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  1. L'Adresse sur le fleuve voit le jour et annonce l'ouverture du pavillon des ventesUn partenariat signé : Société de développement 3R, Fonds immobilier de solidarité FTQ et Broccolini TROIS-RIVIÈRES, QC, le 11 déc. 2012 /CNW Telbec/ - C'est ce matin, en présence de M. Yves Lévesque, maire de Trois-Rivières, M. Richard Thibault, président de Société de développement 3R, M. Normand Bélanger, président-directeur général du Fonds immobilier de solidarité FTQ et de M. Joseph Broccolini, vice-président de Broccolini, qu'a eu lieu l'ouverture officielle du pavillon des ventes du magnifique projet de développement résidentiel L'Adresse sur le fleuve. Situé au confluent de la rivière Saint-Maurice et du fleuve Saint-Laurent à Trois-Rivières, ce nouveau milieu de vie s'implante sur l'un des plus beaux sites du Québec. « L'engouement pour le projet est très présent dans la communauté. Déjà, de futurs acheteurs nous ont fait part de leur impatience à aménager dans ce développement prestigieux, » a soutenu M. Thibault. « Nous sommes très fiers de nous associer à ce projet qui, pour cette première phase, permettra de créer ou de maintenir quelque 500 emplois d'ici quatre ans. Aussi, ce partenariat nous permet une fois de plus de consolider notre présence à Trois-Rivières. Nous sommes convaincus qu'avec sa localisation exceptionnelle, L'Adresse sur le fleuve répondra aux besoins des citoyens désireux de profiter d'un milieu de vie paisible et confortable, a soutenu M. Normand Bélanger, président-directeur général du Fonds immobilier de solidarité FTQ. De plus, je tiens à saluer les partenaires, les professionnels et les collaborateurs de ce projet, car ensemble nous formons une équipe dynamique faisant preuve d'une grande expertise. » « Quel privilège pour Broccolini d'être associé à L'Adresse sur le fleuve. Ce projet immobilier de grande envergure, par son architecture ainsi que sa localisation avec vue sur le fleuve, offrira aux Trifluviens un style de vie incomparable et deviendra une référence dans la ville. Broccolini est fière de contribuer à l'essor économique de Trois-Rivières et remercie ses partenaires pour la confiance témoignée, » a mentionné M. Joseph Broccolini, vice-président de Broccolini. Le pavillon des ventes présente l'aménagement du site ainsi que l'intérieur des copropriétés qui seront construites dans la première phase du projet. Cette étape comprendra la construction de 228 unités d'habitation d'architecture moderne réparties entre une tour de 16 étages et 5 immeubles de 4 étages. La superficie des unités variera de 850 pieds carrés à 2 200 pieds carrés. La tour ainsi qu'un premier immeuble de 4 étages devraient être mis en chantier au printemps 2013. En plus d'offrir une vue exceptionnelle, les unités d'habitation de L'Adresse sur le fleuve seront pourvues d'une généreuse fenestration, d'une grande terrasse, d'une excellente insonorisation, de plafonds de 9 à 11 pieds de hauteur, d'un accès sécurisé, de stationnements intérieur et extérieur et d'ascenseurs. De plus, les résidents de L'Adresse sur le fleuve bénéficieront de nombreux services, dont une salle d'entraînement, une piscine, un bain à remous, un spa intérieur, une salle de réception avec cuisine, un accès direct à la piste cyclable et aux sentiers pédestres et, éventuellement, une marina. « Le projet s'adresse tant à une clientèle de premiers acheteurs que de deuxièmes acheteurs. Ces derniers découvriront à notre pavillon des ventes une diversité de possibilités pouvant répondre à des besoins variés et s'adapter au budget de chacun, » ajoute M. Thibault. Les citoyens peuvent déjà consulter le site http://www.ladressesurlefleuve.com. Le développement de ce projet résidentiel entraînera de nombreuses retombées pour le milieu trifluvien puisque l'investissement requis pour la première phase s'élève à 85 millions de dollars alors que le projet global est de plus de 250 millions de dollars. Les entreprises Michel Pellerin Architecte, Pluritec, MédiaVox et Maskbec Construction ont participé au développement du projet.
