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Bientôt un camping urbain à Montréal ? par Philippe Lépine 17 Juillet 2012 Si l’idée de camper au centre-ville semble relever du mouvement Occupy, elle réjouit les amoureux de la nature et du tourisme durable qui ne peuvent pas s’évader de la ville. Les premiers piquets ont déjà été plantés dans certaines métropoles, et à Montréal, un projet de campings urbains est sur la table… de piquenique. Les amateurs de plein air, les cyclotouristes et les vacanciers à petit budget pourraient être séduits par l'ambitieux projet de Vincent Léger et ses partenaires : créer des terrains de camping à deux pas du centre-ville. « Une tente pour 75 dollars au lieu d'une chambre à 250, ça vaut la peine », croit le consultant en écotourisme et copromoteur du projet. Selon lui, de tels endroits permettraient à Montréal de devenir un leader en tourisme vert et de faire concurrence aux Américains, qui attirent beaucoup de voyageurs avec des campings semblables à New York. Le groupe Boréalis, dont Vincent Léger fait partie, voit grand. Il propose d'utiliser la bâche du Stade olympique, qui doit être remplacée, pour couvrir un écocamping au Parc olympique. Un autre camping pourrait être aménagé au bassin Peel, près du canal de Lachine, où les projets de casino et du Cirque du Soleil ont avorté en 2006. Ces campings seraient exclusivement réservés aux tentes et n'offriraient pas de service d'électricité, ce qui en ferait un substitut vert aux types d'hébergement traditionnels. Mais ne déroulez pas votre sac de couchage trop vite. La Ville n'a pas encore délivré les autorisations nécessaires. Les promoteurs consultent actuellement Tourisme Montréal afin d'élaborer un plan d'aménagement. Le porte-parole de l'organisme, Pierre Bellerose, croit que ce type d'hébergement pourrait attirer une nouvelle clientèle dans la métropole. « Le problème, c'est que les terrains sont très chers dans les grandes villes et qu'on ignore encore si le projet serait assez rentable », dit-il. Le groupe Boréalis serait tout de même prêt à occuper temporairement les terrains vacants. http://www.lactualite.com/culture/bientot-un-camping-urbain-montreal?page=0,1 http://ecocampingurbaincanada.wordpress.com/
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Un autre petit projet à Pointe-St-Charles. Rien d'extravageant mais cela participe à l'effort de densification d'un quartier situé à proximité du Centre-Ville. http://www.urbainducanal.com/ Je ne suis pas capable de mettre la photo du projet en ligne !!!
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Cadre de révision des hauteurs et densités du centre-ville
un sujet a posté booboohome2003 dans Discussions générales
PUBLIÉ LE 23 AVRIL 2012 // ACTUALITÉS, DÉVELOPPEMENT URBAIN, NOUVELLES CONSTRUCTIONS, POLITIQUES MUNICIPALES inShare Les membres du conseil municipal ont adopté le Cadre de révision des hauteurs et densités du centre-ville, préparé par la Direction de l’aménagement urbain et des services aux entreprises de l’arrondissement de Ville-Marie. Ce document confirme la révision des hauteurs et des densités dans plusieurs zones situées aux abords du centre des affaires. « Le Cadre de révision fait désormais partie des outils de référence qui permettront à l’arrondissement de planifier encore plus précisément le développement urbain du centre-ville. Il prévoit des paramètres qui favoriseront la densification de plusieurs secteurs et du même coup la disparition de nombreux terrains vacants », a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. Une démarche saluée Initié par l’arrondissement de Ville-Marie en 2011, le Cadre de révision renforce le rôle stratégique que joue le centre-ville dans le développement urbain de Montréal. La démarche a fait l’objet de consultations publiques tenues par l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) l’automne dernier. Dans l’ensemble, les intervenants ont reconnu la pertinence de la démarche et la qualité de l’analyse urbanistique réalisée par l’arrondissement. Dans son rapport remis en février dernier, l’Office souscrit d’ailleurs à la grande majorité des propositions, et plus particulièrement à une réduction des hauteurs maximales sur le flanc sud du mont Royal (au nord de la rue Sherbrooke), à la limite ouest du Vieux-Montréal (dans l’axe de la rue McGill) et dans l’axe de certaines vues importantes vers le mont Royal. Le Cadre comprendra également une augmentation des hauteurs maximales dans 33 zones situées au pourtour du centre-ville, caractérisé par la présence de terrains vacants depuis de nombreuses années ainsi qu’une augmentation des densités dans neuf secteurs. Des ajustements seront faits aux catégories de hauteurs : 44 mètres devient 45 mètres, 60 mètres devient 65 mètres et une nouvelle catégorie de hauteur de 35 mètres est créée. Source : Montréal / 20 avril 2012 / Ville de Montréal -
MEZZ ST-DOM - Condominium [sTREETVIEW]http://maps.google.ca/maps?hl=fr&ie=UTF8&ll=45.541748,-73.638493&spn=0,0.003484&t=h&z=19&layer=c&cbll=45.541748,-73.638493&panoid=LwFrm8xz2eAs0t-P0uocyw&cbp=12,347.53,,0,-3.48[/sTREETVIEW] http://www.mezzstdom.com/ Mezz St-Dom est un projet de condominiums neufs à Montréal. Situé sur la paisible rue St-Dominique, en retrait de Crémazie, les condominiums neufs de Mezz St-Dom offrent des espaces de vie uniques dont certains condos seront dans l'édifice d'origine tandis que d'autres seront de construction neuve. Offrant des finitions de qualité avec une grande possibilté de personnlisation des unités lors de la prévente, Mezz St-Dom est un projet unique et urbain. La terrasse commune sur le toit ainsi que l'espace de rangement pour les vélos seront également très prisé de la jeune clientèle du quartier Mezz St-Dom est une réalisation de Maisons Top Inc. qui oeuvre dans le domaine de la construction résidentielle, tant au Québec qu'en Ontario et en Floride depuis plus de 50 ans.
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Projets neufs / LE PIVOT,LIVRAISON SEPTEMBRE 2010 DE 21 UNITÉS Le site du projet est une tête d'ilot.Il est à la jonction des trois arthères;Papineau,des Carrières et Marquette.Un site``PIVOT``entouré de paysages urbains variés et de la piste cyclable. Vers le sud,la rue Marquette est définie pas des immeubles résidentiels de trois étages d' un coté et ouverte sur le grand espace vert de Parc Marquette de l'autre coté.La forme,ainsi que le traitement de l'enveloppe du projet reflètent la diversité du caractère urbain environnant.Du coté de la rue Papineau,l'enveloppe du projet se superpose à la ligne de la propriété.En traversant la rue De Carrière,elle se déploie en trois segments de cercle,qui s'emboîtent et se succèdent sur leurs parcours vers la rue Marquette.Face à cette dernière,la facade du batîment en retrait,par rapport à la ligne de propriété,s'ouvre sur l'ensemble du Parc à travers de larges baies vitrées qui assurent aux résidents une vue panoramique sur le Parc et sur le Mont-Royal de l'intérieur de leurs logements. http://www.jutrascourtage.com/7-projet-condominium/LE_PIVOTLIVRAISON_SEPTEMBRE_2010__DE_21_UNITES.html
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Développement urbain à Montréal Vers une pénurie de terrains, selon l’APCHQ Première publication 21 septembre 2011 à 17h23 Vers une pénurie de terrains, selon l’APCHQ Par Laurent Dionne | Agence QMI La grande région de Montréal fera bientôt face à une pénurie de terrains pour de nouvelles constructions résidentielles, a prévenu mercredi l'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ), qui estime par ailleurs que 110 000 ménages auront de la difficulté à se trouver un logement durant les 20 prochaines années. L'APCHQ espère que cet avertissement sera pris en compte par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) dans le cadre de son Plan métropolitain d'aménagement et développement (PMAD), qui prévoit la façon dont le développement urbain de la région montréalaise se fera au cours des deux prochaines décennies et qui fera l'objet de consultations publiques cet automne. «Actuellement, près de 60% des territoires de la CMM sont zonés agricoles. De cette superficie, l'équivalent de deux fois et demie l'île de Montréal représente des terrains inutilisés», a avancé Marc Savard, directeur général de l'APCHQ, en point de presse. Le plan d'aménagement du CMM propose de surcroît un gel du territoire pour les cinq prochaines années. Selon l'Association, les MRC de l'Assomption et Thérèse-de-Blainville souffrent déjà d'une pénurie de terrains résidentiels, et d'ici 2019, quatre territoires supplémentaires connaîtront le même problème. Afin de pallier cette situation, l'APCHQ propose d'utiliser progressivement le territoire non utilisé à hauteur de 5%. La densification, un autre problème Toujours selon l'APCHQ, il existe un autre effet néfaste du PMAD s'il est accepté tel qu'il est conçu actuellement, soit une densification abrupte et arbitraire de la population. Les prix des logements poursuivraient sur leur lancée et les maisons unifamiliales ne seraient réservées qu'aux plus nantis. Tous ces enjeux seront évalués cet automne et le PMAD doit être adopté dans sa forme finale au plus tard le 31 décembre.
