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  1. L.M. Sauvé s'attaquera à l'hôtel de ville de Montréal L'entreprise de maçonnerie L.M. Sauvé doit commencer incessamment d'importants travaux de réfection à l'hôtel de ville de Montréal qui s'échelonneront sur trois ans. L'entreprise doit refaire les toitures de cuivre de l'édifice situé au 275 de la rue Notre-Dame Est dans le cadre d'un contrat de près de 10,7 millions $. Le remplacement des imposantes toitures de cuivre de l'hôtel de ville de la métropole était rendu nécessaire, après plus de 80 ans de vie utile, et se justifie, aux yeux de l'administration municipale, par la grande valeur patrimoniale de l'édifice situé au coeur de l'arrondissement historique du Vieux-Montréal. L.M. Sauvé s'est engagée à effectuer la réparation des toitures, des combles, du campanile au sommet du pavillon central et tous les travaux de maçonnerie dans le plus grand respect des éléments d'origine et en parfaite harmonie avec l'architecture monumentale victorienne de l'édifice. Pendant les travaux, les échafaudages sur les façades de l'immeuble en rénovation seront recouverts d'affiches géantes réalisées par la société Madigan afin de permettre aux ouvriers d'exécuter leur travail en toute quiétude et aux piétons de circuler en sécurité tout en éliminant la pollution visuelle causée par les filets de sécurité traditionnels de tels chantiers. L.M. Sauvé s'est fait connaître pour ses travaux de maçonnerie à l'église unie Saint-James, à la cathédrale Christ Church, aux sièges sociaux de Bell Canada et Quebecor, aux magasins Archambault Musique et à La Baie à Montréal, Toronto et Vancouver. Quant à Madigan, un exemple de son travail a pu être vu sur la façade du magasin La Baie de Montréal l'hiver dernier.
  2. Source: La Presse, 10 novembre 2010 La pharmaceutique Pfizer a annoncé mercredi qu'elle investirait 22 millions de dollars afin de procéder à des travaux de reconstruction et de modernisation de son siège social de Kirkland, dans l'ouest de l'île de Montréal. Selon le président de l'entreprise, Paul Lévesque, cet investissement démontre que Pfizer souhaite demeurer «le chef de file» de l'industrie biopharmaceutique, qui constitue d'après lui un secteur «vital» pour la province. Les 22 millions seront consacrés à la reconstruction du bâtiment original de Kirkland et à la modernisation des installations et des équipements utilisés quotidiennement par les employés. Les travaux sont déjà en cours, précise le communiqué diffusé mercredi, et devraient prendre fin d'ici mars 2011. En tenant compte uniquement du secteur de la construction, le projet aura créé une centaine d'emploi, fait valoir l'entreprise. Pfizer a près de 2100 employés au Québec, ce qui en fait la société pharmaceutique qui compte le plus d'effectifs dans la province
  3. Montréal Piétonnisation de la rue Masson: loin d’être chose faite Agence QMI Laurent Dionne 26/05/2011 17h59 MONTRÉAL - Dans la foulée d’artères commerciales devenues piétonnes à Montréal, comme les rues Sainte-Catherine et Saint-Paul, voilà que la rue Masson pourrait également faire de même dès l’été 2012, si les commerçants et résidants du secteur donnent leur aval. «Les commerçants vont être appelés à voter à la mi-juin. S’ils acceptent le projet, nous demanderons aux résidants s’ils sont du même avis. Ça prend l’accord de tout le monde», a indiqué Louis Tremblay, porte-parole de l’arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie. L’arrondissement avait initialement proposé la piétonnisation tout au long de la semaine, ce qui avait soulevé le mécontentement des occupants du quartier. Cette fois, le projet vise une fermeture à la circulation durant la fin de semaine seulement, soit du vendredi 16 h au dimanche 17 h, entre la 1ère avenue et le boulevard Saint-Michel. L’accès aux voitures serait interdit, mais la ligne d’autobus qui dessert l’artère resterait en service. Les propriétaires des établissements commerciaux seraient invités à installer des terrasses. Une partie des frais de ces travaux serait prise en charge par l’arrondissement. Des commerçants peu convaincus Si les commerçants doivent attendre à la mi-juin pour se prononcer, d’autres laissent déjà paraître leur désaccord. «Ça ne nous arrangerait pas du tout. Ce serait un gros problème pour le stationnement, parce que la plupart de nos clients viennent en voiture. Ça ne serait pas bon pour les commerçants de la rue», a témoigné Dionisios Chronopoulos, propriétaire du buffet Casa Corfu. «Notre position reste la même, c’est-à-dire qu’on est contre. Nous avons trop de marchandises volumineuses qui nécessitent une voiture», a répondu Dominic Bélanger, propriétaire de la Quincaillerie Rona Bélanger, qui affirme qu’une grande partie de son chiffre d’affaires annuel provient des ventes effectuées durant les fins de semaine d’été. Du côté de la Société de développement commercial Promenade Masson, on souligne que le conseil d’administration a décidé de «soutenir le projet d’essai», a signifié son secrétaire, Michel Séguin. Selon ce dernier, «l’important est de garder les véhicules dans le secteur». Pour ce faire, un projet de construction d’un stationnement à étages est envisagé. Travaux d’embellissement Dans la même lignée de revitalisation, des travaux de réaménagement sont également prévus. «Nous croyons que la piétonnisation et les travaux d'embellissement que nous proposons auront un impact majeur sur la qualité de vie des résidants et sur la vitalité de l'ensemble de ce secteur, c'est pourquoi nous mettons tout en œuvre pour que ce projet aille de l'avant», a pour sa part soutenu le maire de l’arrondissement, François Croteau, par voie de communiqué.
  4. Un petit édifice aux airs d'Expo '67. Coin nord-est Saint-Denis_DeMaisonneuve. Construit en 1968 par l'architecte Jean-Paul Pothier. La structure de l'édifice n'a pas été démolie mais des travaux majeurs de réaménagement en 1991-1992 en ont complètement modifié l'aspect.
