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  1. Il y a un article qui est passé sans que personne n'y fasse attention dans les médias. Ça vend beaucoup plus dire que les cônes oranges et Ferrandez vont tuer à eux seuls l'activité économique d'une ville de 3 millions d'habitants. On est comme ça ici `: on aime juste quand ça va mal. ------------------------------------------------------------ Transport Montréal: 31 minutes en moyenne pour aller travailler Agence QMI 05/09/2011 16h46 Seriez-vous étonnés d’apprendre que les travailleurs de la région de Montréal passent en moyenne 31 minutes pour se rendre au boulot? C’est ce que révèle la plus récente étude réalisée par Statistique Canada concernant le temps de déplacement entre la maison et le travail en auto, en transport en commun ou à pied. La moyenne canadienne est de 26 minutes, soit cinq minutes de moins qu’à Montréal, tous modes de transport confondus. À Toronto, on parle plutôt de 33 minutes. «Il faut préciser qu’on inclut l’ensemble de la grande région montréalaise», a affirmé Martin Turcotte, chercheur pour Statistique Canada. «Les données vont aussi comprendre des gens qui restent en banlieue et qui travaillent en banlieue à proximité de leur domicile». Cependant, 27% des gens de la région montréalaise prennent 45 minutes ou plus pour leur déplacement entre leur domicile et leur lieu de travail, une proportion plus grande qu’ailleurs au pays. L’étude, intitulée Se rendre au travail: résultats de l’Enquête sociale générale de 2010 a été diffusée en août, mais a été réalisée en 2010 grâce à un échantillon de 6650 répondants. Environ 85% des participants se disent «satisfaits» ou «très satisfaits» de la durée de leur déplacement alors que seulement 15% seraient «insatisfaits». Parmi les gens qui consacrent 45 minutes pour se rendre au bureau, 36% trouvent leur journée «stressante» ou «extrêmement stressante». «On a même vu que le temps de déplacement exerçait une influence indépendante sur le stress. Ça démontre que ce ne sont pas seulement les autres facteurs de la vie qui causent le stress, mais bel et bien le déplacement en tant que tel», a expliqué M. Turcotte. L’étude révèle également que les déplacements sont plus longs en transport en commun qu’en automobile pour une distance équivalente. La moyenne canadienne se situe à 44 minutes pour les usagers des trains de banlieue, des autobus ou du métro. À Toronto et Vancouver, les usagers ont consacré environ vingt minutes de plus que les automobilistes pour se rendre au travail. La situation s’améliore à Montréal puisqu’on parle plutôt de 10 minutes supplémentaires. Près de 75% des automobilistes questionnés à ce sujet estiment que le transport en commun serait «assez peu pratique» ou «très peu pratique», ce qui ne décourage pas pour autant la Société de transport de Montréal. «Notre objectif d’ici 2020, c’est d’aller chercher 5% des automobilistes», a affirmé François Pépin, le directeur des études en planification des transports à la STM. ------------------------------------------------------------ Moyenne des temps de déplacement pour se rendre au travail en 2010: Toronto: 33 min Montréal: 31 min Vancouver: 30 min Ottawa/Gatineau: 27 min Calgary: 26 min Edmonton: 23 min
  2. The only area we did well in, was Transport and we came in 4th. Transport (Courtesy of Smart Planet) (Courtesy of EIU) Report
  3. Voici un article du magazine Voyages d'Affaires, Paris, octobre/novembre 2010 qui place Montréal au premier rang en Amérique du Nord pour les congres internationaux en damant le pion à New York, Boston, Washington, Vancouver et Toronto. http://www.voyages-d-affaires.com/meetings-et-incentive/meetings-et-congres/canada-montreal-premiere-destination-d-amerique-du-nord
  4. July 28, 2010 Economic Snapshot Office vacancy rates hit five-year high, despite uptick in office jobs JOHN CLINKARD consulting economist, CanaData The national office vacancy rate reached 9% in the second quarter of 2010, continuing a trend that started in the fourth quarter of 2008. This rate was up from 8.8% in the first quarter and was its highest level since the second quarter of 2005. According to the most recent numbers from Cushman & Wakefield, the increase was largely due to the addition of 1.5 million square feet of new supply. And it occurred despite the fact that 911,800 square feet of space were absorbed in the quarter. The office vacancy rate retreated slightly in Calgary (from 13.4% to 13.3%) and Winnipeg (from 9.3% to 9.0%) but increased in the remaining eight major metro areas. Among the 10 largest census metro areas, St John’s, N.L. had the lowest office vacancy rate in the country (5.5%), despite a significant decline in office-based employment over the past year. Ottawa recorded the second lowest office vacancy rate (6.6%) due in large part to a strong (+7.6% year over year) increase in office-based employment in the second quarter. Other major metro areas with below (national) average vacancy rates in the second quarter included: Saint John, N.B. (7.9%), Toronto (8.1%), and Vancouver (8.4%). In Montreal the office vacancy rate increased from 9.1% to 9.2%, its highest level since the third quarter of 2007. The office vacancy rate for the 10 largest metro areas in Canada is now at its highest level in five years, and year-to-date commercial building permits are down by 3.5% year over year in May. As such, the near-term outlook for new office construction is quite guarded. The outlook is further clouded by the concerns about the health of the U.S./global recovery. Having said this, the relative strength of office-based employment in Ottawa, Montreal, Toronto and Vancouver continues to point to a pickup in office construction late in 2010 or early in 2011. John Clinkard has over 30 years’ experience as an economist in international, national and regional research and analysis with leading financial institutions and media outlets in Canada. :(:(
  5. Après leur annonce du Rogers Arena à Vancouver pourquoi pas un Centre Rogers à Montréal avec un spectacle permanent du Cirque du Soleil maintenant qu'ils sont partenaires ? Ça serait pas mal du tout et j'ai l'impression qu'ils ont les poches profondes:highfive: ! En tout cas moi je m'abonne avec eux s'ils font ça ! http://smr.newswire.ca/fr/rogers-communications-inc/cirque-du-soleil-and-rogers-two-icons-of-innovation
