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  1. Endroit : 8 sites d'entrée dans la ville Ville : Montréal-Est, Québec Date : 2014-2015 Client : Ville de Montréal Est Collaborateurs : Intégral Jean Beaudoin ( Jean Beaudoin, Myriam Leclair, Corinne Deleers, Emmanuelle Beaupère, Enseignes Perfection) SIGNALÉTIQUE TERRITORIALE DE LA VILLE DE MONTRÉAL-EST : LES PORTAILS, LES DIRECTIONNELS ET LA VALORISATION DES ESPACES EXCEPTIONNELS DE LA VILLE Le projet a pour objectif de consolider la présence de la ville de Montréal-Est sur le territoire de l’île de Montréal. Au-delà de marquer les entrées et les sorties de la ville pour les voyageurs en transit sur les 4 axes est-ouest, le concept proposé vise à révéler les lieux et les paysages exceptionnels de la ville et inviter les visiteurs en traversée, et surtout les citoyens, à les visiter, le redécouvrir et les redynamiser. VISION D’ENSEMBLE La ville comporte deux zones distinctives, le secteur résidentiel et le secteur industriel.Il existe une distinction importante entre les paysages sur la rive du fleuve et ceux du secteur industriel dont les univers étonnant des carrières, des « champs de réservoirs », des raffineries et des hangars de la Seconde Guerre.Afin d’irriguer le territoire, nous proposant de superposer aux traversantes ( A40, Sherbrooke, Notre-Dame ) une GRANDE BOUCLE qui sera le trait d’union entre les paysages exceptionnels de la ville. En déploiement progressif vers l’ouest, au rythme de la revitalisation, la boucle s’appuiera sur les axes Est-Ouest de la rue Broadway et du futur boulevard Versailles. Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  2. Le territoire délimité continue de se développer et de nouveaux édifices ont été construits lors des derniers mois. Photos : First Capital Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  3. Situé sur la rue des Migrateurs. Le territoire pointillé continue de se développer et depuis que la photo a été prise, il s'est construit une SAQ Dépôt. Photos : Smart Centres Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  4. J'ai entendu parlé de ce projet à la radio aujourd'hui sur le site de la Ville Pierrefonds-Ouest Projet Développement immobilier du secteur Pierrefonds-Ouest; Création d’espaces de conservation d’importance; Construction d’un boulevard urbain dans l’emprise non construite de l’autoroute 440. Contexte Le secteur de Pierrefonds-Ouest couvre un vaste territoire de 400 hectares situé à l’extrémité ouest de l’arrondissement de Pierrefonds-Roxboro. Une portion de ce territoire est destinée à accueillir une communauté viable, correspondant à l’idée d’un quartier offrant une diversité de services de proximité et d’équipements publics accessibles à tous, des espaces verts de qualité et en nombre suffisant et une variété de typologies d’habitation. Le développement immobilier du secteur s’effectuera en étroite harmonie avec la création d’espaces de conservation. L’agrandissement du parc-nature de l’Anse-à-l’Orme permettra entre autres de créer un vaste corridor écologique et récréatif entre le bois Angell, le parc agricole du Bois-de-la-Roche et le parc-nature du Cap-Saint-Jacques. Il s’inscrira autour de la rivière à l’Orme, seule rivière intérieure de l’île de Montréal, et couvrira une superficie plus grande que le parc du Mont-Royal. La réalisation de ce projet urbain, situé dans un secteur enclavé et non desservi, est tributaire de la mise en place d’infrastructures de transport efficaces et d’infrastructures souterraines. Plus spécifiquement, un boulevard urbain doit être aménagé entre le boulevard Gouin et l'autoroute 40, dans l'emprise non construite de l'autoroute 440 appartenant au ministère des Transports du Québec. Le secteur a fait l’objet d’une démarche de planification impliquant des intervenants du milieu municipal, gouvernemental ainsi que les grands propriétaires fonciers concernés. Objectifs Construire un quartier intégré à un milieu naturel, se distinguant aussi par sa composition urbaine, par la qualité de l’aménagement du domaine public et par un réseau de circulation favorable aux transports collectif et actif; Protéger un riche patrimoine naturel et une mosaïque de paysages et les mettre en valeur par l’implantation de divers équipements récréatifs. Composantes et caractéristiques Développement immobilier : 185 hectares, incluant : plus de 5 000 logements; près de 23 hectares de parcs locaux, parcs de quartier et bassins de rétention. [*]Espaces de conservation : 180 hectares Investissements prévus 20,3 millions de dollars
  5. Du développement commercial et industriel, le parfait complément à la densification démographique de l'île de Montréal. Je proposerais incidemment un nouveau slogan: des emplois là où habitent les gens, en sonnant le glas à l'expansion des villes-dortoirs. Dans le but de faire échec à l'étalement urbain, un programme incitatif devrait encourager prioritairement la création d'emplois et de logements sur l'île, avec effet décroissant selon l'éloignement vers les couronnes. J'irais même jusqu'à charger une taxe spéciale sur toute nouvelle construction en dehors des zones déjà urbanisées ou dans de nouveaux lotissements, sur tout le territoire de la banlieue. Je ferais cependant exception de Laval qui est déjà en phase de densification. Une ville plus dense diminue les besoins en déplacements automobiles et rentabilise davantage le développement des transport en commun, avec effet durable sur le plan environnemental. Il faut changer les mentalités et briser la dichotomie de la banlieue qui veut que ce soit l'endroit idéal pour élever une famille. Il reste d'ailleurs suffisamment d'espace