  5. Pour une fois que c'est le cas, soulignons-le....... http://24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/02/20110203-153638.html
  6. Les entrepreneurs freinent leurs ardeurs Montréal, Laval et le MTQ constatent une baisse importante du coût des travaux. «L'escompte Marteau» pourrait toutefois être de courte durée, selon le milieu policier. La mise en place de nouvelles règles d'octroi de contrats et la présence déstabilisante de l'opération Marteau ont forcé les joueurs-clés de l'industrie de la construction à freiner leur ardeur, ce qui a ouvert la porte à de nouveaux entrepreneurs et fait baisser les prix dans les municipalités, a appris Le Devoir. Cet «escompte Marteau», comme on l'appelle dans les milieux policiers et municipaux, ne serait toutefois qu'un repli stratégique le temps que l'attention sur l'organisation des contrats publics se détourne. «Ils se gardent une petite gêne pour l'instant», a expliqué une source bien au fait de la situation. Une autre personne qui a requis l'anonymat a renchéri: «Pour calmer le jeu, le club des entrepreneurs nous a donné un escompte, un rabais qu'on peut associer à Marteau. Mais le même groupe de soumissionnaires commence à revenir.» De fait, à Montréal, Laval et au ministère des Transports du Québec, on constate une baisse importante du coût des travaux au cours de la dernière année. La raison? Le marché s'est ouvert et de nouveaux entrepreneurs ont soumissionné pour obtenir des contrats d'infrastructure. À Montréal, l'écart entre l'estimation interne des coûts réalisée par la Ville et le prix final des contrats est de 36 % inférieur en ce qui a trait aux travaux d'aqueduc et d'égout. Dans le cas des travaux de chaussée, la baisse est de 36 % également. Dans le domaine des parcs et pistes cyclables, c'est une baisse de 15 % du coût des travaux. «On constate qu'il y a de nouveaux joueurs qui répondent aux appels d'offres. Certains viennent de l'extérieur de Montréal et n'ont jamais soumissionné à Montréal avant. Plus il y a d'entrepreneurs, plus les prix baissent», a expliqué au Devoir Alan DeSousa, le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal. Selon les recherches effectuées par Le Devoir dans les derniers jours, pas moins de 78,5 % des contrats octroyés par le comité exécutif de Montréal entre décembre 2009 et octobre 2010 l'ont été à des entreprises qui ne font pas partie des gros joueurs de la construction dans la région. Auparavant, c'était la proportion inverse. À peine 23 des 107 nouveaux contrats sont allés aux 15 entrepreneurs qui ont eu la part du lion des contrats sur l'île entre 2005 et 2009. Parmi ces 15 entreprises généralement dominantes dans le marché, seulement le tiers a postulé ou décroché des contrats depuis décembre: Construction Louisbourg (5), Construction Soter (5), Construction DJL (4), Construction Catcan (4), Infrabec (3) et Construction Garnier (3). Toutes ces entreprises ont obtenu les contrats depuis juin dernier. Même scénario dans le génie-conseil, alors que seulement cinq «réguliers» ont obtenu des contrats depuis un an, soit LVM (filiale de Dessau), Genivar à deux reprises, Cima+ et Groupe Séguin. Nouveaux joueurs Construction Doverco, de Saint-Eustache, est l'une des nouvelles entreprises à avoir tenté sa chance dans le marché montréalais. Cet été, elle a obtenu deux contrats d'une valeur totale de 465 000 $ pour réaliser des travaux facilitant l'accès à un centre communautaire et à un aréna. «On n'a jamais eu Montréal comme client avant», confirme le président, Yves Savard. Pourquoi avoir soumissionné cette année? «Je ne sais pas. On a tenté notre chance sur ces contrats et on les a obtenus, c'est tout.» M. Savard affirme ne jamais avoir subi de pression auparavant pour ne pas travailler à Montréal. «C'est juste une question de choix», dit-il, ajoutant qu'il va probablement continuer de brasser des affaires à Montréal. N'empêche, ils sont plusieurs comme lui depuis un an à venir de Laval, Boisbriand, Varennes, Boucherville, et même d'aussi loin que Sainte-Marthe-sur-le-Lac. Alan DeSousa affirme que les mesures prises par Montréal portent leurs fruits. D'abord, la Ville a accordé moins de contrats cet hiver, ce qui a créé une pression sur les entreprises qui cherchaient du travail. Ensuite, la Ville a fractionné les gros contrats pour permettre à de petits entrepreneurs de se qualifier. Puis, Montréal a mis un bémol à l'utilisation des consortiums, ces regroupements d'entreprises qui répondent ensemble à un contrat, notamment dans le cas des firmes de génie-conseil. «Plus il y a de consortiums, moins il y a de joueurs dans l'appel d'offres», dit M. DeSousa. Pourquoi les habitués du marché obtiennent-ils plus de contrats depuis le mois de juin, avec une pointe à la fin du mois d'août? «On regarde ça attentivement, mais on ne sait pas, dit Alan DeSousa. On pense que c'est parce que les contrats accordés sont plus gros que cet hiver, alors ils ont plus d'intérêts et d'avantages.» Une baisse à Laval Même scénario de baisse des prix à Laval, qui n'a pourtant pas mis en place de mesures spéciales depuis un an, contrairement à Montréal. La facture des travaux de rénovation des égouts et des aqueducs a baissé de 22 % depuis décembre. Dans le domaine de la chaussée, c'est une chute de 26 %. Parcs et pistes cyclables: -20 %. «On a sensiblement le même volume de contrats, mais on a beaucoup plus de soumissions à chaque appel d'offres, explique Dean Dussault, porte-parole de la Ville de Laval. On a des entreprises nouvelles qui viennent de l'extérieur, alors ça fait baisser les prix.» Y a-t-il un effet temporaire en raison de l'opération Marteau? «Je ne peux pas répondre à ça. Je dois m'en tenir aux faits. Et ces faits disent que la raison de la baisse, c'est qu'il y a plus de concurrence», dit M. Dussault. Dans le cas du ministère des Transports du Québec (MTQ), il y a aussi une chute des prix. En fin de semaine, La Presse révélait que les soumissions sont en moyenne de 16,4 % inférieures aux estimations internes des fonctionnaires. L'unité anticollusion a épluché des contrats d'une valeur de 1,7 milliard de dollars. L'économie pour le gouvernement serait de 311 millions de dollars. Au MTQ, on refuse de commenter ce qu'on nomme des «données stratégiques». À Montréal et Laval, on s'est dit incapable de chiffrer les économies pour l'instant. «On va avoir une meilleure idée dans quelques mois», affirme Alan DeSousa. http://www.ledevoir.com/societe/justice/311618/les-entrepreneurs-freinent-leurs-ardeurs
  7. Le belvédère du mont Royal, aménagé du côté sud du chalet, subira, à compter du printemps, une cure de rajeunissement. Des travaux de réfection du dallage et d’éléments de maçonnerie seront réalisés afin de «limiter la dégradation du site et de sécuriser l’accès aux usagers», peut-on lire dans des documents remis au comité exécutif. Le contrat, qui a été approuvé lundi par le conseil municipal, se chiffre à 545 000 $. Le belvédère Kondiaronk, baptisé en l’honneur d’un chef Huron-Wendat, connu comme l’un des principaux artisans de la Grande Paix de Montréal en 1701, avait fait l’objet de travaux de préservation au début des années 1990. Les années qui ont passé ont cependant mené à la dégradation de la maçonnerie et des joints dans le dallage. Les travaux incluront le remplacement de certaines pierres de granit, la correction des assises de pierre, le rejointoiement et la réfection d’une dalle de béton sous le dallage de granit. Ils devraient être complétés à l’été. Il n’a pas été possible de savoir, hlundi, si le belvédère demeurerait accessible au public pendant les travaux. http://www.journalmetro.com/montreal/article/699092--travaux-au-belvedere-du-mont-royal-au-printemps
