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Est-ce qu'il y a des gens, d,accord avec moi, qui croit qu'il est temps de redéfinir les quartiers de Montréal et surtout ne pas laisser le tout dans l'administration qui est plus intéressé par les arrondissements que par les quartiers eux-mêmes. Pour l'instant Montréal est quand même bien servi aux niveaux quartiers mais je crois que certains pourraient être crées et d'autres améliorer, c'est à dire mis en valeur autre que dans un arrondissement qui prend toute la place. j'ai plusieurs idées en tête mais je n'arrive pas à les formuler. Une chose que j'adore c'est de passer d'un quartier à l'autre en constatant facilement la différence de population, d'architecture et ou d'orientation. J'aime bien un centre-ville et un quartier d'international avec de hautes tours mais des quartiers résidentiels avec des édifices plus modestes en hauteur avec une belle architecture et un style distinct ne fait qu'augmenter la qualité de vie d'une ville comme Montréal. Plusieurs quartiers pourrait sortir de terre comme un quartier portugais, un quartier Chabanel, Snowdon, P'tite Haiti, Plateau Ouest et Plateau Est etc.... Qu'en pensez vous ?
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La plupart des gens consultent la météo par curiosité, ou tout au plus pour planifier leur week-end. Mais dans les hautes tours de la Bourse, savoir le temps qu'il fera peut rapporter des millions de dollars. Pour en lire plus...
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On peut voir clairement sur tous les maquettes et rendus, deux nouvelles tours sur l'îlot Balmoral.
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Publié dans le Courrier du Sud du 28 juin 2008. Les tours Est et Ouest du Complexe Saint-Charles Ouest, situé à la Place Charles-Lemoyne s'élèveront un peu plus dans le ciel longueuillois. Les authorités du Vieux-Longueuil ont donné le feu vert au propriétaire pour qu'il ajoute 2 étages aux tours. Ainsi, la tour Est comportera 14 étages et la tour Ouest en comportera 9. Les travaux de construction, qui se chiffrent à 13 M$, débuteront en août.
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Nos cousins de l'Hexagone s'interrogent... LE MONDE BOUGE - Bertrand Delanoë en voudrait. Les opposants agitent l'épouvantail Montparnasse. Pourtant, écolos, économes, insérées dans la ville, les tours auraient de quoi séduire. Et si elles étaient l'occasion de réfléchir à l'avenir de la métropole ? Il est 5 heures, Paris s'éveille, la tour Eiffel a froid aux pieds. D'en haut, depuis des décennies, le paysage parisien est immuable : au loin, les tours de la Défense ; plus près, celles du Front de Seine ; derrière, Montparnasse et le quartier Italie ; mais partout ailleurs, la même toise haussmannienne, figée en 1977 par Valéry Giscard d'Estaing, confortée en 2006 par le Plan local d'urba*nisme : 25 mètres dans le centre, 37 mètres sur les pourtours. Pas un de plus. Et voilà qu'à l'automne 2007 Bertrand Delanoë sort de son chapeau le travail de onze équipes d'architectes priées de plancher sur la question : et si on construisait de nouvelles tours à Paris ? Pas au centre, déjà l'un des plus denses du monde, mais sur trois sites - Masséna, Bercy, porte de la Chapelle - actuellement à l'état de friche, entre boulevards des maréchaux et périphérique. Pas des projets très aboutis, juste des hypothèses. Dont la presse a rendu compte, saluant certaines audaces. On s'attendait à ce que Delanoë en fasse un thème de campagne, mais il n'en fut rien. Sans doute parce qu'il lui fallait préserver sa majorité : si Françoise de Panafieu s'est finalement déclarée « pas opposée à un ou deux très beaux gratte-ciel aux portes de Paris », les Verts, eux, y restent farouchement hostiles. Antiécologiques ? Pour Yves Contassot comme pour Denis Baupin, les tours ne seraient pas seulement antiécologiques, elles seraient aussi d'arrogants symboles de la mondialisation. Sur ce dernier point, on ne leur donnera pas tort : de Londres à Dubai, de Moscou à Kuala Lumpur, le « toujours plus haut » est d'abord le fait de la puissance financière - d'ail*leurs, plus une seule tour ne se construit sans sa salle des marchés. Les deux mégaprojets de la Défense, la tour Generali et la tour Phare, plus de 300 mètres chacune, ne font pas exception à cette logique de l'argent roi. En revanche, n'en déplaise aux Verts, ces deux constructions (lancées cette année) s'annoncent comme des modèles en matière d'économies d'énergie. On ajoutera que 90 % des 200 000 travailleurs de la Défense se déplacent en transports en commun ; et que les tours vont à rebours de l'infernal étalement urbain qui, de hangars commerciaux en lotissements pavillonnaires, de parkings en autoroutes, grignote et ravage le territoire... Les écologistes ne se tromperaient-ils pas de combat ? Combat perdu, de toute façon. S'ils ne voient pas le jour sur les friches parisiennes, des immeubles de grande hauteur se profilent bel et bien juste de l'autre côté du périphérique. A Boulogne, Jean Nouvel travaille sur sa tour Horizon, une sorte de vaisseau dans les airs. Portzamparc planche pour Bouygues à Issy-les-Moulineaux. Et des projets seraient à l'étude à Bagnolet, Saint-Ouen, Clichy... Alors tentons de dépasser le débat trop simple « pour ou contre » les tours. Inscrivons-le plutôt dans la question de la ville, la grande ville : dans quelle métropole voulons-nous habiter ? Pourquoi tant de haine ? Trente-six ans après son inaugu*ration, la tour Montparnasse reste la grande mal-aimée des Parisiens. D'ailleurs, la blague court toujours les comptoirs : « C'est de son sommet qu'on a la