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  1. Endroit : 8 sites d'entrée dans la ville Ville : Montréal-Est, Québec Date : 2014-2015 Client : Ville de Montréal Est Collaborateurs : Intégral Jean Beaudoin ( Jean Beaudoin, Myriam Leclair, Corinne Deleers, Emmanuelle Beaupère, Enseignes Perfection) SIGNALÉTIQUE TERRITORIALE DE LA VILLE DE MONTRÉAL-EST : LES PORTAILS, LES DIRECTIONNELS ET LA VALORISATION DES ESPACES EXCEPTIONNELS DE LA VILLE Le projet a pour objectif de consolider la présence de la ville de Montréal-Est sur le territoire de l’île de Montréal. Au-delà de marquer les entrées et les sorties de la ville pour les voyageurs en transit sur les 4 axes est-ouest, le concept proposé vise à révéler les lieux et les paysages exceptionnels de la ville et inviter les visiteurs en traversée, et surtout les citoyens, à les visiter, le redécouvrir et les redynamiser. VISION D’ENSEMBLE La ville comporte deux zones distinctives, le secteur résidentiel et le secteur industriel.Il existe une distinction importante entre les paysages sur la rive du fleuve et ceux du secteur industriel dont les univers étonnant des carrières, des « champs de réservoirs », des raffineries et des hangars de la Seconde Guerre.Afin d’irriguer le territoire, nous proposant de superposer aux traversantes ( A40, Sherbrooke, Notre-Dame ) une GRANDE BOUCLE qui sera le trait d’union entre les paysages exceptionnels de la ville. En déploiement progressif vers l’ouest, au rythme de la revitalisation, la boucle s’appuiera sur les axes Est-Ouest de la rue Broadway et du futur boulevard Versailles. Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  2. « Montréal 360 » : Importante simulation d’actes terroristes le 24 octobre sur le territoire de Montréal
  3. Le territoire délimité continue de se développer et de nouveaux édifices ont été construits lors des derniers mois. Photos : First Capital Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  4. Situé sur la rue des Migrateurs. Le territoire pointillé continue de se développer et depuis que la photo a été prise, il s'est construit une SAQ Dépôt. Photos : Smart Centres Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  5. L’urbaniste émérite de l’Université de Montréal reproche aux politiciens leur manque de vision Faire du neuf au lieu de rénover PHOTO AGENCE QMI, SÉBASTIEN ST-JEAN DENISE PROULX Lundi, 20 juillet 2015 00:30 MISE à JOUR Lundi, 20 juillet 2015 00:30 Échangeur Turcot, pont Champlain, CHUM, CUSM, Place Daudelin... Le Québec connaît une effervescence en matière d’aménagement d’infrastructures. Après des années de négligence, les autorités publiques choisissent de construire du neuf au lieu de rénover, surtout quand il s’agit de bâtiments. «Le gouvernement agit comme si la prospérité était encore au rendez-vous et le sera toujours», déplore l’urbaniste et professeur Gérard Beaudet. Il s’interroge sur la dynamique qui motive ces choix de société. Et il ne cache pas ses inquiétudes sur les conséquences qui en découleront. Si l’ancien n’a plus la cote, ce n’est pas juste une affaire de gros sous. C’est, selon l’universitaire, la preuve d’un manque de vision des politiciens qui agissent comme de simples comptables, des gestionnaires qui ont perdu la compréhension que l’aménagement du territoire est lié aux enjeux sociaux, environnementaux et économiques auxquels les générations futures seront confrontées. «Il faudrait penser à faire autrement», suggère Gérard Beaudet. Le Québec refait à neuf, veut encore construire des autoroutes. Est-ce que ces infrastructures sont bien planifiées ? «Si on prend les projets à la pièce, on pourrait dire qu’ils sont majoritairement bien planifiés. Mais globalement, il existe un déficit de planification. Dans une conjoncture où les ressources financières sont rares, et qu’il faut prendre en compte l’environnement, il est incroyable de constater qu’on continue à lancer des projets d’infrastructures sans en analyser sérieusement les bénéfices et les conséquences avec lesquelles nous devrons vivre pour les 30 à 40 prochaines années.» Qu’est-ce qui ne va pas ? «Nous devons nous arrêter et faire un profond examen de conscience. On s’entête à construire un nouvel échangeur Turcot sur des paramètres dépassés. On nous annonce en grande pompe le prolongement du métro vers l’est en changeant constamment d’idée pour en abaisser les coûts, mais on réserve 717 millions $ pour le prolongement de l’autoroute 19 vers le nord. C’est assez préoccupant. On voit que les mécanismes de conciliation et d’arbitrage ne sont pas présents. C’est en partie dû à l’incompétence de la classe politique qui voit le territoire uniquement comme une ressource à exploiter, qui veut absolument créer de la richesse.» Existe-t-il néanmoins des modèles qui devraient nous inspirer ? «Oui, il y en a. Vancouver s’est dotée d’un système de transport collectif dépolitisé et intelligent. La manière de penser est différente lorsque ce sont des experts qui prennent l’aménagement du territoire en main. On semble bien faire les choses dans la reconstruction du centre-ville de Lac-Mégantic, qui s’en tire bien dans les circonstances – devoir travailler avec des sols contaminés et peu de ressources financières. La remise en état des abords de la rivière Saint-Charles est encourageante.» Et le projet 10/40, qu’en pensez-vous ? «C’est un bel exemple de vision collective qui fait défaut. Je comprends mal qu’on laisse le maire d’une seule ville prendre des décisions sur un projet qui aura un rayonnement métropolitain. C’est à la Communauté métropolitaine de Montréal de trancher dans ce dossier, d’en analyser les bénéfices escomptés.» En somme, que proposez-vous pour l’avenir ? «Avec l’arrivée de la Caisse de dépôt et placement du Québec qui se montre intéressée à investir dans les infrastructures, nous avons une opportunité de réfléchir à ce qu’il y aurait de mieux à faire avec l’argent disponible. Qu’est-ce qu’on veut léguer aux prochaines générations? Ce n’est pas juste une dimension économique. Les élus devraient prendre le temps de s’asseoir avec des universitaires dont c’est le métier d’approfondir ces questions et qui pourraient proposer des réflexions. Ce serait déjà une révolution que la classe politique prenne le temps de réfléchir à l’aménagement du territoire.»** QUI EST-IL ? Gérard Beaudet Gérard Beaudet est urbaniste émérite et professeur titulaire à l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal. Il s’intéresse en particulier à la valorisation patrimoniale, paysagère et touristique des territoires, à l’urbanisme métropolitain et au rapport entre la métropole québécoise et les régions. sent via Tapatalk
  6. J'ai entendu parlé de ce projet à la radio aujourd'hui sur le site de la Ville Pierrefonds-Ouest Projet Développement immobilier du secteur Pierrefonds-Ouest; Création d’espaces de conservation d’importance; Construction d’un boulevard urbain dans l’emprise non construite de l’autoroute 440. Contexte Le secteur de Pierrefonds-Ouest couvre un vaste territoire de 400 hectares situé à l’extrémité ouest de l’arrondissement de Pierrefonds-Roxboro. Une portion de ce territoire est destinée à accueillir une communauté viable, correspondant à l’idée d’un quartier offrant une diversité de services de proximité et d’équipements publics accessibles à tous, des espaces verts de qualité et en nombre suffisant et une variété de typologies d’habitation. Le développement immobilier du secteur s’effectuera en étroite harmonie avec la création d’espaces de conservation. L’agrandissement du parc-nature de l’Anse-à-l’Orme permettra entre autres de créer un vaste corridor écologique et récréatif entre le bois Angell, le parc agricole du Bois-de-la-Roche et le parc-nature du Cap-Saint-Jacques. Il s’inscrira autour de la rivière à l’Orme, seule rivière intérieure de l’île de Montréal, et couvrira une superficie plus grande que le parc du Mont-Royal. La réalisation de ce projet urbain, situé dans un secteur enclavé et non desservi, est tributaire de la mise en place d’infrastructures de transport efficaces et d’infrastructures souterraines. Plus spécifiquement, un boulevard urbain doit être aménagé entre le boulevard Gouin et l'autoroute 40, dans l'emprise non construite de l'autoroute 440 appartenant au ministère des Transports du Québec. Le secteur a fait l’objet d’une démarche de planification impliquant des intervenants du milieu municipal, gouvernemental ainsi que les grands propriétaires fonciers concernés. Objectifs Construire un quartier intégré à un milieu naturel, se distinguant aussi par sa composition urbaine, par la qualité de l’aménagement du domaine public et par un réseau de circulation favorable aux transports collectif et actif; Protéger un riche patrimoine naturel et une mosaïque de paysages et les mettre en valeur par l’implantation de divers équipements récréatifs. Composantes et caractéristiques Développement immobilier : 185 hectares, incluant : plus de 5 000 logements; près de 23 hectares de parcs locaux, parcs de quartier et bassins de rétention. [*]Espaces de conservation : 180 hectares Investissements prévus 20,3 millions de dollars
