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  1. Le TGV du futur devrait être conçu en formule duplex L'Etat va commander 100 TGV du futur auprès d'Alstom d'ici fin juin, a annoncé jeudi le ministre de l'Economie Bruno le Maire. "Nous confirmons la commande par l'Etat de 100 TGV du futur. Cette commande doit passer devant le conseil d'administration de SNCF Mobilités soit fin avril, soit fin juin. En tout état de cause la décision est prise, elle sera effective", a déclaré le ministre. Cette prochaine génération de TGV qui pourrait entrer en service en 2022 est développée par Alstom et la SNCF. Lancé en juillet 2015, l’appel d’offres de la SNCF pour concevoir la cinquième version du TGV a été remporté en mai 2016 par le français Alstom, au détriment de l’allemand Siemens et du canadien Bombardier. Un TGV 20 % moins cher... Pour que le train reste compétitif face aux compagnies aériennes low-cost, la SNCF a imposé au concepteur du TGV cinquième génération de produire des rames 20 % moins chères que le précédent modèle, soit à un prix catalogue de 25 millions d’euros contre 30 millions auparavant. La nouvelle machine doit être également moins dispendieuse en coûts d’exploitation à hauteur de -25 %, sans toutefois réduire les performances du train à grande vitesse made in France dont le compteur continuera d’afficher entre 300 et 320 km/h en pointe. Pour relever le défi sans sacrifier la fiabilité et la sécurité du véhicule, Alstom s’est inspiré notamment d’Avelia, le dernier-né de sa gamme de trains à grande vitesse. ...Et moins gourmand en électricité Inscrite au cahier des charges imposé par la SNCF, Alstom prévoit de répondre à l’exigence de réduction des coûts d’exploitation en livrant un nouveau TGV 25 % moins gourmand en électricité que la précédente version. Les prochaines rames, outre une aérodynamique plus performante, seront équipées de moteurs issus de la technologie éprouvée sur l’automotrice AGV, un train vendu ces dernières années en Italie. Les moteurs à aimants permanents de l’AGV couplés à un système de récupération d’énergie au freinage, ont déjà permis de gagner 70 tonnes par rapport au poids des motrices du TGV de quatrième génération et de réduire la consommation d’énergie de 15 %. 250 passagers en plus par rame Grâce à une probable formule duplex qui reste à valider définitivement, le TGV embarquera 750 passagers par rame, soit 250 de plus que la version actuelle. Cette augmentation de la capacité de transport des trains de 40 % doit contribuer à améliorer la rentabilité du train à grande vitesse face à la concurrence de l’aérien low-cost. La SNCF espère ainsi obtenir une réduction de 30 % du coût au passager qui ne se traduira pas forcément par une baisse du prix du billet… Source: ladepeche.fr
  2. Stéphane Champagne Collaboration spéciale La Presse Laval s'offre un centre-ville. L'administration municipale et le secteur privé multiplient les initiatives afin de*doter la troisième ville en importance du Québec d'un endroit digne de ce nom. Au cours des prochaines années, les investissements à cet égard y dépasseront le*milliard. Le quadrilatère, en forme de « L », qui accueillera ce qu'il sera convenu d'appeler « le centre-ville de Laval »*va du Carrefour Laval jusqu'au collège Montmorency, c'est-à-dire de part et d'autre de l'autoroute 15, à la jonction des*quartiers Chomedey et Pont-Viau. « Ce sera un prolongement du centre-ville de Montréal. On a d'ailleurs d'importants joueurs, déjà présents à*Montréal, qui ont choisi de venir s'établir dans notre*nouveau centre-ville », explique Marc Tremblay, directeur adjoint au Service du développement économique de Laval. Le nouveau territoire compte déjà notamment le Cosmodôme, le complexe récréo-touristico-commercial Centropolis, de même que la station de métro Montmorency et bientôt la Place Bell, un amphithéâtre de 200 millions dont l'ouverture est prévue ce printemps. S'y grefferont un nouveau complexe aquatique de 60*millions, un nouveau complexe immobilier à usage mixte de 420 millions, le nouveau BioCentre Armand-Frappier, de même que quelques projets résidentiels, dont*le plus important est Urbania, un îlot de copropriétés situé en face du métro Montmorency. DES TRANSPORTS EN COMMUN La station Montmorency joue d'ailleurs un rôle de*premier plan dans la volonté de Laval de créer un*centre-ville tout en mettant en place des pôles de*TOD (Transport Oriented Developement), un terme en aménagement urbain où les transports en commun et*le*covoiturage sont au coeur de la vie de quartier. Les deux sections du nouveau centre-ville lavallois devraient être reliées, d'ici 2020, par un système d'autobus électriques en boucle qui empruntera les viaducs surplombant l'autoroute 15. Ce réseau de transports collectifs, qui est actuellement en étude de préfaisabilité, devrait être gratuit, espère Marc Tremblay. « Par son design et son effet "wow", on veut que ce circuit électrique devienne un attrait », dit-il. Ensemble, les trois stations de métro de l'île Jésus (Cartier, Concorde et Montmorency) généreront près de*2*milliards d'investissements d'ici cinq ans, ajoute M.*Tremblay. Préférant de ne pas parler d'une renaissance après le long règne du controversé maire Gilles Vaillancourt, le directeur adjoint affirme plutôt que Laval est désormais une ville beaucoup mieux organisée. « La ville est complètement transformée. On s'est dotés de tous les processus de gestion qu'une ville doit avoir*:*bureau des grands projets, politique d'équité et de bonne gouvernance, etc. On est train de devenir une*sorte de "sociétés les mieux gérées". » -*Marc Tremblay, directeur adjoint au Service du développement économique de Laval UNE ÉCONOMIE BIEN DIVERSIFIÉE Outre le développement de ses infrastructures, Laval tire son épingle du jeu à plusieurs égards, croit Jean Philippe Brassard, directeur régional du bureau d'affaires Grand Montréal à Développement économique Canada (DEC). « Même si le secteur tertiaire représente 81*% de son PIB, Laval est la deuxième économie la plus diversifiée au*Québec, explique M. Brassard. Et en 10 ans, elle a connu une croissance démographique de 14,7*%. » Les pôles industriels, des biotechnologies, des technologies, de l'agriculture et du tourisme, lesquels représentent plus de 1200 entreprises dans 14*parcs industriels, sont d'importants moteurs économiques sur le territoire de Laval. Pendant que le secteur pharmaceutique et des sciences de*la vie se transforme et va mieux après des jours difficiles, le secteur touristique, lui, est toutefois sur une*lancée. « En 2015, on a atteint 201 millions*de recettes touristiques (soit le double d'il y a 10 ans) et on a attiré plus de 1,1 million de touristes », explique Geneviève Roy, directrice générale de Tourisme Laval.* « Selon nos projections, nos recettes pourraient atteindre*316 millions d'ici 2035. Mais on veut provoquer une croissance accélérée pour atteindre des recettes de*402*millions et 2,2 millions de visiteurs. Le*développement du centre-ville va nous aider. » http://affaires.lapresse.ca/portfolio/developpement-economique-regional/portrait-2017-laval/201703/30/01-5083759-plus-de-1-milliard-pour-creer-un-centre-ville-a-laval.php