  8. Six mois de travaux sur la rue Sherbrooke MONTRÉAL - La Ville de Montréal a annoncé mercredi le début d’un important chantier qui paralysera la rue Sherbrooke jusqu’à la fin mai 2011, au centre-ville, entre les rues Saint-Marc et de la Montagne. La Ville doit effectuer des travaux majeurs pour réparer un égout collecteur construit en 1910, dont l’état de dégradation est tellement avancé qu’il pourrait causer un affaissement de la chaussée et des refoulements chez les résidents du secteur, si rien n’est fait. «Ces travaux sont absolument nécessaires. Les inspections récentes, faites par caméra, démontrent bien l’état dégradé de ce tronçon», a expliqué en conférence de presse le responsable des infrastructures au Comité exécutif, Richard Deschamps. Au lieu de reconstruire l’égout, ce qui aurait coûté neuf fois plus cher, la Ville a opté pour l’installation d’une gaine à l’intérieur des conduites, de façon à créer une nouvelle paroi qui devrait tenir pendant 50 ans. Facture totale : 4,2 millions $. Cette technique permettra également de réduire de moitié la durée du chantier. Circulation Qui dit réfection d’aqueduc dit fermeture de rues, et les travaux sur Sherbrooke n’y échapperont pas. À partir du 14 novembre, l’artère sur laquelle circulent 30 000 véhicules par jour ne comportera qu’une voie dans les deux sens sur une distance d’un demi-kilomètre, entre Saint-Marc et Guy. Sherbrooke sera aussi complètement fermée entre Guy et Saint-Mathieu pendant le week-end du 13 novembre, et entre Guy et Redpath pendant le week-end du 27 novembre. Les entraves seront encore plus importantes de janvier à la fin mai 2011, alors qu’une seule voie sur quatre sera ouverte, en direction ouest. Le chantier fera relâche pendant la période des Fêtes, du 18 décembre au début janvier. Les responsables municipaux assurent qu’ils ne pouvaient attendre le début 2011 pour commencer les travaux, parce que tout doit être terminé pour la saison des festivals qui débute en juin. La Ville, qui a encore en tête le cauchemar des travaux sur Saint-Laurent en 2008, et les nombreuses plaintes sur l’avenue du Parc depuis quelques semaines, promet un plan d’action efficace. «Tous les efforts seront déployés pour diffuser l’information et accompagner les commerçants et les résidents durant les travaux», a assuré Richard Deschamps. En 2007, sur la même rue Sherbrooke, au coin de la rue Beaudry, une portion de la chaussée s’était affaissée en raison de l’égout trop vétuste. La réparation d’urgence avait nécessité la fermeture complète de l’intersection pendant deux mois. http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/actualites/regional/montreal/archives/2010/11/20101110-202428.html
  9. Travaux majeurs La « Main » fermée jusqu'en décembre Mise à jour : 15/09/2010 11h46 Dès jeudi et jusqu’en décembre, les automobilistes devront éviter le secteur du boulevard Saint-Laurent, au centre-ville de Montréal. L’artère principale sera fermée à la circulation pendant trois mois en raison de travaux majeurs, du boulevard René-Lévesque jusqu’au boulevard Maisonneuve. La Ville en profitera pour refaire les infrastructures souterraines du boulevard, dans le cadre des travaux du Quartier des spectacles. Par contre, la rue Jeanne-Mance, qui était barrée depuis la fin de l’été, sera rouverte pour faciliter les déplacements dans le secteur. Les automobilistes venant du sud et de l’est seront redirigés vers le boulevard René-Lévesque, la rue Jeanne-Mance et la rue Sherbrooke. Ceux en provenance de l’ouest devront emprunter un détour vers le boulevard René-Lévesque, la rue Berri et le boulevard de Maisonneuve. (Agence QMI)
  10. Bonjour, Il y a de l'activité autour du 1100 en ce moment... Ils sont en train de monter un échafaudage...mais pourqoi ? L'installation me parait énorme pour un simple nettoyage de fenêtres. Quelqu'un a-t-il une idée des travaux en cours ? Photos prises du 10eme étage du 1250. Merci Bonne journée H
  11. Montréal investit 25,2 M $ dans la réfection du boulevard Saint-Laurent Mardi 19 septembre 2006 (Plateau Mont-Royal) Bureau d'arrondissement du Plateau-Mont-Royal Montréal, le 18 septembre 2006 - M. Sammy Forcillo et M. André Lavallée, membres du comité exécutif de la Ville de Montréal, et Mme Helen Fotopulos, mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, annoncent un investissement de 25,2 M $ dans la réalisation de la phase 2 du projet de réfection et de mise en valeur du boulevard Saint-Laurent. Il s'agit de travaux majeurs qui visent la section comprise entre la rue Sherbrooke et l'avenue du Mont-Royal. Ils s'inscrivent dans le concept prévu pour l'aménagement du boulevard Saint-Laurent entre les rues de la Commune et Saint-Zotique. « Nous nous sommes engagés à revitaliser nos infrastructures vieillissantes à Montréal et c'est ce que nous sommes en train de réaliser. Pour le boulevard Saint-Laurent, nous allons restaurer ses infrastructures, égout, aqueduc, chaussée et trottoirs, et en même temps, nous allons mettre en valeur sa personnalité, rendre le boulevard Saint-Laurent plus sécuritaire et plus convivial pour les piétons. Nous prévoyons l'ajout d'aires de livraison et de débarcadères pour soutenir le caractère commercial du boulevard Saint-Laurent et alléger la circulation des véhicules automobiles », de déclarer M. Forcillo responsable des infrastructures et de la voirie au comité exécutif à la Ville de Montréal. Pour la Ville de Montréal, ce projet est un résultat tangible du partenariat avec le milieu, entrepris depuis 2003 et ce, particulièrement avec la Société de développement du boulevard St-Laurent (SDBSL). En fait, plusieurs organismes ont participé aux rencontres de concertation pour l'élaboration du concept d'aménagement retenu par la Ville. En ce qui a trait aux étapes de mise en œuvre de la phase 2, les nombreuses rencontres de travail avec la SDBSL ont fait en sorte que la Ville a réussi à réduire de presque la moitié le calendrier des travaux du projet, passant de 22 à 13 mois. « Ce tour de force est une démonstration éloquente de la collaboration étroite qui s'est établie entre la SDBSL et les intervenants de la Ville de Montréal », a ainsi déclaré M. Gordon Bernstein, président de la Société de développement du boulevard St-Laurent. « Le concept d'aménagement du boulevard Saint-Laurent entre le boulevard René-Lévesque et l'avenue Mont-Royal privilégie le confort, la sécurité des piétons et le transport alternatif par l'élargissement et le dégagement des trottoirs d'environ 75 cm chaque côté, l'ajout de quelque 60 arbres pour un meilleur couvert végétal, l'apport d'une soixantaine de lampadaires pour améliorer l'éclairage, l'ajout d'une dizaine d'aires de livraison et de débarcadères et d'une vingtaine de stationnements à vélos sur chaussée, ainsi que des descentes de trottoirs pour favoriser l'accessibilité universelle », de préciser André Lavallée, responsable du transport collectif et de l'aménagement urbain de la Ville de Montréal. Les travaux visent également à renforcer le caractère historique du lieu par un traitement symbolique des trottoirs représentant la mesure du temps et ainsi améliorer l'aspect visuel du boulevard en misant sur la qualité d'exécution. L'objectif est de maintenir la personnalité actuelle de la « Main » en misant sur le raffinement et la sobriété. Le concept d'aménagement urbain a été réalisé en collaboration avec les services municipaux, les arrondissements et la firme Schème, spécialisée en aménagement urbain et paysager et en architecture. Pour Mme Helen Fotopulos, mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, le boulevard Saint-Laurent constitue le cœur de la Ville de Montréal. «J'ai souvent dit que le boulevard Saint-Laurent nous ressemble et nous rassemble. Il a été la voie d'accès de l'immigration et il demeure le lieu de convergence de plusieurs des cultures qui sont venues se greffer aux cultures francophone et anglophone pour façonner Montréal. Le plan de réaménagement annoncé aujourd'hui constitue plus qu'un symbole de ce que doit être et de ce que sera le Montréal de demain. Il éclate la frontière de jadis pour faire place à un axe de convergence des nouvelles valeurs qui doivent guider le développement harmonieux et durable de notre cité. C'est, bien sûr, un excellent projet pour le Plateau, mais c'est aussi un projet majeur pour Montréal», a declaré Mme. Fotopulos. Avec ses conseillers Isabel Dos Santos et Michel Prescott, elle convie les riverains, les citoyens de l'arrondissement et les montréalais intéressés, à une séance publique d'informations au Centre Ex-Centris, le jeudi 12 octobre prochain à 18h où le projet sera expliqué en détails. Source : Cabinet du maire et du comité exécutif
