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  1. Hello all, Saw a sign on Crescent this morning for this project : Centra Condos - Montreal condos for sale, new condo downtown Montreal. 1190 is the site behind Maharaja buffet I know there's a thread for the old project but couldn't find it.
  2. Appel à préserver la vue sur le mont Royal Par Mathias Marchal Métro http://journalmetro.com/actualites/montreal/969153/garder-le-mont-royal-dans-le-paysage/ Josie Desmarais La rue Peel fait partie des rues à partir desquelles la vue sur la Montagne est restreinte La prolifération des tours au centre-ville nuit aux vues sur la montagne et de la montagne, notent des intervenants qui suggèrent notamment de protéger certains corridors visuels. Pour évaluer à quel point le mont Royal est visible à partir du centre-ville, François Bastien, chercheur au département de photographie du Cégep du Vieux-Montréal a notamment parcouru la rue Sainte-Catherine, le long de ses contreforts, et a mesuré à quel point la montagne était visible entre la rue Dufort et l’avenue McGill College. Il présentait ses conclusions la semaine dernière dans le cadre d’une journée d’étude organisée par les Amis de la Montagne et intitulée Le Mont-Royal pourrait-il disparaître? Sur une quinzaine de rues présentées dans sa recherche, seule celle de l’avenue McGill College offre une vue dégagée sur la montagne. «Les rues MacKay, Saint-Mathieu, Pierce et Towers n’offrent aucune vue sur le mont Royal, alors qu’une seule donne à voir le belvédère Kondiaronk, celle de la rue de la Montagne», a souligné M. Bastien. Il a ajouté que le développement immobilier pourrait encore réduire l’aspect visuel de la montagne. S’il convient que la construction de tours sur des lots vacants au centre-ville entre en conflit avec certains éléments du paysage, le chef d’équipe à la division de l’urbanisme de l’arrondissement de Ville-Marie, Bruno Collin, reste ferme: «Si on gelait le développement au centre-ville, on serait collectivement perdant», a-t-il affirmé. M.Collin a présenté de son côté les mesures prises par les autorités municipales pour préserver la vue. «Pour protéger la vue sur le mont Royal à partir de la place Vauquelin, proche de l’hôtel de ville, on a revu toutes les hauteurs maximales des édifices dans cet axe», a-t-il donné en exemple. L’autre aspect pris en compte par l’arrondissement: la vue sur le fleuve Saint-Laurent à partir du belvédère Kondiaronk, qui se réduit au fil de l’érection de nouveaux édifices. «On peut travailler avec le promoteur pour revoir la forme des tours [ou] donner des dérogations pour en augmenter la hauteur et, en contrepartie, en réduire la largeur pour aménager des espaces entre les édifices qui préservent la vue sur le fleuve à partir de la montagne», a-t-il ajouté. Mais la lutte pour la sauvegarde de la vue n’est pas qu’une question de construction, a prévenu François Bastien. Sur la place d’Armes, des arbres ont été plantés récemment. D’ici 10 ans, quand ils seront devenus matures, ils bloqueront la vue sur la montagne, qui est déjà quasiment invisible à partir du Vieux-Montréal, a-t-il lancé. Le chercheur a plaidé pour l’instauration de corridors visuels. «Protéger la vue sur la montagne et depuis la montagne, c’est protéger l’action du regard dans l’espace du lieu, c’est contribuer au maintient de l’identité visuelle de la métropole», a-t-il insisté. 140 Le parc du Mont-Royal a eu 140 ans la semaine dernière. En comparaison, la Ville de Montréal ne dispose d’un service d’urbanisme que depuis 75 ans. Approfondir le sujet: Pour pouvoir en apprendre plus, les autorités municipales et gouvernementales ont mis au point une véritable Bible du Mont-Royal avec une architecte paysagiste. L’Atlas du paysage du mont Royal comprend 233 pages où tous les secteurs de la Montagne sont identifiées et analysées sous plusieurs angles: historique, topographique, paysagère etc. sent via Tapatalk
  3. http://www.groupebourgouin.com/cachemire.html Au coeur des Jardins Angora, Les Tours Cachemire est un projet de 80 unités de condominiums qui conjuguent deux vues, l’une sur la tranquillité de la magnifique forêt d’un parc de conservation naturel, l’autre sur Montréal, sa vie culturelle et ses services. --- TERREBONNE, LE JEUDI 11 JUIN 2015 – Le maire de Terrebonne, M. Jean-Marc Robitaille, accompagné des membres du conseil municipal et du président du Groupe Bourgouin, M. Robert Bourgouin, a fièrement procédé jeudi, en fin d’après-midi, à la pelletée de terre inaugurant officiellement les travaux de construction d’un projet résidentiel d’envergure développé par le Groupe Bourgouin au cœur des Jardins Angora. La première des « Tours le Cachemire », un projet de condos, comprendra 84 unités de logement sur 14 étages, dont 6 penthouses.
  4. Dans LaPresse : Publié le 25 juin 2014 à 09h54 | Mis à jour à 09h54 Le Westmount Square transformé en condos [ATTACH=CONFIG]16318[/ATTACH] La ville de Westmount est contre le projet de conversion du Westmount Square en condos. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRECHETTE, LA PRESSE ANDRÉ DUBUC La Presse La frénésie entourant la copropriété résidentielle gagne les propriétaires de tours de bureaux du centre-ville. La société Elad Canada souhaite convertir en condos le prestigieux édifice de bureaux du 1, Westmount Square, oeuvre de l'architecte Mies van der Rohe. Lors d'une assemblée publique tenue le 4 juin, Amnon Safran, représentant du promoteur, a chiffré à 20 millions le coût de conversion pour aménager 120 unités de copropriété divises dans les 20 étages de la tour de 200 000 pieds carrés. La Ville est contre La Ville de Westmount reçoit négativement le projet. Le 17 mars 2014, elle a instauré un gel de 90 jours qui empêche la conversion d'immeubles de bureaux en condominiums dans le secteur sud-est de la ville. «Tant que la Ville n'a pas terminé son exercice de vision du quartier, on ne veut pas de conversions», explique Johanne Poirier, directrice de l'aménagement urbain. Parmi les exemples récents de conversion, Mme Poirier parle de l'ex-édifice du Reader's Digest, au 215, rue Redfern, et de l'ancienne école Vanguard, au sud de la rue Sainte-Catherine, rue Metcalfe, qui est en voie de démolition. Elle sera remplacée par des condos. «Le conseil réagit à l'accumulation de ce type de projets, poursuit Mme Poirier. Le conseil veut conserver une vocation commerciale à l'intérieur des limites de Westmount. La Ville ne veut pas devenir un secteur 100% résidentiel. Elle veut avoir un mélange d'usages.» Construit en 1966, le Westmount Square est composé de trois tours et d'un quatrième immeuble de deux étages. Deux des tours ont toujours été à vocation résidentielle. Dans les années 2000, elles sont néanmoins passées d'un statut locatif à celui de copropriétés indivises. L'architecte au dossier, Michel Lauzon, du cabinet Lemay, s'est récemment inscrit au registre des lobbyistes. «Le projet de conversion s'inscrit dans un plan de revitalisation globale du complexe de Westmount Square incluant la transformation du centre commercial, le remplacement de systèmes mécaniques et la rénovation complète de l'enveloppe du bâtiment», lit-on dans sa fiche déposée en mai dernier.
