Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'tours'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Développement d’un projet immobilier d’envergure sur l’Île Charron (2008) Investissement Luc Poirier développe actuellement un projet immobilier de grande envergure (environ 1 milliard de dollars), qui sera situé sur l’Île Charron à Longueuil. Ce projet immobilier sur les rives du St-Laurent comprendra plusieurs tours de condominiums, de nombreuses maisons, un complexe de condo-hôtel, un spa, un parc national, un golf et une marina. 1 image Pas mauvais! Vous pouvez checker son site ici http://www.investissementlucpoirier.com/projets.html
  2. J'ai failli tomber de ma chaise...venant du Globe I’m in love. Montreal has always reminded me of an unapproachable crush – it’s arty and sophisticated, and, to me, seems to possess an impenetrable coolness. In recent years, the rise of its indie music scene, trendsetting street fashion and unapologetically rustic comfort cuisine has only added to its mystique. On previous visits, I had felt every bit the awkward outsider. I’d wander the streets of Old Montreal or take in the view from atop Mount Royal, keenly aware that those who lived here were going to the better bars, eating fabulous food and participating in all sorts of amazing activities that I couldn’t even begin to imagine. This time, I wanted to crack that barrier. So I joined a tour. Guided tours are typically the antithesis of cool. But Shea Mayer’s Fitz & Follwell Co. is a different kind of tour company. As the Montreal resident explains, his cycling tours aren’t just meant to take visitors to the most popular tourist attractions. Rather, they’re based on his idea of a perfect day in the city. “That’s how I designed the routes: What’s my favourite bagel place? Where do I think the best coffee is? What do I do when I go down to the market?” he says. His Bike & Yoga tour, for example, takes visitors through the bohemian neighbourhood of Le Plateau, with a break along the way for smoothies at his favourite juice bar and stops for yoga sessions in three of the area’s tranquil parks. His all-day Mountainside to Riverbank package offers a more challenging ride for seasoned cyclists up to the top of Mount Royal, then down along the St. Lawrence River to Saint-Helen’s and Notre Dame Islands. I chose to tag along on his ’Hoods and Hidden Gems tour, lured by the promise I would be immersed “in the local hangouts of the city’s hippest habitants.” Upon my arrival at his Mount-Royal West Avenue shop, Mr. Mayer sets me up with a sleek black city cruiser, which he has christened “Jeanne,” after the pioneering Montreal nurse Jeanne Mance. (All of the bikes at his shop are similarly named after the city’s historic figures, like “Molson” after the beer tycoon, and “Lili” after the legendary burlesque dancer Lili St Cyr.) Montreal is renowned for being a bike-friendly city, with designated cycling lanes throughout the side streets and thoroughfares. It’s also the launching pad for the now-famous Bixi, a bike-sharing system that allows users to rent a vehicle from one of the many stations scattered around town and deposit it at another station when they’re finished riding. The system has proved so popular that cities around the world, from Toronto to Melbourne, have adopted it. But because Bixi bikes are meant for only short commutes, they’re not ideal for longer, leisurely trips. My Jeanne offers a smoother ride. Mr. Mayer leads our small group through the tony francophone enclave of Outremont and Le Plateau. Along our route, he stops to point out quirky details, not always found in guide books, such as where larpers (live action role players) gather to enact their fantastical battles or where resident bohemians hold their “tam tams,” or drum sessions. We stop to pick up freshly baked bagels at the Montreal institution St. Viateur Bagel, and tote them across the street to Mr. Mayer’s neighbourhood hangout, Café Olympico, where he orders us the café’s specialty espresso coffees. La suite ici: http://www.theglobeandmail.com/life/travel/destinations/travel-canada/how-i-fell-in-love-with-montreal/article2192143/
  3. Ça fait 1 an que je garde le secret sur ce projet, et aujourd'hui, j'ai eu la permission de vous en faire part! C'est Booboohome qui m'avait envoyer ce projet, dessiné par nul autre que Michelange Panzini. Il s'agirait d'un «terrain a été acheté par un investisseur de la Georgie» (pour citer le message). Je crois que c'est des bureaux, mais Booboohome pourrait peut-être clarifier mes informations... --------------------------------------- Je compte 32 étages pour chaques tours. Si c'est des bureaux, et en comparant avec la CCE, on peut facilement prédire un bon 150 mètres à la plus haute tour! (en comptant son ornement)
  4. En passant à coté des tours Angrignon, j'ai remarqué une grande affiche annonçant la construction imminante de la phase 3. Information confirmée par le site internet du projet où on voit un rendu de la phase 3 qui semble avoir 12 étages. http://www.toursangrignon.ca/
  5. http://www.lesalto.ca/index.html un complexe de deux tours comptant 12 et 14 étages qui sera construit à Saint-Léonard, dès l'automne, au coin des rues Du Mans et Antonio-Dagenais.
