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  1. Pas de doute, vous devriez toujours acheter sur Amazon, parce que les réductions sont vraiment impressionnants. Je l'ai acheté plusieurs fois déjà et ai jamais eu de problèmes. Dans ce cas, vous avez toujours service client amazon pour les demandes
  2. Je ai réservé une compagnie aérienne à service client vol 24 et veux savoir si elles acceptent des modifications à la date du vol. âce
  3. SATA International, also known as Azores Airlines, in summer 2016 season is introducing Airbus A330 service on its seasonal Ponta Delgada – Montreal route, replacing A310. The seasonal service will operate once a week, from 30JUN16 to 01SEP16. Operational schedule will also move from daytime to night-time, with the aircraft change. S4327 PDL2020 – 2200YUL 330 4 S4326 YUL2330 – 0830+1PDL 330
  4. Starting on May 2, according to the airlineroute twitter account. Already trying to squash NewLeaf?
  5. http://journalmetro.com/local/ouest-de-lile/actualites/907385/projet-de-camping-au-cap-saint-jacques/ 24/01/2016 Mise à jour : 25 janvier 2016 | 10:31 Projet de camping au Cap-Saint-Jacques Par Laurence Houde-Roy Métro TC Media Vue du Cap-Saint-Jacques La Ville de Montréal est en réflexion au sujet de l’implantation d’un projet de camping individuel au parc-nature du Cap-Saint-Jacques, dans l’ouest de l’île. Les tarifs pour ce projet ont d’ailleurs déjà été approuvés dans le dernier budget 2016 de la Ville de Montréal. Rien n’est encore assuré, a toutefois prévenu le service des communications de la Ville de Montréal à Métro. Ces tarifs ont été approuvés seulement «en prévision d’une éventuelle implantation du camping individuel dans les parcs-nature», nuance-t-on. «Mais les études requises pour une telle implantation n’ont pas été faites (capacité de support du milieu, services sanitaires, etc)», a précisé le service des communications. Actuellement, le camping est permis pour les groupes de 10 personnes et plus dans le secteur du centre de plein air du Cap-Saint-Jacques, dans le secteur est du parc. Si les études en à venir sont concluantes, le projet pourrait offrir des terrains individuels au centre du parc-nature du Cap-Saint-Jacques au centre du parc, soit des terrains sans services (sans eau ni électricité), et les véhicules devraient être garés dans les stationnements. «Par contre, il n’est pas garanti que ce soit cette année. Et si c’était le cas, ce serait sur une base expérimentale, car nous n’avons pas encore les infrastructures nécessaires (processus de réservation, aspects de sécurité, aires de feu, etc.)», ajoute le service des communications. Le nombre de terrains qui seraient offerts n’a pas encore été défini, ni l’endroit exact dans le parc où ils seraient aménagés. Vincent Léger, un citoyen qui a déjà fait quelques propositions pour des projets de camping urbain à la Ville de Montréal notamment autour du bassin Peel, croit qu’il y a effectivement une demande de la part de la population «pour développer de nouvelles façons de visiter Montréal et d’y être hébergé». «Ce serait intéresse même de planifier un réseau pour le cyclotourisme, pour faire du plein air en ville et pouvoir s’installer de façon sécuritaire», ajoute-t-il. Il croit même qu’avec la revitalisation du Vieux-Port, qui a été annoncée, il y aurait des possibilités pour aménager certains terrains de camping dans ce secteur, «de façon à ce qu’on ait une image urbaine, qu’on se sente en ville même en faisant du camping», propose M. Léger. Métro a contacté Camping Québec, mais l’association n’a pas voulu commenter ce projet
  6. http://www.aircanada.com/en/offers/air/newroutes_rouge/newroutes_rouge.html?icid=fl|achome|newroutes_rouge|caen|151208|txt#YUL-NA Always wanted to see Miami go year round! Mexico City now goes 5x weekly instead of 4.