  12. Dévoilement du concept d'aménagement de la rue Chabanel et prolongement de la rue Jean-Pratt Des investissements de 19,3 M$ pour la revitalisation de l'Acadie-Chabanel Montréal, le 6 août 2008 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, accompagné de M. Alan DeSousa, responsable du développement économique, du développement durable et de Montréal 2025 au comité exécutif, et de Mme Marie-Andrée Beaudoin, mairesse de l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville et responsable du développement social et communautaire au comité exécutif, a annoncé des investissements de 19,3 M$ pour la revitalisation du secteur l'Acadie-Chabanel. De cette somme, un montant de 17 M$ servira à réaménager la rue Chabanel et un montant de 2,3 M$, à prolonger la rue Jean-Pratt où les travaux ont, d'ailleurs, débuté à la fin juillet. « En 2005, nous nous étions engagés à consentir des investissements majeurs pour la revitalisation du secteur l'Acadie-Chabanel. Cette dernière étape finalise un projet qui permettra entre autres d'améliorer l'attractivité de cette artère importante. Déjà les projets d'investissements privés dans le secteur sont estimés à 250 M$, voilà des retombées concrètes », a déclaré M. Tremblay. « Ce secteur offre un important potentiel de développement grâce, notamment, au fort gabarit des immeubles dont la superficie de plancher atteint les dix millions de pieds carrés. D'ailleurs, l'Acadie-Chabanel représente un pôle de développement dont la portée dépasse largement l'arrondissement. C'est pourquoi nous avons identifié ce quartier comme prioritaire dans notre stratégie de développement économique », a ajouté M. DeSousa. Le réaménagement de la rue Chabanel, entre le boulevard Saint-Laurent et la rue Meilleur, vise à transformer la rue pour y créer un véritable milieu de vie. Ainsi, le concept d'aménagement retenu permet d'améliorer la sécurité et le confort des piétons, de rehausser la qualité des aménagements du domaine public, d'offrir un cadre vert et durable par un reverdissement important, de favoriser la présence des transports actifs et de donner une identité propre à la rue Chabanel. Les travaux de prolongement de la rue Jean-Pratt, entre les rues Chabanel et Beauharnois, offriront, de plus, un meilleur accès aux nouveaux immeubles qui y ont été construits récemment. « Ces travaux permettront d'améliorer considérablement le cadre de vie du quartier conformément aux préoccupations des résidants et des commerçants que nous avons consultés à plusieurs reprises. Et nous avons la ferme intention de les tenir informés de l'avancement des travaux et d'être à l'écoute de leurs besoins afin de minimiser les impacts sur leur quotidien », a noté Mme Beaudoin. Le concept d'aménagement de la rue Chabanel a été développé par un consortium composé de la firme Affleck + de la Riva architectes, de Version & Vlan paysages et d'Éclairagepublic à la suite d'un appel de propositions. Adopté en 2005, le plan d'action Réussir l'Acadie-Chabanel comportait cinq volets, soit l'implantation de la gare Chabanel, inaugurée en janvier 2007, la mise en place d'initiatives économiques structurantes, la création d'un partenariat de gens d'affaires, mis sur pied en mars 2007, la planification détaillée du secteur, approuvée en octobre 2006, et la création d'un programme d'aide aux propriétaires d'immeubles à grand gabarit, en vigueur depuis le début de l'année. Arrondissement Ahuntsic-Cartierville / Montréal, QC Portes Ouvertes Réaménagement de la rue Chabanel 29 mai 2008 Les dessins préliminaires du réaménagement de la rue Chabanel - un projet réalisé par Affleck + de la Riva en collaboration avec Version/Vlan Paysages, Éclairage Public et l'agence de signalisation IF - seront presentés au public lors de l'événement des Portes Ouvertes du bureau de l'arrondissement Ahuntsic-Cartiervlle au 555 Chabanel Ouest, 6é étage.
  13. Montréal, le 16 avril 2010 - Le maire de Montréal et président du comité exécutif, M. Gérald Tremblay, présente un compte rendu des principales décisions prises par le comité exécutif (CE) lors de la séance du mercredi 14 avril 2010. Affaires contractuelles À cette occasion, les élus du comité exécutif ont approuvé des dossiers concernant les affaires contractuelles de la Ville de Montréal, dont : • un contrat de 442 990 $ à Fonderie Bibby Sainte-Croix pour la fourniture des grilles de caniveaux dans le secteur de la Place des Arts du Quartier des spectacles. Ces grilles viendront assurer la sécurité des cyclistes et des piétons et contribueront à développer une signature distinctive pour le Quartier des spectacles. Il s'agit d'un pas de plus dans le développement de ce projet phare pour Montréal. • un contrat de 591 719 $ à Ambidex pour la réalisation de services généraux de design muséographiques, de la fabrication et l'installation de l'aire d'Exposition permanente de l'Insectarium. Ce contrat aboutira sur une nouvelle exposition permanente à l'Insectarium qui est déjà une figure de proue dans le domaine muséologique. Cette nouvelle exposition utilisera le mobilier existant tout en modifiant l'éclairage et en réaménageant les espaces actuels. • un contrat de 191 799 $ à Prisme 3 inc. pour le remplacement des outils d'interprétation du Biodôme. Le remplacement des outils d'interprétation est devenu nécessaire afin de s'adapter aux nouvelles réalités technologiques. La volonté de l'Administration d'offrir des équipements de qualité amènera les Muséums Nature à se démarquer davantage parmi les autres musées de ce genre. Les outils actuels ont 17 ans d'âge et sont désuets. • un contrat de 997 200 $ aux Entreprises QMD pour le remplacement et la modification des garde-corps, le réaménagement des éco transits et l'installation de bornes interactives au Biodôme. Ce contrat s'inscrit dans les efforts de l'Administration de moderniser ses équipements scientifiques. Les nouveaux garde-corps de la forêt tropicale et les bornes interactives à écrans tactiles sont des exemples concrets de cette modernisation. • un contrat de 592 012 $ à Troc-Chaînes pour les travaux de sécurisation de la falaise au périmètre du réservoir Vincent-d'Indy. La sécurisation de la falaise préviendra toute chute de roche qui pourrait endommager le réservoir ou blesser quelqu'un. Ces travaux sont préalables à la construction d'un terrain de soccer synthétique qui viendra répondre aux besoins et aux attentes des adeptes de ce sport. • un contrat de 4 050 886 $ aux Installations électriques Pichette pour la réalisation des travaux de réfection et de modernisation de distribution électrique du secteur de la filtration à l'usine Atwater. Ces travaux viendront raccorder les nouveaux systèmes de désinfection avec du nouveau filage et de nouvelles boîtes de fusibles assurant ainsi une meilleure sécurité. Le montant total accordé pour ces travaux est de 27% inférieur aux estimations de la Ville de Montréal. • l'approbation d'un accord de développement entre la Ville de Montréal et DEVIMCO pour la réalisation de la phase 1 du nouveau projet Griffintown. Il s'agit d'une excellente nouvelle pour Montréal qui voit un projet