  5. <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16.260000228881836px;">http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/406038/batir-des-tours-porteuses-de-sens Bâtir des tours porteuses de sens </header>19 avril 2014 | Frédérique Doyon | Actualités en société <figure class="photo_portrait left" style="box-sizing: border-box; margin: 0px 10px 0px 0px; float: left; width: 224px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16.260000228881836px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : ArwcheekLa tour Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar</figcaption></figure><section class="retenir retenir_portrait" style="box-sizing: border-box; width: 386px; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; line-height: 1.2em; background-color: rgb(239, 239, 242); padding: 15px; color: rgb(28, 30, 124); float: left; margin-bottom: 10px;">«Montréal n'a pas besoin d'être dans cette course à la Dubaï. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d'un côté et pas assez dans le reste du territoire.» — Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture</section> Les édifices emblématiques de Montréal datent des années 1960. Le petit boom changera-t-il la donne ? Qu’est-ce qu’un bon design architectural pour ces hautes structures ? Avec son centre-ville entre fleuve et mont Royal, Montréal n’a pas développé une culture du gratte-ciel. Le mot même est un abus de langage… Et la qualité relative des édifices en hauteur, depuis le boom des années 1960, en témoigne. «Beaucoup de tours sont insignifiantes à Montréal, elles ne sont pas porteuses de sens, souligne Clément Demers, le directeur général du Quartier international de Montréal. Pour avoir une tour de qualité, ça prend un promoteur visionnaire qui croit à la valeur culturelle de l’architecture, pas juste à la valeur financière. Ça prend aussi un marché prêt à l’absorber.» Comme à Toronto, dont la banlieue de Mississauga a retenu l’attention quand les tours de la firme chinoise MAD, surnommées « Marilyn Monroe » pour leurs formes sensuelles, ont remporté le prix Emporis Skyscraper 2013. «L’engouement suscité par le projet [issu d’un concours auquel les promoteurs étaient d’abord réfractaires] a décuplé les investissements», rapporte Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture. Selon Clément Demers, les bâtiments en chantier qui se multiplient à Montréal depuis quelques années, et encore d’ici 2020, majoritairement des condos, n’y ajouteront pas beaucoup de personnalité. Ceux qui se démarquent du skyline — la silhouette caractéristique de la ville telle qu’elle se découpe dans le ciel — sont encore et toujours la fameuse Place Ville-Marie de I.M. Pei (1962), la tour de la Bourse de Luigi Moretti (1963), le Westmount Square de Ludwig Mies van der Rohe (1967). Il ajoute le 1250, René-Lévesque (1992) de Kohn Pedersen Fox and Associates. Rien dans le radar des 20 dernières années, où débute la course aux tours à condos ? Jean-Pierre Chupin signale le bel effort récent du Louis Bohème en face du Devoir, signé Menkes Shooner Dagenais LeTourneux (MSDL) en 2010, pour le souci des matériaux et ses 27 étages qui donnent de l’ampleur à la ville sans lui imposer une masse côté place des Festivals. Car «la principale qualité des édifices en hauteur est leur participation à la construction de la ville, affirme M. Chupin. Est-ce qu’ils la régénèrent ou arrivent comme une brutalité dans la ville?» Il dégage deux autres aspects à considérer pour un design architectural réussi. «La tête d’une tour, c’est sa participation au skyline. C’est ce qu’on remarque en premier. Est-ce que ce sera une forme ou une enseigne?» Au risque parfois de briser le «skyline»plutôt que de l’enrichir… Plus important encore, il y a «le rapport à la rue qu’il ne faut jamais négliger». Effet carte postale Pendant que l’on compte nos (petits) gratte-ciel significatifs sur les doigts d’une main, le reste du monde en abonde. Car la course au plus haut, au plus flamboyant se poursuit, avec un souffle nouveau depuis le chantier du (One) World Trade Center, dans l’après-11- Septembre. Pour le meilleur et pour le pire. «À Dubaï, souvent, ils font les plans avant même de savoir ce qu’ils vont mettre dedans. L’image a beaucoup d’importance. Est-ce qu’on veut un effet carte postale ou une ambiance, une ville habitée?» En explosion dans ces régions émergentes, le gratte-ciel témoigne d’un pouvoir d’affirmation face au monde. Difficile de passer sous silence l’élégant Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar, cylindrique avec sa tête en dôme, qui conjugue lignes contemporaines et motifs d’architecture islamique. Les courbes, injectées dans l’imaginaire architectural par des Antoni Gaudí, Oscar Niemeyer et Frank Gehry, rendues techniquement possibles grâce à l’évolution de l’ingénierie et des outils informatiques, se répandent dans le paysage urbain mondial. «On est dans des tentatives récentes pour revoir la forme», dit M. Chupin en citant le projet montréalais Peterson et ses balcons ondoyants à venir. À l’angle de René-Lévesque et Bleury vient de sortir de terre l’hôtel Marriott Courtyard, avec une courbure qui sert de parfait contre-exemple, selon le professeur de l’École d’architecture de l’Université de Montréal. «Sa forme semi-bombée n’apporte rien à la qualité de l’espace urbain.» «Ce n’est pas parce que les outils le permettent que c’est la solution à appliquer partout», note Anik Shooner, de la firme MSDL, qui insiste sur l’importance d’éviter les modes en architecture et d’analyser les volumes et formes de la ville pour dessiner un édifice. MSDL planche sur deux autres édifices à pleine hauteur, le YUL et le 900, De Maisonneuve. Expérimentation «Montréal n’a pas besoin d’être dans cette course à la Dubaï,clame M. Chupin. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d’un côté et pas assez dans le reste du territoire.» Tant qu’à chercher matière à inspiration, c’est du côté des concours d’idées architecturales eVolo qu’il suggère de regarder. Le premier prix est revenu à l’Américain Jong Ju-lee pour Vernacular Versatility qui reprend, en la transformant, la tradition architecturale coréenne du hanok, aux structures apparentes et aux bordures de toit recourbées. Le troisième prix remporté par les Sino-Canadiens YuHao Liu et Rui Wu explore l’usage structurel du CO2 dans les gratte-ciel. Un champ de recherche qu’il juge sous- exploité à Montréal, malgré les étiquettes LEED qui se multiplient. «Une tour devrait être un lieu d’expérimentation et d’apothéose, dit M. Chupin rappelant la longue vie de ces mégastructures. Là, alors, on mériterait de parler d’un Montréal du futur.»
