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  1. Ma vision du transport Montréalais : - En blanc, les lignes de tramway. - En gris, les nouvelles routes. - En noir, les voies réservées sur routes existantes. 1- Rouge : Ligne est-ouest, empruntant le tracé Ouest du REM existant, et à l'est, les rails ou les boulevards Henri-Bourassa et Maurice-Duplessis 2- Vert pâle : Tracé REM existant pour la Rive-Sud et l'Ile, bifurque sur la 15 à Du Ruisseau, puis sur la 117 à Laval, puis sur le rail de train de banlieue de Sainte-Thérèse à Saint-Jérôme, avec une branche vers l'aéroport Mirabel (S'il est remis en fonction un jour). 3- Rose : La ligne Deux-Montagnes, ligne indépendante de la ligne Est-Ouest. Vers le centre-ville en passant par Dorval, Lachine, Montréal-Ouest, puis tracé ligne rose déjà proposé. 4- Métro ligne bleu ouest : Carrefour 132/730 via Montréal-Ouest et LaSalle. 5- Métro ligne orange : Branche est prolongée jusqu'à la 15 et le SLR. Branche ouest, déviée vers Du Ruisseau. 6- Métro ligne verte : prolongée vers LaSalle. 7- Tramways, en blanc : à Laval, du REM jusqu'à Pie-IX. Sur la Rive-Sud, du carrefour 132/730 jusqu'à Boucherville, en passant par Taschereau et le Vieux-Longueuil. Tramway sur Pie-IX. Tramway à l'est de Montréal tel que prévu par la CAQ, en passant par Sherbrooke et Langelier. 8- Routes : un pont traversant le fleuve de part et d'autre de l'Ile, pour dévier le traffic de l'Ile. 9- Voies réservées : Sur la plupart du réseau autoroutier. Les voies réservées sont moins chères et selon moi plus efficaces qu'un SLR; on peut avoir un «one seat ride». Par exemple, si je vais de Saint-Jean-sur-Richelieu à Sorel, il pourrait y avoir un bus de Saint-Jean au Dix-30 (comme c'est actuellement prévu avec le REM) et un bus partant en direction de Sorel. -Désolé pour la qualité, j'ai fait ça sur MS Paint :p
  2. https://www.tvanouvelles.ca/2019/01/04/en-route-vers-une-prochaine-station Quelques erreurs dans le texte mais ça résume bien les projets STM en 2019.
  3. Un autre monorail est proposé pour Montréal PHOTO COURTOISIEUne perspective d’artiste du monorail sur la rue Berri, dans le Vieux-Montréal. Ce projet sera présenté ce soir lors d’une audience publique. Le tracé comporte 14 stations. JEAN-LOUIS FORTIN Mercredi, 26 septembre 2018 01:00MISE à JOUR Mercredi, 26 septembre 2018 01:00 Le consortium qui a proposé l’an dernier de construire un monorail à Québec tourne maintenant son attention vers Montréal, où il suggère d’installer un équipement semblable pour relier le Vieux-Montréal et le parc Jean-Drapeau. Le groupe SLC APM, composé entre autres du grand cabinet comptable PwC et de la firme d’ingénierie Arup, croit détenir la solution pour faciliter les déplacements dans ce secteur hautement touristique de la métropole québécoise. Selon nos informations, il présentera ce soir une ligne de monorail de 11,8 kilomètres entre le palais des congrès (au centre-ville) et La Ronde (sur l’île Sainte-Hélène). La présentation de ce projet, nommé « L’Animateur », sera faite dans le cadre d’une séance publique de l’Office de consultation publique de Montréal sur l’avenir du parc Jean-Drapeau. 14 stations Le tracé suggéré comporte 14 stations, a-t-on pu apprendre. Il dessert entre autres le casino et le nouvel hôpital du CHUM, et est relié au métro de Montréal ainsi qu’au futur Réseau express métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Le consortium suggère aussi de construire deux gigantesques « écostationnements » souterrains le long du parcours. Ces stationnements totalisant plus de 8000 places auraient l’avantage de retirer les automobiles du parc Jean-Drapeau et d’éliminer l’asphalte au profit d’une surface végétale. Coût total estimé : 1,1 milliard $. L’infrastructure serait construite en partenariat public-privé. D’après nos informations, le projet a été présenté en mars au directeur général de la Ville de Montréal, Alain Marcoux, peu de temps avant qu’il quitte ses fonctions. Le responsable des grands parcs et des grands projets au comité exécutif, Luc Ferrandez a aussi eu droit à une présentation, en mai, à l’hôtel de ville. C’est loin d’être la première fois qu’un monorail est envisagé au parc Jean-Drapeau. Souvenir de l’Expo 67 En 2010, le conseil d’administration du parc a lui-même présenté un plan de développement qui contenait un monorail. La firme Exp avait ensuite été mandatée, en 2011, pour évaluer la faisabilité d’un tel équipement. Et bien sûr, les moins jeunes se souviendront du Minirail mis en service à l’occasion de l’Expo 