économique, commercial et résidentiel d'envergure se réaliser. • l'abrogation d'une résolution afin d'approuver un projet d'acte avec l'OBNL Ma Maison Mon Toit à des fins de construction résidentielle dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce. La vente de ce terrain est conforme à la politique de cession de terrain à des fins de logements sociaux. Ce projet permettra la construction de plus de 29 logements sociaux dans un secteur de la Ville à proximité des transports collectifs. • divers soutiens financiers à même l'Entente avec le ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale pour la lutte à la pauvreté et à l'exclusion sociale. Ainsi, Jeunesse au Soleil, Moisson Montréal, Répit-Providence, les Magasins-Partage, Intégration Jeunesse, le Dispensaire diététique le Regroupement des cuisines collectives et Cybercap et AlterGo se partageront plus de 1 M$ pour venir en aide aux plus démunis de la société. • d'autres soutiens financiers, mais cette fois à même le budget de la Ville de Montréal afin de venir en aide aux moins nantis. Ainsi, AlterGo recevra des sommes additionnelles pour organiser toutes les activités en matière d'accompagnement en loisirs. Administration et finances Également, les membres du CE ont adopté des dossiers portant sur : • une autorisation à la direction des affaires institutionnelles à payer la somme de 12 546 euros représentant la cotisation 2010 de la Ville de Montréal à Métropolis et à CGLU. La Ville de Montréal y joue un rôle très important et y consolide ses liens avec les autres grandes villes du monde. • l'autorisation d'une dépense de 105 491$ pour la rétention de services professionnels pour procéder à une étude de l'aménagement d'un lien cyclable sur le boulevard des Galeries d'Anjou. La Ville profitera des travaux effectués par le ministère des Transports du Québec sur le pont d'étagement pour y installer une piste cyclable. Il s'agit d'un autre projet qui vient confirmer le choix de l'Administration en faveur du transport collectif et actif. Réglementation Par la suite, les membres du CE ont adopté des dossiers portant sur : • l'adoption d'un règlement autorisant un emprunt de 30 millions de dollars afin de financer les travaux d'aménagement et de réaménagement du domaine public, incluant les travaux d'infrastructures et l'acquisition d'immeubles et de mobilier urbain dans le cadre du projet Griffintown – secteur Peel-Wellington. • l'adoption d'un règlement modifiant le règlement sur la salubrité, l'entretien et la sécurité des logements. L'Administration en a également profité pour adopter les mesures de renforcement de l'application de la réglementation en matière de salubrité respectant ainsi son engagement envers les locataires aux prises avec des propriétaires récalcitrants. L'Administration est donc conséquente avec le principe de tolérance zéro face à l'insalubrité. • La nomination de la salle multifonctionnelle Iro-Valaskakis-Tembeck en hommage à cette femme de tête et de cœur qui a marqué l'histoire de la danse et des arts à Montréal. Cette salle sera située dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce.
  14. Le gouvernement du Québec accumule depuis 10 ans une dette cachée de plus de 6 milliards de dollars pour financer la remise en état du réseau routier québécois, malgré sa propre loi sur le déficit zéro. Selon des données dévoilées par La Presse, ce déficit accumulé par le Fonds de conservation et d'amélioration du réseau routier, qui a été créé en 1996, a augmenté de 760 M$ par année en moyenne au cours des trois années au pouvoir du gouvernement libéral sortant. Durant cette période, Québec a investi annuellement plus de 1 milliard dans la réfection et la construction de nouvelles routes. Les 5,9 milliards de travaux routiers prévus d'ici trois ans pourraient faire passer le déficit du Fonds de conservation et d'amélioration à plus de 10 milliards. Depuis 1996, tous les travaux routiers sont financés par des emprunts au Québec, ce qui permet d'en amortir les coûts sur plusieurs années. L'amortissement est utilisé par plusieurs gouvernements, depuis plusieurs années.
  15. Jean-François Ducharme Actualités - Publié le 8 janvier 2010 à 09:00 BROSSARD. 54 nouvelles résidences unifamiliales de type manoir seront construites au projet «Domaines de la Rive-Sud», dans le secteur L, à Brossard. Le conseil municipal a approuvé la plus récente phase de développement de ce projet réalisé par le Groupe Frank Catania, lors de l’assemblée du 21 décembre. Les 54 résidences seront construites sur des terrains d’une superficie minimale de 1200 mètres carrés, soit 12 916 pieds carrés. Elles seront construites sur cinq rues, soit les rues Louvier, Lugano et trois rues à être nommées plus tard. Le montant total de ces travaux coûtera à la Ville environ 1,8 M$. Les travaux débuteront en février 2010 et devraient se terminer en 2012. Cette phase constitue l’avant-dernière étape du projet Domaines de la Rive-Sud. La dernière phase complétera la dernière rue du projet.
  16. Pont Champlain: fermeture de deux voies sur trois - Travaux de nuit à compter du 31 août LONGUEUIL, QC, le 28 août /CNW Telbec/ - La Société Les Ponts Jacques Cartier et Champlain Incorporée désire annoncer la fermeture de deux voies sur trois en direction de la Rive-Sud du 31 août au 2 octobre, puis la fermeture de deux voies sur trois en direction de Montréal du 5 octobre au 6 novembre. Dans les deux cas, les travaux auront lieu de nuit généralement de 23h à 5h du matin. Soulignons que cet échéancier préliminaire pourra varier selon l'avancement des travaux effectués tout d'abord en direction de la Rive-Sud, puis en direction de Montréal. Ces travaux d'entretien permettront la réfection de joints sur le pont Champlain. Les usagers de la route sont invités à utiliser les autres ponts de la Rive-Sud la nuit durant la période des travaux, ainsi que le réseau de transport en commun. Elle est bonne celle-là, le transport en commun... aucun service de nuit entre montreal et la rive sud (ce qui est inconcevable) Il faut croire que ceux qui écrivent le communique ne prennent pas souvent le transport en commun
  17. le 15 novembre 2007 De plus en plus sollicité par le train de banlieue Saint-Jérôme–Montréal, le pont quasi centenaire qui enjambe la rivière des Prairies et relie Laval et Montréal à l'île Perry, au sud du quartier Laval-des-Rapides sera remplacé par un neuf, d'ici la fin novembre. L'intervention, prévue depuis près de deux ans, est nécessaire en raison de l'augmentation de la fréquence des trains de banlieue qui y circulent. «On veut augmenter la capacité du pont. Le train de banlieue est un succès et est toujours en croissance», fait valoir le porte-parole du CP, Michel Spénard. Avant de procéder au remplacement de la vieille structure, le CP procédera au démantèlement de la passerelle piétonnière, où est également aménagée une piste cyclable. Cette opération sera amorcée le lundi 19 novembre et s'échelonnera sur une semaine, précise le porte-parole de la compagnie ferroviaire. La firme de construction Euler, en collaboration avec la firme d'ingénierie MLC Associés, se chargera de cette portion des travaux. «C'est ce qui aura le plus d'impact sur le public», dit-il. Le reste des travaux, soit le remplacement du pont par une nouvelle structure préfabriquée, peut se faire en un week-end, assure-t-il. Si tout se déroule comme prévu, l'horaire du train de banlieue, qui n'est pas en service la fin de semaine, ne sera pas touché. La ligne Saint-Jérôme–Montréal effectue trois arrêts sur le territoire lavallois: à Sainte-Rose, Vimont et à la station intermodale Concorde. L'ensemble des travaux, y compris la réinstallation de la passerelle, devrait être achevé au plus tard le lundi 17 décembre. Le remplacement du pont devrait se faire en un week-end, estime le Canadien Pacifique.
