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  1. Au Québec, le producteur américain annonce la mise hors service permanente de la série A des cuves Soderberg. L'entreprise va donc amorcer dès maintenant la première phase des travaux de modernisation à Baie-Comeau. Pour en lire plus...
  2. Le prix Nobel d'économie a été attribué lundi à l'Américain Paul Krugman, 55 ans, pour ses travaux sur les échanges commerciaux, a annoncé l'Académie royale suédoise des sciences. Pour en lire plus...
  3. 2 bons articles, tant qu'à moi, je préfère voir des publicités géantes que des échafaudage de construction. Source: Canoe Argent Un nouveau type de publicités géantes a fait son apparition sur les chantiers de construction au centre-ville de Montréal. Un créneau original que l’entreprise Madigan entend bien exploiter, tant au Québec qu’ailleurs au pays. Autorisées dans l’arrondissement Ville-Marie seulement, les publicités démesurées sur les édifices connaissent beaucoup de succès. «C’est un véhicule de plus en plus à la mode pour financer les travaux de rénovation qui coûtent cher», affirme Paul Sauvé, président de LM Sauvé, spécialiste des travaux de maçonnerie. On a pu en voir un exemple, l’été dernier, sur les deux façades de l’édifice à l’angle des rues Saint-Catherine et Peel. On y annonçait, sur 10 000 pi2, l’ouverture du premier magasin H&M au centre-ville. Rue Saint-Antoine, la transformation de l’ancien immeuble du quotidien The Gazette en hôtel Westin a permis au Casino de Montréal et à Sony de faire des pubs gigantesques. Depuis peu, les passants y voient les couleurs de Transat. Plus à l’est, sur le boulevard Saint-Laurent, le Groupe Immobilier de Montréal profite de la restauration d’un immeuble patrimonial pour y offrir des espaces à louer ou à vendre. «Les annonceurs voient cela comme une façon de se démarquer, explique le président de Madigan, Éric Boulay. Les publicitaires recherchent la nouveauté, et c’est une façon de faire unique qui ne se répète pas. » Potentiel économique Évidemment, ces toiles accrochées sur les échafauds sont tout aussi sécuritaires pour les travailleurs et les piétons que les toiles vertes conventionnelles. Elles laissent passer le vent et la lumière, ce qui permet aux maçons et autres professionnels de la construction de faire le travail comme d’habitude. Leur coût est «7 ou 8 ¢ de plus le pied carré» qu’une toile ordinaire, précise Paul Sauvé. Le fondateur de Madigan, Jean Claude Henri, qui a notamment travaillé pour Astral Media dans le département de l’affichage, voit les chantiers comme des médias au potentiel de revenus publicitaires intéressant. «Ces toiles ont une valeur commerciale. Chaque pied carré vu par les gens, par les touristes, a une valeur », renchérit le président de Madigan, Éric Boulay. Préserver la beauté des lieux Madigan ne se contente pas de vendre de l’espace publicitaire. L’entreprise fabrique aussi des toiles trompe-l’œil sur lesquelles elle imprime une photographie grandeur réelle de l’édifice historique en rénovation. Cela permet d’assurer un certain esthétisme aux lieux. On peut voir un exemple de ce type de travail sur l’hôtel de ville de Montréal (voir autre texte). En réalité, il s’agit de l’expertise la plus unique de Madigan. Baptisée H3D Réplica, cette technologie est en instance de brevet. Les photographies utilisées pour créer ces toiles sont d’une telle qualité qu’elles permettent le «repérage des déficiences», souligne Paul Sauvé, qui travaille fréquemment avec les toiles de Madigan. «Avant l’échafaudage, c’est toujours difficile d’évaluer l’ampleur des travaux à faire», explique-t-il. Canoe Argent es publicités géantes posées sur les chantiers de construction permettront à la Ville de Montréal de réaliser des revenus de 200 000 $ cette année. Les deux endroits – le centre-ville de Montréal et Calgary – qui autorisent la pose de toiles publicitaires sur les chantiers exigent qu’on leur verse une partie des revenus publicitaires réalisés. «Les redevances, c’est ce qui les incite à ouvrir la porte à des changements de réglementation, constate Jean Claude Henri. Toute occasion de générer des revenus est la bienvenue. » L’an dernier, l’arrondissement Ville-Marie a ainsi touché 170 000 $. Le concept en était alors à ses débuts, la réglementation ayant été modifiée à la toute fin de 2006. Cette année, la Ville prévoit encaisser au moins 200 000 $, a révélé au Journal le porte-parole de l’arrondissement Ville-Marie, Jacques-Alain Lavallée. Selon la taille des toiles, les redevances sont de 27 ou 40¢ le pied carré, précise-t-il. Dans certains cas, le propriétaire de l’immeuble peut aussi toucher un certain montant.