disponible sur les deux îles (Laval et Montréal) pour facilement doubler la population, tout en renforçant les pôles économiques centraux. On économiserait au passage les meilleures terres cultivables qui restent encore dans le voisinage de la ville, tout en préservant une précieuse ceinture verte, indispensable à l'équilibre écologique et sociologique du grand Montréal. Si on veut véritablement améliorer notre bilan carbone et réduire la pression des villes sur l'environnement, nous n'avons pas le choix que de penser globalement. Ce n'est qu'avec des efforts concertés et simultanés dans tous les domaines d'activités humaines que nous y arriverons. Pour cela il est nécessaire que la volonté vienne du gouvernement provincial lui-même, car c'est le seul qui a les moyens législatifs pour véritablement changer les choses. On n'a plus le choix si on veut léguer aux générations futures, un monde meilleur et en plus grande harmonie avec la nature. L'occupation du territoire est déjà une agression en soi, mais on peut diminuer notre empreinte par toutes sortes de mesures de naturalisation qui réconcilieraient la ville avec le milieu naturel. Une prise de conscience est déjà en voie de se faire, mais il y a encore beaucoup de résistance et d'opposition. Et tant que le message ne viendra pas de la plus haute instance, avec des moyens concrets pour y arriver, on sera limité à des interventions ponctuelles et trop localisées pour faire une différence appréciable. Comme le discours économique est à la mode aujourd'hui, on peut ajouter à cette vision écologique, l'effet positif sur le développement de Montréal en premier lieu, et aussi bien sûr les villes déjà établies, mais dans une moindre mesure. Un Montréal plus populeux et plus dense est un gage d'enrichissement collectif, avec des revenus plus importants et de plus grands moyens pour assurer son développement futur. J'en conclue que la prospérité soutenue de la ville passe nécessairement par l'arrêt de l'étalement urbain, et la fin de la dispersion de nos forces et de nos énergies, dans un territoire devenu démesuré par rapport à sa densité.
  6. Construction dans Ville-Marie: ménage des règles d'urbanisme Publié le 05 février 2013 à 06h21 L'arrondissement de Ville-Marie gèle en partie l'attribution des permis de construction jusqu'à la fin du mois de mars, le temps de finir le ménage dans ses règles d'urbanisme kafkaïennes. Le conseil de cet arrondissement, qui englobe le centre-ville et le Vieux-Montréal, a adopté hier en première lecture un projet omnibus modifiant plus de 600 articles du règlement d'urbanisme. Les changements touchent une foule de sujets, du zonage à la hauteur des immeubles, en passant par l'agriculture urbaine. «Le règlement actuel existe depuis 20 ans et il avait clairement besoin d'être modernisé», a résumé à La Presse Affaires Bruno Collin, chef d'équipe à la division d'urbanisme, après la tenue du conseil. Selon les règles actuelles, il existe quatre familles d'utilisation du territoire: résidentielle, commerciale, industrielle et institutionnelle. Celles-ci sont divisées en 53 catégories, qui sont ensuite subdivisées en 118 types de zones. C'est autant que dans les cinq arrondissements de New York réunis, et ce, pour le seul arrondissement de Ville-Marie! «En plus d'être très rigide, cette approche complexifie énormément le règlement et le rend pratiquement incompréhensible pour les usagers, souligne un sommaire décisionnel publié hier. Par exemple, le propriétaire d'un bâtiment situé au coin des rues Wellington et Prince doit se référer à six listes différentes uniquement pour identifier les usages permis sur sa propriété.» La cartographie actuelle de Ville-Marie est si compliquée qu'on ne peut la lire à une échelle inférieure à 1: 5000. Il faut consulter la carte sur deux feuillets de 30 po sur 25 po au minimum, et les erreurs d'interprétation sont fréquentes. Bruno Collin et son équipe ont travaillé pendant huit mois à simplifier cette structure d'organisation du territoire. Ils sont partis du principe de la mixité des usages, ce qui leur a permis de réduire de 118 à 27 les types de zones. La nouvelle carte de l'arrondissement est lisible sur une feuille de 11 po sur 17 po, se réjouit-on. Le projet de règlement d'urbanisme sera soumis à une série de consultations et de présentations au cours des prochaines semaines. D'ici à son adoption finale, prévue le 25 mars, un gel partiel de l'attribution des permis de construction et d'occupation a été décrété. L'arrondissement estime que de 10% à 20% des demandes de permis seront touchées par le gel. En plus de simplifier la structure d'attribution des permis, le nouveau règlement d'urbanisme de l'arrondissement de Ville-Marie propose une trentaine de nouvelles dispositions. En voici cinq: - Les nouvelles constructions devront inclure davantage de stationnements pour vélos, et ceux-ci devront être facilement accessibles. - Toutes les nouvelles toitures devront être écologiques. Il pourra notamment s'agir de toits «blancs» ou végétaux. - L'implantation de jardins communautaires, de parcs et d'écoles sera permise partout sur le territoire de l'arrondissement. - L'insonorisation des nouvelles constructions résidentielles devra être accrue dans les zones bruyantes. - Des stationnements pour les petites voitures seront créés. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201302/05/01-4618392-construction-dans-ville-marie-menage-des-regles-durbanisme.