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Densification dans le West-Island. Et le projet n'est pas si mal en plus de ça. ''La première de 5 phases d’un tout nouveau projet urbain dans l'Ouest de l'Île, H1 verra une nouvelle communauté émerger au sein de Pointe-Claire. Avec plus de 200 unités de condos modernes sur 5 phases, H1 offrira une toute nouvelle expérience de vie urbaine dans la ville historique de Pointe-Claire.'' http://h1habitat.com/fr/index.php
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http://www.ecocity2011.com/accueil/default_f.asp Les personnes. L’écologie. L’urbanité. Cap vers les écocités. Le programme du Sommet s'appuiera sur les travaux des Sommets mondiaux Écocité antérieurs, en plus de présenter de nouveaux thèmes de conférences, des méthodes participatives ainsi que des projets qui survivront au-delà de la durée du Sommet. La conception et le contenu détaillé du Sommet mondial Écocité seront élaborés en collaboration avec des partenaires locaux et internationaux. Un effort particulier sera fait pour que l'expertise écologique urbaine particulière de Montréal soit mise de l'avant. THÈMES TRANSVERSAUX PARCOURS DE LA CONFÉRENCE Thèmes transversaux Le programme du Sommet mondial Écocité est organisé autour de six thèmes transversaux qui permettront d’examiner la recherche de pointe et de présenter des solutions concrètes qui contribuent à l'élaboration et à la gestion des écocités. Tous les intervenants présenteront des conférences portant sur leur propre domaine d'expertise et expliqueront la relation entre leur travail et la vaste gamme de problèmes sociaux, économiques et biophysiques qui font partie intégrante de la notion d’écocité. Des panels multidisciplinaires spéciaux, qui se concentreront sur les liens entre les différents thèmes, ont été mis sur pied afin de donner un aperçu holistique des principes à la base des écocités. Ils traiteront notamment de la conception de bâtiments verts pour les collectivités durables; de nouvelles technologies pour élaborer des infrastructures écologiques, comme l’amenée de résidus vers les centrales d'énergie; de l’élaboration de solutions d'écomobilité; de stratégies économiques pour soutenir les écocités; et de l’engagement citoyen ainsi que de la prise en charge par la population. Notre objectif: un programme commun afin de construire des écocités. Les participants à la conférence auront la possibilité d'étendre leurs réseaux, d’apprendre à partir de recherches novatrices et d’expériences faites ailleurs dans le monde, de contribuer à la réflexion sur les écocités et à l’évolution du mouvement des écocités et, finalement, de repartir avec de nouvelles connaissances, des outils et des approches qu’ils pourront adapter à leurs propres villes et pays. CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET ÉCOCITÉ Les villes doivent faire partie de la solution aux changements climatiques : jusqu’à 70 % des gaz à effet de serre (GES) sont produits dans les villes qui accueillent plus de 50 % de la population mondiale. Une écocité pourra faire face aux changements climatiques en relevant les défis relatifs à l’étalement urbain, au transport collectif, à la réduction et la valorisation des matières résiduelles ainsi qu’aux normes, aux matériaux et au design des bâtiments. Les écocités deviendront plus flexibles pour s’adapter aux menaces et aux risques accrus encourus par les infrastructures à la suite des changements climatiques. Les sessions prévues dans cette thématique aborderont comment les écocités peuvent faire face aux défis des changements climatiques. Parmi les sous-thèmes : combiner les stratégies d’atténuation et d’adaptation pour faire face aux changements climatiques; logements, aménagement urbain et changements climatiques; l’économie des changements climatiques dans les villes : impacts et opportunités. Les fournisseurs de technologies permettant de réduire les émissions de GES dans les villes seront particulièrement intéressés par ce sujet. ÉCOMOBILITÉ, AMÉNAGEMENT URBAIN ET ESPACE PUBLIC Comment devrions-nous organiser les villes et les banlieues pour permettre l’écomobilité ? Comment pouvons-nous activer l’espace public ? Les villes et les banlieues sont des entités dynamiques, en constante transformation. Sans cesse, comme tout écosystème, elles sont étalonnées et adaptées à leurs populations changeantes. Les qualités de transformation des régions urbaines présentent des défis et des opportunités. De nombreuses régions métropolitaines sont dépendantes de la voiture, car elles ont été construites et reconstruites pour favoriser l’automobile. D’autres modes de transport, comme la marche et la bicyclette, sont non seulement peu favorisés, mais sont souvent dangereux. Nous n’avons toujours pas réussi à éliminer les approchantes prédominantes en aménagement qui ont mené à ce que tant d’espace urbain soit cédé à l’automobile. Un objectif de convivialité devrait être ciblé dans la façon dont on répond aux besoins de base, tels que les logements, la nourriture, le développement personnel, les loisirs et le transport. Le défi est fondamentalement une question d’aménagement. Les sessions couvrant ce thème font explorer les questions-clés suivantes : Pourquoi et comment repenser l’aménagement de nos villes dans une perspective à long terme tout en posant des actions significatives à court terme ? Quelles sont les expériences inspirantes et les conditions de leur émergence ? Quels résultats pouvons-nous anticiper en faisant quels compromis ? Quels rôles peuvent jouer l’aménagement et le design dans le développement de stratégies réalistes pouvoir encourager la marche, la bicyclette et l’utilisation des transports collectifs et dans leur mise en œuvre ? GOUVERNANCE ET DÉMOCRATIE DANS UNE ÉCOCITÉ Transformer nos villes en écocités implique une nouvelle façon de concevoir la ville, mais aussi de la gouverner. D’une part, il faut revoir le fonctionnement des politiques publiques des municipalités et des gouvernements supérieurs pour que celles-ci s’ajustent à une vision intégrée du développement urbain durable. D’autre part, de nouvelles formes de participation citoyenne doivent être implantées afin de faire une plus large place à ceux-ci dans les processus de planification et de gestion des affaires urbaines. Les sessions couvrant ce thème seront orientées par trois sous-thèmes : la participation citoyenne, le changement social et l’innovation, le gouvernement et la gouvernance. De nombreuses questions-clés seront abordées. Quelles sont les conditions politiques et administratives du changement? Quelles sont les expériences inspirantes? L’ÉCONOMIE D’UNE ÉCOCITÉ Quel est la raison d’être du développement économique dans une écocité et comment définir les termes tels que « développement durable », « prospérité », « bien-être » et « qualité de vie » en lien avec cette notion ? Trois sous-thèmes tentent de répondre à cette question de fond. En premier lieu, comment favoriser les économies locales ? Les façons de maintenir la richesse et la prospérité au sein d’une écocité seront examinées à la lumière des modes de consommations de la population en matière de nourriture et de loisirs. Des défis importants doivent être relevés notamment en matière de financement de l’économie, confrontant la tendance vers la mondialisation, cherchant l’équilibre entre investissements publics et privés et gérant les relations entre l’écocité et les régions avoisinantes. La ville de transition et les mouvements sociaux prônant la ville post-carbone peuvent apporter de nouvelles approches instructives. En deuxième lieu, comment encourager le travail responsable dans une écocité ? Seront abordés les métiers verts et les nouveaux modes de travail possibles, tel que le partage du travail et des semaines plus courtes de travail ainsi que les secteurs les mieux adaptés à une écocité. En troisième lieu, comment gérer l’énergie et les besoins matériels d’une écocité ? Seront abordés les enjeux relatifs aux systèmes de production, de consommation et de gestion des matières résiduelles et les détails sur le fonctionnement d’une économie à faible émission de carbone. Par exemple, quelle est l’empreinte écologique d’une écocité ? Quels systèmes de gestion de l’eau et de traitement des eaux usées sont les mieux adaptés aux écocités, en prenant en compte leur situation géographique ? Comment poursuivre des objectifs permanents de croissance économique et de développement durable dans une ville écologique ? SANTÉ ET ENVIRONNEMENT BÂTI L’impact de l’environnement bâti sur la santé des individus et des populations est de plus en plus documenté tout comme l’est l’impact de la distribution inégale des ressources et services sur les inégalités sociales de santé. Il s’agit d’un nouveau champ d’étude en santé publique qui touche entre autres la qualité de l’air, les îlots de chaleur urbains, la sécurité des piétons et des cyclistes, le