  2. Les bébés ont la cote au Québec Photo Alain Roberge, La Presse Ariane Lacoursière La Presse Depuis le début de l'année, les pouponnières ont été particulièrement achalandées au Québec. Si la tendance se maintient, plus de 84 000 bébés verront le jour en 2007 et la province enregistrera son plus grand nombre de naissances en 10 ans. Selon les plus récentes données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ), 41 250 poupons sont nés entre les mois de janvier et juin. «Une moitié d'année doit encore s'écouler. Mais si le taux de fécondité se maintient, on atteindra les 84 000 naissances», avance Normand Thibault, démographe à l'ISQ. L'an dernier, moins de 82 000 bébés avaient vu le jour au Québec. En 2005, on en avait dénombré un peu plus de 76 000. Cette année, on pourrait donc noter une hausse de 9% des naissances en deux ans. Mais cette tendance haussière ne devrait pas durer, avertit Normand Thibault. Car même si les femmes seront nombreuses à accoucher en 2007, on ne peut pas parler d'un mini baby-boom. «C'est que depuis le mois de janvier, le taux de fécondité s'est stabilisé autour de 1,63 enfant par femme. En fait, ce taux est stable depuis octobre 2006. On est comme sur un plateau», analyse M. Thibault. En 2005 et en 2006, le taux de fécondité avait connu une forte augmentation au Québec, dû à différents facteurs. «L'économie allait bien depuis trois ans. Ne pas avoir à s'inquiéter pour ses finances personnelles incite toujours les couples à avoir des enfants», explique M. Thibault. Selon lui, le fait que le gouvernement provincial ait mis en place une nouvelle politique de congés parentaux et qu'Ottawa ait adopté un programme de soutien aux familles d'environ 1000$ par enfant en 2006 a aussi encouragé plusieurs couples à procréer. Toutefois, les effets de ces mesures commencent déjà à s'atténuer selon M. Thibault, qui prévoit que le nombre de naissances se stabilisera dès l'an prochain. «D'après moi, le nombre de naissances s'élèvera entre 80 000 et 85 000 en 2008. Mais il est encore tôt pour le dire», précise-t-il. Même si la soudaine hausse des naissances ne semble que temporaire, le gouvernement est-il prêt à accueillir tant d'enfants dans son réseau de garderies? «Tout à fait», assure Jean-Pascal Bernier, l'attaché de presse de la ministre de la Famille, Michelle Courchesne. «Nous avions promis d'atteindre 200 000 places en garderies et nous l'avons fait. Pour notre prochain mandat, nous avons déjà annoncé que nous voulons ajouter 20 000 places. Et juste cet été, nous en avons déjà ouverts 2000. On est sur la bonne voie», explique-t-il. Selon M. Bernier, cette nouvelle hausse des naissances est une bonne nouvelle pour le Québec. Et les retombées seront particulièrement positives dans le réseau scolaire. «On parle souvent de fermer des écoles parce qu'il n'y a pas assez d'élèves. Ce problème sera en partie réglé!» se réjouit-il.
  3. De beaux espaces pour rendre les gens heureux Publié le samedi 22 octobre 2016 à 19 h 34 L'architecte Pierre Thibault et le journaliste François Cardinal se sont penchés sur la beauté des espaces, des lieux et des villes. Après enquête, ils constatent que les beaux endroits rendent les personnes qui les côtoient plus heureuses. Leur livre Si la beauté rendait heureux se penche sur cinq de ces lieux inspirants. À écouter : l'entrevue de Pierre Thibault lors de l'émission Les Malins Un espace qui est bien conçu rend la vie plus agréable et change notre rapport à l'espace, aux autres, et même au temps. Pierre Thibault, architecte et coauteur du livre Si la beauté rendait heureux L'architecte estime que sa conception de la beauté s'inscrit dans une vision holistique et non uniquement esthétique. Selon lui, la place de la nature dans l'environnement urbain est essentielle au bien-être des citoyens, particulièrement pour les tout-petits. « Pour moi, une école devrait se construire dans un parc de verdure. Si les arbres ne sont pas là, on les plante. J'arracherais l'asphalte dans toutes les écoles et je replanterais des arbres », explique Pierre Thibault. L'école devient ainsi un lieu de rassemblement, croit-il, plutôt qu'un environnement presque carcéral. Les villes Pierre Thibault souligne la grande présence d'espaces verts dans la région d'Ottawa-Gatineau. Il rappelle toutefois que les villes doivent s'adapter à la croissance démographique en augmentant aussi la présence de végétation. L'urbanisme d'une ville repose aussi, selon l'auteur du livre, sur des espaces réservés aux transports actifs. « Au Danemark, on intègre à merveille le réseau piéton, le réseau cyclable et en y intégrant beaucoup de végétation », estime l'architecte.