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  7. On dévoilait hier le projet préliminaire du Programme particulier d’urbanisme (PPU) pour le secteur de la rue Jarry Est qui vise à revitaliser cette artère urbaine de 1,9 km et la rendre plus conviviale, sécuritaire et attrayante tout en intégrant des principes de développement durable. Structurer le secteur Le territoire visé se situe de part et d’autres de la rue Jarry Est, entre la rue D’Iberville et le boulevard Pie-IX. Le territoire a été subdivisé en quatre secteurs de planification contenant chacun des orientations distinctes : ■La Porte d'entrée couvre la portion de la rue Jarry Est située au croisement du boulevard Crémazie Est jusqu'à la 2e Avenue. Ce secteur comprend notamment la Cité des arts du cirque. Orientation : mettre en valeur l’entrée du parc du Complexe environnemental de Saint-Michel (CESM) et ses abords en révisant l’aménagement du domaine public. ■Le Cœur du quartier est la portion du territoire qui comprend les propriétés de la rue Jarry Est situées entre la 2e et la 14e Avenue. Elle est caractérisée par la concentration de bâtiments institutionnels et une faible intensité commerciale. Orientation : assurer la vitalité de ce secteur par la création d’un milieu de vie attrayant tout en favorisant la fonction résidentielle. ■Le secteur Des affaires englobe les terrains situés au nord de la rue Jarry Est entre l'avenue Joseph-Guibord et le boulevard Pie-IX. Il se distingue par la présence d'industries et de commerces de gros. Orientation : optimiser le développement des activités économiques. ■Le secteur Vitrine Crémazie et les Avenues est délimité par la rue Jarry Est, le boulevard Crémazie Est, la 14e et la 20e Avenue. Il se compose majoritairement de commerces liés à l'automobile, de petits ateliers industriels et des entrepôts. Orientation : modifier la vocation en secteur mixte afin de permettre l’établissement de bureaux, commerces, habitations et industries légères et en rehausser l’image pour le positionner comme un secteur dynamique. Le PPU – secteur de la rue Jarry Est constitue le fruit d’une démarche participative tenue auprès des partenaires du milieu et d’experts en aménagement urbain. Rappelons que le conseil d’arrondissement avait déjà mandaté en juin 2010 la firme AÉCOM pour l’élaboration d’une étude de planification détaillée pour revitaliser cette importante voie urbaine. Des professionnels de divers services à l’arrondissement et à la Ville ainsi que les partenaires du milieu (commerçants, industriels et organismes communautaires) ont participé dans le cadre de cette étude à plusieurs activités de consultation afin de mieux cerner les enjeux inhérents à ce territoire et saisir les préoccupations du milieu dans le but de les intégrer au PPU. Avec ce projet préliminaire, le PPU – secteur de la rue Jarry Est franchit une nouvelle étape. Une consultation publique locale prendra place cet hiver. La mise en œuvre du PPU nécessitera par la suite une série d’interventions sur le domaine public ainsi qu’un amendement au plan d’urbanisme de la Ville de Montréal et à la réglementation de zonage de l’arrondissement Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension en vue d’une adoption au conseil municipal de la Ville de Montréal au printemps 2013. Source : Ville de Montréal http://www.portailconstructo.com/actualites/revitalisation_rue_jarry_est_%E2%80%93_presentation_projet_preliminaire_ppu
  8. B2B Montréal 2012 Ce forum d’affaires international, spécialement conçu pour les PME, est un investissement offrant un excellent rapport qualité-prix pour le développement de votre entreprise. Se déroulant sur deux jours, vous pourrez obtenir jusqu’à 14 rendez-vous de 30 minutes avec des entreprises votre choix. De plus, le Plan Nord s’invite à B2B Montréal 2012; les enterprises participantes pourront créer des partenariats avec des entreprises, municipalités et communautés œuvrant sur le territoire du Plan Nord et plus particulièrement celles de la Nation Crie. Bénéficiant de l’expertise et de l’expérience unique de Futurallia, ce forum de jumelage d’entreprises donne lieu à des échanges fructueux qui débouchent inévitablement sur des opportunités d’affaires. http://www.b2bmontreal2012.com/fr/index.php
  9. 24 mai 2011 http://www.premier-ministre.gouv.qc.ca/actualites/nouvelles/2011/mai/2011-05-24.asp Nouveau hangar pour Air Inuit Dans la foulée du Plan Nord, le gouvernement a annoncé aujourd’hui l’allocation de 5 millions de dollars à la compagnie d’aviation Air Inuit. Ce montant contribuera à la construction d’un nouveau hangar à Dorval. Le projet d’envergure, qui totalise un investissement de 37,5 millions de dollars, permettra à Air Inuit d’élargir sa gamme de services et de mieux desservir le Nunavik. Par ailleurs, le nouveau complexe répondra aux besoins particuliers de la compagnie et lui permettra, de plus, d’offrir des services d’entretien et de réfection d’avions à d’autres exploitants. Avec ce projet, 500 emplois actuels seront consolidés et une quarantaine de nouveaux seront créés. « Air Inuit est un bel exemple de réussite pour les futures entreprises du Nunavik », a souligné le ministre responsable des Affaires autochtones, Geoffrey Kelley. « Le territoire du Plan Nord représente 72 % de la superficie du Québec. Le développement du Nord nécessite donc des infrastructures stratégiques pour donner accès à cet immense territoire. La construction du nouveau hangar d’Air Inuit annoncée aujourd’hui permettra le développement des transports au Nunavik et contribuera à la mise en œuvre du Plan Nord, au bénéfice de l’ensemble des Québécois », a déclaré le premier ministre, Jean Charest. Rappelons que le Plan Nord se déploiera sur une période de 25 ans et entraînera des investissements de 80 milliards de dollars. Environ 20 000 emplois seront créés ou consolidés chaque année.
