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  1. Infrastructures artistiques - De l'action malgré la crise Le Devoir Martine Letarte Édition du samedi 28 et du dimanche 29 mars 2009 Mots clés : Théâtre, Infrastructures, Conseil des arts de Montréal, Prix, Culture, Québec (province) « Avant, les gens devaient attendre dehors... » Travaux en cours au Théâtre Denise-Pelletier Les compressions budgétaires du gouvernement Harper et leurs conséquences font les manchettes depuis plusieurs mois. Si tout n'est pas rose, tout n'est pas noir pour autant. Plusieurs compagnies artistiques sont actuellement en train de bâtir de grandes réalisations pour leurs infrastructures. L'un des grands projets en cours est la reconstruction du Théâtre de Quat'Sous. Le projet, né il y a près de 15 ans dans l'esprit de l'équipe du Quat'Sous, a été annoncé officiellement en décembre 2006. «L'ouverture est prévue le 27 avril. Ce sera l'aboutissement de plusieurs années de travail», se réjouit Éric Jean, directeur artistique et général du Quat'Sous. Parmi les nouveautés, on retrouvera des éléments aussi essentiels pour un théâtre que des loges, une salle de répétitions, un chauffage adéquat, un système de climatisation et un hall d'entrée plus spacieux. «Avant, les gens devaient attendre dehors, s'exclame M. Jean. Nous utiliserons aussi le hall d'entrée pour accueillir d'autres formes d'art, comme des expositions de photos, des lancements de livres ou de disques, etc.» Après 54 ans d'existence, le Quat'Sous est donc sur le point de renaître, sans toutefois se dénaturer. «Nous demeurons un théâtre à l'italienne à l'échelle humaine, avec nos balcons et nos sièges fixes», précise-t-il. La reconstruction du Quat'-Sous a nécessité des investissements de 4,5 millions de dollars. Le ministère de la Culture a fourni 3,7 millions et le reste est venu du ministère du Patrimoine canadien, de la Ville de Montréal et d'une campagne de financement. Théâtre Denise-Pelletier Le Théâtre Denise-Pelletier bénéficie également d'une importante rénovation depuis l'automne dernier. «On refait la pente de la salle, le système électrique, le système de cin-tres, les passerelles, et on restaure le foyer d'origine du hall d'entrée», indique Rémi Brousseau, directeur général du Théâtre Denise-Pelletier. Pour sa part, la salle Fred-Barry aura droit à un système de climatisation et à une salle de répétitions. On refait aussi tout le revêtement extérieur du bâtiment, qui se mariera davantage à celui du Théâtre Denise-Pelletier. Une nouvelle marquise sera également installée au Théâtre Denise-Pelletier. «En défaisant l'ancienne, qui datait des années 70, on a découvert de petites balustrades qui mettaient en valeur la marquise originale des années 1930. Nous avons décidé de remettre à l'honneur ces éléments architecturaux, qui s'harmoniseront avec la nouvelle marquise, et celle-ci rappellera beaucoup la marquise d'origine», explique M. Brousseau. La réouverture est prévue à l'automne. Pour entreprendre sa cure de rajeunissement, le Théâtre Denise-Pelletier a pu compter sur le ministère de la Culture (8,1 millions) et sur Patrimoine Canada (2,4 millions), en plus d'avoir organisé une campagne de financement qui a rapporté 600 000 $. À la SAT La Société des arts technologiques (SAT) se lance également dans des travaux majeurs pour que son immeuble du boulevard Saint-Laurent, un ancien marché public, réponde mieux aux besoins. «Il faut réaménager tous les espaces et acheter de l'équipement», affirme Jean-François Jasmin, coordonnateur des communications à la SAT. Le projet le plus spectaculaire concerne certainement la façade, qui s'élèvera sur 12 mètres et sur laquelle se greffera une oeuvre lumineuse développée par Axel Morgenthaler. «Ce sera comme un immense store pixellisé qui sera installé sur la façade. Captée et réfléchie par les lattes motorisées, la lumière du jour ou de la nuit s'harmonisera avec la lumière technologique des pixels», explique M. Jasmin. Sur le toit de la SAT, on aménagera également une terrasse avec un service de restauration et la SATinoire, une installation lumineuse interactive destinée aux jeunes. La SAT présentera également différentes installations sonores éclatées, comme le rideau sonore à l'entrée qui évoluera avec les mouvements lumineux de l'oeuvre de Morgenthaler. Les travaux doivent commencer à l'automne, et tout devrait être opérationnel au début de 2010. «Jusqu'à maintenant, nous savons que le ministère de la Culture nous donne au moins deux millions, et nous avons plusieurs partenaires privés», précise M. Jasmin. Marie Chouinard Après plusieurs années de travail acharné, LA BIBLIOTHÈQUE-Espace Marie Choui-nard a été inaugurée en janvier dernier. En plus des bureaux et d'un entrepôt, l'immeuble complètement rénové du 4499, avenue de l'Esplanade comprend un gymnase spécialisé, des vestiaires, des douches, une cuisine, un salon vert et deux studios avec planchers résilients, dont un de 3625 pieds carrés, sans colonnes. Enfin, l'immeuble a une vue imprenable