  18. Le Journal de Montréal 26/10/2007 Le vieux pont Arthur-Sauvé, entre Saint- Eustache et Laval, sera refait en entier après avoir été réparé d'urgence, il y a deux ans. Selon Le Journal de Montréal, même si le ministère des Transports (MTQ) réserve ses informations pour «une annonce gouvernementale», le pont de 58 ans sera complètement refait sur deux ans, pour environ 25 millions, à compter de l'été prochain. Les plans et devis sont en cours de réalisation. Le concept final devrait être accepté d'ici la fin de l'année. Les appels d'offres seront lancés en janvier. L'été prochain, les travaux seront réalisés aux piles du pont - les piliers de béton dans l'eau - pour les refaire et les élargir. L'élargissement permettra de réaliser une voie supplémentaire sur le pont pour les vélos. C'est en 2009 que se déroulera la phase la plus importante des travaux, lorsque le tablier sera démoli et reconstruit. La future piste cyclable du pont servira alors non pas pour les vélos mais comme seule voie d'accès routière entre Saint-Eustache et Laval-Ouest. Les véhicules d'urgence pourront emprunter le barrage du Grand Moulin, entre Laval-sur-le- Lac et Deux-Montagnes, selon le plan de contingence en préparation. Les 24 000 usagers quotidiens du pont ont déjà connu les inconvénients de restriction sur le pont en 2005. Des fissures dans les soudures des poutres principales avaient été décelées. Les autobus et camions avaient été interdits de circulation sur le pont. Les travaux d'urgence avaient coûté 337 000 $ et duré tout l'été. Depuis, le pont est sous haute surveillance par le MTQ. Les inspecteurs y font des inspections fréquentes, plutôt qu'annuelles. Pressions municipales Les autorités municipales de Laval et Saint- Eustache ont d'ailleurs été tellement exaspérées des problèmes causés il y a deux ans qu'ils ont adopté des résolutions au sujet du pont. Le maire de Saint-Eustache, Claude Carignan, a même demandé avec son conseil au MTQ que le pont soit refait dès 2008. Il a été entendu. «On n'aime pas ça être obligé de faire ce genre de pression, mais c'est notre devoir d'élus municipaux, qui sommes plus près des citoyens et de leurs besoins.» Au MTQ, on est incapable de savoir depuis quand le nouveau pont est en planification. À tout le moins depuis la résolution du maire Carignan, le 13 novembre 2006.
  19. Les travaux de reconstruction du pont Latour vont bon train et le projet comprend l'aménagement de son accès par l'avenue Dollard et un chantier qui assurera la sécurité en approvisionnement d'eau dans le secteur situé au sud du canal de l'Aqueduc. Les coûts du projet et la répartition du financement entre Montréal et l'arrondissement ont suscité la controverse lors de la séance du conseil de lundi soir dernier. L'ex-conseillère Oksana Kaluzny dénonce les annonces contradictoires concernant ce projet et les coûts estimés qui n'ont cessé d'augmenter depuis 2002. Construit en 1921, le pont Latour n'était plus adapté aux réalités modernes. Le nouveau pont sera plus large et comportera quatre voies de circulation, plutôt que trois, un trottoir et une nouvelle piste cyclable. Les travaux de démolition et de reconstruction sont évalués à 6,6 M $ et on prévoit 3,2 M $ pour le réaménagement géométrique de l'avenue Dollard, entre le boulevard de la Vérendrye et la rue Salley, afin de corriger le désalignement actuel qui oblige les automobilistes à ajuster leur trajectoire, ainsi que pour la réhabilitation des infrastructures souterraines. On modernise les réseaux d'aqueduc et d'égout en construisant un aqueduc principal et un égout pluvial sous l'avenue Dollard, ainsi qu'un aqueduc secondaire sous la Terrasse Champlain. Sans oublier des trottoirs éclairés et l'ajout d'un lien cyclable nord-sud. La majeure partie des travaux sera effectuée d'ici décembre 2007. Ils seront alors suspendus et reprendront en mai 2008. Les équipes seront affairées à effectuer le réaménagement géométrique de l'avenue Dollard et la construction de trois chambres à vannes situées au nord du boulevard de la Vérendrye. Des critiques acerbes L'ex-conseillère Oksana Kaluzny n'a pas mâché ses mots à l'endroit de la mairesse Manon Barbe en relatant que depuis 2002, les coûts sont passés de 3,8 M $ à 10,7 M. @R:«Combien va coûter ce projet et comment sera-t-il financé ? Pourquoi ces questions ? À cause des sommes et des dates contradictoires que vous avez émises depuis 2002. Montréal parlait alors d'un coût de 3,8 M $ mais rien n'a été fait avant 2007. En 2005, vous disiez que le pont serait financé à 100 % par Montréal. C'était l'année des élections et c'était des paroles en l'air. Le 8 octobre 2006, vous avez dit que la réfection s'amorcerait le 6 mai pour se terminer le 19 décembre 2007 et que le réaménagement de la rue Dollard serait fait entre le 7 mai et le 19 octobre 2007.» «Le 11 avril dernier, Frank Zampino annonçait que le pont Latour coûterait 9,8 M $. Dans la revue Accent, vous disiez que le pont Latour coûterait 7 M $. Il semble que la mairesse n'était pas au courant ou qu'elle voulait le cacher aux citoyens puisque des panneaux sur Dollard et de la Vérendrye indiquaient que le coût était de 9,8 M. Comment expliquer que la mairesse n'était pas au courant des décisions du Comité exécutif de Montréal ? Comment a-t-elle pu, pendant trois mois, affirmer que le coût était de 7 M $ et que les travaux seraient terminés en octobre 2007, alors que sur le site Internet de Montréal, on estime les coûts à 10,7 M $ et la fin des travaux pour 2008. Connaît-elle ses dossiers ? A-t-elle à cœur le bien des citoyens si elle ignore les dossiers importants pour LaSalle ?» Réplique de la mairesse Barbe La mairesse Barbe a rappelé que les coûts ont augmenté depuis 2002 et que le projet a subi de nombreux changements. «Plusieurs items ont été ajoutés et le pont sera antisismique, étant donné sa proximité avec l'hôpital de LaSalle. La hausse du prix de l'essence a entraîné des hausses du prix des contrats. Lorsqu'on parle de 10,7 M $, cela inclut la partie la partie que devra débourser LaSalle. Tout ce que concerne la structure du pont est payé à 100 % par Montréal. LaSalle se charge des travaux visant à élargir l'avenue Dollard et une partie du côté du boulevard Champlain. Il y a aussi l'installation d'une conduite menant vers l'usine DesBaillets. Il fallait que l'éclairage soit intégré dans la structure du pont puisqu'on ne peut y installer de lampadaires. Vous n'étiez pas contente parce que le dossier du pont n'avançait pas et maintenant qu'on le fait, vous n'êtes pas encore contente. Vous ne serez jamais satisfaite madame Kaluzny.»