transport actif, la qualité de l’eau, l’obésité, les maladie cardio-respiratoires et la santé mentale. Ce thème portera plus particulièrement sur les façons de créer des aménagements urbains favorables à la santé (par exemple, agir sur la configuration des bâtiments, des rues et des trottoirs, la qualité des espaces publics, le verdissement, la promotion de l’engagement social, la cohésion sociale etc.). Parmi les sous-thèmes spécifiques : (i) les déterminants et processus sous-jacents à l’impact de l’environnement urbain sur la santé et les inégalités sociales de santé; (ii) les interventions, programmes et politiques publiques pour améliorer les conditions de vie urbaines afin de favoriser la santé et réduire les inégalités sociales de santé; et (iii) la mesure et l’évaluation de l’impact des interventions, programmes et politiques publiques qui visent la création d’environnements favorables sur la santé et les inégalités sociales de santé. BIODIVERSITÉ ET AGRICULTURE URBAINE La biodiversité, les espaces verts et l’agriculture urbaine sont tous les trois liés et contribuent, en effet, au bien-être de la population, de manière directe et indirecte, tant au niveau de la santé, de l’environnement que de la qualité du milieu de vie et du paysage. Au cours des dernières années, les connaissances scientifiques se sont accumulées quant aux multiples services sociétaux, économiques et écologiques. Mentionnons à cet égard l’ombrage et l’effet rafraîchissant, la captation des eaux de pluie et des polluants atmosphériques, la sécurité alimentaire. Par ailleurs, il est reconnu que le maintien du plus grand nombre d’espèces vivantes possible est nécessaire à la conservation d’écosystèmes en santé. Ces milieux participent aussi au rayonnement de la communauté, à son dynamisme économique, à sa fiscalité et à son développement social. Malgré la reconnaissance des services rendus par la biodiversité, les espaces verts et l’agriculture urbaine, une partie de ce patrimoine exige encore des efforts de développement, de préservation et de mise en valeur. Parcours de la conférence 1. LES VILLES À CLIMAT NORDIQUE : POLITIQUE, AMÉNAGEMENT ET DESIGN DE L’ÉCOCITÉ 2. UNE MEILLEURE RECONSTRUCTION EN HAÏTI ET DANS D’AUTRES ZONES SINISTRÉES 3. L'ÉCOCITÉ DE MONTRÉAL 4. ENGAGEMENT COMMUNAUTAIRE ET DES CITOYENS ET PARTICIPATION DES JEUNES 5. MESURER LES PROGRÈS DANS L’ÉCOCITÉ : INDICATEURS, NORMES ET MEILLEURES PRATIQUES 6. LES TECHNOLOGIES PROPRES AU SERVICE DES ÉCOCITÉS Les technologies propres contribuent activement au développement de villes et régions plus vertes et plus prospères. En accélérant la conception, le développement, l’adoption, la commercialisation et l’exportation des technologies propres, les grappes œuvrant dans ce secteur ont un rôle déterminant à jouer dans l’émergence de véritables écocités. Organisé par Écotech Québec, en partenariat avec la Global Cleantech Cluster Association (GCCA), ce parcours est la première rencontre internationale de cette association. Ouverte à l’ensemble des participants d’Écocité, la rencontre ciblera le partage des meilleurs pratiques et le développement de partenariats stratégiques profitables à l’ensemble des parties prenantes. Programme »»»
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Marathon d'architecture à la Grande bibliothèque le 30 avril 2011
un sujet a posté IluvMTL dans L'actualité
30 avril 2011 Marathon d'architecture à la Grande bibliothèque -------------------------------------------------------------------------------- La quatrième édition du marathon d'architecture permettra aux architectes lauréats des Prix d'excellence 2011 de présenter leur projet primé devant le public pendant 8 minutes, top chrono! De 13 h à 17 h, ils révèleront les faits saillants, parfois cocasses, qui ont entouré la réalisation de leur projet. Objectif? Faire connaître la démarche de l'architecte et la synergie avec son client, un élément essentiel au succès de tout projet d'architecture. Le défi en est un aussi de séduction puisque les architectes font campagne jusqu'au 31 mai pour remporter le Prix du public Loto-Québec ainsi que le Prix Vision architecture & jeunesse remis en collaboration avec Joli-Coeur Lacasse avocats. Entrée libre. Les projets lauréats seront présentés à tour de rôle (voir l'horaire). http://www.pea-oaq.com Direction | Ordre des architectes du Québec | 1825, boulevard René-Lévesque Ouest, Montréal (Québec) H3H 1R4 | T. 514.937.6168 | info@oaq.com | oaq.com Production déléguée : SCPGR | Sylvie Champeau | 1858, avenue Woodland, Montréal (Québec) H4E 2J3 | T. 514.983.6547 | pea@scpgr.com | scpgr.com Horaire Description Firmes ou organismes 12 h 30 Ouverture des portes 12 h 45 Mot de Bienvenue Bibliothèque et Archives nationales du Québec 12 h 50 Mot du président de l'Ordre des architectes du Québec André Bourassa, architecte 12 h 54 Mot du partenaire principal, TD Assurance Meloche Monnex Marie Cacchione, Directrice, Marché de l'affinité, Québec 12 h 58 Explications des règles du Marathon d'architecture et coup d'envoi Sylvie Champeau, agence SCPGR, productrice déléguée 13 h 00 Mission Kitcisakik, Architectes de l'urgence Canada Guillaume Lévesque, architecte, lauréat du prix Action 13 h 10 Résidence Saint-Hubert _naturehumaine 13 h 20 Résidence de la Congrégation _naturehumaine 13 h 30 Abbaye Val Notre-Dame Atelier Pierre Thibault inc. 13 h 40 Résidence André-Coindre (1965) Jean-Marie Roy, architecte (présentation par Martin Dubois, Patri-arch) 13 h 50 Les Quatre Arbres Les Architectes Boutros + Pratte 14 h 00 Agrandissement du Centre de formation professionnelle Gabriel-Rousseau Le consortium AC/a (Anne Carrier architecte) et Poulin architectes 14 h 10 Conservatoire de musique et d'art dramatique de Montréal Saia Barbarese Topouzanov architectes 14 h 20 Théâtre Denise-Pelletier Saia Barbarese Topouzanov architectes 14 h 30 Le 300 St-Paul �� Place Telus ABCP Architecture en collaboration avec Claude Guy, architecte 14 h 40 Siège social de Schlüter-Systems (Canada) inc. DCYSA architecture & design 14 h 50 Centre spécialisé de technologie physique du Québec Le consortium bisson associés + carl charron architecte 15 h 00 Université de Sherbrooke �� nouveau campus de Longueuil Le consorium Marosi +Troy, Jodoin Lamarre Pratte, Labbé architecte 15 h 10 Hôtel Marriott de l'aéroport Montréal-Trudeau et Siège social d'Aéroports de Montréal Provencher Roy + Associés architectes 15 h 20 Restauration du pavillon de la Jamaïque de l'Expo 67 à l'île Notre-Dame Réal Paul, architecte 15 h 30 Théâtre de Quat'Sous Les architectes FABG (Brodeur, Gauthier, Lavoie, architectes) 15 h 40 Place des Festivals - Quartier des spectacles Daoust Lestage inc. architecture design urbain 15 h 50 Vitrines habitées - Quartier des spectacles Daoust Lestage inc. architecture design urbain 16 h 00 Scandinave Les Bains Vieux-Montréal Saucier + Perrotte Architectes 16 h 10 Boutique Michel Brisson_ Saucier + Perrotte Architectes 16 h 20 Unité de vie des Filles de la charité du Sacré-Cœoeur de Jésus acdf* architecture | urbanisme | intérieur / Allaire Courchesne Dupuis Frappier 16 h 30 La Cornette YH2, Yiacouvakis Hamelin, architectes 16 h 40 Géométrie noire YH2, Yiacouvakis Hamelin, architectes 16 h 50 Maison-atelier du Moine Urbain Gabriel Rousseau, architecte 17 h 00 Conclusion du Marathon et vernissage de l'exposition Entrée libre �� Auditorium de la Grande Bibliothèque, 475, boul. De Maisonneuve Est, Montréal �� Métro Berri-UQAM Marathon d’’architecture 2011 « Un défi intellectuel pour les architectes, 240 minutes de pur bonheur et d’’inspiration pour le public. » « Une invitation à venir voir performer puis rencontrer les architectes qui se sont illustrés dans le cadre des Prix d’’excellence en architecture de l’’Ordre des architectes du Québec. » Le samedi 30 avril http://www.oaq.com/larchitecture/actualite/evenements/vue_detaillee/article/marathon_darchitecture_le_30_avril_a_la_grande_bibliotheque.html- 1 réponse
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IBI Group Inc. conclut l'acquisition de la firme Cardinal Hardy
un sujet a posté GDS dans L'actualité
