Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'serait'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Le vendredi 20 juillet 2007 L'Impact en route vers la MLS? Patrick Leduc. Photo François Roy, La Presse Jean-François Bégin La Presse En embauchant hier l'ex-ministre Richard Legendre à titre de vice-président principal, l'Impact de Montréal a franchi une étape importante sur la route qui pourrait le conduire vers la Major League Soccer. Taille du texteImprimerEnvoyer La nomination de Legendre, qui a présidé à l'agrandissement du stade du parc Jarry à l'époque où il était à la tête de Tennis Canada, est une prise de taille pour l'Impact, dont le nouveau stade est présentement en construction. «Ma priorité sera de mener à bon port la construction du stade et surtout de faire en sorte de le remplir jusqu'à ce qu'il devienne trop petit et qu'il faille l'agrandir de nouveau», a dit M. Legendre lors d'une conférence téléphonique, hier après-midi. L'ancien joueur de tennis referme la parenthèse politique ouverte en 2001. Il avait alors été élu sous la bannière péquiste, lors d'une élection partielle dans la circonscription de Blainville. Candidat malheureux lors la course à la direction du PQ qui avait couronné André Boisclair, il a été défait aux élections provinciales, le printemps dernier. «Je suis content de ce que j'ai fait au cours des six dernières années, mais le 26 mars, la population m'a dit de faire autre chose. Je suis content de revenir dans le sport, car c'était mon premier choix», a dit M. Legendre. Comme ministre responsable du Loisir et du Sport dans le cabinet de Bernard Landry, Legendre avait participé au sauvetage et à la relance de l'Impact à titre d'organisme sans but lucratif, en 2002. «J'ai vu la façon dont il a mené le dossier de l'Impact et les dossiers de sport en général, a dit le président de l'Impact, Joey Saputo. Il va aider l'Impact et le soccer. C'est la personne idéale pour mener notre sport et notre équipe au prochain niveau.» La tentation de la MLS À en juger par les propos tenus hier par M. Saputo, le prochain niveau, ça risque fort d'être la MLS. La ligue née en 1996 offre le meilleur calibre de soccer professionnel en Amérique du Nord. Elle vient d'accueillir en grande pompe sa première authentique super-star, David Beckham, qui fera demain ses débuts dans l'uniforme du Galaxy de Los Angeles, si sa blessure à une cheville est suffisamment guérie. «Dans le passé, je disais non à la MLS, parce que je n'aimais pas la structure de la ligue. Mais celle-ci est en train de changer et mon opinion change aussi», a indiqué Saputo. Tant mieux. Le succès phénoménal de la Coupe du monde U-20, qui a attiré 240 000 spectateurs au Stade olympique, a prouvé hors de tout doute l'appétit des Montréalais pour du soccer de qualité. Or, disons-le franchement, la première division de l'USL, dont fait partie l'Impact, n'offre pas toujours du soccer de haut vol. Les accros de foot européen diront que la MLS non plus, mais ce serait quand même un net progrès. La MLS compte présentement 13 équipes, dont le Toronto FC. L'équipe de la Ville reine a fait ses débuts cette saison et détient l'exclusivité sur le marché canadien pendant trois saisons. Après cela, tout est possible. «Je ne veux pas dire qu'on va être dans la MLS dans deux, trois ou quatre ans, dit Saputo. Mais on va examiner cette possibilité si c'est intéressant. C'est quelque chose qu'on regarde.» La MLS s'est développée en fonctionnant de manière très centralisée, mais elle offre de plus en plus d'autonomie à ses franchises, selon Saputo. «Si ça continue dans cette direction et que le propriétaire peut plus ou moins décider de la direction de son équipe, on est ouvert.» Cette ouverture nouvelle explique sans doute l'optimisme affiché par un haut gradé de l'Association canadienne de soccer, qui me confiait récemment sa conviction que l'Impact se joindrait à la MLS en 2010. Une conviction renforcée par la construction, à l'ombre de la tour olympique, du stade Saputo, qui doit ouvrir ses portes à temps pour la saison 2008 de l'Impact. Le nouvel amphithéâtre pourra accueillir 13 000 spectateurs, mais il sera possible de faire passer sa capacité à 18 000 sièges, de manière temporaire ou permanente. «À 18 000 sièges, ce serait accepté par la MLS», dit Joey Saputo. À titre de comparaison, le BMO Field, domicile du Toronto FC, compte 20 000 places. Il y a encore beaucoup de fils à attacher avant que la MLS débarque à Montréal. Le succès de foule de l'Impact repose en bonne partie sur des billets peu coûteux qui permettent aux familles d'assister aux matchs. Il faudrait maintenir le plus possible cette accessibilité. Mais ce serait une progression logique pour l'Impact que de passer dans les grandes ligues. Les Raging Rhinos de Rochester ou le Battery de Charleston, c'est bien beau, mais Montréal mérite mieux. Impact international Le succès de la Coupe du monde U-20 a convaincu Joey Saputo qu'il serait viable pour l'Impact de disputer des matchs internationaux pendant la saison morte, à l'automne ou au printemps, contre des clubs mexicains ou sud-américains. Mais pour jouer en avril ou en novembre, il faut jouer à l'intérieur, au Stade olympique. Et pour jouer au Stade, il faut une surface artificielle. L'Impact examine présentement la possibilité d'investir pour garder au Parc olympique la surface synthétique amovible acquise par la Fédération de soccer du Québec en prévision de la Coupe du monde U-20. Cette surface fait présentement l'objet d'un appel d'offres et pourrait être vendue à une municipalité si une entente n'est pas conclue pour qu'elle reste au Stade. La faisabilité d'une telle entente serait plus forte si l'Association canadienne de soccer donnait des garanties que l'équipe nationale disputera plus souvent des matchs à Montréal. «L'Association canadienne a vu qu'un match international à Montréal peut avoir du succès et qu'il n'y a pas qu'Edmonton ou Toronto», dit Joey Saputo. Une histoire à suivre.
