Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'service'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. C'est maintenant au tour du service des communications d'être aboli au sein de la troisième chaîne québécoise généraliste. Pour en lire plus...
  2. Les deux transporteurs unissent leur force pour offrir un service amélioré sur le marché intérieur des États-Unis. Continental est le quatrième transporteur américain en importance. Pour en lire plus...
  3. Billboards are here to stay, city says A proposed bylaw in provincial capital would ban the signs from its territory JAMES MENNIE, The Gazette Published: 6 hours ago Billboards may become a thing of the past in Quebec City by 2013, but there's no indication it will also happen in Montreal. "The city (of Montreal) has no intention of following suit," city hall spokesperson Darren Becker said, referring to public hearings in Quebec City about whether a total ban on billboards there should go into effect in five years. "We did ask for a review of the trucks that pull billboards down city streets, but no more than that," Becker said. A billboard greets motorists arriving in Montreal via the Bonaventure Expressway. Quebec City is considering outlawing such advertisements.View Larger Image View Larger Image A billboard greets motorists arriving in Montreal via the Bonaventure Expressway. Quebec City is considering outlawing such advertisements. His comments follow reports of a growing wave of corporate criticism of a proposed bylaw in Quebec City that would make it illegal to erect a billboard within its territory. City officials in the provincial capital have defended the law by stating that the architecture and scenic beauty of their municipality shouldn't be hidden behind advertising. Public hearings are being held to debate the bylaw, which the municipality hopes to adopt by the end of this year and put into effect by 2013. However the aesthetic argument doesn't hold water with corporations and companies that rely on billboard advertising for revenue. Billboard companies have already described the bylaw as discriminatory, and suggested they might seek damages from the city for lost revenue. More recently, oil companies have argued that removing the sign panels that advertise pump prices for gasoline at their service stations might not only result in customers being overcharged for gas, but also represent a possible danger to motorists in need of assistance who would no longer be able to see gas stations from a distance. However, Serge Viau, Quebec City's deputy general manager, said the days of billboards are already coming to an end in his municipality. Some former suburbs banned the advertising before being transformed into Quebec City boroughs, Viau said. "We already had the power to eliminate billboards written into our charter," he said. "And we did so; a few years ago we got rid of about 20 of them in downtown Quebec. "And Ste. Foy, when it was still a municipality, had a total ban on billboards." Viau said the latest ban would be total - even on public service messages produced by the provincial government. Viau said all of the city's boroughs were in favour of a total ban, rather than limiting them to particular parts of the city, such as industrial zones. The approach of trying to limit the presence of billboards to certain parts of town was tried by the city of Oakville, Ont., which adopted a bylaw in 2005 ordering billboards only be permitted in industrial zones. The bylaw was adopted after an attempt at a total ban was struck down on constitutional grounds. However, in February, that bylaw was also struck down in Ontario Superior Court, the judge ruling that the Charter of Rights and Freedoms protected virtually all forms of communication. The city has decided to appeal that ruling. jmennie@thegazette.canwest.com
