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  1. BroadSign investit 4,5M$ à Montréal Denis Lalonde, LesAffaires.com 11:07 Pour en savoir plus Autres textes : BroadSign Canada Articles de l'industrie Envoyer à un ami<LI class=imprimer>Imprimer cet article Écrire à l'auteur Source: BroadSign.com Le fournisseur de logiciels dédiés aux panneaux d’affichage numériques BroadSign Canada investit un montant de 4,5M$ dans ses installations de Montréal, ce qui permettra la création d’une trentaine d’emplois en 2008. BroadSign entend utiliser cet investissement pour agrandir ses départements de recherche et développement et de support et service à la clientèle. La compagnie prévoit également construire un nouveau centre d’appels et accroître ses effectifs de 30 à 60 employés en 2008 dans la métropole. La société, une filiale de BroadSign International, a également annoncé la nomination de Richard Boudreault au poste de président de son conseil d’administration. Au cours des dernières années, M. Boudreault a œuvré au sein d’organisations incluant SOFINOV, une division de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Oerlikon Aérospatiale et le Centre de Technologie Aérospatiale. Il a siégé sur plus de 20 conseils d’administrations de compagnies privées et publiques. M. Boudreault détient une maîtrise en administration des affaires (MBA) de l’Université de Sherbrooke, une maîtrise professionnelle en ingénierie aérospatiale de Cornell University, de même qu'un baccalauréat en physique de l’Université de Montréal.
  2. Hercule

    Havres

    La Société du Havre de Montréal enclenche les dernières études pour le réaménagement de l'autoroute Bonaventure MONTREAL, le 30 août /CNW Telbec/ - La présidente du conseil d'administration de la Société du Havre de Montréal, Mme Isabelle Hudon, s'est réjouie de la confirmation d'une participation du gouvernement du Québec de 400 000 $ au projet de réaménagement de l'autoroute Bonaventure à l'entrée du centre-ville. L'annonce de cet investissement a été faite aujourd'hui par le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, M. Raymond Bachand, au nom de la vice-première ministre et ministre des Affaires municipales et des Régions, Mme Nathalie Normandeau, en compagnie du maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "La Société du Havre a délibérément fait le choix de s'astreindre à une planification stricte et rigoureuse au terme de laquelle Montréal bénéficiera non seulement d'une entrée de ville prestigieuse, mais également d'un lieu qui favorisera l'attraction d'investissements dans ce nouveau lien entre le centre-ville de la métropole et le fleuve Saint-Laurent. En joignant aujourd'hui ses efforts à ceux de la Société du Havre et de la Ville de Montréal, le gouvernement du Québec nous permet d'accélérer la cadence et de franchir une nouvelle étape cruciale afin que puisse commencer, dès 2009, la préparation des plans et devis pour le réaménagement de l'autoroute Bonaventure à l'entrée du centre-ville", a déclaré la présidente du conseil d'administration de la Société du Havre de Montréal et présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon. C'est en effet au terme de cette phase d'avant-projet que commenceront les travaux d'infrastructures et de voirie, lesquels devraient se terminer en trois ans. Le respect de cet échéancier permettra d'offrir aux Montréalais une nouvelle entrée de ville prestigieuse dès 2012. "En conjuguant rigueur et ambition, c'est donc avec beaucoup de fierté que nous passons à cette importante étape avant le début des travaux. Ce faisant, nous confirmons notre choix collectif d'investir 90 M$ pour ce projet d'envergure plutôt que de dépenser 60 M$ pour maintenir une infrastructure vieillissante", a ajouté Isabelle Hudon. Rappelons qu'en avril dernier, la Société du Havre de Montréal dévoilait les conclusions positives des six études de faisabilité pour la transformation de l'autoroute Bonaventure en grande artère urbaine, à l'entrée du centre-ville. A la lumière de ces résultats, le maire Gérald Tremblay avait immédiatement enclenché l'avant-projet, une phase cruciale qui vise notamment à compléter toutes les analyses relatives aux coûts de construction, à la démolition des structures, à l'amélioration du domaine public, aux mesures de maintien de la circulation et aux moyens à mettre en place pour optimiser le transport collectif dans le corridor Bonaventure. La Société du Havre de Montréal est née dans le sillage du Sommet de Montréal au printemps 2002 avec l'appui financier des trois paliers de gouvernement. Son mandat était de proposer, pour le havre et les espaces qui l'entourent, les grandes lignes d'un plan d'intervention concerté, assorti d'une stratégie de mise en oeuvre et de financement. Au printemps 2004, elle dévoilait son rapport Vision 2025, une proposition pour l'avenir du havre qui s'est concrétisée dans un plan d'intervention réaliste dont la pierre angulaire est le réaménagement de l'autoroute Bonaventure.