  6. <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;">http://www.ledevoir.com/art-de-vivre/voyage/401202/tourismeurbain-le-charme-apres-la-conquete TOURISME URBAINPasser «Go» et réclamer la ville Des tours de vélo à New York, à Chicago et à Montréal. Zéro auto. Les mains sur le guidon. </header>1 mars 2014 | Émilie Folie-Boivin | Voyage <figure class="photo_portrait left" style="box-sizing: border-box; margin: 0px 10px 0px 0px; float: left; width: 224px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : Émilie Folie-Boivin Le DevoirLe tour Bike the Drive de Chicago se déroule dans une boucle de presque 50 kilomètres.</figcaption></figure>La meilleure manière de découvrir les plus beaux profils d’une ville ? Les deux mains sur le guidon, pendant les grands événements de vélo urbain. Petit tour de piste. Dans une grande ville, il vaut mieux se lever de bonne heure pour pédaler sans avoir à jouer du coude avec les voitures. Une fois par année, à l’occasion des tours urbains de New York (Five Boro Bike Tour), Chicago (Bike the Drive) et Montréal (La Féria, rebaptisée Go Vélo Montréal), c’est jour de fête. Pendant quelques heures, les voitures sont interdites sur les routes et les bicyclettes ont le champ libre. Pour en profiter, il faut aussi se lever à l’aube, mais l’expérience est plus sublime que bien des grasses matinées. C’est encore tout récent que les rues des grouillantes New York et Chicago célèbrent la gloire du vélo comme transport alternatif, et leurs efforts fulgurants leur ont permis de se tailler une place enviable parmi les villes nord-américaines où il fait bon rouler. Les activistes de ce mode de transport aux États-Unis s’inspirent d’ailleurs ouvertement du réseau cyclable de Montréal et de son Bixi dans leur développement urbain. Le vélo se porte bien, et ça se sent. Les tours Five Boro Bike Tour, Bike the Drive et ceux de Go Vélo Montréal sont tout sauf des courses. Qu’on roule en CCM ou en Argon, ils sont une célébration de la ville et de la bicyclette. En un avant-midi, on aboutit dans des quartiers que jamais on aurait l’occasion d’explorer autrement ; on rencontre des gens créatifs qui scotchent la bière de la victoire sur leur porte-bagages avec du duct tape gris ; on lève notre casque à ces mamans admirables qui roulent 64 kilomètres avec deux petits copilotes dans la remorque. On engloutit des bananes sur le bras dans les stations de ravitaillement (yé !), reçoit des échantillons de yogourt gratuits (re-yé !). Y a pas que l’avenir qui appartienne à ceux qui se lèvent tôt !
Y a la route aussi. Five Boro Bike Tour - Le charme après la conquête Avec leurs cris de joie sur la ligne de départ, les cyclistes en liesse enterraient le dernier tube de Beyoncé. L’humeur générale était aussi radieuse que la météo au point de départ, près du complexe du World Trade Center à Manhattan. En mai de chaque année, ils sont plus de 30 000 à pédaler les 64 kilomètres du Five Boro Bike Tour (5BBT), l’un des circuits urbains à vélo les plus courus en Amérique du Nord. Les dossards s’envolent presque aussi vite que les billets d’un spectacle d’Arcade Fire. New York a fait du chemin depuis la première édition de l’événement en 1977, auquel ont pris part 250 motivés : en moins de cinq ans, grâce à l’ancienne administration Bloomberg et à la détermination de la chef des transports, Janette Sadik-Khan, la mégalopole s’est métamorphosée. Celle-ci voulait une ville animée aux trottoirs bondés de gens et de mobilier élégant, des places publiques où flâner et des pistes cyclables sur lesquelles les enfants se sentiraient en sécurité. «C’est ce qui définit la qualité de vie dans une ville», disait-elle en entrevue au magazine New York. Mais ce matin-là, ensoleillé, le réseau cyclable était bien le dernier endroit où les participants voulaient rouler. Jusqu’à ce que les voitures reprennent leur dû, les montures auront cinq ponts à se mettre sous le pneumatique, des rues commerciales et résidentielles et des autoroutes (dont la fameuse Brooklyn-Queens Expressway, un interminable quatre-voies dont le seul charme réside dans cette troublante impression que si la fin du monde arrivait et que tout le monde essayait de décamper à vélo, ça ressemblerait à ça). Il y a peu d’occasions de visiter autant d’arrondissements en un week-end à New York. Et dans une journée comme celle-là, avec les résidants qui envoient la main aux cyclistes, on se sent comme de la visite attendue. Après avoir passé un Lower Manhattan saharaesque et bouleversé le jogging dominical dans Central Park, Harlem nous accueillait les bras ouverts avec une chorale gospel. Le genre de spectacles semés un peu partout sur le parcours pour motiver les troupes. À moins de faire un pèlerinage en l’honneur d’Un prince à New York ou d’avoir de la famille dans le coin, peu de visiteurs se rendent dans Queens, mais les cyclistes auront enfin une raison de rencontrer les habitants du coin, suivant un saut de puce dans le Bronx. Après avoir pédalé derrière les entrepôts sur la rue Kent à Brooklyn, le tour débouche sur une rue commerciale. Fait étonnant : au lieu de bouder contre la commotion causée par la fermeture des rues, les commerçants embrassent la parade et en profitent pour faire une vente-trottoir pendant que des cyclistes s’arrêtent pour prendre une bière. Le circuit du 5BBT reste le même chaque année. Et comme chaque fois, la hantise des habitués se dresse dans les tout derniers miles de l’épreuve, à la porte de Staten Island. Avec ses interminables quatre-kilomètres inclinés et venteux, le pont Verrazano-Narrows donne envie de balancer son vélo dans la baie de New York et de rentrer en autostop sans demander son reste. Les participants font presque du surplace à cause des bourrasques. Un père poussant son fils handicapé persiste ; c’est triomphant et le visage écarlate qu’il franchit la ligne d’arrivée à Fort Hamilton, tout de suite à la sortie du pont. «Ça y est… Nous en sommes venus à bout!», dit-il en faisant un clin d’oeil fatigué à fiston. Pas de remise de médailles, pas de temps au chrono. Nous avons vaincu la bête, mais 64 kilomètres plus tard, c’est plutôt elle qui nous a conquis. Le Five Boro Bike Tour, c'est 64 kilomètres à travers cinq arrondissements : Manhattan, Bronx, Queens, Brooklyn, Staten Island. Quand: le premier dimanche de mai, soit le 4 mai 2014. Le circuit, plutôt plat et accessible, s’adresse aux gens de tous les âges en bonne forme physique. Il y a plusieurs stations de ravitaillement en chemin, l’organisation est impeccable et les responsables de la sécurité sont nombreux, autant au bord de la route que sur deux roues. Les billets à prix régulier se sont rapidement envolés en janvier, mais il reste des places VIP (à 325 $ par tête) pour le tour de 2014. *** Bike the Drive - Le pouls de l'artère Drive, comme dans Lake Shore Drive, l’autoroute devant le bord de mer de la ville de Chicago. Cette artère est le terrain de jeu sur lequel 20 000 cyclistes ont la chance de s’amuser cette unique fois chaque année. Dans le rayon des tours urbains, le Bike the Drive de Chicago se distingue par son circuit en « 8 » d’environ 50 kilomètres (deux boucles de 24 