  4. Je les avais justement remarqué, c'est assez nouveau et je trouve que ça manquais à Montréal. Ce que j'ai vu : annonce de Fructis en 3D coin St-Laurent / Sherbrooke annonce du Casino de Montréal sur le chantier du Westin annonce du nouveau H&M sur... le nouveau H&M ---------------------------------- http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/10/20081005-224232.html Madigan veut exploiter le créneau La pub géante fait son apparition sur les chantiers québécois Mise en ligne 06/10/2008 04h00 Madigan veut exploiter le créneau - La pub géante fait son apparition sur les chantiers québécois Photo © Argent Payant pour la Ville: 200 000$ Les filets verts doivent disparaître, plaide Madigan Le Journal de Montréal Marie-Ève Fournier Un nouveau type de publicités géantes a fait son apparition sur les chantiers de construction au centre-ville de Montréal. Un créneau original que l’entreprise Madigan entend bien exploiter, tant au Québec qu’ailleurs au pays. Autorisées dans l’arrondissement Ville-Marie seulement, les publicités démesurées sur les édifices connaissent beaucoup de succès. «C’est un véhicule de plus en plus à la mode pour financer les travaux de rénovation qui coûtent cher», affirme Paul Sauvé, président de LM Sauvé, spécialiste des travaux de maçonnerie. On a pu en voir un exemple, l’été dernier, sur les deux façades de l’édifice à l’angle des rues Saint-Catherine et Peel. On y annonçait, sur 10 000 pi2, l’ouverture du premier magasin H&M au centre-ville. Rue Saint-Antoine, la transformation de l’ancien immeuble du quotidien The Gazette en hôtel Westin a permis au Casino de Montréal et à Sony de faire des pubs gigantesques. Depuis peu, les passants y voient les couleurs de Transat. Plus à l’est, sur le boulevard Saint-Laurent, le Groupe Immobilier de Montréal profite de la restauration d’un immeuble patrimonial pour y offrir des espaces à louer ou à vendre. «Les annonceurs voient cela comme une façon de se démarquer, explique le président de Madigan, Éric Boulay. Les publicitaires recherchent la nouveauté, et c’est une façon de faire unique qui ne se répète pas. » Potentiel économique Évidemment, ces toiles accrochées sur les échafauds sont tout aussi sécuritaires pour les travailleurs et les piétons que les toiles vertes conventionnelles. Elles laissent passer le vent et la lumière, ce qui permet aux maçons et autres professionnels de la construction de faire le travail comme d’habitude. Leur coût est «7 ou 8 ¢ de plus le pied carré» qu’une toile ordinaire, précise Paul Sauvé. Le fondateur de Madigan, Jean Claude Henri, qui a notamment travaillé pour Astral Media dans le département de l’affichage, voit les chantiers comme des médias au potentiel de revenus publicitaires intéressant. «Ces toiles ont une valeur commerciale. Chaque pied carré vu par les gens, par les touristes, a une valeur », renchérit le président de Madigan, Éric Boulay. Préserver la beauté des lieux Madigan ne se contente pas de vendre de l’espace publicitaire. L’entreprise fabrique aussi des toiles trompe-l’œil sur lesquelles elle imprime une photographie grandeur réelle de l’édifice historique en rénovation. Cela permet d’assurer un certain esthétisme aux lieux. On peut voir un exemple de ce type de travail sur l’hôtel de ville de Montréal (voir autre texte). En réalité, il s’agit de l’expertise la plus unique de Madigan. Baptisée H3D Réplica, cette technologie est en instance de brevet. Les photographies utilisées pour créer ces toiles sont d’une telle qualité qu’elles permettent le «repérage des déficiences», souligne Paul Sauvé, qui travaille fréquemment avec les toiles de Madigan. «Avant l’échafaudage, c’est toujours difficile d’évaluer l’ampleur des travaux à faire», explique-t-il.
  5. Les sites de forage gazier pourraient pousser comme des champignons au cours des prochains mois dans les basses terres du Saint-Laurent. Mais leur empreinte permanente sera minime une fois les travaux terminés. Pour en lire plus...
  6. CNR Il est possible de voir des échafauds à partir de la photo, difficile à dire de quelle nature sont les travaux par contre.
  7. La société d'ingénierie obtient un contrat de 92 M$ avec un partenaire pour des travaux importants au sein d'une usine australienne d'aluminium. Pour en lire plus...
  8. La Corporation de promotion industrielle de la ville développe un projet d'aciérie dont les travaux pourraient être lancés dès 2009. Pour en lire plus...