plus belle vue de Paris : normal, de là-haut, on ne la voit pas ! » Et quand, cet hiver, le Conseil national de l'ordre des architectes a investi son 47e étage, Charlie Hebdo a persiflé : « C'est comme si l'ordre des médecins s'installait à la morgue ! » Décidément, ces 210 mètres de béton-verre-fer n'ont jamais séduit personne. Parce que la tour est (vraiment) très haute, (plutôt) ratée et (surtout) pas au bon endroit - car terriblement isolée. Sans tous ses défauts, eût-elle pour autant trouvé grâce ? « Les Français n'ont jamais aimé ce qu'on a longtemps appelé les gratte-ciel », rappelle Daniel Le Couédic, historien de l'architec*ture. « Traduction littérale de l'américain "skyscraper", l'expression souligne la provenance de ces immeubles : Boston et New York où, à la fin du XIXe siècle, des architectes audacieux ont inventé des techniques permettant de construire sur plusieurs dizaines d'étages. Pendant longtemps, nos architectes, formés aux Beaux-Arts et ne rêvant que du Prix de Rome, ont regardé l'affaire avec un peu de condescendance. Du genre : "Pas mal, oui, mais... pour les Américains". » Par chez nous, aucune construction ne s'en va chatouiller les nuages, à l'exception de la tour Eiffel (1889, 300 mètres) - mais c'est d'abord une sculpture - et du quartier des Gratte-Ciel (1934, 60 mètres) à Villeurbanne. Ce dernier, qui réunit la mairie, le Théâtre national populaire et des immeubles d'habitation, forme, à l'instar de Manhattan, de véritables rues. L'opération est plutôt bien accueillie ; tout comme la tour Perret à Amiens (1952, 110 mètres), qui rappelle les beffrois de Picardie. Le divorce apparaît dans les années 60-70, avec ces tours banalisées jetées au hasard sur l'herbe ou, pis, sur dalles, pour « séparer la circulation des voitures de celle des piétons », selon les principes édictés par Le Corbusier dans la Charte d'Athènes. A Paris, le quartier des Olympiades (13e arrondissement) ou celui du Front de Seine (15e) représentent l'archétype de cette « rénovation urbaine » à la sauce Pompidou : laide, brutale, et pleine de courants d'air. Giscard impose le retour à la fameuse toise haussmannienne - 25 mètres dans le centre, 37 mètres à la périphérie. Taxées d'« architecture criminogène » par le ministre de la Justice Alain Peyrefitte, les tours tombent bientôt devant les caméras du journal télévisé : la première implose aux Minguettes, en 1983. « Depuis, à droite comme à gauche, la propagande n'a pas changé », remarque Daniel Le Couédic, qui assure avoir entendu Jean-Louis Borloo, alors ministre délégué à la Ville, répéter un jour en boucle : « Nous allons détruire des tours pour construire des maisons pour les mamans. » Peut-on y vivre ? Des comme ça, il y a longtemps qu'on n'en fait plus : 50 mètres de haut et 17 étages pour une centaine de logements sociaux en bordure de périphérique. Construite en 1959, rénovée en 1990, la tour Bois-le-Prêtre, porte Pouchet (17e), va connaître un lifting radical entre les mains de deux architectes en vogue, Anne Lacaton et Philippe Vassal. Leur excellent projet prévoit d'élargir l'immeuble de 3 mètres sur ses quatre faces afin de doter tous les appartements de vastes loggias ouvrant sur l'extérieur. Voilà qui fera la différence en termes d'espace vital ; en termes d'isolation aussi : les loggias joueront un rôle de sas. Les économies de chauffage (50 %) compenseront les hausses de loyer. Sans parler du bruit du périph, atténué. Bref, l'actuelle boîte anxiogène avec ses trop petites fenêtres devrait devenir un très vivable belvédère. « Interrogez les gens qui habitent en hauteur : la plupart adorent la vue, le ciel, leur sort », assure l'architecte Eric Lapierre, qui, après avoir planché dans le « groupe hauteur » de Delanoë, en tire quelques conclusions iconoclastes. « La tour n'est pas adaptée au logement social. Trop technique. Trop chère à entretenir. Il faut, comme à New York, y faire habiter les "riches". A moins d'y organiser une mixité sociale inverse de celle du modèle haussmannien : en haut, des appartements en accession à la propriété ou en loyers libres et, en bas, des HLM. Ce serait une solution pour éviter l'exil des plus pauvres vers la lointaine banlieue. » D'autres, comme Jacques Ferrier, fervent défenseur des tours « intelligentes », poussent plus loin l'idée de mixité. « Pour partager les charges, forcément lourdes, il faut, comme cela se fait en Hollande ou en Allemagne, prévoir différents types d'occupation des lieux. En bas, des commerces, des bureaux, des équipements publics ; au-dessus, un hôtel par exemple ; et enfin, dans les étages loin du bruit et des nuisances, des logements avec de belles terrasses. Rien ne l'interdit en France, sauf la frilosité des promoteurs et l'inertie de l'administration. » Reste ensuite, et c'est l'essentiel pour rendre l'objet habitable, à l'insérer dans le tissu urbain, en respectant les alignements sur rue pour assurer la continuité de l'espace public. « Comme à New York, dit encore Jacques Ferrier : le piéton sur le trottoir qui lèche les vitrines ne sait pas s'il a cinq ou cin*quante étages au-dessus de la tête. Il est en ville, point. » Ecolo, la tour ? Elle s'appelle Hypergreen et, comme son nom l'indique, elle est écolo, et même hyper écolo. Eoliennes au sommet, capteurs solaires, double peau jouant un rôle de brise-soleil, ventilation naturelle et récupé*ration de l'eau de pluie pour des jardins-serres courant sur toute la hauteur. Un rêve vert dans l'éther, à convertir le tourophobe Denis Baupin ! Sauf qu'Hypergreen, projet de l'Agence Jacques Ferrier, n'existe pas. Mais elle ressemble à la matrice du futur : la tour Phare, gratte-ciel