  6. En se rendant à Vancouver pendant les Jeux olympiques, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, avait indiqué qu’il allait en profiter pour s’informer des initiatives vancouvéroises qui marchent en matière de transport en commun, d’urbanisme et de fiscalité. En voici cinq qui mériteraient d’être étudiées d’après notre journaliste, Mathias Marchal, qui revient de Vancouver. -------------------------------------------------------------------------------- 1. Trolleybus avec porte-vélos: Vive le cocktail transports! -------------------------------------------------------------------------------- À Vancouver, 15 % du réseau est électrifié. Si le système de fils qui alimente les 240 autobus est coûteux et pas forcément esthétique, il permet de réaliser des économies d’énergie et évite 20 000 ton-nes d’émissions de gaz à effet de serre par an. Pour les cyclistes, deux porte-vélos sont installés à l’avant sur la totalité de la flotte d’autobus. Pourquoi? «Ça convainc les usagers qui habitent loin d’une ligne d’autobus de choisir ce moyen de transport, car ils gagnent ainsi du temps», précise Drew Snider, porte-parole de Translink, la STM de Vancouver. Problème avec les phares À Montréal, on n’a pas retenté l’expérience depuis que la Société de l’assurance automobile du Québec a signalé qu’une telle installation réduisait l’efficacité des phares. «On a éprouvé ce problème à Vancou*ver, mais il a été rapidement corrigé avec les fabricants», indique M. Snider. Quant aux trolleybus, on pourrait les voir, en site protégé, sur la fameuse ligne Pie-IX qui doit voir le jour d’ici 2014, indique la STM. «On envisagera cette possibilité au cours des travaux, mais il y a de fortes chances que la ligne soit parcourue au début par des autobus au diesel», précise Isabelle Tremblay, porte-parole de la STM. Read more:http://www.journalmetro.com/linfo/article/496516--cinq-idees-a-importer-de-vancouver-pour-stimuler-montreal
  7. Montreal is the top Canadian city in non-car commuting, with 29.5 per cent of people using public transit, walking or cycling to work, according to a Toronto Board of Trade report that compares global cities. Four other Canadian cities are not far behind, but the rankings were a little different when it came to commuting times, according the report, titled "Toronto as a Global City: Scorecard on Prosperity - 2010." The report, released Monday, compares a variety of urban issues among 21 cities in North America, Europe, Asia and Australia. It looked at urban economic health, affordability, education, immigration and lifestyle and was created with research support from the Conference Board of Canada. Montreal ranks at the top among Canadian cities for non-car commuting, but was No. 11 overall. Hong Kong ranked first with 89 per cent of commuters not using cars to get to and from work. Paris was second at 73.7 per cent. In Toronto, 28.8 per cent of commuters take public transit, walk or cycle to work, the report said. In Vancouver, that rate is 25.3 per cent. In Halifax it's 24.1 per cent and in Calgary it's 23.2 per cent. With the exception of New York, seven American cities that were measured in the rankings placed in the bottom quarter for non-car commuting. Rates ranged between 21.6 per cent for San Francisco to just 4.6 per cent for Dallas. Read more: http://www.cbc.ca/consumer/story/2010/03/30/consumer-commuting-times.html#ixzz0jhNPYITA
  8. Les Jeux de Vancouver critiqués à New York et Londres Wayne Gretzky défile sous la pluie dans les rues de Vancouver, à l'ouverture des Jeux d'hiver. La Presse Canadienne - 13/02/2010 20h50 VANCOUVER - La météo inclémente, les allégations voulant que le Canada ait violé les idéaux olympiques et les coûts sociaux et économiques des Jeux d'hiver au détriment des citoyens les plus nécessiteux de la Colombie-Britannique ont volé la vedette au sport sur certains sites internet réputés à travers le monde, samedi. Celui du New York Times par exemple se demandait ouvertement si le Comité international olympique ne s'était pas carrément trompé de choix. «Vancouver est la ville la plus chaude de l'histoire à accueillir les Jeux d'hiver, basé sur la température moyenne en février, de sorte qu'on aurait peut-être pu anticiper les problèmes», est-il écrit. «Ou est-ce l'organisation locale qui doit être blâmée pour avoir prévu des événements sur Cypress Mountain, qui n'est qu'à 30 minutes de Vancouver et ses températures douces?» «Vancouver est une ville attrayante, y dit pour sa part le professeur d'économie américain Victor Matheson. Mais la chaude température et les complications de dernière minute avec la neige pourraient nuire à sa réputation comme ville de sports d'hiver. Ce serait une honte, mais ce ne serait pas la première fois qu'un événement majeur a un effet négatif sur l'image d'une ville.» «Je ne crois pas que ce fut une erreur de présenter les Olympiques à Vancouver», a plutôt déclaré Hannah Hardaway, qui a participé aux épreuves de bosses aux Jeux de 2002. «La Colombie-Britannique est une destination d'hiver remarquable et on aurait pu tout aussi bien tomber sur un hiver plein de neige et des conditions idéales. En autant que les parcours soient sécuritaires et remplissent les normes, pourquoi se plaindre? Il ne semble pas que ce soit le cas des compétiteurs.» Sur le site du Guardian de Londres, on se concentrait sur l'action des activistes anti-olympiques. «Les Olympiques sont un autre malheureux exemple d'un partenariat public-privé qui a mal tourné, peut-on y lire. Les contribuables ont été taxés sournoisement par des promoteurs privés qui ont entraîné la ville dans un budget de faillite( ...) Les besoins fondamentaux d'une population sont sacrifiés sur l'autel de la gloire olympique alors que près de la moitié des Canadiens, selon un récent sondage, jugent que la situation économique actuelle est «pauvre» ou «très pauvre». Sur le site du London Times, le principal reporter sportif Owen Slot s'en prend à la stratégie du programme «À nous le podium», affirmant qu'une partie de celui-ci consistait à interdire les sites de Vancouver et Whistler aux athlètes étrangers afin de procurer le maximum d'avantages aux canadiens. «Il y a des règles et même si les Canadiens les ont suivies, admet-il, leur interprétation a été de limiter au minimum les entraînements des non-Canadiens.» L'auteur faisait évidemment référence à l'accident mortel survenu au lugeur géorgien Nodar Kumaritashvili.