  3. Publié le 16 mars 2017 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 De nouvelles règles pour les drones récréatifs Le ministre des Transports Marc Garneau annoncera aujourd'hui de nouvelles règles de sécurité qui interdiront désormais de faire voler les drones récréatifs à plus de 90 mètres d'altitude et à moins de 75 mètres de bâtiments, de véhicules ou de personnes, a appris La Presse. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE (http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-canadienne/201703/15/01-5079190-de-nouvelles-regles-pour-les-drones-recreatifs.php#wcm:article:5079190) Joël-Denis Bellavance (https://cse.google.com/cse?cx=004348325735519040616:xugxk9rp5mm&q=Jo%C3%ABl-Denis+Bellavance) La Presse (Ottawa) La prolifération de drones récréatifs dans le ciel aux quatre coins du pays est devenue une menace pour la sécurité publique. Désirant agir avant qu'une tragédie ne survienne, le ministre des Transports Marc Garneau entend serrer la vis aux propriétaires de ces objets volants. M. Garneau annoncera aujourd'hui à l'aéroport Billy Bishop de Toronto de nouvelles règles de sécurité qui interdiront désormais de faire voler ces drones à plus de 90 mètres d'altitude et à moins de 75 mètres de bâtiments, de véhicules ou de personnes, a appris La Presse. En outre, les utilisateurs ne pourront s'amuser avec ces objets dans un rayon de neuf kilomètres du centre de tout aéroport, héliport, aérodrome ou hydrobase où décollent et atterrissent des aéronefs. Enfin, il sera interdit d'utiliser ces petits appareils durant la nuit. Le ministre Garneau confirmera l'entrée en vigueur immédiate de ces nouvelles mesures avec des représentants de compagnies aériennes et de pilotes, de même que des policiers de la Gendarmerie royale du Canada et du Service de police de Toronto pour illustrer l'importance d'agir dans ce domaine. La Fédération canadienne des municipalités avait aussi réclamé des mesures plus contraignantes. «L'utilisation de ces drones récréatifs est devenue un véritable fléau. N'importe qui peut se procurer un tel drone pour quelque 350 $ chez Walmart. Il faut imposer de nouvelles règles avant qu'une tragédie ne survienne», affirme une source gouvernementale qui a requis l'anonymat. Ces nouvelles règles toucheront les drones récréatifs dont le poids est de 250 grammes mais n'excède pas 35 kilogrammes. Les propriétaires devront aussi inscrire leurs coordonnées sur leur drone et ils devront rester loin des espaces aériens contrôlés ou règlementés, des incendies de forêt et des zones où des premiers intervenants sont à l'oeuvre. Toute personne qui contreviendra à ces règles de sécurité pourrait se voir imposer des amendes pouvant aller jusqu'à 3000 $. Le ministère des Transports encouragera d'ailleurs les gens à composer le 9-1-1 ou à communiquer avec les forces policières locales s'ils voient des propriétaires de drones récréatifs enfreindre ces règles. Le ministre Garneau a décidé d'utiliser les pouvoirs ministériels que lui confère la Loi sur l'aéronautique pour imposer d'urgence ces nouvelles règles, étant donné que les campagnes de sensibilisation au sujet de l'utilisation sécuritaire des drones près des aéroports et des autoroutes n'ont pas donné les résultats escomptés. Ces nouvelles règles s'appliqueront d'ici à ce que les nouvelles dispositions règlementaires soient adoptées - une démarche qui pourrait prendre jusqu'à un an. Incidents préoccupants De plus en plus, le ministère des Transports et les forces policières sont saisis de rapports d'événements impliquant des drones récréatifs. Des pilotes d'avion qui doivent effectuer des manoeuvres à la dernière seconde pour éviter de frapper un drone alors qu'ils s'apprêtent à faire atterrir leur aéronef. Des automobilistes qui doivent donner un coup de volant pour ne pas être heurtés par un de ces objets volants. Des personnes qui se trouvent dans un parc municipal qui sont blessées après que le propriétaire d'un drone récréatif eut perdu le contrôle de son appareil. Encore récemment, le pilote d'un Airbus A330-343 d'Air Canada qui effectuait la liaison Londres-Montréal a signalé au ministère des Transports qu'il avait aperçu un drone blanc «assez gros», en forme de losange, qui volait à une altitude d'environ de 1600 pieds au-dessus du niveau de la mer (487 mètres), dans les environs du collège Saint-Jean-Vianney, à Montréal, selon un relevé du Système de compte rendu quotidien des événements de l'aviation civile (SCRQEAC). Heureusement, aucun accident n'a eu lieu. En 2016, un hélicoptère qui effectuait un vol entre Saint-Hubert et Mirabel a signalé être passé très près d'un drone, à quelques mètres à peine, alors qu'il traversait les axes d'approche des pistes 24 à Montréal. Les nouvelles mesures ne s'appliqueront pas aux individus qui utilisent des drones à des fins commerciales, universitaires ou de recherche étant donné que ces derniers doivent obtenir des permis de Transports Canada et qu'ils sont déjà soumis à des règles contraignantes. «Au Canada, il y a eu plusieurs incidents préoccupants où des drones ont failli percuter des aéronefs. Nous devons tout mettre en oeuvre pour éviter ce genre d'incidents. [...] Aujourd'hui, en présence de la GRC, de l'Airline Pilots Association, du Conseil des aéroports du Canada, de l'Association des pilotes d'Air Canada et du Conseil national des lignes aériennes du Canada, je prends des mesures sur-le-champ pour mettre en place des dispositions coercitives qui vont protéger les Canadiens et amener ceux qui utilisent des drones à des fins récréatives à le faire prudemment», affirme le ministre, selon un texte du discours qu'il doit prononcer ce matin à Toronto.
  4. J'ai lu dans plusieurs journaux que 70% des matières dangereuses sont transportées par camion au Québec. J'ai aussi lu que l'A40 est la seule route est-ouest à travers Montréal que peuvent emprunter les camions avec matière dangereuse... Ne serait-il pas temps d'envisager d'autres solutions pour éviter de telles tragédies? Autres moyens de transports, contournement de Montréal, etc. ? Je lance le débat!
