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  1. L'entrepreneuriat en croissance au Québec, selon une étude de l'UQTR PUBLIÉ LE MERCREDI 28 SEPTEMBRE 2016 De plus en plus de Québécois démarrent leur propre entreprise, selon une nouvelle étude réalisée par des chercheurs de l'Institut de recherche sur les PME de l'Université du Québec à Trois-Rivières. Les professeurs Étienne St-Jean et Marc Duhamel ont présenté mercredi les données concernant l'activité entrepreneuriale québécoise, issues de l'enquête 2015 du Global Entrepreneurship Monitor (GEM). On y apprend qu'en 2014, les données démontraient un grand intérêt de la part des Québécois pour mettre sur pied une entreprise, une volonté qui s'est concrétisée en 2015. Le taux d'entrepreneuriat émergent est passé de 10,5 % (en 2013) à 13,5 % (en 2015). Le Québec est vraiment un des leaders sur la planète pour l'intention [entrepreneuriale] et pour l'activité entrepreneuriale. On remarque que le contexte économique semble favorable à la création d'entreprises. Marc Duhamel, chercheur à l'Institut de recherche sur les PME à l'UQTR L'étude révèle aussi que les jeunes Québécois sont très dynamiques sur la scène entrepreneuriale. La tranche des 18-24 ans est plus encline à passer à l'action que dans le reste du Canada ou dans d'autres pays comparables. C'est le cas également des 45 à 54 ans.* '' Les entrepreneurs au Québec sont fortement innovants et sont dans des créneaux de niche et ça, c'est une excellente nouvelle pour le développement économique, puisque quand on a des entreprises qui innovent, on a plus de chances d'avoir des entreprises pérennes, qui vont se distinguer des autres.'' -Étienne St-Jean, chercheur à l'Institut de recherche sur les PME à l'UQTR Tournés vers l'international : un exemple shawiniganais Les chercheurs de l'UQTR ont constaté que les entrepreneurs québécois sont davantage tournés vers les marchés internationaux qu'ailleurs au Canada. La compagnie SIM à Shawinigan se spécialise notamment dans les services de formation en santé et sécurité au travail aux entreprises. Elle compte de nombreux clients à l'étranger. « Souvent, nos clients ne sont pas des entreprises du Québec, confirme la présidente-directrice générale Chantal Trépanier. Ce sont des multinationales qui ont des sites ailleurs dans le monde et qui nous amènent à travailler avec eux sur leurs sites. » ''C'est comme une condition, une évidence. On ne pourrait pas dire : On va travailler juste au Québec.'' -*Chantal Trépanier, PDGSim La PDG croit qu'il est essentiel pour les entreprises d'ici de se tourner vers l'international. SIM compte une centaine d'employés. D'après les informations de Marie-Pier Bouchard http://ici.radio-canada.ca/regions/mauricie/2016/09/28/006-entrepreneuriat-etude-uqtr-trois-rivieres-professeurs-st-jean-duhamel-demarrage-entreprise.shtml
  2. Le propriétaire de l’Impact de Montréal Joey Saputo a fait l’acquisition, en compagnie d’un groupe d’investisseurs, du FC Bologne, un club de soccer italien, jeudi. «Je suis heureux de confirmer que l'offre d'achat de notre groupe d'investisseurs pour l'acquisition du FC Bologne a été acceptée par le conseil d'administration du club», a souligné Saputo, dans un communiqué. Une lettre d'intention a d’ailleurs été signée par le club à cet effet. «Je tiens à remercier tous les gens impliqués dans la transaction, notamment les fidèles partisans du FC Bologne pour leur encouragement au cours du processus. Nous allons continuer de travailler avec le conseil d'administration du club pour finaliser l'entente le 15 octobre.» Marco Di Vaio aurait pour sa part un poste qui l’attendrait avec l’équipe italienne. Il s’agit d’un revirement de situation puisque le FC Bologne avait indiqué, il y a deux semaines, sur son site web que l’équipe serait vendue à Massimo Zanetti. La formation italienne, qui a été fondée en 1909, a été reléguée en Serie B après une saison 2013-2014 difficile. http://www.tvasports.ca/2014/10/09/saputo-devient-proprietaire-du-fc-bologne
  3. Est-ce du flafla ou du concret? L’avenir le dira! http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/05/13/montreal-et-paris-signent-un-accord-de-cooperation_n_5319680.html Le maire de Montréal Denis Coderre est en France, où il a rencontré mardi la nouvelle mairesse de Paris, Anne Hidalgo. Les deux Villes ont signé une entente pour favoriser l'accès des entreprises aux deux marchés. Ils comptent y arriver notamment en favorisant la « bilocalisation » des entreprises. Montréal et Paris promettent aussi des rapprochements dans le domaine du numérique, des transports en commun ou de l'aménagement urbain. La mairesse Hidalgo, qui recevait un maire étranger pour la première fois depuis son élection en avril, a parlé d'une longue amitié