  9. Quel héritage pour l'économie de Vancouver? Publié le 27 février 2010 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Vincent Brousseau-Pouliot La Presse Des touristes, des routes, un centre de congrès, une ligne de métro. Pour la ville hôtesse des Jeux de Vancouver, l'héritage olympique ne se calculera pas en médailles mais en milliards de dollars. Comme si la Colombie-Britannique ne manquait pas de médailles d'or, la province hôtesse des Jeux olympiques vient d'en recevoir une supplémentaire la semaine dernière. Celle du Conference Board du Canada. Selon le Conference Board, la Colombie-Britannique connaîtra la plus grande croissance économique parmi les provinces canadiennes cette année. Les Jeux olympiques et leurs 250 000 visiteurs y sont pour quelque chose. Pour 770 millions de dollars, calcule l'économiste Marie-Christine Bernard. «La Colombie-Britannique aurait très bien fait quand même, mais les Jeux sont le dernier coup de pouce qui lui donne la première place », dit Marie-Christine Bernard, qui parle de la «reprise en or» de la Colombie-Britannique dans son étude du Conference Board publiée la semaine dernière. Sitôt les compétitions terminées, une autre discipline olympique commencera chez les économistes du pays : le calcul des retombées des Jeux de Vancouver. Jusqu'ici, l'aventure olympique a coûté cher ? jusqu'à 7,3 milliards selon nos calculs, incluant les onéreuses dépenses infrastructures. La Colombie-Britannique estime les retombées économiques à 4 milliards de dollars. « Les Jeux ont aidé la province à moins souffrir de la récession, dit l'économiste québécois Thomas Lemieux, professeur à l'Université de la Colombie-Britannique (UBC). En ce sens, le timing des Jeux était assez bon. » Une fois les Jeux terminés et les factures payées, Vancouver s'attend maintenant à rentabiliser son investissement en accueillant une horde de touristes attirés par son nouveau charme olympique. Depuis la mi-janvier, Tourism BC décline sa campagne de pub télé destinée au marché nord-américain. Le joueur de basket Steve Nash, la chanteuse Sarah McLachlan et les comédiens Ryan Reynolds et Michael J. Fox, tous des vedettes au pays de l'Oncle Sam, vantent les mérites de leur province natale. «La visibilité olympique sera importante, mais l'effet sera mitigé parce que Vancouver est déjà une destination touristique connue », croit Jimmy Jean, économiste pour Moody's Economy.com à Philadelphie. Son collègue Thomas Lemieux doute aussi du charme olympique de Vancouver. «Je n'ai pas l'impression qu'il y aura un gros impact au plan touristique après les Jeux, dit le professeur d'économie à UBC. Les touristes américains qui viennent pour les Jeux connaissent déjà bien Vancouver. En plus, je ne suis pas sûr que les Jeux aient été excellents pour la réputation de Vancouver comme destination touristique hivernale. Probablement que les effets touristiques seront plus importants à Whistler...» Durant les Jeux, les visiteurs olympiques provenaient à 70% du Canada et à 10% des États-Unis. L'Europe et l'Asie se partageaient les 20% restants, selon les chiffres de Tourism BC. L'immobilier resterait stable Outre le nombre de touristes, il faudra surveiller l'état du marché immobilier post-olympique à Vancouver. Selon une étude de l'École de gestion de UBC, le marché immobilier post-olympique des villes hôtesses n'est ni euphorique, ni catastrophique. En clair, les Jeux ne changent rien au prix des logements dans sa ville hôtesse. Normalement, il s'agit d'une bonne nouvelle pour les contribuables des villes hôtesses, qui paient leurs taxes foncières en fonction de la valeur de leur propriété. Mais la réalité pourrait être plus complexe dans le cas de Vancouver. En raison du resserrement du marché du crédit, la Ville de Vancouver a dû se porter garante du financement du village olympique. Le coût du projet est évalué à 1,1 milliard, et la Ville est exposée à hauteur d'environ 700 millions. Elle récupérera tout son argent si le promoteur Millenium Development parvient à vendre les condos restants ? 472 des 737 condos ? à un prix suffisamment élevé. « Le marché immobilier a repris, surtout depuis six mois. La Ville de Vancouver pourrait s'en sortir », dit Thomas Lemieux. Si la catastrophe financière du village olympique peut être évitée, le principal héritage des Jeux de Vancouver pourrait bien être les infrastructures construites en prévision des Jeux. La ligne de métro Canada Line, qui relie le centre-ville à l'aéroport. Le centre des congrès, qui attirera davantage de visiteurs internationaux. La nouvelle route Vancouver-Whistler, qui rendra le transport plus facile vers cette montagne très prisée des skieurs. Les nouvelles infrastructures auront un impact direct sur la qualité de vie des Vancouvérois. Elles règleront même plusieurs problèmes au département d'économie de l'Université de la Colombie-Britannique, qui sera dirigé par l'économiste québécois Thomas Lemieux en 2014. «Les horaires des professeurs sont très compliqués à gérer à cause des bouchons de circulation à Vancouver, dit-il. Plusieurs collègues qui vivent à Richmond ne veulent pas prendre des cours tôt le matin ou tard l'après-midi à cause de la circulation. Mais avec la construction du Canada Line, on peut se rendre facilement de Richmond au centre-ville. C'est un peu comme si on venait tout juste de relier la rive sud de Montréal au métro... »
  10. Six Canadian cities out of 50 have the winning combination that attract migrants * Six Canadian cities out of 50 have the winning combination that attract migrants Calgary, Waterloo, Ottawa, Vancouver, St. John’s and Richmond Hill have what migrants are looking for when choosing where to locate, according to the Conference Board’s second report assessing the attractiveness of Canadian cities. Read the report here. “Cities that fail to attract new people will struggle to stay prosperous and vibrant,” said Mario Lefebvre, Director, Centre for Municipal Studies. “These six cities come out on top across all rankings, so they appear to have an overall winning combination that is attractive to migrants. Although it would be hard to imagine a more diverse group of cities, each has particular strengths that make them magnets to newcomers, both from within Canada and abroad.” City Magnets II: Benchmarking the Attractiveness of 50 Canadian Cities, analyzes and benchmarks the features that make Canadian cities attractive to skilled workers and mobile populations. The performance of these cities is compared on 41 indicators grouped across seven categories: Society, Health, Economy, Environment, Education, Innovation, and Housing. The challenge in determining overall attractiveness is that when individuals are choosing a new city, they value attributes of city living differently. Weights were computed for each of the seven categories. For migrants with a university degree, the Education category matters the most (21 per cent) in the decision to locate, followed by Society (20 per cent), Innovation (19 per cent) and Economy (13 per cent). Migrants without a university education consider, in an overwhelming fashion, that the Economy category matters the most (33 per cent) and followed by Society (20 per cent). “In deciding where to live, university-educated migrants prefer cities with higher Education and Society outcomes. Migrants without a university education place more value on a city’s economic strength,” said Lefebvre. “However, the study shows that a city that is attractive to a certain type of migrant ends up being attractive to all, so policy makers must be cautious in crafting policies aimed at attracting university graduates only.” Overall Grades The six “A” performers – Calgary, Waterloo, Ottawa, Vancouver, St. John’s and Richmond Hill, Ont. – range between big and small cities, from the West Coast to the East Coast, and include both urban and suburban centres. Specifically: * Calgary’s strong economic results come as no surprise given its performance over the past decade, but the city also ranked first in Innovation and second in Housing. * Waterloo’s worldwide reputation for high-tech excellence in education and business is well