  7. « Montréal 360 » : Importante simulation d’actes terroristes le 24 octobre sur le territoire de Montréal
  8. Transport Quebec blames Montreal for L'Acadie Circle flood Rain caused service road to fill up Sunday night By Max Harrold The Gazette July 27, 2009 Flooding at L'Acadie Circle in Montreal lifted sewer covers, causing serious damage to vehicles. Photograph by: Minas Panagiotakis, Special to The Gazette MONTREAL - Dumping all responsibility for flooding Sunday night in l’Acadie Circle squarely into the city of Montreal’s lap, Transport Quebec said Monday it has taken precautions while the city has not. “That’s why we didn’t have any flooding on the section of Highway 40 that dips (in l’Acadie Circle),” Transport Quebec spokesperson Réal Grégoire said. But a section of the 40’s eastbound service road – on city of Montreal territory – in the circle did fill up like a canal late Sunday, forcing the closing of the road from 11 p.m. until 3 a.m. At least three cars were stranded in what has become a regular occurrence when there are heavy rains. Grégoire said Transport Quebec learned its lesson after flooding closed a section of the 40 in 2005, a year after the completion of $110 million in repairs to the traffic circle. Since then, Transport Quebec has sealed the holes in manhole covers and installed trap doors on sewers on that section of highway to prevent flooding, he said. While the highway is raised slightly higher than the service road, water did not spill down and contribute to the flooding, he said. In no way did the 2004 repairs contribute to the floods, he added. “We take care of our network. What the city does with their network is up to them.” Grégoire said the flooding was most likely because of a lack of capacity in the Meilleur-Atlantique collector – an oversize drain pipe built by the city in the l’Acadie Blvd./Metropolitan Blvd. area in 1950. But Saeed Mirza, a McGill University professor of structural engineering, said the province and the city must share the blame since the highway’s drainage feeds into the city’s underground water system. “Anyone designing this exchange should have planned for this,” Mirza said. “When this happens, it’s proof that they did not do it properly.” Sammy Forcillo, vice-chairman of the city of Montreal’s executive committee and responsible for the city’s water and road infrastructure, blamed Sunday’s flooding only on “an exceptional amount of rainfall.” One-third of the normal amount of rain for the month of July fell in that part of the city that night, he said. “I can’t control the heavens.” The city is spending a lot this year – $350 million – on the water network. However, Forcillo could not say what improvements, if any, have been made at l’Acadie Circle. The city is waiting for a response to a request for federal funding to do more, he said. mharrold@thegazette.canwest.com © Copyright © The Montreal Gazette http://www.montrealgazette.com/news/Montreal+blame+Acadie+Circle+flood+Transport+Quebec/1834498/story.html
  9. Via Rail veut avoir ses propres voies ferrées pour améliorer son service entre montreal-ottawa et Toronto Dommage qu'on n'inclut pas Quebec et 3 rivieres dans son projet. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/transport/via-rail-va-solliciter-des-investisseurs-comme-la-caisse-pour-accelerer-sa-croissance/579974
  10. http://www.huffingtonpost.ca/2015/04/22/express-train-from-downto_n_7117712.html sent via Tapatalk
  11. Lire les commentaires sur cette decision sur leur site Facebook qui a 250k abonnés. Nous n'avons pas commenter beaucoup ici, mais l'opinion américain est intéressant. https://m.facebook.com/hyperallergic http://hyperallergic.com/207918/woman-found-guilty-of-criminal-harassment-for-instagramming-street-art/ Woman Found Guilty of Criminal Harassment for Instagramming Street Art by Benjamin Sutton on May 18, 2015 Jennifer Pawluck (photo provided by Pawluck to Hyperallergic), and the street art photo that landed Jennifer Pawluck in hot water with Montreal police. Jennifer Pawluck (photo provided by Pawluck to Hyperallergic), and the street art photo that landed Jennifer Pawluck in hot water with Montreal police Jennifer Pawluck, the Montrealer who was arrested in 2013 for posting a photo of a piece of street art on Instagram, has been convicted of criminal harassment and, on Thursday, was sentenced to 100 hours of community service and 18 months probation. Her community service must be completed within a year. The 22-year-old college student has also been forbidden from posting any public messages on Facebook, Twitter, or Instagram, and must restrict her use of the social media platforms to private communications for the next year, according to the Montreal Gazette. She had faced maximum penalties of up to six months in jail and a fine of $5,000. Reached via Facebook, Pawluck told Hyperallergic: “I am unfortunately not responding to any media questions … following my sentencing I’d prefer to keep a very low profile.” In late April Pawluck was found guilty for having posted a photo on Instagram of a piece of street art showing Ian Lafrenière, the lead officer for communications and media relations for the Montreal police, with a bullet wound in his forehead. Pawluck did not create the artwork, but merely saw it and posted a photo of it online. The image was accompanied by text that read “Ian Lafrenière” and “ACAB,” an acronym for “All Cops Are Bastards.” Pawluck had seen the