entre les deux villes. Après seulement 30 minutes de discussions, les deux maires se tutoyaient, ce qui n'est pas dans les moeurs françaises. « Moi, je suis intéressée par le modèle de Montréal sur les questions du traitement de la grande pauvreté dans nos rues, a déclaré Mme Hidalgo. Ce sont des sujets sur lesquels nous avons, à Paris, des défis à relever. Je souhaite aussi voir comment une ville comme Montréal avance sur ces sujets. » L'administration montréalaise aidera notamment Paris à recenser le nombre de sans-abri sur son territoire, a indiqué Denis Coderre. « On a conscience tous les deux, et on en a parlé, que l'avenir passe par les grandes métropoles. C'est un espace d'activités et de résolution de la plupart des défis de la planète », a estimé Mme Hidalgo. « Il faut que cet ordre de gouvernement ait les coudées franches, et il faut apprendre à travailler ensemble, a renchéri le maire de Montréal. Tout de go, c'est le but de ma mission en Europe. C'est de travailler notamment avec Anne, et ça va bien! » Après avoir visité ses homologues de Lyon et Paris, Denis Coderre terminera sa tournée européenne jeudi à Bruxelles. Avec des informations d'Anyck Béraud et Alexandra Szacka
  4. Bonjour! J'ai été accepté à McGill en gestion et de même à HEC Montréal. Je ne sais pas du tout quelle offre accepter! Est-ce qu'il y a des gens dans le milieu ici qui pourrait m'aider?? Je compte m'en aller en finance ou en comptabilité.. Pour HEC, je ferais le bac TRILINGUE (Français, Anglais, Espagnol). Ça serait déjà un gros +. Pour McGill, je sais que cette école a une très bonne réputation à l'étranger. Je suis très ouvert face à l'idée de travailler à l'entranger. C'est essentiellement la raison principale pourquoi j'irais à cette université. Il parait que McGill aurait aussi un bon réseau de contacts.. Merci d'avance pour votre aide!!
  5. Avec les tempêtes et la météo peu clémente du Québec durant l'hiver, êtes-vous oragnisé pour travailler de la maison?
  6. Le Cirque du Soleil agira désormais à titre de consultant pour d'autres artistes sur des projets d'envergure. Son premier client? Madonna, qui a fait appel au Cirque pour la mise en scène de sa tournée MDNA qui commence cette semaine. Ce n'est pas la première fois que le Cirque du Soleil offre ses services à d'autres artistes. L'hiver dernier, l'entreprise québécoise a aidé Madonna sur son spectacle de la mi-temps du Super Bowl. L'expertise du Cirque pour la conception de costumes a aussi servi sur le plateau de tournage de plusieurs films (confidentialité oblige, le Cirque ne peut dévoiler quels films). «Notre entreprise est d'abord une entreprise de création. (...) Ce nouveau service d'affaires permet à nos équipes de création de vivre des projets différents et stimulants qui valorisent leur savoir-faire créatif», a indiqué Daniel Lamarre, président et chef de la direction du Cirque, par voie de communiqué. Le Cirque produit actuellement 21 spectacles à travers le monde. Son nouveau service de consultation amènera le Cirque à travailler avec la même «démarche créative», mais sur des projets qui ne sont pas traditionnellement identifiés au Cirque du Soleil. En clair, le Cirque pourra travailler sur un spectacle sans y intégrer des numéros d'acrobatie. «Nous avons longtemps résisté (de faire de la consultation pour d'autres artistes) car notre carnet de commandes est plus que rempli, mais l'expérience du spectacle du Super Bowl nous a fait tripper, dit Renée-Claude Ménard, directrice des communications du Cirque du Soleil. Beaucoup de gens ont pensé que notre contribution au spectacle du Super Bowl était seulement la partie des acrobates, mais nous avons imaginé l'ensemble de la mise en scène.» Le nouveau service de consultation du Cirque, réservé aux «projets d'envergure», sera sous la responsabilité de Jacques Méthé, directeur de la division des événements spéciaux du Cirque et producteur pour le Cirque du spectacle de Madonna au Super Bowl. Pour son premier mandat, le service de consultation du Cirque a dépêché Michel Laprise à la mise en scène de la tournée MDNA de Madonna. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201205/30/01-4530167-le-cirque-du-soleil-devient-consultant.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS13
  7. J'ai un chantier de réfection routière qui débute dans quelques jours, sur un site appartenant à la Société Immobilière du Québec, et j'étais en train de prendre connaissance du dossier, et je suis tombé en bas de ma chaise en lisant le devis, surtout l'article suivant: J'ai noté la faute au mot "horaire" en premier lieu, et après ça, en lisant la phrase, je me suis dit qu'on travaillerait pas beaucoup sur cette job là si on peut pas travailler avant que le soleil se couche, ni après!