deserved. Ranked number-one in Education, Waterloo also posted strong results in Economy, Innovation and Housing. * Ottawa reaps the benefits of a strong and well-educated public sector. The nation’s capital excels in Innovation and Education, and, apart from Health, scores well across all categories. * Richmond Hill, a fast-growing city north of Toronto, has become the second most diverse city in Canada. A well-educated workforce contributes to its high scores in the Education and Innovation categories. * Vancouver enjoys an enviable climate and a vibrancy that comes from its young, diverse, and multicultural population. * St. John’s has achieved a strong productivity level that even surpasses that of Calgary and Edmonton. It is also a stellar performer in Health and Environment categories. The “B” class includes 14 cities – Edmonton, Victoria, Markham, Vaughan, Kingston, Oakville, and Guelph are consistently in the top half of this group. The City of Toronto also earns an overall “B” grade. Although held back by lacklustre results in the Health and Environment categories (too few physicians for such a large population, and too many days of poor air quality), the City of Toronto leads all cities in the Society category, particularly the proportion of foreign-born population and the proportion of population employed in cultural occupations. In all, the Toronto census metropolitan area (CMA) obtains five of the top 14 spots. The Toronto CMA attracted 35 per cent of Canada’s immigrants (about 85,000 per year) between 2001 and 2006, but this is partly offset by migrants – 25,000 annually – leaving for other Canadian cities. London, Halifax, Lévis, Regina, Québec City, and Burlington also receive “B” grades. A total of 21 cities get “C” grades, including three of Canada’s largest urban centres: Winnipeg, Montréal, and Hamilton. Although an overall “C”, Mississauga – with its high number of immigrants – gets a “B” in attractiveness among university-educated migrants. Four of Vancouver’s suburbs – Richmond, Burnaby, Coquitlam, and Surrey – earn “C” grades, as does nearby Abbotsford. Generally, Vancouver’s suburbs lag behind in Health and Economy. Sherbrooke, Gatineau, Kitchener, Barrie, Saskatoon, Moncton, Brampton, Kelowna, Thunder Bay, Peterborough, St. Catharines, and Sudbury also get “C” grades. The “D” class includes nine small or mid-sized cities – four in Ontario: Oshawa, Brantford, Windsor, and Cambridge; four in Quebec: Longueuil, Saguenay, Trois-Rivières, and Laval, and Saint John, New Brunswick. Along with struggling economies in most cases, seven of these nine cities have shown little population growth, while the other two posted a decline in population (Saint John and Saguenay). These nine cities are also clustered near the bottom of the Innovation and Education categories. Performance By Category * Society – Canada’s largest cities post the best results, with Toronto and Montreal capturing the only two “A” grades. Toronto’s suburbs rank highly, as do Vancouver and Victoria. * Health – Small and mid-sized cities dominate this category, which mainly measures per capita access to care. Only Kingston and St. John’s get “A” grades. Vancouver and Quebec City are the only big cities to rank in the top 10. Suburban cities, which rely on services located in the urban cores, face the greatest challenges – 10 of the bottom 12 are neighbours of either Toronto, Montreal or Vancouver. * Economy – Although the rankings are based on 2006 data and pre-date the recession, the Conference Board expects cities with strong economies back then to rebound and post the strongest showing following the downturn. Calgary, Edmonton and Vaughan earn the only “A” grades in the ranking; Edmonton’s strong economy makes it particularly attractive to non-university educated migrants. Five Toronto-area suburbs make the top 10. Ottawa and Waterloo also rank in the top 10. * Environment – Seven of the eight cities in British Columbia included in this report earn “A” grades and dominate the top 10 rankings, due largely to good air quality and a mild climate. Montreal ranks last and Longueuil is also near the bottom. Mississauga, Burlington, Vaughan and Oakville also earn “D” grades. * Education – The “university towns” of Waterloo and Kingston outclass their counterparts and earn the only two “A” grades. Small and mid-sized cities dominate the results for teachers per student population, with four small Ontario cities (Burlington, Waterloo, Peterborough and Guelph) grabbing all the “A” grades on this indicator. * Innovation – Calgary, Richmond Hill and Ottawa get “As” for Innovation. Cities with broad manufacturing or resource-based economies generally fare less well in this category. * Housing – Small and mid-sized cities generally do the best in this category, thanks in particular to relatively affordable housing. The Quebec City suburb of Lévis leads all cities, and five other Quebec cities rank in the top 10. The opposite is true for all eight B.C. cities, where homes are generally expensive. As a result, these cities fall in the bottom half of the rankings and five of them, including Victoria and the Lower Mainland cities, get “D” grades. http://www.muchmormagazine.com/2010/01/six-canadian-cities-out-of-50-have-the-winning-combination-that-attract-migrants/
  11. GDS

    Office Vacancy Rates

    Vacancy rates keep rising in third quarter for Canada's commercial real estate sector, report shows (CP) – 44 minutes ago TORONTO — The amount of empty office space across Canada continued to rise in the third quarter due to higher unemployment in white-collar industries and excess inventory in some cities, a new report shows. Vacancy rates for commercial real estate are expected to keep rising "well into 2010" as the country works through the impact of the recent recession, CB Richard Ellis Ltd. said in report released Monday. Vacancy rates rose for the third straight quarter to an average of 9.4 per cent, up from 6.3 per cent for the same time last year, said the real estate services firm. "Limited new job creation in Canada's 'white-collar' industries and the addition of new inventory in two of Canada's three largest office markets are cited as reasons for the increase," according to the National Office and Industrial Trends Third Quarter Report. Commercial vacancy rates rose most noticeably Calgary, Toronto and Vancouver, the report shows. Calgary's third quarter vacancy rate jumped to 13.1 per cent, from 4.7 per cent last year, due to the impacts of a slowdown in the oil and gas industry. "The city's oil and gas industry and commercial market remained inexorably linked, as players both large and small continue to recognize that even Calgary has not been immune to the country's new economic reality," the report states. In Toronto, the commercial vacancy rate rose to 9.1 per cent from 6.6 per cent last year. The vacancy rate in downtown Toronto is expected to climb further in the coming quarter as space becomes available in newly constructed office towers. In Vancouver, vacancy rates climbed to 8.9 per cent from 5.4 per cent for the same time last year. The report said Vancouver is one of the more stable markets in the country thanks to limited new development. Montreal's vacancy rate rose to 10.3 per cent from 8.3 per cent last year, while Halifax's rose to 10.2 per cent from 8.4 per cent. Vacancy rates also rose in the country's smaller office markets, specifically in suburban areas, but at a lesser rate, the report shows. It said cities with government office space also saw more stability in their commercial real estate markets. Ottawa had the lowest overall third quarter vacancy rate in the country of 5.8 per cent compared to five per cent for the same time last year, while Winnipeg's rate came in at 7.5 per cent up from 4.8 per cent last year. The overall vacancy rate in the Waterloo Region, home to such technology firms as Research in Motion (TSX:RIM), edged up slightly to 6.7 per cent from 6.4 per cent last year. The report predicts vacancy rates to keep rising in the fourth quarter and into 2010, "as Canada continues to grind its way out of the recession."