  10. (Courtesy of Journal Metro) YAY! Yet another Quebec national park that I can't get to
  11. L’Espace l’Assomption est un projet fictif qui va dans le sens de la durabilité. Effectué dans le cadre du baccalauréat en urbanisme de l'UQAM, son but est de renforcer un secteur qui présente des lacunes en exploitant pleinement ses potentiels et en contournant ses contraintes. La station de métro l’Assomption, présente dans le secteur, est d’ailleurs un des piliers sur lequel repose le projet. Densification, innovation et diversification en sont les mots clefs. Voici donc un site web qui vous permettra d'apprécier l'intégrale du travail effectué par l'équip. En premier lieu la présentation du territoire comprenant les diverses analyses du secteur. Par la suite, les section thématiques qui englobe les principaux objectifs du projet. Le tout agrémenté d'une carte de l'aménagement final qui vous aideront à mieux comprendre notre vision et nos concepts. Bonne visite: www.espace-lassomption.com © Julien Trépanier-Jobin & Les ateliers NOVA 2010
  12. '' MONTRÉAL - La fumée des multiples feux de forêt qui font rage au Québec présentement a enveloppé Montréal dans la nuit de dimanche à lundi. La ville de Québec a également été envahie par la fumée dimanche soir en raison ce ces nombreux incendies qui sévissent dans plusieurs régions du Québec. Plus tôt dans la journée, la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU) avait indiqué qu'il fallait s'attendre à ce qu'au cours des prochains jours, des cendres et de la fumée descendent le long du corridor Québec-Montréal. Un scénario qui ne représente aucun risque, assure-t-on. Selon le porte-parole de la SOPFEU, Marcel Trudel, cet écran visible de smog était normal compte tenu de la situation. Toutefois, plusieurs résidants inquiets ont pris d'assaut les lignes téléphoniques pour se faire rassurer. La SOPFEU croise les doigts et espère que la pluie prévue pour lundi viendra aider les pompiers à maîtriser les 52 incendies toujours actifs. Huit brasiers sont toujours hors de contrôle et leur taille va en augmentant. Au total, plus de 83 000 hectares de forêt sont touchés par les feux. M. Trudel a indiqué dimanche que pour l'heure, les conditions météorologiques compliquent le travail des sapeurs puisque les vents sont importants, que le soleil est au rendez-vous et que le combustible des feux est sec. Il a demandé à la population de cesser de téléphoner à la SOPFEU, car les lignes de l'organisation sont saturées. Au total, c'est environ 1200 personnes qui sont à pied d'oeuvre pour combattre les flammes sur le territoire québécois. Plusieurs sapeurs viennent de diverses provinces canadiennes et des États-Unis. Leur priorité est de protéger les villages menacés par les brasiers a souligné M. Trudel. Celui qui menace la réserve de Wemotaci, en Haute-Mauricie, demeure le plus préoccupant, mais les combattants des flammes réussissent à contenir son avancée. Le personnel de la SOPFEU a par ailleurs été évacué de la réserve de Wemotaci, notamment en raison des forts vents. Les évacués de trois communautés autochtones de cette partie du territoire devront prendre leur mal en patience pour encore quelques jours, même si quelques-uns ont pu réintégrer leur domicile samedi, a fait savoir le porte-parole de la Croix Rouge Vincent Ostiguy. Il a par ailleurs indiqué que son organisation avait mis en place un centre d'hébergement à LaTuque pouvant accueillir jusqu'à 325 personnes. De son côté, la porte-parole de la Sûreté du Québec Éloïse Cossette a rappelé que la police avait mis en place des points de blocage sur les routes 1, 10, 22 et 25 afin d'interdire toute circulation sur ses artères dans les secteurs touchés par les feux. Autres détails sur les feux de forêt et carte de l'interdiction des feux à ciel ouvert disponibles sur le site de la SOPFEU'' Ça sent le feu de camp ! je sens que ça va freaker à Montréal aujourd'hui !