  5. http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?idArticle=2310085665 sent via Tapatalk
  6. Qui l’eût cru ? De toutes les villes américaines, c’est New York, et sa grande région de 20 millions d’habitants, qui a le plus faible taux d’émission de gaz à effet de serre (GES) par habitant. Son secret ? Un large système de transport collectif, constamment repensé par l’équipe de Projjal Dutta, l’homme derrière la « stratégie verte » de l’autorité new-yorkaise des transports. http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/435194/sur-la-route-ges-les-secrets-de-la-grosse-pomme
  7. Une très bonne idée! http://www.ledevoir.com/politique/montreal/415875/des-camions-plus-securitaires-pour-les-velos Des camions plus sécuritaires pour les vélos 14 août 2014 |Jeanne Corriveau | Montréal L’administration de Denis Coderre a fait savoir, mercredi, qu’elle allait installer ces protections latérales sur toute sa flotte, qui compte 978 véhicules. Montréal entend doter tous ses véhicules lourds de protections latérales et demandera au ministère fédéral des Transports de légiférer afin de rendre obligatoires ces dispositifs pour tous les camions circulant au Canada. Au cours des derniers mois, Montréal a été le théâtre de plusieurs accidents impliquant des piétons et des cyclistes qui se sont retrouvés sous les roues d’un véhicule lourd. Plusieurs villes et arrondissements de l’île de Montréal ont déjà procédé à la pose de protections latérales sur leurs véhicules lourds, mais l’administration de Denis Coderre a fait savoir, mercredi, qu’elle allait installer ces dispositifs sur toute sa flotte, qui compte 978 véhicules. Le coût de cette opération, qui s’échelonnera sur quatre ans, est évalué à 2,5 millions. « C’est un système qui a déjà fait ses preuves en Europe et dans plusieurs villes d’Amérique du Nord. Ça sauve des vies », a fait valoir Anie Samson, responsable de la sécurité publique au comité exécutif de la Ville. Le maire Coderre a aussi écrit une lettre à la ministre fédérale des Transports pour demander que ces dispositifs deviennent obligatoires pour tous les véhicules lourds au pays. La Ville voudrait que ses sous-traitants prennent de telles mesures tout comme les camionneurs qui circulent à Montréal, mais pour ce faire, il faudrait qu’Ottawa légifère. Les États-Unis songent à imposer ces « jupettes », a soutenu le responsable des transports au comité exécutif, Aref Salem : « Si nos amis du Sud commencent à penser à ces barres latérales, je crois qu’on n’aura pas le choix de suivre la vague si on veut faire des affaires avec les États-Unis », a-t-il dit. Au cours des prochains mois, Montréal testera des caméras et des détecteurs de mouvements sur les véhicules dans le cadre de projets pilotes. En mai dernier, Transports Canada n’avait montré aucun intérêt à légiférer pour rendre les protections latérales obligatoires. « En s’appuyant sur son étude des données provenant de l’étranger, Transports Canada a conclu qu’il n’y a aucune preuve que l’installation de protecteurs latéraux assurerait la sécurité des cyclistes », avait indiqué le ministère fédéral. Pour sa part, le NPD avait annoncé son intention de déposer un projet de loi demandant que l’installation de protections latérales sur les camions devienne obligatoire. Viaducs dangereux L’administration a annoncé ses intentions concernant les protections latérales alors qu’elle faisait le point sur les mesures prises pour accroître la sécurité des cyclistes à Montréal à la suite du décès de Mathilde Blais, fauchée par un camion alors qu’elle roulait à vélo sous le viaduc Saint-Denis au printemps. Les cyclistes et piétons sont désormais invités à partager les trottoirs sous les viaducs Saint-Denis, Papineau, De Lorimier et Saint-Joseph/Iberville. À l’heure actuelle, des mesures temporaires ont été adoptées pour 16 viaducs, mais 15 autres viaducs seront bientôt sécurisés.
  8. Situé dans Ville Émard, au Sud-Ouest de Montréal, Condos Monk propose 31 unités, de 1, 2 et 4 chambres, de 561 à 1377 pieds carrés, dans un bâtiment au design moderne. Se trouvant à quelques pas du canal de Lachine, dans un quartier chaleureux, très diversifié et en plein renouveau, le projet offre un cadre de vie à la fois paisible, facilement accessible en transports en commun et proche des commerces et autres services. Projet admissible au Programme d’accession à la propriété de la ville de Montréal pour les premiers acheteurs. (Subventions de $4,500 à $12,500) Plus d'information à la page: http://www.condosmonk.com
  9. http://www.scfp.qc.ca/nouvelles/2831/--Transports-Canada-compromet-la-securite-des-passagers-aeriens-en-permettant-que-des-sorties-de-secours-soient-laissees-sans-surveillance--?langue=fr «Transports Canada compromet la sécurité des passagers aériens en permettant que des sorties de secours soient laissées sans surveillance» «Le nouveau ratio d'un agent de bord pour 50 sièges passagers proposé par Transports Canada met la sécurité des passagers en danger. Avec la nouvelle réglementation, il y aura au moins un agent de bord de moins à bord de nombreux avions, ce qui ne permet pas d'assurer un niveau de sécurité adéquat aux passagers en cas d'évacuation d'urgence», a déclaré le président de la Division du transport aérien du SCFP, Michel Cournoyer, lors de sa participation à la réunion du Conseil consultatif sur la réglementation aérienne canadienne sur le projet de modification réglementaire. Son message a été repris par des agents de bord de partout au pays, représentés par la Division du transport aérien du SCFP. Ils ont pris part à la consultation, soit en personne à Ottawa ou par vidéoconférence dans d'autres villes canadiennes. «En réalité, le nouveau ratio ne prévoit pas suffisamment de personnel pour surveiller toutes les issues de secours, lors de situations où les passagers doivent pouvoir compter sur des agents de bord ayant reçu une formation complète pour les aider», a expliqué Michel Cournoyer. Par exemple, lorsque le ratio d'un agent de bord pour 50 sièges passagers est en vigueur sur un Airbus A320, toutes les sorties de secours ne sont pas surveillés par un agent de bord. A pleine capacité, trois agents de bord doivent couvrir les quatre sorties accessibles au niveau du plancher. «Le ratio actuel d'un agent de bord pour 40 passagers ne laissait déjà place à aucune marge d'erreur en situation d'urgence. Avec un équipage réduit, imaginez comment les choses pourraient tourner si un agent de bord était blessé en cours d'évacuation», a déclaré M. Cournoyer. «Les accidents survenus par le passé prouvent qu'un ratio d'un agent de bord supérieur au un pour 50 proposé améliore les chances de survie des passagers en situation d'urgence. En 2005, lorsque le vol 358 d'Air France s'est écrasé à l'Aéroport Pearson de Toronto, les 309 personnes à bord ont survécu en grande partie grâce à une évacuation rapide coordonnée par les agents de bord. Le ratio était d'un agent de bord pour 30 passagers et les huit issues de secours étaient surveillées», a-t-il ajouté. «De toute évidence, le ratio d'un agent de bord pour 50 sièges passagers offre un niveau de sécurité inférieur à la norme actuelle. Par conséquent, il faut maintenir le ratio éprouvé d'un agent de bord pour 40 passagers. D'ailleurs, le rapport d'évaluation des risques de Transports Canada publié en juillet 2003 concluait que le ratio d'un pour 50 n'est pas aussi sécuritaire». «Puisque Transports Canada est prêt à mettre la sécurité des passagers en danger, le Comité permanent des transports, de l'infrastructure et des collectivités de la Chambre des communes doit maintenant mener une enquête publique sur le projet de modification règlementaire», a conclu Michel Cournoyer. Le SCFP représente plus de 10,000 agents de bord à l'emploi d'Air Canada, Air Transat, Calm Air, Canadian North, Canjet, Cathay Pacific, First Air et Sunwing.