piece of street art in the Hochelaga-Maisonneuve neighborhood where she lives and posted it online accompanied by hashtags including “#ianlafreniere” and “#acab,” later claiming that she didn’t know who Lafrenière was. At the time, Pawluck had 81 followers. “On the photo there were links, or hashtags, with Ian Lafrenière’s name written in different ways and allusions like (‘All cops are bastards’) and (‘One cop, one bullet’) to the point where, given the context, there was criminal harassment,” Josie Laplante, lawyer for the prosecution, told the National Post in April following Pawluck’s conviction. “I think we all have to pay attention to what we post because (some people) don’t consider the impact it can have on other individuals.” Pawluck was a participant in the 2012 student protests in Montreal, during which Lafrenière was a very visible spokesperson for the city’s police force. He said in his testimony that he and his children had found the image disturbing, and that his wife had been forced to take a leave of absence from her job because of it. “There is a limit that must not be crossed,” said judge Marie-Josée Di Lallo when delivering her verdict on April 23. “She (Pawluck) felt anger toward the police.” Tagged as: censorship, Featured, Instagram, Jennifer Pawluck, Montreal, Social Media, street art sent via Tapatalk
  12. http://www.ledevoir.com/politique/montreal/436996/bixi-pour-les-bobos Bixi pour les «bobos» Le système de vélo-partage se limite aux quartiers centraux et aux personnes détenant une carte de crédit 13 avril 2015 |Daphnée Hacker-B. | Montréal Le Devoir Alors qu’à l’origine, Bixi devait permettre une plus grande accessibilité au vélo, son usager moyen a aujourd’hui un salaire de 50 000$ par an. Les Bixi seront de retour dans les rues de Montréal dès mercredi. Si la survie du service n’est plus menacée, de nouvelles questions émergent. Ce système de vélo-partage, qui exige la possession d’une carte de crédit et se limite aux quartiers centraux, est-il réservé aux «bobos du Plateau»? L’accès pour tous demeure un défi. Les Bixi ont surtout fait les manchettes en raison de leurs déboires financiers, mais il faut se rappeler que le service a aussi connu un franc succès à l’international. Ces vélos en libre-service (VLS) roulent dans pas moins de 15 villes, dont Melbourne, Londres et New York, toutes séduites par le système d’ancrage sécuritaire et les bicyclettes robustes conçues par le designer Michel Dallaire. Aussi populaires soient-ils, les Bixi sont relativement coûteux (environ 1000 $ l’unité) pour les administrations qui les achètent et, de fait, leur déploiement sur un territoire est souvent limité. Plusieurs observateurs déplorent cette concentration dans les quartiers centraux, où vivent ceux qu’on surnomme les « bobos » (acronyme pour « bourgeois bohèmes »). Les premiers systèmes de vélo-partage avaient pourtant une tout autre philosophie ; celle de rendre la bicyclette accessible à l’ensemble d’un territoire et de sa population, affirme Projjal Dutta, directeur du développement durable à la Metropolitan Transportation Authority de New York. Dans les années 60, à Amsterdam, l’initiative citoyenne « White Bicycle Plan » visait à regrouper des vélos bas de gamme, à les peindre en blanc et à permettre à quiconque souhaitant pédaler d’y avoir accès gratuitement. Inspiré par ce modèle, la ville chinoise de Hangzhou a mis sur pied un service de partage avec des vélos ordinaires (environ 100 $ l’unité), qui ne nécessite pas la détention d’une carte de crédit. Le faible coût des vélos a permis d’en déployer 80 000, soit 13 fois plus qu’à New York (6000 vélos de type Bixi), qui a pourtant une population semblable à Hangzhou. « Je ne dis pas que nous devrions absolument adopter le modèle chinois, mais il nous rappelle que d’autres options, plus accessibles à tous, existent », souligne M. Dutta. Un modèle à suivre ? Il est difficile, voire impossible, de comparer le VLS de Montréal à celui de Hangzhou, estime le chercheur Pierre Rogué, aussi coordonnateur de la campagne « Une porte, une vie ». En Chine, le vélo est encore le principal moyen de transport de millions de personnes, tandis qu’ici, ce n’est que récemment qu’il a repris une place significative dans le « cocktail transport » des Québécois. Déployer un aussi grand système ne semble pas réaliste du point de vue financier, ajoute-t-il, mais il faudrait s’assurer que l’accès à Bixi ne soit pas limité aux secteurs nantis. Partout en Amérique du Nord, les classes sociales aisées sont celles qui utilisent le plus le vélo-partage, révèle une étude réalisée à l’automne dernier par l’institut américain de transport Mineta. L’utilisateur américain moyen de VLS a un salaire de 50 000 $, et la même statistique ressort pour le service de vélo-partage de Toronto. « L’obligation d’avoir une carte de crédit est un réel frein à l’accessibilité de tous à Bixi. Pensons aux immigrants fraîchement arrivés », déclare Mathieu Séguin, porte-parole de la Coalition vélo Montréal. Il rappelle que la location d’un Bixi implique aussi un dépôt de sécurité pris sur la carte de crédit. Abaissé à 100 $ cette année, il était auparavant de 250 $. À Hangzhou et à Paris, les VLS sont accessibles avec une simple carte de transport en commun, remarque-t-il, « c’est une voie que nous devrions considérer ». Vandalisme et rentabilité « Le modèle d’Hangzhou n’est pas du tout intéressant à suivre, on ne veut pas d’un service de vélos jetables », lance sans détour Suzanne Lareau, présidente-directrice générale de Vélo Québec. Aussi membre du conseil d’administration de l’organisme à but non lucratif Bixi Montréal, Mme Lareau rappelle que la robustesse des vélos a été longuement réfléchie. « Nous avons opté pour des vélos solides, avec des composantes différentes des vélos ordinaires, pour diminuer au maximum le vol », dit-elle. Résultat : sept ans après l’implantation de Bixi, les mêmes vélos roulent toujours dans les rues, et moins de dix par année font l’objet de vol. Les municipalités avec des VLS moins robustes que Bixi, comme Lyon, se voient forcées de changer la moitié de leur flotte, ou presque, chaque fin de saison, soutient Mme Lareau. La p.