  4. Une garderie personnalisée... à 60$ Corinne Amar, directrice de la garderie Kids&Company, qui vient tout juste d'ouvrir dans le centre-ville de Montréal, avec la petite Élise. (Photo André Pichette, La Presse) Annie Mathieu La Presse Il neige à plein ciel, l'école est fermée et la gardienne n'est pas disponible. Votre journée au bureau est planifiée à la seconde près. Que faire avec les enfants? L'entreprise torontoise Kids&Company, qui a ouvert une première garderie hier au centre-ville de Montréal, a été créée pour répondre aux urgences des travailleurs en panne de solution. Mais ils devront en payer le prix. Pour 50$ à 60$ par jour, ce service de garde «personnalisé» permet de passer un coup de fil et reconduire sa progéniture à la garderie située à deux pas du bureau. Un créneau profitable La garderie «d'urgence» ou régulière est offerte aux employés d'entreprises qui doivent payer une cotisation annuelle de 5000$. Plus d'une centaine d'entre elles ont déjà signé avec Kids&Company. L'entreprise membre peut décider de subventionner complètement ou partiellement le service à son personnel. Par exemple, la RBC offre à ses employés deux jours de garde par année chez Kids&Company. La nouvelle garderie fait envie à de nombreux travailleurs et entreprises de la métropole. La demande est si forte que la présidente de Kids&Company, Victoria Sopik, confie vouloir ouvrir trois autres succursales à Montréal. Une garderie privée dans un immeuble à bureaux À l'entrée du 1100, boulevard René-Lévesque Ouest, impossible de deviner que derrière les portes stylisées de Kids&Company, grouille une ribambelle d'enfants dans un local aménagé en conséquence. Legos, téléviseur, tables à dessin; tout y est. Un couple de jeunes travailleurs rencontrés sur place admet trouver les tarifs «très élevés». Ils n'ont pas trouvé de place pour leur enfant de 12 mois dans un CPE à 7$. «On va travailler fort», dit la maman. Des représentants d'entreprises sont aussi venus s'informer des services offerts. «Nous utilisons déjà ce service avec le bureau de Toronto. On est très content», dit Janet Depuis, de la compagnie Autodesk. En juin, Kids&Company, qui compte 23 succursales au Canada, s'est classée au premier rang des entreprises du pays ayant enregistré la plus forte croissance. «Nous répondons à un besoin», explique Mme Sopik. «La location des locaux est très chère», ajoute-t-elle pour expliquer les frais de garde élevés. Réactions mitigées Selon Simon Prévost, l'initiative répond à un besoin urgent. «Le sous-financement des garderies privées fait que le système n'est pas assez flexible pour les parents, dit le vice-président pour le Québec de la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI). À plus long terme, il faudra penser à d'autres solutions.» La porte-parole de l'Association québécoise des centres de la petite enfance, Violaine Ouellet, réplique «qu'il faut toujours s'inquiéter de voir une grosse entreprise commerciale investir le milieu de l'éducation à la petite enfance». http://www.cyberpresse.ca/article/20080723/CPACTUALITES/807230588
  5. La nouvelle grue, achetée en Allemagne le 12 mai dernier, est entrée en service dimanche dernier en déchargeant l'Oceanex Avalon. Pour en lire plus...
  6. Selon la Banque, la situation est attribuable «aux activités d'un individu qui n'est plus au service de l'entreprise». L'entreprise a par ailleurs avisé les organismes de réglementation appropriés et affirme collaborer avec eux pleinement. Pour en lire plus...
  7. La compagnie américaine cite la flambée des prix du carburant et une industrie en crise pour abolir des emplois et mettre 67 appareils hors service. Pour en lire plus...
  8. CGI a signé un contrat avec Magnolia Insurance Mise en ligne 07/05/2008 10h33 Photo © ARGENT La Presse Canadienne MONTREAL _ Le Groupe CGI ( GIB.A) a annoncé mercredi la signature d'un contrat de 10 ans, d'une valeur de 115 millions $ US, avec Magnolia Insurance Company, une compagnie d'assurance basée en Floride. CGI fournira à Magnolia des services d'arrière-guichet, ainsi que des services complets d'administration des polices et des demandes de règlement, de facturation et de service à la clientèle, de rapports statistiques et de comptabilité législative. Le Groupe CGI est un fournisseur de services en technologies de l'information et en gestion des processus d'affaires. L'entreprise et ses affiliées comptent environ 27 000 employés à travers le monde.