kilomètres au sud et au nord de Grant Park). Les huit voies rapides sont ouvertes dès 5 h 30 pour un avant-midi de balade à vélo. Puisqu’il n’y a pas de coup d’envoi comme à Montréal et à New York, on embarque dans le flot de vélos en sachant qu’on a jusqu’à 10 h 15 pour terminer le parcours. Comme le circuit est balisé et que la chaussée de cette route achalandée est plutôt en bon état, ce tour comporte une note plus sportive et c’est à coeur joie que les cyclistes peuvent mettre à l’épreuve leur monture de course dans les corridors. Ils s’y prennent à l’aube, avant que les promeneurs joignent le mouvement ; ils sont nombreux à se déplacer en groupe et à rouler avec leur bichon maltais ou leur chihuahua attaché dans le panier à bagage. Rencontré dans l’une des deux stations de ravitaillement, Paul est venu du Michigan voisin avec sa fille de 12 ans. «Nous l’essayons pour une deuxième fois. L’an dernier, nous n’avons fait que la boucle nord, mais là, nous nous lançons pour le grand tour avec le sud. Le panorama est complètement différent!», dit le natif de Vancouver, en croquant dans un biscuit au beurre d’arachide. Bike The Drive montre en effet deux profils très distincts de Chicago. La portion sud, allant jusqu’à l’avenue Bryn Mawr, est plus campagnarde et nous donne vite l’impression d’être catapulté dans une banlieue tranquille préservée de l’agitation de la métropole. La boucle nord, elle, met à jour les gratte-ciel et la prestance de cette ville qui a le vent en poupe. C’est là aussi que la vue est des plus splendides et que, derrière le muret de béton de l’autoroute, se distingue le bord de l’eau, la plage et les grands parcs. Ça sent le béton réchauffé par le soleil printanier, et quand on ne roule pas au bruit des changements de vitesse, on a le bonheur — ou le malheur, quand il est impossible de les semer — de rouler dans la bulle d’enthousiastes participants équipés de puissantes radios crachant du Foreigner et du vieux Daft Punk. La virée culmine par un grand festival au Grant Park, en guise de remerciement aux participants pour avoir contribué à l’amélioration du réseau cyclable dans la ville des vents. Le financement de ses installations est d’ailleurs la raison d’être de ce tour lancé en 2002. L’initiative a porté ses fruits : Chicago a tissé une belle amitié avec les cyclistes. Pour le voir, il faut sortir du Lake Shore Drive et plonger dans la ville. Le maire Rahm Emanuel s’est mis au défi de faire en sorte que les Chicagoans résident à moins de 0,5 kilomètre d’une piste cyclable ; pour l’instant, le réseau compte plus de 300 kilomètres. Ses nouveaux Divvy, inspirés du Bixi montréalais, sont en fonction depuis l’été dernier et remportent un vif succès. De passage à Chicago, les visiteurs peuvent en tout temps goûter au paysage qu’offre le Bike the Drive puisqu’une grande piste cyclable de près de 30 kilomètres, le Lakefront Trail, longe le lac Michigan. Par contre, seul l’événement procure l’effet grisant de se laisser porter par l’euphorie d’une masse critique. Le Bike the Drive, c’est près de 50 kilomètres en deux boucles sur l’autoroute Lake Shore Drive, fermée aux automobiles entre 5 h 30 et 10 h 15. Quand: le dernier dimanche de mai, soit le 25 mai 2014. Parfait pour les cyclistes plus sportifs puisque les voies sont larges et bien entretenues. Les familles et les cyclistes contemplatifs y trouveront leur compte puisque le parcours, qu’on peut faire à moitié, est relativement plat. Billets: à partir de 46 $ (41 $ jusqu’au 2 mars). *** Go vélo Montréal - La métropole a un je-ne-sais-quoi...On avait beau être trempé jusqu’à la moelle avant même le signal de départ du Tour de l’île de Montréal, l’été dernier, l’averse n’a pas réussi à enlever une once du charme de l’expérience. Faut le faire. Le festival Go Vélo Montréal, qui regroupe tous les circuits du Tour de l’île et qui célèbre ses 30 ans en 2014, a ce je-ne-sais-quoi de très spécial. Il est sans conteste le plus enivrant des tours urbains abordés ici, et ce n’est pas parce qu’il se passe dans notre cour ; très sincèrement, il rassemble ce que le Québec a de mieux. Contrairement aux parcours toujours identiques du Bike the Drive et du Five Boro Bike Tour, Vélo Québec se fait un devoir de modifier les siens tous les ans. Combinée à l’enthousiasme des bénévoles et à la générosité des spectateurs, l’expérience en terre québécoise est animée, humaine, vivante. Sorte de fièvre du vendredi soir, les 20 kilomètres du Tour la nuit rassemblent les familles, les gangs d’amis, les amoureux et les geeks qui parent leur monture de lumières de Noël branchées sur dynamo et les libèrent dans les quartiers résidentiels autant que dans les carrières éclairées. Cette fête du vélo et de l’activité physique devient une fête des voisins : les spectateurs veillent sur le perron pour encourager les participants et certains dépoussièrent accordéon et crécelle. «Le Tour la nuit, c’est la Montréal nightlife à son meilleur, décrivait Joëlle Sévigny, la directrice générale de Vélo Québec, quelques jours avant l’activité. S’il y avait un événement à nommer pour témoigner de la solidarité d’une ville, je dirais que le Tour de l’île en est une belle incarnation.» Pour les visiteurs du Québec et de l’étranger, l’expérience du Tour de l’île le dimanche est une occasion unique de constater que Montréal est plus qu’un immense et égocentrique centre-ville. La vie (et la vue) des riverains de LaSalle a conquis les Rosemontois pur jus avec qui j’ai roulé les 50 kilomètres, en juin dernier. C’est un peu le beau risque des tours urbains. En explorant de nouveaux territoires dans ces rues exemptes de toute circulation automobile, on réalise à quel point elle peut être belle, la ville. Le Festival Go Vélo Montréal, c’est une semaine de festivités et un vaste programme pour tous les goûts. Au total, 11 circuits sont proposés pour le Tour la nuit, le Défi métropolitain et le Tour de l’île réunis, s’adressant aux cyclistes contemplatifs autant qu’aux sportifs, afin de permettre à un maximum de personnes de prendre part à la fête. Pour le 30e anniversaire, les cyclistes auront une chance unique d’entreprendre le « vrai » Tour de l’île de 130 kilomètres. Quand: du 25 mai au 1er juin 2014. Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans. *** Aux tours de Vélos Québec Voyages Il y a plusieurs façons de prendre part aux tours urbains de New York et Chicago. Vélo Québec Voyages propose chaque année de longs week-ends pour profiter de la ville lors de ces célébrations du vélo. Le séjour comprend le transport, et l’hô- tel est toujours très bien situé au cœur du centre-ville. L’an dernier, ils étaient 137 Québécois à partir en autobus pour le Five Boro Bike Tour, munis de leur vélo transporté quant à lui dans un camion de marchandise. Le jour J, les accompagnateurs outillés s’occupent de tout. Ils font toutes les mises au point des montures avant le départ et l’autobus attend les participants à Staten Island. Un beau luxe, très, très bien organisé. Pour voir s’il reste des dossards et pour réserver sa place à bord. Notre journaliste s’est rendue à Chicago et à New York à l’invitation de Vélo Québec Voyages.