sur le mont Royal, élément d'inspiration très important pour la créatrice depuis ses débuts. Toujours dans l'attente Si des projets se concluent, d'autres attendent toujours la première pelletée de terre. C'est le cas, évidemment, de la déjà future salle de l'OSM. Après avoir remis leur proposition technique en novembre dernier, les trois consortiums intéressés par le projet ont déposé au début du mois leur proposition financière auprès de l'Agence des partenariats public-privé. Le nom de la firme qui obtiendra le contrat sera connu très bientôt, d'autant plus que la livraison de la future salle est prévue en 2011. Le nouvel espace pourra accueillir 1900 spectateurs, 200 choristes et 120 musiciens. Le budget total du projet, évalué à 105 millions en 2006, sera revu à la hausse. Au théâtre La Licorne, on attend toujours des sous du gouvernement fédéral pour lancer le projet d'agrandissement qui permettrait aux deux salles d'accueillir plus de spectateurs, mais aussi de fonctionner de façon indépendante. «Actuellement, ce n'est pas possible puisque l'insonorisation est déficiente et que nous manquons d'espace dans le hall d'entrée», indique Danièle Drolet, directrice administrative et des communications. Le théâtre, qui n'a pas bénéficié de rénovation majeure depuis 20 ans, réorganiserait aussi son espace et améliorerait ses équipements pour être en mesure de mieux accueillir les productions actuelles. Et, enfin, La Petite Licorne serait climatisée! «Nous sommes prêts, indique Mme Drolet. Nous avons amassé 400 000 $, et l'immeuble voisin nous est réservé. Nous avons une entente de principe avec le gouvernement provincial et nous espérons une réponse du fédéral au printemps.» http://www.ledevoir.com/2009/03/28/242181.html (28/3/2009 13H34)
  2. La plaine du Saint-Laurent, entre Montréal et Québec, est le théâtre d’un des plus grands suspenses économiques de l’histoire de la province. Pour en lire plus...
  3. Le Cirque du Soleil à vendre ? 16 juin 2008 - 11h21 LaPresseAffaires.com Le Cirque du Soleil serait à vendre. Enfin, c’est ce qu’affirme le London Daily Telegraph dans son édition de lundi. Le populaire cirque qui a des activités partout sur le globe aurait été approché par plusieurs acheteurs potentiels notamment un groupe d’investisseurs de Dubaï. Le nom de ce possible acheteur n’est pas nommé par le quotidien anglais, mais la transaction pourrait valoir 2 G$. Nakheel PJSC, promoteur des fameuses îles de Dubaï, a déjà offert au Cirque du Soleil de construire un théâtre permanent sur un des complexes, la Palm Island. Un porte-parole du Cirque du Soleil a indiqué que la nouvelle selon laquelle la troupe aurait été approchée par Istithmar, une firme associée à Nakheel, n’est que «rumeurs et spéculations».
  4. DHC/ART met Montréal sur la carte Phoebe Greenberg, artiste, femme d’affaires et diplômée de l’École internationale de théâtre Jacques-Lecoq, à Paris, a créé la fondation DCH/ART, qui versera notamment 1,3 million par année aux artistes contemporains. Photo André Pichette, La Presse Mario Cloutier La Presse Le nouvel espace d’exposition DHC/ART ouvre ses portes vendredi dans le Vieux-Montréal avec une quarantaine d’œuvres récentes de l’artiste britannique Marc Quinn, sa première exposition individuelle au Canada et sa plus importante organisée à ce jour en Amérique du Nord. Jusqu’au 6 janvier 2008. [/url] Ce nouveau lieu de diffusion permanent accueillera ensuite des expositions internationales, trop grandes pour la plupart des galeries et comparables à ce que font plusieurs musées. Derrière tout ça, une nouvelle fondation, qui versera notamment 1,3 million par année aux artistes contemporains. La mécène Phoebe Greenberg en a voulu ainsi. Elle nageait sous la surface depuis longtemps à Montréal. Doucement, craintivement presque, elle émerge avec un immense cadeau à sa ville d’adoption, elle qui est née à Ottawa, au sein d’une famille reconnue pour sa philanthropie, et qui a aussi vécu en Europe. «Tout a commencé avec une idée : réfléchir à la condition humaine. J’aurais pu créer une fondation dans un autre domaine, mais les arts comptent vraiment pour moi. C’est là ou je peux exceller», explique-t-elle. Artiste, femme d’affaires, Mme Greenberg nous vient du théâtre. Elle est diplômée de l’École internationale de théâtre Jacques-Lecoq à Paris. Elle a joué, elle a produit des spectacles, produit et écrit un court métrage de Denis Villeneuve l’été dernier. Mais l’œuvre de sa vie, c’est indéniablement cette galerie à couper le souffle, avec ses puits de lumière, ses murs rétractables et un ascenseur transparent. La Presse a eu la chance d’y pénétrer sur la pointe des pieds avec la maîtresse des lieux. Les employés s’affairaient à ouvrir les boîtes contenant les pièces de Marc Quinn, ou pourrait-on dire, les «cercueils» de ses troublantes sculptures. «Les artistes qui sont venus voir aiment les dimensions. L’édifice présente des défis, mais nous avons tenté de créer un espace flexible sans être une boîte blanche», dit-elle en