  20. Publié le 15 août 2009 à 00h00 | Mis à jour à 00h05 La SHDM redevient paramunicipale Sara Champagne La Presse Sept mois après avoir demandé au gouvernement du Québec de renverser la vapeur, l'administration du maire Tremblay touche enfin au but. Il ne reste que des formalités légales à remplir avant que la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), au coeur d'une enquête de la Sûreté du Québec pour des transactions douteuses, ne redevienne une créature paramunicipale de Montréal. Au cours d'une séance exécutive particulièrement chargée, mercredi, avec pas moins de 70 pages de résolutions à l'ordre du jour, les élus de la garde rapprochée du maire ont approuvé une requête pour demander au nouveau ministre responsable des Affaires municipales, Laurent Lessard, d'émettre les lettres patentes en vertu de la loi qui régit la Charte de Montréal. Pour l'administration Tremblay, la réorganisation du bras immobilier n'est pas pour autant achevée. En plus d'attendre les résultats de l'enquête de la Sûreté du Québec, dont rien ne filtre pour l'instant, le président du comité exécutif de la Ville de Montréal, Claude Dauphin, a expliqué hier lors d'un entretien avec La Presse que le «mandat» et la «mission» de la société seraient révisés cet automne. «J'entends rencontrer le conseil d'administration, présidé par Jean-Claude Cyr, à la fin du mois, a-t-il dit. Des acheteurs font la queue pour acheter des propriétés grâce au programme Accès Condos. La demande est là. On veut donc redéfinir ses fonctions.» À la SHDM, un grand ménage dans l'organigramme a été fait depuis qu'une enquête interne a révélé une série d'irrégularités dans la vente au Groupe immobilier Catania du Faubourg Contrecoeur, dans l'est de Montréal, au coût de 4,4 millions alors que le terrain en valait 23,5 millions. L'ancien directeur de la société, Martial Fillion, a été congédié et remplacé par Guy Hébert. Le porte-parole de la SHDM, André Bouthillier, a expliqué hier que Josée Racicot, directrice des affaires juridiques et corporatives, anciennement au contentieux de la ville centre, seconde désormais la direction générale. «Et les employés ont maintenant accès à tous les procès-verbaux», a ajouté M. Bouthillier, de la firme de communication Optimum. Sur le plan des affaires, Claude Dauphin a annoncé à La Presse que la SHDM a réalisé des centaines de milliers de dollars en surplus avec la construction de la Place des festivals, dont les travaux ont été exécutés dans les délais. Les travaux pour reconstruire de nouveaux bâtiments sur les anciens immeubles du boulevard de l'Acadie vont bon train, a-t-on ajouté. Et on explique que des appels de propositions seront lancés, cet automne, pour trouver de nouveaux promoteurs. «En plus du commercial et des projets institutionnels, notre intention est de bonifier les projets résidentiels», a précisé M. Bouthillier, en expliquant que les appels de propositions vont donner de la transparence au processus. Quant à la firme Catania, elle a redémarré les travaux de construction de logements en copropriété au Faubourg Contrecoeur, au printemps dernier. Mais il reste encore le litige concernant la décontamination du terrain à régler. Le promoteur réclame 7 millions à la SHDM, donc à la Ville, pour avoir fait le travail.
  21. Publié le 09 août 2009 à 05h00 | Mis à jour à 10h38 La décontamination de l'ex-Technoparc retardée de deux ans Depuis qu'elle a acquis le terrain de l'ex-Technoparc à la fin des années 80, la Ville de Montréal a dépensé 5 millions pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, sans jamais réussir à décontaminer les sols une fois pour toutes. Martin Croteau Cyberpresse La restauration du Parc d'entreprises de la Pointe-Saint-Charles est retardée d'au moins deux ans. La Ville de Montréal souhaitait amorcer le nettoyage de ce vaste terrain contaminé situé au bord du Saint-Laurent cette année, mais les travaux ne commerceront pas avant 2011 ou 2012, a appris La Presse. La décontamination de l\'ex-Technoparc retardée de deux ans Daniel Green, co-président de la société pour vaincre la pollution, prend un échantillon d'eau polluée par les résidus de pétrole sur les berges du fleuve St-Laurent, tout près du pont Victoria. «Il y a déjà eu des études préliminaires et des essais faits au printemps, explique le directeur du ministère de l'Environnement pour la région de Montréal, Pierre Robert. Ça a mis en évidence une problématique environnementale plus complexe que celle qui était anticipée.»Aux abords du fleuve, à quelques mètres à peine du pont Victoria, un muret de plastique orange est tenu en place par des flotteurs noirs. Un fort débit coule d'un côté. De l'autre, à l'abri du courant, des boudins beiges flottent dans une eau stagnante. Ce sont des capteurs qui absorbent les hydrocarbures. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. On peut voir l'auréole des taches d'huile flottant sur l'eau. Ce dispositif de captage de la pollution est une «solution temporaire». En juin 2008, la Ville avait annoncé son intention de lancer dans l'année des travaux de nettoyage permanents, mais elle doit attendre encore. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. «Les travaux visant à implanter la solution permanente pourraient avoir lieu autour de 2011 ou 2012», affirme Pierre Robert. Autrefois appelé le Technoparc, le site a été une gare de triage ferroviaire, un stationnement pour Expo 67, un aéroport et un dépotoir. Il recèle entre 4 et 8 millions de litres de diesel, ainsi qu'une à deux tonnes de biphényles polychlorés (BPC). Ces substances s'écoulent dans le fleuve depuis le début des années 90, et leurs traces ont été retrouvées à plusieurs kilomètres en aval. En 2005, la Ville a bâti un mur de béton souterrain d'une longueur de 160 mètres afin d'empêcher les polluants de s'écouler dans le fleuve. Un système de flotteurs déployé à deux endroits sur la rive permet de capter des matières toxiques qui coulent dans le fleuve et de les éliminer. Mais cette méthode n'empêche pas les substances toxiques de se retrouver dans le fleuve, affirme l'écologiste Daniel Green. D'autant plus que les flotteurs sont retirés de l'eau en hiver pour éviter qu'ils soient broyés par la glace. «Tous les efforts que déploient la Ville de Montréal pour l'environnement - le Bixi, le transport en commun - sont annulés par cette pollution causée au fleuve», a indiqué le directeur de la Société pour vaincre la pollution. Pierre Robert, lui, prêche la patience. «Ce n'est pas comme mettre de l'asphalte sur une route, lorsque le risque de se tromper est faible, fait-il valoir. Dans ce cas-ci, on ne voit pas en-dessous de la terre. Alors il est très important de faire une analyse fine avant de procéder.» Montréal a acquis ce terrain lourdement pollué des gouvernements fédéral et provincial, dans les années 80. Depuis, elle a déjà dépensé entre 5 et 6 millions pour étudier le problème et contrôler les déversements toxiques. Et à maintes reprises, elle a indiqué qu'elle n'avait pas été avertie de l'ampleur des travaux de décontamination. Une étude de la Commission de coopération environnementale, l'organisme nord-américain de surveillance de l'environnement, a d'ailleurs souligné qu'Ottawa savait dès le début des années 80 que les terrains recelaient des substances toxiques. Mais Montréal a renoncé à toute réclamation auprès des vendeurs en les acquérant. Les autorités municipales ignorent toujours comment s'y prendre pour nettoyer le terrain une fois pour toutes. La Ville a commandé une étude de 1,5 million au Centre d'excellence de Montréal en réhabilitation des sites (CEMRS) pour qu'il lui propose des technologies. Mais elle n'a toujours pas reçu le rapport, qui devait pourtant lui être rendu en février. Le responsable du dossier à la Ville de Montréal, Alan Desousa, a refusé de commenter le dossier, hier.