  13. Les Bourses nord-américaines sont en territoire négatif après l'annonce de pertes d'emplois massives aux États-Unis et au Canada en novembre. Le pétrole et le dollar canadien suivent la tendance baissière. Pour en lire plus...
  14. Les marchés ont ouvert en nette baissse mercredi après la publication d'indicateurs qui ont confirmé la dégradation de l'économie américaine Pour en lire plus...
  15. Les principaux indices nord-américains ont tous commencé la journée de mardi en territoire négatif alors que les inquiétudes face à l'économie persistent. Pour en lire plus...
  16. L'effet ravigotant sur les bourses mondiales du plan de relance de l'économie chinoise s'est rapidement estompé et les bourses nord-américaines, inquiètes, retournent en territoire négatif. Pour en lire plus...
  17. Les indices boursiers nord-américains ont conclu la semaine en territoire positif malgré la déconfiture de GM et de mauvais chiffres sur l'emploi aux États-Unis. Pour en lire plus...
  18. Ainsi, le groupe a annoncé un bénéfice de 2,9 M$ alors qu’il avait conclu ce même trimestre en 2007 en territoire négatif (une perte de 2,2 M$). Pour en lire plus...
  19. Alors que les Américains votaient mardi afin d’élire leur 44e président, les marchés boursiers affichaient leur optimisme sur l’issue du scrutin alors qu’ils étaient tous largement en territoire positif. Pour en lire plus...
  20. La crainte de voir l'économie mondiale tourner à vide pousse les principales places boursières en territoire négatif. Pour en lire plus...
  21. Redessiner Montréal Le Devoir Emmanuelle Vieira Édition du samedi 04 et du dimanche 05 octobre 2008 Mots clés : design, Architecture, Construction, Montréal Des maires d'arrondissement se mettent à l'écoute des créateurs pour repenser le design de la métropole Le futur Théâtre de Quat'Sous, à Montréal. Lors d'une soirée Pecha Kucha qui s'est tenue à la Société des arts technologiques mardi dernier, 14 maires d'arrondissement et de villes liées à l'agglomération de Montréal ont partagé leur vision du territoire et manifesté une volonté d'améliorer la qualité du paysage urbain en passant par les créateurs. Ils ont ouvert le dialogue avec les concepteurs, lançant des défis et s'obligeant à leur parler dans un langage qui leur est familier. Cette soirée décontractée et positive témoigne d'une sérieuse prise de conscience de la part des décideurs. Pour redessiner Montréal, ils sont prêts à entendre et à accueillir les idées de ceux dont le métier est de penser et de modeler la ville. Les soirées Pecha Kucha sont de véritables plateformes d'échanges et de rencontres interdisciplinaires qui ont lieu généralement entre le public et les créateurs de tous les horizons. Le concept vient du Japon mais il existe partout dans le monde. À Montréal, l'événement en est à sa huitième présentation et la soirée de mardi dernier était «spéciale» puisque, à la place des créateurs, ce sont 14 élus qui ont parlé, ce qui constituait une première initiative de ce genre à l'échelle internationale. L'événement était produit par Design Montréal, la Chaire UNESCO en paysage et environnement de l'Université de Montréal et l'équipe de Pecha Kucha Montréal. «Les élus sont des bâtisseurs de villes qui prennent quotidiennement des décisions sur le devenir de notre territoire; il était grand temps de leur permettre d'exposer leur vision à ceux qui ont l'expertise de dessiner la ville», dit Philippe Poullaouec-Gonidec, titulaire de la Chaire UNESCO en paysage et environnement. «Le but de l'exercice était de mobiliser les élus et les créateurs autour des enjeux de design urbain et de qualité architecturale, puis de susciter un enthousiasme pour les questions d'aménagement du territoire dans la métropole», explique Marie-Josée Lacroix, directrice de Design Montréal. Le concept Pecha Kucha est simple: chaque participant présente 20 diapositives qu'il commente pendant 20 secondes. Cette concision fut un obstacle pour des politiciens habitués aux longs discours. Ils se sont pourtant tous prêtés au jeu et certains s'en sont bien tirés! Des shuko au Plateau C'est le maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui a ouvert la danse en exposant sa vision de Montréal, ville UNESCO de design, avec un enthousiasme décoiffant. À travers des réalisations concrètes qui touchent notre quotidien, «je souhaite plus que jamais voir Montréal devenir une ville rayonnante et attrayante avec un milieu de vie stimulant et de qualité», a-t-il dit. Il a notamment parlé des nouveaux bacs-sacs de recyclage conçus par la firme montréalaise Claude Mauffette design industriel et des futurs Bixi (vélos en libre-service) conçus par Michel Dallaire design industriel. Il a aussi lancé cinq shuko: des appels à la création pour des projets de design qui seront réalisés par concours d'idées ou concours de projets et chapeautés par Design