« On dit que Copenhague, c'est la ville où les gens sont les plus heureux, et c'est tangible, c'est palpable. » Pierre Thibault croit que les ressources sont présentes au Canada, mais qu'une vision de grandeur manque à notre société. De beaux espaces pour rendre les gens heureux | ICI.Radio-Canada.ca
  4. http://www.radio-canada.ca/emissions/au_dela_des_murs/2011-2012/Chronique.asp?idDoc=224895&autoPlay= Au-delà des murs est une série de huit demi-heures documentaires qui porte un regard sur l'architecture à Québec en compagnie de Pierre Thibault, architecte québécois de réputation internationale, et de l'animatrice Catherine Lachaussée. Telle une balade vagabonde à Québec, ville de patrimoine par excellence en Amérique du Nord, chaque émission présente un thème qui a influencé et qui conditionne encore aujourd'hui notre architecture. Les animateurs vont ainsi à la rencontre d'architectes, d'urbanistes, de chercheurs, d'historiens et d'artisans qui livrent leurs réflexions et leur démarche. Par leurs regards sur des lieux et des édifices, nous découvrons ce qu'il y a « Au-delà des murs » pour apprécier l'impact de l'architecture dans nos vies. http://www.lapresse.ca/le-soleil/arts-et-spectacles/television-et-radio/201205/30/01-4530219-larchitecture-pourles-nuls-a-radio-canada.php Richard Therrien Le Soleil (Montréal) On finit par l'oublier, mais un seul regard autour de nous suffit pour se laisser imprégner d'un motif, d'une époque, d'une méchante bonne idée, de ce qui est magnifique pour les uns et affreux pour les autres. C'est probablement l'effet qu'aura sur vous la nouvelle série documentaire Au-delà des murs, diffusée dès le samedi 9 juin à 18h30 à Radio-Canada Québec. Parce que les murs n'ont pas seulement des oreilles, ils parlent. Pour leur tirer des confidences, Catherine Lachaussée assure l'animation de la série, secondée par l'architecte bien connu Pierre Thibault, «coolement philosophe», selon l'animatrice. Huit demi-heures à contempler, entièrement produites à Québec chez Productions VF, et diffusées localement dans la case occupée jusqu'ici par Vie de quartier. L'idée est venue de la réalisatrice Isabelle de Blois, fille de l'architecte Jacques de Blois, décédé en 2008. Initiée très tôt au monde de l'architecture, elle a eu envie de faire parler ces «créateurs de beauté», comme elle les appelle, qui forgent notre environnement. Québec restant un modèle au niveau architectural, on avait le terreau parfait pour convaincre la station de Radio-Canada à Québec d'embarquer dans l'aventure, de même que Canal Savoir. Isabelle de Blois a réalisé quatre épisodes, Émilie Baillargeon, les quatre autres. Thèmes Chaque émission aborde un thème, comme la lumière, l'hiver, le feu et l'architecture durable. Dans la cinquième émission montrée mercredi aux journalistes, à l'École d'architecture du Vieux-Séminaire, on tente de distinguer le vrai du faux. Le vrai passe le temps, le faux, beaucoup moins, fait-on remarquer. J'ai appris entre autres que certaines parties de la façade de la Caserne Dalhousie d'Ex Machina dans le Vieux-Port paraissent bien réelles, mais ne sont qu'imitation. Son concepteur, l'architecte Jacques Plante, n'est pas peu fier que son oeuvre ait remporté le Prix du public, elle qui en apeuré plusieurs par son côté moderne en milieu patrimonial. On lui doit aussi le Théâtre de la Bordée, de même que la Tohu à Montréal. Intéressante aussi cette incursion sur le chantier de l'agrandissement du Musée national des beaux-arts du Québec avec un ingénieur en structure, Martin Lemyre. Quand on regarde les plans de cette portion en grande partie vitrée, on saisit toute la complexité des travaux et comment on a poussé encore un peu plus les limites de la technologie. Bien qu'il parle peu - on ne le voit que dans les présentations avec Catherine Lachaussée -, Pierre Thibault sait communiquer sa passion pour l'architecture. Le tout est parfois aride, mais on apprend des choses, qui nous feront voir