  2. Un paddock rénové à Montréal Charles Rooke Journal de Montréal 13/02/2008 10h29 Le paddock du circuit Gilles- Villeneuve ne devrait plus être la risée du circuit de la formule 1 car, selon ce qu'a appris le Journal de Montréal, une subvention de 1,25 million de dollars du gouver nement fédéral serait accordée afin qu'on procède à sa réfection. L'an der nier, Ber nie Ecclestone, le grand manitou du cirque de la formule 1, avait critiqué les installations du Grand Prix de Montréal. Durant la semaine du Grand Prix, des employés de l'écurie Honda avaient été jusqu'à affirmer que les installations montréalaises étaient «une honte». Les écuries avaient même dû faire la vaisselle avec l'eau provenant du bassin olympique. Les organisateurs du Grand Prix ont donc fait une demande de subvention de deux millions de dollars au gouver nement fédéral en novembre afin de remédier à la situation. La somme de 1,25 million serait débloquée prochainement, et l'annonce de l'octroi de la subvention pourrait être faite au cours des prochaines semaines. Quelques détails à régler L'entente ne serait pas encore finalisée, mais il resterait quelques détails à fignoler afin d'officialiser le tout. Le ministre des Travaux publics, Michael Fortier, aurait fait une priorité de ce dossier. On n'a toutefois pas voulu confirmer la nouvelle du côté de son bureau. Il a été impossible de joindre un membre de l'organisation du Grand Prix hier. Cette nouvelle tombe sans doute à point pour le Grand Prix de Montréal car, la semaine dernière, Bernie Ecclestone, un Britannique, a menacé de retirer le Grand Prix d'Angleterre en raison de la désuétude des installations. Le Grand Prix des États-Unis a, quant à lui, déjà été rayé du calendrier de la formule 1 en 2008. Le gouvernement provincial pourrait également annoncer sa participation à ce projet. Cette année, le Grand Prix du Canada aura lieu du 6 au 8 juin. http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2008/02/20080213-102902.html
  3. Depuis hier matin, une «petite» grue en monte une grande sur Peel (côté est de la chaussée) au coin de la Gauchetière. Le seul édifice dans le secteur qui nécessite un équipement de cet ampleur serait le Château Champlain. J'ai vérifié sur le net pour savoir s'il y avait des informations à ce sujet mais rien, si ce n'est l'avis de fermeture de la ville de Montréal. En savez-vous quelque chose? http://www.destinationcentreville.com/fr/nouvelles/fermeture-partielle-de-la-rue-peel-du-21-au-25-janvier-2016
  4. L'hotel Delta Centre-Ville serait transformé en résidences étudiantes... Fort probablement peu abordables! Article en anglais... http://www.montrealgazette.com/business/Campus+Crest+buys+Delta+Centre+Ville+hotel/8634370/story.html
  5. Miska

    L'Arsenal

    La galerie René Blouin songe à s'y établir Jérôme Delgado 16 décembre 2010 Arts visuels Un complexe d'art contemporain verra le jour au printemps sur le bord du canal de Lachine, dans Griffintown. Le projet du 2000, rue William, à l'est du marché Atwater, n'est pour l'instant qu'à l'étape de chantier de sa première phase. Mais déjà les rêves les plus fous parlent de cette ancienne usine comme de la première pierre du Chelsea montréalais. Si l'ensemble se concrétise, le lieu serait le plus vaste en ville, cinq fois plus grand que la Parisian Laundry ou la Fonderie Darling. Piloté par un collectionneur averti, l'homme d'affaires et avocat de formation Pierre Trahan, le projet aurait conquis René Blouin, qui gère depuis presque un quart de siècle une des galeries les plus réputées au Canada. Le milieu de l'art contemporain aurait été emballé et a séduit des diffuseurs comme le centre Optica. «À un moment, on disait que tout le 5e étage du Belgo s'en allait là», dit Pierre-François Ouellette, qui, lui, assure que sa galerie restera rue Sainte-Catherine. Bien sûr, on n'en est pas là, voir disparaître le Belgo. Dans cette première phase de 36 000 pieds carrés qui comprend un hangar multifonctionnel, seules les galeries Division (propriété de Trahan) et René Blouin ont une place assurée. Optica n'est plus dans les plans. La deuxième phase, qui dépend de l'achat du reste du bâtiment couvrant 45 000 pieds carrés, pourrait néanmoins les inclure, lui et d'autres. D'abord réticent à parler à un journaliste, Pierre Trahan reconnaît vouloir réunir galeries et centre d'artistes. Il investit «des millions» de dollars à rénover cette «carcasse» avec la contribution «d'architectes et d'ingénieurs de réputation», dont il n'a pas voulu révéler les noms. «C'est un projet personnel, dit-il. Je l'ai d'abord pensé pour montrer des collections privées. Puis pour propulser l'art contemporain à Montréal. L'endroit pourrait devenir le Petit Chelsea de Montréal. Ce serait le point central en ville.» Le lieu servira autant à la diffusion qu'à la tenue d'événements ponctuels. Pierre Trahan exposera sa propre collection, qui se nourrit autant dans les galeries québécoises qu'étrangères. Mais il veut aussi inviter ses similaires à le faire. «On pourrait organiser une rotation de collections privées. Les montrer au public, c'est mieux que de les cacher dans des "lockers". Pour moi, c'est un coup de pouce pour le milieu.» Il dit agir selon des intérêts nobles, pour «jouer un rôle éducatif et non pas pour faire de l'argent». Le financement viendra de la location des espaces. Il espère inaugurer le 1er mai 2011. René Blouin s'enthousiasme à l'idée de quitter le centre-ville et le Quartier des spectacles, où «on occulte le Musée d'art contemporain à chaque festival». Il demeure néanmoins sur ses gardes, tant qu'il n'a pas vu les plans finaux, attendus pour janvier. «Prudence, avertit-il. C'est un bijou qu'on a entre les mains. Il ne faut pas faire quelque chose de moche.» La hauteur des plafonds, le double de celle du Belgo, imposera d'autres manières de faire. On lui parle aussi d'espaces ouverts, qui lui font croire que la vieille formule du cube blanc ne s'appliquera plus. «Il faudra créer un nouveau genre de galerie. Mais il faut y aller avec finesse, pour que les artistes soient stimulés.» *** Collaborateur du Devoir
  6. brubru

    Pointe-du-Moulin

    Bonjour, Aujourd'hui j'ai fait un peu de photoshop sur le cas du silo no 5, voici le résultat Avant Après Crédit photo: http://lesbeautesdemontreal.wordpress.com Étapes de réalisation du projet: Démolition de tout les silos, sauf celui le plus récent Enlever tout les anciennes composantes qui servaient au silo Nouvelle utilisation : Observatoire Vue du toit: Crédit photo: http://www.havremontreal.qc.ca Je ne sais pas si ça serait mieux qu'il soit au béton ou peinturé d'un couleur... Je vais faire des plans du toit et du terrain. Le bas pourrait devenir la gare des trams !