  9. L'entreprise rimouskoise Petrolia vient de conclure une entente de 20 millions de dollars avec un partenaire, dont l'identité ne sera pas dévoilée, pour effectuer des travaux d'exploration au nord-ouest de Gaspé. Pour en lire plus...
  10. La plupart des entreprises qui ont touché une aide financière pour optimiser l'efficacité énergétique de leurs bâtiments, en 2004 et 2005, auraient effectué les travaux d'amélioration de toute façon. Pour en lire plus...
  11. Un milliard $ pour rénover le Parlement Le samedi 19 juillet 2008 Tim Naumetz Presse Canadienne Ottawa Les travaux de rénovation et de reconstruction au Parlement pourraient coûter un minimum de 1 milliard $, selon les prévisions du ministère des Travaux publics. Les plus récents estimés remis par le ministère à La Presse Canadienne n'incluent pas les coûts additionnels pour les réparations majeures qui devront être effectuées dans le bloc central, où des tours sont déjà retenues par des câbles en fer pour prévenir un possible effondrement. Des clôtures empêchent les piétons de s'aventurer trop près de l'édifice afin de les protéger de la chute inopinée de morceaux de pierre. Pour le deuxième été consécutif, des sangles transparentes enveloppent d'autres tours du côté ouest, également dans le but de protéger les passants. Le projet de rénovation du Parlement ne sera pas complété avant plus d'une décennie, selon les derniers échéanciers. L'ancien architecte et fonctionnaire à la retraite Ken Elder a blâmé la lenteur des travaux sur le fait que le Parlement et le gouvernement contrôlaient les cordons de la bourse et non le ministère des Travaux publics. «Les rénovations sont retardées par des considérations politiques, a-t-il soutenu. Le ministère des Travaux publics peut émettre autant de mises en garde qu'il veut, ultimement, c'est le Parlement qui décide.» M. Elder a souligné que la présence des câbles de fer et des sangles protectrices était cruciale pour éviter un effondrement, et que l'image du Parlement en pâlissait. Le député néo-démocrate Pat Martin a confié que la pluie et la moisissure s'infiltraient dans les murs de son bureau dans la partie ouest du Parlement. Il a déploré que les gouvernements successifs aient manqué de courage pour effectuer les réparations nécessaires. «Notre Parlement est un trésor national, mais il a souffert terriblement de décennies de négligence», a-t-il confié. Le ministère des Travaux publics a indiqué par courriel que «la sécurité est une priorité pour le gouvernement du Canada, pour la Chambre des communes et pour le Sénat, et que, dépendant des conditions spécifiques d'une structure, des câbles, des filets et d'autres mesures d'atténuation étaient installés». M. Elder a estimé que les rénovations du bloc central pourraient ajouter 500 millions $ au coût du projet. Le ministère des Travaux publics n'a rendu public qu'un budget préliminaire de 821,5 millions $, approuvé par le gouvernement pour la restauration du bloc ouest datant du XIXe siècle, soutenant qu'il était prématuré de spéculer sur les coûts des travaux pour les deux autres édifices. En 1998, le ministre des Travaux publics de l'époque, Alfonso Gagliano, avait estimé le coût des rénovations pour les trois édifices à 483 millions $ et avait évalué qu'elles pourraient être complétées... en 2008.
  12. Publié dans le Courrier du Sud du 28 juin 2008. Les tours Est et Ouest du Complexe Saint-Charles Ouest, situé à la Place Charles-Lemoyne s'élèveront un peu plus dans le ciel longueuillois. Les authorités du Vieux-Longueuil ont donné le feu vert au propriétaire pour qu'il ajoute 2 étages aux tours. Ainsi, la tour Est comportera 14 étages et la tour Ouest en comportera 9. Les travaux de construction, qui se chiffrent à 13 M$, débuteront en août.
