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  1. Une passerelle «grandiose» à l’entrée du pont Jacques-Cartier? Une passerelle «grandiose» pourrait remédier au problème de sécurité des piétons à l’entrée du pont Jacques-Cartier qui fait rager les citoyens du quartier Sainte-Marie dans le centre-sud. La firme d’architectes Rayside Labossière propose à l’arrondissement de Ville-Marie d’y aménager cette structure de type «parc linéaire», dont Métro a obtenu copie des plans. Cette passerelle – passant juste au-dessus de la sculpture florale «L’homme qui plantait des arbres» – relierait tous les coins du parc des Vétérans et du parc des Faubourgs ainsi que toutes les rues adjacentes évitant ainsi aux piétons et aux cyclistes de faire des détours rebutants ou de s’aventurer sur les voies dangereuses. La conseillère du district, Valérie Plante, espère que les plans de la firme seront considérés par les hautes instances. Mme Plante connaît bien ce quadrilatère entre les rues Ontario, Papineau, Sainte-Catherine et de Lorimier autour du métro Papineau; ces rues qui encerclent les bretelles d’accès au pont Jacques-Cartier. Résidente de ce quartier, elle voit chaque jour des piétons et des cyclistes «s’aventurer» dans ce secteur dont les bretelles d’accès au pont traversent et divisent les deux parcs (voir plan). Tout autour, des écoles, une épicerie, une entrée de métro; des essentiels qui obligent les citoyens du secteur à traverser ces voies que Mme Plante qualifie de «véritables entrées d’autoroute». La conseillère et ses citoyens s’inquiètent pour la sécurité des passants qui traversent ces voies rapides où les voitures prennent leur vitesse de croisière pour accéder au pont. «Il y a des piétons qui traversent [les bretelles d’accès] n’importe comment, il y en a que c’est cellulaire à la main, d’autres qui zigzaguent à travers le flux de voitures. Traverser ici, c’est n’importe quoi», a affirmé d’emblée Mme Plante à Métro. C’est que malgré la présence de quelques traverses piétonnes (point 1 et 2 sur le plan), les piétons qui partent d’un peu partout à travers le quartier et qui convergent pour la plupart vers le métro choisissent plus souvent de traverser aux endroits non-adaptés pour éviter les détours. «Toute la population qui vient de la rue Sherbrooke et du Plateau descendent par les rues Cartier et Dorion, donne en exemple Antonin Labossière, résidant du quartier et architecte chez Rayside Labossière. C’est normal, ils ne veulent pas faire le détour pour aller prendre la lumière destinée aux piétons sur la rue Papineau (point 2), puis traverser à nouveau la deuxième (point 1) pour revenir prendre la rue Cartier et aller vers le métro», dit celui qui avoue être parmi les «piétons aventuriers». Résultat: plusieurs traversent ainsi les bretelles d’accès à 4 voies (point 3), là où il n’y a aucune installation assurant la sécurité des piétons. «La seule solution que la Ville a trouvée, à court terme, c’est qu’elle compte mettre une clôture (au point 3), mais les gens vont la traverser quand même. S’il y a autant de gens qui traversent à cet endroit, c’est peut-être qu’il y a un problème», note Mme Plante. Même les passages pour piétons (points 1 et 2) inquiètent la conseillère municipale, alors que la brigadière, les piétons, les poussettes et les cyclistes aguerris doivent se partager le petit espace asphalté en attendant la lumière verte. «Quand la lumière devient rouge, les voitures ne la voient pas tout de suite. La brigadière a peur pour sa vie. Elle me disait que quand la lumière change, elle ne s’engage pas tout de suite sur la voie», alerte la conseillère. La présence policière aux heures de pointe dans ce secteur, qui a pour but de calmer la vitesse des voitures et la fougue des piétons, n’aurait donc que peu d’impact, selon elle. «C’est un quartier sectionné, qui semble être rapiécé. Ce secteur, on l’appelle la cicatrice», déplore la conseillère. L’idée d’une passerelle pour recréer un lien entre le parc des Vétérans et le parc des Faubourgs, désenclaver la portion