  6. Un investissement de 120 M $ L'UdeS projette de construire deux tours à Longueuil Claude Plante La Tribune Sherbrooke L'Université de Sherbrooke construira tout près de la station de métro de Longueuil un complexe universitaire qui commandera l'investissement de 120 millions $ en deux phases. Le projet comporte l'érection de deux tours, l'une de 17 étages et l'autre de 12 étages, ce qui représente quelque 45 000 m2 de plancher. Ce premier complexe universitaire sur la Rive-Sud permettra à l'Université d'y loger son Campus de Longueuil dès 2008 pour répondre aux besoins croissants de la population longueuilloise et montérégienne, indique un communiqué. La première phase, de l'ordre de 75 millions, comprend la tour universitaire de 17 étages et un atrium qui seront ouverts en 2008, a-t-on indiqué en conférence de presse à Longueuil lundi avant-midi. La seconde phase, de l'ordre de 45 millions, consiste en une tour de 12 étages dont la construction pourrait débuter d'ici cinq ans en fonction du développement des activités du Campus de Longueuil, a indiqué le recteur de l'Université de Sherbrooke, Bruno-Marie Béchard. Active en Montérégie depuis plus de quatre décennies, l'Université de Sherbrooke a fondé son Campus de Longueuil en 1989. Il compte aujourd'hui quelque 10 000 personnes en lien avec les neuf facultés de l'Université, aux niveaux du baccalauréat, de la maîtrise comme du doctorat. Le Campus de Longueuil offre plus de 90 programmes, majoritairement en formation continue pour les professionnels en exercice, en plus de loger des activités de recherche, notamment en collaboration avec l'Hôpital Charles LeMoyne, affilié à l'Université de Sherbrooke, et plusieurs organismes et entreprises de la Montérégie.
  7. Le Vistal Architectes: ? Fin de la construction:2008 Utilisation: Résidentielle Emplacement: île-des-Soeurs, Montréal ? mètres - 25 étages Descriptions: - Certifié LEED - Première phase d'un complexe de deux tours
  8. Dans La Presse de ce matin, il y a deux articles sur le Quartier Angrignon, on y mentionne ce projet ainsi que d'autres plus denses et hauts. Je n'ai pas trouvé les articles en ligne, mais le plan de zonage de tout ce secteur a été changé pour développer selon les principes du TOD. On aura le droit dans le secteur à des tours de 6, 12, et 16 étages. On y parle de 7 projets en préparation ou potentiels: - un développement de 1000 unités en préparation sur le terrain de l'usine Domfer. - Un potentiel de 1000 unités face aux Tours Angrignon à développer. - Un projet de 300 unités dans 3 tours de 12 étages par Constructions G. Melatti (voisin des Tours Angrignon) - La Tour Angrignon phase 3, en construction, 12 étages - Un potentiel de développement sur le terrain du Carrefour Angrignon, si le propriétaire le souhaite. - Un projet non nommé à l'étude de 300 unités, voisin du Bois-des-Caryers. - Finalement ce projet-ci, Bois-des-Caryers, 600 unités au total. Bref, on dirait qu'il va avoir, malgré tout, un peu de densité dans le coin! Pour le quartier comme tel, on prévoit de la mise en valeur des espaces verts, de nouveaux arbres, du nouveau mobilier urbain, des corridors pour le transport collectif et un nouveau lien vert entre le métro Angrignon et le train de banlieue Lasalle.