  7. Projet de condominiums de 3 tours de 4 étages construites en 3 phases. Chaque phase aura 32 unités. Prix: à partir de 167,200$. Livraison: Été 2013. Voir le site web Emplacement 9199, rue Maurice-Duplessis Rivière-des-Prairies, Montréal (Québec) http://www.leroyalcondos.ca/
  8. Et mtlurb est mentionné!! http://www.lapresse.ca/le-soleil/maison/architecture/201305/30/01-4656123-les-murs-de-montreal-decortiques.php
  9. Publié le 10 avril 2013 à 08h10 | Mis à jour à 08h54 Laval: la «tour Vaillancourt» n'est pas le seul projet controversé FRANCIS VAILLES La Presse La tour de condos que devait habiter l'ex-maire Gilles Vaillancourt, rue des Cageux, n'est pas la seule à susciter la grogne de citoyens à Laval. Les partis d'opposition dénoncent d'ailleurs la multiplication des projets contestés. «Déroger aux règles ou construire sans permis est une affaire récurrente à Laval», affirme Robert Bordeleau, président du Parti au service du citoyen (PSC). Selon une enquête de La Presse, rappelons-le, la tour de condos de 14 étages de la rue des Cageux a été construite en infraction des règlements de zonage. Les manquements sont tels que les citoyens voisins sont en droit de demander la démolition de l'immeuble. Dans ce secteur près de l'île Paton, seuls des bâtiments de huit étages et moins sont autorisés et aucun règlement valable n'a été adopté pour changer ce zonage, selon des avocats consultés par La Presse. Le cas des Résidences Soleil Robert Bordeleau, du PSC, donne d'autres exemples problématiques à Laval, comme le cas des Résidences Soleil, une tour de 25 étages dont la construction avait débuté sans la délivrance du permis de construction. La résidence pour personnes âgées est située en plein coeur de Laval, boulevard de l'Avenir. Robert Borderleau mentionne également le projet du domaine Mont-Laval, dans le quartier Sainte-Dorothée. Une vingtaine de tours de 6 à 20 étages y sont prévues. La première phase (4 bâtiments, 274 logements) a commencé. Robert Bordeleau rappelle qu'en février 2009, les promoteurs avaient obtenu une résolution du comité exécutif de la Ville pour modifier le zonage avant de devenir officiellement propriétaires du terrain. Le projet sur les terrains de l'ancienne marina Commodore, boulevard Lévesque Est, soulève également le mécontentement des citoyens. Du jour au lendemain, la vue sur la rivière des résidants du quartier Pont-Viau sera bloquée par les deux tours de 27 et 28 étages. «De nombreux citoyens ne sont pas contents. Un groupe s'est d'ailleurs présenté à l'hôtel de ville l'automne dernier, mais le projet ira tout de même de l'avant», a déclaré David de Cotis, président du Mouvement Lavallois. Les deux tours seront situées dans le corridor d'accès au métro Cartier. Il est visé par le Plan particulier d'urbanisme (PPU) adopté par le conseil municipal en juin dernier. Une pétition en cours Plus à l'ouest, une autre tour de condos, cette fois de 15 étages, en bordure de la rivière des Prairies, est en gestation. Le bâtiment serait construit à l'angle du boulevard Lévesque, près du pont Papineau-Leblanc, dans le quartier Duvernay. Une pétition pour s'opposer au projet dans le quartier est en cours et une assemblée publique aura lieu à l'hôtel de ville le 18 avril, à 19h. Enfin, le projet de deux tours de 10 étages à Fabreville, baptisé Rosa Nova, suscite également la grogne de certains citoyens. Le projet situé dans une zone inondable a fait l'objet de débats devant les tribunaux. L'ordonnance interdisant la poursuite des travaux a toutefois été annulée en novembre dernier, dans l'attente d'une décision du ministère de l'Environnement. Concernant la «tour Vaillancourt», rue des Cageux, les deux partis d'opposition ne sont pas chauds à l'idée d'entreprendre une démarche pour faire démolir l'immeuble, notamment parce qu'elle pénaliserait des propriétaires qui ont acheté de bonne foi.
  10. 5 décembre 2012 La Presse DANIELLE BONNEAU VIVRE EN HAUTEUR LA VILLE SOUS LES YEUX «Montréal fait son entrée dans les ligues majeures, dans le secteur résidentiel. Comme on le voit partout en Amérique du Nord, beaucoup préfèrent s’installer en ville plutôt qu’en banlieue pour ne pas perdre des heures dans les bouchons.» — Daniel Peritz, vice-président principal chez Canderel. La construction de gratte-ciel au centre-ville de Montréal, au ralenti depuis 1992, connaît un nouvel essor. Mais, plutôt que des immeubles de bureaux, ce sont principalement des tours de condos qui s’ajoutent, une à une. Ce phénomène a pris de l’ampleur avec le lancement cette année de plusieurs projets résidentiels de 35, 40 et même 50 étages! Seront-ils tous construits ? Une chose est certaine, une telle effervescence en dit long sur le désir de vivre en hauteur. On construit beaucoup à Montréal, mais tout de même pas autant qu’à Toronto, où Canderel bâtit actuellement la plus haute tour résidentielle au Canada. Du haut de ses 78 étages, le gratteciel Aura at College Park devrait atteindre 273 m et comprendre 985 appartements. Toronto compte d’ailleurs le plus grand nombre de gratte-ciel et d’édifices en hauteur en construction en Amérique du Nord, a révélé à la fin du mois d’octobre la firme allemande Emporis, spécialisée dans la compilation de données sur les immeubles partout dans le monde. La Ville reine, avec 147 immeubles du genre en chantier – des édifices d’au moins 35 m de hauteur (12 à 39 étages) et des gratte-ciel d’au moins 100 m de hauteur (40 étages ou plus) –, devance largement New York, qui en a 72. Surprise: Montréal se classe au quatrième rang, avec 20 gratte-ciel et édifices en hauteur en construction, tout juste derrière Vancouver, qui en compte 21. C’est davantage qu’à Chicago (17), Calgary et Miami (13), Boston et Ottawa (12). Plus de 30 étages En plein centre - ville de Montréal, trois imposants chantiers résidentiels, en tout ou en partie, attirent l’attention : le V, immeuble de 44 étages jumelé au futur hôtel Marriott Courtyard Montréal centre-ville, qui comptera 220 appartements locatifs haut de gamme ; le complexe Altoria Aimia, qui vise la certification écologique LEED et dont la tour de 35 étages comprendra des bureaux aux 10 premiers étages et des appartements en copropriété aux 25 étages supérieurs ; et Altitude Montréal, luxueux immeuble en copropriété de 33 étages qui devrait être terminé en mars prochain. Cette tendance devrait se poursuivre, puisque les ambitieux projets résidentiels de plus de 30 étages se multiplient au coeur du centre-ville depuis le printemps. En effet, les bureaux des ventes de L’Avenue (50 étages, 175 m), de la Tour des Canadiens (48 étages, 160 m), d’Icône (deux tours de 40 et 30 étages), du Roccabella (deux tours de 40 étages), de Tom Condos (40 étages) et du Peterson (31 étages) sont ouverts. Univers, qui devrait être lancé à l’automne 2013, fait par ailleurs déjà parler de lui avec ses quatre tours, dont la plus haute devrait atteindre 40 étages. « Montréal fait son entrée dans les ligues majeures, dans le secteur résidentiel, constate Daniel Peritz, vice-président principal chez Canderel, un des promoteurs de la Tour des Canadiens. Cela démontre la maturité de notre centre-ville, où l’on peut travailler, se divertir et vivre en toute sécurité. Comme on le voit partout en Amérique du Nord, et notamment à Toronto, beaucoup préfèrent s’installer en ville plutôt qu’en banlieue pour ne pas perdre des heures dans les bouchons.» Y a-t-il une compétition pour construire l’édifice résidentiel le plus haut en ville ? Pas vraiment. Mais en proposant L’Avenue, gratte-ciel de 50 étages qui remporterait ce titre, Broccolini a démontré sa volonté de se démarquer. « Dès le départ, nous voulions faire quelque chose de spécial », indique Michael Broccolini, gestionnaire immobilier dans l’entreprise familiale.