  9. STRIKE BANS In Montreal, a civilizing effect INGRID PERITZ April 29, 2008 MONTREAL -- Once upon a time in Montreal, public-transit strikes seemed as common as Stanley Cup parades. They occurred almost annually, with devastating results. There was a month-long walkout during Expo 67; another in 1974 that dragged on for 44 days. In 1977, workers walked off the job for four days, then walked out again during Grey Cup festivities. Each time, Montrealers fumed. These days, strikes have become almost as rare as hockey playoff victories and when conflicts arise, the effects are diminished, thanks to Quebec's Essential Services law. Basic transit service is guaranteed in Montreal during strikes, a fact that brings a measure of civility to the city's turbulent labour relations. "The Montreal system, with predictable essential-services rules, has been a good system," said Allan Ponak, professor emeritus at the University of Calgary who has co-authored a book on the subject. "Predictable rules like you have in Montreal are better than ad hoc rules created in an urgent situation." The justification used by the Quebec government for declaring public transit an essential service in 1982 went like this: If everyone drove cars during a strike, traffic jams would threaten the safe passage of emergency vehicles. The law not only had a dissuasive effect on strikes - there have been only two in the past two decades - but it softened their impact when they did occur. Last May, for example, 2,200 maintenance workers went on strike to press for a new contract. The Essential Services Council ordered full bus and subway service during morning and afternoon peak hours, as well as late at night. "There's no question that public transit is an essential service just like hospitals," said Reynald Bourque, director of the School of Labour Relations at the University of Montreal. "The system is beneficial because it balances the rights of the striking workers with the rights of users." Unions have also come around to realizing they need public opinion on their side during conflicts - Quebec has floated the idea of restricting or abolishing the right to strike for public transit unions. So unions, too, have come to live with essential-services rules, a specialist says. "We really have succeeded in civilizing the right to strike in public transit," said Michel Grant a professor at the University of Quebec in Montreal. "It's a model, and if they'd had had it in Toronto there wouldn't have been a problem and they wouldn't have needed a special law." Maintenance employees and drivers in Montreal belong to separate unions. Montreal's bus and subway drivers, who belong to the Canadian Union of Public Employees, voted overwhelmingly in February for a new five-year contract. As for maintenance workers, their strike last May ended in only four days. They voted to return to work to dodge the threat of a government-imposed settlement, but remain without a contract. http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/LAC.20080429.TTCMONTREAL29/TPStory/TPNational/Ontario/
  10. The Gazette met 46 employés à pied à Montréal, pour exporter leurs emplois à Winnipeg! MONTREAL, le 17 avril /CNW Telbec/ - La direction de The Gazette a annoncé qu'elle entend procéder à la mise à pied collective de 46 employés de son service des ventes et du service à la clientèle, et qu'elle prévoit transférer ces emplois à Reach Canada, à Winnipeg. La Montreal Newspaper Guild, qui représente ces employés, présente un grief, car il s'agit d'une violation flagrante de sa convention collective. En effet, ces emplois sont du ressort du syndicat. Il s'agirait là de la première mise à pied collective de l'histoire de The Gazette. Si cette mise à pied est effectivement conclue, la direction éliminera ainsi un groupe d'employés qui peut aisément travailler en français, en anglais ou dans d'autres langues. Cela touchera directement le service aux lecteurs. Le syndicat dénonce la mise à pied d'employés loyaux et dévoués qui ont développé de solides relations avec les abonnés du journal. Ce transfert d'emplois ne peut que nuire à la qualité du service aux lecteurs ainsi qu'à la qualité générale du plus important média de masse anglophone au Québec, au service de plus de un million de personnes.