  9. I contributed this so I reserve the right to delete it. Signed, MTLskyline
  10. I contributed this so I reserve the right to delete it. Signed, MTLskyline
  11. Les phases 3 devraient etre plusieurs tours de 20+ etages.
  12. il y a eu plusieurs thead sur les habitations jeanne-mance, qui sont destine un jour je pense a faire l'objet d'un developement controverse, parce que personne a l'air d'etre d'accord sur la maniere de proceder pour raviver le quartier et permettre de nouveaux developement sur ces terrains a la localisation si critique, tout en menageant les occupants existants des hlm. alors, voici a ce sujet, mes deux cennes: sans avoir d'idee sur l'allure ou l'arrangement particulier qu'auraient les nouveaux developement sur les lots vacants du quartier latin autour de l'universite du quebec a montreal, ainsi que les lots presentements occupes par les habitations jeanne-mances, voici comment j'organiserais l'espace de facon generale: dans le but de favoriser le maintien d'un certain niveau de mixite sociale dans le secteur, les terrains sur lesquelles se trouvent presentement la coop des habitations jeanne-mance auraient a maintenir un certain pourcentage de logement sociaux dans des tours residentielles locatives. en augmentant la densite en remplacant les petits immeubles par des tours, la quantite actuelle de loyers modiques pourrait etre maintenue tout en offrants des logements un peu plus dispendieux a travers les memes immeubles. des residences etudiants pour l'uqam et le cegep du vieux montreal pourraient aussi y etre amenage. ces lots sont identifies en jaune sur mon plan. ensuite, les rues de bullion et hotel de ville seraient raccordees a leur troncon nord, aidant a desenclaver le secteur et peut-etre apporter des clients supplementaires aux commerces existants via de la circulation de transit. de plus, les extentions permettraient de fluidifier la circulation accrue par la densification du quartier, et en moindre partie a y ajouter quelques espaces de stationnement. l'espace au centre de ce quadrilatere serait occupe par le parc ainsi que le jardin communautaire existants, qui verraient leur superficie quelque peu augmentee , mais surtout leur acces au residents du quartiers grandement ameliore. le parc est actuellement amenage de facon telle qu'il est difficile de cerner ses limites de celles des cooperatives d'habitation, ce qui decourage sa frequentation par des gens qui ne demeurent pas necessairement dans les hlm. et s'il le faut, le parc pourrait meme s'etendre sur le lot juste au sud de maisonneuve, ou prendre de l'espace a l'est et a l'ouest de hotel-de-ville ou de bullion. c'est le terrain que j'ai marque en vert, sur l'image. le reste des lots du quartier, que j'ai identifie en bleu, ne seraient pas tenus d'accueuillir un quelconque pourcentage en logement sociaux, et seraient donc a plus forte raison des tours a condominium. encore une fois, une augmentation de la densite serait a encourager, et les etages inferieur seraient de preference occupes par des commerces. aussi, tel que suggere il y a un certain temps par un usage d'un autre forum, une partie du terrain de l'edicule de la station saint-laurent pourrait etre reservee a l'accueuil de commerces ambulants, comme ceux que l'on retrouve a la station mont-royal entre autre, en particulier un genre de "farmer's market" ou les residents pourraient se procurer des fruits et legumes frais 24h par jour. [edit: un "plan B" a mon plan serait de repartir a travers le secteur les terrains "jaunes", pour favoriser encore plus la mixite. ainsi, certains lots marque en jaune pourraient en fait etre des tours a condo "bleues" et quelques un des terrains "bleus" au sud de ste-catherine pourraient accueillir du logement social pour relocalise les residents actuels des hlm.] je pense que, peu importe que vous soyez pour ou contre les logements sociaux au centre-ville, on doit reconnaitre que l'etat actuel des choses est au mieux une utilisation sub optimale des lieux, et que la finalisation du quartier des spectacles apportera sans aucun doute des pressions de redevelopement au secteur. personnellement, si on peut conserver les residents actuels et en ajouter [des mieux nantis], tout le monde sera gagnant. et avec tout ces nouveau residents dans le quartier, le troncon de ste-catherine et de st-laurent qui paraissent si morts pour l'instant se verraient sans aucun doute revitalise, de facon toute naturelle. ------------------------------------- disclaimer: excusez la lecture de mes mots, j'ai plusieurs langues secondes.