24 janvier 2011 http://www.pi2.ca/Contenus/Article/2011/2011-01-24/IBI-Group-Inc--conclue-la-Fusion-Acquisition-de-la.aspx IBI Group Inc. conclut la Fusion/Acquisition de la firme Groupe Cardinal Hardy Inc IBI Group Inc., (Compagnie) annonce l'acceptation de toutes les négociations d'affaires et légales donnant lieu à la fusion de la pratique professionnelle de Cardinal Hardy Architectes (CHA) au sein de Beinhaker Architecte membre du Groupe IBI. En parallèle, la compagnie Groupe Cardinal Hardy Inc. a été fusionnée directement dans Groupe IBI. Cardinal Hardy Architectes offre des services complets d'architecture réputés par son travail remarquable de conception et de réalisation technique s'étendant à des projets institutionnels de transport (Aéroport de Montréal - Trudeau Airport à Dorval), des infrastructures sociales comprenant des bâtiments pour la santé et l'éducation, des projets privés de développement avec des développeurs dominants de la grande région de Montréal. L'entreprise apporte aussi une expertise remarquable avec un porfolio de réalisations en design urbain et architecture du paysage. L'entreprise est active dans ce domaine depuis ses débuts en 1976. Phil Beinhaker, président et chef de la direction du Groupe IBI et propriétaire de Beinhaker Architecte, a déclaré que «Aurel Cardinal et Michel Hardy conjointement avec les autres associés ont établi une pratique professionnelle remarquable en architecture, design urbain et architecture du paysage. Par la variété de leur travail créatif, professionnel et responsable, ils ont acquis une formidable réputation auprès d'une clientèle institutionnelle, des développeurs privés ainsi qu'avec des jeunes professionnels recherchant à évoluer dans l'environnement de leurs compétences. Ensemble avec la présence actuelle du Groupe IBI au Québec, incluant le groupe DAA et la pratique professionnelle affiliée de Martin Marcotte Beinhaker Architectes et Beinhaker Architecte, une remarquable et parfaite collaboration de professionnels est maintenant constituée servant une large gamme du développement de l'environnement urbain. L'expertise de la firme en transport et tout particulièrement dans les terminaux d'aéroport, les domaines institutionnels, le logement et le développement urbain, peut contribuer aux projets du Groupe IBI dans le monde entier». Aurel Cardinal a déclaré que « Nous, chez CHA et GCHI, accueillons cette opportunité d'amener notre travail à un niveau international, aux États-Unis, en Europe et en Asie, avec nos nouveaux collègues du Groupe IBI continuant ainsi notre quête d'excellence en tant que concepteurs de bâtiment et dans l'environnement de la construction. » Michel Hardy a ajouté, «Nous avons développé des compétences dans des domaines spécialisés telles que nos réalisations dans les terminaux de passagers d'aéroport, ce que nous pouvons ajouter à notre base au Québec avec les compétences plus larges de IBI en matière de transport et d'ingénierie des aéroports, offrant cette expérience sur des marchés ailleurs. » Le personnel de CHA et GCHI est constitué d'environ 75 personnes. Le Groupe IBI, incluant les architectes affiliés, comprend maintenant 2600 personnes.-
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Mordecai Richler's Montreal Ten years after Mordecai Richler's death, Sian Griffiths goes on a literary crawl of the novelist's old neighbourhood as well as some of his downtown drinking haunts Sian Griffiths guardian.co.uk, Tuesday 11 January 2011 11.27 GMT Article history Schwartz's Montreal Hebrew Delicatessen ... Richler was a big fan of their famous smoked meat sandwich. Photograph: Sian Griffiths Nearly 10 years after his death, there is again great interest in the award-winning author Mordecai Richler and his vision of Montreal. A new Golden Globe-nominated film based on his book Barney's Version, starring Paul Giamatti and Minnie Driver, is being released in the UK at the end of this month. In Montreal, there is a movement to commemorate Richler by naming a street or place after him - which is meeting with strong resistance from Quebec nationalists who still resent how he poked fun at their cause and what he saw as their draconian language laws, especially in his book Oh Canada! Oh Quebec! Requiem for a Divided Country. Mordecai Richler. Photograph: Steve Russell/AP But Richler will always be remembered for using his biting wit and vivid imagery to evoke the experience of the "minority within a minority" - Montreal's Jewish immigrants - in classics such as The Apprenticeship of Duddy Kravitz. Richler grew up on Rue St Urbain in the historic Mile End district, a 15-minute ride on the 55 bus from downtown Montreal. In its heyday, during the early 1950s, this district was home to a 25,000-strong Jewish working-class community. Yiddish was the language of the street and small home-grown businesses, bakeries and factories flourished. The new arrivals settled mostly around Boulevard St-Laurent. "The Main", as it came to be known, was the unofficial demarcation line between the city's anglophones and francophones. The Jewish neighbourhood effectively became the buffer zone between Montreal's English-speaking and French-speaking communities. Today the area has lost much of its Jewish character as the earlier immigrants became more affluent and moved to more well-heeled anglophone neighbourhoods, such as Westmount. Spanish, Portuguese and Italian immigrants have since moved in, and the area is now more hip, arty and gentrified, with the factories having been converted into trendy lofts. But there are still charming reminders that celebrate an important chapter in Montreal's history. St Viateur Bagel Shop Open 24 hours a day, St Viateur - now run by an Italian - is one of Montreal's institutions and a mainstay of Mile End. Richler's fictional students stop for bagels in the opening scenes of The Apprenticeship of Duddy Kravitz. Enjoy the aroma and the show as the cheeky, cheerful staff prepare fresh bagels (35p and up) in a wood-fired oven. Assorted spreads are available separately (£1.90 and up + tax). • 263, Rue Saint-Viateur Ouest, stviateurbagel.com, +1 514 276 8044. Rue St Urbain Richler grew up at the northern end of Rue St Urbain between Avenue du Parc and Boulevard St Laurent. The street, which was immortalised in Richler's St Urbain's Horseman, was to influence the author's work for a lifetime: "One street would have seemed as squalid as the next. On each corner a cigar store, a grocery, and a fruit man. Outside staircases everywhere," he wrote in The Apprenticeship of Duddy Kravitz. That vision is largely gone, along with the old Jewish immigrant community. Richler's own home at number 5257 is opposite a yoga centre, evidence of the area's gentrification. He attended Baron Byng High School at number 4251. Now a community centre, its students were largely working-class Jewish kids - many of whom, like Richler, became very successful: William "Captain Kirk" Shatner and Nobel Chemistry Prize winner Rudolph Marcus are among the alumni. Duddy fans will recognise Baron Byng as "Fletcher's Field" High School. Wilensky's Light Lunch Ruth Wilensky and daughter A few moments from the Richler home is Wilensky's, which was a favourite hangout for young Mordecai and his mates - and remains virtually unchanged since it was founded by Moe Wilensky in 1932. Newspaper clippings on the wall proudly attest their Duddy Kravitz connection. The signature dish is a grilled roll of beef salami, bologna, Swiss cheese with a liberal dash of mustard (£3), served up by family members, including Moe's spritely 90-year-old widow Ruth Wilensky. • 34 Fairmount Street West and Clark , +1 514 271 0247. Schwartz's Montreal Hebrew Delicatessen Richler indulged his fondness for smoked meats at this world-famous deli. The boulevard is bursting with energy, trendy bars, restaurants and vintage shops. He paid tribute to Schwartz's in Barney's Version, describing their smoked meat as a "maddening aphrodisiac". In his children's book, Jacob Two Two and the Dinosaur, Richler subjected one of his characters to the "Smoked Meat Torture". The deli has the air of a 50s diner. Their most popular dishes are, of course, the smoked meat sandwich (£3.70 + tax) and "the Schwartz combo platter" (steak with smoked meat on the side, salad and chips, £10.60). Celebrity fans include Angelina Jolie, the Rolling Stones, Halle Berry and Celine Dion. • 3895 Boul St Laurent, schwartzsdeli.com, + 1 514 842 4813. Mount Royal The 233m-high "mountain", home to Mount Royal Park, is an important physical divide between Westmount, (traditionally the affluent English-speaking neighbourhood) and Outremont or "other side of the mountain" (the traditionally French-speaking area), which now has a significant Hassidic Jewish community. The park, one of Montreal's greatest green spaces, was designed by New York Central Park architect Frederick Law Olmstead. It's a stunning year-round outdoor playground for hikers, joggers and cyclists and offers a wide range of winter activities including skating on the Lac aux Castors. All winter equipment can be rented from the pavilion (inner-tube £3 per day; skates £5 for two hours; cross country skis from £7.50 for three hours). There are also guided showshoeing tours (£9.50). On a clear day, the Kondiaronk Belvedere offers spectacular views across Montreal. Smith House serves tasty homemade food (soup £1.50, sandwiches from £4.00). All within walking distance of the number 11 bus route . • Smith House, 1260 Remembrance Road, lemontroyal.qc.ca, +1 514 843 8240. Mount Royal Cemetery Mordecai Richler's grave Richler's final resting place is in the vast, beautiful, 19th-century graveyard on the northern slope of Mount Royal. You