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  1. On entend et on lit que le taux d'inoccupation des logements locatifs est extrêmement bas, que de nombreux ménages sont contraints de consacrer une part excessive de leurs revenus au logement, que d'autres ne parviennent pas à se trouver un toit, etc. Tout cela est bien réel, et je n'ai nulle intention de le mettre en doute. Mon propos est autre, et porte sur un point qu'on prend pour acquis, soit le prix moyen observé (ou médian, c'est différent, mais ça ne va pas davantage au coeur de la question). Deux catégories d'information supplémentaire seraient très utiles: 1) Isoler (considérer séparément) les prix des logements qui sont disponibles sur le marché. Actuellement, on fait une agrégation (on rassemble des éléments) des loyers payés par des locataires qui occupent des logements depuis longtemps, avec les loyers demandés aux nouveaux-venus (sans égard à leur origine/provenance, ce n'est pas la question). Par exemple, des jeunes qui habitaient chez leurs parents et qui recherchent leur premier logement sont des "nouveaux-venus" sur le marché. Or, on sait que les loyers des logements occupés de longue date sont "contrôlés", et qu'ils sont (presque) toujours moins chers que les nouveaux logements (ou les anciens logements remis sur le marché suite au départ des précédents locataires). Nos nouveaux-venus n'ont pas accès, par définition, à ces logements dont le loyer est contrôlé. Les données qui sont pertinentes pour eux concernent exclusivement les logements présentement disponibles. Il est à peu près certain que leur prix moyen/médian est sensiblement supérieur: quel est-il? --C'est ce que j'aimerais savoir. 2) Ni la moyenne ni la médiane ne peuvent pleinement rendre compte de la gamme des prix demandés. Au minimum, j'aimerais voir voir la distribution en déciles. Dans une ville ou une région stagnante, il y a de fortes chances que le loyer moyen/médian observé soit assez proche du loyer demandé pour les logements disponibles. Le contraire est intuitivement vrai pour une ville ou une région dynamique. Dans ce cas, le problème des logements trop chers pour les nouveaux-venus serait plus grave qu'il n'y paraît. L'attention des autorités gouvernementales (et des médias) porte presque exclusivement sur les difficultés vécues par les personnes à faible revenu: d'accord que c'est la priorité. Mais il faut aussi s'intéresser au cas des personnes (surtout les nouveaux-venus) disposant d'un revenu moyen mais qui ne trouvent pas à se loger en fonction de leurs attentes "moyennes" -- un phénomène très visible dans Silicon Valley, et qu'on voit aussi à Vancouver et Toronto; à Montréal, la situation est comparativement bénigne --ce qui en fait un facteur attractif -- et il faut s'assurer que cet avantage demeure. Pour moi, ça ne veut pas dire contrôler les loyers; de préférence, il s'agirait plutôt d'éviter les erreurs qui ont conduit à une explosion des prix ailleurs --spécifiquement des freins (zonage, frais excessifs) à l'expansion de l'offre.
  2. Fin de la dégringolade économique? - Les Américains se mettent à rêver Éric Desrosiers Édition du jeudi 26 mars 2009 De nouvelles statistiques meilleures que prévu font imaginer aux Américains que la dégringolade de leur économie pourrait bientôt toucher à sa fin. Les analystes avaient prédit une poursuite du déclin des ventes de maisons neuves et des commandes de biens durables par les entreprises aux États-Unis. Les statistiques officielles dévoilées hier les ont fait mentir. Au lieu de baisser de 2,9 % comme on s'y attendait, les ventes de logements neufs ont augmenté au mois de février de 4,7 % par rapport au mois précédent. L'inventaire de maisons invendues est maintenant à son plus bas niveau depuis juin 2002. Les commandes de biens durables des entreprises n'ont pas reculé de 2,5 % non plus, du mois de janvier au mois de février. Elles ont, au contraire, augmenté de 3,4 %. L'état du secteur immobilier revêt une importance particulière aux yeux des spécialistes à cause de son rôle central dans le déclenchement de la crise actuelle, et parce que l'on ne pense pas qu'une reprise économique durable soit possible aux États-Unis sans que ce secteur se stabilise. Les commandes de biens durables sont, quant à elles, considérées comme une mesure du niveau d'investissements des entreprises. On y retrouve, notamment, les achats de métaux, de machinerie, d'équipements de transport, ou encore de matériel informatique. Avant leur remontée du mois de février, ces commandes avaient subi six baisses mensuelles consécutives. Le