  7. http://www.ecologieurbaine.net/fr/ https://m.facebook.com/centre.ecologie.urbaine.mtl Comprendre l'écologie urbaine Plus qu’un vague concept, l’écologie urbaine est une façon d’agir individuellement et collectivement pour transformer sa ville. Laissez-vous raconter, chapitre par chapitre, comment nait, pousse et s’enracine l’écologie urbaine dans une ville, un quartier à la fois. En savoir plus Nos réalisations Verdissement Projets de verdissement participatifs qui changent la vie Aménagement & transport actif Quartiers verts actifs et en santé Agriculture urbaine Toits verts Participation citoyenne Transforme ta ville Historique En 1996, Lucia Kowaluk, Dimitri Roussopoulos et d'autres citoyens constituent la Société de développement communautaire de Montréal (SodecM). Plus d’une décennie après, elle prendra le nom de Centre d’écologie urbaine de Montréal. Les luttes menées localement poussent la SodecM à organiser des Sommets citoyens pour éveiller les citoyens et la ville de Montréal aux enjeux urbains. Les questions d’aménagement du territoire, de logement social, de revitalisation des quartiers, de développement social, communautaire et économique seront débattues sur la place publique. Après 2004, l’organisation met en branle plusieurs chantiers, élargit son territoire d’expérimentation, mais demeure toujours active à l’échelle du quartier, bien connectée à la réalité des citoyens. Elle se transforme en espace de rencontre, d’expérimentation et de partage. Les projets Quartiers verts, actifs et en santé et Ville en vert naissent. L’expertise prend forme dans les secteurs du verdissement, de l’agriculture urbaine, de l’aménagement, du transport actif et de la démocratie participative. Aujourd’hui, le CEUM a élargi son territoire d’intervention à d’autres municipalités du Québec, de l’Ontario et de l’Alberta. Cependant, il reste collé à son mode et son échelle d’intervention : le citoyen, son milieu de vie, le quartier. Dates marquantes: 2001 La SodecM organise le premier Sommet citoyen et débat de questions comme l’aménagement du territoire, le logement social, la revitalisation des quartiers, le développement social, communautaire et économique. 2006 Le Chantier sur la démocratie, piloté par le CEUM, se termine par la rédaction de la Charte montréalaise des droits et responsabilités – une première nord-américaine 2008 Début du premier projet d’urbanisme participatif Quartiers verts, actifs et en santé. Quatre quartiers montréalais et leurs communautés locales transforment leur milieu de vie avec l’aide du CEUM. 2011 Le Sommet Écocité marque un tournant. Des participants du monde entier y assistent pour discuter de la ville viable. 2012 L’année du verdissement! Le CEUM verdit le toit du Palais des congrès et entreprend un vaste projet de verdissement participatif en milieu HLM. 2013 Naissance du Réseau Quartiers verts. Mission Le CEUM développe et propose des pratiques et des politiques urbaines pour contribuer à créer des villes écologiques, démocratiques et en santé. Approche L’approche s’inspire de l’écologie sociale qui allie les questions sociales, économiques, environnementales et de santé publique. Approche du CEUM Cela se traduit par des actions qui : Encouragent la pratique de l’agriculture urbaine et le verdissement dans les villes; Favorisent le partage de la rue entre tous ses usagers; Permettent l’émergence et le maintien de quartiers à échelle humaine; Impliquent les citoyens dans les décisions qui touchent leur milieu de vie. sent via Tapatalk
  8. http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/405732/grand-montr GRAND MONTRÉAL Une Trame verte et bleue s’inscrira dans le territoire 17 % des milieux naturels seront protégés 19 avril 2014 |Jacinthe Leblanc | Actualités sur l'environnement Ce texte fait partie d'un cahier spécial. Le Devoir L’idée d’une ceinture verte dans la grande région de Montréal ne date pas d’hier. À plusieurs reprises, des citoyens, des élus, des groupes ont demandé la protection de territoires définis. Par la mise sur pied de cinq projets d’envergure en collaboration avec les municipalités et des groupes environnementaux, la Communauté métropolitaine de Montréal donne un coup d’envoi à la réalisation d’une Trame verte et bleue à la grandeur de son territoire. À la suite de consultations publiques tenues en 2011, la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) a adopté le Plan métropolitain d’aménagement et de développement (PMAD), en vigueur depuis 2012. Il y a, dans ce plan, la Trame verte et bleue (TVB), qui s’inspire grandement du concept de la ceinture verte, signale d’ailleurs Geneviève Bédard, conseillère en recherche pour le service environnement de la CMM. Dans l’essentiel, la Trame a un objectif de conservation et de protection de la biodiversité dans la région métropolitaine, explique Mme Bédard, à des fins récréotouristiques. La TVB se limite au territoire couvert par les 82 municipalités composant le Grand Montréal. À la demande de la population et des élus, le PMAD s’est collé aux objectifs de Nagoya, soit de protéger 17 % des milieux naturels sur son territoire d’ici 2017. Selon les données de 2010, déjà 9,6 % du territoire de la CMM sont inscrits au registre des aires protégées du gouvernement du Québec. Les aires protégées, les bois et corridors forestiers, les milieux humides, les rives et littoraux, et les paysages et le patrimoine bâti d’intérêt pour la métropole constituent les milieux naturels à protéger. Protéger le milieu terrestre Lorsqu’il est question de protéger les milieux aquatiques comme l’accès aux plans d’eau et aux rives, les gens embarquent rapidement et facilement dans les projets, constate Geneviève Bédard. Par contre, ceux-ci tendent à être plutôt réticents lorsqu’on parle du milieu terrestre comme la protection des bois et des milieux humides. Mais selon madame Bédard, la tendance semble changer tranquillement au sein de la société. C’est pourquoi cinq projets orientés vers la trame verte sont en cours. On parle ici du parc de la rivière des Mille-Îles, d’un sentier cyclable et pédestre reliant Oka et à Mont-Saint-Hilaire en passant par les différents parcs nationaux présents, d’un parc-plage du Grand Montréal et de deux corridors forestiers, celui du mont Saint-Bruno et celui de Châteauguay-Léry. De l’avis de Geneviève Bédard, « il était nécessaire d’avoir des projets concrets sur le territoire, et pas seulement de grands objectifs de protection et de conservation ». Ces projets s’inscrivent dans ce sens et font partie du plan d’action du PMAD. Le rôle de la CMM, précise Geneviève Bédard, est de coordonner et d’assurer la répartition du financement des différents projets de la Trame verte et bleue. À ce sujet, en janvier 2013, un investissement de 150 millions a été annoncé afin d’aider la réalisation des cinq projets ciblés. Cet investissement est réparti entre le gouvernement provincial, la CMM et les villes composant la CMM à la hauteur de 50 millions chacun. C’est un peu le pari que tient la CMM. En favorisant l’accès à des lieux de détente et de récréotourisme, les citoyens se réapproprieront l’espace, sortiront de chez eux et bougeront plus, pense Mme Bédard. Ils en deviendront par le fait même les meilleurs gardiens. Avec des citoyens en quête de plein air et sans devoir faire plusieurs heures de transport, le Plan métropolitain et la Trame verte et bleue semblent être arrivés au bon moment. Pour la CMM, il est donc important de pouvoir redonner un peu de nature aux citoyens. Et pour convaincre le plus de gens possible d’embarquer dans la TVB, le mieux, c’est d’en parler. Au-delà du récréotourisme Le territoire de la CMM est zoné agricole à 58 % et protégé en vertu de la Loi sur la protection du territoire agricole. À ce moment-ci, les MRC doivent faire leur plan de développement, et elles doivent tenir compte des objectifs de la Trame verte et bleue, mentionne Geneviève Bédard. « Intégrer les producteurs agricoles dans le développement et la mise sur pied de la TVB devient ainsi un incontournable. Et de plus en plus, souligne-t-elle, cela se fait dans le respect du travail de chacune des parties. » Pour le projet de la piste cyclable, un aspect pratique et utilitaire s’en dégage. En plus de relier le parc d’Oka au parc du Mont-Saint-Hilaire, le projet permettra de compléter certains tronçons manquants. Il servira aussi de prétexte pour améliorer le réseau cyclable à plusieurs endroits. Il sera plus facile et sécuritaire pour les cyclistes de se déplacer. Une intéressante collaboration De plus en plus, remarque-t-elle, il y a une collaboration qui s’installe entre les municipalités et les groupes environnementaux. Au cours des années, ces derniers ont développé une expertise et une connaissance de leur milieu, et plusieurs d’entre eux se sont professionnalisés. Geneviève Bédard souligne que ces collaborations deviennent efficaces avec les années. En effet, il semble reconnu que ceux à même de parler de certains territoires sont ceux qui les habitent. Par ailleurs, Geneviève Bédard observe qu’« avec la sensibilisation aux enjeux environnementaux et de conservation au sein des élus municipaux, il est plus facile de protéger les différents milieux naturels et d’en rendre une bonne part accessible au public ».
