques, spectacles et activités du secteur à pied. La proximité de la station de métro Outremont permet une liberté de transport partout en ville. Saisissez cette opportunité unique! Vivez Outremont à son meilleur! Bureau des ventes 5405 St-Denis, Montreal Monday to Thursday from 13h30 to 19h00 Saturday and Sunday from 12h00 to 17h00
  24. Une belle histoire, juste avant Noël... http://www.lapresse.ca/arts/dossiers/nathalie-petrowski-rencontre/201312/20/01-4723016-osm-rencontre-avec-lunite-9-la-vraie.php
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