  13. Danielle Bonneau La Presse Adieu mer d'asphalte et immenses terrains sous-utilisés le long du boulevard Newman, à proximité du Carrefour Angrignon et de la station de métro du même nom. L'arrondissement de LaSalle a récemment changé son règlement de zonage pour donner naissance au Quartier Angrignon et permettre la construction d'immeubles résidentiels de six, douze et même seize étages selon les endroits. Tout un changement pour cette ancienne municipalité réputée pour ses plex! Le but visé: se servir du pouvoir d'attraction de la station de métro Angrignon pour donner un nouveau souffle au secteur environnant selon les principes du TOD (Transit Oriented Development ou développement axé sur le transport en commun). Environ 3000 nouveaux logements de diverses typologies pourraient ainsi s'ajouter au cours des prochaines années dans le nouveau quartier. «En ceinturant le boulevard Newman d'édifices de haute densité, nous pourrons rentabiliser les infrastructures existantes, obtenir de nouveaux revenus et conserver un compte de taxe intéressant pour les LaSallois, indique la mairesse, Manon Barbe, responsable du transport au sein du comité exécutif de la Ville de Montréal. Cela nous permettra d'offrir un nouveau type d'habitation qui n'existait pas à LaSalle, à l'exception de résidences pour personnes retraitées.»» Les premières tours Les Tours Angrignon, du Réseau Sélection, situées à côté de la station de métro Angrignon, ont été les premiers édifices en hauteur de l'arrondissement. Les deux premières tours, inaugurés en 2004 et 2005, comptent chacun 16 étages. Le troisième immeuble locatif, en construction, aura 12 étages. S'inscrivant dans la vision de l'arrondissement, cette phase III est le premier projet à se concrétiser dans le Quartier Angrignon. «Nous avons voulu construire des tours en hauteur pour que notre clientèle, formée de retraités actifs, profite de la très belle vue sur les environs, explique Réal Bouclin, président du Réseau Sélection. Ce site est intéressant pour l'ensemble des services offerts à proximité, que ce soit le Carrefour Angrignon, les commerces le long du boulevard Newman, le parc Angrignon et la station de métro. Celle-ci est très pratique pour ceux qui viennent visiter leurs proches.» D'autres projets sont à l'étape de la conception. Les Constructions G. Melatti, entreprise familiale très active à LaSalle depuis plus de 40 ans, veut réaliser un complexe haut de gamme d'environ 300 unités, répartis dans trois immeubles de 12 étages. Ceux-ci devraient être construits à l'intersection des boulevards Newman et des Trinitaires, à côté des Tours Angrignon. «LaSalle est en transition, indique avec satisfaction Gino Melatti Junior. Il faut construire en hauteur, dans certains secteurs, pour être compétitif avec les autres arrondissements.» En 2008, selon les données de la Société d'hypothèques et de logement (SCHL), il n'y a eu que 50 mises en chantiers résidentielles à LaSalle, comparativement à 105 à Lachine, 139 à Verdun et 355 dans le Sud-Ouest, note Gilles Dubien, directeur général de la Chambre de commerce et d'industrie du Sud-Ouest de Montréal, active dans les quatre secteurs. Absence de terrains «Il n'y a plus de terrains à développer, renchérit l'architecte Michel Langlois, un des directeurs du conseil d'administration de la chambre. Il faut s'inspirer de ce qui se fait à New York, Boston et Vancouver, et densifier comme on ne l'a jamais fait. Les jeunes, d'ailleurs, sont prêts à habiter dans des complexes d'habitation en hauteur, souvent très attrayants, quand ils sont à proximité d'une station de métro.» Un projet d'environ 300 unités, qui serait construit à l'intersection du boulevard Newman et de la rue Léger est à l'étude. Un autre promoteur est par ailleurs intéressé à changer la vocation du terrain anciennement occupé par l'usine Domfer (voir la carte). Environ 1000 logements pourraient y être construits dans des immeubles de quatre à seize étages. «Plusieurs terrains, comme celui de Domfer, doivent être décontaminés, ce qui augmente le prix du terrain, indique Sylvie Champagne, chef de la division de l'urbanisme de l'arrondissement de LaSalle. Il faut densifier pour répartir les coûts. Plutôt que d'y aller un projet à la fois, nous avons élaboré un concept global pour que le Quartier Angrignon devienne un véritable milieu de vie.»
  14. Salut ! J'ai une vision qui me trote dans la tête depuis un bout. Avant Après Je m'explique, je trouve que l'ancien incinérateur des carrières est très mal utilisé, il l'est pas !, je le trouve vraiment extra ! il est vraiment futuriste. Je trouve qu'il représente bien le Montréal industriel. Ma vision, un musée sur l'histoire industriel, à l'intérieur, des expositions de photo, des écran qui diffuse des documentaires sur le Montréal industriel. Les tours, je leurs installent des escaliers tournant avec un poste d'observation au sommet, le tout protégé par une tour de verre et une terrasse sur le toit. Le terrain devient un parc urbain. Mon plan n'est pas super, je vais l'améliorer.