  10. Je mets cet article fort intéressant dans ''Actualité'', étant donné que ce genre de nouvelle risque de plus en plus de voir le jour. http://www.lapresse.ca/actualites/national/201403/16/01-4748307-transports-en-commun-88-des-quebecois-veulent-plus-dinvestissements.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1 Les Québécois sont quasi unanimes à penser qu'il faut investir davantage dans les transports en commun, y compris ceux qui ne les utilisent pas. Selon un sondage CROP réalisé pour le compte de l'Association du transport urbain du Québec (ATUQ) en janvier dernier, 88% des répondants, usagers ou non, ont estimé qu'il était «assez» ou «très» important de mettre plus d'argent dans ces services. L'appui au financement accru des transports collectifs croît directement avec l'usage. Ainsi, 98% des répondants qui disent les utiliser souvent, et 94% des usagers occasionnels pensent qu'on devrait les financer davantage. Dans la région métropolitaine de Montréal, où les transports collectifs sont les plus visibles, les plus utilisés et les plus accessibles, ce pourcentage atteint 90% des répondants, et ce, qu'ils soient usagers ou non du métro, des trains de banlieue ou des services de bus. L'appui aux transports collectifs est moins élevé chez ceux qui ne les utilisent jamais, mais tout de même surprenant; 80% des répondants qui ont affirmé n'être pas des usagers de ces services estiment quand même qu'il serait important d'y investir davantage, selon le sondage de l'ATUQ, qui regroupe les neuf plus grandes sociétés de transports en commun du Québec. La population de la région de Québec semble plus tiède qu'ailleurs en province, selon CROP. Son appui à des investissements supplémentaires dans les transports en commun ne dépasse pas 80% des répondants, qu'ils soient usagers ou non. Hors des régions de Montréal et de Québec, l'appui à un financement additionnel des transports collectifs atteint 87% de la population, usagers ou non confondus. Des autobus avant des routes Les opinions largement favorables à une augmentation du financement des transports en commun sont plus nuancées lorsqu'on propose aux répondants un choix de moyens pour «assurer une meilleure circulation sur les routes du Québec». Les investissements dans les transports collectifs sont alors favorisés par 48% des répondants de l'ensemble du Québec, alors que 42% privilégient plutôt la construction de nouvelles routes. Ces résultats sont intéressants dans la mesure où ils ont été exprimés en janvier, soit bien avant la publication de la Stratégie de mobilité durable du gouvernement Marois, en vertu de laquelle des budgets de plus de 900 millions prévus pour la construction routière, de 2015 à 2020, ont été transférés vers des projets de maintien des actifs dans les réseaux de transports en commun de la province. Par ailleurs, 53% des répondants affirment qu'un investissement dans les transports en commun serait de nature à améliorer leur perception à l'égard du gouvernement du Québec, «parce qu'il veut améliorer la qualité de vie de ses citoyens». À la même question, 43% des gens ont affirmé que cela ne changerait pas leur opinion du gouvernement. Un maigre 4% ont exprimé qu'ils auraient une moins bonne opinion du gouvernement du Québec s'il augmentait les sommes consacrées aux transports collectifs. Selon le sondage de l'ATUQ, réalisé par questionnaire sur l'internet à partir d'un groupe web, entre les 16 et 19 janvier derniers, un peu plus de la moitié des 1000 répondants, soit 52%, affirment qu'ils n'utilisent «jamais» les transports collectifs. Ce pourcentage augmente à 71% hors des régions de Montréal et de Québec. Dans la région de la capitale nationale, 62% des personnes sondées affirment ne pas utiliser ces services, alors que dans la région de Montréal, c'est seulement une personne sur trois (34%) qui affirme ne «jamais» utiliser les transports en commun.
  11. http://www.lapresse.ca/actualites/elections-provinciales/enjeux/201403/08/01-4745768-plq-un-traversier-pour-la-rive-sud.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_elections-quebec-2014_1965459_accueil_POS4 Publié le 08 mars 2014 à 09h35 | Mis à jour à 09h35 PLQ: un traversier pour la Rive-Sud Pour décongestionner le réseau routier, Philippe Couillard promet d'instaurer un service de traversier entre Montréal et la Rive-Sud, même si l'Agence métropolitaine des transports (AMT) a rejeté cette idée en 2012. Cet engagement fait partie de la «stratégie maritime» que le chef libéral a dévoilée hier et qui fait concurrence au Projet Saint-Laurent du chef caquiste François Legault (pour plus de détails, lisez le texte «Fleuve: Couillard dans les plates-bandes de Legault»). Le document de 48 pages donne peu de détails sur ce projet de traversier. On peut seulement y lire qu'il s'agit d'une solution pour «décongestionner les accès à Montréal», qui «vivra prochainement les conséquences de vastes chantiers» comme la construction du nouveau pont Champlain. Le coût serait de 10 millions par année. On ne précise pas l'emplacement des quais, la fréquence des départs, combien de personnes pourraient être transportées - des automobiles pourraient l'être aussi, comme pour le traversier reliant Lévis à Québec. La promesse repose sur des «études privées» que le PLQ a refusé de divulguer. Les libéraux disent s'inspirer des navettes fluviales qui existent à Boston. Ils rappellent que le député sortant Pierre Moreau avait lancé l'idée de telles navettes entre Montréal et la Rive-Sud au printemps 2012, à l'époque où il était ministre des Transports. L'AMT avait été chargée d'analyser cette option. Et elle l'avait rejetée. «Chaque fois qu'on a étudié cette mesure, on l'a écartée parce que le rapport coût-bénéfice n'est pas bon, a expliqué à La Presse une porte-parole, Claudia Martin. C'est une mesure qui coûte cher pour le nombre de personnes qu'on peut transporter. Et c'est difficile de mettre en place une mesure comme ça.»
  12. Plus d'une cinquantaine d'opinions sur des sujets diverses déjà publiés Voir ce lien: http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain Le blogue urbain explore la ville comme espace de vie, autour de différents thèmes: transports, vélo, architecture, aménagement, étalement urbain, patrimoine. Un blogue collectif, écrit par des journalistes du Devoir passionnés de vie urbaine.
