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  1. Pas moins de 1800 institutions financières cotées pourraient dans les semaines à venir se faire connaître pour bénéficier du plan américain de recapitalisation des banques sur fonds publics, affirme lundi le Wall Street Journal. Pour en lire plus...
  2. La banque américaine prévoit d'abolir plus de 3000 emplois en raison de la crise financière, affirme le Wall Street Journal. Pour en lire plus...
  3. L'indice phare de la Bourse de Tokyo perd 11 % de sa valeur dans le sillage de Wall Street, qui a connu sa pire journée depuis 1987. La chute se poursuit en Europe. Pour en lire plus...
  4. Le groupe bancaire espagnol Santander semblait dimanche soir sur le point de conclure un accord lui donnant le contrôle total de la banque américaine Sovereign, affaiblie par la crise des prêts immobiliers à risque, selon le site internet du Wall Street Journal. Pour en lire plus...
  5. Le Big Three pourrait bien devenir le Big Two. Selon le New York Times et le Wall Street Journal, General Motors et Chrysler étudieraient la possibilité de fusionner pour affronter un marché de l'automobile en pleine crise. Des discussions auraient été entamées il y a plus d'un mois entre GM et Cerberus Capital Management, propriétaire de Chrysler. Des sources bien au fait de ces discussions préliminaires ont dit au New York Times que la possibilité qu'elles se traduisent par une fusion des deux géants de l'automobile est de 50 %. Le Wall Street Journal, de son côté, indique que les négociations ont été momentanément suspendues à cause de l'effondrement de la bourse. Aucun commentaire officiel n'a été émis de part et d'autre. Autrefois fleurissante, l'industrie automobile américaine, composée de GM, Ford et Chrysler, doit batailler depuis des années contre la compétition que lui font, au premier chef, les marques japonaises, tant à l'échelle internationale qu'aux États-Unis. Ainsi, GM a vu au fil du temps sa part du marché américain passée de 50 % à 22 %, selon la firme Autodata, tandis que Chrysler ne détiendrait plus que 11 % du marché. Les coûts élevés de l'essence, des gammes de véhicules mal adaptés à ces temps d'incertitude économique et le resserrement du crédit pour les acheteurs potentiels sont venus depuis peu corser une compétition déjà féroce. L'union du premier et du troisième plus grand constructeur américain donnerait naissance à une entité plus importante que Toyota, qui dépasse lui-même depuis peu GM. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie-Affaires/2008/10/11/001-Gm-Chrysler.shtml
  6. Les marchés européens et asiatiques ont plongé vendredi dans ce qui ressemble de plus en plus à un krach boursier, paniqués par la chute de Wall Street. Pour en lire plus...
  7. Les bourses asiatiques s'écroulaient de nouveau vendredi, paniquées par la chute de Wall Street, à quelques heures d'une réunion cruciale des grands argentiers du Groupe des Sept. Pour en lire plus...
  8. Les Bourses souffrent, le TSX glisse de 550 points 6 octobre 2008 - 16h23 Agence France-Presse LaPresseAffaires.com De Wall Street à l'Europe en passant par l'Asie et par Toronto, les Bourses ont chuté lundi, effrayées par l'ampleur de la crise financière qui se propage sur le globe. Aux premières loges, le TSX a connu une sale journée et a subi une véritable dégelée durant les premières minutes des échanges alors qu'il a chuté 11% vers 10h40. Sur le coup de midi, l'indice vedette du parquet torontois perdait environ 6% mais la glissade continuait jusqu'à 8% vers 14h30 lundi. Le TSX a finalement clôturé à 10 230 points en baisse de 5,3% ou 573 points. La Bourse de Toronto suivait le fort mouvement baissier du pétrole qui descendait lui aussi de 4,55 $ pour atteindre 89,33 $ US à New York vers 13h. «C'est la panique générale. Tout le monde espérait après l'adoption du «plan Paulson» aux États-Unis et les opérations de sauvetage en Europe que les choses se calmeraient. Mais en réalité, il y a toujours des craintes d'effet domino», a déclaré Adrian van Tiggelen, stratégiste principal chez ING Investment à Amsterdam. Aux États-Unis, le Dow Jones a lâché 3,58% et le Nasdaq 4,34%. Selon les chiffres définitifs de clôture, le Dow Jones Industrial Average (DJIA) a reculé de 369,88 points, à 9955,50 points. Alors qu'il n'était pas passé sous les 10 000 points depuis