  15. http://www.villagia.ca/ Une nouvelle tour est en construction... la grue est visible de la 13 et de la 15. Qui peut passer faire un tour dans le coin? Je ne trouve rien sur internet. C'est dans les 14-15 étages si on se fie à la hauteur de la grue montée. D'après-moi c'est sur Place des Cageux parce que la grue est tout près du 4300, un immeuble de 17 étages appelé Les Terrasses Paton. Il y avait un projet de deux tours projetées il y a quelques années.
  16. Qui se souvient de ce projet de deux tours en bas de Dorchester vers 1984 je crois ?
  17. Les tours du boisé Architectes:DCYSA Début de la construction:2008 Utilisation: Condos Emplacement: Longueuil sur le parc http://www.lestoursduboise.com ? mètres - 6 étages Description: - 2 phases de 6 étages chacunes
  18. No shit ! C'est pas une surprise pour nous, mais ça va peut-être rassurer ceux qui s'y connaissent moins. ------------------ Louis-Pierre Côté Argent Un important joueur du secteur immobilier, la firme Thibault, Messier, Savard et Associés, se joint au concert d’experts du secteur qui affirment que la grande région de Montréal n’a pas subi de bulle immobilière au cours des dernières années. André Desbiens De passage à Argent pour parler du projet Les Tours du boisé à Longueuil, André Desbiens, vice-président, acquisitions et développement, de la société montréalaise a affirmé qu’à son avis, Montréal n’avait pas connu de bulle immobilière, « par rapport à l’Ontario, l’Ouest du Canada et les Etats-Unis. Il n’y a pas eu de spéculation. » Le groupe à laquelle est associée l’ex-joueur du Canadien Serge Savard est bien assis dans le secteur avec plus de 25 projets immobiliers à son actif, dont Les Tours du boisé qui accueille ses premiers résidents. Ce projet de 30M$ repose sur un terrain de quatre millions de pieds carrés adjacent au Parc régional dans le quartier Longueuil sur le Parc. Il comprend deux tours de 53 et 49 condos sur six étages, dont les prix varient d’environ 200 000$ à 430 000$. La première phase, qui est maintenant complétée, est celles de 53 unités. La deuxième phase n’est pas encore en chantier et M. Desbiens n’a pas voulu s’avancer sur son début.
  19. Le Chagall -Condominiums -Engel Construction and Development Group -2 tours de 17 étages -153 pieds, 47 mètres http://lechagall.com/Chagall/FR/movingup.html http://lechagall.com/Chagall/EN/movingup.html Es-qu'il y a des nouvelles sur ce projet?
  20. Les tours prévues à Ground Zero pas achevées avant 2037 Agence France-Presse New York La reconstruction des tours prévues à Manhattan sur le site des attentats du 11 septembre 2001 risque de s'éterniser, et les bâtiments pourraient ne pas être totalement occupés avant près de 3O ans, révèle un rapport confidentiel cité jeudi par des médias locaux. Le quotidien populaire Daily News et la télévision NY1 citent un rapport confidentiel rédigé par l'agence de conseil en immobilier d'entreprise Cushman and Wakefield pour le compte de l'Autorité portuaire de New York et du New Jersey, propriétaire du site de Ground Zero où s'élevaient les tours jumelles du World Trade Center. Selon ce rapport, l'une des trois tours prévues, haute de 71 étages, ne pourra pas être entièrement occupée avant 2037, soit 36 ans après les attentats qui ont coûté la vie à quelque 3.000 personnes. Sa construction ne devrait en effet pas débuter avant 2026. La tour principale, qui atteindrait 541 mètres de haut et dont la construction a débuté, ne sera elle pas totalement accessible avant 2019, selon le rapport, qui indique qu'une troisième tour ne le sera quant à elle qu'à partir de 2026. Le rapport s'appuie pour parvenir à ses conclusions pessimistes sur les effets de la crise économique qui va affecter la demande de bureaux. Les ouvrages devant être construits sur le site de Ground Zero ont fait l'objet de nombreux retards, modifications et polémiques.