de plus de 300 mètres que s'apprête à construire à la Défense l'architecte californien Thom Mayne, reprend les mêmes principes (éoliennes, capteurs, double membrane en *verre filtrante). Date de livraison prévue : 2012. Un cabinet français, Valode et Pistre, qui achève actuellement à la Défense la tour T1, élégante feuille de verre de 200 mètres de haut, travaille sur la même piste : toujours à la Défense, la tour Generali, 318 mètres, sera en 2011 la plus haute tour d'Europe. Et la plus écolo ? Denis Valode ne biaise pas : « Une tour est naturellement énergivore. Il faut davantage de matière pour la cons*truire et davantage d'énergie pour la faire fonctionner. » Pour la construction, il existe des solutions : « Les techniques modernes permettent de consommer moins de béton. » Mais c'est surtout à l'usage que la tour Generali devrait s'avérer peu gourmande, grâce aux mêmes principes de production d'énergie douce : « La consommation sera inférieure de 60 % à celle d'une tour standard. » Et vous savez quoi ? Les fenêtres s'ouvriront. L'été, on pourra récupérer la fraîcheur de la nuit... Bon sang, les architectes ont parfois de ces idées futuristes ! Des tours, d'accord... mais pour quelle ville ? Etre dedans ou dehors, telle est d'abord la question. « L'occupant de la tour est au paradis. Il plane sur la ville », dit l'urbaniste Bruno Fortier.Pas étonnant alors que ses habitants, sur le Front de Seine comme dans l'habitat social, ne déménagent pas. Seulement, habiter une tour, poursuit Fortier, « est une position narcissique, presque aristocratique. Or la réinvention de la cité doit être démocratique. Il faut se jeter dans la proximité, la densité, fabriquer des lieux où l'on ait envie de flâner ». C'est d'autant plus difficile avec des tours isolées. Alors que les villes du XIXe siècle, Chicago ou New York, les regroupaient, créant un paysage, un fantastique urbain, on « pose » aujourd'hui des objets singuliers, de plus en plus spectaculaires, sans lien avec la rue. Certes, répond l'urbaniste Jacques Ferrier, mais, même isolées, les tours jouent un rôle de repère : « Quand vous roulez sur le périphérique, d'un côté, le Sacré-Coeur, la tour Eiffel, Montparnasse, le Panthéon vous offrent, comme autant d'amers, une cartographie de Paris. De l'autre ne s'étale qu'une morne banlieue, sans rien qui dépasse. Comment s'y retrouver ? Avec quelques tours ici, un stade là, des monuments en somme, ce territoire s'identifierait beaucoup mieux. » C'est donc au-delà du périphérique qu'est l'enjeu. A Paris, ville cons*truite à 98 %, les tours que suggère Bertrand Delanoë sur les quelques rares no man's land des pourtours auraient au moins le mérite de retisser un lien entre la ville et sa proche banlieue. Plus loin, en revanche, les cités très peu denses des années 70 constituent de formidables réserves foncières. Il faut donc construire dans les vides. Construire, mais quoi ? « L'urgence est de fabriquer des tissus complexes et denses, poursuit Bruno Fortier. Dans ce contexte, la tour ne peut être qu'une exception excitante et amusante. » Quel serait alors le projet de ville ? Bruno Fortier évoque un grand Paris polycentrique. On déterminerait des noeuds urbains, dotés d'infra*structures et d'une certaine magie géographique. « Un aéroport, la confluence de la Marne et de la Seine, ou l'île Seguin, ça crée un paysage. A partir de là, on peut tout imaginer. » Même des tours. Mais elles ne seraient qu'un des éléments du fantastique urbain. . Luc Le Chatelier et Vincent Remy Télérama n° 3036 A LIRE : “Des tours à Paris”, revue “Criticat”, janvier 2008, 14 €. “25 Tours de bureau”, d'Elisabeth Pélegrin-Genel, éd. AMCLe Moniteur, 160 p., 49 €. “Making of, Phare & Hypergreen towers”, collectif autour de Jacques Ferrier, éd. AAM, 144 p., 15 €. “Gratte-ciel contemporains”, de Cécile Giroldi, Eric Höweler et Stéphanie Algave, éd. Flammarion, 239 p., 35 €.
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Cominar investira 125 M$ dans le projet du boulevard Laurier
un sujet a posté ErickMontreal dans L'actualité
Cominar confirme des investissements de 125 millions sur le boul Laurier . Voici le texte dans Monemploi.com en date du 27 mai 2008 Cominar investira 125 M$ dans le projet du boulevard Laurier C'est maintenant à 125 millions de dollars qu'est estimé le projet de développement du terrain bordant le boulevard Laurier à l'intersection de la route de l'Église où la construction de deux tours de 20 étages par Cominar a débuté cet hiver. Ce chiffre apparaît dans un document fixant les conditions d'un échange de terrain entre la Ville de Québec et le Fonds de revenu immobilier Cominar. Selon l'entente transmise cette semaine par le comité exécutif de la Ville, Cominar deviendra propriétaire, pour 412 000 $ et d'autres considérations, d'une portion de terrain de 1500 mètres carrés sur lequel la station de service Petro-Canada, qui en était locataire, a été fermée en début de semaine. Tout autour, le creusage du stationnement souterrain prévu sous le futur complexe atteint déjà plusieurs étages. Le projet comprend deux tours à bureaux de plus de 720 000 pieds carrés de superficie locative, dont environ 100 000 pieds carrés seront utilisés à des fins commerciales. Le projet sera réalisé en deux phases. La première, d'une valeur de 74 millions de dollars et étendue sur 18 mois environ, ajoutera quelque 396 000 pieds carrés d'espace locatif au parc immobilier de Cominar. -
Ces deux tours sont les plus grandes construites dans les 15 dernières années à Montréal, chacune mesurant 119-120 mètres, à des coins opposés du centre-ville. Laquelle préférez-vous, et pourquoi?