-d.g. estime que, malgré l’obligation de détenir une carte de crédit, Bixi demeure très abordable. L’abonnement de saison coûte 85 $, rappelle-t-elle, et le prix d’accès 24 heures a été diminué cette année à 5 $. Elle admet toutefois que, dans un « monde idéal », plus de vélos pourraient être déployés à travers la ville. « Le hic, c’est que plus on s’éloigne des centres névralgiques, plus le coût pour déployer le service augmente, car il y a moins d’usagers par vélo », explique-t-elle. De toute manière, la décision d’étendre la flotte ne revient pas à Bixi-Montréal, mais bien à la Ville de Montréal, renchérit Bérengère Thériault, porte-parole de l’organisme dont la mission se limite à « assurer les opérations ». Chose certaine, précise-t-elle, l’administration Coderre n’a pas l’intention d’ajouter des Bixi sur la route cette année. Le déploiement de Bixi ne doit pas se faire en fonction de la « rentabilité » d’un secteur, dénonce Marianne Giguère, porte-parole de Projet Montréal en matière de vélo. « C’est là le problème, on voit Bixi comme un loisir, il doit rapporter des sous… », soupire-t-elle. Elle regrette que Bixi n’ait pas été incorporé à la Société de transport de Montréal, mais espère du moins qu’il sera un jour possible de l’utiliser avec la carte Opus. À l’instar des autobus ou du métro, le VLS doit être considéré comme un moyen de déplacement collectif soutenu par les fonds publics, croit-elle. « Si l’administration avait cette vision de Bixi, il deviendrait nécessaire que le service soit accessible à l’ensemble des citoyens. »
  13. http://journalmetro.com/actualites/montreal/579495/un-nouveau-modele-de-developpement-en-contravention-avec-le-code-de-larbre/ 10/2014 Mise à jour : 22 octobre 2014 | 10:05 Ajuster la taille du texte Développement immobilier sans arbre ni gazon à Laval Par Stéphane St-Amour stephane.st-amour@tc. Photo prise le 28 mai dernier dans la cour arrière d'une maison nouvellement construite sur la rue de Tardivel, dans le quartier Auteuil, alors qu'on y déroulait le tapis en gazon synthétique.Collaboration spéciale/ CRE-LavalPrevious photoNext photo Pavé uni, asphalte et gazon synthétique dominent à peu près exclusivement certains terrains de nouveaux développements résidentiels, à Laval. C’est notamment le cas sur les rues de Tardivel, dans Auteuil, et de Tivoli, dans Vimont, un modèle d’habitation qui contrevient à la réglementation municipale. À cet égard, l’article 32B du règlement de zonage L-2000 est on ne peut plus clair: «À l’exception des espaces utilisés pour le stationnement, les trottoirs, patios, équipements récréatifs ou bâtiments accessoires, toute surface libre d’un terrain doit être aménagée de gazon, d’arbres, d’arbustes ou de fleurs». Tout nouveau propriétaire a six mois pour s’y conformer «au plus tard à la plus rapprochée des deux dates suivantes: six (6) mois après la finition des murs extérieurs du bâtiment principal ou six (6) mois après le début de l’occupation du bâtiment», précise le règlement. Qui plus est, dans ce même délai, un nouvel arbre doit obligatoirement être planté dans toute cour avant d’une largeur d’au moins 10 mètres ou, au choix, dans toute cour latérale adjacente à une voie publique, dont la plus petite dimension est d’au moins 4,5 mètres, prévoit également le Code de l’arbre. Le CRE dénonce Au printemps dernier, le Conseil régional de l’environnement (CRE) de Laval a dénoncé cette situation à la direction du Service de l’environnement de la Ville, qui a aussitôt fait suivre le dossier à la direction de l’urbanisme. Directeur général du CRE, Guy Garand demande aux autorités municipales de faire respecter le règlement et d’obliger les propriétaires en défaut à régulariser leur situation. «Ça va non seulement à l’encontre de l’environnement, du développement durable et du maintien de la biodiversité, mais c’est aussi dangereux à court et moyen terme pour la santé des gens», affirme M. Garand, évoquant les impacts découlant des îlots de chaleur en milieu urbain. Celui-ci souhaite également que la Ville légifère de façon à interdire de façon formelle l’usage de gazon synthétique dans les secteurs résidentiel, commercial et industriel. «C’est stérile, c’est propre! Il n’y a pas de pissenlit, pas d’arrosage, pas d’entretien, pas de feuille à ramasser. T’embarques dans ta piscine sans herbe sous les pieds», ironise-t-il pour illustrer les fausses vertus du gazon synthétique, lequel pourrait faire tache d’huile si la Ville ne bouge pas, s’inquiète-t-il. Les élus préoccupés Au cabinet du maire, on se dit assez préoccupé par ce phénomène pour avoir demandé à la Direction générale de s’y pencher et produire un rapport d’analyse sur la situation. «Le problème du gazon synthétique, c’est que ça