quatre ans, il est descendu en cours de séance jusqu'à 9525,32 points, soit une perte de près de 800 points. Le Nasdaq, à dominante technologique, a cédé 84,43 points, à 1862,96 points et l'indice élargi Standard & Poor's 500 3,86% (42,38 points), à 1056,85 points. La tendance avait été amorcée vendredi, quand Wall Street avait fini en baisse malgré le vote et la promulgation du plan de sauvetage du système financier américain. En Europe et en Asie, le recul a été brutal. À Paris, le CAC 40 a aussi perdu 8,76%, le Nikkei 225 a terminé la séance en recul de 4,25%, à Londres le FTSE-100 a chuté de 6,31%, et à Francfort le DAX a glissé de 8,29%. En Russie, les échanges ont été interrompus trois fois lundi sur une des deux Bourses de Moscou, le Micex, qui s'effondrait de 18,66% au moment de l'interruption. L'autre indice moscovite, le RTS, s'écroulait de 19,10% à 10h15. Sao Paulo a pour sa part été suspendue à deux reprises après avoir plongé de plus de 15%. Le plan Paulson de sauvetage bancaire adopté par le Congrès américain vendredi «fait peu pour soulager la contraction du marché du crédit», car il «ne s'attaque pas directement aux problèmes de fond des marchés financiers, mais simplement aux conséquences de la crise», relevaient les analystes de BNP Paribas. S'ajoutaient à l'anxiété générale les déboires de la banque allemande Hypo Real Estate (HRE) en Allemagne, renflouée in extremis dimanche soir par le gouvernement et les autres banques allemandes grâce à un apport en liquidités de 50 milliards d'euros. Cela n'empêchait pas le cours de HRE de chuter de plus de 35% lundi à Francfort. Les difficultés de cette banque font craindre une propagation à l'ensemble du secteur bancaire européen alors que celui-ci connaît une phase de consolidation accélérée. La dernière étape en date est la prise de contrôle par la française BNP Paribas du bancassureur belgo-luxembourgeois Fortis, les États belges et luxembourgeois rentrant en retour au capital de la banque française. L'action de BNP Paribas perdait quand même 5% à Paris alors que Dexia sombrait de 25% malgré le plan de sauvetage annoncé par les autorités publiques françaises, belges et luxembourgeoises la semaine dernière. «Dexia a encore fait parler d'elle ce week-end en partie en raison de son exposition à Hypo Real Estate mais aussi car il y a encore des questions sur des besoins supplémentaires de financement», a indiqué Laurent Fransolet, de Barclays Capital à Londres. C'est sur le marché interbancaire que les tensions étaient toutefois toujours les plus palpables. Témoignant de la réticence des établissements financiers à se prêter de l'argent entre eux, le taux interbancaire à trois mois offert à Londres et exprimé en dollars (Libor) restait à un niveau exceptionnellement élevé, malgré une légère baisse à 4,2887% contre 4,3337% vendredi. L'Euribor à trois mois, l'un des principaux taux de référence du marché monétaire de la zone euro, montait quant à lui à 5,345% contre 5,339% vendredi, atteignant de nouveau un niveau historique pour le septième jour consécutif. «Ce dont nous avons vraiment besoin c'est d'une reprise du marché interbancaire. Si davantage de gouvernements européens annoncent des garanties de dépôts, cela pourrait être possible», indiquait Adrian van Tiggelen. L'ouverture de Wall Street était, dans un tel contexte, un nouveau facteur d'incertitude. «Les marchés américains décideront de la direction générale et beaucoup sont ceux qui espèrent un retournement après les pertes de vendredi», soulignait Ian Griffiths, courtier chez CMC Markets à Londres. «Ce sont les valeurs financières qui seront sous les feux de la rampe après les derniers développements en Allemagne et la poursuite des réactions au plan de sauvetage américain», estimait-il.
  9. Alors que beaucoup d'investisseurs n'ont eu d'yeux que pour la crise du crédit et le plan de sauvetage de Wall Street au cours des dernières semaines, «il se passe quelque chose en coulisses», soutient Vincent Delisle, stratège chez Scotia Capitaux. Pour en lire plus...
  10. La banque centrale américaine exerce de fortes pressions sur les banques Citigroup et Wells Fargo, pour les contraindre à un compromis sur l'avenir de leur concurrente Wachovia, avant que n'ouvrent les marchés, affirme dimanche le Wall Street Journal sur son site internet. Pour en lire plus...