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Bientôt à Montréal: complexes de 4 tours, 3 hôtels et condos 2 mai 2008 - 06h29 La Presse Laurier Cloutier Trois complexes immobiliers comprenant quatre tours de 32 à 40 étages, trois hôtels et des centaines de condos doivent être lancés bientôt dans le secteur du boulevard René-Lévesque Ouest et des rues Guy et Mackay, à Montréal. Des investisseurs étrangers veulent ainsi miser plus de 400 millions de dollars sur Montréal, au rythme d'au moins 100 millions pour chacune des quatre tours. «Il y aura décidément beaucoup d'hôtels dans ce coin» de l'ouest du centre-ville, déclare à La Presse Affaires le porte-parole de l'arrondissement de Ville-Marie, Jacques-Alain Lavallée. En outre, la chaîne Marriott prévoit construire deux autres hôtels, en plus de terminer d'ici août celui de l'aéroport Dorval-Trudeau (120 millions, 275 chambres) avec l'entrepreneur Axor et le Fonds FTQ. Le vice-président principal au développement de Marriott Canada, Michael J. Beckley, confirme que la chaîne hissera sa bannière à l'ombre de la Place-Ville-Marie, au sud-est de la rue Cathcart, sur un hôtel de 150 chambres, construit avec le Groupe Daca.Marriott Canada va de plus aménager un hôtel au mégacentre Faubourg Boisbriand (ex-usine GM) avec le promoteur américain du Maryland Urgo Butts&Co., déjà présent à la station Tremblant, à l'aéroport Dorval-Trudeau, dans le Vieux-Montréal et à Québec. «Ça va beaucoup bouger dans ce secteur du boulevard René-Lévesque», souligne par ailleurs l'architecte Michelange Panzini. Le président de Panzini Conseils met en effet la dernière main à un projet «spectaculaire» d'hôtel et de condos, dans deux tours de 38 et 32 étages, sur le terrain d'un stationnement au sud-est de René-Lévesque et de Guy, à quelques pas du Centre Bell et du quartier des affaires. Tout près, le Crystal de la Montagne, édifice de 27 étages et de 80 millions, offre pour la première fois à Montréal le concept d'un hôtel surmonté de condos. Après de nombreux rebondissements, au fil de sa gestation, les investisseurs américains viennent de donner «le feu vert au démarrage du projet», déclare Michelange Panzini. Les promoteurs ont finalement décidé, par contre, de ne pas dévoiler leur projet avant une conférence de presse, «dans quelques semaines», et la confirmation des permis, «à la fin de mai ou au début de juin», ajoute l'architecte. L'arrondissement de Ville-Marie attend toujours le dépôt de documents avant d'accorder les permis pour les deux tours de M. Panzini, réplique le porte-parole, Jacques-Alain Lavallée. Par contre, «ces tours de 38 et 32 étages de la rue Guy respectent en principe les normes, ajoute Jacques-Alain Lavallée, contrairement aux deux autres de la rue Mackay (nord-ouest et sud-est) qui pourraient y déroger, pour la hauteur. La première pelletée de terre n'est pas pour demain dans ce cas-ci». Quant à la chaîne hôtelière Hilton, qui doit accrocher son enseigne au projet de M. Panzini, elle a déjà travaillé avec lui. Par contre, déclare John Koshivos, directeur du développement de Hilton Amérique du Nord, «les négociations se poursuivent et les jeux ne sont pas encore faits, pas avant de huit à 12 semaines». John Koshivos va ouvrir un Hilton Garden Inn de 216 chambres d'ici juillet, à l'angle de la rue Sherbrooke et de l'avenue du Parc, après le nouvel Embassy Suites, face au Palais des congrès de Montréal. «Les investisseurs étrangers aiment Montréal non seulement pour les bas prix, mais aussi pour la qualité de la ville», dit Michelange Panzini. «Il y a beaucoup de projets d'hôtels à Montréal et d'autres à l'étude, mais le rythme des ouvertures va ralentir un peu, car le taux d'occupation a baissé depuis un an», souligne Gilles Larivière, président de Horwath Horizon Consultants, de Montréal, société canadienne spécialisée dans l'hôtellerie et le tourisme.