67, mais abandonné une dizaine d’années plus tard. Pour voir le jour, un monorail nécessiterait les autorisations de nombreuses entités, dont la Ville, les gouvernements du Québec et du Canada, Six Flags, propriétaire de La Ronde, ainsi que Loto-Québec et la Caisse de dépôt. En juin, notre Bureau d’enquête révélait que SLC APM avait rencontré le responsable des grands projets de la Ville de Québec, Charles Marceau, à l’automne 2017, pour lui soumettre l’idée d’un métro aérien. Le projet aurait coûté 700 M$ de moins que le tramway qui a finalement été retenu par l’administration du maire Régis Labeaume, selon le consortium. https://www.journaldemontreal.com/2018/09/26/un-autre-monorail-est-propose-pour-montreal
  4. Transports Vision 2025 - Rive Sud http://www.vision2025tc.com/
  5. Mobilité durable - Le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal s'allient pour faciliter l'accès au REM et aux espaces verts de l'Ouest-de-l'Île SOURCE Cabinet du ministre des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports MONTRÉAL, le 10 juill. 2018 /CNW Telbec/ - Le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal s'allient pour aménager une voie réservée dans l'emprise de l'autoroute 440 dans l'Ouest-de-l'Île de Montréal. Réservée aux autobus et bordée d'une piste polyvalente, cette voie facilitera l'accès à la future station Kirkland du Réseau express métropolitain (REM). Le projet prévoit également la création d'un lien de transport actif de part et d'autre de l'autoroute 40. Le ministre des Affaires municipales et de l'Occupation du territoire, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de Montréal et député de Nelligan, M. Martin Coiteux, et la mairesse de Montréal, Mme Valérie Plante, ont annoncé aujourd'hui cet important projet qui permettra d'augmenter les espaces verts à Montréal tout en favorisant l'accès au REM sans avoir recours à l'automobile. La Politique de mobilité durable du gouvernement du Québec préconise une approche intégrée des transports qui vise, entre autres, à offrir un éventail de transports afin notamment de faciliter les déplacements entre la maison et l'offre de transport collectif, un concept connu sous le nom de « premier et dernier kilomètre ». Les municipalités et les sociétés de transport sont encouragées à concevoir un aménagement du territoire favorable à la mobilité durable, et le projet dévoilé aujourd'hui répond en tout point à cette approche. Les infrastructures de transport, financées par le ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports, seront réalisées par la Ville de Montréal. L'entente permettra à la Ville d'occuper l'emprise de l'autoroute 440 à des fins de parc pour les 50 prochaines années. Le parc régional sera de compétence d'agglomération. Citations : « Avoir accès au Réseau express métropolitain en autobus, en vélo ou à pied est une des meilleures façons d'optimiser ses déplacements. La création de cette voie réservée et de cette piste polyvalente permettra aux citoyens et citoyennes de rejoindre le REM rapidement, sans ajouter de circulation automobile dans leur quartier; c'est tout à fait conforme à notre Politique de mobilité durable adoptée au printemps. Dès que la Ville de Montréal nous a approchés pour trouver une façon optimale d'utiliser l'emprise de l'autoroute, nous nous sommes entendus sur ce projet. » André Fortin, ministre des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports « Dans la grande région de Montréal, les enjeux liés aux transports sont primordiaux. Au cours des dernières années, le gouvernement du Québec en a fait une priorité. Le projet annoncé aujourd'hui, qui favorisera l'accès à la station Kirkland du REM, constitue un legs durable du gouvernement du Québec à tous les Montréalais. Il témoigne de la volonté partagée du gouvernement et de ses partenaires d'améliorer la qualité de vie des citoyens de l'ouest de Montréal, dont ceux de Nelligan, en facilitant l'accès au transport en commun. » Martin Coiteux, ministre des Affaires municipales et de l'Occupation du territoire, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de Montréal et député de Nelligan « L'entente conclue par la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec quant à l'utilisation de l'emprise de l'autoroute 440 nous permettra d'offrir à la population non seulement un meilleur accès à la future gare du REM à Kirkland, mais également un accès au futur parc régional, qui permettra de mettre en valeur les espaces naturels de l'Ouest-de-l'Île. Cela nous permettra de nous