département américain du Commerce a aussi révélé hier que les inventaires des entreprises avaient diminué de 0,9 % en février. Si on additionne cette baisse à celle de 1,1 % observée en janvier, on obtient le plus important recul en deux mois depuis 2003. Ces données sont, elles aussi, porteuses d'espoir parce qu'on se dit qu'il faudra bien qu'il y ait une certaine reprise de la production une fois que les entrepôts seront vides. Surprise! On a aussi été surpris, lundi, d'apprendre une remontée de 5,1 % en février de la revente de maisons existantes. Le gouvernement a révélé le lendemain que le prix des maisons avait augmenté en janvier pour la première fois en dix mois. On avait rapporté, peu de temps avant, une stabilisation des prix à la consommation, une légère remontée de la confiance, une amélioration des résultats financiers des banques, ainsi que le début d'un certain réveil de la Bourse. Cette dernière a accueilli hier avec bonheur les nouvelles statistiques sur les ventes de maisons neuves et les commandes des entreprises. En forte hausse à la mi-séance, les indices de Wall Street ont toutefois brusquement piqué du nez à l'annonce d'une émission de bons du Trésor à long terme à un taux plus élevé que prévu rappelant la menace que fait peser l'explosion de la dette publique. L'ambiance est malgré tout revenue à l'optimisme en toute fin de journée, l'indice Dow Jones gagnant 89,94 points (1,17 %), à 7749,81 points, et le S&P 500 se hissant de 7,63 points (0,95 %), à 813,88 points. Plus influencé par cette histoire d'obligations gouvernementales ayant du mal à trouver preneur et par une baisse des cours du pétrole (à 52,77 $US le baril), le coeur de la Bourse de Toronto a, quant à lui, tout juste basculé du côté négatif, son indice S&P/TSX retraitant de 51,95 points (- 0,59 %), à 8797,44 points. Nuances Les analystes ont été rapides à apporter des bémols aux nouvelles statistiques dévoilées hier. Après tout, il était assez facile, en février, de connaître de meilleures ventes de maisons neuves que le mois précédent, janvier ayant été marqué par les pires chiffres depuis la première publication de ces données en 1963. Et que dire des prix de vente qui sont retombés à leur niveau de 2003 et continuent de reculer? La même chose pourrait être dite sur la hausse des commandes des entreprises en février, les chiffres de janvier ayant été atroces (-7,3 %) et la tendance lourde restant fortement baissière (-28,4 % depuis un an). Il n'est pas impossible que la chute de l'économie américaine commence à ralentir et qu'elle finisse par s'arrêter quelque part durant l'année, ont répété hier plusieurs analystes. Mais «le niveau d'activité économique demeure très faible, et le PIB réel devrait afficher d'autres décroissances», a estimé hier Francis Généreux, économiste principal au Mouvement Desjardins. Le produit intérieur brut (PIB) américain a reculé d'un impressionnant 6,2 % en rythme annualisé au dernier trimestre de 2009. Le premier trimestre de 2009 s'annonce presque aussi «lugubre» avec un taux de décroissance avoisinant les 5 %, a estimé Stéfane Marion, économiste en chef au Groupe financier Banque Nationale. Mais «le deuxième trimestre de l'année semble vouloir être moins mauvais».
  3. Le Québec est en récession, estime Desjardins Éric Desrosiers Édition du vendredi 06 février 2009 La crise s'annonce moins grave qu'en 1991 Au nombre des mauvaises nouvelles dont a tenu compte le Mouvement Desjardins, on compte le fléchissement de la confiance des ménages ainsi que la baisse des ventes au détail. Le Québec est probablement en récession depuis le mois de novembre, estime le Mouvement Desjardins. Ce recul de l'économie devrait durer au moins jusqu'à l'été, mais s'annonce moins grave que la dernière crise, il y a 18 ans. Les statistiques officielles sur le produit intérieur brut (PIB) pour le mois de novembre au Québec ne seront pas connues avant le 25 février. Les plus récentes données sur le marché du travail, la consommation, le secteur immobilier, les exportations et les marchés financiers permettent cependant de conclure que l'économie québécoise a déjà commencé à se contracter, a affirmé hier le Mouvement Desjardins, au moment de dévoiler la plus récente lecture de son Indice précurseur. Ces statistiques donnent en effet à penser qu'après avoir fait du surplace en octobre, le PIB réel a reculé en novembre de 0,5 % à 1 %. «Ce recul devrait marquer officiellement le début de la récession au Québec», a noté Hélène Bégin, économiste senior de l'institution financière. Il faudra toutefois patienter encore quelques