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Bientôt à Montréal: complexes de 4 tours, 3 hôtels et condos 2 mai 2008 - 06h29 La Presse Laurier Cloutier Trois complexes immobiliers comprenant quatre tours de 32 à 40 étages, trois hôtels et des centaines de condos doivent être lancés bientôt dans le secteur du boulevard René-Lévesque Ouest et des rues Guy et Mackay, à Montréal. Des investisseurs étrangers veulent ainsi miser plus de 400 millions de dollars sur Montréal, au rythme d'au moins 100 millions pour chacune des quatre tours. «Il y aura décidément beaucoup d'hôtels dans ce coin» de l'ouest du centre-ville, déclare à La Presse Affaires le porte-parole de l'arrondissement de Ville-Marie, Jacques-Alain Lavallée. En outre, la chaîne Marriott prévoit construire deux autres hôtels, en plus de terminer d'ici août celui de l'aéroport Dorval-Trudeau (120 millions, 275 chambres) avec l'entrepreneur Axor et le Fonds FTQ. Le vice-président principal au développement de Marriott Canada, Michael J. Beckley, confirme que la chaîne hissera sa bannière à l'ombre de la Place-Ville-Marie, au sud-est de la rue Cathcart, sur un hôtel de 150 chambres, construit avec le Groupe Daca. Marriott Canada va de plus aménager un hôtel au mégacentre Faubourg Boisbriand (ex-usine GM) avec le promoteur américain du Maryland Urgo Butts&Co., déjà présent à la station Tremblant, à l'aéroport Dorval-Trudeau, dans le Vieux-Montréal et à Québec. «Ça va beaucoup bouger dans ce secteur du boulevard René-Lévesque», souligne par ailleurs l'architecte Michelange Panzini. Le président de Panzini Conseils met en effet la dernière main à un projet «spectaculaire» d'hôtel et de condos, dans deux tours de 38 et 32 étages, sur le terrain d'un stationnement au sud-est de René-Lévesque et de Guy, à quelques pas du Centre Bell et du quartier des affaires. Tout près, le Crystal de la Montagne, édifice de 27 étages et de 80 millions, offre pour la première fois à Montréal le concept d'un hôtel surmonté de condos. Après de nombreux rebondissements, au fil de sa gestation, les investisseurs américains viennent de donner «le feu vert au démarrage du projet», déclare Michelange Panzini. Les promoteurs ont finalement décidé, par contre, de ne pas dévoiler leur projet avant une conférence de presse, «dans quelques semaines», et la confirmation des permis, «à la fin de mai ou au début de juin», ajoute l'architecte. L'arrondissement de Ville-Marie attend toujours le dépôt de documents avant d'accorder les permis pour les deux tours de M. Panzini, réplique le porte-parole, Jacques-Alain Lavallée. Par contre, «ces tours de 38 et 32 étages de la rue Guy respectent en principe les normes, ajoute Jacques-Alain Lavallée, contrairement aux deux autres de la rue Mackay (nord-ouest et sud-est) qui pourraient y déroger, pour la hauteur. La première pelletée de terre n'est pas pour demain dans ce cas-ci». Quant à la chaîne hôtelière Hilton, qui doit accrocher son enseigne au projet de M. Panzini, elle a déjà travaillé avec lui. Par contre, déclare John Koshivos, directeur du développement de Hilton Amérique du Nord, «les négociations se poursuivent et les jeux ne sont pas encore faits, pas avant de huit à 12 semaines». John Koshivos va ouvrir un Hilton Garden Inn de 216 chambres d'ici juillet, à l'angle de la rue Sherbrooke et de l'avenue du Parc, après le nouvel Embassy Suites, face au Palais des congrès de Montréal. «Les investisseurs étrangers aiment Montréal non seulement pour les bas prix, mais aussi pour la qualité de la ville», dit Michelange Panzini. «Il y a beaucoup de projets d'hôtels à Montréal et d'autres à l'étude, mais le rythme des ouvertures va ralentir un peu, car le taux d'occupation a baissé depuis un an», souligne Gilles Larivière, président de Horwath Horizon Consultants, de Montréal, société canadienne spécialisée dans l'hôtellerie et le tourisme.
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Ça fait 1 an que je garde le secret sur ce projet, et aujourd'hui, j'ai eu la permission de vous en faire part! C'est Booboohome qui m'avait envoyer ce projet, dessiné par nul autre que Michelange Panzini. Il s'agirait d'un «terrain a été acheté par un investisseur de la Georgie» (pour citer le message). Je crois que c'est des bureaux, mais Booboohome pourrait peut-être clarifier mes informations... --------------------------------------- Je compte 32 étages pour chaques tours. Si c'est des bureaux, et en comparant avec la CCE, on peut facilement prédire un bon 150 mètres à la plus haute tour! (en comptant son ornement)
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nimbysme: Croisade contre deux tours et des commerces à l'île Paton
un sujet a posté mtlurb dans L'actualité
Croisade contre deux tours et des commerces à l'île Paton Sara Champagne La Presse http://www.cyberpresse.ca/article/20080320/CPACTUALITES/803200661/1019/CPACTUALITES Les propriétaires des immeubles en copropriété de l'île Paton entreprennent une croisade pour empêcher la construction de deux tours avec commerces dans leur oasis de Chomedey, à Laval. Une pétition signée par 1000 résidants de l'île et des alentours a abouti, cette semaine, sur le bureau du maire Gilles Vaillancourt. Les signataires s'insurgent «vivement, catégoriquement et solidairement», contre un changement de zonage qui permettrait une hauteur de 23 étages dans l'île, où les règles d'urbanisme prévoient des immeubles d'environ 12 étages. Ils s'inquiètent aussi de la venue de commerces et des répercussions du projet «sur l'équilibre de l'environnement naturel de l'île, et sur leur quiétude de vie». La corporation immobilière Magil Laurentienne, qui détient et gère notamment la tour de la Bourse, à Montréal, pilote le projet controversé. Son