rapprocher de nos objectifs de protection du territoire et de réduction des émissions de gaz à effet de serre. » Valérie Plante, mairesse de Montréal « C'est avec grand plaisir que la Ville de Kirkland accueille l'annonce que l'emplacement de la station du REM sur son territoire sera celui de la rue Jean-Yves. Je tiens à remercier nos partenaires et à souligner leur engagement à favoriser le transport en commun et le transport actif sur notre territoire. Cela permet également d'ouvrir l'accès aux grands parcs régionaux de l'Ouest-de-l'Île. » Michel Gibson, maire de Kirkland Faits saillants : La construction de la voie réservée et de la piste polyvalente dans l'emprise non construite de l'autoroute 440, entre la rue Antoine-Faucon et le chemin Sainte-Marie, est un projet de la Ville de Montréal. Le ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports, qui a acquis l'emprise à la fin des années 1970, demeure propriétaire du corridor. La voie réservée exclusivement aux autobus sera d'une longueur d'environ 1,2 km et facilitera l'accès à la station Kirkland du REM, qui sera construite à proximité de la rue Jean-Yves. Cette station, située sur l'antenne Sainte-Anne-de-Bellevue du REM, comprend notamment un terminus d'autobus, une aire de dépose minute, une aire pour les taxis et des supports à vélo. La passerelle au-dessus de l'autoroute 40 sera accessible aux vélos et aux piétons. SOURCE Cabinet du ministre des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports
  6. REM de l'est Je propose de créer un nouveau fil pour ce projet sorti de nulle part cet après-midi. http://journalmetro.com/actualites/montreal/1655839/quebec-allonge-15m-pour-etudier-de-grands-projets-de-transport-collectif/ "de même que l’extension du Réseau express métropolitain (REM) dans l’emprise du train de l’Est."
  7. J’aimerais vous partager cette vision d’un transport en commun lourd dans les Quartiers industriels de Montréal. Saint-Laurent est le deuxième plus important employeur du grand Montréal avec plus de 200 000 emplois pourtant contrairement au centre-ville qui est desservi par 3 lignes de métro, 6 lignes de train de banlieue et bientôt le REM, Saint-Laurent n’a aucun projet de transport lourd. Devant cette situation il est normal que le transport en commun ne soit pas une option populaire pour se rendre dans ce secteur. Pourtant, s’il y a un seul secteur dans le grand Montréal qui est le plus successible de produire un important transport modal c’est bien ce quartier industriel! En effet, le secteur est lourdement congestionner, car la majorité des gens si rendre en auto solo. Donc un système de transport plus rapide deviendrait très intéressant pour les travailleurs. Pour être une réussite, le transport en commun doit être rapide, fréquent et flexible en raison des horaires atypiques en usine. C’est pourquoi je propose ici l’idée d’une ligne de rem logeant l’autoroute 13 de la 640 jusqu’à Lachine. La position de la plupart des stations est assez approximative, car je ne veux pas que l’on se penche là-dessus c’est plus pour suscité la discussion. L’idée est d’offrir une alternative crédible à l’auto solo pour les travailleurs de la rive nord, de Laval et de l’ouest de l’île (grâce à une correspondance avec le REM 1 et la ligne de train Vaudreuil). La ligne pourrait aussi être avantageuse pour les résidents de Lachine et du centre de Montréal qui voudraient se rendre dans ce coin. Je suis au courant que les distances de marche sont importantes et c’est pourquoi les usines pourraient offrir un service de navette vers la gare la plus proche à la fin des quarts de travail. J’ai inclus le classique prolongement de la ligne orange jusqu’à Bois-Franc (pour faciliter les correspondances) et une version allonger de la ligne bleue qui inclurait une station supplémentaire dans les quartiers résidentiels d’Anjou et une autre dans le quartier industriel (pour les mêmes raisons que ma ligne rouge de REM) J’aimerais vous entendre là-dessus, devrait-on desservir les quartiers industriels? Sinon pourquoi? Et si vous n’aimez pas mon idée que proposeriez-vous à la place? (en restant dans le thème de la desserte des quartiers industriels)
  8. Laval voudrait au moins 5 stations de metro avant de fermer la boucle de la ligne orange vers Montreal. Quelle serait vos suggestions pour l'emplacement de ces stations. D'après moi, il faudrait seulement 4 stations. Voici mes idées. Dite moi ce que vous en pensez et vos suggestions ou modifications: 1) A partir de Montmorency, la prochaine station serait au terminus du carrefour. De la, les gens pourraient facilement se rendre au carrefour ou au Centropolis. 2) Le coin St-Martin et Curé-Labelle 3) Coin Notre-Dame et Cure-Labelle 4) Coin Cartier et Chomedey. Et de la, ca irai rejoindre une station quelconque a Montreal (probablement au coin de Gouin et Grenet) merci