  3. Le maire Tremblay prend le contrôle du centre-ville «Je pense que si le maire est responsable de tous les maux, alors c’est bien et je l’assume, mais partant de là, il faut des résultats et je veux que les dossiers soient réalisés le plus vite possible», a-t-il dit. Cet été, le patron de Juste pour rire, Gilbert Rozon, avait lancé un pavé dans la mare en accusant Gérald Tremblay de manquer de leadership et de mettre des bâtons dans les roues des promoteurs. Parmi la garde rapprochée de Gérald Tremblay, Benoit Labonté était soupçonné d’avoir cautionné cette sortie. Le maire de Montréal a fait cette annonce durant une conférence de presse hier après-midi pour annoncer l’inspection de structures souterraines privées. Benoit Labonté a été prévenu le matin même vers 8 h, tout juste avant le début de la séance hebdomadaire du comité exécutif. Benoit Labonté conserve néanmoins son siège au comité exécutif où il continuera de s’occuper de la culture, du design et du patrimoine. Le maire de l’arrondissement de Ville-Marie n’a pas voulu accorder d’entrevue. Son porte-parole a indiqué qu’il «respectait» la décision du maire. M. Labonté brillait néanmoins par son absence lors de la conférence de presse. Selon des sources bien informées, le maire de l’arrondissement de Ville-Marie s’attendait à subir une rétrogradation en raison de divergences politiques. Son empressement pour accélérer la réalisation du projet du Quartier des spectacles avait dérangé au sein de l’administration Tremblay-Zampino, a-t-on appris. Le maire Tremblay souhaitait aussi mener de front les dossiers du Quartier des spectacles et de la Société du Havre dans le but d’y laisser son empreinte. Le maire Tremblay a tout de même évité hier de critiquer Benoit Labonté. «Je ne porte pas de jugement, je dis simplement que l’on s’est fixé des objectifs ambitieux mais que je considère réalistes et que ça prend la complicité de l’arrondissement de la ville-centre», a-t-il expliqué. Gérald Tremblay fait valoir que ces dossiers ne concernent pas seulement un seul arrondissement, mais l’ensemble de la ville. Gérald Tremblay a donc précisé qu’il comptait désormais piloter les dossiers majeurs comme celui de la Société du Havre, du Quartier des spectacles, des hôpitaux universitaires, de Griffintown, et de la rue Notre-Dame, entre autres. Il estime que le maire doit être responsable du centre-ville étant donné l’importance de ces projets. «On est rendu à un point où il faut concentrer toute la réalisation de ces dossiers pour qu’on puisse le faire le plus rapidement possible», a-t-il déclaré. Gérald Tremblay participe d’ailleurs cet après-midi à l’annonce d’un investissement du gouvernement du Québec dans la Société du Havre en présence du ministre responsable de la région de Montréal, Raymond Bachand.