  12. Ritz-Carlton condo project stalls in Vancouver Construction of one of Vancouver's most prestigious condominium projects has been halted, but the developer says design changes, and not the international credit crisis, are behind the move. Work halted on the Ritz-Carlton construction site on Friday, and crews did not return on Monday after the weekend, leaving a giant hole in the ground near the corner of West Georgia Street and Bute Street in the heart of Vancouver. Fifty per cent of the condominium units were reportedly pre-sold, but the building's developer Simon Lim, president of the Holborn Group, told CBC News financial concerns were not behind the decision to put the project on hold. According to Lim, the work was halted so some design changes can be made, and it made no sense to keep crews working, or to keep the sales office open while those changes were underway. Advertising signage around the construction site was missing on Tuesday and construction trailers had been removed from the site. About 50 per cent of the excavation for the foundation of the project had already been completed. The 60-storey tower, which twists 45 degrees as it rises, is an Arthur Erickson design. The design features a high-end Ritz-Carlton hotel on the lower floors and 123 luxury condos on the upper floors priced between $2.5 million and $10 million, with the penthouse priced at $28 million.
  13. Montréal se met à l'heure de la norme LEED Le Devoir Édition du mercredi 10 juin 2009 Mots clés : Bâtiments, LEED, Municipalité, Pollution, Montréal, Québec (province) Tous les bâtiments municipaux neufs de plus de 500 m2 construits à Montréal devront dorénavant respecter les normes LEED Or (Leadership in Energy and Environmental Design), a annoncé le responsable du développement durable à la Ville de Montréal, Alan DeSousa. Le comité exécutif a adopté hier une politique comportant une série de mesures visant à rendre les immeubles municipaux plus verts. Ainsi, les rénovations majeures devront être effectuées selon les critères LEED Argent, et les travaux de moindre ampleur devront viser la certification écologique BOMA BEST. Montréal devient donc la première ville au Québec à adopter de tels standards et imite Vancouver qui, depuis 2004, impose la certification LEED Or à tous ses bâtiments municipaux. Les coûts supplémentaires requis peuvent atteindre 5 %, mais la Ville soutient qu'ils seront notamment compensés par les économies réalisées en matière de consommation d'eau et d'énergie. http://www.ledevoir.com/2009/06/10/254253.html
  14. En bref - L'architecte Arthur Erickson est mort La Presse canadienne Édition du vendredi 22 mai 2009 Mots clés : Arthur Erickson, architecte, Décès, Culture, Canada (Pays) Vancouver -- L'architecte canadien de renommée internationale Arthur Erickson est mort à l'âge de 84 ans. M. Erickson, qui avait été choisi personnellement par l'ancien premier ministre Pierre Trudeau pour concevoir l'ambassade du Canada à Washington, est mort mercredi à Vancouver entouré de sa famille et d'amis venus de partout dans le monde, a précisé son neveu. Le travail d'architecte de M. Erickson a d'abord été acclamé à l'étranger pour sa conception de l'Université Simon-Fraser, en Colombie-Britannique, pour laquelle il a d'ailleurs été récompensé. Ses oeuvres se sont par la suite rapidement répandues à l'échelle mondiale. Outre ce projet, M. Erickson a également imaginé la California Plaza à Los Angeles, le Napp Laboratories à Cambridge, le Kuwait Oil Sector Complex, etc. http://www.ledevoir.com/2009/05/22/251533.html (22/5/2009 8H50)
  15. Ebay quitte Vancouver, 700 personnes perdront leur emploi Mise à jour le mercredi 6 mai 2009, 15 h 18 . L'entreprise eBay, qui exploite un populaire site Internet d'enchères, a décidé de fermer son seul centre d'appels au pays, qui se trouve à Vancouver. Quelque 700 personnes perdront leur emploi d'ici le 30 septembre prochain. Les activités seront transférées au centre d'appels de Salt Lake City, aux États-Unis, où des emplois seront créés, et dans d'autres pays. La multinationale justifie sa décision par une baisse de ses revenus en raison du contexte économique difficile. Les profits d'eBay ont atteint 357,1 millions de dollars américains pour le premier trimestre de l'année, en baisse de 22 % comparativement à la même période pour de 2008 (459,7 millions de dollars). Les revenus de l'entreprise ont chuté de 8 % pour s'établir à 2,02 milliards. Ces résultats ont toutefois été conformes aux attentes des analystes financiers.
  16. Le voyagiste rationalise ses activités Transat supprime 53 emplois administratifs 21 avril 2009 - 17h38 LA PRESSE CANADIENNE MONTREAL -- Transat A.T. (TRZ.B) supprime 53 emplois administratifs à Montréal, Toronto et Vancouver pour améliorer l'intégration de ses activités, a indiqué mardi le voyagiste. Plus de détails suivront.
  17. Pauvre Vancouver Sophie Cousineau, LaPresseAffaires À quelques mois de l’ouverture des Jeux olympiques d’hiver, cela devait être son année de gloire. Et pourtant, les malheurs ne cessent de s’abattre sur Vancouver. Les dernières statistiques sur le chômage de la province, publiées ce matin, sont affreuses. Des 61 000 emplois qui se sont perdus au pays en mars, plus du tiers ont disparu en Colombie-Britannique. Ainsi, le taux de chômage de la province a progressé de 6,7% à 7,4% en un mois. Avec le dégonflement de la bulle immobilière, ce sont les secteurs de la construction et de la fabrication qui sont les plus durement touchés. Les mises en chantier en milieu urbain, au nombre de 744 en mars, sont le tiers de ce qu’elles étaient il y a un an, rapporte le Globe & Mail ce matin. La violence qui s’est emparée de Vancouver ajoute à la morosité ambiante. L’assassinat brutal et en apparence gratuit de Wendy Ladner-Beaudry, alors que cette femme de 53 ans joggait dans un parc paisible, le week-end dernier, a révolté les Vancouverois. La ville est aux prises avec une flambée de violence en raison d’un conflit entre gang rivaux. Seulement depuis le début de l’année, il y a eu 45 fusillades qui ont emporté 17 victimes. Le président du comité organisateur des Jeux, John Furlong – qui connaissait très bien Mme Ladner-Beaudry, une femme reconnue pour sa grande implication dans le sport amateur en Colombie-Britannique – reste malgré tout optimiste pour les Jeux d’hiver de 2010. Et cela, même si son organisation n’ambitionne même plus de faire des profits et rêve seulement de faire ses frais. Si General Motors ou Air Canada, deux des principaux partenaires, se mettent à l’abri de leurs créanciers, comme certains le craignent, «on trouvera une solution», a-t-il confié à mon collègue Simon Drouin, dans une entrevue fort intéressante à lire ici. Le drapeau olympique flotte devant l’hôtel de ville de Vancouver. Photo Presse Canadienne.