sud et la portion nord du secteur et corriger le problème de sécurité est ressortie des discussions des citoyens il y a maintenant quelques années. «Ça avait été nommé par plusieurs résidants, ça revient souvent dans les consultations publiques où les gens ont l’impression que la situation actuellement est plus un irritant qu’un avantage», indique Antonin Labossière. «Dès que je suis entrée en mandat, et même avant, on me parlait de cet endroit et l’idée de la passerelle m’a été suggérée à quelques reprises», ajoute Mme Plante. Après une demande de la conseillère Plante, la firme d’architectes Rayside Labossière, qui s’implique au sein de plusieurs tables de quartier, lui est revenue à l’automne avec ce plan proposant leur idée de cette passerelle (voir photo). Avec ces plans en main, Mme Plante espère maintenant que la proposition fasse son bout de chemin. Et même si une telle structure pourrait être dispendieuse, elle estime que la Ville a des «marges de manœuvre, avec ses surplus budgétaires» et qu’une telle idée «qui allie vie montréalaise, sécurité et projet d’envergure» en vaut la réflexion. Une structure «grandiose» Et tant qu’à y construire une structure pour améliorer la sécurité du quadrilatère, tous s’entendent pour dire qu’il faut miser gros sur la beauté de l’objet. «Il y a moyen de faire une passerelle et que ça ne ressemble pas à une passerelle laide et moche que personne ne va monter; faire quelque chose de super beau qui devient presque un symbole d’entrée de Montréal», fait valoir l’architecte Antonin Labossière. «Il faut quelque chose de grandiose qui marque les automobilistes qui entrent dans la Ville par le pont, poursuit la conseillère Valérie Plante. Et pour les piétons, c’est aussi une façon de se réapproprier notre vue sur le pont Jacques-Cartier qu’on ne voit que très peu», ajoute-t-elle, espérant que la passerelle devienne également un endroit où les citoyens pourront flâner. http://journalmetro.com/actualites/montreal/802109/une-idee-de-passerelle-grandiose-a-lentree-du-pont-jacques-cartier/#
  2. http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/430736/le-canada-manque-d-informations-sur-les-impacts-du-petrole-lourd Le Canada manque d’informations sur les impacts du pétrole lourd 3 février 2015 | Alexandre Shields - Avec La Presse canadienne | Actualités sur l'environnement Le pipeline de TransCanada doit traverser de nombreuses rivières majeures du sud du Québec, mais aussi le fleuve Saint-Laurent. Photo: Jacques Nadeau Le Devoir Le pipeline de TransCanada doit traverser de nombreuses rivières majeures du sud du Québec, mais aussi le fleuve Saint-Laurent. Bien qu’il se fasse le promoteur d’importants projets de pipelines d’exportation, le gouvernement fédéral manque résolument d’information pour évaluer les impacts d’un déversement de pétrole des sables bitumineux en milieu aquatique. II existe un « manque évident de données concernant les effets écotoxicologiques » du pétrole extrait des sables bitumineux, conclut ainsi un rapport préliminaire commandé par Ottawa en 2013 et qui n’avait jamais été publié jusqu’à présent. Greenpeace en a finalement obtenu copie, à la suite d’une demande d’accès à l’information. Ce document de 260 pages souligne notamment des lacunes importantes dans l’évaluation des caractéristiques physiques et chimiques du pétrole lorsqu’il se déverse dans un milieu aquatique, qu’il s’agisse d’un lac, d’une rivière, d’un fleuve ou d’un océan. Les impacts toxiques d’un déversement sur les espèces aquatiques comportent eux aussi d’importantes zones grises. « Il existe un manque de données sur les effets du bitume pour les écosystèmes aquatiques, spécialement pour les poissons et d’autres espèces sentinelles », concluent les auteurs du rapport commandé dans la foulée des inquiétudes soulevées par le projet de pipeline Northern Gateway. Le rapport préliminaire met en évidence des lacunes en ce qui a trait aux effets, notamment, des HAP. Or, ces composés chimiques présentent une forte toxicité. On montre du doigt un manque