  8. Bon je sais que ce n'est pas une grande tour ou quelque chose de révolutionnaire. Mais ce condo est relativement important dans ma propre histoire personnelle. Voyez-vous, ce condo sera construit simplement parce que mon père prend sa retraite bien mérité à 74 ans. C'est assez simple. Mon père travaillais dans le garage à l'arrière plan dans la photo. Depuis maintenant 51 ans, le garage était très occupé avec des contrats de Puro, FedEx, la plupart des taxis du sud-ouest et des clients fidèles, mais puisque son "foreman" prend sa retraite et le propriétaire actuel ne veut tout simplement plus s'en occuper, il a vendu le terrain qui était en demande depuis plus de 10ans. Mon père sera la dernière personne à mettre la clé dans le garage. Le lendemain, il sera mis à terre grâce à quelques coup de pelles bien placé. J'ai effectivement grandi dans ce garage, été voir mon père depuis 34 ans y travailler et faire vivre ma famille depuis toujours. C'est sentimental en effet et je dois dire que je suis un brin nostalgique. La bonne nouvelle dans tous ça, mon père peut finalement se reposer, travailler un peu moins à temps partiel pour d'autres garages qui lui demande de venir les aider de temps à autres. Un homme qui veut vous dire que votre véhicule n'est pas enligner et vous dire de combien de degrés juste en regardant les roues à oeil nu, c'est en demande, même à 74 ans . On dirait que la brique à changé de couleur selon le rendu du site web et celui de l'affiche. http://www.stemarguerite.ca/
  9. http://www.cyberpresse.ca/dossiers/voyage-au-pays-de-limmigre/200902/12/01-826640-dalger-a-anjou.php Publié le 14 février 2009 à 05h01 | Mis à jour à 05h01 D'Alger à Anjou Rima Elkouri La Presse J'ai rencontré Hocine Sahoui un matin de juin, à la banque alimentaire de la Mission Bon Accueil. Il était penché, en train de ranger du pain dans son sac quand je l'ai abordé. Un grand homme de 50 ans vêtu d'un chemisier bleu, l'air réservé, le regard sombre. On a commencé à discuter. J'ai vite senti qu'il était au bord du désespoir.Originaire d'Algérie, Hocine est arrivé à Montréal avec sa famille le 26 octobre 2007. Il est père de trois enfants, dont un bébé né ici. Profession ? Ingénieur en géophysique, spécialiste en informatique multimédia. « Mais ici, je ne suis rien », lance-t-il aussitôt avec amertume. Et votre femme ? Ingénieure aussi, me dit-il. « On était au top. On vivait bien. » Pourquoi avoir immigré ? Pour les enfants. « Je me disais que là-bas, l'avenir était incertain. Je tiens à en faire des cadres, des gens bien. » Et pour le défi, pour se prouver dans un autre monde. Il pensait qu'avec ses diplômes, ce serait plus facile. Erreur. Après des mois de recherches infructueuses, il a fini par remplir à contrecoeur un formulaire de bien-être social. C'était au beau milieu de l'hiver. Il avait trois enfants à nourrir dont un nouveau-né, le loyer à payer, un logement à chauffer. La neige tombait, ses économies fondaient. Ses demandes d'emploi restaient sans réponse. « D'un côté, on me dit : vous êtes un cadre supérieur, vous n'avez pas besoin de ça, vous êtes un privilégié. De l'autre, on ne me permet pas de travailler. Si je suis un privilégié, pourquoi on me refuse du travail ? » demande-t-il. L'espoir d'une vie meilleure ? Hocine y croit de moins en moins. « Je suis franchement déçu. J'étais bien chez moi... » laisse-t-il tomber. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Hocine, Sabrina et leurs trois garçons habitent un modeste appartement au deuxième étage d'un duplex à Anjou, dans l'est de la ville. J'y suis accueillie par le petit Dany, bébé joufflu qui multiplie les sourires. Ses deux frères, Anis, 10 ans, et Nassim, 7 ans, sont à l'école pour une dernière semaine avant les vacances d'été. Dany s'accroche aux épaules de sa mère qui s'empresse de déposer un plat de pâtisseries algériennes sur la table du salon. Pour le moment, Sabrina veut rester à la maison pour s'occuper de son bébé né en janvier 2008. Mais d'ici peu, il faudra songer au travail et à la garderie pour Dany. « On m'a conseillé l'enseignement. Je vais voir ce qui est possible... » dit-elle de sa voix chantante. Quant à Hocine, il mise pour l'instant sur le bénévolat, en espérant que cela puisse l'aider à trouver un emploi. Il a repéré une petite annonce sur le babillard de l'épicerie. Le Service d'aide communautaire Anjou avait besoin de bénévoles pour venir en aide à de jeunes décrocheurs. Il a appelé. On l'a tout de suite recruté. Ainsi, tous les mardis depuis quelques semaines, Hocine aide des décrocheurs dans leurs travaux de sciences. Il trouve cela parfois un peu bizarre de s'asseoir là à tenter de convaincre des jeunes de se ranger dans un système dont il se sent lui-même rejeté. Quand il ne fait pas du bénévolat, Hocine continue d'envoyer des CV, de frapper à différentes portes. Et il attend. Parfois, on lui dit : « On n'a rien pour vous, mais on garde votre CV. » Parfois, on lui dit : « On va vous appeler ». Et puis ? Et puis rien. On lui demande toujours : « Combien d'années d'expérience ici ? » La question finit par l'irriter. « Ça fait sept mois que je suis là, comment voulez-vous que j'aie de l'expérience ici ? Parlez-moi de mes compétences ou de mathématiques ! S'il me manque des modules, je vais les faire la nuit s'il le faut ! » Il insiste sur le fait qu'il ne veut surtout pas qu'on lui fasse de cadeaux. Il propose d'être mis à l'essai gratuitement s'il le faut. Changer de domaine ? Pourquoi pas. Il pourrait se tourner vers l'enseignement. « Vous me donnez une classe de secondaire. Je rentre. Je suis prêt à relever le défi. Ne me payez pas tout de suite. Payez-moi en fonction du résultat. » - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Le 24 juin, Hocine, Sabrina et les enfants sont allés au parc Lahaie, dans le Plateau Mont-Royal, pour y célébrer la fête de la Saint-Jean... kabyle. Il y avait là Gilles Duceppe et des personnalités de la communauté. Sensible au combat des Québécois pour préserver la langue française, Hocine y voit tout de même un paradoxe. « On nous parle de la loi 101, de la protection de la langue française. Mais vous allez partout, on exige le bilinguisme ! C'est comme si on accompagnait la langue française avec des sédatifs, doucement vers sa mort. » Durant cette fête kabylo-québécoise, Hocine et Sabrina ont retrouvé des compatriotes qu'ils n'avaient pas vus depuis longtemps. Certains, arrivés ici il y a plus de 15 ans et qui pensaient repartir après une année. Finalement, ils sont très heureux d'être restés, dit Sabrina. « On nous dit toujours que la première année est la plus difficile. » - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Même si l'intégration à l'emploi est difficile, il y a plein de choses que Sabrina et Hocine apprécient dans leur pays d'accueil. La société algérienne est plus codifiée, observent-ils. Ici, l'individu a une plus grande liberté. En tant que Berbères, ils ne s'ennuient pas de la persécution culturelle dont ils étaient victimes en Algérie. Allergiques à tout dogme religieux, ils ne s'ennuient pas non plus de l'omniprésence de la pression religieuse. Le couple se dit parfois surpris de voir que certaines choses qu'ils ont fuies les rattrapent ici. « Que des gens importent des barrières dans un pays libre, je ne comprends pas ! » dit Sabrina. Sabrina et Hocine ont beaucoup entendu parler depuis leur arrivée du