  11. Salut tout le monde, Il y a eue un problème avec le logiciel Gallery (galleries de photos) sur le site web qui a fait en sorte qu'un traffic incroyable à été généré sur le site et ce qui a en fait en sorte que mon compte à été suspendu. Il y a eu un peu d'incompétence de la part de l'hébérgeur puisqu'ils ne répondaient plus aux billets de service que je plaçait... ça a pris un appel téléphonique remplis de haine pour corriger les choses:stirthepot: Voilà pourquoi ça a pris autant de temps. Désolé pour les inconvénients! Malek
  12. The upscale new face of Old Montreal More laid-back scene smacks of sophistication Maxine MendelssohnFor Canwest News Service Sunday, March 09, 2008 First came boutique hotels and condos, then yoga studios and shops. Now it's bars, supper clubs and a vibrant nightlife: Old Montreal has become a party destination in its own right. And its more laid-back scene is attracting some of the club kids who once clambered to get into the city's hot spots. While these places still pack in the crowds, a bit of fete fatigue has set in on Montreal's two traditional party streets -- Crescent St. and St. Laurent Blvd. The lineups that don't move, some as long as 100 people, the hefty price tag on drinks; it can be a bit much. Now, chic partiers co-exist nicely with tourists in horse-drawn caleches winding their way through the cobblestone streets. New resto-bars like Santos, Wilson and Cherry are becoming popular destinations, offering their own brand of chic decor, fancy drinks and a party atmosphere. On the weekends, smaller bars in Old Montreal are often filled to capacity, but the larger ones have plenty of breathing room. "In the Old Port, if they don't let you in it's not because you're not having bottle service, it's because there's no room." Some party places on St. Laurent Blvd. have become so in demand that they only let in customers who order bottle service, which can cost upwards of $300. The 20- and 30-somethings who flock to Old Montreal want intimate dinners and drinks, not teens flaunting cash and downing rows of vodka shooters. There are occasional, small lineups and only one club has a cover charge in Old Montreal. It's definitely easier to get your foot in the door. "They make it easy and appealing to party here," said 27-year-old Maria Toumanova. "Everything is getting a facelift and people are coming down to check it out. It's a great alternative to the common party places downtown." Dimitri Antonopoulos has been betting heavily on Old Montreal for the last eight years. His company, the Antonopoulos Group, owns a number of Old Montreal hot spots including Suite 701, Mechant Boeuf and the Place d'Armes Hotel, which opened in 2000. "The W Hotel (which opened four years later) also helped bring people down here, then restaurants and nice shops started opening up, too. All these businesses attracted a savvier customer and hipper tourists," said Antonopoulos, VP of marketing. Mechant Boeuf is Antonopoulos's newest venture. There is always a place to sit, and conversations don't require yelling, something that's standard at the downtown clubs. "These are discerning partiers," Antonopoulos said. "They know the ins and outs of clubbing, but they're growing up and maybe they want something different. It's a new market in Montreal." © The Vancouver Province 2008 http://www.canada.com/components/print.aspx?id=2750276e-1761-495b-b845-d1a0490f8856
  13. étude datant déjà de 2004, mais je garde espoir, c'est sur le terrain abandonné d'une ancienne station service à l'angle Laurier/St-Urbain. sinon, ça peut toujours être transféré dans «annulés». http://www.atelierinsitu.com/2006/projets.php?id=3 belle intégration, formes classiques et matériaux originaux.
  14. Montréal Presse Canadienne (PC) 24/08/2007 15h17 Un affaissement engorge le centre-ville On s'inquiète d'un affaissement de terrain en plein centre-ville de Montréal. Les pompiers sont sur place pour vérifier l'impact de cet effondrement sur le Montréal sous terrain et la structure du magasin La Baie et d'autres commerces du secteur. La circulation est interrompue sur le boulevard de Maisonneuve Ouest entre les rues Union et Aylmer. Le métro est fermé entre les stations Berri et Lionel-Groulx. La STM offre un service d'autobus complémentaire. L'affaiblissement apparent de la structure du métro a forcé les autorités à évacuer des centaines de personnes, en début d'après-midi, vendredi, au centre-ville de Montréal. Personne n'a toutefois été blessé, selon le Service des incendie. Un appel a été logé au 911, vers 13h30, au sujet de fissures apparues au niveau sous-terrain du magasin La Baie, dans les tunnels menant au métro. Une partie du deuxième sous-sol se serait affaissé. Des fissures étaient aussi visible dans la chaussée du boulevard Maisonneuve Ouest. Un périmètre établi entre les rues Union et Aylmer a été évacué. Des ingénieurs sont sur place pour examiner les lieux et l'état des structures. Le service a été suspendu sur la ligne verte du métro, entre les stations Atwater et Berri-UQAM.