can access the cemetery via the rear entrance across from Mount Royal Park on the Voie Camillien Houde (also on the 11 bus route) - although the main entrance and office are on the north side on Chemin de la Foret. It is Montreal's answer to London's Highgate cemetery, with many notable people buried here. Richler's grave overlooks his beloved St Urbain neighbourhood. Other "permanent residents" include beer baron John Molson Sr, the 18th-century explorer David Thompson, railway tycoon and Titanic victim Charles Melville Hays and, curiously, Anna Leonowens of The King and I fame. From spring to autumn there are with walking tours (free) and it occasionally stages Shakespeare in the Park. It was used for a key scene in the film Barney's Version. • Open all year around (check winter road conditions before travel). Main entrance: 1297 Chemin de la Foret. Organised Walks and Shakespeare in the Park: check website for details, mountroyalcem.com. Ritz Carlton Hotel Montreal's historic Golden Square Mile - home to high-end stores, boutiques, restaurants, the Musee des Beaux Arts and McGill University - sits on the southern slope of Mount Royal. Bounded by Chemin de la Côte des Neiges to the west, Boulevard René-Lévesque to the south and Rue University to the east, this prestigious district got its name from the well-heeled Anglo-Scottish Victorian movers and shakers who lived here around the turn of the century. The neo-classical Ritz Carlton is a vestige of this era and one of the chicest addresses in Montreal, although it's currently under renovation. Designed by Warren & Wetmore, the architects behind New York's Ritz Hotel and Grand Central Station, it's about as far from Richler's St Urbain as you can get. Its Maritime Bar was one of the author's favourites before it shut down. The wedding scenes for Barney's Version were filmed at the hotel. • 1228 Rue Sherbrooke Ouest, ritzmontreal.com, +1 514 842 4212. Grumpy's The drinking holes Richler liked to frequent, like Grumpy's, are also situated in the Golden Square Mile, just south of Rue Sherbrooke. The bar appears as Dink's in the Barney's Version film. There is a framed photograph of the writer opposite the chair he used to occupy at the end of the wooden bar. Grumpy's is known for its sociable atmosphere - although since Richler's day, it has become more popular with students, particularly McGill University's "jazz rats" drawn by the live music. Every night there is a theme, including the popular Bluegrass night on Thursday. • 1242 Rue Bishop, grumpysbar.ca, +1 514 866 9010. Winnie's Bar One street over you'll find upmarket Winnie's bar-restaurant, another favourite Richler haunt, which gets a nod in Barney's Version. Occupying the mid-section of the large Sir Winston Churchill Pub complex, it offers a warm ambiance with its marble, wood and leather decor. Many employees and regulars alike have been loyal to Winnie's for 30 years. It specialises in alcoholic coffees (Irish, Brazilian: £5.30) while the restaurant offers three-course lunch specials from £6.20. • 1455-1459 Rue Crescent, winniesbar.com, +1 514 288 3814. Ziggy's Across the street from Winnie's and down the stairs is Ziggy's, a cosy sports pub favoured by Richler, hockey fans and players. Richler liked to smoke his trademark cigars outside on the terrace. This end of Rue Crescent was closed for a street party when Richler passed away, so that regulars of Winnie's and Ziggy's could join together to celebrate the author. The emphasis at Ziggy's - where the crowd tends to be a little older - is on drinking and socialising. There is no food which is perhaps why Richler sent a taxi to pick up smoked meat sandwiches from Schwartz's. • 1470 Rue Crescent, ziggyspub.ca, +1 514 285 8855. Photographs by Sian Griffiths http://www.guardian.co.uk/travel/2011/jan/11/montreal-mordecai-richler-literary-guide
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Un nouveau mobilier urbain au centre-ville
un sujet a posté Atze dans Projets oubliés et/ou en suspens
Un nouveau mobilier urbain au centre-ville Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du samedi 11 et du dimanche 12 octobre 2008 Mots clés : mobilier urbain, Montréal Les accoudoirs des nouveaux bancs empêcheront de s'y installer pour dormir Un nouveau mobilier urbain fera graduellement son apparition au centre-ville de Montréal à compter du printemps prochain. Les nouveaux bancs publics, conçus par le designer Michel Dallaire, comporteront des accoudoirs qui les rendront inconfortables pour ceux qui voudraient s'y étendre pour dormir. En mai dernier, l'arrondissement de Ville-Marie avait confié à Michel Dallaire le soin de redessiner le mobilier urbain du centre-ville. Le contrat de 25 000 $ avait été octroyé sans appel d'offres. Le maire Benoit Labonté désirait que le designer donne au centre-ville «une signature particulière». Michel Dallaire a conçu des bancs et des poubelles à la fois sobres et fonctionnels qui remplaceront graduellement le mobilier actuel. L'arrondissement compte actuellement 500 bancs et plus de 800 poubelles, mais les aléas de la vie urbaine et les opérations de déneigement ont laissé des traces. L'une des particularités de ce nouveau mobilier est qu'il s'adaptera à l'inclinaison du terrain sur lequel il sera installé, et la mise à niveau sera facilitée. Pour concevoir les poubelles, Michel Dallaire a observé les cols bleus à l'oeuvre. Le modèle de poubelle qu'il a conçue est plus ergonomique et permet une économie de mouvement de 20 %, précise-t-il. Quant aux bancs, ils sont dotés d'accoudoirs positionnés, non pas aux extrémités, mais près du centre. Impossible donc de s'y installer pour dormir. Michel Dallaire soutient qu'il s'agit là d'une caractéristique qu'on retrouve également à Paris et à Toronto. «J'ai voulu que ce banc ne soit pas perçu comme un empêchement de dormir, mais plutôt qu'il donne des places à tout le monde», explique-t-il. À l'arrondissement, on se défend bien d'avoir voulu décourager les siestes. «Ce n'est pas la fonction d'un banc, de toute façon. Les accoudoirs permettent avant tout de rendre le banc plus ergonomique et confortable», soutient Jacques-Alain Lavallée, chargé de communication à l'arrondissement. Les bancs et les poubelles seront fabriqués en plastique recyclé ou en bois, et se déclineront en deux couleurs, gris et beige, a-t-on précisé à l'arrondissement. Le designer souhaitait d'ailleurs une couleur «caméléon»: «On ne veut pas polluer l'environnement. On veut que le banc soit utile quand on en a besoin. Mais quand on n'en a pas besoin, on ne veut pas qu'il nous parle toute la journée», dit-il. Les prototypes des bancs et des poubelles sont en cours de production aux Ateliers municipaux. Hier, l'arrondissement n'a pu préciser combien coûtera au total cette opération de rajeunissement du mobilier. http://www.ledevoir.com/2008/10/11/210268.html (11/10/2008 00H36)- 18 réponses
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- accoudoirs
- banc
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Petit projet situé sur la rue Wellington à Verdun et qui rempli bien un terrain vacant. De plus, il s'intègre bien dans le tissu urbain d'époque industriel de ce coin. http://w4455.ca/
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Groupe Cholette Condos modernes avec ascenseur et stationnement intérieur Nouveau site en développement coin Casgrain et Molière à Montréal Au coeur de l'action de Montréal Immeuble de 17 condos ( 3 1/2 et 4 1/2) Hall d'entré distinctif Aménagement intérieur spacieux au style urbain À proximité: boutiques, terrasse et restaurants