  13. http://affaires.lapresse.ca/economie/international/201306/26/01-4664945-commerce-quebec-allemagne-un-potentiel-gigantesque.php
  14. 62e Congrès de l'UITP en 2017 - Montréal hôte du congrès international sur la mobilité et les transports urbains MONTRÉAL, le 10 avril 2013 /CNW Telbec/ - Montréal a été désignée ville-hôte du 62e congrès international et de l'exposition sur la mobilité et les transports urbains de l'Union internationale des transports publics (UITP), qui se tiendront en 2017, à l'occasion du 375e anniversaire de Montréal. Ce choix est le résultat des efforts conjugués de l'Agence métropolitaine de transport (AMT), de la Société de transport de Montréal (STM), du Palais des congrès de Montréal et de Tourisme Montréal. La nouvelle a été annoncée aujourd'hui à Hambourg, en Allemagne, par le conseil exécutif de l'UITP. Le congrès aura lieu du 13 au 17 mai 2017 et attirera plus de 9 500 délégués et visiteurs provenant de plus de 80 pays, de même que 350 exposants. D'envergure internationale, le congrès générera des retombées économiques évaluées à plus de 13 M$. Finaliste aux côtés de Brisbane en Australie et de Séoul en Corée du Sud, Montréal a été retenue en tant que ville-hôte de ce congrès qui se tient tous les deux ans dans des villes où la mobilité durable occupe une place importante. Pendant cinq jours, une myriade d'acteurs majeurs de l'industrie du transport collectif dans le monde prendront part à des activités de formation, de réseautage et à la tenue d'une exposition dans les installations du Palais des congrès de Montréal. Les partenaires ont également prévu un volet grand public à ce congrès. « Cet événement cadre parfaitement avec la vision de l'AMT de faire la promotion du transport collectif auprès des usagers de la grande région de Montréal. Un tel congrès nous permettra de démontrer notre expertise en matière de planification de projets. Ce sera aussi l'occasion d'échanger de bonnes pratiques sur la gestion des déplacements avec des intervenants de partout dans le monde », a souligné Nicolas Girard, président-directeur général de l'AMT. « C'est à Montréal que nous retrouvons les plus grands utilisateurs du transport collectif en Amérique du Nord et nous voulons travailler à devenir rien de moins que la meilleure société de transport publique au monde dans notre catégorie. Avec tous les projets qui verront le jour d'ici 2017, les voitures de métro AZUR, nos nouveaux bus hybrides et électriques, l'information en temps réel et l'accroissement des voies réservées, Montréal était la ville toute désignée pour recevoir ce congrès » a déclaré M. Michel Labrecque, président du conseil d'administration de la STM. « Au carrefour des grandes infrastructures de transport de la métropole, le Palais des congrès de Montréal est l'endroit idéal pour tenir cet événement », mentionne Marc Tremblay, président-directeur général de la Société du Palais des congrès de Montréal. « Première ville en Amérique pour l'accueil de congrès internationaux, Montréal et le Palais des congrès feront vivre aux délégués de l'UITP 2017 une expérience événementielle qu'ils ne sont pas près d'oublier ! L'équipe est fière de contribuer au succès d'un événement aussi prestigieux ! » ajoute-t-il. « Le 375e anniversaire de Montréal est une occasion unique de célébrer notre ville, mais aussi une opportunité de démontrer au monde entier le savoir-faire et la capacité d'innovation qui distinguent les Montréalais. La venue du congrès UITP en 2017 permettra entre autres à la métropole de se positionner parmi les grandes villes du monde en ce qui a trait à la mobilité et aux transports urbains. Quelle belle vitrine pour Montréal! », ajoute l'honorable Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal. -------------------------------------------------------------------------------- L'UITP en bref L'Union internationale des transports publics (UITP) est l'organisation regroupant les autorités et les opérateurs de transport en commun. Elle représente un réseau international de 3 400 membres situés dans 92 pays. L'UITP compte un bureau principal à Bruxelles et dix bureaux régionaux et de liaison dans le monde entier. Rappelons que les prochains congrès de l'UITP auront lieu à Genève en Suisse le mois prochain et à Milan en Italie en 2015.
  15. CSX investira plus de 100 M$ à Valleyfield Après des années de négociations, l’américaine CSX Transportation, l’une des plus importantes sociétés de transport ferroviaire aux États-Unis, investira plus de 100 M$ dans l’implantation au Québec d’un nouveau terminal intermodal, a appris LesAffaires.com. L’annonce de cet investissement majeur aura lieu ce vendredi, à Salaberry-de-Valleyfield en Montérégie, en présence du ministre des Transports du Québec, Sylvain Gaudreault, et du président et chef de la direction de CSX, Michael J. Ward. L’investissement, qui varie selon les sources entre 100 M$ et 130 M$, permettrait de créer plus de 600 emplois à Valleyfield pendant la construction et quelque 350 emplois permanent une fois les travaux complétés. Une très bonne nouvelle pour cette ville d’un peu plus de 40 000 habitants, encore marquée par la fermeture de nombreuses activités manufacturières ces dernières années, dont celles de Gildan et du manufacturiers de pneus Good Year. Une fois complété, ce terminal est sensé permettre une liaison entre Montréal et tout l’est des États-Unis. Toute la partie entre Valleyfield et l’Ohio à l’ouest, ainsi que la Géorgie au sud, devrait en principe être reliée par une voie ferrée qui offrira des alternatives de transport nouvelles aux entreprises du Québec. Avec ce nouveau terminal de CSX, la grande région de Montréal disposerait d’un nouveau transporteur ferroviaire de marchandises, capable de la relier à des centres comme Cincinnati, Nashville, Atlanta, Birmingham, Baltimore, Chicago et Cleveland. Une alternative en quelque sorte, aux Canadien National (CN) et Canadian Pacific Railway (CP). Le gouvernement du Québec doit participer financièrement au projet. Le ministère des Transports du Québec, notamment, pourrait accorder plus de 6M$ pour le réaménagement d’au moins trois intersections qui croisent l’autoroute 530 et la démolition d’un pont. L'action de CSX Corp se négociait à 21,70$US peu avant la fermeture de la Bourse de New York aujourd'hui, en hausse de 0,91$US ou de 4,35%. Depuis un an, le titre de CSX a reculé de 1,88$US, ou de 8,29%. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/transport-et-produits-industriels/csx-investira-plus-de-100-m-a-valleyfield/553453