n’absorbe pas l’eau et ça nous inquiète», indique le porte-parole, François Brochu. S’il reconnaît les risques que génèrent les îlots de chaleur, le comité exécutif de Ville de Laval prend très au sérieux les problèmes de surverse qu’entraîne l’imperméabilisation des sols. En augmentant, les eaux de ruissellement risquent de saturer le réseau d’égout et faire en sorte, lors de très fortes averses, que les eaux usées se déversent dans nos rivières. Incidemment, le maire Marc Demers identifiait, le mois dernier, ce problème de surverse comme enjeu majeur qui non seulement pollue l’environnement, mais freine le développement de la municipalité. «Une partie du fonds de 120M$ provenant de la taxe d’accise va d’ailleurs servir à augmenter la capacité du réseau d’égout pour contrer le problème de surverse», n’a pas manqué de rappeler le porte-parole du cabinet du maire, François Brochu, au Courrier Laval. «S’il faut légiférer pour restreindre le recours à cette pratique-là, on le fera», a-t-il terminé, en parlant de la pose du gazon synthétique sur les terrains résidentiels. Une inspection prévue «dans les prochains jours» Cinq mois après en avoir été alerté, le Service de l’urbanisme procéderait «dans les prochains jours» à l’inspection de résidences dans les quartiers de Vimont et Auteuil qui, selon toute vraisemblance, seraient en contravention avec le Code de l’arbre. «Nous allons valider s’il y a des dérogations au règlement municipal et, le cas échéant, les actions requises seront prises», affirme Nadine Lussier, chef de Division aux communications et relations avec les médias à la Ville de Laval. Dans un courriel daté du 20 octobre, elle réfère aux «résidences mentionnées dans la plainte reçue à la Ville le 23 septembre 2014», sans toutefois préciser la nature et la provenance de la plainte évoquée. Pourtant, voilà déjà plusieurs mois que le Service de l’urbanisme a été saisi de l’affaire. On en a pour preuve cet échange courriel du 28 mai 2014 entre le directeur du Service de l’environnement, Gilles Benoît, et le directeur général du Conseil régional de l’environnement (CRE) de Laval, Guy Garand. «J’ai transmis votre demande à M. Dubois du Service de l’urbanisme. Le suivi de cette requête sera donc effectué par ce service», peut-on lire dans le courriel que M. Benoît retourne à M. Garand, tout en prenant soin d’y mettre en copie conforme une élue et quatre fonctionnaires, dont Sylvain Dubois. Essentiellement, Guy Garand y dénonçait, photos à l’appui, de nouveaux développements domiciliaires sur les rues de Tardivel (Auteuil) et de Tivoli (Vimont), dépourvus d’arbre et largement dominés par le pavé uni, l’asphalte et le gazon synthétique. Réponse Après avoir ignoré pendant plusieurs semaines nos demandes répétées d’entrevue auprès des directeurs du Service de l’environnement et de l’urbanisme, en lien avec ce dossier, la Ville de Laval a répondu à notre «ultime tentative», lancée aux aurores le 20 octobre. À ce courriel, où il était précisé que nous mettions sous presse le jour même, le Service des communications nous a répondu ceci: «Le règlement de zonage ne prohibe pas explicitement l’utilisation du gazon synthétique pour les aménagements de terrains en zone résidentielle. Par contre, il est clairement indiqué à l’article 32B du règlement de zonage L-2000, que les surfaces autres que les allées d’accès, trottoir, stationnement etc. doivent être recouvertes de gazon, d’arbres ou de fleurs. Par définition, le gazon est une herbe naturelle.» En contravention La Ville termine en faisant mention que «malgré tout, il se peut que certaines parties de la propriété puissent être recouvertes de gazon synthétique, mais surtout pas, la totalité des cours avant et arrière». Or, selon les photos explicites que le CRE de Laval a transmises à la Ville au printemps dernier, il ne fait pas de doute que certaines propriétés des nouveaux développements précités sont en contravention avec les règlements municipaux. Dans des cas d’infraction, la réglementation municipale prévoit un délai de 10 jours pour permettre au contrevenant, à qui on remet un avis écrit, de régulariser sa situation et se conformer à la loi, à défaut de quoi la Ville est en droit de sévir. À lire aussi: Le gazon synthétique en milieu résidentiel à proscrire, selon un médecin
  14. Je publie cet article parce qu'il est bien sûr toujours d'actualité: http://www.lametropole.com/article/actualites/debats-montreal/postes-canada-immonde-et-stupide Jeudi, 9 octobre 2014 POSTES CANADA, IMMONDE ET STUPIDE Fin de la livraison postale à domicile, Le maire de Montréal qualifie Postes Canada d’immonde et stupide. Daniel Rolland - LaMetropole.com Un allié inattendu et de taille pour ceux qui craignent la disparition du service postal à domicile, c’est le maire de Montréal Denis Coderre. Il va tout faire pour que ne soit pas mise en œuvre cette odieuse machination. On se souviendra que toute cette affaire a démarré quand Postes Canada a fait connaître, en décembre 2013, son rapport intitulé « Plan d’action en cinq points – Prête à affronter l’avenir ». Ça n’a pas été long que le syndicat des postiers, des citoyens, des gens d’affaires et des maires sont montés aux barricades. Et tout particulièrement le maire de Montréal, qui en fait une affaire personnelle. Je l’ai rencontré à ce sujet lors des funérailles de Gilles Latulippe. Il m’a détaillé sa rencontre avec le président de Postes Canada. « Je suis allé le rencontrer. Il m’a entendu. Je