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Montréal investit 25,2 M $ dans la réfection du boulevard Saint-Laurent Mardi 19 septembre 2006 (Plateau Mont-Royal) Bureau d'arrondissement du Plateau-Mont-Royal Montréal, le 18 septembre 2006 - M. Sammy Forcillo et M. André Lavallée, membres du comité exécutif de la Ville de Montréal, et Mme Helen Fotopulos, mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, annoncent un investissement de 25,2 M $ dans la réalisation de la phase 2 du projet de réfection et de mise en valeur du boulevard Saint-Laurent. Il s'agit de travaux majeurs qui visent la section comprise entre la rue Sherbrooke et l'avenue du Mont-Royal. Ils s'inscrivent dans le concept prévu pour l'aménagement du boulevard Saint-Laurent entre les rues de la Commune et Saint-Zotique. « Nous nous sommes engagés à revitaliser nos infrastructures vieillissantes à Montréal et c'est ce que nous sommes en train de réaliser. Pour le boulevard Saint-Laurent, nous allons restaurer ses infrastructures, égout, aqueduc, chaussée et trottoirs, et en même temps, nous allons mettre en valeur sa personnalité, rendre le boulevard Saint-Laurent plus sécuritaire et plus convivial pour les piétons. Nous prévoyons l'ajout d'aires de livraison et de débarcadères pour soutenir le caractère commercial du boulevard Saint-Laurent et alléger la circulation des véhicules automobiles », de déclarer M. Forcillo responsable des infrastructures et de la voirie au comité exécutif à la Ville de Montréal. Pour la Ville de Montréal, ce projet est un résultat tangible du partenariat avec le milieu, entrepris depuis 2003 et ce, particulièrement avec la Société de développement du boulevard St-Laurent (SDBSL). En fait, plusieurs organismes ont participé aux rencontres de concertation pour l'élaboration du concept d'aménagement retenu par la Ville. En ce qui a trait aux étapes de mise en œuvre de la phase 2, les nombreuses rencontres de travail avec la SDBSL ont fait en sorte que la Ville a réussi à réduire de presque la moitié le calendrier des travaux du projet, passant de 22 à 13 mois. « Ce tour de force est une démonstration éloquente de la collaboration étroite qui s'est établie entre la SDBSL et les intervenants de la Ville de Montréal », a ainsi déclaré M. Gordon Bernstein, président de la Société de développement du boulevard St-Laurent. « Le concept d'aménagement du boulevard Saint-Laurent entre le boulevard René-Lévesque et l'avenue Mont-Royal privilégie le confort, la sécurité des piétons et le transport alternatif par l'élargissement et le dégagement des trottoirs d'environ 75 cm chaque côté, l'ajout de quelque 60 arbres pour un meilleur couvert végétal, l'apport d'une soixantaine de lampadaires pour améliorer l'éclairage, l'ajout d'une dizaine d'aires de livraison et de débarcadères et d'une vingtaine de stationnements à vélos sur chaussée, ainsi que des descentes de trottoirs pour favoriser l'accessibilité universelle », de préciser André Lavallée, responsable du transport collectif et de l'aménagement urbain de la Ville de Montréal. Les travaux visent également à renforcer le caractère historique du lieu par un traitement symbolique des trottoirs représentant la mesure du temps et ainsi améliorer l'aspect visuel du boulevard en misant sur la qualité d'exécution. L'objectif est de maintenir la personnalité actuelle de la « Main » en misant sur le raffinement et la sobriété. Le concept d'aménagement urbain a été réalisé en collaboration avec les services municipaux, les arrondissements et la firme Schème, spécialisée en aménagement urbain et paysager et en architecture. Pour Mme Helen Fotopulos, mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, le boulevard Saint-Laurent constitue le cœur de la Ville de Montréal. «J'ai souvent dit que le boulevard Saint-Laurent nous ressemble et nous rassemble. Il a été la voie d'accès de l'immigration et il demeure le lieu de convergence de plusieurs des cultures qui sont venues se greffer aux cultures francophone et anglophone pour façonner Montréal. Le plan de réaménagement annoncé aujourd'hui constitue plus qu'un symbole de ce que doit être et de ce que sera le Montréal de demain. Il éclate la frontière de jadis pour faire place à un axe de convergence des nouvelles valeurs qui doivent guider le développement harmonieux et durable de notre cité. C'est, bien sûr, un excellent projet pour le Plateau, mais c'est aussi un projet majeur pour Montréal», a declaré Mme. Fotopulos. Avec ses conseillers Isabel Dos Santos et Michel Prescott, elle convie les riverains, les citoyens de l'arrondissement et les montréalais intéressés, à une séance publique d'informations au Centre Ex-Centris, le jeudi 12 octobre prochain à 18h où le projet sera expliqué en détails. Source : Cabinet du maire et du comité exécutif
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Sur le boulevard Sainte-Foy, à Longueuil, il semble y avoir un projet de 4-5 étages en construction, à la hauteur de la rue Dollard. Est-ce que quelqu'un sait plus à propos de ce projet? Je vais prendre des photos demain pour vous donner un apperçu. J'aime le boul. Sainte-Foy. C'est une rue qui a un style plus urbain et dense. C'est une rue qui se densifie assez intensément depuis 2005. Vite de même, je compte 3 terrains vacants qui ont disparus depuis 2005, 4 nouvelles constructions de 4 étages (condos), un projet commercial de 3 étages, et plusieurs projets de condos de 3 étages. 8 Janvier 2009
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- assez
- commercial
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4040 Lafontaine À quelque pas du métro Pie-IX, du marché maisonneuve et de la promenade Ontario, ce nouveau projet de 16 condos vous offre des unités unique de grande dimensions dans un milieu de vie urbain en plein développement. http://www.habitationslaurendeau.com/4040.php
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- développement
- dimensions
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Aimez vous nos parcs ? Moi j'aime pas. Le syndrome de la "slice de gazon"; Je hais les parcs qui ne sont qu'un tapis de gazon, sont vie, et nos plus grands parc on ce syndrome, exemple, le parc maisonneuve(oui je sais que c'était un golf), y'a tu un parc plus déprimant que lui ? Un autre parc qui pourrait être encore plus débile qu'il est, la parc lafontaine, je le trouve assez délabré, le mobilier urbain pourrait être renouvelé à la saveur d'aujourd'hui, ils pourraient pavé tout l'asphalte du parc, fermer la rue calixa-lavallée, la détruire. Vous, quelles sont vos visions ?
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Source: CNW Montréal crée le Bureau du Plan pour proposer à la population une vision nouvelle du devenir de Montréal et élaborer un nouveau Plan d'urbanisme MONTRÉAL, le 5 juill. /CNW Telbec/ - Le responsable de la mise en valeur et du plan d'urbanisme au comité exécutif de la Ville de Montréal, M. Richard Bergeron, est heureux d'annoncer la création du Bureau du Plan, une unité temporaire qui sera mise en place, à la Direction générale, afin de réaliser le nouveau le Plan d'urbanisme, qui sera assorti d'un document qui proposera une vision du devenir de Montréal. Cette vision du développement du territoire et la nouvelle version du Plan d'urbanisme de Montréal constitueront ensemble le Plan de développement urbain de Montréal. Rappelons que le Plan d'urbanisme a été adopté et est entré en vigueur en 2004, une révision de celui-ci s'impose donc, d'autant plus que la Loi sur l'aménagement et l'urbanisme le prévoit. "La confection et la mise à niveau de ces outils de planification offrent à l'Administration municipale l'occasion d'actualiser les grandes orientations en matière d'aménagement et de développement du territoire montréalais et ce, à la lumière des défis auxquels Montréal est confrontée comme toutes les grandes villes du monde" a déclaré Richard Bergeron. Au-delà de cette révision, le Bureau du Plan a le mandat de doter l'Administration d'un véritable outil de développement urbain, d'un plan qui tienne compte de l'ensemble des préoccupations de celle-ci pour imaginer le Montréal de demain et améliorer le cadre de vie d'une métropole du XXIe siècle. En fait, l'élaboration du Plan prendra appui simultanément sur les éléments porteurs des différents plans et politiques de Montréal actuellement en vigueur tels que l'actuel Plan d'urbanisme, le Plan de développement durable, le Plan de transport, la Politique de développement culturel de Montréal, la Politique du patrimoine, le Plan de protection et de mise en valeur du Mont-Royal, la Stratégie d'inclusion des logements abordables. Le Plan de développement urbain devra également prendre en considération les outils en développement dont le Plan régional de lutte à la pauvreté et à l'exclusion sociale ainsi que la Stratégie de verdissement. Il se fera aussi porteur des préoccupations de l'Administration en matière de rétention et d'attraction des familles sur le territoire montréalais, d'art public et de protection de la biodiversité. De plus, le Bureau s'assurera d'inscrire la démarche d'élaboration du Plan de développement urbain dans une approche concertée, axée sur le partenariat et la mobilisation, au sein de laquelle les autres unités corporatives de la Ville et les arrondissements trouveront une place prépondérante. La tenue de consultations publiques sera par ailleurs essentielle à la mobilisation tout au long de la démarche d'élaboration. "Nous voulons établir un dialogue avec la population et avec les experts d'ici et d'ailleurs. Nous souhaitons nous inspirer des villes qui ont les démarches les plus exemplaires en matière d'urbanisme à travers le monde. Nous désirons entendre, nous inspirer des experts montréalais ainsi qu'associer de très près les citoyens, et plus particulièrement les jeunes, à l'élaboration de ce nouveau Plan. Nous souhaitons qu'ils s'associent à nous pour rêver leur ville de demain" a également indiqué M. Bergeron. Le Plan de développement urbain sera élaboré en cinq étapes. L'adoption de la vision du développement du territoire par le conseil d'agglomération et celle de la nouvelle version du Plan d'urbanisme par le conseil de la Ville de Montréal sont prévues à l'été 2013.