  13. source Le Journal de Montréal 17/12/2007 L’immense publicité des magasins Tristan suspendue à l’angle des rues Sainte-Catherine et Peel est un leurre : l’immeuble accueillera plutôt le suédois H & M, a appris le Journal. H & M a annoncé au printemps dernier qu’il avait enfin trouvé le local idéal sur la rue Sainte-Catherine, mais n’en a jamais précisé l’adresse. Finalement, le détaillant de vêtements s’établira dans une portion très achalandée de la Sainte-Catherine, en face du nouveau magasin Guess qui a ouvert ses portes samedi. « Ce sera une adresse extraordinaire », a souvent répété la présidente d’H & M Canada, Lucy van der Wal. L’immense édifice choisi par le « Ikéa du vêtement » a déjà commencé à être déserté par ses trois locataires. La boutique Rogers a déménagé ses pénates dans un autre local de la rue Sainte-Catherine, un peu plus à l’est. La SAQ a fermé ses portes mercredi soir dernier, la veille de l’ouverture de sa nouvelle succursale Express située à quelques mètres de là. Et le bureau de change Cali-forex doit quitter les lieux avant le 31 décembre. Décontamination Des mois de travaux seront ensuite nécessaires afin que les étages supérieurs, inutilisés depuis des années, deviennent accessibles à H & M. Le détaillant occupera en effet plus d’un plancher, comme on le voit notamment à New York. Il faudra aussi décontaminer les locaux, qui contiennent de l’amiante. Et refaire la façade. Le travail est déjà commencé, a-t-on appris. Mais les amateurs et amatrices de mode devront attendre jusqu’en août ou même septembre pour découvrir le plus grand H & M du Québec. La Ville de Montréal a accordé un permis pour les travaux effectués à l’intérieur mais attend toujours une proposition de « projet plus substantiel », a indiqué le porte-parole de l’arrondissement Ville-Marie, Jacques-Alain Lavallée. Au plus tôt, les plans pourraient être entérinés en février. Tristan sans America Quant aux immenses toiles qui recouvrent l’édifice, elles servent à présenter la nouvelle image de Tristan qui a laissé tombé la portion « America » de sa raison sociale. Dorénavant, les collections féminines et masculines seront donc vendues chez Tristan, tout simplement. Le détaillant montréalais peut facilement profiter de la visibilité qu’offre la future adresse d’H & M puisque l’édifice appartient à Gilles Fortin… le propriétaire des boutiques Tristan.
  14. A la recherche d'un article sur le sujet, que j'avais lu il y a quelques jours, j'ai parcouru les differents sites de discussions car je croyais l'avoir lu sur mtlurb comme je ne l'ai pas retrouve la, j'ai poursuivi mes recherches et l'ai finalement trouve: c'etait dans l'edition du 11 juin du journal Le Devoir L'article venait de la Presse Canadienne, j'ai pense vous en faire partager le contenu pour ceux qui ne l'auraient pas deja lu. Alors que d'importants travaux sont sur le point de commencer au Ritz-Carlton de Montreal, la maison de ventes aux encheres legor-Hotel des encans annonce la mise en vente des "souvenirs" du celebre etablissement de la rue Sherbrooke Ouest. Le 25 et le 26 juin a 19h, legor-Hotel des encans mettra en vente des souvenirs, de l'art, des antiquites, le contenu et les elements decoratifs --tels que decrits au moment de la vente--des 229 chambres et suites de l'hotel, du Cafe de Paris, du restaurant Intercontinental et du bar Le Grand Prix entre autres. Les objets mis en vente pourront etre vus le 23 juin de 14h. a 20h. et les jours des ventes a partir de midi. L'encan; qui sera dirige par le commissaire-priseur legor de Saint-Hippolyte se deroulera dans le Salon Ovale du Ritz, jusqu'a l'epuisement des lots au nombre de plus de 500. Ce mois-ci doivent commencer les travaux de transformation de la "grande dame de la rue Sherbrooke" evalues a plus de 100 millions de dollars. Les proprietaires et gestionnaires de l'hotel veulent en faire le plus prestigieux etablissement hotelier de Montreal et du Canada. Au terme des travaux qui devraient durer une quinzaine de mois, l'hotel proposera 130 chambres et suites, 35 condos-residences, et 15 condos-suites. Depuis 2007, le Ritz-Carlton de Montreal inaugure en 1912, est la propriete d'un consortium forme du Groupe financier Mirelis, du Groupe Torriani et du Groupe Rolco. Sa gestion est assuree par Torriani Luxury Management Canada, une filiale de Monaco Luxury Hotels and Resorts. ---------------------------------------------------------------------- Je ne croyais pas que nous etions si pres du debut des travaux, les nostalgiques et ceux qui s'inquietent de l'avenir de l'etablissement trouveront peut-etre un peu de reconfort dans les promesses de grandeur des proprietaires (on pourrait s'imaginer qu'ils savent ce qu'ils font...? ) ou peut-etre trouveront-ils un objet d'inquietude supplementaire pour ce qui represente en fin de compte tout ce qui nous reste des hotels prestigieux du debut du siecle dernier.