lui ai dit que ça n’avait aucun sens d’abolir le service à domicile. Mais ça n’a été que du blabla de sa part. Il m’a dit qu’il aura encore des rencontres. Mais pendant ce temps, le temps passe et il ne se fait rien ». LA POSTE C’EST UN DROIT « On est entrain de « scrapper » le rôle que Postes Canada avait. Postes Canada est un service essentiel. C’est un impact de 6000 à 8000 emplois. Qu’ils le disent donc, qu’ils veulent privatiser le service », lance-t-il en colère. D’emblée il soutient que la livraison du courriel de porte à porte dans les villes n’est pas un caprice, mais un droit fondamental « Les gens à mobilité réduite et les personnes âgées ont besoin de ce service ». En bon libéral il lance une pique à l’endroit du gouvernement Harper. « Il me semble que le gouvernement canadien devrait faire preuve de beaucoup plus de sensibilité ». Et il ne peut pas imaginer un seul instant voir nos rues peuplées de ces boîtes communautaires qui vont défigurer sa ville. « Les maudites boîtes, où c’est qu’ils vont les mettre? J’arrête là parce que je vais me mettre à sacrer. Mais honnêtement ça n’a pas de maudit bon sens ». Mais ce qui l’a mis aussi en rogne, c’est cette histoire qui veuille que Postes Canada exige des explications médicales détaillées pour ceux et celles qui voudraient continuer de recevoir leur courrier à domicile. pour cause de manque de mobilité. « Ils n’ont rien compris. Je trouve ça immonde et même stupide de demander des billets de médecin, ajoutant avec l’aplomb qui est sa marque de commerce, que les dirigeants de la société d’État s’enlèvent les doigts dans le nez ». UNE FRONDE DES MUNICIPALITÉS Le maire Coderre ne sera pas seul dans la bataille. Il a reçu aussitôt l’appui du maire de Westmount, William F. Trent, qui est également président de l’Association des maires de banlieue. Ils proposent que dans l’immédiat Postes Canada mette fin à son sinistre projet, le temps de trouver des pistes nouvelles de rentabilité, dont l’une d’elles serait la réduction des fréquences de livraison. Mais mon petit doigt me dit qu’il va mettre tout son poids de maire dans la balance pour faire interdire par voie de décret l’installation de ces boîtes infâmes sur le territoire de Montréal, si jamais Postes Canada s’entête.
  15. Vers un service d’autobus communautaire à Toronto? Philippe Leblanc http://ici.radio-canada.ca/regions/ontario/2014/10/07/006-service-autobus-communautaire-toronto.shtml C'est connu, le transport en commun fait grincer des dents à Toronto. Deux résidents qui en avaient assez d'attendre l'autobus ou le tramway ont décidé de prendre les choses en main. Depuis lundi matin, un autobus nolisé grâce à du financement communautaire et surnommé le Liberty Village Express dessert aux heures de pointe ce quartier situé à l'ouest du centre-ville de Toronto. Le projet pilote va se poursuivre jusqu'à vendredi. « Le transport collectif existant n'est tout simplement pas suffisant dans certains quartiers », affirme Taylor Scallion, le cofondateur du service de transports nolisé Line Six. La ligne de tramway la plus achalandée La ligne de tramway qui dessert le quartier Liberty Village est la plus achalandée de la métropole canadienne. Quelque 60 000 passagers empruntent cette ligne quotidiennement. « C'est mon défi chaque jour, réussir à dénicher une place dans les tramways bondés. Je dois des fois en laisser passer trois ou quatre remplis à capacité avant de pouvoir monter », soutient Suzette Ramchiran, en attente du tramway. Environ 65 personnes ont payé 25 $ pour cinq voyages à bord du Liberty Village Express. Les organisateurs affirment avoir amassé jusqu'à maintenant 2775 $. Si les organisateurs estiment que le projet pilote est un franc succès, ils songeront à implanter le service d'autobus nolisé grâce à du financement communautaire dans d'autres quartiers où le transport collectif fait défaut. « Nous invitons d'ailleurs les gens à voter sur le site web de Line Six pour les quartiers qu'ils souhaiteraient voir desservis », affirme Taylor Scollion. Problème grandissant de transport collectif Comme plusieurs endroits du cœur de Toronto, le quartier Liberty Village a vu les tours à condominiums pousser comme des champignons ces dernières années. Ce nouveau développement continue d'amener davantage de passagers, et la Commission de transport de Toronto peine à répondre à la demande. « Vous pouvez voir qu'il y a des tours à condo qui se construisent un peu partout à Toronto », affirme le chroniqueur municipal du National Post, Peter Kruitenbrouwer. « Mais il semble que les politiciens n'ont pas pensé à comment les gens qui habitent ces tours-là vont se rendre à leur boulot », ajoute-t-il. Selon plusieurs sondages, le transport collectif est d'ailleurs la priorité des Torontois dans la campagne électorale municipale en cours. « Il n'y a aucun doute que c'est l'enjeu déterminant pour moi », soutient Jennifer Nichols. « Je vais analyser les propositions des candidats à la mairie. Je veux des améliorations rapides, mais aussi une vision à long terme pour le transport collectif à Toronto », conclut-elle
  16. Cet été le boulevard Roland-Therrien a été refait : - Ajout d'une piste cyclable - Nouveaux abris bus - Nouvelle voie réservée 24h autobus - Nouveau service express RTL - Nouvelle place publique au coin de Gentilly et Roland-Therrien Cout: 15$million Depuis quelques jours les nouvelles lignes express RTL 410 et 417 sont maintenant ouvertes! Photos à venir...