  11. Les courtiers se sont activés jusqu'à la toute dernière seconde hier sur le parquet de la Bourse de New York, lançant des ordres au téléphone et pianotant frénétiquement sur leurs claviers Pour en lire plus...
  12. JPMorgan a dit jeudi à ses nouveaux employés que le directeur général de WaMu, Alan Fishman, son président Steve Rotella ne continueraient pas de travailler pour JPMorgan, indique le Wall Street Journal. Pour en lire plus...
  13. La Bourse de New York a ouvert en baisse jeudi, dans un marché sans enthousiasme malgré le vote par le Sénat du plan de sauvetage des banques américaines. Pour en lire plus...
  14. New York Times, October 1, 2008 Failed Deals Replace Boom in New York Real Estate By CHARLES V. BAGLI After seven years of nonstop construction, skyrocketing rents and sales prices, and a seemingly endless appetite for luxury housing that transformed gritty and glamorous neighborhoods alike, the credit crisis and the turmoil on Wall Street are bringing New York’s real estate boom to an end. Developers are complaining that lenders are now refusing to finance projects that were all but certain months or even weeks ago. Landlords bewail their inability to refinance skyscrapers with blue-chip tenants. And corporations are afraid to relocate within Manhattan for fear of making the wrong move if rents fall or a flagging economy forces layoffs. “Lenders are now taking a very hard look at each particular project to assess its viability in the context of a softening of demand,” said Scott A. Singer, executive vice president of Singer & Bassuk, a real estate finance and brokerage firm. “There’s no question that there’ll be a significant slowdown in new construction starts, immediately.” Examples of aborted deals and troubled developments abound. Last Friday, HSBC, the big Hong Kong-based bank, quietly tore up an agreement to move its American headquarters to 7 World Trade Center after bids for its existing home at 452 Fifth Avenue, between 39th and 40th Streets, came in 30 percent lower than the $600 million it wanted for the property. A 40-story office tower under construction by SJP Properties at 42nd Street and Eighth Avenue for the past 18 months still does not have a tenant. And the law firm of Orrick, Herrington & Sutcliffe last week suddenly pulled out of what had been an all-but-certain lease of 300,000 square feet of space at Citigroup Center, deciding instead to extend its lease at 666 Fifth Avenue for five years, in part because they hope rents will fall. “Everything’s frozen in place,” said Steven Spinola, president of the Real Estate Board of New York, the industry’s lobbying association, shortly after the stock market closed on Monday. Barry M. Gosin, chief executive of Newmark Knight Frank, a national real estate firm based in New York, said: “Today, the entire financial system needs a lubricant. It’s kind of like driving your car after running out of oil and the engine seizes up. If there’s no liquidity and no financing, everything seizes up.” It is hard to say exactly what the long-term impact will be, but real estate experts, economists and city and state officials say it is likely there will be far fewer new construction projects in the future, as well as tens of thousands of layoffs on Wall Street, fewer construction jobs and a huge loss of tax revenue for both the state and the city. Few trends have defined the city more than the development boom, from the omnipresent tower cranes to the explosion of high-priced condominiums in neighborhoods outside Manhattan, from Bedford-Stuyvesant and Fort Greene to Williamsburg and Long Island City. Some developers who are currently erecting condominiums are trying to convert to rentals, while others are looking to sell the projects. After imposing double-digit rent increases in recent years, landlords say rents are falling somewhat, which could hurt highly leveraged projects, but also slow gentrification in what real estate brokers like to call “emerging neighborhoods” like Harlem, the Lower East Side and Fort Greene. At the same time, some of Mayor Michael R. Bloomberg’s most ambitious large-scale projects — the West Side railyards, Pennsylvania Station, ground zero, Coney Island and Willets Point — are going to take longer than expected to start and to complete, real estate experts say. “Most transactions in commercial real estate are on hold,” said Mary Ann Tighe, regional chief executive for CB Richard Ellis, the real estate brokerage firm, “because nobody can be sure what the economy will look like, not only in the near term, but in the long term.” Although the real estate market in New York is in better shape than in most other major cities, a recent report by Newmark Knight Frank shows that there are “clear signs of weakness,” with the overall vacancy rate at 9 percent, up from 8.2 percent a year ago. Rents are also falling when landlord concessions are taken into account. The real estate boom has been fueled by a robust economy, a steady