débat québécois sur les « accommodements raisonnables ». Ils en pensent quoi ? « On ne peut pas demander au contenant de prendre la forme du contenu », dit Hocine, philosophe, en pointant sa tasse. « Si on met du café dans un verre, c'est le café qui doit prendre la forme du verre. Moi, je suis le café. » Sabrina raconte que dans l'entreprise où elle travaillait à Alger, elles n'étaient que deux femmes à ne pas porter le voile. « La deuxième est aussi rendue ici, à Montréal ! » Elle se pose de sérieuses questions quand elle voit des femmes voilées ici. « Je n'ai pas fait 6000 km pour vivre comme là-bas. » - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - À la fin du mois de juillet, las de ne pas trouver de travail à Montréal, Hocine a fait un saut à Toronto pour y explorer de nouvelles possibilités. Il y a senti une plus grande ouverture qu'à Montréal. « Ici, c'est comme une vague qui vient avec toute son énergie et finit sur une plage. On ne vous dit pas : « Non, vous ne faites pas l'affaire ». On vous demande d'attendre. » Mais attendre quoi ? Et combien de temps? Sabrina est pour sa part très contente du soutien que lui offre le Centre des femmes de Montréal. « C'est dommage qu'il n'y ait pas un centre des hommes aussi, pour aider Hocine ! » Cela dit, même sans aide, Hocine est moins désespéré qu'il ne l'était lors de notre première rencontre. Son voyage à Toronto, qui lui a permis de rencontrer un employeur potentiel, lui a redonné le moral. « La montagne est toujours la même. Mais je me sens un peu plus fort pour la gravir. » - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - L'automne venu, le bénévolat de Hocine a finalement porté fruits. Lorsque le Service d'aide communautaire d'Anjou s'est retrouvé sans chargé de projet au soutien académique, on a tout de suite pensé à lui. C'est Louise Steiger, la directrice de l'organisme, qui l'a reçu en entrevue. Elle a été estomaquée par ses qualités humaines et professionnelles. Elle n'a que de bons mots pour Hocine. Excellent vulgarisateur, cultivé, respectueux, à l'écoute... « C'est un pédagogue né, d'une humilité extraordinaire », dit-elle. Un exemple d'intégration aussi. « On est bien heureux qu'il accepte de travailler avec nous. Mais on est bien conscient que c'est temporaire. On considère que c'est quelqu'un qui devrait pouvoir travailler dans son domaine de formation. » Pour travailler dans son domaine, Hocine sait qu'il doit d'abord s'inscrire au tableau de l'Ordre des ingénieurs du Québec, une entreprise pour le moins complexe. « Pour être membre de l'Ordre, c'est la quadrature du cercle ! » observe-t-il. Même si les écueils sont nombreux, il reste optimiste. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Plus d'un an après leur arrivée à Montréal, la vie continue pour Sabrina et Hocine, avec son lot de difficultés et de petits bonheurs. Dany a fait ses premiers pas un jour d'hiver. Il continue de distribuer des sourires craquants et à faire le fou avec ses frères qui l'adorent. Anis rêve de devenir vétérinaire. Nassim veut devenir dessinateur. Hocine continue de chercher un travail dans son domaine et parle désormais de l'Algérie comme de son « ex-pays ». Sabrina a décroché un stage en service de garde dans une école primaire. Elle compte ensuite suivre une formation technique qui lui permettrait de décrocher rapidement un emploi. L'essentiel pour elle, c'est surtout de continuer de veiller au bonheur de ses « quatre gars ». À ses yeux comme aux yeux de Hocine, immigrer, c'est accepter de se réinventer.
  10. L'aciérie de Sault-Sainte-Marie propose à ses employés de travailler hebdomadairement une journée de moins pour éviter 500 mises à pied. Pour en lire plus...