  18. Québec évitera la récession, mais pas Montréal Publié le 01 avril 2009 à 06h47 | Mis à jour à 06h49 La Presse (Montréal) Saskatoon et Regina font souvent sourire en raison de leur climat rude et de leur vie nocturne peu animée. Ces deux villes de la Saskatchewan feront toutefois des jalouses parmi leurs rivales canadiennes cette année. Le climat sera toujours aussi peu accueillant et les soirées finiront toujours aussi tôt, mais les deux villes des Prairies devraient connaître la plus grande croissance économique au pays en 2009. Leur secret afin d'éviter la récession? L'immigration - principalement celle en provenance de l'Alberta, la province voisine. «Saskatoon et Regina ont fait une campagne de charme auprès de leurs anciens résidants partis s'établir en Alberta afin qu'ils rentrent au bercail, dit Mario Lefebvre, économiste au Conference Board du Canada. Elles font valoir que bien des gens partis en Alberta pourraient vendre leur maison à profit et revenir s'établir en Saskatchewan, où les possibilités d'emploi sont intéressantes et le coût de la vie moins élevé.» Selon les prévisions du Conference Board du Canada, seulement six des 13 grandes villes du pays devraient éviter la récession en 2009: Saskatoon ("1,7%), Regina ("1,6%), Winnipeg ("1,1%), Québec ("0,6%), Ottawa-Gatineau ("0,2%) et Halifax (0,0%). Sur ces six survivantes, cinq ont un point en commun: leur statut de capitale et, surtout, la fonction publique qui vient avec. «Les capitales ont généralement une économie plus stable et moins sensible aux soubresauts économiques», dit Mario Lefebvre. Vancouver déchante Alors que la ville de Québec évitera la récession en raison du poids de la fonction publique, Montréal vivra son premier recul économique depuis 1991. Le Conference Board prévoit 25 000 pertes d'emplois dans la métropole québécoise, comparativement à aucune à Québec. À l'échelle canadienne, 300 000 personnes devraient perdre leur emploi en 2009. Avec un recul prévu de 0,5%, Montréal arrive 10e rang sur 13 du classement du Conference Board. Seules les villes de Vancouver (-0,9%), Toronto (-1,6%) et Hamilton (-1,9%) devraient connaître une année plus difficile sur le plan économique. Si les déboires de l'économie ontarienne n'étonnent personne, ceux de Vancouver sont plus intrigants à moins d'un an des Jeux olympiques d'hiver de 2010. L'aventure olympique devait engendrer un boom économique dans la métropole de la Colombie-Britannique. Cette dernière vivra plutôt sa première récession depuis que le Conference Board a commencé à publier la croissance économique des villes en 1987. «La plupart des travaux sur les sites olympiques sont déjà terminés, dit Mario Lefebvre. C'est positif d'un point de vue logistique, mais pas d'un point de vue économique.»
  19. Prix des maisons: Montréal résiste Publié le 26 mars 2009 à 06h36 | Mis à jour à 06h37 La Presse (Montréal) Montréal résiste encore et toujours. Alors que les prix des maisons baissent au Canada, ils se maintiennent dans la région métropolitaine. Selon un indice colligé par la Banque Nationale et la société Teranet, les prix des maisons ont reculé de 2,4% au Canada entre janvier 2008 et janvier 2009.Par contre, ils ont enregistré une croissance de 4,1% à Montréal. La Chambre immobilière du Grand Montréal a constaté la même tendance au niveau des statistiques de ventes du système MLS (Multiple Listing Services). «Les prix augmentent moins vite qu'avant, mais le Québec fait bien meilleure figure que le reste du Canada, a commenté le chef de la direction de la chambre immobilière, Michel Beauséjour, en entrevue avec La Presse Affaires. C'est généralement lié à l'économie: l'économie québécoise est un peu moins affectée qu'ailleurs.» Selon l'indice Teranet-Banque Nationale, les prix des maisons ont diminué de 2,4% à Toronto entre janvier 2008 et janvier 2009, d'un respectable 4,2% à Vancouver et d'un considérable 8,2% à Calgary. Marc Pinsonneault, économiste principal à la Banque Nationale, a expliqué que le nombre de maisons disponibles par rapport à la demande était beaucoup plus élevé dans ces villes qu'à Montréal. «Il y a eu surconstruction», a-t-il déclaré. À Calgary, les prix des maisons ont bondi de 45% en 2006, ce qui a incité les promoteurs et les constructeurs d'habitations à s'en donner à coeur joie. «Avec la baisse inattendue du prix du pétrole, on s'est aperçu qu'il y avait eu surconstruction», a affirmé M. Pinsonneault. À Vancouver, les prix des maisons, déjà extrêmement élevés, ont augmenté 24% en 2007. La spéculation s'est mise de la partie. «Il n'y a pas un Canadien qui peut acheter une maison ou un condo au centre-ville de Vancouver, a affirmé M. Beauséjour. Les prix sont tellement élevés qu'il fallait que ça dégonfle. Maintenant, Vancouver est dans le marasme depuis un an.» De son côté, la région torontoise a été frappée par la crise manufacturière, notamment dans le secteur de l'automobile, a ajouté M. Beauséjour. Le secteur de l'immobilier s'en est ressenti. «Au Québec, nous sommes plus diversifiés en termes d'économie, a affirmé le patron de la Chambre immobilière du Grand Montréal. La PME se comporte assez bien. La récession est là, mais on n'a pas encore d'impact majeur au niveau des pertes d'emplois.» Il a rappelé qu'un des facteurs qui influencent l'achat d'une maison, le niveau des taux hypothécaires, était encore très favorable. M. Pinsonneault, de la Banque Nationale, a indiqué que les prix des maisons avaient connu de bonnes hausses au cours des dernières années à Montréal, notamment en 2002 (15%), mais il a soutenu qu'il ne s'agissait pas d'une vague de spéculation et que cela n'avait pas donné lieu à de la surconstruction. «C'était du rattrapage à la suite d'années de vaches maigres», a-t-il affirmé. Il a noté que Montréal avait connu une baisse des prix des maisons, sur une base mensuelle, pendant les trois derniers mois de 2008. Par contre, les prix ont très légèrement augmenté (0,1%) en janvier 2009 par rapport à décembre 2008. M. Beauséjour a affirmé que les Québécois qui avaient l'intention d'acheter une maison au cours des deux prochaines années avaient toujours cette idée en tête, mais qu'ils envisageaient de retarder cette acquisition compte tenu de la situation économique.