président, Sol J. Polachek, a déjà participé à la construction d'un immeuble résidentiel de l'île Paton, le luxueux Héritage, érigé dans les années 90, sur les berges de la Rivière des Prairies. Joint hier, l'un des gestionnaires de Magil Laurentienne, Jean-Claude Cyr, a indiqué que le projet est dans sa «phase préliminaire.» Il a ajouté que des rencontres exploratoires ont déjà eu lieu avec les propriétaires de l'Héritage. Il a cependant renvoyé La Presse à la firme de communications Morrow Marketing pour connaître les plans d'architecte et de zonage. Le responsable de la firme, André Morrow, n'avait toujours pas rappelé, hier, en fin de journée. Selon les instigateurs de la pétition, qui ont assisté aux rencontres avec des représentants de Magil, une demande de changement de zonage a déjà été acheminée au service d'urbanisme de la Ville de Laval, au début de mars. Le cabinet du maire de Laval dément totalement l'information. Sur les lieux, il y a déjà des traces d'arpentage. Gilles Bouchard, l'un des signataires de la pétition, explique que les résidants n'ont pas besoin de commerces dans l'île, surtout aux abords d'un parc. «Les commerces que nous avons et les autres à proximité sont amplement suffisants pour nos besoins», dit-il. Il précise que d'autres propriétaires, partis se réchauffer dans le Sud, vont signer la pétition au cours des prochains jours ou des prochaines semaines. Huit étages au maximum Occupé par la dernière séance de son comité exécutif avant le congé pascal, le maire Vaillancourt n'a pas répondu directement aux questions de La Presse, hier. Après vérifications, son attachée de presse, Amélie Cliche, a soutenu «qu'aucun projet n'a été déposé officiellement auprès de la Ville de Laval». «Il n'y a eu aucune approche, a-t-elle ajouté. Je peux vous dire que le promoteur devra se conformer au zonage, et il n'y a aucune intention de modification de la part de l'administration municipale.» Quant à la rumeur qui circule dans l'île voulant que le maire de Laval songe à s'installer au dernier étage de l'une des futures tours, Mme Cliche a insisté pour dire que c'est totalement faux. «M. Vaillancourt fait dire que sa femme ne va pas vivre plus haut que huit étages. Elle a le vertige.» En fin de journée hier, Gilles Vaillancourt devait s'attabler pour répondre personnellement à tous les signataires de la pétition. «C'est sa façon de procéder. Il est très proche de ses citoyens», a conclu son attachée de presse. Aux dernières nouvelles, le maire de Laval vit toujours dans une maison unifamiliale construite sur le bord de l'eau, à proximité de l'île Paton. L'île de Hugh Paton Le premier propriétaire de l'île Paton est Hugh Paton, qui l'occupa de 1880 à 1941. En plus de se faire construire un pont, il se fit bâtir vers 1890-1892 une superbe villa d'été de plus de 50 pièces, qu'on appelait château. Elle abritait une grande serre, des écuries et un terrain de golf. Par testament, il a ensuite cédé son île à Georges C. Paton et al., qui vont plus tard vendre l'île Paton et le pont à la société L'île des Prairies. -
Au début du mois de mars comme chaque année : http://www.artfifa.com/index.php?option=com_film&task=view&id=1057&Itemid=408 : un film intitulé Tours d'aujourd'hui et de demain, le 7 mars à 19h00 Ce n'est qu'un exemple des films sur l'architecture. Allez sur le site et faites votre choix. Il est évident que celui sur les tours devraient vous intéresser. Deux autres films parmi tant d'autres à retenir : http://www.artfifa.com/index.php?option=com_film&task=view&id=1011&Itemid=408 : GREAT EXPECTATIONS: A JOURNEY THROUGH THE HISTORY OF VISIONARY ARCHITECTURE[/[ii] et celui-çi : http://www.artfifa.com/index.php?option=com_film&task=view&id=1058&Itemid=408 : Le Vaisseau Amiral
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Quel chance donnez vous que ce projet se réalise? -------------------------------------------- What chance do you think this project has of getting built?
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Salut, j'ai cherché le thread sur les tour Lépines, mais je ne les ai pas trouvé, alors j'en fais un aute. Aujourd'hui je faisais des visites avec un de mes clients, et j'ai eu la chance de visiter des espaces à bureaux dans certaines tours du C-V. Notamment au 22ième étage de la Place du Canada(1010 de la Gauchetière), le 26ième étage de la Tour Scotia(1002 Sherbrooke), le 30ième étage de la Tour CIBC(1155 René-Lévesque) et quelques autres. Tout ça pour vous dire que les vues étaient assez impréssionantes et que j'en ai profité pour jeter un bon coup d'oeil aux Tour Lépines. Je trouve qu'elles paraissent beaucoup mieux que le Roc Fleuri. La Couleur du pre-fab s'intègre mieux et semble bien vieillir. Le Roc Fleuri est beaucoup trop Rose et semble encore plus "cheap". On dirait que les Tour Lépines ont vieillis depuis qu'elles ont été complétées il y a quelques mois. J'aurais juré que ces tours avaient 25 ans et non juste 24 mois!
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Les tours du boisé Architectes:DCYSA Début de la construction:2008 Utilisation: Condos Emplacement: Longueuil sur le parc http://www.lestoursduboise.com ? mètres - 6 étages Description: - 2 phases de 6 étages chacunes
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http://www.villagia.ca/ Une nouvelle tour est en construction... la grue est visible de la 13 et de la 15. Qui peut passer faire un tour dans le coin? Je ne trouve rien sur internet. C'est dans les 14-15 étages si on se fie à la hauteur de la grue montée. D'après-moi c'est sur Place des Cageux parce que la grue est tout près du 4300, un immeuble de 17 étages appelé Les Terrasses Paton. Il y avait un projet de deux tours projetées il y a quelques années.