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MONTRÉAL, le 22 juin /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Ville-Marie a été mandaté pour élaborer un plan majeur pour l'aménagement et le développement du centre-ville de Montréal. Cette démarche ambitieuse, prévue pour l'année à venir, amènera les citoyens, les intervenants du milieu, ainsi que les experts à se pencher sur l'avenir du centre-ville de Montréal et sur son rôle moteur au cœur de la métropole. Une occasion de dessiner le centre-ville de demain À l'instar des activités de consultation participatives et citoyennes qui ont été mises en place lors de l'événement Saint-Laurent'dez-vous au mois de mai dernier, l'arrondissement de Ville-Marie organisera, dès l'automne prochain, des activités publiques stimulantes et innovatrices à l'image du potentiel créatif, culturel, jeune et dynamique de Montréal. Ces exercices de concertation sont une occasion unique et formidable pour les citoyens, les intervenants du milieu ainsi que les experts reconnus dans les domaines du développement urbain, du design, de l'architecture et du patrimoine, de s'exprimer et d'échanger sur les grands enjeux d'aménagement urbain pour l'avenir de leur ville. Un nouveau plan d'urbanisme Les résultats de ces activités de concertation publique réalisés avec le milieu, les propositions d'aménagement, ainsi que les recommandations formulées en ce sens, constitueront la matière première à l'élaboration d'un énoncé d'aménagement, qui sera préparé par l'arrondissement de Ville-Marie, en collaboration avec le service du développement et des opérations de la ville. Ce document permettra ainsi d'établir une vision stratégique et collective à long terme pour l'aménagement du centre-ville de Montréal et de définir en amont les priorités d'action, en vue de la révision prochaine du plan d'urbanisme prévue pour 2011. Le rôle majeur du centre-ville dans l'économie montréalaise amène l'arrondissement de Ville-Marie à aborder cette nouvelle planification urbaine dans sa dimension métropolitaine, et ce, afin d'assurer à ses citoyens un milieu de vie de qualité au sein d'un centre-ville dynamique et habité, pour les décennies à venir. http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/June2010/22/c7366.html
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Les Habitations Paul-Pratt Nouveau projet de 4 étages à Longueuil 65 logements communautaires Complété en Octobre 2008 Bel exemple du genre de densification qui se passe à Longueuil. On est officiellement en banlieu, mais on retrouve ici un projet de style proprement urbain. Anciennement sur le site : une petite église (avec un gros stationnement) pas particulièrement belle et abandonnée depuis un certain temps.
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Annonce d'une entente de collaboration en matière d'aménagement et de design urbain : La Ville de Montréal et l'Université de Montréal, partenaires pour valoriser le territoire montréalais Montréal, le 14 octobre 2009 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et le recteur de l'Université de Montréal, M. Luc Vinet, sont très heureux d'annoncer un partenariat de recherche entre la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal et le Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine de la Ville de Montréal. « Les universités montréalaises foisonnent de passionnés d'architecture, d'aménagement et d'urbanisme qui rêvent de mettre leur créativité et leur talent à profit pour faire de Montréal une ville moderne et exemplaire en la matière. À travers cette entente, la Ville Montréal et l'Université de Montréal concrétisent une collaboration déjà établie en vue d'améliorer la qualité du cadre de vie des Montréalaises et des Montréalais notamment avec le chantier Réalisons Montréal, Ville UNESCO de design », a déclaré le maire de Montréal. Ce partenariat sur trois ans entre les deux institutions implique une contribution financière de 75 000 $ de la Ville de Montréal, à raison de 25 000 $ par année. Celui-ci s'inscrit dans la volonté de la Ville de consolider ses collaborations avec les universités montréalaises afin de mieux tirer avantage de leur expertise dans le domaine de l'aménagement et du design urbain. « Cette collaboration avec la Ville de Montréal est particulièrement importante dans un contexte où l'Université de Montréal est partie prenante des enjeux d'aménagement et d'environnement de la société. Ainsi, je suis fier que l'expertise unique développée par la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal participe directement à la mise en valeur du territoire montréalais », de souligner le recteur Vinet. L'entente apportera au Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine de la Ville de Montréal un appui pour réaliser ses projets de mise en valeur et de développement de son territoire avec divers acteurs gouvernementaux. Parmi les travaux de recherche envisagés, notons la requalification des entrées routières et autoroutières de Montréal, la mise en valeur du paysage fluvial et des attraits du paysage urbain montréalais, la gestion des paysages urbains à valeur historique et d'intérêt patrimonial et le cadrage paysager des réseaux de pistes cyclables. « Créée en 1996 à la Faculté de l'aménagement de l'Université de Montréal, la Chaire en paysage et environnement est un organisme de recherches appliquées voué à la gestion des paysages québécois et notamment à la préservation, la mise en valeur et le développement des paysages urbains. Et, c'est dans l'ordre des choses que la Ville de Montréal bénéficie de cette expertise reconnue de tous, notamment par le fait même que cet organisme est affilié à la Chaire UNESCO en paysage et environnement », de mentionner le directeur de la Chaire, M. Philippe Poullaouec-Gonidec. Avec cette entente, la Ville de Montréal rejoint les autres partenaires gouvernementaux de la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal, soit le ministère des Transports du Québec, le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine ainsi que les partenaires de projets, soit entre autres, le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire, la Société Hydro-Québec et la Conférence régionale des Élus de Montréal.
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Annonce d'une entente de collaboration en matière d'aménagement et de design urbain : La Ville de Montréal et l'Université de Montréal, partenaires pour valoriser le territoire montréalais Montréal, le 14 octobre 2009 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et le recteur de l'Université de Montréal, M. Luc Vinet, sont très heureux d'annoncer un partenariat de recherche entre la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal et le Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine de la Ville de Montréal. « Les universités montréalaises foisonnent de passionnés d'architecture, d'aménagement et d'urbanisme qui rêvent de mettre leur créativité et leur talent à profit pour faire de Montréal une ville moderne et exemplaire en la matière. À travers cette entente, la Ville Montréal et l'Université de Montréal concrétisent une collaboration déjà établie en vue d'améliorer la qualité du cadre de vie des Montréalaises et des Montréalais notamment avec le chantier Réalisons Montréal, Ville UNESCO de design », a déclaré le maire de Montréal. Ce partenariat sur trois ans entre les deux institutions implique une contribution financière de 75 000 $ de la Ville de Montréal, à raison de 25 000 $ par année. Celui-ci s'inscrit dans la volonté de la Ville de consolider ses collaborations avec les universités montréalaises afin de mieux tirer avantage de leur expertise dans le domaine de l'aménagement et du design urbain. « Cette collaboration avec la Ville de Montréal est particulièrement importante dans un contexte où l'Université de Montréal est partie prenante des enjeux d'aménagement et d'environnement de la société. Ainsi, je suis fier que l'expertise unique développée par la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal participe directement à la mise en valeur du territoire montréalais », de souligner le recteur Vinet. L'entente apportera au Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine de la Ville de Montréal un appui pour réaliser ses projets de mise en valeur et de développement de son territoire avec divers acteurs gouvernementaux. Parmi les travaux de recherche envisagés, notons la requalification des entrées routières et autoroutières de Montréal, la mise en valeur du paysage fluvial et des attraits du paysage urbain montréalais, la gestion des paysages urbains à valeur historique et d'intérêt patrimonial et le cadrage paysager des réseaux de pistes cyclables. « Créée en 1996 à la Faculté de l'aménagement de l'Université de Montréal, la Chaire en paysage et environnement est un organisme de recherches appliquées voué à la gestion des paysages québécois et notamment à la préservation, la mise en valeur et le développement des paysages urbains. Et, c'est dans l'ordre des choses que la Ville de Montréal bénéficie de cette expertise reconnue de tous, notamment par le fait même que cet organisme est affilié à la Chaire UNESCO en paysage et environnement », de mentionner le directeur de la Chaire, M. Philippe Poullaouec-Gonidec. Avec cette entente, la Ville de Montréal rejoint les autres partenaires gouvernementaux de la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal, soit le ministère des Transports du Québec, le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine ainsi que les partenaires de projets, soit entre autres, le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire, la Société Hydro-Québec et la Conférence régionale des Élus de Montréal.