  20. La banlieue attire les immigrants Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du vendredi 20 mars 2009 Mots clés : Banlieue, Municipalité, Immigration, Canada (Pays) Les villes demandent des fonds pour mieux les intégrer Les immigrants habitent de plus en plus dans les banlieues de Montréal. La part des nouveaux arrivants installés dans la ville centre de la région métropolitaine est passée de 79 % à 67 % entre 2002 et 2006. L'«étalement démographique» s'observe aussi à Toronto et à Vancouver. Voilà une des étonnantes découvertes du récent rapport Immigration et diversité dans les villes et les collectivités canadiennes dévoilé hier à Toronto par la Fédération canadienne des municipalités (FCM). «La voix nationale des gouvernements municipaux canadiens», fondée en 1901, compte près de 1800 membres. «Les immigrants continuent de vivre pour la plupart dans les plus grands centres urbains et les plus instruits s'installent en nombre croissant dans les banlieues et les municipalités de plus petite taille, a résumé Jean Perrault, maire de Sherbrooke et président de la FCM. Ceux qui demeurent dans les grandes villes font face à des enjeux socioéconomiques beaucoup plus importants.» Bien que plus scolarisés que l'ensemble des Canadiens, les immigrants comptent davantage sur l'aide sociale et souffrent plus que les autres du chômage. Plus de quatre familles migrantes sur dix vivent avec de faibles revenus, soit trois fois plus que le reste des Canadiens. Le président Jean Perrault a donc demandé que les villes soient consultées «comme des partenaires» pour la définition des politiques et des programmes en matière d'immigration. Il a également réclamé des fonds des ordres supérieurs de gouvernement, sans toutefois chiffrer les besoins. «Les municipalités ne sont pas responsables de l'arrivée des immigrants et pourtant elles doivent en assumer une bonne partie des coûts», a-t-il dit. Il s'agit du cinquième rapport thématique sur la qualité de vie dans les villes canadiennes publié par la fédération. L'étude disponible sur le site fcm.ca porte sur les 24 plus grandes agglomérations du pays, dont celles de Montréal, de Laval, de Québec et de Gatineau au Québec. Au total, ces grandes villes reçoivent 85 % de toute l'immigration et 90 % de tous les réfugiés au Canada. La région métropolitaine de Montréal (et ses 3,5 millions d'habitants au total) a reçu près de 40 000 immigrants en 2006, ce qui la place au deuxième rang derrière Toronto. Québec intègre environ 2000 étrangers par année. En fait, les villes canadiennes atteignent des niveaux de diversité culturelle exceptionnels, même à l'échelle internationale. Toronto et Vancouver ont des populations plus diversifiées que toutes les autres grandes villes de l'Amérique ou de l'Australie. Montréal, Calgary et Edmonton font également partie des dix principaux pôles d'immigration en Amérique du Nord. http://www.ledevoir.com/2009/03/20/240661.html (20/3/2009 9H45)
  21. Fièvre olympique à la Bourse Publié le 07 mars 2009 à 11h45 | Mis à jour le 07 mars 2009 à 11h58 Vincent Brousseau-Pouliot La Presse Dans un an, le monde entier aura les yeux tournés vers Vancouver, qui accueillera les Jeux olympiques d'hiver. La communauté financière, elle, est déjà en mode olympique. En décembre dernier, le Dow Jones a mis à jour son indice boursier olympique en prévision des Jeux de Vancouver. Créé en décembre 2006 en prévision des Jeux de Pékin, l'indice boursier olympique Dow Jones est le véhicule d'investissement fait sur mesure pour ceux qui veulent bénéficier de la manne olympique. Il regroupe les sociétés inscrites en Bourse associées à l'organisation des Jeux. «Notre raisonnement, c'est que les entreprises qui ont des liens avec les Jeux olympiques tendent à faire de meilleures affaires durant leur cycle olympique, dit John Prestbo, directeur exécutif des indices boursiers Dow Jones. Les profits de ces entreprises ont tendance à être plus élevés. Leur rendement boursier aussi.» L'indice est composé essentiellement de trois sortes de titres?: les multinationales qui commanditent le mouvement olympique d'année en année (ex?: Coca-Cola, McDonald's, VISA, Samsung), les commanditaires canadiens des Jeux de Vancouver (ex?: RONA, la Banque Royale, GM, Bombardier, le Canadien Pacifique) et les fournisseurs officiels de Vancouver 2010 (ex?: 3 M, George Weston, Saputo, TransCanada Corp). L'indice regroupe actuellement 32 titres provenant de sept pays. Pays hôte des Jeux de 2010, le Canada compte le plus de titres au sein de l'indice (15), devant les États-Unis (12), le Japon (2), la Corée du Sud (1), la Suisse (1), la France (1) et le Royaume-Uni (1). Chaque titre ne peut toutefois constituer plus de 10% de la valeur de l'indice. C'est ainsi que les grandes sociétés américaines Coca-Cola et McDonald's, qui occupent les deux premiers rangs de l'indice, voient leur participation maximisée à 10%. «C'est notamment pour augmenter le rendement de l'indice, dit John Prestbo. L'impact des Jeux olympiques sur l'ensemble de leurs activités est moins important en raison de leur statut de multinationale. Les entreprises de construction canadiennes, par exemple, seront davantage touchées par les Jeux de Vancouver qu'une entreprise comme McDonald's.» Rendement supérieur à la moyenne Depuis sa création en décembre 2006, l'indice olympique Dow Jones a perdu 30% de sa valeur. Malgré tout, il a battu presque tous les indices de référence nord-américains et mondiaux. Durant la même période, l'indice américain S?&?P 500 a perdu 53?%, la Bourse de Toronto 41?% et l'indice mondial Morgan Stanley 53%. Seul l'indice de la Bourse de Shanghai a fait mieux que l'indice olympique Dow Jones, perdant 17% de sa valeur depuis décembre 2006. «L'indice olympique n'est pas immunisé contre les tendances générales du marché, dit John Prestbo. Quand ça va mal en Bourse, le facteur olympique n'est pas nécessairement une protection (contre des pertes).» Les investisseurs qui ont misé sur l'indice olympique Dow Jones à un an des Jeux de Pékin ont toutefois gagné leur pari. Entre août 2007 et août 2008, l'indice olympique a gagné 5,4% alors que la Bourse de Shanghai encaissait des pertes de 38?