Montréal (mise en valeur des abords de la station de métro Champ-de-Mars, requalification du mur du palais de justice, design des abribus et des taxis montréalais). Les autres élus se sont pliés aux règles du Pecha Kucha avec la même effervescence. Ils ont parlé, pour certains d'entre eux, d'attraits de nature en ville (ex.: Pierrefonds-Roxborro, Verdun, Sainte-Anne-de-Bellevue), de patrimoine résidentiel ou industriel (ex.: Outremont, Lachine, Sud-Ouest, Ahuntsic), de singularités socioculturelles (Plateau Mont-Royal, Saint-Laurent), etc. Par-delà la requalification des cicatrices de Montréal ou la réhabilitation ou les transformations architecturales, il a aussi été question de mise en valeur de la qualité des espaces urbains et des paysages, de la construction d'équipements sportifs et culturels, ainsi que des transports en commun ou d'une solution de rechange. «L'exercice visait à montrer en quoi des actions en design urbain et en paysage peuvent être structurantes sur le plan des retombées économiques, sociales et culturelles au regard de l'ensemble de ces préoccupations (enjeux de protection, de mise en valeur et de développement)», explique Sylvain Paquette, chercheur à la Chaire UNESCO en paysage et environnement de l'Université de Montréal. Il faut souligner l'ouverture exprimée par certains élus à travailler en dialogue sur des projets impliquant plusieurs arrondissements. La mairesse d'Outremont, en parlant du projet Bellechasse, a clairement manifesté son intérêt à travailler en concertation avec l'arrondissement du Plateau et de Rosemont-Petite-Patrie. C'est un nouveau réflexe, qu'il faut encourager pour l'avenir. Enfin, c'est la mairesse du Plateau-Mont-Royal qui a fermé la soirée en faisant sourire l'assemblée par sa déclaration très imagée: «Montréal - le Plateau = Toronto. Avec cette phrase, elle a bien résumé le rôle important que joue chaque arrondissement en apportant sa touche unique à l'ensemble de l'agglomération montréalaise. Les présentations des élus auront permis de faire connaître les attributs singuliers, les attraits et les qualités des divers arrondissements représentés. Il est intéressant de constater que Montréal offre une très grande diversité de qualités au chapitre du paysage, du design et, plus généralement, d'une certaine culture d'habitation propre à chacun des quartiers. La force et la distinction de Montréal, c'est vraiment cette culture du quartier et il est important de la préserver et de la mettre en valeur, mais il est nécessaire aussi de développer une vision commune à l'ensemble du territoire. Pas de vision forte, pas d'identité Les élus ont exprimé leur souhait d'améliorer leur arrondissement sans savoir parfois par quel bout commencer... La grande absente de la soirée, c'était une vision d'ensemble, forte et structurée. Est-ce dû à un manque de culture ou de références en aménagement? On peut espérer que tous ceux et celles qui s'intéressent à l'amélioration de la qualité de l'environnement urbain (élus, promoteurs, gestionnaires municipaux, professionnels de l'aménagement, etc.) liront Les Cahiers des bonnes pratiques en design - Imaginer, réaliser la ville du 21e siècle conçus par Design Montréal. Ces trois cahiers offrent une multitude d'exemples pour inspirer leurs démarches et des outils pour guider leurs interventions. Malgré leurs lacunes, il y a cependant des arrondissements qui ont présenté des éléments de vision intéressants. Par exemple, la volonté à LaSalle d'appliquer les principes de développement durable sur des projets résidentiels plus denses, la volonté de mettre en valeur ailleurs le patrimoine architectural (Outremont) ou la volonté du Sud-Ouest d'attirer 20 000 nouveaux résidants dans les années à venir, tout en mettant l'accent sur des valeurs d'inclusion et de solidarité sociale, ou la volonté de se positionner comme des leaders en matière de créativité (Saint-Laurent). Tout ça est plutôt un bon début! «Une ville, ça se construit par étapes, suivant une ligne directrice clairement définie dans le temps et dans l'espace, nous explique Benoit Dupuis, architecte présent à la soirée. J'écoute les élus parler de projets isolés, d'arrondissements indépendants les uns des autres. À aucun moment je n'ai senti de plan d'ensemble, de vision d'avenir. Il faudrait une direction commune pour l'aménagement d'un territoire commun, un organisme plus centralisé pour que l'île de Montréal puisse retrouver une identité forte comme elle en a déjà eue.» La mobilisation comme point de départ Comparé à d'autres grandes villes de même importance, Montréal a pris du retard dans le développement de ses infrastructures et dans la mise en place de projets à grande échelle. De plus en plus, la qualité du design des bâtiments et des espaces publics devient un objectif primordial à atteindre pour améliorer la qualité de vie des populations, édifier