  7. Bonjour à la communauté MtlUrb! Je vous présente ce soir le premier jet d'une vision personnelle pour l'entièreté de la Ville de Laval. Bien entendu, tout cela est sujet à modification et je suis totalement ouvert à vos commentaires/plaintes/insultes (pas trop des dernières, quand même!). Voici donc, sans plus attendre, le plan du Monorail lavallois, et je tenterai d'expliquer cette énormité par la suite. (Grande taille : ) Tous les quartiers, ou presque, sont reliés par leurs centres aux autres pôles de l'île. Les trois stations de métro sont connectées au réseau, de même qu'une gare de REM (Ste-Dorothée) et la gare Vimont. Le centre-ville est amplement desservi par trois stations de croisement et tous ses pôles sont reliés. J'ai tenté de prendre en compte, dans la mesure du possible, les usages des terrains actuels, en plus d'anticiper certains développements ou re-développements futurs. Pensons à une densification des Galeries Laval et du Centre Laval, justifiant la station Le Corbusier, et l'implantation d'un grand parc au nord des Résidences Soleil avec la station Trait-Carré. La station Val-des-Ruisseaux, dans l'est, anticipe le développement massif de l'est de l'île au sud de l'avenue Marcel-Villeneuve. Je pense également que la ligne rouge pourrait déboucher à proximité d'un futur quartier mixte, comprenant, pourquoi pas, le second hôpital dont Laval aurait besoin. Le monorail s'insère bien dans certaines emprises, comme au centre d'une autoroute, d'un boulevard (on est à Laval, ça tombe bien, il y en a plein), etc. Comme c'est une vision, certaines voies empruntées sont très boiteuses ou approximatives. Un monorail s'insérerait mal sur Des Laurentides, surtout au sud de Concorde, et un tramway pourrait être privilégié sur cet axe. Sinon, les technologies permettant à un monorail d'effectuer des virages brusques, nécessaires en milieu urbain, existent et seraient certainement compatibles avec la plupart des trajets imaginés. Pourquoi un monorail au lieu d'un tramway pour le reste? On est en emprise exclusive, donc le trafic est inexistant. On peut enjamber les obstacles, et donc facilement s'amener et se retirer d'un terre-plein de boulevard ou d'autoroute. On franchit sans problème les autoroutes, et cela permet du même coup de créer des passerelles piétonnes au-dessus des axes plus hostiles. J'ai également confiance qu'un bon monorail puisse atteindre une vitesse commerciale idéale, pour permettre de relier toutes les stations au métro en 30 minutes maximum. Le réseau peut être automatisé et les passages, fréquents. Un réseau électrique peut être silencieux et très éco-friendly. Il y a aussi une simple question esthétique, touristique et de rayonnement que j'ai voulu explorer dans cette vision. Réalisé à 100%, le réseau serait un des monorails les plus étendus au monde et comprendrait une quarantaine de stations à travers l'île. Le coût serait, bien entendu, aussi imposant que le réseau, mais dans le cas d'un monorail, ça dépend beaucoup de la technologie utilisée. Une estimation rapide me permet de croire que le réseau entier serait réalisable pour moins de 3 G$. C'est un réseau qui, à première vue, semble démesuré. N'oublions cependant pas qu'un tel projet peut se réaliser par phase, suivre le développement (assez intense!) de Laval et lui-même être un moteur de développement axé sur le transport en commun. À long terme, pour une ville qui frôlera le demi-million d'habitant, vaut mieux réfléchir maintenant. Les autobus ne répondent pas toujours à la demande et le métro, pour des coûts similaires, desservirait uniquement les pôles du centre-ville, et avec difficulté... Mais contribuerait, comme le monorail, à désengorger Montmorency une bonne fois pour toutes. Le monorail pourrait cependant remplacer ou côtoyer l'autobus dans les axes principaux, ce qui permettrait de redéployer la flotte de bus sur des trajets plus adaptés à la nouvelle réalité et mieux desservir les quartiers eux-mêmes (notamment en les connectant aux stations de monorail les plus proches). Ce n'est qu'une idée un peu farfelue, mais je tiens à ce qu'elle soit entendue, à défaut d'être concrétisée. Une partie de cette vision me servira notamment de projet scolaire sur la mobilité au centre-ville lavallois, spécifiquement (analyse de la connectivité des différents pôles par les stations illustrées dans l'encadré pointillé). Plus généralement, je souhaite, avec ce premier jet, faire réfléchir sur ce que Laval peut faire pour améliorer la mobilité au sein de la Ville, que ce soit pour les déplacements entre les quartiers que pour les liens avec les stations de métro, gares de train ou du futur REM. La technologie à employer peut aussi être matière à discussion. Je verrais bien des trains courts et légers, ou carrément des wagons suspendus fonctionnant avec, pourquoi pas, des damnés moteur-roues! Appelez-moi mégalomane (je le suis sûrement un peu! ), mais on a en ce moment un maire qui doit consulter des firmes pour analyser la faisabilité d'implanter une NAVETTE (simple autobus) gratuite quotidienne dans un circuit en boucle au CENTRE-VILLE... d'ici TROIS ANS! Je trouve cela frustrant. Et j'ai l'impression que ce n'est pas avec aussi peu d'ambition qu'on pourra développer Laval à son plein potentiel, et en faire une belle réussite, humaine et moderne, dans les 10-20 prochaines années. D'où, selon moi, la nécessité de discuter de plans d'envergure dès maintenant. Les Lavallois se sont doté d'une vision stratégique (très vague, je dirais), et la révision du schéma d'aménagement avance toujours. Au-delà des projets individuels (dont la qualité s'améliore d'année en année, selon moi!), il nous faudra quelque chose d'unique, et de commun, pour véritablement concrétiser le projet inachevé qu'est la Ville entière.