  21. Tours à bureaux: le marché avantage les locataires 29 décembre 2008 - 09h28 La Presse Laurier Cloutier Parce que les conditions économiques se détériorent rapidement, le marché des bureaux, tant à Montréal qu'ailleurs au Canada, tourne à l'avantage des locataires. Pourtant, la pénurie de locaux a soulevé l'inquiétude des locataires en 2008 à Montréal. La contrepartie, c'est qu'il faudra faire une croix sur les chantiers attendus de tours à bureaux à Montréal, et pour plusieurs mois. C'est l'évaluation que fait Jean Laurin, président et chef de la direction de GVA Devencore, de Montréal, une société canadienne spécialisée dans l'immobilier commercial. Les compagnies immobilières SITQ, Westcliff, Canderel, Magil-Laurentienne/Desjardins et Sidev n'ont pas encore trouvé le locataire principal pour lancer la construction de leur tour à bureaux respective. Les promoteurs devront patienter encore six mois, sinon jusqu'en 2010, estime Jean Laurin. Pourtant, au printemps de 2008, plusieurs s'attendaient à la construction d'une première de ces tours, en raison du plus faible taux d'inoccupation depuis longtemps à Montréal. Peu favorable à court terme «Le marché n'est plus favorable à court terme pour trouver ce locataire principal et amorcer la construction de cette tour à bureaux», note Jean Laurin. «La tempête économique remet tout en question: le plan d'affaires, l'organisation, la situation financière, déclare le président. Ça force à la réflexion.» Entre-temps, des promoteurs pourront par contre restaurer des immeubles existants, bien situés, dans quelques quartiers. Ils pourront ainsi en rénover au centre-ville, afin d'améliorer leur attrait pour les locataires. D'autres en trouveront le long des lignes de métro. On pourra convertir des immeubles industriels en bureaux. Car pour les locataires, les économies vont prendre la tête des priorités, du moins à court terme, souligne Jean Laurin. «Ils vont mettre au congélateur le prestige et l'image de marque.» «Au cours des six premiers mois de 2009, il ne va rien se passer. Après, on verra d'abord quel type de reprise se dessine», déclare le président de Devencore. Les constructeurs pourront tout de même rénover de cinq à 10 immeubles à Montréal en 2009, avec un nombre de pieds carrés plutôt appréciable, estime Jean Laurin. Il faudra pour cela que des promoteurs aux reins solides découvrent de bons immeubles à restaurer, bien localisés. Place à la négociation Dans ce contexte en évolution rapide, des locataires de Montréal et d'ailleurs au Canada, avec des baux qui approchent de l'échéance, peuvent renégocier avec les propriétaires, ajoute le président. Pour garder un bon locataire, le propriétaire de l'immeuble va accepter de négocier un bail à la baisse. «De gros propriétaires en particulier s'adaptent rapidement à la nouvelle situation du marché. La tendance des prix est à la baisse», note Jean Laurin. Le président de Devencore revient de New York, où «la valeur des immeubles et les loyers ont baissé, pendant que le taux d'inoccupation des bureaux a augmenté au rythme de la dégradation des disponibilités financières des entreprises. Et à Londres, c'est encore pire», dit-il. «Au Canada, le taux d'inoccupation des bureaux devient relativement élevé et les pressions à la hausse sur les loyers se sont évaporées. À Calgary, à Vancouver et à Ottawa, le marché devient plus favorable aux locataires. À Toronto, des constructeurs ont même mis en chantier de nouvelles tours de 2,5 à 3,5 millions de pieds carrés, à livrer sur le marché en 2009 et 2010, ce qui favorisera aussi les locataires», explique Jean Laurin. À Montréal, le taux d'inoccupation a fini par augmenter légèrement, mais on ne trouve toujours pas sur le marché les grands blocs de locaux contigus recherchés, conclut le président de Devencore. LE MARCHÉ DES TOURS À BUREAUX Grands centres urbains (automne 2008) SUPERFICIE (pi2) / INOCCUPATION / TAUX LOCATIF Toronto: 64,8 millions / 6,8% / 45$/pi2 Montréal: 45,2 millions / 5,5% / 33$/pi2 Calgary: 34,5 millions / 3,8% / 50$/pi2 Vancouver: 24,3 millions / 2,4% / 52$/pi2 Ottawa: 16,9 millions / 2,3% / 39$/pi2 Source: GVA Devencore