un avenir durable et donner au territoire une identité singulière, facteur essentiel de réussite dans un monde globalisé de plus en plus concurrentiel. Partout dans le monde, une nouvelle volonté politique s'affirme en faveur de l'excellence en design et de la mise en oeuvre de politiques, de stratégies et de plans d'action dans le domaine du design urbain. Il serait temps de penser à la création de plateformes d'innovation en design pour accélérer ces changements; de donner une plus grande importance à la communication afin de favoriser le développement de visions partagées; d'utiliser des processus de design (tables rondes, ateliers, concours) pour pousser la qualité des projets tout en favorisant une plus large participation de la population à la transformation de son milieu de vie. «Si la ville veut laisser la place aux créateurs, c'est positif. Après, il faut voir la forme que cela va prendre. L'idéal serait de mettre en place des appels d'offres ou des concours qui renouvellent constamment la variété de créateurs sans pour autant niveler les projets par le bas», précise Colin Côté, designer industriel chez Claude Mauffette. Cette soirée Pecha Kucha «spéciale des élus» aura permis de constater l'étendue du territoire qu'il reste encore à exploiter à Montréal! La prise de conscience de ces projets à bâtir par les élus et les créateurs est un bon point de départ. Souhaitons que l'échange se poursuive, s'approfondisse et surtout se concrétise rapidement. Trop de lenteur et d'inertie tue la créativité. Le monde bouge tout autour de nous, les grandes villes canadiennes aussi... Nous avons des richesses qui ne demandent qu'à être exploitées. «Le design, c'est un peu comme la politique: il faut savoir tracer la ligne où le compromis est le moins compromettant... Quand on travaille en société, on n'a pas d'autre option que d'écouter les autres», dit Claude Cormier, architecte paysagiste présent à la soirée. Les décideurs ont un «pouvoir» créatif, ils doivent apprendre à s'en servir correctement. Il ne nous reste plus qu'à souhaiter longue vie à ces dialogues. C'est par eux que la culture grandit, et par eux que Montréal sera une vraie ville UNESCO de design. *** Collaboratrice du Devoir *** Envoyez vos sujets et commentaires à emmanuelle.vieira@gmail.com À consulter: http://www.ville.montreal.qc.ca/designmontreal, http://www.unesco-paysage.umontreal.ca, http://montreal.pecha-kucha.ca.a http://www.ledevoir.com/2008/10/04/209061.html (4/10/2008 8H30)
  22. Ultramar obtient le feu vert Mise à jour le lundi 30 juin 2008, 17 h 14 . Ultramar pourra transporter son pétrole à l'aide d'un oléoduc qui sera aménagé entre Montréal et Québec. C'est la décision que vient de rendre la Commission de protection du territoire agricole du Québec. Ce feu vert ouvre la porte à des travaux de plusieurs millions de dollars. Le pipeline de 238 kilomètres devrait traverser 32 municipalités et coûtera 275 millions de dollars. Ultramar y acheminera des produits pétroliers entre sa raffinerie de Lévis et son terminal de Montréal-Est. Pour Ultramar, il s'agit d'une façon de réduire le trafic sur la voie maritime du Saint-Laurent et sur le réseau ferroviaire. Le projet de construction de ce pipeline a soulevé la colère de nombreux citoyens et d'agriculteurs, notamment à Sainte-Eulalie, au Centre-du-Québec. La municipalité n'a finalement pas voté de résolution pour interdire le passage de l'ouvrage sur son territoire, puisqu'elle a réussi à s'entendre avec Ultramar. Le maire de Sainte-Eulalie, Jacques Tassé, craignait une potentielle contamination des puits d'eau potable. Celui-ci souligne que le tracé a été modifié pour empêcher que les pipelines passent par les points d'alimentation de la municipalité. Quatre des 32 municipalités visées par le projet n'ont toutefois pas encore accordé de droit de passage à la pétrolière. Par ailleurs, l'Union des producteurs agricoles (UPA) du Centre-du-Québec considère le projet satisfaisant, notamment parce que l'oléoduc sera enfoui plus profondément que prévu. De plus, des compensations à la pièce ont été négociées entre la pétrolière et les producteurs agricoles touchés. L'Association des propriétaires privés, agricoles, acéricoles et forestiers n'a pu commenter la décision. Ultramar, qui a maintenant cinq ans pour construire son ouvrage, devra de plus assurer un suivi strict pendant sept ans afin de s'assurer que les sols perturbés par la présence du pipeline retrouvent leur productivité. http://www.radio-canada.ca/regions/estrie/2008/06/30/003-pipeline-ultramar.shtml?ref=rss
  23. Si Montréal peut se targuer de détenir le plus grand nombre de brevets au Canada, c'est en raison de la présence de 11 établissements universitaires et de nombreuses entreprises de haute technologie sur son territoire, estime Christian Bernard, économiste à Montréal International. Pour en lire plus...