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L'entrevue - Réapprendre à rêver la ville Le Devoir Fabien Deglise Édition du lundi 10 août 2009 Mots clés : Ville, Lucie K. Morisset, Urbanisme, Municipalité, Édifice, Québec (province) L'urbaniste Lucie K. Morisset déplore la montée en flèche d'un pragmatisme urbain paralysant L'urbaniste Lucie K. Morisset Photo: Jacques Grenier C'est le drame d'une époque. À trop avoir le nez collé sur la collecte des ordures, le ramassage de la neige, l'installation de compteurs d'eau, le remplissage des nids-de-poule ou la recherche impossible d'un consensus autour de la construction d'un banal immeuble de dix étages, Montréal semble avoir perdu sa capacité à rêver son avenir. Et cette «pathologie collective» pourrait même devenir une tare transmise de génération en génération. À moins d'un changement de cap radical, estime Lucie K. Morisset, de la Chaire de recherche en patrimoine urbain à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). «C'est à travers la ville que les humains, depuis toujours et au contact de l'architecture urbaine, façonnent leur identité. C'est aussi par cet espace qu'ils se sont projetés dans l'avenir en développant un environnement physique, bâti, qui correspond à leur vision d'un meilleur vivre ensemble», résume l'universitaire, spécialiste de l'imaginaire urbain et des paysages construits. «Les grandes utopies sociales passent par les villes», mais Montréal semble depuis plusieurs années y être totalement indifférent. Normal. C'est que, loin d'être seulement la capitale du design, la métropole culturelle ou la ville des festivals qu'elle prétend être, «la plus grande métropole francophone d'Amérique», comme le disent les manuels de géographie, se poserait surtout aujourd'hui comme un problème de gestion plutôt que comme une question de civilisation. Un phénomène qui touche d'ailleurs les villes en général, un peu partout sur la planète. Et Montréal en particulier. «C'est naturel, dit Mme Morisset, rencontrée la semaine dernière sur une terrasse ensoleillée du centre vibrant de la ville. Les eaux usées, le transport, les poubelles, la neige, ce n'est pas le gouvernement fédéral qui va s'en occuper. C'est le municipal.» La réalité de la proximité est imparable. Mais elle s'accompagne aussi d'une montée en flèche du pragmatisme urbain. Pragmatisme qui «s'est développé partout dans les villes sous la pression des gestionnaires, mais également d'un courant sociologique influent [dans les administrations publiques] qui appréhende la ville de manière descriptive et surtout dans toute sa technicité», poursuit celle qui, en septembre prochain, participera à un colloque international sur le thème La Ville, objet de représentation, à l'UQAM. «Or, d'un point de vue épistéÄmologique, nous avons peut-être développé trop d'outils de mesure qui bloquent aujourd'hui notre capacité à rêver.» Dans un village de la Beauce, de la Montérégie ou de la Gaspésie, l'approche est certainement valable, tout en étant d'ailleurs soutenue par les habitants du coin, selon elle. Mais, dans de grands espaces, comme celui représenté par une île et sa couronne, ce serait une autre histoire. «On s'attend là à ce qu'il y ait une vision d'ensemble, un projet collectif qu'on a de la difficulté à cerner pour le moment, dit Mme Morisset. Mais peut-être est-ce parce que nous sommes trop bien? Et qu'on ne peut pas, du coup, s'imaginer meilleurs?» La dictature du ici-maintenant Une île, plein de villes, et pas de vision. La critique est connue. Elle s'expliquerait aussi par le «présentisme» de notre temps. En rupture avec le futurisme des décennies passées -- où la série britannique Cosmos 1999 racontait l'avenir --, cette autre façon d'appréhender le réel, définie par l'historien français François Hartog, illustre l'incapacité collective à se projeter et à anticiper l'avenir. Le phénomène serait d'ailleurs palpable au contact des nombreuses contestations et levées de boucliers qui, depuis plusieurs années, accompagnent chaque projet de construction d'immeubles, de prolongement d'autoroutes ou d'installation d'oeuvres d'art dans un parc, que la proposition ait de l'envergure ou non. «C'est un problème, lance Mme Morisset. Montréal ne développe pas des projets, mais des oppositions. Oppositions, d'ailleurs, face auxquelles tout le monde finit par s'écraser... certainement parce qu'il n'y a pas de vision au départ.» L'équation est terrible. Elle laisse aussi plusieurs terrains en jachère à Montréal, en plus de trouver sa source dans un paradoxe très contemporain, selon elle, alimenté par l'engouement tout aussi moderne pour... la démocratie participative. «Aujourd'hui, quand on dit parler de patrimoine, en fait, on parle de démocratie participative, résume l'universitaire. Le hic, en tenant compte de plein de points de vue, c'est qu'on s'oppose forcément à une vision unitaire des choses. La culture du consensus entraîne un éclatement de l'espace public.» Pis, sous l'effet d'une minorité d'opposants, c'est finalement toute la collectivité qui, selon elle, finit par pâtir d'un «horizon urbain bouché». «Et là, on est à des années-lumière de la démocratie participative», estime l'historienne de l'urbanité, qui déplore au passage cette peur chronique de la contestation. «Au moment de sa construction, le Château Frontenac, à Québec, a été qualifié de "verrue du Vieux-Québec", dit-elle. Aujourd'hui, il est devenu une représentation de la nation.» Le marketing urbain Fait étonnant: c'est dans ce vide que le marketing urbain trouve désormais un terreau fertile pour s'imposer comme substitution au manque de vision, avec ses concepts de «Quartier des spectacles» ou de «Montréal, ville de design», érigés en objectif commun. «C'est du branding, de la stratégie de marque. Mais ça nous amène aussi à confondre marketing et urbanisme, et ça ne règle rien.» Or, l'inertie, pour plusieurs observateurs de la scène urbaine qui voient suinter des murs de la ville, commence doucement à éveiller l'impatience, mais aussi à alimenter les appels au passé, à l'époque où Montréal était un laboratoire de modernité, ou les regards ailleurs (Barcelone ou Berlin) pour démontrer que l'herbe est plus verte chez les voisins. «Dans un cas, c'est la recherche d'une recette, dans l'autre, c'est l'espoir d'un retour en arrière», dit Mme Morisset, qui pense plutôt que la planche de salut est avant tout dans un «changement dans la gouvernance municipale», par exemple. «Il faut détacher la représentation politique du travail des fonctionnaires», et ce, pour sortir enfin le maire de la neige et des ordures ménagères afin de lui permettre de mieux représenter la ville, de parler développement et surtout... d'avoir une vision. «Un peu comme Jean-Paul L'Allier l'a fait à Québec», poursuit-elle. Dans cette optique, Montréal devrait aussi, selon elle, apprendre à être à l'avenir une «ville de représentation» plutôt que de gestion, mais aussi à redonner le goût de rêver à ses habitants «en cessant de ne pas terminer tout ce qu'elle commence», dit la spécialiste du patrimoine. «Ce serait un bon début. Si on arrivait à compléter un projet de développement, cela pourrait nous rassurer sur notre capacité à accomplir des choses.» Et d'ajouter: «Nous avons peut-être besoin d'une psychanalyse sociale qui va nous éviter de transmettre notre incapacité à penser l'avenir aux générations suivantes.» Des générations qui, dans une logique urbaine historique, s'attendent à voir, demain, dans la brique des bâtiments, le béton des trottoirs ou le vert des parcs, ce à quoi leurs prédécesseurs ont rêvé aujourd'hui. «La ville, c'est là où l'on construit tout ce qu'on pense qui va arriver demain», dit Mme Morisset. Et à Montréal, ce demain serait encore aujourd'hui un grand terrain vague. http://www.ledevoir.com/2009/08/10/262269.html
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- aujourdhui
- dit
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Les mises en chantier résidentielles en milieu urbain ont chuté de près de 22% en novembre au pays, selon les plus récentes statistiques de la Société canadienne d'hypothèques et de logement. Pour en lire plus...
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- 22%
- canadienne
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