  11. 07/08/2012 Mise à jour: 7 août 2012 | 15:11 Ajuster la taille du texte Le boom touristique montréalais décortiqué Le renouveau du tourisme montréalais analysé par deux de ses acteurs. Au début des années 1990, la ville faisait pâle figure sur la scène touristique. Le Biodôme et le Casino n’existaient pas et le Vieux-Port n’avait pas encore été réaménagé. Vingt-cinq ans plus tard, Montréal est méconnaissable. Le tourisme a bondi de 56% et la ville a connu le plus gros boom hôtelier de la décennie en Amérique du Nord avec 3000 chambres de plus (+16%). La ville figure désormais dans des dizaines de palmarès et concurrence des villes comme Barcelone et Berlin dans le créneau de ville relax et créative. Comment y est-on arrivé? «Tout a commencé en 1992 par les célébrations du 350e anniversaire de fondation de Montréal», indique Pierre Bellerose, porte-parole de Tourisme Montréal. Pour l’occasion les différents paliers de gouvernement ont mis la main à la poche. L’ancien vélodrome des Jeux olympiques de 1976 est devenu le Biodôme, le Vieux-Port s’est transformé en zone touristique et l’ancien pavillon de la France à l’Expo 67 est devenu le Casino de Montréal. Ces trois pôles d’attraction touristiques cumulent aujourd’hui à eux trois 13 millions de visiteurs par an, selon les données compilées par Tourisme Montréal. «Mais la grande réussite aura été de créer de nouveaux quartiers pour unifier le tout», ajoute M. Bellerose. Sur l’autoroute Ville-Marie en partie recouverte, le Quartier international a été créé. En plus d’accueillir de nouvelles tour à bureaux et le Palais des congrès et ses milliers de congressistes, le Quartier international permet de combler le no man’s land qui existait entre le Vieux-Montréal et le centre-ville. Le même travail est actuellement fait avec le Quartier des spectacles. L’Adresse symphonique, la place des Festivals et le 2.22 deviennent des pôles d’attraction pour les touristes, même si certains reprochent la trop grande place laissée au béton dans le concept de réaménagement. L’autre grande force de Montréal est d’avoir su suivre la voie de la diversification du tourisme. «Avant les touristes formait un bloc plutôt homogène pour ne pas dire monolithique; aujourd’hui c’est différent il faut faire du tourisme à la carte», illustre Ruby Roy, présidente du CA de l’Association professionnelle des guides touristiques de Montréal (APGT). Il y a 20 ans, Mme Roy était l’une des seules à faire des tours à vélo. Aujourd’hui, 15% des 150 membres de son association offrent une telle option. Montréal s’est aussi positionnée avec succès comme une destination gaie par excellence derrière San Francisco. Elle est en voie de faire de même du côté gastronomique et l’année 2012 s’annonce comme une année record pour le nombre de croisières jetant l’ancre à Montréal. L’apport de Bixi au tourisme doit aussi être souligné. «Grâce à BIXI, des secteurs moins bien desservis par le transport en commun, comme le canal Lachine, bénéficient d’un afflux de touristes», indique M. Bellerose. Selon les statistiques de l’organisme 8% des touristes ont utilisé le service en 2011. Les legs gouvernementaux liés au 375e anniversaire de Montréal en 2017 seront-ils aussi profitables? Le porte-parole de Tourisme Montréal n’en est pas sûr. «Je ne crois pas qu’on verra naître de nouvelles institutions, l’idée c’est plutôt de faire croître ce qu’on a déjà», dit-il. Parmi les mesures déjà annoncées, signalons la création d’une promenade le long du fleuve au niveau du parc Jean-Drapeau, la rénovation de la place des Nations et la mise en valeur des fondations de l’ancien parlement en aménageant un corridor souterrain à partir du musée Pointe-à-Callières dans un ancien égout pluvial. 5% d’insatisfaits Chaque année, Montréal compte 5% de visiteurs qui ne conseilleront absolument pas Montréal comme destination touristique. «Que ce soit des touristes venus visiter de la famille à Montréal ou des gens d’affaires, ils ont en commun de venir à Montréal par obligation et de ne pas aimer les grandes villes», indique M. Bellerose. La propreté, les embouteillages ou le fait de ne pas arriver à être accueilli en français dans certains commerces figurent parmi les principaux irritants. 32M$ C’est le budget annuel de Tourisme Montréal qui emploie 80 personnes. Les deux tiers de cette somme proviennent de la taxe de 3,5% sur les chambres d’hôtel. Des tours qui détonnent Quelques tours guidés qui sortent du lot. Avec un Montréalais. Des visites personnalisées données par des habitants d’ici. On est particulièrement intrigué par celle-ci : Jouer au golf avec un pro. Saveurs et arômes du Vieux-Montréal. Ou comment découvrir, en mangeant, que la culture amérindienne influence certains de nos plats. Tours guidés vélo et yoga de Fitz et Follwell. Pour les touristes granos qui s’assument. http://journalmetro.com/actualites/montreal/135379/le-boom-touristique-montrealais-decortique/
  12. Le Savignon à Lachine: 2 tours de 8 étages http://www.messagerlachine.com/Actualites/Vos-nouvelles/2012-03-29/article-2942774/Le-19e-complexe-du-Groupe-Maurice-emergera-a-Lachine/1
  13. L'arrondissement de Ville-Marie comptera 10 nouveaux projets immobiliers totalisant des investissements de 600 M$. Ces projets fourniront 1 600 nouveaux logements et 51 600 mètres carrés d'espaces à bureaux.  Un projet résidentiel et commercial sur le site Overdale, comprenant la restauration de la maison Hippolyte-Lafontaine qui deviendra un centre d'interprétation ouvert au public  Une tour résidentielle de 34 étages sur la rue de la Concorde dans le Quartier des spectacle  Un bâtiment mixte à l'ancienne brasserie Ekers, au coin du boulevard St-Laurent et de la rue St-Norbert  Des tours jumelles de 35 étages sur le boulevard René-Lévesque, entre les rues Drummond et de la Montagne  Un bâtiment mixte de 11 étages sur la rue Crescent entre la rue Ste-Catherine et le boulevard René-Lévesque  Un tour à bureaux de 27 étages à l'îlot Windsor  L'agrandissement du magasin Ogilvy et l'aménagement d'un nouveau complexe hôtelier et résidentiel  Des tours résidentielles de 21 et 23 étages, totalisant 327 logements, sur la rue Drummond, entre la rue Ste-Catherine et le boulevard René-Lévesque  Conversion d'un édifice à bureaux en bâtiment résidentiel, abritant 40 logements, au coin du boulevard de Maisonneuve et de la rue Bishop  Un bâtiment résidentiel de sept étages et de 48 logements sur la rue Bishop, entre la rue Ste-Catherine et le boulevard René-Lévesque montreal2025.com
  14. 7 tours de 4 étages sur Jean Béraud à côté du centropolis. http://www.guidehabitation.ca/f1nd/metrocite/ca/qc/condominium/laval/nouveu-projet-de-condominiums-a-vendre-a-laval/fr/x1x1x1x2x/2/
  15. D'après la première évocation, probablement que ce projet sera relié au métro. Conception de quatre tours de 7 à 15 étages comprenant des espaces à bureaux locatifs sur un basilaire de deux étages intégrant des commerces de proximités et des stationnements souterrains. Projet à caractère LEED visant les objectifs suivants : toiture végétale accessible au basilaire, toiture des tours avec membrane réfléchissante blanche, enveloppe performante, choix de matériaux sains, contrôle supérieur de la qualité de l’air, du chauffage et de la climatisation; efficacité énergétique, qualité de vie et confort accru, stationnement intérieur pour vélo avec services douches/casiers et proximité des transports en commun. http://www.bbbl.ca/projectsDetails.php?id=1&cat=5