  15. Just a heads up for people who live in Longueuil... several major arteries are about to become traffic nightmares for the next few months. They've finally decided to fix Jacques-Cartier, Ch. Chambly, Ste-Foy, etc. These roads were in need of major repairs. ------------------------------------------- La Ville de Longueuil investit 36,5 millions pour la réalisation de la phase I des travaux d’infrastructures. Lors de sa séance du 19 juin dernier, le conseil de ville a approuvé un règlement de 36,5 millions de dollars pour la réalisation des travaux de construction de la phase I du plan de renouvellement des infrastructures qui débutera dès cet été à Longueuil. La phase I consiste principalement à réaliser des travaux de remplacement d'aqueduc et de réhabilitation de la chaussée, conformément au programme d'inventaire et d'entretien des infrastructures urbaines de Longueuil et aux critères du ministère des Affaires municipales et des Régions. Ces travaux seront partiellement financés par le transfert aux municipalités d'une partie des revenus de la taxe fédérale d'accise sur l'essence. « Cette première phase, qui comprend 45 projets prioritaires dans les arrondissements de Greenfield Park, de Saint-Hubert et du Vieux-Longueuil, débutera dès le début du mois d'août prochain et elle se poursuivra jusqu'en 2008. Nous projetons mettre en œuvre une seconde phase dès 2008 qui s'échelonnera jusqu'en 2009. La Ville de Longueuil investira ainsi un total de 72 millions de dollars à l'entretien de ses infrastructures et réalisera plus d'une centaine de projets prioritaires d'ici 2009. « Nous agissons en tant que municipalité responsable et investissons dans un important programme, car la qualité de nos infrastructures est une préoccupation constante. Longueuil et toute sa communauté profiteront des efforts considérables que nous déployons pour consolider nos acquis et préserver nos infrastructures », a déclaré le maire de Longueuil, Claude Gladu. Toutes les mesures qui s'imposent seront prises pour bien informer les citoyens touchés et limiter les inconvénients durant les travaux. Pour connaître l'évolution des travaux, il suffit de téléphoner à Info-travaux, au 450 463-7234, ou de consulter le site Internet de la Ville (longueuil.ca/travaux). http://www.longueuil.ca/travaux ------------------------------------------- Voici une carte que j'ai préparé qui montre certains projets importants dans la région de Ch. Chambly. Je suis pret a miser 10$ que le reste du Boul. Nobert va etre fait dans la phase II. Je vais essayer de m'informer aupres de la ville..
  16. Les Mohawks de Kahnawake ne perturberont pas le début des travaux grâce à une entente avec Québec. Ils recevront des terres en compensation de la perte de celles situées sur le trajet de l'autoroute. Pour en lire plus...
  17. Les travaux déjà en cours mèneront à l'ouverture du magasin situé au 1100, rue Sainte-Catherine Ouest. Pour en lire plus...
  18. //Fiction//Fiction//Fiction//Fiction//Fiction//Fiction//Fiction//Fiction//Fiction// ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Hôtel Chaboillez (Rue Notre-Dame/Rue Peel/Rue De la Cathédrale) Promoteur: Hôtel Chaboillez Directeur du projet : M. Jean-François Péladeau Architectes : PCR Architectes & associés Début des travaux : Mai 2008 Fin des travaux *: Mai 2010 Type de construction : Résidences de luxe/Hôtel Nombre d’étages : 35 étages Hauteur totale: 130 mètres Avec un développement rapide du quartier Griffintown et le terrain avant de l'ancien Planétarium étant classé «espace vert», il a donc fallut développer le stationnement, maintenant inutile, de l'acien musée de l'espace de Montréal, déménagé au Parc Olympique. Premiers rendus :
  19. La construction tirera l'économie jusqu'en 2011 Les Affaires, 00:00 Récession, vous dites ? Pas dans la construction, en tout cas. L'industrie connaît un niveau d'activité digne de l'effervescente des années 1970. Hausse des heures travaillées et embauche massive sont au menu des prochaines années. Organisme chargé de veiller à l'application des conventions collectives dans l'industrie de la construction, la Commission de la construction du Québec (CCQ) voit la conjoncture favorable se prolonger jusqu'en 2011, récession américaine ou pas. Pour 2008, la CCQ prévoit 128 millions d'heures, une hausse de 3 % par rapport à 2007. Ce nombre grimpera à 140 millions en 2010 et 2011. Plan québécois des infrastructures Le gouvernement du Québec prend les bouchées doubles pour récupérer le retard dans l'entretien de ses infrastructures. En cinq ans, 30 milliards de dollars seront investis dans les écoles, les hôpitaux, les routes, les aqueducs et les égouts. " Ces investissements profiteront grandement à l'industrie de la construction ", a souligné David Whissel, ministre du Travail, lors