  22. Vaillant

    Place d'Armes

    Place d'Armes Les bronzes sont enlevés temporairement Mise à jour : 28/07/2009 13h37 Place d'Armes: André Jobin explique. Manoeuvres délicates à la Place d'Armes, dans le Vieux-Montréal. La statue de bronze de De Maisonneuve, fondateur de Montréal, a été descendue de son socle afin d'être restaurée. Quatre sculptures de bronze représentant Jeanne Mance, les Iroquois, Le Moyne et Lambert-Closse, ont aussi été enlevées. Il s'agit du coup d'envoi d'importants travaux de réaménagement de cette place historique qui date du 17e siècle. Avec le Vieux-Port, il s'agit d'un des endroits les plus fréquentés à Montréal. Les travaux débuteront en septembre et seront terminés en 2011. Ils sont évalués à 15 M$.
  23. Liberty Sites: Sandra Levy n’annonce rien, elle construit ! Isabelle Laporte, collaboration spéciale La Presse À Montréal, aucun promoteur ne construit d’immeuble avant de l’avoir loué, au moins à 40 %. Tous, sauf Sandra Levy, de Liberty Sites, troisième propriétaire d’espaces à bureaux de la région. Ce promoteur privé – le seul parmi les grands – exploite deux importants parcs d’affaires à Saint-Laurent, à l’intersection des autoroutes 13 et 40. «Il faut avoir du stock, car les clients sont souvent pressés d’emménager», note la présidente et chef de la direction. C’est un peu comme pour l’industrie de la mode, ajoute-t-elle. «Il faut créer un produit de qualité et le proposer, sans attendre qu’on frappe à la porte.» C’est du moins le pari qu’elle a gagné en 2006 en construisant le 8801, Trans-Canada, à Ville Saint-Laurent. Les travaux de l’immeuble de 112 000 p² étaient déjà entamés quand Canon a signé le premier bail majeur, correspondant au tiers de l’espace. À la tête d’une petite équipe fidèle d’une quinzaine de personnes, Mme Levy compte poursuivre son expansion cette année. (à mettre en exergue?) En 2007, Liberty Sites ne construira pas deux nouveaux édifices, comme il en avait question, mais bien quatre, pour un total d’environ 370 000 pieds carrés. Une hausse de 50 % par rapport aux plans initiaux. Dans le Techno-Parc, Sandra Levy envisage toujours un nouvel immeuble de 70 000 pieds carrés. Mais dans le parc d’affaires Trans-Canada, il s’agira de trois immeubles de 100 000 pieds carrés chacun. «On est en train de finaliser les dessins», précise Mme Levy, qui suit chacun de ses projets dans le plus menu détail. Elle n’a pas trouvé de locataire encore, mais quoi qu’il en soit, elle s’attend à lancer les travaux avant les vacances de la construction. À son avis, tout sera construit – et loué – à la fin de 2008. Ça prend du courage? Oui, répond la principale intéressée, tout en précisant qu’il s’agit tout de même de risques calculés. «Je sais exactement où j’en suis. C’est pour cela que je n’ai pas peur de foncer», note celle qui se décrit comme une perpétuelle optimiste
  24. Tunnels Pourquoi ne remplace-t-on pas les tuiles qui tombent? Dany Doucet Le Journal de Montréal 27/06/2009 11h23 Les tuiles des murs des tunnels Louis-Hippolyte- Lafontaine et Ville-Marie ont beau être de plus en plus nombreuses à tomber par terre et donner une impression de laisser-aller à l’entrée de Montréal, il faudra s’y habituer encore un bon bout de temps. Chose certaine, Transports Québec n’a pas de projet précis pour les remplacer à court terme. Il manque pourtant de plus en plus de tuiles dans ces deux tunnels. Parfois, ce sont des surfaces considérables qui se trouvent dénudées. Cette situation avait d’ailleurs été décriée par le président-directeur général de Tourisme Montréal, Charles Lapointe, en janvier 2007. Dans une sortie publique qu’il n’a plus répétée après avoir froissé l’administration Tremblay, M. Lapointe citait quelques exemples de mauvais entretien néfaste à l’image de Montréal, dont l’esthétisme des tunnels. La situation ne s’est certes pas améliorée depuis, chaque tuile tombée n’ayant pas été remplacée. Un projet d’ici cinq ans «Il est possible qu’on remplace ces tuiles par un autre type de revêtement. On pense que ce sera fait d’ici cinq ans», commente le porte-parole du ministère des Transports, Réal Grégoire. Il n’y a pas moins d’un million de tuiles dans les deux plus grands tunnels de la province. Ces tuiles proviennent d’Italie et elles ont la propriété de réfléchir la chaleur en cas d’incendie. Il en coûterait, semble-t-il, une petite fortune pour les remplacer. Une autre solution Transports Québec cherche donc une autre solution. «On sait qu’il y a ici des produits de remplacement et c’est ce que nous sommes en train d’étudier», dit M. Grégoire. Il existe, par exemple, des revêtements pulvérisés qui ressemblent à des gaines en caoutchouc. Entre-temps, les tuiles qui sont tombées n’ont pas été remplacées depuis longtemps. Certains automobilistes se demandent pourquoi on ne les remplace pas au fur et à mesure. «Ça coûte cher de faire des travaux dans les tunnels, note M. Grégoire. Lorsque nous referons le revêtement, nous rénoverons les murs derrière aussi.» Des travaux importants ont été réalisés ce printemps dans le tunnel L.-H.-Lafontaine, durant quatre week-ends d’affilée. Ces travaux consistaient à remplacer les dalles supérieures des bassins de rétention des eaux situés aux extrémités du tunnel. Si le tunnel n’est pas esthétique, en revanche, sa structure est saine et bien solide, selon les ingénieurs qui l’ont inspectée en long et en large durant ce récent chantier. * Le pont-tunnel Louis-Hippolyte-Lafontaine a été inauguré en 1967. S'étendant sur 6 km, dont 1,5 km à 27 mètres de profondeur, il est le plus long tunnel sous l'eau au Canada.
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