  9. http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/432936/fronde-municipale-contre-le-projet-energie-est Fronde municipale contre le projet Énergie Est Au moins 75 villes ont manifesté leur inquiétude au sujet du pipeline de la pétrolière TransCanada 26 février 2015 |Alexandre Shields | Actualités sur l'environnement Le pipeline doit passer par la réserve naturelle des battures de Saint-Augustin-de-Desmaures, une zone abritant une biodiversité unique au monde. Photo: FQPPN Le pipeline doit passer par la réserve naturelle des battures de Saint-Augustin-de-Desmaures, une zone abritant une biodiversité unique au monde. La Ville de Mascouche vient d’adopter une résolution afin de signifier son opposition au passage du pipeline de TransCanada sur son territoire. Elle n’est d’ailleurs pas la seule. Selon une recension non exhaustive du Devoir, des municipalités régionales de comté (MRC) représentant au moins 75 municipalités rejettent le projet Énergie Est ou exigent une évaluation environnementale du Québec. Le maire de Mascouche, Guillaume Tremblay, ne mâche pas ses mots quand vient le temps d’exprimer la position du conseil municipal de la Ville. « On ne veut pas de ce projet chez nous. C’est clair », lance-t-il en entrevue, au lendemain de l’adoption de la résolution d’opposition à Énergie Est. Pour lui, plusieurs éléments militent en faveur d’un rejet pur et simple du pipeline que la pétrolière souhaite faire passer sur le territoire de la municipalité située au nord-est de Montréal. M. Tremblay se dit notamment inquiet pour la protection de puits artésiens de nombreux citoyens, mais aussi pour la protection de milieux naturels. Qui plus est, souligne-t-il, les documents déposés à l’Office national de l’énergie indiquent qu’une station de pompage serait construite à Mascouche. Près de celle-ci, TransCanada ajouterait même un embranchement auquel serait raccordé un pipeline secondaire devant permettre de transporter du brut jusqu’à Montréal. Surtout, le maire redoute les impacts d’un éventuel déversement qui surviendrait sur des terres agricoles. Or, ces dernières ne constituent pas moins de 75 % du territoire de Mascouche. « Le secteur est un moteur économique essentiel à Mascouche. On veut donc s’assurer de le protéger. » En revanche, affirme-t-il, « on ne voit pas quelles pourraient être les retombées économiques » liées au pipeline de TransCanada. La Ville a certes eu des contacts avec l’entreprise albertaine, mais ceux-ci n’ont pas rassuré le maire. « La dernière fois qu’ils nous ont parlé, ils nous ont demandé de signer des ententes de confidentialité. Mais moi, je suis un élu, je ne commencerai pas à cacher de l’information. L’objectif, c’est d’être transparent dans ce dossier. » La Ville compte d’ailleurs demander à l’Office national de l’énergie le droit de participer aux audiences publiques sur le projet. Une lettre comportant une série de questions a aussi été envoyée à TransCanada en décembre. La réponse est parvenue à Mascouche le lendemain de l’adoption de la résolution d’opposition au projet, soit mardi. « Les réponses ne répondent absolument pas aux interrogations légitimes de notre population », estime toutefois le maire Tremblay. Vive opposition Mascouche n’est pas seule à manifester des inquiétudes par rapport au projet de pipeline, qui fera passer chaque jour 1,1 million de barils de pétrole des sables bitumineux sur le territoire de dizaines de municipalités du Québec. Plus tôt ce mois-ci, la MRC d’Autray, dans Lanaudière, a pris position « catégoriquement et énergiquement » contre le projet de transport de brut. La décision, qui concerne 15 municipalités, s’appuie sur les résultats de la première étude indépendante réalisée au Québec concernant les risques associés aux déversements. Selon cette étude, une fuite représentant moins de 1,5 % du pétrole transporté quotidiennement serait difficile à détecter. Or, ce taux équivaut à 2,5 millions de litres, ou 15 000 barils. La MRC de L’Islet, située dans le Bas-Saint-Laurent, a elle aussi signifié son refus de voir le pipeline passer sur son territoire, comme le prévoit le tracé présenté par TransCanada dans les documents déposés à l’Office national de l’énergie. Un total de sept autres municipalités ont formulé individuellement le même type de rejet définitif, dont Saint-Augustin-de-Desmaures. Or, ce secteur est particulièrement névralgique pour la réalisation d’Énergie Est. C’est en effet à cet endroit que le pipeline d’un mètre de diamètre doit traverser le fleuve Saint-Laurent. Le lieu de passage choisi se situe en plein coeur de la réserve naturelle des battures de Saint-Augustin-de-Desmaures, une zone abritant une biodiversité unique au monde et bénéficiant d’une protection reconnue par le gouvernement. Les craintes concernant la protection de l’eau potable, des terres agricoles et de divers milieux naturels sont aussi au coeur des motifs invoqués par les trois MRC qui exigent la tenue d’une étude placée sous l’égide du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE). Les MRC D’Argenteuil, de Portneuf et de Kamouraska représentent un total de 45 municipalités dans trois régions du Québec. Une dizaine d’autres municipalités se disent simplement inquiètes de la réalisation de ce projet de pipeline, le plus important en développement en Amérique du Nord. D’autres, qui ne sont pas touchées par le tracé désigné par TransCanada, ont manifesté leur appui aux municipalités qui s’opposent aux visées de la pétrolière. Pour le moment, aucune évaluation environnementale n’a été annoncée par le gouvernement Couillard, même si celle-ci est promise depuis mai 2014. Selon les dernières informations disponibles, TransCanada n’aurait toujours pas déposé son « avis de projet » auprès de Québec. Cela a pour effet de bloquer tout le processus d’étude environnementale, à quelques mois seulement des audiences fédérales sur Énergie Est. Selon la pétrolière, le dernier mot dans ce dossier appartient à Ottawa.