mois, a-t-elle dit, pour avoir une idée plus précise de l'ampleur de la récession. Pour le moment, l'économiste a dit s'attendre à un recul de 0,5 % du PIB réel pour l'ensemble de l'année 2009, soit une baisse relativement modeste en comparaison de la dernière, qui avait été de - 2,7 % en 1991. Sombres statistiques Faisant la synthèse de plusieurs statistiques économiques, l'Indice précurseur Desjardins (IPD) a fléchi de 0,8 % au mois de décembre. Cette baisse était la troisième consécutive, le mois d'octobre ayant accusé un premier recul de 0,5 %, et le mois de novembre une autre chute de 0,7 %. Au nombre des mauvaises nouvelles dont a tenu compte le Mouvement Desjardins, on compte le fléchissement de la confiance des ménages ainsi que la baisse des ventes au détail. Le marché du travail a aussi reculé, avec 7400 pertes d'emplois en décembre qui ont fait grimper le taux de chômage de 7,2 % à 7,3 %. «D'autres mises à pied sont attendues d'ici le printemps, a prévenu Hélène Bégin, ce qui fera grimper le taux de chômage autour de 8,5 %.» La chute du nombre de transactions sur le marché immobilier a amené, jusqu'à présent, une stabilisation du prix des maisons, a observé l'économiste. Mais «une détérioration plus importante de la conjoncture économique risque de provoquer une situation de surplus qui pourrait entraîner des baisses de prix». Après les 11 premiers mois de 2008, les exportations québécoises accusaient un retard de 3,6 % par rapport à la même période l'année d'avant. À voir la gravité de la crise aux États-Unis, la situation continuera à se dégrader. Dans l'espoir d'aider la reprise économique, la Banque du Canada a déjà réduit son taux directeur à un niveau jamais vu de 1 %. «Étant donné l'assombrissement des perspectives économiques au pays et le repli de l'inflation, une autre diminution est prévue en mars», a annoncé Hélène Bégin.
  4. Les mises en chantier résidentielles en milieu urbain ont chuté de près de 22% en novembre au pays, selon les plus récentes statistiques de la Société canadienne d'hypothèques et de logement. Pour en lire plus...
  5. Deux responsables de ce recul: la chute des prix des ressources naturelles et les statistiques sur l'emploi au Canada. Pour en lire plus...
  6. Les dépenses de construction aux États-Unis ont chuté de 1,2% en octobre, prolongeant la série noire des statistiques économiques de ce mois. Pour en lire plus...
  7. Les marchés pétroliers sont orientés à la baisse, les investisseurs s'attendant à ce que les statistiques sur les réserves américaines, publiées cet avant-midi, témoignent du ralentissement de la consommation énergétique. Pour en lire plus...
  8. La Chine est passée en septembre au premier rang des pays détenteurs de bons du Trésor américain, selon des statistiques publiées mardi par ce département. Pour en lire plus...
  9. Selon les statistiques résidentielles de la Chambre immobilière du Grand Montréal, les ventes totales ont atteint 2926 en octobre alors qu’elles pointaient à 3492 l'an dernier. Il s’agit d’une baisse de 16%. Pour en lire plus...
  10. Après avoir commencé l'année en enregistrant un recul de son économie, la province affiche une croissance de 0,9% du PIB au deuxième trimestre 2008. Pour en lire plus...
  11. Le Congrès du travail du Canada estime que la Banque du Canada, à la lumière des dernières statistiques sur le chômage au pays, devrait réduire son taux directeur d'au moins un quart de point. Pour en lire plus...
  12. CGI a signé un contrat avec Magnolia Insurance Mise en ligne 07/05/2008 10h33 Photo © ARGENT La Presse Canadienne MONTREAL _ Le Groupe CGI ( GIB.A) a annoncé mercredi la signature d'un contrat de 10 ans, d'une valeur de 115 millions $ US, avec Magnolia Insurance Company, une compagnie d'assurance basée en Floride. CGI fournira à Magnolia des services d'arrière-guichet, ainsi que des services complets d'administration des polices et des demandes de règlement, de facturation et de service à la clientèle, de rapports statistiques et de comptabilité législative. Le Groupe CGI est un fournisseur de services en technologies de l'information et en gestion des processus d'affaires. L'entreprise et ses affiliées comptent environ 27 000 employés à travers le monde.
  13. Vancouver se densifie, Montreal sprawls. http://geodepot.statcan.ca/Diss2006/Maps/ThematicMaps_f.jsp Les cartes interactive de la progression sur 35 ans sont tres interessantes. Pour les amateurs de gratte-ciels, ca se traduit en 'plus de buildings en hauteurs a Vancouver, moins a Montreal'.
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