  9. mtlurb

    Le Grand Déblocage

    https://pq.org/deblocage/ EXCLUSIF Publié le 20 mars 2018 à 05h00 | Mis à jour à 06h08 Un gouvernement péquiste enverrait le REM sur une voie de garage Le Réseau express métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt et placement du Québec devrait coûter près de 6 milliards $. PHOTO FOURNIE PAR LA CDPQ DENIS LESSARD La Presse (Québec) Porté au pouvoir, un gouvernement du Parti québécois (PQ) mettrait pour l'essentiel au rancart le projet de Réseau express métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt et placement du Québec. En lieu et place, le gouvernement Lisée proposerait un réseau de tramways, plus modeste et moins coûteux, et s'appuierait davantage sur les trains de banlieue et le métro. Le chef du PQ, Jean-François Lisée, doit, ce matin, annoncer la stratégie de son parti en matière de «mobilité pour Montréal», dans une conférence de presse depuis son bureau de chef de l'opposition à la Place Ville Marie. À l'interne, des élus péquistes sont surpris de la rapidité de cette annonce. Mercredi dernier, les députés avaient eu une première présentation au caucus hebdomadaire. La réunion s'était prolongée pour les élus de Montréal et du 450. À la différence du REM, le projet mis de l'avant par le PQ déborde largement l'île de Montréal pour rejoindre davantage les électeurs du 450, essentiels pour les prochaines élections générales. Depuis des mois, les interventions du PQ à l'Assemblée nationale sont invariablement opposées au projet de la Caisse de dépôt. Mais les stratèges de Jean-François Lisée en conserveraient un élément, indiquaient des sources péquistes hier. Le changement de cap sera l'occasion d'imposer une balise qui fait cruellement défaut au projet actuel : le matériel roulant devrait comporter au moins 25% de contenu provenant du pays. Le REM ne prévoit aucune règle quant au contenu canadien ou québécois. Une décision prise pour avoir accès aux appels d'offres internationaux, avait soutenu la Caisse. Annoncé vendredi, le projet de tramway de l'administration Labeaume, à Québec, promet déjà 25% de contenu canadien, et le PQ avait publiquement dit que cela était plein de bon sens, confie-t-on. Une position qui fait jaser Dans le milieu des affaires de Montréal, en coulisses, la position du PQ faisait déjà jaser hier. Il faut s'attendre à ce que les groupes patronaux, unanimement favorables au REM, montent vite au créneau pour défendre le projet de la Caisse. Aussi, a relevé un des intervenants du patronat, les contrats sont déjà alloués, et les expropriations ont débuté. L'abandon du projet, ne serait-ce qu'en partie, suppose de très lourdes pénalités. On ne s'attend pas à un tracé précis ce matin, mais on devrait avancer un coût, qui devrait être en deçà de la barre des 6 milliards de dollars du REM actuel. Du côté des trains de banlieue surtout, on s'appuie sur un réseau existant. Avec son projet étonnant, le PQ veut, à l'évidence, se démarquer des autres partis, adopter une position qui le distinguera clairement dans l'esprit des électeurs. La position du PQ n'est qu'un pas de plus vers l'opposition systématique du parti envers le projet de la Caisse de dépôt. Il y a un an, le parti avait tenté, en vain, de convaincre le gouvernement d'accepter la tenue d'une commission parlementaire sur le projet. Pour le PQ, les frais de fonctionnement du REM et l'obligation de rendement de la Caisse de dépôt rendent inaccessible la rentabilité, à moins de lourdes subventions gouvernementales. Pour Jean-François Lisée, le manque de transparence du gouvernement devrait faire craindre le pire aux contribuables. D'ailleurs, l'opposition péquiste avait fait valoir que le REM rendrait nécessaire une hausse de taxe foncière dans plusieurs villes de la couronne. Pour élaborer sa position, le PQ a aussi échangé avec les dirigeants de Trainsparence, une organisation opposée au REM et vouée au développement durable en transports collectifs. L'un d'eux, Jean-François Lefebvre, a repoussé jusqu'à cet après-midi ses commentaires. «Je ne peux rien commenter pour l'instant. Il y a des propositions qu'on fait depuis des mois, qui circulent», se contente de dire le chargé de cours en études urbaines de l'UQAM.