  10. Bonjour, Je surveille attentivement le marché immobilier à Montréal depuis quelque temps, car je désire éventuellement acheter une propriété. Je connais le site du registre foncier du Québec (http://www.registrefoncier.gouv.qc.ca) qui contient beaucoup d'information, mais pour qui il faut à chaque fois payer pour obtenir des informations très ciblées. Mon père me disait qu'autrefois, une liste complète des dernières transactions immobilières pour un territoire donné était publiée de façon hebdomadaire / mensuelle dans les journaux. Je me demande si une telle publication existe toujours en ligne ou non. Sinon, pourquoi? Je crois que ce genre d'information devrait être publique. Sauriez-vous où la trouver? Merci pour toute information
  11. [h=1]http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=9517,133997570&_dad=portal&_schema=PORTAL Schéma d’aménagement et de développement de l’agglomération de Montréal - Projet[/h]Le projet de schéma d’aménagement et de développement établit les lignes directrices de l’organisation physique du territoire de l’agglomération, tel que l’exige la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme (LAU). Il guidera les décisions relatives à l’aménagement du territoire de l’ensemble des administrations municipales de l’agglomération : municipalités reconstituées, Ville de Montréal et ses arrondissements. Le projet de schéma s’inscrit dans la poursuite de l’entrée en vigueur, en 2012, du Plan métropolitain d’aménagement et de développement (PMAD) de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) et en conformité avec les orientations de celui-ci. Une fois adopté, le nouveau schéma remplacera le schéma présentement en vigueur. Ce document fera l’objet d’une consultation publique, en octobre et novembre 2014, menée par laCommission sur le schéma d’aménagement et de développement de Montréal. Consultez la version française du Résumé du schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal [10,5 Mo - 8 pages] Consultez la version anglaise du Résumé du schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal [10,5 Mo - 8 pages] Lire le communiqué [TABLE=class: encadre_gen, width: 525] [TR] [TD][h=3]Télécharger les différentes sections du document[/h] Mot des élus et introduction [1,8 Mo - 13 pages] Chapitre 1 - La vision d'avenir Améliorer le cadre de vie, favoriser un développement durable [3,8 Mo - 13 pages] Chapitre 2 - Les grandes orientations d'aménagement et de développement 2.1 Favoriser un cadre de vie de qualité [5,6 Mo - 22 pages] 2.2 Soutenir le dynamisme de l'agglomération et du centre de la métropole [8,1 Mo - 15 pages] 2.3 Mettre en valeur les territoires d'intérêt (partie 1) [9,2 Mo - 9 pages] 2.3 Mettre en valeur les territoires d'intérêt (partie 2) [11,7 Mo - 14 pages] Chapitre 3 - L'affectation du sol et la densité d'occupation 3.1 Les grandes affectations du territoire [11,8 Mo - 30 pages] 3.2 La densité d'occupation [7 Mo - 6 pages] Chapitre 4 - Le document complémentaire Le document complémentaire [558 ko - 28 pages] Sigles, glossaire, bibliographie et annexes Sigles, glossaire et bibliographie [684 ko - 19 pages] Annexes I à XVI [h=3]Télécharger la version complète du document[/h] (le téléchargement du document complet et des annexes peut prendre plusieurs minutes) Schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal [58,8 Mo - 169 pages] Annexes I à XVI [45,6 Mo - 76 pages] [/TD] [/TR] [/TABLE]
  12. Du développement commercial et industriel, le parfait complément à la densification démographique de l'île de Montréal. Je proposerais incidemment un nouveau slogan: des emplois là où habitent les gens, en sonnant le glas à l'expansion des villes-dortoirs. Dans le but de faire échec à l'étalement urbain, un programme incitatif devrait encourager prioritairement la création d'emplois et de logements sur l'île, avec effet décroissant selon l'éloignement vers les couronnes. J'irais même jusqu'à charger une taxe spéciale sur toute nouvelle construction en dehors des zones déjà urbanisées ou dans de nouveaux lotissements, sur tout le territoire de la banlieue. Je ferais cependant exception de Laval qui est déjà en phase de densification. Une ville plus dense diminue les besoins en déplacements automobiles et rentabilise davantage le développement des transport en commun, avec effet durable sur le plan environnemental. Il faut changer les mentalités et briser la dichotomie de la banlieue qui veut que ce soit l'endroit idéal pour élever une famille. Il reste d'ailleurs suffisamment d'espace disponible sur les deux îles (Laval et Montréal) pour facilement doubler la population, tout en renforçant les pôles économiques centraux. On économiserait au passage les meilleures terres cultivables qui restent encore dans le voisinage de la ville, tout en préservant une précieuse ceinture verte, indispensable à l'équilibre écologique et sociologique du grand Montréal. Si on veut véritablement améliorer notre bilan carbone et réduire la pression des villes sur l'environnement, nous n'avons pas le choix que de penser globalement. Ce n'est qu'avec des efforts concertés et simultanés dans tous les domaines d'activités humaines que nous y arriverons. Pour cela il est nécessaire que la volonté vienne du gouvernement provincial lui-même, car c'est le seul qui a les moyens législatifs pour véritablement changer les choses. On n'a plus le choix si on veut léguer aux générations futures, un monde meilleur et en plus grande harmonie avec la nature. L'occupation du territoire est déjà une agression en soi, mais on peut diminuer notre empreinte par toutes sortes de mesures de naturalisation qui réconcilieraient la ville avec le milieu naturel. Une prise de conscience est déjà en voie de se faire, mais il y a encore beaucoup de résistance et d'opposition. Et tant que le message ne viendra pas de la plus haute instance, avec des moyens concrets pour y arriver, on sera limité à des interventions ponctuelles et trop localisées pour faire une différence appréciable. Comme le discours économique est à la mode aujourd'hui, on peut ajouter à cette vision écologique, l'effet positif sur le développement de Montréal en premier lieu, et aussi bien sûr les villes déjà établies, mais dans une moindre mesure. Un Montréal plus populeux et plus dense est un gage d'enrichissement collectif, avec des revenus plus importants et de plus grands moyens pour assurer son développement futur. J'en conclue que la prospérité soutenue de la ville passe nécessairement par l'arrêt de l'étalement urbain, et la fin de la dispersion de nos forces et de nos énergies, dans un territoire devenu démesuré par rapport à sa densité.
  13. Construction dans Ville-Marie: ménage des règles d'urbanisme Publié le 05 février 2013 à 06h21 L'arrondissement de Ville-Marie gèle en partie l'attribution des permis de construction jusqu'à la fin du mois de mars, le temps de finir le ménage dans ses règles d'urbanisme kafkaïennes. Le conseil de cet arrondissement, qui englobe le centre-ville et le Vieux-Montréal, a adopté hier en première lecture un projet omnibus modifiant plus de 600 articles du règlement d'urbanisme. Les changements touchent une foule de sujets, du zonage à la hauteur des immeubles, en passant par l'agriculture urbaine. «Le règlement actuel existe depuis 20 ans et il avait clairement besoin d'être modernisé», a résumé à La Presse Affaires Bruno Collin, chef d'équipe à la division d'urbanisme, après la tenue du conseil. Selon les règles actuelles, il existe quatre familles d'utilisation du territoire: résidentielle, commerciale, industrielle et institutionnelle. Celles-ci sont divisées en 53 catégories, qui sont ensuite subdivisées en 118 types de zones. C'est autant que dans les cinq arrondissements de New York réunis, et ce, pour le seul arrondissement de Ville-Marie! «En plus d'être très rigide, cette approche complexifie énormément le règlement et le rend pratiquement incompréhensible pour les usagers, souligne un sommaire décisionnel publié hier. Par exemple, le propriétaire d'un bâtiment situé au coin des rues Wellington et Prince doit se référer à six listes différentes uniquement pour identifier les usages permis sur sa propriété.» La cartographie actuelle de Ville-Marie est si compliquée qu'on ne peut la lire à une échelle inférieure à 1: 5000. Il faut consulter la carte sur deux feuillets de 30 po sur 25 po au minimum, et les erreurs d'interprétation sont fréquentes. Bruno Collin et son équipe ont travaillé pendant huit mois à simplifier cette structure d'organisation du territoire. Ils sont partis du principe de la mixité des usages, ce qui leur a permis de réduire de 118 à 27 les types de zones. La nouvelle carte de l'arrondissement est lisible sur une feuille de 11 po sur 17 po, se réjouit-on. Le projet de règlement d'urbanisme sera soumis à une série de consultations et de présentations au cours des prochaines semaines. D'ici à son adoption finale, prévue le 25 mars, un gel partiel de l'attribution des permis de construction et d'occupation a été décrété. L'arrondissement estime que de 10% à 20% des demandes de permis seront touchées par le gel. En plus de simplifier la structure d'attribution des permis, le nouveau règlement d'urbanisme de l'arrondissement de Ville-Marie propose une trentaine de nouvelles dispositions. En voici cinq: - Les nouvelles constructions devront inclure davantage de stationnements pour vélos, et ceux-ci devront être facilement accessibles. - Toutes les nouvelles toitures devront être écologiques. Il pourra notamment s'agir de toits «blancs» ou végétaux. - L'implantation de jardins communautaires, de parcs et d'écoles sera permise partout sur le territoire de l'arrondissement. - L'insonorisation des nouvelles constructions résidentielles devra être accrue dans les zones bruyantes. - Des stationnements pour les petites voitures seront créés. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201302/05/01-4618392-construction-dans-ville-marie-menage-des-regles-durbanisme.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  14. On dévoilait hier le projet préliminaire du Programme particulier d’urbanisme (PPU) pour le secteur de la rue Jarry Est qui vise à revitaliser cette artère urbaine de 1,9 km et la rendre plus conviviale, sécuritaire et attrayante tout en intégrant des principes de développement durable. Structurer le secteur Le territoire visé se situe de part et d’autres de la rue Jarry Est, entre la rue D’Iberville et le boulevard Pie-IX. Le territoire a été subdivisé en quatre secteurs de planification contenant chacun des orientations distinctes : ■La Porte d'entrée couvre la portion de la rue Jarry Est située au croisement du boulevard Crémazie Est jusqu'à la 2e Avenue. Ce secteur comprend notamment la Cité des arts du cirque. Orientation : mettre en valeur l’entrée du parc du Complexe environnemental de Saint-Michel (CESM) et ses abords en révisant l’aménagement du domaine public. ■Le Cœur du quartier est la portion du territoire qui comprend les propriétés de la rue Jarry Est situées entre la 2e et la 14e Avenue. Elle est caractérisée par la concentration de bâtiments institutionnels et une faible intensité commerciale. Orientation : assurer la vitalité de ce secteur par la création d’un milieu de vie attrayant tout en favorisant la fonction résidentielle. ■Le secteur Des affaires englobe les terrains situés au nord de la rue Jarry Est entre l'avenue Joseph-Guibord et le boulevard Pie-IX. Il se distingue par la présence d'industries et de commerces de gros. Orientation : optimiser le développement des activités économiques. ■Le secteur Vitrine Crémazie et les Avenues est délimité par la rue Jarry Est, le boulevard Crémazie Est, la 14e et la 20e Avenue. Il se compose majoritairement de commerces liés à l'automobile, de petits ateliers industriels et des entrepôts. Orientation : modifier la vocation en secteur mixte afin de permettre l’établissement de bureaux, commerces, habitations et industries légères et en rehausser l’image pour le positionner comme un secteur dynamique. Le PPU – secteur de la rue Jarry Est constitue le fruit d’une démarche participative tenue auprès des partenaires du milieu et d’experts en aménagement urbain. Rappelons que le conseil d’arrondissement avait déjà mandaté en juin 2010 la firme AÉCOM pour l’élaboration d’une étude de planification détaillée pour revitaliser cette importante voie urbaine. Des professionnels de divers services à l’arrondissement et à la Ville ainsi que les partenaires du milieu (commerçants, industriels et organismes communautaires) ont participé dans le cadre de cette étude à plusieurs activités de consultation afin de mieux cerner les enjeux inhérents à ce territoire et saisir les préoccupations du milieu dans le but de les intégrer au PPU. Avec ce projet préliminaire, le PPU – secteur de la rue Jarry Est franchit une nouvelle étape. Une consultation publique locale prendra place cet hiver. La mise en œuvre du PPU nécessitera par la suite une série d’interventions sur le domaine public ainsi qu’un amendement au plan d’urbanisme de la Ville de Montréal et à la réglementation de zonage de l’arrondissement Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension en vue d’une adoption au conseil municipal de la Ville de Montréal au printemps 2013. Source : Ville de Montréal http://www.portailconstructo.com/actualites/revitalisation_rue_jarry_est_%E2%80%93_presentation_projet_preliminaire_ppu
  15. B2B Montréal 2012 Ce forum d’affaires international, spécialement conçu pour les PME, est un investissement offrant un excellent rapport qualité-prix pour le développement de votre entreprise. Se déroulant sur deux jours, vous pourrez obtenir jusqu’à 14 rendez-vous de 30 minutes avec des entreprises votre choix. De plus, le Plan Nord s’invite à B2B Montréal 2012; les enterprises participantes pourront créer des partenariats avec des entreprises, municipalités et communautés œuvrant sur le territoire du Plan Nord et plus particulièrement celles de la Nation Crie. Bénéficiant de l’expertise et de l’expérience unique de Futurallia, ce forum de jumelage d’entreprises donne lieu à des échanges fructueux qui débouchent inévitablement sur des opportunités d’affaires. http://www.b2bmontreal2012.com/fr/index.php
  16. 24 mai 2011 http://www.premier-ministre.gouv.qc.ca/actualites/nouvelles/2011/mai/2011-05-24.asp Nouveau hangar pour Air Inuit Dans la foulée du Plan Nord, le gouvernement a annoncé aujourd’hui l’allocation de 5 millions de dollars à la compagnie d’aviation Air Inuit. Ce montant contribuera à la construction d’un nouveau hangar à Dorval. Le projet d’envergure, qui totalise un investissement de 37,5 millions de dollars, permettra à Air Inuit d’élargir sa gamme de services et de mieux desservir le Nunavik. Par ailleurs, le nouveau complexe répondra aux besoins particuliers de la compagnie et lui permettra, de plus, d’offrir des services d’entretien et de réfection d’avions à d’autres exploitants. Avec ce projet, 500 emplois actuels seront consolidés et une quarantaine de nouveaux seront créés. « Air Inuit est un bel exemple de réussite pour les futures entreprises du Nunavik », a souligné le ministre responsable des Affaires autochtones, Geoffrey Kelley. « Le territoire du Plan Nord représente 72 % de la superficie du Québec. Le développement du Nord nécessite donc des infrastructures stratégiques pour donner accès à cet immense territoire. La construction du nouveau hangar d’Air Inuit annoncée aujourd’hui permettra le développement des transports au Nunavik et contribuera à la mise en œuvre du Plan Nord, au bénéfice de l’ensemble des Québécois », a déclaré le premier ministre, Jean Charest. Rappelons que le Plan Nord se déploiera sur une période de 25 ans et entraînera des investissements de 80 milliards de dollars. Environ 20 000 emplois seront créés ou consolidés chaque année.
  17. (Courtesy of Journal Metro) YAY! Yet another Quebec national park that I can't get to
  18. L’Espace l’Assomption est un projet fictif qui va dans le sens de la durabilité. Effectué dans le cadre du baccalauréat en urbanisme de l'UQAM, son but est de renforcer un secteur qui présente des lacunes en exploitant pleinement ses potentiels et en contournant ses contraintes. La station de métro l’Assomption, présente dans le secteur, est d’ailleurs un des piliers sur lequel repose le projet. Densification, innovation et diversification en sont les mots clefs. Voici donc un site web qui vous permettra d'apprécier l'intégrale du travail effectué par l'équip. En premier lieu la présentation du territoire comprenant les diverses analyses du secteur. Par la suite, les section thématiques qui englobe les principaux objectifs du projet. Le tout agrémenté d'une carte de l'aménagement final qui vous aideront à mieux comprendre notre vision et nos concepts. Bonne visite: www.espace-lassomption.com © Julien Trépanier-Jobin & Les ateliers NOVA 2010
  19. (Voir le pdf à la fin pour les tableaux et cartes). Une analyse décortiquée de la mobilité à Montréal par Jean-François Lachance L’ISQ produit annuellement des données sur la migration interne1 à l’échelle des MRC. Ces publications permettent l’analyse des tendances migratoires infrarégionales et leur évolution dans le temps. Ce but n’est toutefois pas atteint à Montréal, qui regroupe en un seul territoire équivalant à une MRC près du quart de la population du Québec, soit 1,9 million de personnes. Une analyse poussée de la migration interne à Montréal requiert donc un découpage plus fin du territoire. Pour ce faire, nous utiliserons les territoires de CLSC (ou districts) de l’île de Montréal, au nombre de 352. La taille moyenne de ces territoires (approximativement 53 000 personnes) est similaire à celle des MRC hors Montréal, qui est d’environ 57 500. En plus d’identifier avec plus de précision le point de départ des personnes qui quittent Montréal et le point d’arrivée de ceux qui y entrent, l’exploitation de ce découpage permet également d’identifier les principaux flux migratoires intra-Montréal. Les moyennes annuelles calculées à partir des statistiques des années 2004-2005 à 2008-2009 seront présentées ici. Les impacts différenciés de la migration interrégionale sur Montréal Pour l’ensemble de la période mentionnée, les pertes nettes de Montréal reliées à la migration interrégionale sont de 22 500 personnes par année, les 42 200 entrants annuels étant largement inférieurs aux 64 700 sortants. La majorité des territoires de CLSC perdent également plus de personnes qu’elles n’en attirent (voir tableau)3, les déficits nets les plus importants étant ceux de Côte-des-Neiges (– 2 284), Montréal-Nord (– 2 143) et Saint-Michel (– 1 771). Quatre territoires comptent cependant un nombre légèrement plus élevé d’entrants que de sortants : Saint-Henri (+ 284), Lac-Saint-Louis (+ 256), Montréal–Centre-Ville (+ 188), et Pierrefonds (+ 105). Il est à noter que trois de ces districts auraient un solde migratoire interrégional négatif si la migration intra-Montréal n’avait pas été prise en compte; seul Montréal–Centre-Ville serait demeuré du côté positif. Inversement, le solde migratoire interrégional du Plateau-Mont-Royal devient négatif lorsque la migration intra-muros est ajoutée. Prise dans son ensemble, Montréal montre un profil résolument urbain dans la structure de ses échanges migratoires, avec des gains chez les 15-24 ans et des soldes négatifs pour tous les autres grands groupes d’âge, particulièrement les 25-44 ans (Lachance, 2007 et 2010). Pour la période 2004-2009, la