  8. Un projet de télécabine pour dynamiser le tourisme à Montréal La Presse La relance du centre-ville de Montréal passe-t-elle par une télécabine ? C'est du moins l'une des nombreuses idées que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) présentera ce soir lors de la consultation sur l'avenir du coeur de la métropole. Dans son mémoire qui sera déposé ce soir, la CCMM propose de prendre les grands moyens pour mettre en valeur le centre-ville en relançant le projet de télécabine Skylink, envisagé en 2009. Mais plutôt que de relier la Rive-Sud au Vieux-Montréal, la CCMM croit qu'il serait préférable de relier le parc Jean-Drapeau au mont Royal en traversant le quartier des affaires. « Cette initiative audacieuse aurait le mérite de donner une signature supplémentaire à Montréal », peut-on lire. «Le mont Royal n'est pas facilement accessible du centre-ville. Pour les touristes, son accès demeure nébuleux.» Michel Leblanc, président de la CCMM Le regroupement de gens d'affaires croit que l'aménagement d'un lien aérien sur les quatre kilomètres séparant le parc Jean-Drapeau du mont Royal représenterait à coup sûr un « produit touristique attrayant ». Elle cite en exemple la ville de Barcelone, qui est dotée d'un tel moyen de transport depuis 1931. Les téléphériques urbains ont gagné en popularité ces dernières années. Londres a inauguré un tel moyen de transport en 2012. Seulement en 2015, plus de 1,5 million de passagers ont ainsi franchi la Tamise. Quant à l'idée d'ouvrir davantage le centre-ville sur le fleuve, la CCMM appelle à la prudence. Elle se dit « favorable à l'amélioration des accès au fleuve, mais cela doit se faire sans nuire aux activités d'une industrie importante pour l'économie métropolitaine et sans compromettre la sécurité du transport de marchandises ». VIVRE, TRAVAILLER ET SE DIVERTIR Au-delà de cette audacieuse proposition de télécabine, la Chambre plaidera qu'il faut s'assurer que le centre-ville demeure un quartier où il fait bon vivre, travailler et se divertir. Michel Leblanc souligne que Montréal doit réussir à attirer - et à conserver - les jeunes familles, qui ont tendance à quitter le secteur lorsqu'elles ont des enfants. Maintenir une population élevée - et diversifiée - permettrait de garder les commerces en santé, dit en somme la CCMM. La CCMM souhaite d'ailleurs voir Montréal contribuer à la relance des artères commerciales du centre-ville, un « dossier très préoccupant ». «Il sera illusoire de viser à attirer des familles sans commerces de proximité, et ceux-ci se porteront d'autant mieux qu'il y aura davantage de familles dans le voisinage.» Extrait du mémoire de la CCMM L'organisation souscrit à l'idée de renforcer la rue Sainte-Catherine, mais prévient que cette relance ne doit pas se faire au détriment de Saint-Laurent et de Saint-Denis. « Leur situation est alarmante depuis plusieurs années. Jadis des artères branchées et incontournables, elles sont maintenant en situation de fragilité commerciale. Il faudra être attentif lors du renforcement de la rue Sainte-Catherine de ne pas créer un simple déplacement commercial. » « Le test devant nous, c'est, si un commerce de destination veut s'établir dans la région de Montréal, est-ce que, dès le premier jour, il serait prêt à s'établir au centre-ville ? Si on réussit ça, on aura réussi », estime Michel Leblanc. La CCMM propose également de miser sur une nouvelle tendance pour les grandes villes : l'industrie manufacturière légère. Il s'agit de la création et l'assemblage de petites pièces et de l'impression 3D. « Ce virage doit être entrepris afin de maintenir le dynamisme du secteur manufacturier et de stimuler l'économie de Montréal. Toute hausse de productivité manufacturière serait structurante pour la métropole et pour la vitalité du centre-ville. »
  9. http://ici.radio-canada.ca/regions/montreal/2016/09/26/007-gare-train-aeroport-montreal-trudeau-rem-servir-pas-caisse-trace-site.shtml
  10. Je suis à la recherche d'une nouvelle propriété à acheter à Montréal. Mes recherches m'ont récemment mené à Villeray. J'ai été fort surpris de voir que, malgré que le quartier semble plutôt loin de l'aéroport, le bruit des avions qui y circulent peut-être relativement dérangeant. J'hésite maintenant à poursuivre mes démarches dans ce quartier pour cette raison. Quelqu'un a une expérience personnel avec ce problème à Villeray ? Ou peut-être de l'information général sur les nuisances causées par les corridors aériens vers YUL ? Votre aide serait certainement des plus appréciées !