  16. J'ai failli tomber de ma chaise...venant du Globe I’m in love. Montreal has always reminded me of an unapproachable crush – it’s arty and sophisticated, and, to me, seems to possess an impenetrable coolness. In recent years, the rise of its indie music scene, trendsetting street fashion and unapologetically rustic comfort cuisine has only added to its mystique. On previous visits, I had felt every bit the awkward outsider. I’d wander the streets of Old Montreal or take in the view from atop Mount Royal, keenly aware that those who lived here were going to the better bars, eating fabulous food and participating in all sorts of amazing activities that I couldn’t even begin to imagine. This time, I wanted to crack that barrier. So I joined a tour. Guided tours are typically the antithesis of cool. But Shea Mayer’s Fitz & Follwell Co. is a different kind of tour company. As the Montreal resident explains, his cycling tours aren’t just meant to take visitors to the most popular tourist attractions. Rather, they’re based on his idea of a perfect day in the city. “That’s how I designed the routes: What’s my favourite bagel place? Where do I think the best coffee is? What do I do when I go down to the market?” he says. His Bike & Yoga tour, for example, takes visitors through the bohemian neighbourhood of Le Plateau, with a break along the way for smoothies at his favourite juice bar and stops for yoga sessions in three of the area’s tranquil parks. His all-day Mountainside to Riverbank package offers a more challenging ride for seasoned cyclists up to the top of Mount Royal, then down along the St. Lawrence River to Saint-Helen’s and Notre Dame Islands. I chose to tag along on his ’Hoods and Hidden Gems tour, lured by the promise I would be immersed “in the local hangouts of the city’s hippest habitants.” Upon my arrival at his Mount-Royal West Avenue shop, Mr. Mayer sets me up with a sleek black city cruiser, which he has christened “Jeanne,” after the pioneering Montreal nurse Jeanne Mance. (All of the bikes at his shop are similarly named after the city’s historic figures, like “Molson” after the beer tycoon, and “Lili” after the legendary burlesque dancer Lili St Cyr.) Montreal is renowned for being a bike-friendly city, with designated cycling lanes throughout the side streets and thoroughfares. It’s also the launching pad for the now-famous Bixi, a bike-sharing system that allows users to rent a vehicle from one of the many stations scattered around town and deposit it at another station when they’re finished riding. The system has proved so popular that cities around the world, from Toronto to Melbourne, have adopted it. But because Bixi bikes are meant for only short commutes, they’re not ideal for longer, leisurely trips. My Jeanne offers a smoother ride. Mr. Mayer leads our small group through the tony francophone enclave of Outremont and Le Plateau. Along our route, he stops to point out quirky details, not always found in guide books, such as where larpers (live action role players) gather to enact their fantastical battles or where resident bohemians hold their “tam tams,” or drum sessions. We stop to pick up freshly baked bagels at the Montreal institution St. Viateur Bagel, and tote them across the street to Mr. Mayer’s neighbourhood hangout, Café Olympico, where he orders us the café’s specialty espresso coffees. La suite ici: http://www.theglobeandmail.com/life/travel/destinations/travel-canada/how-i-fell-in-love-with-montreal/article2192143/
  17. Nouveau projet de condos à Laval, proche du Carrefour. Selon la pancarte, il s'agit de 3 tours d'environ 15 étages chacunes. 3283 av Jean-Beraud Laval, QC, H7T2L2 http://www.lesignature.ca/à À suivre
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  19. Il y aura 8 nouvelles tours de condos de 12 à 14 étages dans le centre-ville de Laval (à 12-14 étages, ce ne sont pas nécessairement des tours, mais ce n'est pas si mal pour Laval). Ce projet sera situé au nord de Centropolis, entre les rues Édouard-Montpetit et l'avenue du Cosmodôme. Voici le lien pour l'Echo de Laval. Je n'ai pas réussi à avoir de lien direct avec l'article, mais si vous cliquez sur l'image du journal à la droite de l'écran, un journal électronique s'ouvria. C'est à la page 32 (pour l'édition du jeudi 2 septembre). http://lechodelaval.canoe.ca/webapp/sitepages/ C'est le Groupe ALTA-SOCAM qui est le promotteur. Voici le site (en construction) du projet: http://www.condosviva.com/ J'ai mis ce projet dans approuvé parce le bureau de ventes est sensé ouvrir ce mois-ci. De plus, il y a rarement des problèmes du genre «office des NIMBY» à Laval...
  20. il y a eu plusieurs thead sur les habitations jeanne-mance, qui sont destine un jour je pense a faire l'objet d'un developement controverse, parce que personne a l'air d'etre d'accord sur la maniere de proceder pour raviver le quartier et permettre de nouveaux developement sur ces terrains a la localisation si critique, tout en menageant les occupants existants des hlm. alors, voici a ce sujet, mes deux cennes: sans avoir d'idee sur l'allure ou l'arrangement particulier qu'auraient les nouveaux developement sur les lots vacants du quartier latin autour de l'universite du quebec a montreal, ainsi que les lots presentements occupes par les habitations jeanne-mances, voici comment j'organiserais l'espace de facon generale: dans le but de favoriser le maintien d'un certain niveau de mixite sociale dans le secteur, les terrains sur lesquelles se trouvent presentement la coop des habitations jeanne-mance auraient a maintenir un certain pourcentage de logement sociaux dans des tours residentielles locatives. en augmentant la densite en remplacant les petits immeubles par des tours, la quantite actuelle de loyers modiques pourrait etre maintenue tout en offrants des logements un peu plus dispendieux a travers les memes immeubles. des residences etudiants pour l'uqam et le cegep du vieux montreal pourraient aussi y etre amenage. ces lots sont identifies en jaune sur mon plan. ensuite, les rues de bullion et hotel de ville seraient raccordees a leur troncon nord, aidant a desenclaver le secteur et peut-etre apporter des clients supplementaires aux commerces existants via de la circulation de transit. de plus, les extentions permettraient de fluidifier la circulation accrue par la densification du quartier, et en moindre partie a y ajouter quelques espaces de stationnement. l'espace au centre de ce quadrilatere serait occupe par le parc ainsi que le jardin communautaire existants, qui verraient leur superficie quelque peu augmentee , mais surtout leur acces au residents du quartiers grandement ameliore. le parc est actuellement amenage de facon telle qu'il est difficile de cerner ses limites de celles des cooperatives d'habitation, ce qui decourage sa frequentation par des gens qui ne demeurent pas necessairement dans les hlm. et s'il le faut, le parc pourrait meme s'etendre sur le lot juste au sud de maisonneuve, ou prendre de l'espace a l'est et a l'ouest de hotel-de-ville ou de bullion. c'est le terrain que j'ai marque en vert, sur l'image. le reste des lots du quartier, que j'ai identifie en bleu, ne seraient pas tenus d'accueuillir un quelconque pourcentage en logement sociaux, et seraient donc a plus forte raison des tours a condominium. encore une fois, une augmentation de la densite serait a encourager, et les etages inferieur seraient de preference occupes par des commerces. aussi, tel que suggere il y a un certain temps par un usage d'un autre forum, une partie du terrain de l'edicule de la station saint-laurent pourrait etre reservee a l'accueuil de commerces ambulants, comme ceux que l'on retrouve a la station mont-royal entre autre, en particulier un genre de "farmer's market" ou les residents pourraient se procurer des fruits et legumes frais 24h par jour. [edit: un "plan B" a mon plan serait de repartir a travers le secteur les terrains "jaunes", pour favoriser encore plus la mixite. ainsi, certains lots marque en jaune pourraient en fait etre des tours a condo "bleues" et quelques un des terrains "bleus" au sud de ste-catherine pourraient accueillir du logement social pour relocalise les residents actuels des hlm.] je pense que, peu importe que vous soyez pour ou contre les logements sociaux au centre-ville, on doit reconnaitre que l'etat actuel des choses est au mieux une utilisation sub optimale des lieux, et que la finalisation du quartier des spectacles apportera sans aucun doute des pressions de redevelopement au secteur. personnellement, si on peut conserver les residents actuels et en ajouter [des mieux nantis], tout le monde sera gagnant. et avec tout ces nouveau residents dans le quartier, le troncon de ste-catherine et de st-laurent qui paraissent si morts pour l'instant se verraient sans aucun doute revitalise, de facon toute naturelle. ------------------------------------- disclaimer: excusez la lecture de mes mots, j'ai plusieurs langues secondes.