situation au niveau des territoires de CLSC n’est pas aussi homogène. Par exemple, chez les 25-44 ans, la majorité des districts montrent effectivement des taux négatifs, particulièrement à Côte-des-Neiges, Snowdon et Montréal-Nord, mais il se trouve aussi quatre districts (Montréal–Centre-Ville, Saint-Henri, Lac-Saint-Louis et Pierrefonds) avec un taux net positif pour ce même groupe d’âge. Les 25-44 ans sont prépondérants dans l’analyse des mouvements migratoires montréalais, car ils comptent pour 41 % des arrivants en provenance des autres régions et 47 % des personnes ayant changé de territoire de CLSC à Montréal. De même, sur les 35 territoires de CLSC, on en compte cinq où les taux nets des 0-14 ans sont positifs (Lac-Saint-Louis, Dollard-des-Ormeaux, Pierrefonds, Mont-Royal et Rivière-des-Prairies). Pour les 45 ans et plus, sept districts sont du côté positif, notamment Montréal–Centre-Ville, Saint-Henri, Côte-Saint-Luc et Lac-St-Louis. Quant aux 15 à 24 ans, il s’agit de la tranche d’âge pour lequel le taux net de migration annuel varie le plus selon le territoire. Il culmine à + 12,0 % au Plateau-Mont-Royal et atteint + 9,8 % dans Montréal–Centre-Sud. À l’inverse, ce taux est de – 2,5 % dans Parc-Extension et – 2,4 % à Saint-Michel. À l’exception de ces deux derniers territoires, les taux de migration des 15-24 ans les plus élevés se concentrent au centre de Montréal et les moins élevés sont plus courants aux extrémités est et ouest de l’île. Une dimension inexplorée : la mobilité intra-muros à Montréal Entre 2004 et 2009, on estime à 115 000 par année le nombre de personnes qui ont changé de district de résidence dans la région de Montréal, alors que le nombre d’entrants annuel en provenance des autres régions du Québec était de 42 200. La majorité des nouveaux arrivants dans un quartier donné proviennent donc des autres parties de l’île. C’est le cas de 64 % des entrants à Pointe-aux-Trembles (la plus faible proportion) et de 88 % à Côte-Saint-Luc (la plus forte). Par conséquent, les échanges migratoires intra-muros influent davantage sur l’attractivité d’un quartier donné que les gains ou pertes par rapport au reste du Québec. Les banlieues extérieures à l’île de Montréal ne sont pas les seules à attirer en masse les 25-44 ans. Les territoires de CLSC situées aux extrémités est et ouest de l’île attirent également des centaines de personnes aux dépens des districts centraux (voir figure). Pointe-aux-Trembles montre les plus forts gains relatifs chez les 25-44 ans; suivent Pierrefonds, Rivière-des-Prairies et Saint-Henri. Les trois districts accusant les pertes les plus marquées sont adjacents : il s’agit de Côte-des-Neiges, Snowdon et Métro. Rappelons que pour ce groupe d’âge, en tenant compte des migrations intra-muros et extra-muros, il n’y a que quatre territoires de CLSC qui affichent un solde positif. Dans les districts des extrémités est et ouest, l’arrivée d’une quantité non négligeable de 25-44 ans en provenance du centre de l’île vient donc atténuer, et dans certainscas contrebalancer entièrement l’impact des nombreux départs de personnes de ce groupe d’âge vers les banlieues situées hors Montréal. On peut généralement en dire autant pour les 45 ans et plus, quoique à des niveaux plus restreints puisque la propension à migrer n’est pas aussi forte pour ces catégories d’âge (voir tableau). À peu de choses près, la migration des 0-14 ans intra-muros suit les mêmes tendances que les 25-44 ans. Les plus forts gains relatifs dans cette catégorie d’âge sont enregistrés à Rivière-des-Prairies, Pointe-aux-Trembles et Pierrefonds; Côte-des-Neiges et Snowdon connaissent quant à eux les plus fortes pertes relatives. Quelques différences à noter quant aux 15-24 ans : par rapport à la population totale de cet âge, les taux nets les plus élevés se trouvent dans les districts du Plateau-Mont-Royal, de Saint-Paul, de Montréal–Centre-Ville et de Hochelaga-Maisonneuve; au contraire, les territoires de Côte-des-Neiges, Snowdon, Mont-Royal et Parc-Extension qui subissent les pertes relatives les plus fortes. Dis-moi d’où tu pars, je te dirai où tu iras Règle générale, la personne qui quitte un quartier donné de Montréal aura tendance à choisir les territoires adjacents à celui qu’elle occupe déjà. C’est ce qui explique que certains districts centraux ne voient qu’une part limitée de leurs sortants quitter l’île de Montréal, comme Snowdon (17 %), Métro (19 %) et Côte-Saint-Luc (20 %), alors qu’au contraire ceux situés aux extrémités est et ouest ou près des ponts sont plus enclins à sortir de Montréal, comme on le voit à Pointe-aux-Trembles (59 %), Lasalle (48 %), Rivière-des-Prairies et Montréal-Nord (tous deux 46 %). Et pour les cas où le point de destination se situe hors Montréal, les secteurs les plus populaires sont généralement assez rapprochés du point de départ. Les flux les plus importants des sortants de Montréal sont ceux allant de l’ouest de l’île vers Vaudreuil-Soulanges, du nord de l’île vers Laval; de l’est de l’île vers Les Moulins (Terrebonne) et L’Assomption (Repentigny); enfin du sud de l’île vers Châteauguay-Mercier, Saint-Constant–La Prairie et Brossard–Saint-Lambert. Conclusion L’analyse des profils migratoires de l’île de Montréal décortiquée en 35 territoires de CLSC remplit plusieurs objectifs. Elle démontre que les impacts de la migration extra-muros ne se répercutent pas de manière homogène sur l’ensemble du territoire montréalais. Cette approche nous a également permis de quantifier les mouvements de population internes de Montréal et, corollairement, d’entrevoir le rôle plutôt méconnu que jouent les migrations intra-muros dans la dynamique de mobilité montréalaise. Au point de vue de l’attractivité, chaque secteur, chaque quartier se doit ainsi de se démarquer non seulement vis-à-vis des banlieues situées hors de l’île, mais aussi par rapport à ses voisins immédiats. Bibliographie Lachance, Jean-François (2007). « Les profils migratoires des MRC, 2001-2006 », Données sociodémographiques en bref, vol. 12, no 1, octobre. Lachance, Jean-François (2010). « Faits saillants de la migration interrégionale en 2008-2009 », Coup d’oeil sociodémographique, no 1, janvier. http://www.stat.gouv.qc.ca/publications/conditions/pdf2010/sociodemoenbref_oct10.pdf
  20. Votre opinion la dessus ? Est-ce qu'enlever les panneaux publicitaire rend la ville plus humaine ? Source: Ville de Montréal Retrait des panneaux-réclames sur Le Plateau Mont-Royal - Une première canadienne qui devrait être imitée Montréal, le 7 septembre 2010 - Les élus du Plateau-Mont-Royal seront appelés à voter ce soir une résolution visant l'enlèvement des enseignes publicitaires sur l'ensemble du territoire de l'arrondissement. « Nous voulons construire une ville à échelle humaine et cette décision nous permettra d'améliorer la qualité de vie de nos citoyens sans avoir d'incidence significative sur les revenus de la Ville », a déclaré le maire du Plateau-Mont-Royal, Luc Ferrandez. En effet, les 45 panneaux publicitaires géants sur Le Plateau ne rapportent que 40 000 $ par année en taxes à la Ville, ce qui est une somme risible en contrepartie des impacts de ces panneaux sur le territoire. Des peanuts « Chaque panneau rapporte moins de 1000 $ par année en taxes à la Ville centre. C'est des peanuts par rapport à l'importance qu'ils ont dans nos vies de tous les jours et par rapport aux profits que réalisent ces grandes entreprises », a dénoncé Alex Norris, conseiller du Mile End et responsable du dossier. « Les principaux bénéficiaires de cet arrangement sont une poignée de puissantes entreprises publicitaires. Les perdants, ce sont les citoyens qui doivent regarder ces laideurs au quotidien. C'est un très mauvais deal pour les Montréalais », a-t-il poursuivi. Advenant l'adoption du règlement, les 45 panneaux publicitaires sur le territoire du Plateau-Mont-Royal devront être démantelés, aux frais des exploitants, au cours des 12 mois suivant son entrée en vigueur, prévue pour novembre prochain. Embellissement du Plateau Mont-Royal « Nous avons toujours souhaité réduire la pollution visuelle; c'est un engagement que nous avons pris et nous allons le réaliser, a affirmé Richard Bergeron, conseiller de Jeanne-Mance et chef de la 2e opposition. Si nous voulons embellir notre ville, nous devons retirer les laideurs qui nous entourent et les panneaux publicitaires en font partie ». Le retrait des enseignes publicitaires permettra de réduire les nuisances visuelles dans l'arrondissement reliées à leur grande superficie, leur luminosité et l'encombrement du paysage urbain. « Avec cette décision, nous améliorerons les entrées et les sorties de notre arrondissement », a indiqué Richard Bergeron. Un défi aux autres arrondissements et aux autres villes Le Vermont, le Maine, Hawaï et l'Alaska ont banni depuis plusieurs années les affiches publicitaires. C'est le cas aussi de la ville de São Paulo, au Brésil, la septième plus grande ville du monde et la capitale commerciale de l'Amérique du Sud. Les avantages du retrait des panneaux-réclames sont nombreux : mise en valeur du patrimoine naturel et architectural, maintien du rythme du paysage urbain et rétablissement du prestige de certaines grandes avenues montréalaises, comme du Parc et Papineau. La Loi sur l'aménagement et l'urbanisme permet aux arrondissements et aux villes de retirer les panneaux publicitaires. « Nos recherches nous indiquent qu'aucune ville canadienne et aucun arrondissement montréalais n'ont encore agi de façon aussi complète pour bannir et faire enlever les panneaux-réclames de leur territoire. Je leur lance un défi aujourd'hui : imitez-nous et faisons de Montréal une ville sans panneaux-réclames », a conclu Alex Norris, fier d'améliorer la beauté du Plateau-Mont-Royal.