  22. L’Industrielle-Alliance investit 100M$ à Montréal Denis Lalonde, lesaffaires.com 7 octobre 2008 Pour en savoir plus Autres textes : Industrielle-Alliance 1981 McGill College Articles de l'industrie L’Industrielle-Alliance a acquis une participation de 50% dans la société Edifice 1981 McGill College, propriétaire de l’édifice du même nom situé au centre-ville de Montréal, pour un montant de 100 millions de dollars. La société acquiert l’immeuble qui regroupe deux tours à bureaux inter-reliées avec un partenaire financier dont l’identité n’a pas été révélée. Construit en 1981, le 1981 McGill College est un édifice de classe A qui comprend deux tours de 16 et 20 étages totalisant 625 000 pieds carrés de superficie locative. L’avenue McGill College est l'une des artères les plus prestigieuses de Montréal, au coeur du milieu des affaires. Cette acquisition porte à 28 le nombre d'édifices dont l'Industrielle Alliance est propriétaire au Canada, pour une superficie locative totale de 4 millions de pieds carrés et une valeur marchande de quelque 600 millions de dollars. Dans la région de Montréal, l'Industrielle Alliance est propriétaire de plusieurs édifices, dont la Tour L'Industrielle-Vie et le 2200 McGill College, deux édifices à bureaux situés en face du 1981, avenue McGill College.
  23. Immeubles de bureaux: la crise retardera des projets 7 octobre 2008 - 07h04 La Presse Laurier Cloutier La rareté de bureaux libres au centre-ville de Montréal s'accentue et touche un record historique, mais la crise financière pourrait retarder les projets de nouvelles tours. «D'ici de six à neuf mois, un projet d'immeuble de bureaux devrait tout de même être annoncé», assure à La Presse Affaires le président et chef de la direction de GVA Devencore, Jean Laurin, après son étude d'hier sur le marché canadien, où les locaux vides sont rares partout pour les locataires. À Montréal, plus de 95% des bureaux sont occupés et c'est en outre la seule ville canadienne où on ne construit toujours pas d'immeuble de ce type, malgré un marché saturé à 100% au moment de sa livraison éventuelle, note Jean Laurin. Des promoteurs travaillent à cinq projets de tours à Montréal, souligne-t-il. Ceux de Hines et de SITQ Immobilier, au 900, De Maisonneuve Ouest, et de Westcliff, au Square Victoria, sont bien connus dans l'industrie. Le plus récent, c'est celui de Sidev, à l'ouest du Complexe Desjardins et au sud de la rue Sainte-Catherine. Magil-Laurentienne et Canderel sont en outre sur les rangs avec des tours de jusqu'à un million de pieds carrés, près de la Place Bonaventure et du Square Phillips. Click here to find out more! La Ville de Montréal consacre aussi des efforts à la mise en valeur de secteurs comme Griffintown, le faubourg des Récollets (autoroute Bonaventure) et Chabanel, dit Jean Laurin. Par contre, des «prêteurs vont analyser attentivement tout projet avant de s'embarquer dans son financement» à cause de la crise financière, reconnaît le président. «Le promoteur devra avoir de l'expérience, un emplacement de choix et des locataires sérieux», explique-t-il. «Ça pourrait prendre un peu plus de temps avant de construire, mais il ne faut pas mettre toutes les institutions financières dans le même panier, ajoute Jean Laurin. Les caisses de retraite doivent investir leurs rentrées régulières de fonds.» Cela pourrait favoriser le projet de SITQ Immobilier, filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Encore faut-il que les loyers éventuels soient à la hauteur des coûts de construction et de financement. Jean Laurin souligne que les loyers n'ont pas grimpé de façon radicale, malgré la rareté des bureaux, et ils ne sont pas encore tout à fait au rendez-vous, estime-t-il. Après le projet dédié du Campus Bell, aucun locataire important n'a encore annoncé une expansion d'envergure de ses activités, pour justifier illico une nouvelle tour au centre-ville, dit-il. Le taux d'inoccupation de 4% à Montréal équivaut à ceux de Toronto et d'Edmonton. Dans le Vieux-Montréal et le Quartier international de Montréal, ce taux s'approche même de 2%, comme à Vancouver, Calgary et Ottawa, au grand dam des locataires. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20081007/LAINFORMER/810070843/5891/LAINFORMER01