  11. Bonjour a tous, comme le titre de mon post je viens d'arriver à Montréal en provenance de Genève pour y immigrer. Je n'es jamais poster de post vraiment intéressant mais je prends beaucoup de plaisir à vous lire (maintenant que je suis la, j'espère prendre de belle photo de cette magnifique ville). Tous ce post pour vous demander quelque conseil pour un nouveau arrivant. Pour le logement c'est bon je loge dans une famille à Montreal Nord (j'ai une chambre pour moi). Par contre je compte très vite m'occuper de: - prendre un téléphone portable canadien (pouvez vous me conseiller vers quel fournisseur m'orienter? sachant que je ferai surtout des appelles internationaux ou local à Montréal). - Ouvrir un compte bancaire (bon de ce coté la je pense que toutes les banques se valent). -Trouver un job (je pensais chercher sur jobup) genre serveur ou travailler dans un magasin ou autre je suis vraiment ouverts a tous, si vous connaissez quelque chose? . J'ai une formation universitaire (bachelor) en informatique de gestion Merci de votre aide c'est vraiment cool car au début c'est toujours difficile quand on connait personne et j'espère être plus actif sur le forum à présent et venir a aux prochain mtlurb meet
  12. L'ambassadeur du Canada aux États-Unis, Michael Wilson, estime qu'il sera facile de travailler avec la nouvelle administration américaine, quelle que soit l'issue de l'élection présidentielle. Pour en lire plus...
  13. Près du tiers des salariés québécois travaillent plus de 41 heures par semaine. Mais que signifie au juste l'expression «travailler fort»? Pour en lire plus...
  14. JPMorgan a dit jeudi à ses nouveaux employés que le directeur général de WaMu, Alan Fishman, son président Steve Rotella ne continueraient pas de travailler pour JPMorgan, indique le Wall Street Journal. Pour en lire plus...
  15. Une étude suggère que les deux tiers des travailleurs à l'orée de la retraite croient qu'ils disposeront de suffisamment de ressources financières une fois qu'ils auront cessé de travailler. Pour en lire plus...
  16. Michel Bachand s'affairait à déguster un à un les grains de fromage de sa poutine, à la salle à manger du club de golf Venise. «En Californie, on n'a pas cela... malheureusement». Pour en lire plus...
  17. Adidas a choisi sa nouvelle agence de publicité. Et surprise, il s’agit de la firme montréalaise Sid Lee. Environ 30 employés vont travailler à temps plein sur le contrat évalué à 5 M$ annuellement. Pour en lire plus...
  18. Longs trajets, solitude, famille qui s’ennuie: il faut être fait fort pour travailler loin de la maison. Pour en lire plus...
  19. Faire durer le plaisir Plus d'info Audio et Vidéo Le ministre Sam Hamad Québec veut pallier la pénurie de main-d'oeuvre appréhendée d'ici quelques années en mettant en place des mesures pour inciter les travailleurs à rester plus longtemps sur le marché du travail. Le ministre de l'Emploi et de la Solidarité sociale, Sam Hamad, a déposé un projet de loi en ce sens, mercredi. Le projet de loi de Québec prévoit d'offrir aux travailleurs du secteur privé de 55 ans et plus l'opportunité de prendre une retraite progressive sans pénalité. Les rentiers qui occupent actuellement un emploi verront aussi leurs prestations bonifiées. Ainsi, un travailleur de 55 ans et plus pourra continuer, avec l'accord de son employeur, à travailler à temps partiel, par exemple trois jours par semaine et recevoir, en plus de son salaire, jusqu'à 60 % des prestations auxquelles il a droit dans son régime privé. En continuant d'accumuler du service, le travailleur verra aussi sa rente finale augmentée. Par exemple, un travailleur de 55 ans dont le salaire annuel est de 50 000 $ pourra bonifier son régime de retraite de 6000 $ à 65 ans s'il demeure en emploi trois jours par semaine. Selon le ministre Hamad, le Québec aura besoin de 700 000 personnes pour combler des emplois d'ici 2011, d'où l'importance de mettre en place des mesures incitatives. « Cela va être payant de travailler, ça va être attrayant de continuer de travailler », a-t-il fait valoir. Le projet de loi a été accueilli favorablement par les groupes représentant les personnes âgées de même que par la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ). « C'est bon pour l'économie, c'est bon pour l'individu, parce qu'il est réintroduit dans le circuit qui le garde plus en forme. Donc, c'est un winner-winner », dit Georges Lalande, président du Conseil des aînés du Québec. Pour l'instant, les mesures ne seront accessibles qu'au secteur privé, les travailleurs du gouvernement et du parapublic ne pourront pas s'en prévaloir tant qu'il n'y aura pas d'entente avec les syndicats. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie-Affaires/2008/04/02/002-retraite-quebec.shtml