  10. Le défi de la construction d’ascenseurs dans les stations de métro Journal Métro Mathias Marchal Mettre des ascenseurs dans les 56 stations de métro restantes, d’ici 2038, pourrait coûter plus de 800M$, a évalué la Société de transport de Montréal (STM) La STM a provisionné 213M$ pour rendre accessible jusqu’à 14 stations d’ici 2022, a expliqué mercredi sa directrice de projets, Geneviève Foucaud, en marge d’une visite de chantier d’installation d’ascenseurs à la station du Collège. Même si la STM n’a pas étudié les coûts pour toutes les autres stations restantes, elle prévoit néanmoins un coût moyen de 10M$ à 15M$ par projet d’accessibilité universelle. Sachant qu’elle a déjà équipé les stations où les travaux étaient les moins onéreux, la facture totale pourrait aisément atteindre les 800M$ en 2038. Certains usagers pensent qu’il suffit de creuser pour installer l’ascenseur, mais c’est souvent plus compliqué. Même le chantier de la station du Collège (8M$), qui est pourtant considéré comme étant facile à réaliser, se sera échelonné sur 16 mois quand il sera terminé, cet été. «Il a fallu agrandir l’édicule nord, créer une nouvelle ligne de perception, démolir un escalier de béton déjà en place pour laisser passer l’un des deux ascenseurs et protéger les œuvres d’art», a mentionné le surintendant au Bureau de projet des équipements fixes de la STM, Sylvain Bonnier. «Il a aussi fallu concevoir un coffrage pour isoler le chantier du reste du quai et éviter la poussière lors des passages de train afin de pouvoir travailler en journée pour accélérer le chantier», a ajouté M. Bonnier. Faire entrer deux pelles mécaniques de démolition au sous-sol par les futurs conduits d’ascenseurs se sera aussi avéré périlleux. Actuellement, des travaux similaires ont lieu à la station Honoré-Beaugrand au coût de 19,3M$, de même qu’à la station Vendôme, où un deuxième édicule accessible est actuellement en construction. Les stations qui suivront sont Jean-Drapeau (2019), Jean-Talon (ligne bleue- 2019), Berri-UQAM (ligne verte – 2020), Viau (2020) et Mont-Royal (2021).
  11. rtm.quebec Rôle Le Réseau de transport métropolitain (RTM) est responsable d’exploiter, sur l’ensemble de son territoire, les services de transport collectif réguliers par autobus et trains de banlieue, incluant le transport adapté pour les personnes handicapées et à mobilité réduite. Principaux mandats Exploiter le réseau de trains de banlieue Exploiter le réseau de transport métropolitain par autobus (couronnes nord et sud) Exploiter les services de transport adapté Établir un plan de desserte des services de transport collectifs pour l’ensemble de son territoire Construire et entretenir les infrastructures et les équipements sous sa responsabilité Conseiller l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) pour l’édiction de normes de comportement des personnes dans les véhicules et les gares ainsi que sur les quais et les stationnements qu’il exploite Collaborer, sur demande de l’ARTM, à la planification, au développement, au soutien et à la promotion du transport collectif Territoire Le territoire du RTM est constitué de ceux de la Communauté métropolitaine de Montréal (82 municipalités), de la réserve indienne de Kahnawake et de la Ville de Saint-Jérôme. Ce territoire est partagé avec l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM).