  24. Bientôt à Montréal: complexes de 4 tours, 3 hôtels et condos 2 mai 2008 - 06h29 La Presse Laurier Cloutier Trois complexes immobiliers comprenant quatre tours de 32 à 40 étages, trois hôtels et des centaines de condos doivent être lancés bientôt dans le secteur du boulevard René-Lévesque Ouest et des rues Guy et Mackay, à Montréal. Des investisseurs étrangers veulent ainsi miser plus de 400 millions de dollars sur Montréal, au rythme d'au moins 100 millions pour chacune des quatre tours. «Il y aura décidément beaucoup d'hôtels dans ce coin» de l'ouest du centre-ville, déclare à La Presse Affaires le porte-parole de l'arrondissement de Ville-Marie, Jacques-Alain Lavallée. En outre, la chaîne Marriott prévoit construire deux autres hôtels, en plus de terminer d'ici août celui de l'aéroport Dorval-Trudeau (120 millions, 275 chambres) avec l'entrepreneur Axor et le Fonds FTQ. Le vice-président principal au développement de Marriott Canada, Michael J. Beckley, confirme que la chaîne hissera sa bannière à l'ombre de la Place-Ville-Marie, au sud-est de la rue Cathcart, sur un hôtel de 150 chambres, construit avec le Groupe Daca. Marriott Canada va de plus aménager un hôtel au mégacentre Faubourg Boisbriand (ex-usine GM) avec le promoteur américain du Maryland Urgo Butts&Co., déjà présent à la station Tremblant, à l'aéroport Dorval-Trudeau, dans le Vieux-Montréal et à Québec. «Ça va beaucoup bouger dans ce secteur du boulevard René-Lévesque», souligne par ailleurs l'architecte Michelange Panzini. Le président de Panzini Conseils met en effet la dernière main à un projet «spectaculaire» d'hôtel et de condos, dans deux tours de 38 et 32 étages, sur le terrain d'un stationnement au sud-est de René-Lévesque et de Guy, à quelques pas du Centre Bell et du quartier des affaires. Tout près, le Crystal de la Montagne, édifice de 27 étages et de 80 millions, offre pour la première fois à Montréal le concept d'un hôtel surmonté de condos. Après de nombreux rebondissements, au fil de sa gestation, les investisseurs américains viennent de donner «le feu vert au démarrage du projet», déclare Michelange Panzini. Les promoteurs ont finalement décidé, par contre, de ne pas dévoiler leur projet avant une conférence de presse, «dans quelques semaines», et la confirmation des permis, «à la fin de mai ou au début de juin», ajoute l'architecte. L'arrondissement de Ville-Marie attend toujours le dépôt de documents avant d'accorder les permis pour les deux tours de M. Panzini, réplique le porte-parole, Jacques-Alain Lavallée. Par contre, «ces tours de 38 et 32 étages de la rue Guy respectent en principe les normes, ajoute Jacques-Alain Lavallée, contrairement aux deux autres de la rue Mackay (nord-ouest et sud-est) qui pourraient y déroger, pour la hauteur. La première pelletée de terre n'est pas pour demain dans ce cas-ci». Quant à la chaîne hôtelière Hilton, qui doit accrocher son enseigne au projet de M. Panzini, elle a déjà travaillé avec lui. Par contre, déclare John Koshivos, directeur du développement de Hilton Amérique du Nord, «les négociations se poursuivent et les jeux ne sont pas encore faits, pas avant de huit à 12 semaines». John Koshivos va ouvrir un Hilton Garden Inn de 216 chambres d'ici juillet, à l'angle de la rue Sherbrooke et de l'avenue du Parc, après le nouvel Embassy Suites, face au Palais des congrès de Montréal. «Les investisseurs étrangers aiment Montréal non seulement pour les bas prix, mais aussi pour la qualité de la ville», dit Michelange Panzini. «Il y a beaucoup de projets d'hôtels à Montréal et d'autres à l'étude, mais le rythme des ouvertures va ralentir un peu, car le taux d'occupation a baissé depuis un an», souligne Gilles Larivière, président de Horwath Horizon Consultants, de Montréal, société canadienne spécialisée dans l'hôtellerie et le tourisme.
  25. La plupart des gens consultent la météo par curiosité, ou tout au plus pour planifier leur week-end. Mais dans les hautes tours de la Bourse, savoir le temps qu'il fera peut rapporter des millions de dollars. Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...