  21. Source: CNW Montréal crée le Bureau du Plan pour proposer à la population une vision nouvelle du devenir de Montréal et élaborer un nouveau Plan d'urbanisme MONTRÉAL, le 5 juill. /CNW Telbec/ - Le responsable de la mise en valeur et du plan d'urbanisme au comité exécutif de la Ville de Montréal, M. Richard Bergeron, est heureux d'annoncer la création du Bureau du Plan, une unité temporaire qui sera mise en place, à la Direction générale, afin de réaliser le nouveau le Plan d'urbanisme, qui sera assorti d'un document qui proposera une vision du devenir de Montréal. Cette vision du développement du territoire et la nouvelle version du Plan d'urbanisme de Montréal constitueront ensemble le Plan de développement urbain de Montréal. Rappelons que le Plan d'urbanisme a été adopté et est entré en vigueur en 2004, une révision de celui-ci s'impose donc, d'autant plus que la Loi sur l'aménagement et l'urbanisme le prévoit. "La confection et la mise à niveau de ces outils de planification offrent à l'Administration municipale l'occasion d'actualiser les grandes orientations en matière d'aménagement et de développement du territoire montréalais et ce, à la lumière des défis auxquels Montréal est confrontée comme toutes les grandes villes du monde" a déclaré Richard Bergeron. Au-delà de cette révision, le Bureau du Plan a le mandat de doter l'Administration d'un véritable outil de développement urbain, d'un plan qui tienne compte de l'ensemble des préoccupations de celle-ci pour imaginer le Montréal de demain et améliorer le cadre de vie d'une métropole du XXIe siècle. En fait, l'élaboration du Plan prendra appui simultanément sur les éléments porteurs des différents plans et politiques de Montréal actuellement en vigueur tels que l'actuel Plan d'urbanisme, le Plan de développement durable, le Plan de transport, la Politique de développement culturel de Montréal, la Politique du patrimoine, le Plan de protection et de mise en valeur du Mont-Royal, la Stratégie d'inclusion des logements abordables. Le Plan de développement urbain devra également prendre en considération les outils en développement dont le Plan régional de lutte à la pauvreté et à l'exclusion sociale ainsi que la Stratégie de verdissement. Il se fera aussi porteur des préoccupations de l'Administration en matière de rétention et d'attraction des familles sur le territoire montréalais, d'art public et de protection de la biodiversité. De plus, le Bureau s'assurera d'inscrire la démarche d'élaboration du Plan de développement urbain dans une approche concertée, axée sur le partenariat et la mobilisation, au sein de laquelle les autres unités corporatives de la Ville et les arrondissements trouveront une place prépondérante. La tenue de consultations publiques sera par ailleurs essentielle à la mobilisation tout au long de la démarche d'élaboration. "Nous voulons établir un dialogue avec la population et avec les experts d'ici et d'ailleurs. Nous souhaitons nous inspirer des villes qui ont les démarches les plus exemplaires en matière d'urbanisme à travers le monde. Nous désirons entendre, nous inspirer des experts montréalais ainsi qu'associer de très près les citoyens, et plus particulièrement les jeunes, à l'élaboration de ce nouveau Plan. Nous souhaitons qu'ils s'associent à nous pour rêver leur ville de demain" a également indiqué M. Bergeron. Le Plan de développement urbain sera élaboré en cinq étapes. L'adoption de la vision du développement du territoire par le conseil d'agglomération et celle de la nouvelle version du Plan d'urbanisme par le conseil de la Ville de Montréal sont prévues à l'été 2013.
  22. '' MONTRÉAL - La fumée des multiples feux de forêt qui font rage au Québec présentement a enveloppé Montréal dans la nuit de dimanche à lundi. La ville de Québec a également été envahie par la fumée dimanche soir en raison ce ces nombreux incendies qui sévissent dans plusieurs régions du Québec. Plus tôt dans la journée, la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU) avait indiqué qu'il fallait s'attendre à ce qu'au cours des prochains jours, des cendres et de la fumée descendent le long du corridor Québec-Montréal. Un scénario qui ne représente aucun risque, assure-t-on. Selon le porte-parole de la SOPFEU, Marcel Trudel, cet écran visible de smog était normal compte tenu de la situation. Toutefois, plusieurs résidants inquiets ont pris d'assaut les lignes téléphoniques pour se faire rassurer. La SOPFEU croise les doigts et espère que la pluie prévue pour lundi viendra aider les pompiers à maîtriser les 52 incendies toujours actifs. Huit brasiers sont toujours hors de contrôle et leur taille va en augmentant. Au total, plus de 83 000 hectares de forêt sont touchés par les feux. M. Trudel a indiqué dimanche que pour l'heure, les conditions météorologiques compliquent le travail des sapeurs puisque les vents sont importants, que le soleil est au rendez-vous et que le combustible des feux est sec. Il a demandé à la population de cesser de téléphoner à la SOPFEU, car les lignes de l'organisation sont saturées. Au total, c'est environ 1200 personnes qui sont à pied d'oeuvre pour combattre les flammes sur le territoire québécois. Plusieurs sapeurs viennent de diverses provinces canadiennes et des États-Unis. Leur priorité est de protéger les villages menacés par les brasiers a souligné M. Trudel. Celui qui menace la réserve de Wemotaci, en Haute-Mauricie, demeure le plus préoccupant, mais les combattants des flammes réussissent à contenir son avancée. Le personnel de la SOPFEU a par ailleurs été évacué de la réserve de Wemotaci, notamment en raison des forts vents. Les évacués de trois communautés autochtones de cette partie du territoire devront prendre leur mal en patience pour encore quelques jours, même si quelques-uns ont pu réintégrer leur domicile samedi, a fait savoir le porte-parole de la Croix Rouge Vincent Ostiguy. Il a par ailleurs indiqué que son organisation avait mis en place un centre d'hébergement à LaTuque pouvant accueillir jusqu'à 325 personnes. De son côté, la porte-parole de la Sûreté du Québec Éloïse Cossette a rappelé que la police avait mis en place des points de blocage sur les routes 1, 10, 22 et 25 afin d'interdire toute circulation sur ses artères dans les secteurs touchés par les feux. Autres détails sur les feux de forêt et carte de l'interdiction des feux à ciel ouvert disponibles sur le site de la SOPFEU'' Ça sent le feu de camp ! je sens que ça va freaker à Montréal aujourd'hui !