  4. Zimmer achète Orthosoft 24 août 2007 - 11h14 Presse Canadienne Agrandir Le docteur Louis Philippe Amiot est un des grands patrons d'Orthosoft. La montréalaise Orthosoft (OSH) sera vendue à l'américaine Zimmer Holdings (ZMH). Les deux parties ont signé une entente, ont-elles annoncé jeudi. La société spécialisée en logiciels et instruments pour la chirurgie orthopédique par ordinateur a vu son titre bondir de plus de 60% vendredi matin à la Bourse de croissance TSX. Zimmer entend maintenir les activités actuelles d'Orthosoft à Montréal. La société américaine intégrera l'entreprise achetée dans sa structure existante. Orthosoft, dont le siège social est situé dans le Vieux Montréal, compte actuellement 81 employés, la plupart affectés à la vente et au développement de produits. De son côté, Zimmer est basée à Warsaw, en Indiana. Elle est spécialisée dans la fabrication et la commercialisation d'implants orthopédiques de reconstruction et d'implants rachidiens, d'appareils de traumatologie et de produits chirurgicaux orthopédiques connexes. Zimmer est active dans plus de 24 pays, et vend des produits dans plus de 100 pays. En 2006, le chiffre d'affaires de Zimmer s'est établi à environ 3,5 G$.
  5. Ericsson embauche 200 personnes à Montréal 15:18 | Denis Lalonde, LesAffaires.com La direction d’Ericsson Canada souhaite embaucher près de 200 nouveaux employés à ses bureaux de Montréal au cours des 4 à 6 prochains mois. Pour en savoir plus Ericsson Article connexe Ericsson est notamment à la recherche de développeurs de logiciels, de concepteurs et d’intégrateurs de systèmes, d’Intégrateurs de systèmes client, d’analystes de soutien des systèmes et de gestionnaires de projets. Le recrutement commence immédiatement pour 95 postes, dont 68 sont permanents, alors que les autres sont contractuels. Selon l’entreprise, le centre de recherche et développement et de services de Montréal est l'un des plus importants d’Ericsson à l'extérieur de la Suède, avec 1600 employés. La société y a d'ailleurs réalisé des investissements de 152M$ en 2006. Le centre a pour mission de développer, tester et supporter les systèmes pour plusieurs standards sans fil, de même que pour la technologie de la prochaine génération de solutions en télécommunications. C’est donc un revirement de situation pour le centre d’Ericsson à Montréal, qui avait perdu 300 emplois il y a deux ans parce que la société n’était pas parvenue à percer le marché américain avec sa technologie CDMA, une norme en téléphonie sans-fil. Les suppressions d’alors avaient surtout touché des ingénieurs et des informaticiens.
  6. La SAQ dégage un profit annuel de 710,1 M$ 8 juin 2007 | Presse Canadienne, La Société des alcools du Québec (SAQ) a conclu son exercice avec un bénéfice net de 710,1 M$, en hausse de 8 % comparativement aux 656,9 M$ de l'année dernière, tandis que ses ventes ont suivi la même progression pour atteindre 2,9 G$. Les recettes gouvernementales totales tirées de l'exploitation, incluant les revenus fiscaux, ont atteint 1,4 G$, a indiqué vendredi la société d'Etat, dans un communiqué. Durant l'exercice, la croissance des ventes en volume (litres) a été de 6,5 %. La part du vin dans les ventes totales en dollars de la SAQ a continué de s'accroître de 1,8 % pour atteindre 76,8%, alors que celle des spiritueux a légèrement régressé de 0,4 %, à 15,6 %. La part des boissons panachées (coolers) a diminué de 1,1 %, à 5,9 %. La bière ferme la marche avec 1,4 % des ventes, comparativement à 1,5 % en 2005-2006. La plus grande partie de la croissance des ventes provient des succursales, dont le niveau d'activité continue de croître alors que celui des secteurs de la restauration et de l'alimentation demeure stable. Par ailleurs, la SAQ a disposé en cours d'année de sa participation dans Maison des Futailles. La cession de ce placement, qui découle de la mise en oeuvre de son plan stratégique, a engendré un gain de 3 M$. "Nous sommes très satisfaits de ces résultats, non pas parce qu'il s'agit de résultats records, mais parce qu'ils sont le fruit des efforts de tous les employés pour faire de la SAQ un meilleur détaillant et une entreprise innovatrice", a déclaré le président-directeur général de la SAQ, Sylvain Toutant. Plus tôt cette semaine, la régie des alcools de l'Ontario (LCBO) a indiqué que son bénéfice annuel net avait augmenté de 7,6 %, pour atteindre 1,3 G$. Ses ventes ont atteint le niveau de 3,9 G$, pendant l'exercice, en hausse de 235 M$. La LCBO a versé un dividende de 1,275 G$ dans les coffres de la province de l'Ontario. Vendredi, la SAQ a indiqué que durant l'année, elle a ouvert sept magasins dans de nouveaux secteurs, tandis que 38 autres ont été agrandis ou déménagés dans des locaux plus vastes ou rénovés. La société d'Etat note aussi dans son communiqué que la consommation d'alcool des Québécois, qui est équivalente à 7,6 litres d'alcool pur par année, est alignée sur la moyenne canadienne et se situe en deçà des normes de Santé Canada. Le modèle de consommation des Québécois est "le plus responsable au Canada avec des consommations plus fréquentes, mais en plus petites quantités qu'ailleurs au Canada", estime la SAQ. Elle observe que les Québécois évoluent aussi vers la consommation de produits de gamme supérieure.