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  22. Danielle Bonneau La Presse Adieu mer d'asphalte et immenses terrains sous-utilisés le long du boulevard Newman, à proximité du Carrefour Angrignon et de la station de métro du même nom. L'arrondissement de LaSalle a récemment changé son règlement de zonage pour donner naissance au Quartier Angrignon et permettre la construction d'immeubles résidentiels de six, douze et même seize étages selon les endroits. Tout un changement pour cette ancienne municipalité réputée pour ses plex! Le but visé: se servir du pouvoir d'attraction de la station de métro Angrignon pour donner un nouveau souffle au secteur environnant selon les principes du TOD (Transit Oriented Development ou développement axé sur le transport en commun). Environ 3000 nouveaux logements de diverses typologies pourraient ainsi s'ajouter au cours des prochaines années dans le nouveau quartier. «En ceinturant le boulevard Newman d'édifices de haute densité, nous pourrons rentabiliser les infrastructures existantes, obtenir de nouveaux revenus et conserver un compte de taxe intéressant pour les LaSallois, indique la mairesse, Manon Barbe, responsable du transport au sein du comité exécutif de la Ville de Montréal. Cela nous permettra d'offrir un nouveau type d'habitation qui n'existait pas à LaSalle, à l'exception de résidences pour personnes retraitées.»» Les premières tours Les Tours Angrignon, du Réseau Sélection, situées à côté de la station de métro Angrignon, ont été les premiers édifices en hauteur de l'arrondissement. Les deux premières tours, inaugurés en 2004 et 2005, comptent chacun 16 étages. Le troisième immeuble locatif, en construction, aura 12 étages. S'inscrivant dans la vision de l'arrondissement, cette phase III est le premier projet à se concrétiser dans le Quartier Angrignon. «Nous avons voulu construire des tours en hauteur pour que notre clientèle, formée de retraités actifs, profite de la très belle vue sur les environs, explique Réal Bouclin, président du Réseau Sélection. Ce site est intéressant pour l'ensemble des services offerts à proximité, que ce soit le Carrefour Angrignon, les commerces le long du boulevard Newman, le parc Angrignon et la station de métro. Celle-ci est très pratique pour ceux qui viennent visiter leurs proches.» D'autres projets sont à l'étape de la conception. Les Constructions G. Melatti, entreprise familiale très active à LaSalle depuis plus de 40 ans, veut réaliser un complexe haut de gamme d'environ 300 unités, répartis dans trois immeubles de 12 étages. Ceux-ci devraient être construits à l'intersection des boulevards Newman et des Trinitaires, à côté des Tours Angrignon. «LaSalle est en transition, indique avec satisfaction Gino Melatti Junior. Il faut construire en hauteur, dans certains secteurs, pour être compétitif avec les autres arrondissements.» En 2008, selon les données de la Société d'hypothèques et de logement (SCHL), il n'y a eu que 50 mises en chantiers résidentielles à LaSalle, comparativement à 105 à Lachine, 139 à Verdun et 355 dans le Sud-Ouest, note Gilles Dubien, directeur général de la Chambre de commerce et d'industrie du Sud-Ouest de Montréal, active dans les quatre secteurs. Absence de terrains «Il n'y a plus de terrains à développer, renchérit l'architecte Michel Langlois, un des directeurs du conseil d'administration de la chambre. Il faut s'inspirer de ce qui se fait à New York, Boston et Vancouver, et densifier comme on ne l'a jamais fait. Les jeunes, d'ailleurs, sont prêts à habiter dans des complexes d'habitation en hauteur, souvent très attrayants, quand ils sont à proximité d'une station de métro.» Un projet d'environ 300 unités, qui serait construit à l'intersection du boulevard Newman et de la rue Léger est à l'étude. Un autre promoteur est par ailleurs intéressé à changer la vocation du terrain anciennement occupé par l'usine Domfer (voir la carte). Environ 1000 logements pourraient y être construits dans des immeubles de quatre à seize étages. «Plusieurs terrains, comme celui de Domfer, doivent être décontaminés, ce qui augmente le prix du terrain, indique Sylvie Champagne, chef de la division de l'urbanisme de l'arrondissement de LaSalle. Il faut densifier pour répartir les coûts. Plutôt que d'y aller un projet à la fois, nous avons élaboré un concept global pour que le Quartier Angrignon devienne un véritable milieu de vie.»
  23. Dans La Presse de ce matin, il y a deux articles sur le Quartier Angrignon, on y mentionne ce projet ainsi que d'autres plus denses et hauts. Je n'ai pas trouvé les articles en ligne, mais le plan de zonage de tout ce secteur a été changé pour développer selon les principes du TOD. On aura le droit dans le secteur à des tours de 6, 12, et 16 étages. On y parle de 7 projets en préparation ou potentiels: - un développement de 1000 unités en préparation sur le terrain de l'usine Domfer. - Un potentiel de 1000 unités face aux Tours Angrignon à développer. - Un projet de 300 unités dans 3 tours de 12 étages par Constructions G. Melatti (voisin des Tours Angrignon) - La Tour Angrignon phase 3, en construction, 12 étages - Un potentiel de développement sur le terrain du Carrefour Angrignon, si le propriétaire le souhaite. - Un projet non nommé à l'étude de 300 unités, voisin du Bois-des-Caryers. - Finalement ce projet-ci, Bois-des-Caryers, 600 unités au total. Bref, on dirait qu'il va avoir, malgré tout, un peu de densité dans le coin! Pour le quartier comme tel, on prévoit de la mise en valeur des espaces verts, de nouveaux arbres, du nouveau mobilier urbain, des corridors pour le transport collectif et un nouveau lien vert entre le métro Angrignon et le train de banlieue Lasalle.
  24. Salut ! J'ai une vision qui me trote dans la tête depuis un bout. Avant Après Je m'explique, je trouve que l'ancien incinérateur des carrières est très mal utilisé, il l'est pas !, je le trouve vraiment extra ! il est vraiment futuriste. Je trouve qu'il représente bien le Montréal industriel. Ma vision, un musée sur l'histoire industriel, à l'intérieur, des expositions de photo, des écran qui diffuse des documentaires sur le Montréal industriel. Les tours, je leurs installent des escaliers tournant avec un poste d'observation au sommet, le tout protégé par une tour de verre et une terrasse sur le toit. Le terrain devient un parc urbain. Mon plan n'est pas super, je vais l'améliorer.
  25. Une grue très haute est apparue en fin de semaine proche des rues Daniel Johnson et le Carrefour... Même plus haute que les nouvelles tours de 15 étages un peu plus loin (mais pas assez proche pour que la grue les touchent). Je suis allé faire un tour, le trou est géant, assez profond, fait facilement 3 étages de profond, mais la pancarte montre des condos de 4 étages. Sur internet: 400 unités c'est quand même important, en espérant qu'il y a une surprise pour les fans de hautes tours
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