  11. Initialement pévu à Laval, la Cité du commerce international chinois sera finalement construite à Longueuil, sur deux terrains du boulevard Moïse-Vincent qui appartenaient à la ville (La Presse) *** ANCIEN ARTICLE via L'Écho de Laval : Un centre de commerce international chinois sur l’île Jésus? Le ciné-parc sera transformé en Chinatown Par Claude-André Mayrand Mercredi 27 novembre 2013 00:28:59 HNE Photo: Alarie Photos Une vue aérienne du ciné-parc, dont le terrain appartient au Groupe Montoni. C'est à cet endroit que prendrait forme le Chinatown lavallois EXCLUSIF-LAVAL - Une importante compagnie asiatique, Min Ying Holdings, projette de s’implanter sous peu à Laval dans un centre de commerce international qui sera entouré de centaines de résidences de luxe qui abriteront environ 1 000 familles chinoises fortunées. Le lobbyiste et ancien député fédéral Roger Pomerleau, qui travaille sur ce dossier depuis plusieurs mois, a confirmé les informations obtenues par L’Écho de Laval. Le terrain qui serait retenu est celui de l’ancien ciné-parc de Laval, situé en bordure de l’autoroute 15 et propriété du Groupe Montoni. Une autre entreprise chinoise, Mirabel International Trading Center (M.I.T.C), basée au Québec et fondée alors que le projet lorgnait l’aéroport de Mirabel, est aussi impliquée dans le projet de centre. L’arrivée du centre de commerce international chinois sera confirmée une fois que les derniers détails seront conclus avec le Groupe Montoni. Il a été possible d’apprendre que le projet était passé par le bureau d’Immigration Canada, qui a approuvé l’arrivée massive des Chinois au Québec. Le centre de commerce international lavallois serait une version réduite du Centre de commerce international de Yiwu, le «paradis des consommateurs», situé au sud de Shanghai. On y retrouve 62 000 kiosques qui présentent plus de 400 000 produits dont les prix de vente influencent les prix du marché partout dans le monde. «Il y aurait 1 000 entreprises chinoises qui viendraient s’établir au Québec pour faire du commerce directement ici en éliminant les intermédiaires, explique Roger Pomerleau. Ce serait comme un bureau des ventes, une vitrine pour présenter des produits. Toute la production serait faite en Chine.» Un quartier chinois lavallois? Autour du centre, un véritable quartier chinois de luxe prendrait forme. Des maisons à 800 000 $ et plus seraient érigées pour accueillir les entrepreneurs chinois et leurs familles. D’autres maisons déjà érigées à Laval pourraient aussi être achetées pour accueillir tout le monde si le terrain du Groupe Montoni n’est pas assez vaste. «Au départ, on se demandait si le réseau hôtelier lavallois avait la capacité d’accueillir le flux touristique qui serait causé par la présence de ce centre unique en Amérique du Nord, affirme une source au fait du dossier qui a requis l’anonymat. Des gens d’affaires de partout au Canada et aux États-Unis voyageraient à Laval pour conclure leurs ententes plutôt que de voyager jusqu’en Chine.» Les entrepreneurs chinois se seraient engagés à apprendre le français dans leur première année de résidence au Québec et à fournir un minimum de 1 000 emplois à la population locale. Le terrain idéal Le terrain de l’ancien ciné-parc est celui qui a le plus plu aux dirigeants de l’entreprise chinoise dans leurs recherches. «C’est pour trouver un terrain qu’on m’a approché en premier lieu, précise Roger Pomerleau. Nous avons visité une quinzaine de terrains de grande envergure.» L’ancienne usine Hyundai de Bromont, l’ancien terrain de l’hippodrome Blue Bonnets et un terrain de Ville Saint-Laurent ont été étudiés parmi ces 15 terrains. Au départ, un terrain de Vaudreuil-Dorion avait été retenu et l’information avait coulé dans les médias en octobre 2012. Les développements n’ont pas fonctionné pour ce terrain en raison des permissions environnementales requises qui étaient trop longues à obtenir. «Le dossier a évolué depuis et le terrain de l’ancien ciné-parc est celui qui leur a plu davantage en bout de ligne», précise M. Pomerleau. L’entreprise chinoise désirait un endroit pouvant accueillir un large stationnement pour le centre de commerce, facile d’accès par les transports en commun et situé près des aéroports. «Groupe Montoni s’est engagé à obtenir rapidement tous les permis requis», conclut M. Pomerleau. Le lobbysite parle d’un dossier très complexe, qui progresse lentement. «Ce sont des négociations très ardues. Il y a eu plusieurs offres et contre-offres.» Plusieurs appels ont été logés au Groupe Montoni afin de parler à Dario Montoni, qui n’a pas retourné nos appels. À lire également: Que fait Min Ying Holdings? Chinatown: Martin Cauchon et Jean Chrétien impliqués
  12. via la Voix Pop 15/01/2016 Mise à jour : 15 janvier 2016 | 13:06 Projet de 135 condos sur la rue Saint-Rémi Par André Desroches TC Media L'immeuble résidentiel de quatre étages serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l'on trouve présentement un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. André Desroches / TC Media Un projet résidentiel comptant 135 unités d’habitation, essentiellement des copropriétés et quelques logements sociaux, pourrait voir le jour sur la rue Saint-Rémi dans le quartier Saint-Henri. L’immeuble serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l’on trouve un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. Selon ce qu’a appris TC Media, il inclurait 14 logements sociaux et 14 logements abordables. Il s’agirait d’un bâtiment de quatre étages. Le règlement d’urbanisme de l’arrondissement du Sud-Ouest prévoit pour ce secteur des immeubles de 2 à 3 étages. Le projet, qui déroge à cette norme, pourrait faire l’objet d’un projet particulier de construction. La table de concertation Solidarité Saint-Henri a organisé deux rencontres en décembre et janvier pour présenter le projet aux résidents qui demeurent dans le Village des tanneries, là où le bâtiment serait érigé. Le Village des tanneries, cette petite enclave située à l’extrémité ouest de Saint-Henri, est délimité par les rues Cazelais, Saint-Rémi et Desnoyers et la voie ferrée. Opposition du POPIR Bien qu’il ne s’agisse pour le moment que d’une proposition préliminaire, le promoteur n’ayant déposé aucun projet formel à l’arrondissement, le POPIR-Comité Logement affiche d’emblée son opposition. «Notre mandat, c’est zéro condo», déclare Fred Burrill, organisateur communautaire au POPIR. C’est un non catégorique même si le projet prévoit l’inclusion de logements sociaux. «Nous ne sommes pas pour la construction de logements sociaux à n’importe quel prix», souligne M. Burrill. Selon le POPIR, ce type de développement résidentiel ne répond pas aux besoins des locataires de Saint-Henri, dont le revenu médian est de 25 395$. «Nous voulons le plus possible que le quartier demeure un quartier populaire», insiste Fred Burrill pour qui la multiplication de projets de condos ne fait qu’accélérer l’embourgeoisement du quartier. «Nous n’avons pas encore de position», indique pour sa part Shannon Franssen, coordonnatrice de Solidarité Saint-Henri. Le Comité aménagement de la table de concertation doit se réunir au début de février pour faire le point dans ce dossier.