  7. mardi 22 mai 2007 Les commerçants de l'avenue du Mont-Royal prennent le virage vert et tentent d'entraîner leur clientèle dans leur sillon. L'avenue commerciale deviendrait la première au Canada à se doter d'un plan de développement durable. La société de développement de l'avenue Mont-Royal lance une campagne d'achat local pour inciter les gens à faire leurs courses à pied, dans leur quartier, plutôt qu'en auto dans les banlieues. La campagne « Sur l'avenue, je fais mes courses à pied », sera expliquée dans un kiosque et des vidéos seront diffusées dans des établissements commerciaux. Le magasinage à pied et l'utilisation de sacs réutilisables seront encouragés. Une flotte de 20 vélos communautaires sera également mise à la disposition du public. Une mesure qui tombe pile avec la grève des employés d'entretien de la Société de transport de Montréal (STM). Les commerçants vendront aussi un sac de magasinage réutilisable. Autant de petits gestes qui, mis ensemble, peuvent apporter beaucoup à la vie de quartier, selon le directeur de la société de développement, Michel Depatie.
  8. Au Japon, le téléphone mobile commence à remplacer les clés d'appartement Porte-monnaie électronique, carte de crédit, titre de transport... le téléphone portable se veut désormais. Au Japon, il sert même de clé. Le promoteur immobilier Anabuki va ainsi installer dans trente immeubles représentant 5.000 logements des serrures électroniques activées par un téléphone contenant une puce sans contact, selon un système développé par la société Index, nous apprend l'AFP. Anabuki, qui gère environ un millier d'immeubles au Japon, illustre ainsi l'adoption à grande échelle de ce type d'application, jugée par beaucoup plus pratique et plus sûre que les clés et les serrures classiques. Index, une entreprise de services Internet sur mobile, est l'une des sociétés à avoir développé un dispositif de serrure activée par la lecture d'une puce sans contact, composant déjà intégré dans un quart des 100 millions de téléphones portables en circulation au Japon. Pour fermer leur porte à clef, les résidents d'immeubles équipés n'ont qu'à effleurer le lecteur de la serrure avec leur téléphone portable. L'avantage de cette "clef virtuelle" est qu'elle peut être répliquée sur les mobiles de chaque membre de la famille, expliquent ses concepteurs. En cas de perte du téléphone, elle peut être désactivée très rapidement, par une simple commande informatique. On peut aussi vérifier à distance, depuis son mobile, qu'on a bien fermé la porte. Et si tel n'est pas le cas, on peut le faire à distance, sans retourner chez soi en courant. De même peut-on créer une clef temporaire, valable une journée ou moins, pour un ami, le concierge ou un livreur. Pour les habitants des immeubles équipés, le mobile sert aussi de clef de boîte à lettre et consignes collectives, ainsi que de mode de paiement des distributeurs et autres services équipant éventuellement la résidence. Cette fonction "multi-sésame" s'ajoute aux porte-monnaie électroniques, cartes de crédit, titres de transport et badges d'entreprises que peut aussi supporter simultanément la puce sans contact des téléphones, en l'occurrence la Felica de Sony. L'un des pionniers de ce système a été la société Kesaka, dont le système est déjà installé ou le sera prochainement dans une cinquantaine d'immeubles et complexes résidentiels au Japon.
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