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Urbania doublera la densité résidentielle Projet de condominiums avoisinant le métro Montmorency par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 25 novembre 2007 à 6:00 Soyez le premier à commenter cet article Vue aérienne de la phase 1 du projet résidentiel Urbania occupant à l'angle Du Souvenir et Le Corbusier une superficie de 265 000 pieds carrés. Aux trois immeubles de 5 étages bordant Le Corbusier s'en ajouteront six autres, soit deux de 8, 10 et de 11 étages (Photo: Martin Alarie) Fichier: Urbania Urbania doublera la densité résidentielle Projet de condominiums avoisinant le métro Montmorency Groupe Le Versant Immobilier nourrit de grandes ambitions pour le développement domiciliaire avoisinant la station terminale Montmorency. Selon une demande de changement de zonage adressée à la Ville, le promoteur immobilier entend presque doubler la densité résidentielle qui avait été initialement projetée pour Urbania, alors que les unités d'habitation passeraient de 312 à 580. Inauguré en grandes pompes à l'automne 2003, le complexe de copropriétés prévoyait à l'origine un ensemble de 9 immeubles de 4 à 5 étages. Actuellement, trois immeubles de 5 étages bordent le boulevard Le Corbusier au sud de du Souvenir, le dernier immeuble de 40 unités ayant été mis en chantier il y a 18 mois. Tours de 11 étages D'après les plans déposés au comité exécutif, on construirait deux nouvelles tours d'habitation de 8 étages, deux tours de 10 étages et deux autres de 11 étages. Au total, ce sont 31 étages additionnels qui s'élèveraient dans le ciel d'un centre-ville en devenir. Ce projet d'implantation révisé n'est pas sans rappeler le changement de vocation auquel se destinait Urbania, il y a deux ans. On parlait à l'époque de la possibilité d'ériger trois tours de 11 et 12 étages destinées aux personnes âgées. Une perspective qui avait alors heurté quelques copropriétaires du bâtiment donnant à l'intersection des boulevards Le Corbusier et du Souvenir. Ceux-ci déploraient le fait que leur immeuble se trouverait plongé dans l'ombre d'une tour et que l'horizon prendrait soudain l'allure d'un mur bétonné à une distance d'à peine cent pieds de leur propriété. «Ce n'est pas l'environnement, ni la qualité de vie que proposait le concept original lorsque j'ai acheté», avait protesté l'un d'eux au Courrier Laval. Pour une toute autre raison, le projet ne s'est jamais concrétisé. Changement de zonage Revenons-en à la demande de modification de zonage qui était à l'ordre du jour, jeudi soir, de l'assemblée de consultation publique tenue à l'hôtel de ville. Si le zonage en vigueur autorise les habitations multifamiliales d'au moins 4 étages, et ce, sans limite de hauteur, «cette augmentation de la densité vient toutefois rendre le projet dérogatoire à certaines normes, dont les rapports des espaces libres, viables et récréatifs», précise le directeur du Service de l'urbanisme dans une récente communication adressée au comité exécutif. D'où la présente démarche pour rendre le projet conforme au zonage en matière de cases de stationnement et de superficie des dépôts à déchets. La Ville a beau se montrer favorable à l'idée de réduire le nombre minimal de cases requis à 1,25 case par logement, elle s'objecte, par contre, à la réduction de la superficie des dépôts à déchets. Densification L'administration Vaillancourt est clairement en faveur de la densification de ce secteur desservi par une station de métro, un important terminus d'autobus de même que par un ensemble d'activités commerciales et publiques. «Une telle augmentation de la densité répond, de façon avantageuse, aux objectifs des nouveaux concepts de planification urbaine du Transit Oriented Development (TOD) apparentés au nouvel urbanisme et au Smart Growth aux États-Unis et en Europe», soutient-on au Service de l'urbanisme. Ces concepts visent à densifier les développements autour des pôles de transport en commun, réduisant d'autant la dépendance des résidants à l'automobile. Lors de l'assemblée consultative, jeudi, le projet de règlement concernant certaines dispositions en matière d'implantation, de stationnement, d'aménagement des espaces extérieurs et de gestion des matières récupérables est passé comme une lettre à la poste.
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21 novembre 2007 - 07h12 La Presse Laurier Cloutier Le marché des tours de bureaux se porte bien et des promoteurs pourraient ainsi en mettre en chantier de nouvelles, prochainement. «Il y a de moins en moins de locaux de bureaux vacants au Canada. Le taux d'inoccupation a rarement atteint un niveau aussi bas et depuis longtemps», déclare à La Presse Affaires le président de la société canadienne de consultants en immobilier GVA Devencore, Jean Laurin. GVA Devencore va compléter «d'ici quelques jours une étude canadienne sur l'immobilier non résidentiel et portant surtout sur les bureaux», indique Jean Laurin. Comme les locaux disponibles deviennent plus rares, «des projets de tours de bureaux devraient lever de terre au Canada et pas seulement dans l'Ouest canadien», assure Jean Laurin. Les manufacturiers de l'Ontario souffrent aussi de la hausse du dollar, notamment dans l'automobile. «Mais trois projets d'immeubles de bureaux sont malgré tout en construction à Toronto, dit Jean Laurin. Ailleurs au Canada, c'est plus tranquille, mais des projets d'immeubles de bureaux devraient quand même être lancés d'ici deux ou trois ans à Montréal, Ottawa, Calgary et Vancouver.» Voilà les paroles de mon patron, c'est encourageant, mais c'est vague. Pas trop trop de détails!