  16. Un premier autobus entièrement électrique sillonnera les rues de Laval dès le printemps prochain, a annoncé la Société de transport de Laval (STL) lundi. La STL a reçu le premier véhicule à la fin de l'année dernière, mais elle doit procéder à une série de tests avant de le mettre en service. Il s'agira d'une première québécoise et canadienne, selon la STL. Le véhicule mesure 40 pieds, soit la taille d'un autobus régulier, a été construit par la firme américaine Design Line. L'autobus est alimenté par une batterie à recharge lente dont l'autonomie est estimée à plus de 200 kilomètres. Le président du conseil d'administration de la STL, Jean-Jacques Beldié, estime que l'expérience de son organisme sera bénéfique à toutes les sociétés de transport qui souhaitent électrifier leur réseau de transport en commun. Le projet-pilote de la STL a été développé en partenariat avec le ministère des Transports du Québec, Hydro-Québec et la Société de gestion et d'acquisition de véhicules de transport. Le ministre des Transports, Sylvain Gaudreault, a indiqué que le gouvernement vise une électrification graduelle du transport collectif au Québec au cours des prochaines années. Son collègue député de Laval-des-Rapides, Léo Bureau-Blouin, a déclaré qu'il s'agissait d'un pas de plus vers l'indépendance énergétique de la province. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2013/01/14/004-laval-autobus-electrique.shtml?isAutoPlay=1
  17. Petit video de 15 minutes que j'aimerais partager avec vous. Je le trouve très bien! C'est 100% Québécois en plus! http://www.onf.ca/film/saga_cite/embed/player
  18. Transport en commun: plaidoyer pour une importante hausse des tarifs Bruno Bisson La Presse Les usagers paient-ils assez cher pour utiliser les réseaux de transports en commun dans la région de Montréal? > En graphique: Financement du transport en commun Dans un mémoire présenté la semaine dernière lors des consultations publiques sur le financement des transports collectifs de la Communauté métropolitaine de Montréal, un groupe d'universitaires a proposé de hausser considérablement les tarifs aux usagers pour améliorer la qualité et l'efficacité des services. L'Observatoire sur la mobilité durable, groupe de recherche affilié à l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal, recommande ainsi que les revenus en provenance des usagers soient augmentés, jusqu'à ce qu'ils représentent 50% des coûts des services de transports en commun. À l'heure actuelle, les revenus des usagers représentent de 27% à 47% des coûts annuels des services offerts à Montréal et en banlieue (voir graphique). Selon Jean-Philippe Meloche, professeur associé à l'Institut, cette augmentation de la contribution des usagers assurerait des revenus additionnels de 300 millions par année, à l'horizon 2020, aux sociétés de transports en commun de la région. Concrètement, elle se traduirait aujourd'hui par des augmentations de tarifs de plus de 60%, dans la banlieue nord, où les recettes des usagers couvrent seulement 31% du coût actuel des services d'autobus. Les usagers de la Société de transport de Laval, qui assument actuellement 27% des coûts des services, verraient leurs tarifs multipliés par deux. Mais pour la grande majorité des usagers des transports collectifs de la région, qui utilisent les services de la Société de transport de Montréal (STM), «l'augmentation serait d'environ 20%, estime-t-il. En l'étalant sur cinq ans, et en tenant compte de l'inflation, on obtiendrait des hausses annuelles de 6 ou 7%, sur cinq années consécutives». «Une approche doctrinaire» Dans une entrevue à La Presse hier, le directeur général de Transports 2000 Québec, Normand Parisien, n'a pas hésité à qualifier de «doctrinaire» l'approche préconisée dans ce mémoire, parce qu'elle «réduit l'usage des transports en commun à un service commercial», dont la disponibilité et le coût seraient soumis aux aléas de l'offre et de la demande. Cette «approche microéconomique», déplore-t-il, occulte totalement la dimension «sociale» des réseaux de transports en commun qui est très présente à Montréal. «On dirait que c'est tabou et qu'il ne faut jamais en parler, mais il reste que Montréal est une des grandes villes les plus pauvres de l'Amérique du Nord.» Le directeur de la plus importante association d'usagers des transports en commun du Québec estime aussi que des tendances fortes dans l'évolution récente de la clientèle des transports collectifs laissent supposer une chute de la fréquentation s'il y avait une augmentation marquée des tarifs. M. Parisien cite les résultats d'une étude d'Impact Recherche menée à la demande du ministère des Transports du Québec (MTQ) et présentée à Transports 2000 Québec lors de consultations statutaires récentes du MTQ sur son prochain plan stratégique de cinq ans. «La plus importante augmentation de la clientèle provient des étudiants, qui paient un demi-tarif, dit M. Parisien. La part des étudiants qui préfèrent les transports collectifs a grimpé de 50% à 61%, dans les dernières années.» Par contre, dit-il, «les gens qui se déplacent pour se rendre au travail le matin le font encore, dans 80% des cas, en automobile. Une hausse des tarifs ne les incitera sûrement pas à se tourner vers le métro et les autobus». Péages pour automobilistes Tout en rejetant le qualificatif de «doctrinaire», le professeur Jean-Philippe Meloche reconnaît qu'une hausse des tarifs n'est pas une mesure qui incite les gens à préférer le métro ou les autobus à l'automobile. Un péage routier, en revanche, pourrait bien l'être. «Une hausse de tarifs de cette dimension, se défend le chercheur, est impensable si on n'impose pas, en même temps, des péages routiers, pour que les automobilistes paient, eux aussi, leur juste part des vrais coûts de transport.» «On ne peut pas isoler les différents éléments qui composent la circulation, affirme-t-il. Et notre approche, ce n'est pas de faire payer en particulier les usagers des transports en commun. C'est de tarifer équitablement tous les modes de déplacement.» Le modèle proposé par l'Observatoire prévoit ainsi que les automobilistes seraient triplement sollicités, par le péage, par une tarification serrée du stationnement, à l'échelle de la région, et par le maintien d'un taux de taxation «relativement élevé» sur l'essence. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201205/09/01-4523474-transport-en-commun-plaidoyer-pour-une-importante-hausse-des-tarifs.php Enfin du monde sensée qui sortent du moule des théories toutes faites des 'écoles' urbanistiques. Tout le monde doit payer sa juste part, même si celle-ci n'est a hauteur de 50% du vrai coût.