  15. La Presse Le mercredi 25 avril 2007 Québec Le Québec a accueilli 44 686 immigrants en 2006, 1314 de moins que ce qu'avait prévu le gouvernement Charest. Cela s'explique en grande partie par le fait qu'Ottawa n'arrive pas à traiter toutes les demandes, estiment le ministre québécois de l'Immigration et des groupes au service des immigrants. Selon la planification triennale de l'immigration 2005-2007, le gouvernement Charest s'était donné comme objectif d'accueillir 46 000 immigrants en 2006. Il en a accueilli 3 % de moins. En 2005, il souhaitait que 44 400 immigrants s'installent au Québec. Mais ce sont 43 312 personnes qui ont immigré, 1088 de moins que prévu. Si les objectifs n'ont pas été atteints, «c'est parce que le fédéral n'a pas émis tous les visas nécessaires», a expliqué hier le porte-parole du ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles, Claude Fradette. «Le nombre de visas délivrés à l'étranger par Ottawa n'a pas suivi la même progression que les certificats de sélection que nous avons émis», a-t-il ajouté, soulignant un «manque de ressources» dans l'appareil fédéral. Québec délivre les certificats de sélection aux immigrants, puis Ottawa leur accorde un visa à la suite d'un examen médical et d'une enquête de sécurité. Le ministère de l'Immigration se défend de condamner Ottawa. «On ne monte pas sur nos grands chevaux. On a eu des discussions avec nos homologues fédéraux pour voir comment les choses pourraient s'arranger en 2007. Ils vont apporter des ajustements», a dit Claude Fradette. Le gouvernement Charest a un objectif encore plus ambitieux pour l'année 2007. Il souhaite accueillir 48 000 immigrants. Ottawa, qui accumule les demandes d'immigration, tarde à traiter les dossiers provenant du Québec, confirme le directeur de la Table de concertation des organismes au service des personnes réfugiées et immigrantes, Stéphane Reichold. Selon lui, «c'est un gros facteur» qui explique les difficultés que connaît le Québec à atteindre ses objectifs. Mais le gouvernement québécois a lui aussi une part de responsabilité dans ses échecs. Stéphane Reichold déplore le manque de ressources investies dans la sélection des immigrants.
  16. MTLskyline

    Tvhd - Hdtv

    Combien d'entre vous ont la Télévision haute définition (TVHD)? Quel est votre service (Vidéotron Illico, Bell Expressvu, StarChoice)? Quel type de télé (marque, taille, LCD/Plasma, etc)? HD-DVD ou Blu-Ray? J'ai un Sharp Aquos LC-26D43U. C'est un télé LCD de 26 pouces de très haute qualité, avec une belle image. Mon service est Illico qui a un bon prix, mais a des problèmes de fiabilité, et le service à la clientèle inférieure . Je suis indécis concernant HD-DVD contre Blu-Ray. ------------------------------------------------ Who here has High-Definition Television (HDTV)?What service are you using (Vidéotron Illico, Bell Expressvu, StarChoice)?What kind of TV do you have (brand, size, LCD/Plasma, etc)?HD-DVD or Blu-Ray? I have a Sharp Aquos LC-26D43U. It is a high-quality 26-inch LCD television with a very nice picture. My service is Illico which has a good price, but has reliability problems and bad customer service. I am undecided about HD-DVD vs. Blu-Ray.