  24. À voir la quantité de gens (touristes inclus) qui se promènent au centre-ville après 17h les samedis, je crois que l'initiative suivante serait une très bonne idée. Il faut maintenant attendre la décision du ministère. La Ville est d'accord pour l'ouverture prolongée des commerces du centre-ville Montréal, le 26 juin 2008 - M. Alan DeSousa, responsable du développement économique, du développement durable et de Montréal 2025 au comité exécutif, annonce que la Ville appuie la demande de la Société de développement commercial Destination Centre-Ville visant à prolonger jusqu'à 20 heures, les samedis et dimanches, l'admission aux commerces au centre-ville et dans une partie du Vieux-Montréal. « Nous demandons au ministère du Développement économique, de l'Innovation et l'Exportation (MDEIE) d'adopter cette mesure qui favoriserait l'activité économique au centre-ville et permettrait de mieux répondre aux besoins des touristes étrangers ainsi qu'à la clientèle régionale et suprarégionale, dont les excursionnistes d'un jour, parce que, comme nous l'apprend Tourisme Montréal, le magasinage est l'activité préférée des visiteurs au centre-ville », a déclaré M. DeSousa. « La notoriété du centre-ville s'explique par le grand nombre d'activités et d'événements qui s'y tiennent et par la présence de nombreux attraits touristiques sur son territoire et en périphérie. Il reçoit annuellement cinq millions de touristes, de même qu'il constitue la plus importante concentration hôtelière dans la région et celle qui enregistre le plus grand nombre de nuitées touristiques. Cet afflux de consommateurs représente un atout indéniable pour les 3000 commerces qui en font un pôle économique exceptionnel avec ses quelque 300 000 emplois », a expliqué M. DeSousa. Destination Centre-Ville s'est entendu avec l'arrondissement de Ville-Marie et le MDEIE pour désigner la zone touristique qui sera couverte par le prolongement de la plage horaire commerciale les samedis et dimanches. Le territoire visé se situe dans le périmètre suivant : coin Sherbrooke et Atwater, Sherbrooke vers l'est jusqu'à Saint-Urbain, Saint-Urbain vers le sud jusqu'à Saint-Antoine, Saint-Antoine vers l'ouest jusqu'à de Bleury, de Bleury vers le sud jusqu'à Saint-Jacques, Saint-Jacques vers l'ouest jusqu'à University, University vers le sud jusqu'à Notre-Dame, Notre-Dame vers l'ouest jusqu'à de la Montagne, de la Montagne vers le nord jusqu'à Saint-Antoine, Saint-Antoine vers l'ouest jusqu'à Atwater, Atwater vers le nord jusqu'à Sherbrooke.
  25. le 8 novembre 2007 Le Comité pour la Protection du Patrimoine Île-des-Sœurs (CPP-IDS) s’associe à une quarantaine d’organismes de la grande région montréalaise pour demander la protection des derniers milieux naturels du domaine bioclimatique de l’érablière à caryer. Le but de cette démarche collective est de créer un nouveau parc national, le Parc écologique de l’Archipel de Montréal. Les partenaires de ce regroupement veulent préserver les derniers espaces naturels dans le sud-ouest du Québec. Ils invitent tous les paliers de gouvernement à appuyer le projet de parc afin d’assurer qu’un minimum de 12% de ce domaine écologique soit protégé à perpétuité. Les organismes demandent qu’une action politique soit rapidement entreprise pour protéger concrètement ce «patrimoine naturel menacé de disparition, alors qu’il recèle la plus grande biodiversité au Québec». Depuis des années, des citoyens et des organismes travaillent pour qu’un tel parc voie le jour. Les milieux naturels feront partie d’un nouveau concept unique visant à protéger et à mettre en valeur une mosaïque de forêts, de milieux humides, de corridors verts et d’îles reliés entre eux par les grands cours d’eau qui sillonnent le Québec méridional afin de créer le Parc Écologique de l’Archipel de Montréal . À ce jour, plus de 100 sites d’importance ont déjà été identifiés dans la zone de conservation ciblée qui se situe dans un rayon d’une cinquantaine de kilomètres à partir du centre de l’Île de Montréal. Un grave retard Les partenaires affirment que Montréal est classée bonne dernière parmi quatorze autres villes canadiennes pour la superficie d’espaces verts per capita. Seulement un peu plus de 3% du territoire naturel montréalais serait actuellement protégé, 0,73% du territoire de Laval et 3,69% pour la Montérégie. Quant aux régions du Suroît et Mirabel-Blainville, les pressions sur leur territoire sont énormes avec l’augmentation de plus de 30% de leur population au cours des cinq dernières années. En comparaison, Toronto possède déjà, depuis 1954, un programme pour la protection du bassin versant de la région métropolitaine. Ainsi, en 2005, l’Ontario s’est dotée d’une immense ceinture verte (environ 720 000 hectares) dans la région. Quant à la Colombie-Britannique, il y a trente ans, cinq millions d’hectares ont été mis de côté pour protéger les terres agricoles et les milieux naturels autour des centres urbains. La ceinture verte à l’intérieur et autour de Vancouver est reconnue comme un modèle de réussite à travers l’Amérique du Nord. Les organismes partenaires et tous les citoyens qu’ils représentent s’inquiètent de voir disparaître rapidement les milieux naturels qui les entourent, comme ils s’inquiètent des changements climatiques. Ils demandent donc que les gouvernements fédéral et provincial remplissent leurs engagements concernant la Convention des Nations Unies sur la biodiversité, signée en 1992, alors que Jean Charest occupait le poste de ministre de l’Environnement au gouvernement fédéral. Cette convention a par ailleurs été appuyée par l’Assemblée nationale du Québec. Ces engagements doivent conduire ultimement à mieux protéger la biodiversité sur l’ensemble du territoire. Les organismes partenaires sont convaincus que la création du Parc Écologique de l’Archipel de Montréal permettrait de remplir ces engagements. Le regroupement de partenaires invite tous les organismes intéressés par ce projet à se joindre à eux pour le mener à bien. Ce lancement n’est évidemment que le début des démarches collectives visant la protection et la mise en valeur réelle des milieux naturels de la région.
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