  13. J'adore lire les histoires d'immigrations réussies, surtout dans notre ville. Et dieu sait qu'il y en a plusieurs. Le parcours d'un immigrant ou d'un réfugié n'est pas toujours facile mais lorsque le tout se ''termine'' bien et que les gens trouvent leur bonheur à Montréal alors cela me fait un grand plaisir. Je lis de plus en plus de ce genre d'histoire alors j'ai pensé qu'il serait bien de les partager ici.
  14. Projet Wanklyn Illustration fournie par le Fonds immobilier de solidarité FTQ Quadrilatère formé des rues Wanklyn, Jean-Milot et des Aublats, à l'ouest de la route 138. Potentiel d'environ 700 unités en copropriété, de différentes typologies Propriétaire du terrain: Le Fonds immobilier de solidarité FTQ. Ce dernier est à la recherche d'un partenaire, en tant que promoteur du projet. Design urbain: Daniel Arbour&Associés, membre du Groupe IBI Deux entreprises industrielles occupaient autrefois l'immense terrain de 507,400 pieds carrés. Une des deux usines désaffectées a déjà été démolie. Le projet, qui en est encore à une étape préliminaire, devrait être soumis à une consultation publique. Le futur quartier serait entouré d'arbres. Au centre, un petit parc serait aménagé. Il serait particulièrement bien situé, à proximité de la gare LaSalle et de l'ancienne emprise de la voie ferrée du CP, qui devrait devenir un lien vert et traverser l'arrondissement pour relier la gare à la station de métro Angrignon. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201011/17/01-4343631-onze-projets-a-lasalle.php
  15. Cher monsieur Coderre en ce qui concerne les réfugiés: Question qualité prix c'est pas mal mieux a Toronto.En plus le federal payent 80% de leurs salaires. Ton copain Dorais va etre la seulement 3 mois ouaip pas fort tant qu'a y etre il ne serait pas la et ca ne changerai pas grand chose. http://www.lapresse.ca/actualites/201512/11/01-4930118-refugies-quatre-employes-a-toronto-pour-le-prix-dun-a-montreal.php Problemes majeurs ici au Quebec les immigrants ne restent pas ici. Pas de jobs pour eux. On leur compliquent la vie pour obtenir un permis de conduire. On leur bloque le chemin pour les jobs avec les ordres professionnel qui creer de la rareté artificiel de main d'oeuvre.
  16. http://www.lapresse.ca/sports/hockey/201511/04/01-4917485-classique-heritage-la-lnh-reluque-le-parc-jean-drapeau.php Classique Héritage: la LNH reluque le parc Jean-Drapeau Publié le 05 novembre 2015 à 05h00 | Mis à jour à 10h53 Le futur amphithéâtre naturel de l'île Sainte-Hélène (à droite sur l'image) pourrait être l'endroit idéal pour présenter un match en plein air à Montréal. La Ligue nationale de hockey est ouverte à l'idée d'un match présenté en plein air au parc Jean-Drapeau, selon des informations obtenues par La Presse. Une source bien placée du circuit a confirmé à La Presse que la Ligue pourrait «possiblement» choisir de présenter un match en plein air au parc Jean-Drapeau, là où un nouvel amphithéâtre naturel de 65 000 places doit être construit sous peu. La LNH cherche depuis des années déjà à présenter une Classique héritage, le pendant canadien de la Classique hivernale, à Montréal. La direction du Canadien, le propriétaire Geoff Molson en tête, a aussi maintes fois exprimé son désir de présenter un tel match. Mais l'absence d'un stade adéquat, répondant aux critères exigés par les dirigeants du circuit Bettman, n'a jamais permis au projet d'aller plus loin. L'annonce récente concernant le projet d'amphithéâtre naturel au parc Jean-Drapeau vient toutefois changer la donne dans ce dossier. Le projet, au coût de 70,4 millions de dollars, ne prévoit pas l'installation de gradins permanents sur les lieux, mais selon François Cartier, directeur communications-marketing et programmation de la Société du parc Jean-Drapeau, il serait envisageable d'y installer des gradins temporaires pour la tenue d'une partie de hockey en plein air. «Ce serait possible de le faire pour un match», a-t-il répondu. Délai de construction La présentation d'une rencontre du Canadien sous le ciel montréalais n'est toutefois pas pour tout de suite. Au mieux, le Canadien et la LNH pourraient tenter d'y parvenir pour la saison 2018-2019, quand le projet de l'amphithéâtre au parc Jean-Drapeau devrait être achevé. En attendant, Montréal ne compte sur aucun autre stade qui répond aux critères de la LNH quant à la présentation de matchs en plein air. Rappelons que la Ligue exige, entre autres, un stade d'au moins 40 000 places afin de pouvoir couvrir les frais liés à la présentation d'une telle rencontre, ce qui exclut les domiciles respectifs des Alouettes et de l'Impact. Le Stade olympique n'est pas non plus une possibilité pour un tel événement. La Classique héritage a été présentée trois fois au Canada depuis son inauguration, en novembre 2003 à Edmonton. Calgary et Vancouver ont également présenté le match en question, et le Canadien y a pris part à deux reprises. Enthousiasme La possibilité d'un tel match à Montréal emballe déjà certains membres du Canadien, qui vont vivre une expérience similaire le 1er janvier à Boston dans le cadre de la traditionnelle Classique hivernale, qui sera disputée contre les Bruins à Foxboro, dans le stade des Patriots de la Nouvelle-Angleterre. «Ce serait excellent si ça pouvait arriver à Montréal, a lancé l'attaquant du Canadien Dale Weise. Je n'ai pas encore eu la chance de prendre part à un tel match, celui du 1er janvier à Boston sera mon premier. Mais pour moi, l'important, c'est toute la fébrilité qui entoure ce genre de match: le nombre de gens que l'on pourrait y attirer, les retombées économiques, tout ça, c'est excellent pour la Ligue. Et c'est excellent pour les fans, même pour ceux qui ne sont peut-être pas des immenses fans de hockey. Un match comme ça ici, ce serait incroyable. Je suis sûr que ce serait présenté à guichets fermés.»