  17. Nutrition in Motion Ltd. expands to Montreal TORONTO, Oct. 16 /CNW/ - Nutrition in Motion Ltd. (NIMDIET.COM), Toronto's most sought after fresh diet delivery service, has arrived in Montreal! Life on the Island just got a little less hectic and a lot healthier as Nutrition in Motion Ltd. begins delivering healthy gourmet meals directly to the doorsteps of Montreal residents. The city with a cuisine best known for smoked meat sandwiches has a new option for those looking to eat healthily and lose some weight. Nutrition in Motion's Montreal diet delivery service provides clients with three fresh daily meals, three snacks and a dessert conveniently delivered to their door. Meals are portion controlled and consist of healthy carbs as well as the right fats providing customers with effective weight loss and balanced nutrition. Montreal resident Lindsey Spelder, who believes that she would still be a fast food junkie if not for Nutrition in Motion Ltd., says "I'm not a good cook and I'm always working. I've been trying to lose weight for years and Nutrition in Motion is really easy. For me it's a no-brainer." The NIM Montreal comprehensive food program, including three meals, snacks, dessert, and delivery costs $36.99 daily (or $1036.00 per month). Nutrition in Motion Ltd. is a Canadian based diet company that has helped thousands of Canadians slim down and achieve their desired weight. Through its daily, full service weight loss program comprised of three meals and three snacks delivered to the client's door, Nutrition in Motion Ltd. is becoming a leader in the Canadian health and weight loss industry. Please visit Nutrition in Motion Ltd. at www.nimdiet.com. For further information: 2006 Highway 7, Unit No.1, Concord, Ontario, L4K 1W6, Customerservice@nimdiet.com, www.nimdiet.com, (416) 486-1646
  18. The automatic Bike Dispenser -- like PEZ but good for you Posted Aug 15th 2007 9:41AM by Thomas Ricker Filed under: Transportation For those not familiar with portable-urban travel: that's a bicycle. In fact, it's one of several bicycles wedged inside this "Bike Dispenser" created by the Dutch-based (of course) design agency, Springtime. The concept has actually been floating around since 2005 in The Netherlands but it recently won the Spark Design & Architecture Award causing the world to take notice. The idea here is to offer these RFID-tagged bikes to riders in cities supporting bike rental or bike exchange programs. The garages then, would be conveniently scattered around places like train stations and tourist hot-spots to automagically dispense your new ride. This automated system has completed a pilot and is now being worked into the national OV-fiets (public transport bicycle) service in Holland which rents a bicycle for € 2.75 ($3.71) per 20 hours. Unfortunately, the Bike Dispenser relies upon a uniform bicycle design leaving it helpless to relieve the crushing mass of "parked" bicycles seen in Amsterdam and like-minded cities across Europe and Asia. Still, as a quick and dirty, eco-transport solution in-a-box, what's not to like?
  19. Ipsos Agrandit Et Consolide Le Bureau De Montréal Tout Le Personnel Au Québec Réuni Au Même Endroit Attention: Rédacteur financier MONTREAL, QUEBEC, MEDIA ADVISORY--(CCNMatthews - 25 avril 2007) - Ipsos a regroupé ses opérations au Québec sous un seul et même toit. Le transfert réunira les équipes, en pleine croissance, de l'entreprise dans un bureau central, récemment restauré, situé dans le centre de Montréal, permettant ainsi une meilleure efficacité, une collaboration accrue des projets et des équipes, ainsi qu'une amélioration globale du service clientèle. Les 55 employés de Montréal, comprenant des chercheurs en publicité, en santé, en marketing et affaires publiques, ainsi que le personnel de l'exploitation, occupent à présent deux étages sur 2300 mètres carrés au 1440 Rue Ste. Catherine O. Ce nouveau bureau abrite également 200 stations d'entretien assisté par ordinateur (CATI) et des installations pour groupes de discussion à la pointe de la technologie. François Descarie, vice Président principal confie : "Nous sommes très enthousiasmés d'avoir tous les spécialistes Ipsos réunis sous un seul et même toit. Ipsos travaille à présent avec un grand nombre de clients basés au Québec et le regroupement de toutes nos équipes service client et de toutes nos équipes opérationnelles permettra à Ipsos d'étendre nos services et d'augmenter notre base de clients. Nous sommes particulièrement impatients de proposer la gamme complète de produits et de services Ipsos aux clients basés aux Québec, permettant ainsi de servir les intérêts des marchés aux quatre coins de la planète. De plus, Ipsos est à présent l'une des entreprises de recherche les plus grandes au Québec." Lys Hugessen, un vice président d'Ipsos ASI à Montréal ajoute : "C'est l'avenir : partager les méthodologies, les solutions de recherche et les expériences afin de servir au mieux notre clientèle. En outre, ce nouvel endroit est superbe et très spacieux. Les bureaux arborent des combinaisons de couleurs vives conçues pour stimuler une atmosphère de créativité, de jeunesse et de vitalité." News Releases are available at: http://www.ipsos-na.com/news/
×
×
  • Créer...