  23. Annonce d'une entente de collaboration en matière d'aménagement et de design urbain : La Ville de Montréal et l'Université de Montréal, partenaires pour valoriser le territoire montréalais Montréal, le 14 octobre 2009 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et le recteur de l'Université de Montréal, M. Luc Vinet, sont très heureux d'annoncer un partenariat de recherche entre la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal et le Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine de la Ville de Montréal. « Les universités montréalaises foisonnent de passionnés d'architecture, d'aménagement et d'urbanisme qui rêvent de mettre leur créativité et leur talent à profit pour faire de Montréal une ville moderne et exemplaire en la matière. À travers cette entente, la Ville Montréal et l'Université de Montréal concrétisent une collaboration déjà établie en vue d'améliorer la qualité du cadre de vie des Montréalaises et des Montréalais notamment avec le chantier Réalisons Montréal, Ville UNESCO de design », a déclaré le maire de Montréal. Ce partenariat sur trois ans entre les deux institutions implique une contribution financière de 75 000 $ de la Ville de Montréal, à raison de 25 000 $ par année. Celui-ci s'inscrit dans la volonté de la Ville de consolider ses collaborations avec les universités montréalaises afin de mieux tirer avantage de leur expertise dans le domaine de l'aménagement et du design urbain. « Cette collaboration avec la Ville de Montréal est particulièrement importante dans un contexte où l'Université de Montréal est partie prenante des enjeux d'aménagement et d'environnement de la société. Ainsi, je suis fier que l'expertise unique développée par la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal participe directement à la mise en valeur du territoire montréalais », de souligner le recteur Vinet. L'entente apportera au Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine de la Ville de Montréal un appui pour réaliser ses projets de mise en valeur et de développement de son territoire avec divers acteurs gouvernementaux. Parmi les travaux de recherche envisagés, notons la requalification des entrées routières et autoroutières de Montréal, la mise en valeur du paysage fluvial et des attraits du paysage urbain montréalais, la gestion des paysages urbains à valeur historique et d'intérêt patrimonial et le cadrage paysager des réseaux de pistes cyclables. « Créée en 1996 à la Faculté de l'aménagement de l'Université de Montréal, la Chaire en paysage et environnement est un organisme de recherches appliquées voué à la gestion des paysages québécois et notamment à la préservation, la mise en valeur et le développement des paysages urbains. Et, c'est dans l'ordre des choses que la Ville de Montréal bénéficie de cette expertise reconnue de tous, notamment par le fait même que cet organisme est affilié à la Chaire UNESCO en paysage et environnement », de mentionner le directeur de la Chaire, M. Philippe Poullaouec-Gonidec. Avec cette entente, la Ville de Montréal rejoint les autres partenaires gouvernementaux de la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal, soit le ministère des Transports du Québec, le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine ainsi que les partenaires de projets, soit entre autres, le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire, la Société Hydro-Québec et la Conférence régionale des Élus de Montréal.
  24. Annonce d'une entente de collaboration en matière d'aménagement et de design urbain : La Ville de Montréal et l'Université de Montréal, partenaires pour valoriser le territoire montréalais Montréal, le 14 octobre 2009 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et le recteur de l'Université de Montréal, M. Luc Vinet, sont très heureux d'annoncer un partenariat de recherche entre la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal et le Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine de la Ville de Montréal. « Les universités montréalaises foisonnent de passionnés d'architecture, d'aménagement et d'urbanisme qui rêvent de mettre leur créativité et leur talent à profit pour faire de Montréal une ville moderne et exemplaire en la matière. À travers cette entente, la Ville Montréal et l'Université de Montréal concrétisent une collaboration déjà établie en vue d'améliorer la qualité du cadre de vie des Montréalaises et des Montréalais notamment avec le chantier Réalisons Montréal, Ville UNESCO de design », a déclaré le maire de Montréal. Ce partenariat sur trois ans entre les deux institutions implique une contribution financière de 75 000 $ de la Ville de Montréal, à raison de 25 000 $ par année. Celui-ci s'inscrit dans la volonté de la Ville de consolider ses collaborations avec les universités montréalaises afin de mieux tirer avantage de leur expertise dans le domaine de l'aménagement et du design urbain. « Cette collaboration avec la Ville de Montréal est particulièrement importante dans un contexte où l'Université de Montréal est partie prenante des enjeux d'aménagement et d'environnement de la société. Ainsi, je suis fier que l'expertise unique développée par la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal participe directement à la mise en valeur du territoire montréalais », de souligner le recteur Vinet. L'entente apportera au Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine de la Ville de Montréal un appui pour réaliser ses projets de mise en valeur et de développement de son territoire avec divers acteurs gouvernementaux. Parmi les travaux de recherche envisagés, notons la requalification des entrées routières et autoroutières de Montréal, la mise en valeur du paysage fluvial et des attraits du paysage urbain montréalais, la gestion des paysages urbains à valeur historique et d'intérêt patrimonial et le cadrage paysager des réseaux de pistes cyclables. « Créée en 1996 à la Faculté de l'aménagement de l'Université de Montréal, la Chaire en paysage et environnement est un organisme de recherches appliquées voué à la gestion des paysages québécois et notamment à la préservation, la mise en valeur et le développement des paysages urbains. Et, c'est dans l'ordre des choses que la Ville de Montréal bénéficie de cette expertise reconnue de tous, notamment par le fait même que cet organisme est affilié à la Chaire UNESCO en paysage et environnement », de mentionner le directeur de la Chaire, M. Philippe Poullaouec-Gonidec. Avec cette entente, la Ville de Montréal rejoint les autres partenaires gouvernementaux de la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal, soit le ministère des Transports du Québec, le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine ainsi que les partenaires de projets, soit entre autres, le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire, la Société Hydro-Québec et la Conférence régionale des Élus de Montréal.
  25. Bonjour, je l'avais promi a JP (Habsfan) depuis un bout. Voici donc un petit compte-rendu photo de mes observations a Hong Kong, on je vis depuis Septembre 2008. Les photos sont a titre d'illustration... je n'ai aucun talent de ce cote la! Extra efficace les transports en commun a Hong Kong. Ici, le KCR East-Rail (maintenant MTR depuis que les deux corporations on fusionnees). Noter qu'il est 22 heures, que le train quitte, et que les deux qui suivent sont a 1 et 2 minutes d'interval. A 9:30 un Samedi matin. C'est pas plein comme a l'heure de pointe mais y'a quand meme pas de place pour s'assoir. Et il y a toujours un train a toute les 2 minutes. Beaucoup de commerces dans les lignes de metro (MTR). Le systeme fonctionne sous carte magnetique, le nom est Octopus... Extremement facile d'utilisation; swipe and go. Pour ajouter de l'argent, tu mets la carte dans la fente et t'inseres l'argent. Je ne sais pas s'ils ont change le systeme a Montreal mais les menus etaient pas terribles lors de mon dernier passage. Le systeme Octopus est utilise presque partout pour l'achat de produit de faible prix (machine vendeuses, 7-11, tous les magasins dans le metro, McDonald's!, etc...) Fanling, une "banlieue" Hong Kongaise. En fait, il n'y a pas vraiment de banlieue puisque tout les "villages" sont auto-suffisants et tres delimitee (pas vraiment de sprawl). 45% du territoire de Hong Kong est zone protegee. 100% de territoire est la propriete de l'etat, sous location a long-terme aux entrepreneur prive. Notez les ponts pietoniers qui relient les zones d'habitations aux autres zones. C'est comme ca partout. La ville est vraiment tri-dimensionelle. Avec du transport de "masse" interconnecte a proximitee (ici, on voit le MTR dans le fond, et, en avant, les 'siu-ba' (minibus) de 16 passager. Ah oui, dans le metro, on pait a la distance parcourue (minimum a l'entree, environ 50 cennes, rarement plus que CDN $2-3 pour une ride d'environ 15 kilometres) Mongkok, dans Kowloon, pas loin de mon bureau. La pluspart des immeubles dates de 1960s. La tour de verre dans le fond, c'est le Langham place. Autre exemple de pont pietonnier. Vu de l'interieur du pont pietonnier. Street market. Siu-ba (mini-bus) Building extremement typique de ce que vous retrouverez dans Kowloon; notez que la mixite d'usage est totale et c'est un peu trop; ton appartement peut etre la porte d'a cote d'un vendeur de tapis... au 6ieme etage! Un peu bizz pour un canadien... Il fait chaud toute l'annee a Hong Kong et ca parait sur l'architecture. Notez sur ce building; les canalisations sont exterieures. Cheap? Nope. Les condos de 400pieds carres dans ce building se vendent autour de $500k canadiens. En fait, les canalisations sont presque tout le temps exterieure. Ca sauve de l'espace en dedans! On lave son linge sale en famille a Hong Kong... litteralement! Y'a pas de place pour une secheuse? Pas grave, on etend au dehors... Quelque tours a condo plus nouvelles... Prix debutent a environ $300,000 pour 350 pieds carres utilisables. (Je continue ma ronde dans un prochain message) (Bank of China is coming, don't worry Habsfan...)
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