  17. Peut-être que certains d'entre vous ont remarqué que le 2020 University se faisait "retaper" un peu! Changement de fenêtre jusqu'à maintenant, mais mes sources à l'IA (les proprios) m'ont dit qu'il y aurait de plus gros changements à venir. Ils voudraient fermer la galerie marchande au niveau du Métro McGill. La terrasse serait complètement refaite. La base donnant sur Maisonneuve serait complètement transformée (vitrée, je crois), s'ouvrant à la rue et accueillant de nouveaux commerces. Voilà les changements, jusqu'à maintenant : Avant (vitres noires) - Après (vitres blanches)
  18. source : The Huffington post Construire de hauts immeubles sans faire d'ombre? C'est possible. C'est en tout cas ce qu'ont annoncé des architectes qui auraient trouvé la solution avec leur projet "No Shadow", rapportent nos confrères du HuffPost américain. Découvrez-le dans la vidéo ci-dessus (en anglais). Des gratte-ciels de plus en plus hauts envahissent nos villes. Mais aussi beaux soient-ils, ils posent problème à cause des ombres qu'ils émettent. Et quoi de plus déprimant que de travailler dans la pénombre? Pour remédier à ce problème, le cabinet américain d'architecture NBBJ, basé à Londres, pense avoir trouvé un moyen de le contourner. De quelle manière? En construisant des immeubles par paires, pour que la lumière du soleil reflète sur le sol, grâce à un jeu de miroirs. Une solution novatrice qui permettrait de réduire de 60% les ombres produites par les bâtiments, selon le porte-parole du cabinet. À l'aide d'une simulation par ordinateur, avec le logiciel "Rhinocéros", les concepteurs du projet montrent qu'il faut que les deux tours soient construites face à face pour que cela fonctionne. Les reflets du soleil sur le premier édifice couvrent alors dans le même temps l'ombre de l'autre immeuble. Et inversement. Au final, cela permettrait aux deux buildings d'avoir du soleil tout au long de la journée. Et ce quelque soit la position de celui-ci. "La relation entre le soleil et les ombres a été appliquée à celle entre les deux immeubles", a expliqué Christian Coop, le chef de projet, au site américain Wired. Mais pas d'inquiétude quant à la lumière réfléchie. Elle ne serait pas nuisible pour les piétons. Et ne fera fondre aucune voiture. Une lumière inoffensive pour les piétons Pour le Dr Philip Oldfield, de l'Université de Nottingham, ce qui est "formidable à propos de ce projet, c'est l'accent mis sur la forme et la hauteur du bâtiment", confie-t-il au Telegraph. Qui contribuent à "créer un espace confortable au niveau sol", puisque cela fournirait plus de soleil aux piétons. Le projet serait une véritable délivrance pour la ville de Londres qui devrait en effet accueillir environ 250 nouveaux buildings dans les prochaines années. Et il concernerait également les futurs gratte-ciel de Google, d'Amazon, de Microsoft mais aussi de l'Université de Cambridge.
  19. Comme urbania à récemment fait un manifeste d'idées pour Montréal. J'ajoute ici mes propres idées. Certaines sont originales. Certaines sont des idées qui proviennent d'ailleurs, que j'ai repris et modifier. Certaines sont peut-être farfelue, mais on a bien le droit de rêver. Un musée dans la ville sousterraine. Comme le festival Art-Sousterrain, mais à l’année longue. On pourrait faire contribuer tous les musées montréalais qui ont plein d’oeuvres d’art qui dorment dans leur entrepôt car ils n’ont pas assez d’espace d’exposition. Faisons aussi participer les universités, les organismes gouvernementaux, les entreprises privées, et les citoyens qui veulent prêter une partie de leur collection. Ce ne serait pas juste pour les œuvres d’art, mai aussi des artéfacts archeologiques, des antiquités, objets de colletction, des vieilles voitures, un vieux tramway, n’importe quoi d’intéressant à exposer. Reconstruire la pyramide inversée du pavillion du Canada sur l’ile Notre-Dame. La pyramide inversée, le Katimavik, était un des éléments les plus marquants d’Expo 67. Pourquoi ne pas le reconstruire ? Une tour sur le Mont-Royal. Je ne voudrais pas d’une tour sur le Mont-Royal, cela le dénaturerait. Mais le Mont-Royal est déjà dénaturé par l’horrible antenne de Radio-Canada, plus haute et plus visible que la croix. Alors si on est obligé de l’avoir on pourrait au moins la transformer en quelque chose de moins laid, une tour ou une sculpture. Le musée du Louvre à Montréal. Le Louvre a des antennes à Lens en France et à Dubai. Pourquoi pas une à Montréal. On a peut-être pas les milliards que Dubai a payé pour l’avoir, mais justement ils ont été critiqués pour avoir ainsi ‘vendu’ les oeuvres et le prestige du musée. Ce serait l’occasion de montrer qu’ils ne font pas ça juste pour l’argent. Et puis on a une relation spéciale avec la France. Ils ont donné la statue de la liberté aux Etats-Unis, nous on a rien eu de semblable. Et puis le silo #5 serait l’endroit idéal pour mettre le musée. Une equipe de football de la NFL a Montréal. Oubliez le baseball, ça ne fonctionnera jamais à Montréal, il y a trop de match pour soutenir l’interêt pendant une saison. Montréal est une ville de hockey, mais 16 jours par année ça pourrait devenir une ville complètement football. Dans un stade olympique avec un toit ouvrant, imaginer les tailgates sur l’esplanade du parc olympique, l’ambiance, la fébrilité serait incroyable. Un parc aquatique intérieur avec une plage intérieure. Nous sommes chanceux d’avoir ce vaste territoire qu’est le Québec, relativement à l’abri des catastrophes naturelles (séisme, ouragan, tsunami), qui n’a pas eu de guerre depuis très très longtemps. Malgré ça, les québecois rêvent tous ou presque d’une seule chose, aller dans le sud en hiver. Je trouve ça pathétique, mais on pourrait facilement offrir la sensation d’être en été pour une journée avec une plage intérieure et des glissades d’eau. Un parc sur le toit du palais des congres. Les toits des édifices sont en général sous-utilisés à mon avis. Celui du palais des congrès est immense. Voir ce projet de BIG pour savoir à quoi ça pourrait ressembler.