  12. Des transports collectifs en mouvement… La grande réforme dans l’organisation des transports collectifs de la région métropolitaine de Montréal s’est concrétisée le 1er juin 2017, alors que deux nouvelles entités ont pris la relève de l’Agence métropolitaine de transport (AMT) et des autorités organisatrices de transport (AOT) des couronnes nord et sud : L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) est responsable de la planification, de l’organisation et du financement des services de transports collectifs pour la grande région métropolitaine de Montréal. Elle favorise l’intégration des services entre les différents modes de transport. Le Réseau de transport métropolitain (connu sous exo) est responsable sous mandat de l’ARTM, d’exploiter sur son territoire les services de transport collectif réguliers par autobus (couronnes nord et sud) et par trains de banlieue, incluant le transport adapté pour les personnes handicapées). Le Réseau de transport de Longueuil (RTL), la Société de transport de Laval (STL) et la Société de transport de Montréal (STM), continuent de fournir leurs services respectifs, sous le mandat de l’ARTM.
  13. J'ai trouvé le le sommaire de l'étude qui a recommandé en 2016 de ne pas aller de l'avant: https://www.scribd.com/document/351572264/Etude-Faisabilite
  14. mtlurb

    REM: Expansion future

    Á prendre avec un grain de sel, vu d'où ça vient, mais Couillard rêverait d'une future phase en territoire lavallois pour dans une dizaine d'années http://www.thesuburban.com/news/laval_news/laval-mass-transit-at-least-a-decade-away/article_09d2a905-2805-5e2c-b12c-be1d9027eb53.html
  15. Discussion sur la Ligne Rose, proposée par Projet Montréal Discussion sur la proposition de Projet Montréal en terme d'expansion du transport en commun à Montréal. Entente de principe datant du 2019-06-26 pour le financement de la section ouest de la Ligne Rose, de Lachine vers le centre-ville. Les détails de cette extension ne sont pas connus.
  16. http://plus.lapresse.ca/screens/de710767-b7a8-47f7-82c6-c3626525bd30%7C_0.html sent via Tapatalk
  17. Possible que Mirabel ai une nouvelle gare. On doit en faire l'annonce supposément a la fin de l'été. Selon un article du Journal de Montréal. Aussi un agriculteur de Mirabel dit qu'on va exproprier son terrain a l'ouest de la 15 pour implanter la gare. Ca ne fait pas de sens la track est plus a l'est de la 15 . http://www.journaldemontreal.com/2015/06/16/un-agriculteur-exproprie-pour-une-gare-de-train
  18. le lundi 17 décembre 2007 Les utilisateurs du transport en commun de la Rive-Sud vont subir une hausse des tarifs en 2008. Dès le 1er janvier prochain, le Réseau de transport de Longueuil va hausser ses prix de 3,5 %. La carte mensuelle coûtera 76 $ au lieu de 73 $. La lisière de six billets va passer de 15 $ à 15, 50 $. Toutefois, le prix du passage payé comptant ne changera pas. Outre l'augmentation des tarifs de transport, la société de transport prévoit accroître le nombre de ses autobus au cours de l'année prochaine. Le budget 2008 du Réseau de transport de Longueuil s'élève à plus de 124 millions de dollars, une hausse de 6 % par rapport à cette année. SOURCE http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2007/12/17/006-longueuil-carte_n.shtml
  19. Des autobus privés sur Pie-IX Le boulevard Pie-IX, dans l’est de Montréal, est l’un des corridors de transport collectif les plus achalandés de la métropole. Photo Alain Roberge, La Presse Bruno Bisson La Presse L’Agence métropolitaine de transport (AMT) veut confier à un partenaire privé la réalisation et l’exploitation d’une voie réservée aux autobus sur le boulevard Pie-IX, dans l’est de Montréal, l’un des corridors de transport collectif les plus achalandés de la métropole. Ce projet, encore à l’étape préliminaire, est au cœur d’une nouvelle guerre de tranchées entre l’agence gouvernementale et la Société de transport de Montréal (STM) qui exploite les réseaux d’autobus et du métro de Montréal, et qui ne veut rien entendre du projet de l’AMT. Dans une entrevue à La Presse, hier, le directeur général de la Société de transport de Montréal, Yves Devin, a révélé qu’après « des débats épiques » avec l’AMT, qui relève du ministère des Transports, la STM a décidé de faire cavalier seul, s’il le faut, et de réaliser son propre concept d’autobus express, qui pourrait être mis en service dès 2010. Le projet de l’AMT, signale M. Devin, ne pourrait voir le jour que deux ans plus tard, en 2012. Le projet privilégié par l’AMT prolongerait la voie réservée du boulevard Pie-IX au nord de la