de la conférence de la CCQ sur les perspectives économiques de l'industrie, qui s'est tenue le 3 décembre. En parallèle, Hydro-Québec a reçu le feu vert de Québec pour ouvrir les vannes de son réservoir de projets. Pas moins de 31 milliards de dollars seront investis dans l'énergie en 10 ans. Bref, l'activité ne manquera pas dans la voirie, le génie civil et l'institutionnel. Il suffit que l'activité se maintienne dans l'industriel et le commercial pour que les prévisions de la CCQ se réalisent. Les économistes de la CCQ s'attendent à ce que les mises en chantier du secteur résidentiel ralentissent au cours de la période 2008-2011, pour des raisons démographiques. Le secteur a toutefois surpris en 2007 tandis que le nombre de logements mis en chantier a de nouveau franchi le cap des 50 000 unités. Au Nord Où seront situés les points chauds ? Le Nord ignore les soubresauts économiques du Sud, m'a dit récemment un industriel de Joliette, Mario Gareau, des Industries Harnois, qui vend des mégadômes pour les entreprises minières. Le volume de travail doublera à la baie James grâce au chantier d'Eastmain-1-A-Rupert. En Abitibi-Témiscamingue on conservera un niveau d'heures travaillées comparable à 2007, en attendant le premier coup de pelle de la mine d'or Osisko, à Malarctic. Le secteur industriel permettra à la Côte-Nord d'atteindre une croissance de 5 %, en attendant le signal du départ du méga chantier des centrales de la Romaine de 1550 mégawatts de puissance. " Si tout va comme on le souhaite, les travaux du complexe Romaine devraient s'amorcer dès 2009 ", dit Réal Laporte, président d'Hydro-Québec Équipement et pdg de la Société d'énergie de la Baie James lors du congrès annuel de l'association des constructeurs de routes et grands travaux du Québec le 16 janvier. Recherché : 56 000 travailleurs Toute cette effervescence nécessitera l'embauche de 14 000 travailleurs par année, dont 10 000 seulement pour combler des départs à la retraite, pendant quatre ans. Fin 2007, l'industrie comptait 134 000 travailleurs actifs. Ce nombre approchera les 150 000 à la fin de 2011. Ce niveau a été atteint la dernière fois lors de la période 1974 à 1977. " On va déballer bientôt notre plan d'action pour les cinq prochaines années. Fiez-vous sur nous et sur l'industrie. On a augmenté le nombre de travailleurs de 50 000 dans l'industrie [depuis 1995], on va rester vigilant pour réussir à combler les besoins de main-d'oeuvre ", a dit André Ménard, pdg de la CCQ, en marge de la conférence annuelle. Hommage aux constructeurs Les Affaires veut refléter le dynamisme du secteur en consacrant un dossier immobilier aux grands constructeurs. Nos collaborateurs ont dressé le profil de deux constructeurs tirant leur épingle du jeu, le premier dans les grands travaux et l'autre dans la construction de copropriétés divises à Montréal. Les sujets d'actualité comme la prolifération des résidences pour personnes âgées, l'acceptation sociale d'un projet d'envergure et la certification environnementale des immeubles figurent aussi au menu de ce dossier spécial. Bonne lecture. http://www.lesaffaires.com/article/1/publication--lesaffaires/2008-02-23/472385/la-construction-tirera-leconomie-jusquen-2011.fr.html andre.dubuc@transcontinental.ca
  20. La Presse Canadienne 27/11/2007 La Ville de Montréal a présenté son plan d'action concernant la salubrité des logements. Cosmo Maciocia, responsable de l'habitation au comité exécutif, a indiqué que les propriétaires visés par cette opération ont intérêt à procéder aux travaux requis sans délai, car l'application du Règlement sur l'entretien et la salubrité des logements sera faite de façon rigoureuse. Une équipe de huit personnes a été mise sur pied et elle verra à mener des inspections d'immeubles réputés insalubres et de veiller au suivi des constats d'infraction. L'équipe est déjà passée à l'action. Elle a réalisé ses premières inspections dans 200 logements situés dans les arrondissements de Villeray/Saint-Michel/Parc-Extension et de Saint-Léonard. Son objectif est d'inspecter 3000 logements d'ici la fin de 2008, dans divers arrondissements. Si le propriétaire intimé refuse d'apporter les correctifs, le Règlement donne le pouvoir d'exécuter des travaux de remise en état des logements à sa place, à ses frais. Le plan d'action s'appuie sur un budget de 3 millions $ sur trois ans. Pour sa part, le regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ) invite les arrondissements et la ministre québécoise des Affaires municipales, Nathalie Normandeau, à emboîter le pas. André Trépanier, responsable du regroupement, a déclaré qu'en étant libérés des cas lourds, les arrondissements n'ont plus d'excuse pour assumer leurs responsabilités dans l'application du Règlement sur l'entretien et la salubrité des logements.