  17. Hi guys...Anybody have access to this MERX Private Construction site. I am limited to government bids. How about Habsfan or Mark AC or Lindberg etc etc I hi-lited 4 projects that I don't think we know about on our MTLURB. These are official bids so these are approved and will be proceeding as soon as the bids are accepted. I hope we find a couple of big surprises!!!!!!!!!! Gain access to hundreds of Construction projects with MERX Private Construction MERX Private Construction provides a value-added service tailored to contractors looking for project information needed to bid on contracts in the Canadian construction industry. Reporting on projects from the 'pre-design' stage through to the start of construction, businesses of any size have affordable access to billions of dollars in construction opportunities. From the construction of houses and hotels to office buildings and shopping malls, MERX Private Construction has all the information you need to bid on contracts. Please review the listings below of the latest opportunities posted in your region All of Quebec Townhouses & Condominium- La Cite Verte – Québec Condominium - Place des Jardins (Phase 1-5) Québec Condominium - Bella Vista - Phase 2 (101 Units) St-Laurent Office Building - Complexe Jules Dallard - Phase 2 – Québec Data Centre – Québec Rose Mining Project - Nemaska Condominium Marquise (Phase 2-8) Laval Kipawa Rare Earth Project - Open pit mine – Rouyn-Noranda Westin Resort & Spa Tremblant (Renovations) Mont Tremblant Condominium - Le Signature (Phase 2) Québec Head Office (Conversion) Montreal Niobec Mine Expansion - Saguenay Condominium - Les Haltes du Roi (Phase 3-9) Trois-Rivieres Condominium - Cite de la Gare (Phase 2-5) St-Constant Condominium - SE7T (Phase 1-3) Montreal Condominium - U31 (Phase 1-3) Montreal Senior Residence – Ste Therese de Gaspe Condominium - Les Meandres – Camomille – Quebec Apartments/Condominiums 4+ Stories (72 Units) Rouyn-Noranda Condominium - Ilot Esso – Québec Condominium - Coop Evrelle – Beauport Theatre du Rideau Vert - Phase 2 – Montreal Theatre/Cultural Centre – Longueuil Office Tower - Hotel/Motel - Montreal Commercial Development - Carrefour de la Bravoure – Val-Belair Condominium (Phase 1-4) Terrebonne Condominium - Le URB – Montreal Lithium Spodumene Mine Project – La Corne Condominium - Station 7 (Phase 1-7) St-Jerome Condominium Woodfield Sillery (87 Units) Quebec Condominium- Acces M (79 Units) Quebec Dolbeau Oxygen Manufacturing Facility (Expansion) Dolbeau-Mistassini Quartier Sud - Seniors Residence – Levis Caisse Populaire - Municipal Building – St Liguori Cinema Mega-Plex Guzzo - Sainte-Therese Condominium Apartment Townhouse (160 Units) Aylmer Lac-Leamy Hilton Hotel (Reno) Gatineau 75 Rene-Levesque Ouest (Condominium Building) Quebec 18-Storey Condo Towers – Montreal Apartment - Place Lamoureux (Phase 2-3) Rimouski Condominium (Phase 1-6) Val-David Townhouse Development (Phase 1-6) Beaconfield Condo des rue Equinoxes (Phase 1-4) St Laurent Condominium Phase Three (18 Units) Hudson Condominium Opus - Phase 5 – Lasalle Condominium (Phase 2-4) Vaudreuil Condominium (30 Buildings, 180 Total Units) Mont Tremblant Theatre Le Cube - Montreal Shopping Centre - Place Lorraine - Lorraine The Grove at Montreal Student Apartments (Conv/Renov) Montreal Pricing All of Quebec 109.99/month or 960.00/Pre-Paid Yearly (savings of 359.88) Montreal and District 69.99/month or 660.00/Pre-Paid Yearly (savings of 179.88) Quebec City and District 54.99/month or 480.00/Pre-Paid Yearly (savings of 179.88) Our Flexible subscription options allows you to use our service on a monthly basis with no contract obligations or you can pre-pay our service for the year and save 25% Plan ahead with MERX Private Construction · Search Canadian construction projects by Region or by Project Type Quickly identify projects suited to your business or skill set with our exclusive access to McGraw-Hill Dodge Reports
  18. Bonjour, le site est victime d'une attaque de déni de service. Des gens essaient d'entrer dans chacuns de votre compte avec des mots de passes aléatoires. Ceci fait en sorte que votre compte se bloque. Nous sommes à considérer les options pour faire cesser ceci et je vous reviens rapidement.Admin Tout le monde a reçu ce message?