autrement le théâtre Impérial, la chapelle du Petit Séminaire et même les maisons de banlieue. Hélas, la génération actuelle d'architectes ne dispose pas de la marge de manoeuvre qu'avaient ceux qui les ont précédés. Faut pas que ça coûte cher, et faut surtout plaire au plus grand nombre. Aujourd'hui, on ne cherche plus d'architectes, on cherche des constructeurs, déplore Pierre Thibault. Le directeur de Radio-Canada Québec, Jean-François Rioux, a tenu à souligner qu'une telle série aurait été impossible sans le Fonds pour l'amélioration de la programmation locale du gouvernement fédéral, cette taxe de 1,5% qui apparaît sur votre relevé de câble, dont le renouvellement pour l'année qui vient n'a pas encore été annoncé, et dont Québecor a demandé l'abolition. Surtout présente à la radio depuis plusieurs années, Catherine Lachaussée semblait ravie mercredi de reprendre l'animation de l'émission du retour à la maison au 106,3 FM à l'automne. Ravie, entre autres, de pouvoir emmener le réalisateur André Chouinard, qui pilotait ses samedis matin à la Première Chaîne. Dès le 20 août, elle sera entourée de Suzie Pelletier à l'information, d'Anne-Josée Cameron au culturel, de Marc-André Boivin à la circulation et de Martine Côté à la météo.
  5. La candidate indépendante dans la circonscription de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques propose une stratégie pour contrer les effets de la hausse vertigineuse du prix du carburant. Pour en lire plus...
  6. mtlurb

    Montreal Haunts

    Montreal Haunts Kathleen Murphy Issue date: 10/30/07 Section: halloween edition Behind every great city there lies at least one chilling ghost story and Montreal is no exception. The Old Port is believed to be the most haunted part of the city. Before it was converted to a restaurant, Le Saint Gabriel was the oldest inn in Montreal and was said to be haunted by the ghost of a young girl who died there in a fire during the 19th century. The Old Port is also the home of Marie-Reine Besnard, the witch of Hotel Dieu, and the infamous lovers Claude Thibault and Marie-Josèphe Angélique, who were allegedly responsible for the fire that destroyed most of the Old Port in 1734. Marie-Josèphe-Angélique was found guilty and gruesomely executed, but Claude Thibault disappeared and was never seen again. London may be famous for Jack the Ripper, but at least all of Jack the Ripper's victims remained dead. This was not the case for victim and prostitute Mary Gallagher. In 1879 she was beheaded by her best friend and fellow prostitute Susan Kennedy. Rumour has it that a downstairs neighbour heard Gallagher's body fall, followed by the sound of an axe chopping for ten whole minutes. Every seven years, Gallagher returns to haunt the streets of Griffintown where she died. Ghosts are still being sighted in Montreal to this day. Le Spectre Montreal is a team of ghost hunters who will help anyone "troubled by paranormal phenomenon" free of charge. If they can't resolve the problem, they recommend people, such as mediums, who can. In November 2001, Le Spectre investigated an old Bed and Breakfast that was haunted by the spirits of previous owners who committed suicide in the building. Images of these spirits can be seen in pictures taken inside the house. Another Le Spectre project took place in June 2002, when a family with two young children moved into a house in the south shore. While playing in the ruins of an old house, the children came across the battered corpse of an old man. The victim had lost a lot of blood and one of his legs had been pulled from his body. The children ran screaming to their parents but when they returned to the house, the body was gone. In June 2001, in St. Joseph (on the north shore), a man took a wedding picture in a gazebo outside the house where he was having his reception. Behind his head in the picture is the image of a small baby's face. Upon asking the owners, the man discovered that 25 years ago a baby girl named Alison Campbell died by drowning in a pond that used to lie under the gazebo. If you are interested in learning more about the ghosts that lurk in Montreal there is a ghost tour that takes place in Old Port. Tours end in September but they have special tours over Halloween
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