  19. A Londres, prendre le métro est devenu un luxe Selon une enquête, les bas revenus ne peuvent plus se payer tickets ni abonnements. Ils s’entassent donc dans les bus, moins chers mais moins pratiques. 15.12.2011 | Rowenna Davis  La prochaine fois que vous prendrez le métro à Londres, regardez autour de vous. Si vous trouvez qu’il y a de plus en plus de cadres supérieurs blancs, vous ne vous trompez pas. Selon les derniers chiffres de Transport for London [TfL : régie des transports en commun de Londres], descendre les escalators du métro revient à gravir une marche dans l’échelle sociale. D’après cette étude, la fracture sociale s’agrandit dans notre ville. Tandis que les plus riches se rendent rapidement à leur travail en métro, les plus pauvres et les membres des minorités ethniques sont contraints de prendre le bus. Et la situation empire : en 2003, les Londoniens à bas revenus représentaient 28 % des usagers du métro. En 2009, ce chiffre est descendu à 22 % – contre 37 % des usagers du bus. 4,6 euros le ticket Il est difficile de ne pas faire le lien avec le prix des billets (un aller simple en métro en zone 1 coûte désormais 4 livres [4,60 euros]). Fin novembre, j’ai rencontré des agents de nettoyage et des serveurs de restaurant qui n’ont plus les moyens de prendre le métro dans leur ville. Ils s’entassent donc dans les bus, d’utilisation beaucoup plus problématique. Prenons Elena, par exemple. Cette femme de ménage colombienne travaille pour 6,08 livres [7,09 euros] l’heure. Elle cumule deux emplois à temps partiel. Comme elle n’a pas accès au métro ni au train, elle doit quitter sa maison du nord de Londres à 5 heures du matin. Avec une foule d’autres travailleurs au salaire minimum, elle prend une longue série de bus avant même le lever du jour. Comme elle doit se rendre d’un emploi à l’autre, elle passe près de cinq heures par jour dans les transports pour six heures de travail. Elena paie sa carte mensuelle de bus 68,40 livres [80 euros]. Si elle devait prendre une carte bus-métro, cela lui coûterait 106 livres [123 euros], soit environ le cinquième de son salaire mensuel net. Le maire de Londres, Boris Johnson, ne semble pas voir où est le problème. Depuis son élection [en 2008], le prix d’une carte bus-métro hebdomadaire 4 zones a augmenté de 23 %. Enquête suspendue Le fait d’être obligé de prendre le bus cause également de gros problèmes aux familles. Alberto, lui aussi agent de nettoyage, nous raconte que sa fille et sa femme doivent partir de la maison à 5 heures du matin. Sa fille attend que l’école ouvre en lisant sur le lieu de travail de sa mère et y arrive toujours fatiguée. Pendant ce temps, Alberto effectue son angoissant trajet dans Londres. S’il rate l’un de ses bus ou s’endort, il risque d’être licencié. “Le prix des transports s’envole, mais le salaire n’augmente jamais, constate-t-il. Il faut se battre pour avoir une augmentation. La situation empire toujours davantage.” Les conséquences sont également économiques. Si les transports sont le poumon de l’économie londonienne, on sait aussi que certains travailleurs comme Elena refusent des emplois parce que le trajet leur coûterait trop cher. Ce métro sélectif était déjà visible à l’époque où Ken Livingstone était maire [2000-2008], mais ce n’est que maintenant que celui-ci réfléchit à des mesures pour endiguer la tendance. S’il est à nouveau élu en 2012, il promet d’abaisser les tarifs de 5 % et de les geler jusqu’en 2013. Quant à l’actuel maire de Londres, Boris Johnson, on ignore les conséquences que sa réélection pourrait avoir. Sous son mandat, TfL a suspendu l’enquête sur les usagers du métro jusqu’à nouvel ordre : une mesure qui permet de faire des économies… et d’étouffer les mauvaises nouvelles. http://www.courrierinternational.com/article/2011/12/15/a-londres-prendre-le-metro-est-devenu-un-luxe
  20. Avec la densité d'occupation actuelle, la grande région montréalaise ne pourra pas absorber l'augmentation de la population prévue d'ici 20 ans. La solution du Plan métropolitain d'aménagement et de développement: la densification urbaine. À terme, les bungalows sont appelés à disparaître au profit des condos, notamment pour faciliter la desserte des transports en commun et protéger les milieux naturels et agricoles. C'est une tendance lourde déjà en très forte progression, soutiennent les experts. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201110/14/01-4457088-sans-densification-point-de-salut.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B25_A-decouvrir_219_article_ECRAN1POS2
  21. Bizarre qu'il n'y a pas de fil avec tout ce qui se passe présentement au Québec! Les infras coûtent 30-40% plus cher, et on se demande pourquoi on n'as pas assez de routes ou bien qu'ils soient en mauvais état! Pour lancer le débat: Mes solutions, coupons le robinet, baissons les taxes et impôts, il y en aura moins à gaspiller transformons le ministère des transports en agence de transport indépendante... le bidding de contrats d'infras doivent être ouverts à nos voisins d'Ontario/New York/Vermont/etc... ça va faire baisser les prix en titi!
  22. http://www.cyberpresse.ca/international/europe/201109/08/01-4432471-ils-ont-dit-non-aux-bouchons.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_montreal_173_accueil_POS4 Publié le 08 septembre 2011 à 05h00 | Mis à jour à 09h16 Ils ont dit non aux bouchons Agnès Gruda La Presse Vous trouvez que, en inversant le sens de quelques rues, le maire Luc Ferrandez a transformé le Plateau-Mont-Royal en enfer sur terre? Pourtant, des villes comme Zurich, Bordeaux, Stockholm ou Copenhague font la vie autrement plus dure aux automobilistes. Surprise: les gens en redemandent. Mais attention. Tout est dans la manière. Depuis une vingtaine d'années, la ville de Zurich a tout fait pour dissuader ses habitants de prendre leur auto pour se rendre au centre-ville. De nouveaux feux de circulation ont poussé le long de voies de moins en moins rapides. Les conducteurs de tramway peuvent les faire virer au vert, ce qui ralentit encore la circulation. La Ville a aussi éliminé les passages piétonniers souterrains, qui laissaient la voie libre aux autos. Elle a fait la guerre aux parkings, transformé des voies rapides en coquettes promenades et imposé une limite de 30 km/h dans les quartiers centraux. L'automobile n'y règne plus en maître sur les cyclistes et les piétons. Dimanche, les Zurichois ont été appelés par référendum à approuver la nouvelle phase de ce virage vert. D'ici à quelques années, la limite de 30 km sera étendue à tout le centre-ville. En une décennie, la place du «char» dans les transports urbains passera de 36 à 26%. Êtes-vous d'accord avec cet objectif? a demandé la Ville à ses habitants. La vaste majorité a répondu oui. Comment a-t-on fait pour faire passer la pilule? Les automobilistes zurichois sont-ils masochistes au point de vouloir souffrir davantage? Pas vraiment. Le secret de Zurich, c'est que les responsables n'ont pas fait que manier le bâton pour chasser les autos. Ils avaient aussi une carotte. Le nouveau réseau de tramways figure «parmi les plus modernes de la planète», selon Walter Hook, de l'Institute for Transports and Development, à New York. Autrement dit, de plus en plus de Zurichois ont laissé leur auto au garage pour prendre le tram. Et ils ont aimé ça. La révolution de Bordeaux C'est aussi un projet de tramway qui a lancé le virage vert amorcé par Bordeaux en l'an 2000. Trois lignes de tramway, totalisant 44 km, convergent aujourd'hui vers le centre-ville. Une trentaine de kilomètres seront ajoutés d'ici à quelques années. Pendant trois ans, le centre-ville de Bordeaux a été transformé en vaste chantier qui a causé bien des grincements de dents. «C'étaient des travaux gigantesques, les gens ont râlé, mais aujourd'hui, si on demandait aux Bordelais de revenir à l'époque d'avant le tramway, il n'y en aurait pas beaucoup pour dire oui», dit Benoît Lasserre, directeur régional