  19. http://www.nydailynews.com/montreal-westmount-saint-henri-nabes-article-1.1393151
  20. Travaux de 4,8 MS pour la mise en place d’un service d’autobus express sur Roland-Therrien Denis Germain Rive-Sud Express.ca Une fois les travaux complétés sur Roland-Therrien, huit nouveaux abribus seront installés au coût de 175 960.$ Publié le 29 Mars 2013 LONGUEUIL – D'importants travaux de réfection de 4 828 913$ seront réalisés sur le boulevard Roland-Therrien pour la mise en service dès la rentrée scolaire 2013 d'un service d'autobus express. La première phase de ces travaux, entre les rues Parc-Industriel et Fréchette, commencera le 8 avril afin de préparer l’arrivée de ce service de bus express et l’ajout d’une nouvelle piste cyclable. En tout temps, au moins une voie de circulation demeurera ouverte dans chaque direction. Pour contourner la zone de travaux, les automobilistes sont invités à emprunter le chemin de Chambly, le boulevard Jacques-Cartier ou le boulevard Jean-Paul-Vincent. Deuxième phase des travaux En mai prochain, d’autres travaux touchant la réparation de la chaussée, le marquage et la signalisation seront effectués sur le boulevard Roland-Therrien, entre le boulevard Curé-Poirier et la rue Berthelet. Des entraves partielles et temporaires sont à prévoir. Il est à noter que le stationnement sera dorénavant interdit sur le boulevard Roland-Therrien, pendant la période des travaux entre la rue Parc-Industriel et le boulevard Roberval, en lien avec l’aménagement d’une voie réservée. Enfin un service d’autobus express Une fois les travaux terminés, la Ville de Longueuil, en collaboration avec le RTL, mettra en place dès cet automne, un service d’autobus express 24 h sur le boulevard Roland-Therrien. Ce nouveau service offrira aux usagers des transports en commun de Longueuil des passages plus fréquents et des temps de trajets plus courts aux heures de pointe, notamment par l’aménagement d’une voie réservée pour autobus. En plus de ce nouveau service novateur, des abribus plus fonctionnels seront installés et augmenteront le confort de la clientèle du RTL, tout en intégrant les principes d’accessibilité universelle. (D.L)
  21. http://www.youtube.com/watch?v=pjTs3iZ7OHI The Montreal Gazette About time. Sucks that they charge 0.40 cents per transaction though.
  22. jesseps

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  23. Le Cirque du Soleil agira désormais à titre de consultant pour d'autres artistes sur des projets d'envergure. Son premier client? Madonna, qui a fait appel au Cirque pour la mise en scène de sa tournée MDNA qui commence cette semaine. Ce n'est pas la première fois que le Cirque du Soleil offre ses services à d'autres artistes. L'hiver dernier, l'entreprise québécoise a aidé Madonna sur son spectacle de la mi-temps du Super Bowl. L'expertise du Cirque pour la conception de costumes a aussi servi sur le plateau de tournage de plusieurs films (confidentialité oblige, le Cirque ne peut dévoiler quels films). «Notre entreprise est d'abord une entreprise de création. (...) Ce nouveau service d'affaires permet à nos équipes de création de vivre des projets différents et stimulants qui valorisent leur savoir-faire créatif», a indiqué Daniel Lamarre, président et chef de la direction du Cirque, par voie de communiqué. Le Cirque produit actuellement 21 spectacles à travers le monde. Son nouveau service de consultation amènera le Cirque à travailler avec la même «démarche créative», mais sur des projets qui ne sont pas traditionnellement identifiés au Cirque du Soleil. En clair, le Cirque pourra travailler sur un spectacle sans y intégrer des numéros d'acrobatie. «Nous avons longtemps résisté (de faire de la consultation pour d'autres artistes) car notre carnet de commandes est plus que rempli, mais l'expérience du spectacle du Super Bowl nous a fait tripper, dit Renée-Claude Ménard, directrice des communications du Cirque du Soleil. Beaucoup de gens ont pensé que notre contribution au spectacle du Super Bowl était seulement la partie des acrobates, mais nous avons imaginé l'ensemble de la mise en scène.» Le nouveau service de consultation du Cirque, réservé aux «projets d'envergure», sera sous la responsabilité de Jacques Méthé, directeur de la division des événements spéciaux du Cirque et producteur pour le Cirque du spectacle de Madonna au Super Bowl. Pour son premier mandat, le service de consultation du Cirque a dépêché Michel Laprise à la mise en scène de la tournée MDNA de Madonna. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201205/30/01-4530167-le-cirque-du-soleil-devient-consultant.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS13
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