  20. Une compagnie américaine débauche des infirmières québécoises Les infirmières Mélanie, Marie et Lyhn devant l'hôtel Ritz-Carlton, où des représentans américains leur ont vanté les avantages de travailler aux États-Unis. Photo André Tremblay, La Presse Catherine Handfield La Presse Alors que la pénurie d'infirmières est criante au Québec, une entreprise américaine recrute des diplômées québécoises depuis plusieurs mois en leur promettant de meilleures conditions de travail et un milieu où il fait bon vivre. Une cinquantaine d'infirmières décideraient de partir chaque année, a appris La Presse. Hier après-midi, des infirmières assistaient au quatrième séminaire d'information organisé par AmeriCANÀ Healthcare Solutions. L'entreprise du New Jersey recrute ici depuis mars 2006 pour combler le manque de personnel dans les hôpitaux des États-Unis. Plus d'une trentaines d'intéressées, ainsi que quelques hommes, ont écouté les conseils dans une salle de réception du chic hôtel Ritz-Carlton, rue Sherbrooke Ouest, à Montréal. Pat Chibbaro, infirmière new-yorkaise et consultante pour l'entreprise, y vantait les mérites de l'immigration chez nos voisins du Sud. «Il y a tellement de bonnes raisons d'aller travailler aux États-Unis», a-t-elle indiqué à plusieurs reprises. Elle a insisté surtout sur la possibilité de se spécialiser, sur la flexibilité des horaires, le respect de la profession et, bien sûr, le salaire avantageux. À leur arrivée, les candidates recevaient un porte-monnaie en cuir et une pochette d'information sur les avantages financiers de l'immigration aux États-Unis. Alors que le salaire annuel d'une infirmière varie entre 37 600$ et 56 000$ au Québec, il oscille entre 62 000$US et 74 000$US en Californie, par exemple. «Au Québec, c'est le syndrome du burnout, a dit à l'assistance le président d'AmeriCANÀ Healthcare Solutions, Jacob Safran. Les infirmières travaillent trop et sont sous-payées.» Mélanie Tremblay, qui vient tout juste d'être embauchée à l'Hôpital juif de Montréal, souriait pendant la présentation. Elle rêve depuis longtemps de travailler à New York, et la rémunération pèse aussi dans la balance. «Je me suis endettée pour faire mes études et, au Québec, le salaire n'est pas très bon pour la charge de travail.» «C'est difficile pour moi de trouver un emploi parce que je ne maîtrise pas le français», a dit pour sa part Marie Tess, qui ne parle qu'anglais. Un bureau à Montréal AmeriCANA Healthcare Solutions, qui possède un bureau à Montréal, convainc une cinquantaine d'infirmières par année d'émigrer aux États-Unis. «Nous sommes en contact régulier avec 170 personnes, et nous avons établi une liste de 600 candidates potentielles», explique Jacob Safran. L'entreprise n'est pas la première à convoiter les diplômées canadiennes, mais elle demeure la seule à cibler le Québec, selon M. Safran. «Le sentiment de fatigue est plus prononcé ici que dans les autres provinces», estime l'expert en recrutement. Le salaire au Québec est en effet le plus bas au Canada. Les recruteurs utilisent surtout le bouche à oreille pour se faire connaître puisque les cégeps de la province ont refusé qu'ils rencontrent les étudiantes. Ils font aussi paraître une publicité... dans la revue officielle de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec. «Le problème n'est pas la publicité, mais le manque de compétitivité des conditions de travail», se défend la présidente de l'Ordre, Gyslaine Desrosiers. Selon l'Association des infirmières et infirmiers du Canada, quelque 8000 nouvelles diplômées canadiennes de 2007 partiront travailler aux États-Unis. Le ministère de la Santé estime qu'il manque 1500 infirmières actuellement, un nombre qui pourrait grimper à 5000 dans les prochaines années et à 17 000 en 2019. Le Bureau international du travail prévoit pour sa part une pénurie d'un million d'infirmières aux États-Unis en 2010.