  21. Guy Laliberté emménage dans un château de 5,5 M$ <DIV id=photo_pub>Mise en ligne 12/11/2007 04h00 La maison de Guy Laliberté Photo © ARGENT Guy Laliberté revient en ville dans une résidence cossue au flanc du mont Royal. Trois ans après avoir dénoncé l'immobilisme de Montréal dans le dossier du développement du bassin Peel, Guy Laliberté y prend tout de même racine en emménageant dans un château de 5,5M$ dans Outremont. Le fondateur du Cirque du Soleil procède actuellement à des travaux de rénovation de 3 M$ dans sa nouvelle résidence achetée en octobre 2006, au coût de 2,5M$, sur l'avenue Maplewood. Les travaux concernent principalement l'agrandissement de la maison dans la cour avant et la transformation de toutes les pièces, en plus de l'aménagement d'un bureau ultramoderne pour Guy Laliberté. Les travaux ont été autorisés par l'arrondissement d'Outremont le 5 février 2007 et l'important chantier a été ouvert dans les semaines suivantes. Des rénovations d'une telle ampleur dans une maison privée sont exceptionnelles. Les ouvriers ont dû procéder à quelques phases de dynamitage dans le roc du mont Royal pour construire les fondations du bâtiment qu'il ajoute à cette résidence cossue. De type ancestral avec revêtement de pierres grises, la nouvelle résidence de Guy Laliberté est accrochée au flanc de la montagne, assurant une vue magnifique sur le Plateau Mont-Royal et le centre-ville. La nouvelle façade comportera des pierres de granit de couleur charcoal. Retour en ville Le grand patron du Cirque du Soleil ne parle jamais aux journalistes de ses affaires personnelles, mais on peut croire qu'il s'agit pour lui d'un retour commode en ville pour faciliter la vie de sa conjointe et de ses enfants. Ses deux enfants fréquentent une école primaire du secteur, avait écrit en primeur Le Journal de Montréal l'an dernier, et sa conjointe, Claudia Barila, tient commerce dans le Vieux-Montréal, soit la boutique Appartement 51. Guy Laliberté habite toujours son domaine de Saint-Bruno, très courues par le «jet-set» montréalais, domaine qu'il avait rendu très populaire, il y a quelques années, par les réceptions plutôt bruyantes qu'il y donnait, dont celle qui réunissait le monde de la F-1. Il a acheté sa nouvelle maison de Mme Elizabeth Chiang, femme d'affaires qui habitait y habitait avec son conjoint depuis 1989. Elle a hérité de la demeure à la mort de son mari, il y a quelques années, et est allée vivre à Taiwan. Frédéric Gagné, l'attaché de presse de M. Laliberté, n'a pas voulu préciser au Journal si son patron vendrait son domaine de Saint-Bruno. Plans modifiés Le richissime Québécois a dû soumettre son projet à l'approbation de l'arrondissement d'Outremont parce que les travaux allaient affecter l'apparence extérieure de cette luxueuse maison. Le comité consultatif d'urbanisme a étudié tous les plans des modifications proposées, qui formaient un document de 22 pages, a appris le Journal. Le château des Laliberté n'est encore qu'un chantier et il est peu probable que la famille y passe un premier Noël dans un mois et demi. abeauvais@journalmtl.com
  22. (12 avril 2007)Les membres du comité exécutif de la Ville de Montréal ont autorisé le lancement d’appel d’offres public pour des travaux d’exécution dans le cadre de la remise en bon état du belvédère Camilien-Houde dans le parc du Mont-Royal pour un montant évalué sommairement à 225 000$. «Ces travaux de restauration permettront d’améliorer la qualité du site, des aménagements, de les préserver en redirigeant les eaux de ruissellement pour éliminer les problèmes d’érosion et de bonifier le mobilier urbain pour répondre aux besoins des utilisateurs», explique Helen Fotopulos, mairesse de l’arrondissement Plateau Mont-Royal. Plusieurs composantes du belvédère ont subi une dégradation depuis son aménagement en 1995.
  23. Vendredi 5 Octobre 2007 La métropole aura sa première ruelle champêtre. Des travaux sont présentement en cours dans la ruelle du quadrilatère Henri-Julien/Drolet/avenue des Pins/Carré St-Louis afin de lui donner une fière allure. C'est l'entreprise Val Nature qui a reçu le mandat d'embellir et verdir cette ruelle. Val Nature va aussi produire un guide d'embellissement et de verdissement des ruelles de Montréal. Inspiré par des réalisations similaires notamment à Vancouver, ce réaménagement consistera en un remplacement partiel de la chaussée asphaltée par une structure géosynthétique, permettant à un couvre-sol végétal de pousser. Ces travaux se réaliseront en conservant les acquis passés puisque cette ruelle a été désignée gagnante dans la catégorie " Ruelles vertes " du concours d'embellissement 2006. La naturalisation des ruelles permettra de diminuer la température due aux ilôts de chaleur et de laisser une plus large place à la verdure, en plus d'améliorer la qualité de l'air et de favoriser l'infiltration naturelle des eaux de pluie. " Ce projet témoigne de notre engagement à protéger, valoriser et accroître le patrimoine vert de notre arrondissement ", a commenté la mairesse de l'arrondissement du Plateau Mont-Royal, Helen Fotopoulos.