demand for housing and an abundance of foreign and domestic investors willing to spend tens of billions of dollars on New York real estate. It helped that lenders were only too happy to finance as much as 90 percent of the cost on the assumption that the mortgages could be resold to investors as securities. But that ended with the subprime mortgage crisis, which has since spilled over to all the credit markets, which have come to a standstill. As a result, real estate executives estimate that the value of commercial buildings has fallen by at least 20 percent, though the decline is hard to gauge when there is little mortgage money available to buy the buildings and therefore few sales. Long after the crisis began in 2007, many investors and real estate executives expected a “correction” to the rapid escalation in property values. But after Lehman Brothers, the venerable firm that had provided billions of dollars of loans for New York real estate deals, collapsed two weeks ago, it was clear that something more profound was afoot. And there was an immediate reaction in the real estate world: Tishman Speyer Properties, which controls Rockefeller Center, the Chrysler Building and scores of other properties, abruptly pulled out of a deal to buy the former Mobil Building, a 1.6 million-square-foot tower on 42nd Street, near Grand Central Terminal, for $400 million, two executives involved in the transaction said. Commercial properties are not the only ones facing problems. On Friday, Standard & Poor’s dropped its rating on the bonds used in Tishman’s $5.4 billion purchase of the Stuyvesant Town and Peter Cooper Village apartment complexes in 2006, the biggest real estate deal in modern history. Standard & Poor’s said it cut the rating, in part, because of an estimated 10 percent decline in the properties’ value and the rapid depletion of reserve funds. The rating reduction shows the growing nervousness of lenders and investors about such deals, which have often involved aggressive — critics say unrealistic — projections of future income. “Any continued impediment to the credit markets is awful for the national economy, but it’s more awful for New York,” said Richard Lefrak, patriarch of a fourth-generation real estate family that owns office buildings and apartment houses in New York and New Jersey. “This is the company town for money,” he said. “If there’s no liquidity in the system, it exacerbates the problems. It’s going to have a serious effect on the local economy and real estate values.”
  15. La crise qui secoue Wall Street rappelle aux autorités chinoises qu'il y a un risque à ouvrir son système financier au monde. Pour en lire plus...
  16. Le rejet du plan de sauvetage par la Chambre des représentants est «le reflet du gouffre qui sépare les financiers de Wall Street et du peuple américain», affirme l'économiste Jeff Rubin. Pour en lire plus...
  17. Le prix du baril de pétrole brut dégringole de plus de 5,50 $ US en début de matinée alors que le Dow Jones perd 1,21% et le Nasdaq 1,65%. Pour en lire plus...
  18. Tous les indices mondiaux étaient dans le rouge en attente du plan de sauvetage qui n'est toujours pas adopté. Sur Wall Street, le Dow Jones perdait 1,08%. Pour en lire plus...
  19. La Bourse de New York a nettement rebondi jeudi, portée par la perspective d'une adoption rapide du plan de sauvetage américain des banques, alors que républicains et démocrates sont parvenus à un accord de principe: le Dow Jones a gagné 1,82% et le Nasdaq 1,43%. Pour en lire plus...
  20. Le candidat démocrate à la présidentielle américain Barack Obama s'est félicité jeudi qu'un accord semble en vue au Congrès sur le plan qui devrait sauver le système financier américain. Pour en lire plus...
  21. La Bourse de New York a terminé sans direction claire mercredi, hésitant tout au long de la séance faute de précisions des autorités américaines sur leur plan de sauvetage des banques: le Dow Jones a cédé 0,27% mais le Nasdaq a pris 0,11%. Pour en lire plus...
  22. Selon l'économiste Jeff Rubin, l'économie canadienne va profiter du grand plan de sauvetage de Wall Street par le gouvernement des États-Unis, et ce, "sur le bras" des contribuables américains. Pour en lire plus...
  23. Les institutions financières nippones, longtemps critiquées pour leur manque de créativité financière, ont volé au secours de Wall Street à la faveur de la crise financière, mais cette percée à l'étranger risque d'être compliquée par le choc culturel, avertissent les analystes. Pour en lire plus...
  24. Victimes de la non-réglementation dont elles étaient pourtant les championnes, les banques d'investissements américaines appartiennent désormais au passé. Pour en lire plus...
  25. Victimes depuis le début de la semaine de la crise financière à Wall Street, les Bourses de la planète ont fortement rebondi vendredi, encouragées par l'annonce d'un plan de sauvetage américain. Pour en lire plus...
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