rivière des Prairies jusqu’à l’autoroute 440, à Laval. Il inclurait la construction de grands stationnements incitatifs. Les autobus circuleraient sur des voies réservées permanentes situées en bordure du boulevard. Les passagers y monteraient donc à partir de quais aménagés sur les trottoirs. Pour la STM, a affirmé hier M. Devin, la circulation des autobus « en rive », en bordure du boulevard, ne fonctionnera pas, et limitera les performances de ce service qui serait beaucoup trop lent. C’est pourquoi le projet de la STM rendu public, dans ses grandes lignes, la semaine dernière, prévoit l’implantation des voies réservées aux autobus en plein centre du boulevard Pie-IX. Ce boulevard est une des plus importantes artères de circulation nord-sud à Montréal et est utilisé chaque jour par des dizaines de milliers d’automobilistes. Le projet des voies réservées aurait pour effet de retrancher complètement deux voies de circulation – une par direction – sur ce boulevard de six voies de largeur. Des voies surélevées Les voies de circulation destinées exclusivement aux transports en commun seraient surélevées, par rapport aux chaussées des automobilistes, et le bitume serait peint d’une couleur contrastante avec l’asphalte noir conventionnel afin de bien différencier les voies réservées aux autobus des autres voies de circulation. Dans une étude préliminaire, le coût de réalisation de ce projet a été très sommairement estimé «entre 45 et 90 millions de dollars». Selon M. Devin, la STM a reçu du comité exécutif de la Ville de Montréal le mandat prioritaire d’implanter ce projet dans les plus brefs délais possible. Or, lors d’une rencontre de travail récente, affirme-t-il, l’AMT « a décidé de faire ce qu’on fait généralement quand on ne veut pas prendre de décision. Elle a commandé une étude ». Le feu aux poudres Après cinq ans d’études, de discussions, d’enquêtes et de mésentente, ce nouveau mandat d’étude, confié aux firmes d’ingénieurs Cima et Genivar, semble avoir mis le feu aux poudres entre les deux organismes publics qui se livrent une guerre sans partage, depuis des années, pour le contrôle du développement des transports en commun dans la métropole. Jointe hier pour commenter les affirmations de M. Devin, la vice-présidente aux communications de l’AMT, Marie Gendron, a semblé décontenancée par la virulence de cette sortie, et a affirmé que l’agence gouvernementale, qui relève du ministère des Transports du Québec, s’estime toujours partenaire de ce projet d’autobus express dans l’axe du boulevard Pie-IX. Mme Gendron a dit tout ignorer quant à la possibilité que ce projet de voie réservée fasse l’objet d’un partenariat public-privé, et a assuré que l’AMT n’a pas commandé d’étude en ce sens. Selon elle, la nouvelle étude commandée « vise à vérifier les conditions d’exploitation d’une voie réservée permanente aux autobus au centre du boulevard Pie-IX, et à valider le scénario élaboré par un consultant, en collaboration avec la STM ». Jusqu’en juin 2002, l’AMT exploitait une voie réservée aux autobus sur le boulevard Pie-IX, qui fonctionnait à contresens du trafic automobile, pendant les heures de pointe seulement. La STM était responsable du fonctionnement de la voie réservée. Ce sont ses autobus, conduits par ses chauffeurs, qui assuraient cette desserte express très populaire, entre le nord-est de la ville et la station de métro Pie-IX. Ce circuit d’autobus, le R-505, était, à l’époque, l’un des plus utilisés de la métropole avec une fréquentation pouvant aller jusqu’à 8000 passagers par jour, soit l’équivalent de plusieurs trains de banlieue. Le service d’autobus a toutefois été interrompu net après la mort tragique d’une jeune femme, happée de plein fouet par un autobus alors qu’elle traversait le boulevard Pie-IX. Malgré les conclusions d’une enquête du coroner, concluant que le principe de la circulation à contresens des autobus pouvait être maintenu, moyennant certains aménagements de la voie publique, l’AMT, la STM et la Ville de Montréal n’ont jamais eu l’intention de rétablir ce service. À l’AMT, hier, Mme Gendron a assuré que malgré les désaccords entre les parties sur la meilleure manière de rétablir une voie réservée aux autobus, « nous nous entendons toujours sur la nécessité d’implanter un service d’autobus rapide dans cet axe de circulation ».
  20. Remplacement des voitures du métro Discussion sur le remplacement des voitures de métro.
  21. Discussion sur la Société des transports de Montréal Actualités, informations générales, discussion générale
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