du quotidien Sud-Ouest. Il faut dire que, parallèlement au tramway, la ville s'est refait une beauté. Elle a ravalé ses façades noircies et piétonnisé une grande partie de son centre-ville. Les voies rapides le long de la Garonne ont été réaménagées en promenades. La place Pey-Berland, en plein coeur du centre-ville, était autrefois tellement encombrée d'automobiles qu'il était presque impossible de la traverser à pied. Aujourd'hui, elle est le royaume des habitants et des touristes qui viennent admirer sa cathédrale. Seuls les résidants ont encore le droit de rouler au centre de la ville. Tout compte fait, les Bordelais sont contents des résultats. «Avant, Bordeaux était une ville assez désagréable, orientée vers la voiture, avec beaucoup de trafic et de pollution», dit Claude Mandrau, ingénieur à la Communauté urbaine de Bordeaux, qui a suivi le dossier depuis le début. Aujourd'hui, la place de l'auto est tombée de 80 à 65%, et les gens reviennent habiter en ville: les grands boulevards périphériques sont toujours congestionnés. «Parfois, ça prend une heure pour avancer de deux kilomètres», dit Benoît Lasserre. Ce n'est pas le paradis. Mais le centre-ville s'est transformé. Et pour le mieux. Le secret de ce succès? La Ville a écouté les râleurs. Une commission d'indemnisation a dédommagé les commerçants qui ont perdu des revenus à cause des travaux. On a multiplié les assemblées publiques pour expliquer le projet aux habitants. «L'important, c'est d'offrir un projet cohérent et logique», dit Claude Mandrau, qui n'en revient pas de voir à quel point les Bordelais ont sauté... dans le tramway, pour changer leurs habitudes. «Je croyais que ça allait prendre une génération!» Pourtant, quand je lui raconte la minirévolution du Plateau, Claude Mandrau est sceptique: «Mais qu'est-ce qu'il a offert en échange aux automobilistes, votre maire écolo? Imaginez si tous les arrondissements faisaient la même chose que lui... Peut-être même que les émissions de gaz carboniques augmenteraient, à cause des bouchons.» La recette du succès Y a-t-il une recette magique pour diminuer le nombre d'autos sans faire hurler de rage? Oui, dit Florence Junca-Adenot, professeure en études urbaines à l'UQAM. «D'abord, il faut un plan cohérent qui permet de savoir où on va. Puis, il faut agir de concert avec la population. Et il faut faire adhérer les commerçants.» «Il faut un objectif à long terme clair, soutenu par la population», renchérit Jerry Dobrovolny, directeur des transports à la Ville de Vancouver. Dans son plan adopté en 1994, Vancouver a décidé de donner priorité aux piétons et aux cyclistes plutôt qu'aux automobilistes. Elle a accru l'offre de transports publics, transformé les places de stationnement en parkings pour vélos ou en arrêts de bus. La part de l'auto en ville a reculé pour atteindre 60% (elle est de 63,3% à Montréal). Prochaine étape: passer à moins de 50%. Globalement, les Vancouverois sont d'accord. Mais chaque fois qu'une décision donnée touche une rue en particulier, les réactions sont fortes, reconnaît M. Dobrovolny. «Les transports, ça rejoint les valeurs des gens. Dès qu'on y touche, des gens rationnels deviennent tout à fait irrationnels.» Ça ne vous rappelle rien?
  23. LE MINISTRE SAM HAMAD ANNONCE UNE DÉMARCHE CONCERTÉE POUR L'AMÉNAGEMENT DU PARCOURS D'ENTRÉE DE VILLE DE MONTRÉAL Un concours international d'idées en design urbain est lancé MONTRÉAL, le 20 mai 2011 /CNW Telbec/ - Le ministre des Transports, M. Sam Hamad, a annoncé aujourd'hui, dans le cadre du Forum stratégique sur le développement des infrastructures de transport organisé par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, une démarche concertée pour l'aménagement du parcours d'entrée de ville de Montréal. Cela se traduira par la tenue d'un concours international d'idées en design urbain pour le parcours reliant l'Aéroport international Montréal-Trudeau au centre-ville de Montréal dans le corridor de l'autoroute 20. Initiée par le ministère des Transports, cette démarche concertée réunit en une table de travail les représentants des principaux organismes dans ce secteur, soit la Ville de Montréal et ses arrondissements Côte-des-Neiges - Notre-Dame-de-Grâce, Lachine, Sud-Ouest et Ville-Marie, les villes de Dorval, Montréal-Ouest et Westmount, la Communauté métropolitaine de Montréal, la Conférence régionale des élus de Montréal, Parcs Canada, Aéroports de Montréal, l'Agence métropolitaine de transport ainsi que le Canadien National et le Canadien Pacifique. « La présente décennie a vu et verra de nombreux projets se concrétiser dans ce corridor, notamment ceux du ministère des Transports. Il s'agit là d'une occasion unique de coordonner l'aménagement urbain de ce corridor et d'obtenir des propositions à la hauteur de nos aspirations », a déclaré le ministre Hamad. Pourquoi choisir le corridor de l'autoroute 20 ? Principale porte d'entrée internationale du Québec, le corridor de l'autoroute 20, entre l'aéroport et le centre-ville, constitue pour de très nombreux visiteurs le premier contact avec Montréal et le Québec. C'est également le décor quotidien de milliers de Montréalais qui y circulent en voiture, en train ou en autobus. Ce secteur de la ville est en effervescence et de nombreux projets autant publics que privés sont appelés à s'y réaliser au cours des prochaines années. Il s'agit donc d'une occasion unique de créer un véritable parcours d'entrée de ville de calibre international pour la métropole. Un concours international d'idées Le concours international d'idées pour le développement d'une vision stratégique d'aménagement du corridor de l'autoroute 20 s'adresse à tous les professionnels en aménagement, qu'ils soient architectes, designers urbains ou urbanistes. Ces professionnels sont invités à former des équipes multidisciplinaires comptant également des artistes, scénographes et spécialistes en transport. Les différentes idées qui seront proposées permettront de mieux définir les possibilités de développement et de dégager les options qui font consensus pour l'ensemble des intervenants. Plus spécifiquement, ce concours international d'idées cherche à réinventer et à harmoniser les liens des multiples composantes de ce parcours et les milieux de vie adjacents. « La tenue d'un concours international d'idées permettra d'obtenir des propositions de visions macroscopiques d'aménagement qui reflètent l'identité et la maturité de Montréal et qui soutiennent sa vitalité. La tenue du concours permet aussi de souligner le 5e anniversaire de la désignation de Montréal Ville UNESCO de design en soutenant les efforts d'accroissement de la qualité du design des lieux montréalais afin d'en promouvoir la viabilité et l'attractivité», a souligné M. Hamad. Le concours sera officiellement lancé le 9 juin 2011 lors d'un appel de participation qui présentera l'ensemble des modalités et les documents qui guideront l'élaboration des propositions. Les équipes auront jusqu'au 7 octobre pour déposer leurs projets. Le ministère des Transports a confié à la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal (CPEUM) le soin de piloter le concours international d'idées et l'effort de concertation qui en découle. Fondée en 1996, la CPEUM a pour mission le développement de connaissances et de moyens d'intervention dans les domaines du paysage et de l'environnement. La CPEUM mise, pour ce faire, sur des collaborations étroites avec ses principaux partenaires, dont le ministère des Transports, qui participent aux projets de la CPEUM depuis ses débuts. « Plus que jamais, nos emprises autoroutières doivent s'intégrer de façon harmonieuse dans les milieux urbains dans lesquels elles se trouvent. Une intégration concertée et cohérente permettra à ce parcours de devenir une signature urbaine pour notre métropole», a conclu M. Hamad. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Mai2011/20/c6522.html
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