de rigueur dans les programmes de suivi dans les régions où sont exploités les sables bitumineux. Selon le texte du rapport, il serait donc « impératif » d’étudier davantage les effets du pétrole sur les écosystèmes aquatiques. Jusqu’à présent, le gouvernement fédéral n’a rien annoncé en ce sens. Réagissant à la publication de ce rapport préliminaire, Pêches et Océans Canada a fait valoir qu’un rapport final et complet est en préparation et qu’il devrait être publié au cours des prochains mois. Mais pour le NPD, l’absence de publication d’un quelconque rapport depuis 2013 démontre que les conservateurs tentent d’éviter toute critique de l’industrie de l’énergie fossile, qu’ils défendent sur toutes les tribunes. « Ça me laisse croire qu’ils tentent de cacher quelque chose », a faitvaloir lundi la porte-parole du parti en matière d’Environnement, Megan Leslie. Peut-être Cacouna Le président du projet Énergie Est de TransCanada, François Poirier, a pour sa part soutenu que plusieurs études ont déjà conclu que le pétrole qui sera transporté dans ce pipeline se comportera comme n’importe quel autre type de pétrole. Au cours d’une allocution devant le Cercle canadien d’Ottawa, François Poirier a par ailleurs réaffirmé que le projet de port pétrolier de Cacouna fait toujours partie des plans de la pétrolière albertaine. Ce port, s’il est construit, se situera en plein coeur de la pouponnière des bélugas du Saint-Laurent, une espèce en voie de disparition. Les spécialistes de l’espèce ont d’ailleurs déjà souligné que la construction d’un tel port pourrait accélérer le déclinde ces mammifères marins. En marge de son allocution, M. Poirier a dit que la multinationale continuait d’étudier divers scénarios. Selon ce qu’il a affirmé, le projet à Cacouna irait de l’avant seulement si l’entreprise a l’assurance qu’il n’y aura pas d’impacts négatifs sur les bélugas. Ce dernier a également affirmé que le projet Énergie Est demeurait rentable sans terminal maritime à Cacouna. Québec n’a toujours pas commencé l’étude environnementale de la portion québécoise du pipeline de TransCanada. Tout au long de son tracé, le pipeline doit aussi traverser de nombreuses rivières majeures du sud du Québec, dont plusieurs sont utilisées comme source d’eau potable par les municipalités. Il doit aussi traverser le fleuve Saint-Laurent.
  3. Le Canada était prêt et suffisamment solide pour affronter la dernière crise économique. Selon un rapport de Statistique Canada, le pays est aussi parvenu à traverser la récession avec beaucoup plus de facilité que les autres pays du G7. Pour en lire plus...
  4. Bon, j'étais trop lâche pour traverser la rue... on ne voit pas grand chose, désolé !
  5. L'économie mondiale devrait traverser une récession en 2009 et les économies émergentes vont faire face à «un très fort ralentissement», prévoit l'assureur Euler Hermes. Pour en lire plus...
  6. Même si l'économie semble traverser sa période la plus difficile en près de 20 ans, plusieurs analystes croient que le fond a été atteint et qu'un rebond - lent mais stable - est sur le point de débuter. Pour en lire plus...
  7. En examinant l'histoire récente des crises boursières, difficile pour l'investisseur moyen de ne pas se décourager. Pour en lire plus...
  8. Chez les résidents de la région de Coaticook, la tentation est grande de traverser du côté du Vermont. Pour le plein, le consommateur sauve de 10 à 15 $. Pour en lire plus...
  9. Voici ma vision AVANT: APRES: APRES: Quelques details: - Doublement du Boul. Jacques-Cartier entre Nobert et Ste-Helene. - Deux points d'access pour traverser l'(auto)route 116. - Construction d'un boulevard pour connecter les rues le long de chemin de fer a St-Hubert - Construction d'un boulevard pour relier la rue Ste-Helene au Ch. Chambly - Avantages : Dévelopement, connecter Longueuil et St-Hubert, améliorer le reseau routier et la connectivité, améliorer le réseau cyclable, remplacer des terrains dégeux par des parcs. Commentaires?
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