  24. Le Journal de Montréal 21/09/2007 À l'heure du questionnement sur la laïcité dans tous les espaces publics, la Ville de Montréal entreprendra la semaine prochaine des travaux majeurs de 1,5 M$ pour garder debout la croix du mont Royal. La conseillère municipale et mairesse du Plateau-Mont-Royal, Helen Fotopulos, responsable du développement du mont Royal, a confirmé la nouvelle au Journal de Montréal. La structure a 80 ans et elle devient menaçante pour les visiteurs. Selon un document interne de l'administration de Montréal, «la corrosion est telle qu'elle pourrait engendrer des risques pour les visiteurs et les responsables de l'entretien». La croix nécessite donc des travaux de restauration urgents. «Si on repousse encore les travaux, de dire Mme Fotopulos, les interventions deviendront encore plus onéreuses et le danger augmentera dans son périmètre. » Les coûts de la restauration seront supportés par la Ville de Montréal et le ministère de la Culture, «qui veulent préserver et mettre en valeur ce patrimoine naturel et historique du mont Royal», indique la conseillère. Son état général requiert une restauration majeure pour limiter sa détérioration, due surtout à la corrosion. Les travaux, qui seront lancés dans quelques jours par la firme Ventec, permettront de restaurer les éléments stabilisateurs par le remplacement des ancrages et des colonnes principales, qui comptent 200 membrures et des centaines de rivets. L'éclairage Le système d'éclairage sera démantelé de la croix géante, qui fait 100 pieds de hauteur avec des bras d'une envergure de 32 pieds. Cet éclairage sera remplacé par un système qui permettra d'exécuter facilement les manoeuvres d'entretien et les changements de couleurs. La structure métallique réparée sera repeinte au printemps 2008, et c'est alors qu'on fera un nouvel aménagement périphérique plus agréable pour les visiteurs, qui doivent actuellement rester à distance à cause d'une clôture dissuasive. La construction de la croix du mont Royal a été financée en grande partie par une collecte de fonds publique organisée par la Société Saint-Jean-Baptiste au début des années 1930. Elle remplaçait une première croix de bois qui avait été plantée par Paul de Chomedey de Maisonneuve, fondateur de Montréal en 1642. Lors d'une importante inondation, au début de Ville-Marie, il avait promis de planter une croix sur la montagne si l'eau du fleuve se retirait. Ce qui s'était réalisé.
  25. 18 septembre 2007 Le mur du Plateau sera végétalisé au printemps 2008. Le verdissement, originalement prévu au montant de 175 225$, coûtera trois fois plus cher, soit 400 000$. Le mur de béton, qui sépare les arrondissements Plateau-Mont-Royal et Rosemont-La Petite-Patrie, a été érigé afin de réduire le bruit des trains pour les résidants du Plateau-Mont-Royal. Tout en réduisant le bruit au sud, ce mur crée aussi un effet de réverbération pour les résidants de la Petite-Patrie, au nord des voies ferrées. Ces derniers se plaignaient de la nuisance acoustique. En pleine campagne électorale, en 2005, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, promettait de «stopper» la construction du mur. L'année suivante, le promoteur en achevait la construction sur près d'un kilomètre et d'une hauteur de 4,5 mètres. Au mois de juin 2006, les deux maires des arrondissements, André Lavallée et Helen Fotopulos, annonçaient la végétalisation du mur acoustique. Le couvert végétal embellirait le mur de béton. De plus, des tiges de saule, doublées de vigne, plantées au pied du mur, rendraient impossible l'accès au mur pour les graffiteurs. «La population de l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie a maintes fois décrié la laideur de la vue du côté de la voie ferrée», précise le sommaire décisionnel. Coût Le coût de 400 000$ sera réparti en trois. Le budget proviendra du Programme triennal d'immobilisation selon la répartition suivante: 50% pour la ville centrale, 25% pour l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie et 25% pour l'arrondissement Plateau-Mont-Royal. Les travaux seront réalisés par l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, au printemps 2008. «Les travaux de plantation doivent absolument être effectués d'ici au 15 mai 2008, sinon le succès du projet est compromis», peut-on lire dans le sommaire décisionnel.
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