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Montreal Haunts Kathleen Murphy Issue date: 10/30/07 Section: halloween edition Behind every great city there lies at least one chilling ghost story and Montreal is no exception. The Old Port is believed to be the most haunted part of the city. Before it was converted to a restaurant, Le Saint Gabriel was the oldest inn in Montreal and was said to be haunted by the ghost of a young girl who died there in a fire during the 19th century. The Old Port is also the home of Marie-Reine Besnard, the witch of Hotel Dieu, and the infamous lovers Claude Thibault and Marie-Josèphe Angélique, who were allegedly responsible for the fire that destroyed most of the Old Port in 1734. Marie-Josèphe-Angélique was found guilty and gruesomely executed, but Claude Thibault disappeared and was never seen again. London may be famous for Jack the Ripper, but at least all of Jack the Ripper's victims remained dead. This was not the case for victim and prostitute Mary Gallagher. In 1879 she was beheaded by her best friend and fellow prostitute Susan Kennedy. Rumour has it that a downstairs neighbour heard Gallagher's body fall, followed by the sound of an axe chopping for ten whole minutes. Every seven years, Gallagher returns to haunt the streets of Griffintown where she died. Ghosts are still being sighted in Montreal to this day. Le Spectre Montreal is a team of ghost hunters who will help anyone "troubled by paranormal phenomenon" free of charge. If they can't resolve the problem, they recommend people, such as mediums, who can. In November 2001, Le Spectre investigated an old Bed and Breakfast that was haunted by the spirits of previous owners who committed suicide in the building. Images of these spirits can be seen in pictures taken inside the house. Another Le Spectre project took place in June 2002, when a family with two young children moved into a house in the south shore. While playing in the ruins of an old house, the children came across the battered corpse of an old man. The victim had lost a lot of blood and one of his legs had been pulled from his body. The children ran screaming to their parents but when they returned to the house, the body was gone. In June 2001, in St. Joseph (on the north shore), a man took a wedding picture in a gazebo outside the house where he was having his reception. Behind his head in the picture is the image of a small baby's face. Upon asking the owners, the man discovered that 25 years ago a baby girl named Alison Campbell died by drowning in a pond that used to lie under the gazebo. If you are interested in learning more about the ghosts that lurk in Montreal there is a ghost tour that takes place in Old Port. Tours end in September but they have special tours over Halloween
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Quelqu'un du forum mentionnait il y a quelques jours que le feuillet MON TOIT de LA PRESSE contenait une publicité ( demi-page) et ce depuis trois semaines incitant des acheteurs potentiels à s'inscrire pour être dans le groupe d'acheteur qui seront priviliégiés sur un super achat d'un condo et ce à partir de $ 129,000., mais sans donner l'adresse . En allant sur le site pour s'inscrire, l'acheteur doit donner ses infos personnels et attendre des nouvelles. Sur ce, les drapeaux sont maintenant installés, ils ont commencé la vente privé avec des locataires de l'édifice, puis qu'il s'agit d'une conversion en condos. J'avais répondu à une question d'un des membres de ce forum, il y a quelques mois de cette compagnie ( étrangère) propriétaire qui laissait enetndre qu'ilsw investisserait des sous dna sun projet dans le voisinnage du Ritz. J'avais alors répondu qu'il pouuvait s'agir des Tours du Parc qui ont obtenu une conversion en copropriétés des Tours du Parcs, trois édifices locatifs, environ 700 unités ( mais par loi privé en 2005, ils avaient omis d'obtenir la signature de la Ministre de la Culture étant à quelques pas de batiments patrimoniaux etc.etc.... Ils ont donc un bureau de ventes, des condos modèles de prêt et le tout devrait être lancé plus officiellemnt sous peu. Des studios de quelques 400 pi.ca. à $ 130,000. des 31/2 de presque que 800 pi. ca. de $ 160K à $180K selon les étages. Quant à la vue décrite dans leur pub de MON TOIT, le premier édifice en vente est localisé sur de la Montagn et ben proche de la rue Sherbrooke, donc on est en bas de la côte et par rapport à la vue que vante la pub de La Presse......c'est pas trop fort. Ce qui est sûr, c'est comme dit l'expression anglaise.......location, location, location.....mieux situé que ça, tu meurs. Autrement dit, dans le quartier du Ritz, tu peux t'acheter un apart à $ 129K....pas mal, du point de vue investissement......
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Je vous donne deux possibilités: La construction de 4 tours de 50 étages? Ou la création du Quartier du spectacle, du Quartier de la santé et le projet du Havre? Que choississez-vous? Les tours ou les quartiers?
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Le Chagall -Condominiums -Engel Construction and Development Group -2 tours de 17 étages -153 pieds, 47 mètres http://lechagall.com/Chagall/FR/movingup.html http://lechagall.com/Chagall/EN/movingup.html Es-qu'il y a des nouvelles sur ce projet?
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Développement d’un projet immobilier d’envergure sur l’Île Charron (2008) Investissement Luc Poirier développe actuellement un projet immobilier de grande envergure (environ 1 milliard de dollars), qui sera situé sur l’Île Charron à Longueuil. Ce projet immobilier sur les rives du St-Laurent comprendra plusieurs tours de condominiums, de nombreuses maisons, un complexe de condo-hôtel, un spa, un parc national, un golf et une marina. 1 image Pas mauvais! Vous pouvez checker son site ici http://www.investissementlucpoirier.com/projets.html
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Le quadrilatere forme de Wellington, Peel, de la commune, et l'actuelle autoroute bonaventure Un complexe composé de condos, bureaux, commerces ramener l'autoroute bonaveture au niveau du sol, tunnel sous le bassin peel qui sortirait au coeur de ce complexe une rue principale au centre, entourée de buildings entre 10 et 20 étages, avec podium au niveau de la rue d'un maximum de 5 étages, afin que la lumiere puisse se rendre Sur la rue de la commune, trottoir large afin d'attirer cafés et restaurants et de l'espace pour des terrasses. 2 rues secondaires qui serviraient d'acces au parkings des tours ainsi que pour les livraisons, avec un code d'entretien strict afin que ca ne tourne pas en ruelles insalubres Les bureaux seraient plus du coté nord du chemin de fer (en brun et rouge) afin de faire le lien avec ce qui se trouve actuellement dans griffintown. *Je sais pas si ca devait venir dans cette section, alors malek soit libre de le deplacer si ca devrait aller ailleurs
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Symphonia, phases 2 et suivantes - 20, 20, 20 étages
un sujet a posté mtlurb dans Projets oubliés et/ou en suspens
Les phases 3 devraient etre plusieurs tours de 20+ etages.