%. Retirer ses billets à la veille des Jeux permet-il de maximiser son investissement dans l'indice olympique?? Après une seule olympiade, il est trop tôt pour tirer des conclusions définitives, mais l'inventeur de l'indice est optimiste. «Comme l'indice a obtenu d'excellents résultats avant les Jeux, c'est toutefois une hypothèse valide», dit John Prestbo. Points d'interrogation Même si l'indice olympique Dow Jones a battu la plupart des indices de référence, l'analyste boursier Jean-René Ouellet met les investisseurs en garde contre certaines de ses particularités. «La dynamique de l'indice olympique Dow Jones est intéressante, mais l'indice est très mal diversifié», dit l'analyste du groupe conseil en portefeuilles de Valeurs mobilières Desjardins. Jean-René Ouellet s'inquiète de la surpondération de l'indice olympique Dow Jones dans plusieurs secteurs, notamment la consommation discrétionnaire (21% contre 5% au TSX et 8% au S?&?P 500), la consommation durable (19% contre 4% au TSX et 14% au S?&?P 500) et le secteur industriel (23% contre 6% au TSX et 10?% au S?&?P 500). L'indice olympique ne contient aussi aucun titre dans le secteur de la santé et des télécommunications. «?En temps de récession, les gens réduisent considérablement leur consommation discrétionnaire, un secteur où l'indice olympique est très surpondéré, dit-il. Les gens changent leur comportement durant une récession. Ils ne commenceront pas à rénover leur maison parce que Rona remet des médailles olympiques.?» L'analyste boursier note aussi quelques titres en difficulté au sein de l'indice olympique?: GM, Samsung, CanWest Global Communications et Teck Cominco, pour ne nommer que ceux-là. Bref, s'il trouve l'exercice olympique de Dow Jones intéressant, Jean-René Ouellet demeure sceptique. «Intuitivement, ça semble bon, mais il y a quelques points d'interrogation quand on gratte un peu, dit-il. Et il ne faut pas oublier que créer des indices, c'est une industrie pour Dow Jones.» Le créateur de l'indice olympique Dow Jones, John Prestbo, incite aussi à la prudence les investisseurs canadiens atteints de fièvre olympique. Aussi amusant soit-il, son indice n'a pas été conçu afin d'y faire fructifier tout son portefeuille boursier. «Ça demeure un véhicule d'investissement secondaire, dit-il. C'est une bonne façon d'avoir un peu plaisir en investissant tout en bénéficiant d'un phénomène économique réel, dit-il. On peut investir dans l'indice olympique pour essayer de majorer ses rendements, mais on ne doit pas y investir tout son argent.» * * * Pas disponible au Canada Les Canadiens s'apprêtent à accueillir les prochains Jeux olympiques, mais l'indice olympique Dow Jones n'est pas disponible au pays, faute d'intérêt de la part des institutions financières. Pour l'instant, l'indice olympique n'est offert que dans certaines institutions financières de Londres, la ville hôtesse des Jeux d'été en 2012. «Nous discutons actuellement avec des institutions financières canadiennes pour rendre l'indice olympique disponible au Canada», dit John Prestbo, directeur exécutif des indices boursiers Dow Jones. Le Mouvement Desjardins, qui ne connaissait pas l'existence de l'indice olympique Dow Jones avant le coup de fil de La Presse Affaires, n'a pas l'intention de l'offrir à ses clients d'ici le début des Jeux olympiques de Vancouver le 12 février 2010. «Ce n'est pas sur notre radar», dit le porte-parole André Chapleau. Même son de cloche du côté de la Banque Royale, pourtant commanditaire de Vancouver 2010. «Ça ne fait pas partie de nos projets en 2009», précise le porte-parole Raymond Chouinard. John Prestbo suggère tout de même aux investisseurs canadiens de jeter un coup d'oeil à son indice olympique. «L'indice donne une idée des entreprises qui pourraient mieux faire cette année en raison des Jeux olympiques de Vancouver en 2010, dit-il. Les investisseurs peuvent sélectionner quelques titres sans nécessairement acheter l'indice au complet, ce qui est impossible de toute façon à l'heure actuelle au Canada.»
  22. Les députés de la Colombie-Britannique adoptent une loi permettant à la ville de Vancouver d'emprunter un montant illimité afin de terminer la construction du village olympique. Pour en lire plus...
  23. Les JO 2010 de Vancouver en péril ? publié le 13/01/2009 à 07h06 Les Jeux Olympiques de Vancouver (Canada) doivent se dérouler en 2010, mais déjà, la ville manque d’argent... Le coût total de l’opération s’avère double de celui estimé au départ du projet! Le gouvernement canadien ne versera aucune somme supplémentaire pour l'organisation des jeux Olympiques d'hiver de Vancouver en 2010, malgré d'importants dépassements de coûts, a averti lundi le Premier ministre Stephen Harper. “ Nous n'allons pas fournir de fonds additionnels et nous n'allons pas assumer les coûts supplémentaires ”, a déclaré M. Harper lors d'une conférence de presse tenue à Vancouver (Colombie-Britannique, ouest). Quelque 450 millions de dollars (369 M USD) manquent à la ville de Vancouver pour finir de payer le village olympique de False Creek, dont le coût total de la construction avoisine le milliard de dollars (820 M USD). Le Premier ministre canadien a toutefois rappelé qu'Ottawa règlerait “ le problème des coûts de la sécurité ” estimés à 175 millions de dollars lors de l'attribution des jeux, en 2003, mais qui devraient plutôt atteindre un milliard de dollars.
  24. L'entreprise de Vancouver anticipe maintenant une production de 2,3 millions d'onces en 2008, avec un total de coûts directs d'environ 300 $ US par once. Pour en lire plus...
  25. La minière de Vancouver a indiqué jeudi que cette annonce fait partie d’une stratégie globale afin de réduire ses coûts. Cette mesure permettra à l’entreprise de sauver 85 M$. Pour en lire plus...
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