  21. Y'a t'il quelqu'un qui peut me répondre.... Si l'on abolis les impôts pour tout le monde - mais que l'on taxes tout achat et service a 12% ou 15% - cela ne produirais pas autant ou plus d'entrée d'argents pour le fisc? 12 ou 15 % est-ce assez haut pour atteindre les revenus necessaire? Pas d'exceptions pour personne - même pas les 'non-profit'. Des mesures severes pour ceux qui fraude - PRISON pour 10 ans et le triple du montant fraudé. Bonus a ceux qui dénonce un fraudeur. Pénalité pour des fausses dénonciation. AUSSI - 2 ans par personne d'aide social maximum. Apres - arrange toi, sacre ton camp, rentre dans l'armé ou deviens salarié minimum pour des agences de bien faisance. Payage de 5$ sur toutes les autoroutes a chaque 50KM. Payage de 2$ sur chaque pont. Transport en commun GRATUIT. TGV Ottawa - Montreal - Québec: 20$ l'aller. Taxis électrique dans chaque ville. Flotte de véhicule électrique fabriqué içi disponible en location a faible coût pour des court trajet. Transport de marchandise par train ou bateau Péage pour tout bateau international qui ne débarque par la marchandise a Montreal. Autrefois.... il n'y avait pas de St-Lawrence Seaway! Montreal était le terminus fluvial. Si les containers veulent s'aventurer et polué et contaminé les cours d'eau du St-Laurent et des Grands Lacs je crois qu'il doivent payé la note. Nous avons a nettoyer cette eau pour notre consommation éventuel. Santé: Frais de 50$ par cas consulté. Abolition des subventionné aux écoles privé École primaire et secondaire: Horraire de 8h30 a 17h30 Hausse des frais d'études universitaire du double 2,000$ par anné collégial Recyclage obligatoire Recupération et recylclage par les compagnies des objets Hydro: Triplons le potentiel de vente aux États et Canada Eolienne: Que Hydro s'en occupe Langues: Français obligatoire. Mandarin, Espagnol, Indien (Inde) obligatoire aux études primaire. Anglais langue d'affaire. Obligatoire aux secondaire. Le monde des affaires et technologique fonctionne en anglais - que cette réalité mondial prend sa place au Québec - mais içi - notre culture est francophone. Affichage en français en premier - tout autres langues sera permise. *** Aucun diplôme ou permis de travail sans avoir passé l'examen de français écris et parlé pour tout le monde. *** Toute entreprise doit afficher et produire tout matériel en français pour pouvoir utiliser d'autres langues. Vie: Semaine de 4 jours - travailler 1.5 heures de plus par jour permet de travailler 4 jours au lieu de 5 cela baisse les besoin de transport - pollution 1 congé par mois basé sur l'histoire et la culture québecoise. Ceci donne une identité au peuple et un sens d'appartenence. (exemple Presidents Day, Washington's Birthday, Memorial Day aux états sont des véhicules pour créer un sens d'appartenence et de fierté Américaine) - ceci a pour fonction de maintenir l'identité québécoise dans une mer anglosaxon. Droit et liberté: Droit a l'euthanasie. Sentence: 5 ans signifie 5 ans - pas de temps compte double ou de permission. Remboursement des frais légaux et pénal par les détenus: exemple 5 ans de prison signifie 230,000$ de dépense pour l'état - apres le temps en prison - le prisonnier doit travailler pour l'état pour des oeuvres de bien faisance a un taux fixe pour rembourser sa dette. (peu aussi être des travaux de voiries, de nettoyages des rues, ordures, recyclage, foresterie...). Enfance / Famille Fermeture des garderie - 80% du salaire payé a un des parents pour rester avec l'enfant j'usqu'a l'age de la maternelle. Alimentation Approvisionnement des produits fabriqué au Québec. Produits hors saison provenant de l'exterieur non cultivé en serres dans la province sera taxé. But de l'opération - encourager les producteurs d'ici. Création de la culture en serre. Eau Nous en avons beaucoup. Fini les Coke, Pepsi et compagnie qui vide nos reservoir sans nous payé. Frais a la consommation pour les industries. Syndicats: F I N I Un médiateur ombudsman sera créer pour défendre les droits des travailleurs. Votez pour moi!!!
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