déambulant dans ce joyeux bordel pré-exposition. L’art en avant-scène Auparavant, DHC/ART avait aidé David Altmejd pour son séjour à la Biennale de Venise cette année. Plus tôt encore cette année, le groupe avait aussi présenté en primeur à Montréal le film Zidane, un portrait du 21e siècle. DHC/ART Fondation pour l’art contemporain est une OSBL qui ne fonctionne qu’avec des dons privés. «Le secteur a une responsabilité face aux arts», croit Mme Greenberg. DHC sont les lettres de sa compagnie de production, Diving Horses Creations, un nom inspiré d’un divertissement populaire dans les années 1880 où un cheval plongeait de très haut dans une piscine. Pourtant, Phoebe Greenberg ne semble pas de celles prêtes à se lancer dans le vide. Mais elle n’aime pas parler d’elle-même. Son amour pour l’art prend toute la place. Elle en parle avec chaleur et pertinence. Au long de son parcours, de ses voyages, elle a vu que le talent existe à profusion chez nous et que celui qui triomphe à l’étranger veut venir respirer l’air créatif de Montréal. «Montréal est une ville jeune et vibrante, dit-elle. Nous avons besoin de voir des expositions internationales. Il y a énormément de talent ici. Dans mes voyages, en visitant les biennales, j’ai compris que les artistes étaient inspirés par l’idée de venir à Montréal, même s’ils ne sont jamais venus. Marc Quinn est un grand artiste et je suis honorée qu’il ait accepté notre invitation.» _________________________________________________________ Marc Quinn à la galerie DHC/ART, 451, rue Saint-Jean, à partir de vendredi. Infos : www.dhc-art.org.
  5. 25/08/2007 Après le Théâtre du Nouveau Monde et le Quat'sous, c'est au tour du Théâtre Denise-Pelletier d'être rénové. Québec et Ottawa ont annoncé, samedi, l'attribution d'une somme totale de 10,5 millions de dollars pour rénover l'institution de l'est de Montréal, qui se consacre depuis plus de 40 ans à faire connaître le théâtre aux jeunes. Le ministère québécois de la Culture versera 7,1 millions, tandis que le ministère du Patrimoine canadien accordera 2,4 millions de dollars. Les fonds serviront à la mise à jour de tous les équipements de scène, ainsi qu'à l'amélioration de l'insonorisation, de l'acoustique et de l'isolation de l'immeuble patrimonial construit en 1929, dans le style des palaces de quartier. La saison 2008-2009 devra par conséquent se tenir dans un autre édifice. Les négociations progressent, mais le lieu n'a pas encore été arrêté officiellement.
  6. Old Damascus is quite unique, it is enclosed by very high walls and it can only be accessed by very few doors ( i believe 7 of them). Streets are never wider than the width of two cars, and most of them are unmapped and wide enough for one person to pass. Old Damascus is composed of a good sized Christian Minority, and you can find packed Churches on Sundays and other Holidays. Old Damascus is the heart of the oldest still inhabited city in the world, Damascus goes back to over 4000 years before Christ. So I'm not going to spoil any surprises, check the pics and some commentaries... i tried to be as concise as possible, but if you do have questions, just ask. If you haven't checked the first part: Going to Old Damascus There's no detached houses in Damascus, its all 3-4-5 stories with no elevator. Thats why you don't see many fat Syrians :-) The almighty Minister of Finance... aka Mafia. My host in his '78 Mercedes annoyed by my too many pics... he hasn't seen nothing yet. The usual 3 lanes become 6 lanes traffic in Syria. More fountains... Notice the fruits on the left, that guy makes amazing fresh pressed juice... I was always having one too... 25sp or 50 cents. That's the most important commercial street in Damascus, the mazout deliverer and his horse perfectly blend. The almighty Commercial Bank of Syria... the biggest fiasco I've ever witnessed in my life... it takes maybe 5 or 6 signatures to cash in a regular cheque (45 minutes)... to bad I couldn't take any pics inside. A roundabout, very common. Another common sight... ok maybe not, a fellah wit his lamb :-) A vestige of old railroad tracks. Thats a movie theatre... look at those sexy women. BTW, going to the movies in Syria is seen as a bad thing by the masses. A viaduc. Thats the old central station. Good luck in getting in. Can't remember what was that building. Thats the telegraph and communication central... if you want a phone line, you go there. (the waiting list for a phone line was so long that we got it nearly 10 years after we already moved to Canada) Market (Souq) al-Hamidiyya and Roman ruins So we wanted to visit Al Hamidiyya, unique I confess, and encolsed in Old Damascus. These are the walls of Old Damascus. Thats the new part of the markt... not intresting. That guy on the left doesn't seem to like being taken in a picture :-) Here we are... it is encolsed by roof. This is the prime spot of the Sook (which spans on many many blocks). Secondary streets where the sook spans.
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