  20. http://online.wsj.com/news/articles/SB10001424052702303834304579519620095674460 Ça serait un rêve pour moi d'avoir un jour un penthouse dans un édifice en hauteur comme cela! Les vues de celui à Chicago sont complètement malades.
  21. Je mets ce thread ici par sarcasme, images et graphiques en suivant ce lien: http://m.radio-canada.ca/regions/montreal/2014/12/04/007-stade-olympique-toit-demantelement-scenario-pret-rio.shtml MONTRÉAL Jeudi 4 décembre 2014 17h25 Faute d'engagement gouvernemental et compte tenu du vieillissement de la structure, la Régie des installations olympiques (RIO) s'est préparée au démantèlement du toit actuel. L'organisme confirme par écrit avoir « documenté les procédures » pour enlever le toit Birdair et revenir à une structure ouverte. Stade olympique : le scénario du démantèlement du toit est prêt Faute d'engagement gouvernemental et compte tenu du vieillissement de la structure, la Régie des installations olympiques (RIO) s'est préparée au démantèlement du toit actuel. L'organisme confirme par écrit avoir « documenté les procédures » pour enlever le toit Birdair et revenir à une structure ouverte. Un texte de Davide Gentile La RIO a refusé de communiquer les détails de ce plan. Après avoir ouvert la porte à une entrevue avec ICI Radio-Canada, l'organisme a finalement refusé de commenter le dossier. Mais une analyse interne faite en 2012 détaille ce scénario de « démantèlement complet de la structure actuelle ». Un processus complexe et coûteux Enlever le toit du stade ramènerait la structure à l'état dans lequel il était entre 1976 et 1987. Selon les informations obtenues par Radio-Canada la perspective d'un stade sans toit serait « réalisable » sur le plan technique. L'analyse faite en 2012 chiffre les coûts du démantèlement du toit à 6,2 millions de dollars. Préparer le stade sans toit à affronter les affres de l'hiver coûterait 13 millions de plus. C'est qu'avec la construction du toit en 1988 des installations de drainage, d'alimentation électrique et de télécommunication ont été ajoutées. On pense aussi au système de gicleurs, tableaux indicateurs et systèmes de son installés depuis. Roger Taillibert, l'architecte du stade, estime qu'on ne peut pas laisser la structure ouverte très longtemps. « Bien sûr, il y a toutes les canalisations électriques, celles d'incendie, etc. Alors, donc, il faut faire un travail d'hivernation », dit-il. Si la RIO décide ou est forcée de démanteler le toit en raison de sa dégradation, il faudra chaque automne répéter cette procédure qui serait qualifiée de « contraignante ». Sans toit, le stade vieillirait rapidement Selon nos informations, l'analyse de la RIO conclut qu'enlever le toit provoquerait un vieillissement prématuré de la structure du stade. Conçue avec un toit, la coquille de béton ne serait pas faite pour faire face à la pluie, la neige et les nombreux cycles de gel et dégel. Cela rapprocherait la date à laquelle « une réfection majeure » de sa structure serait nécessaire pour conserver son intégrité. Roger Taillibert est favorable à un démantèlement, parce qu'il estime le toit Birdair « trop lourd ». Mais, selon lui, il faut éviter la précipitation. « Puisqu'on l'a installé il y a plus de 10 ans, ça peut attendre encore un an, qu'on puisse parallèlement préparer un toit qui serait monté immédiatement ». Roger Taillibert rêve toujours d'un nouveau toit Selon nos informations, la RIO aurait mis une croix sur un toit rétractable et favoriserait un toit fixe en toile, moins cher. Une éventualité qui engendrerait des coûts d'au moins 150 millions. Roger Taillibert parle d'un scénario « inconcevable ». Il rêve toujours d'un toit rétractable et aurait échafaudé de nouveaux plans. Il évoque une proposition « revue, avec des matériaux nouveaux et des mécaniques qui ont beaucoup évolué depuis 40 ans ». Le poids serait moindre et les coûts aussi. L'architecte, toujours passionné par son stade à plus de 80 ans, estime que la facture d'un toit rétractable serait aujourd'hui d'environ 150 millions. Cependant, des sources québécoises proches du dossier parlent plutôt d'une facture de 300 millions pour un toit rétractable. Trop tard pour créer un pôle majeur? Faute d'un toit pleinement fonctionnel, le stade semble avoir perdu de son attrait au fil des ans. « Beaucoup d'événements qui avaient lieu au stade ont migré au Palais des congrès ou au Centre Bell », affirme Romain Roult, professeur au département de culture et de tourisme à l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Selon lui, le remplacement du toit serait indéniablement un « préambule important » au réaménagement du Parc olympique. Un toit viable augmenterait nécessairement le nombre d'événements, mais il est difficile de prédire l'ampleur de la hausse. Selon M. Roult, une relance sérieuse passerait aussi par le réaménagement des loges, des sièges et des aires de restauration, qui datent des années 80. La saga du stade aurait eu un impact sur la compétitivité de Montréal. Faute de disponibilité d'un très grand espace ouvert, comme le stade pendant les mois d'hiver, « Montréal a perdu du terrain face à des villes comme Toronto ou Chicago » pour l'organisation de grandes foires, ajoute M. Roult. Le secteur privé quitte le navire? En août 2013, des philanthropes de la région de Montréal avaient annoncé leur intention d'investir dans la relance du pôle olympique. Mais en raison de la stagnation du dossier du remplacement du toit, certains auraient abandonné l'aventure. Le gouvernement n'a pas voulu confirmer ou commenter quoi que ce soit dans ce dossier. Seule bonne nouvelle dans cette saga : la RIO a identifié des zones de fragilité sur la toile. Les réparations qui ont suivi ont permis de faire diminuer le nombre de déchirures, pour la première fois. Tous droits réservés © Société Radio-Canada 2014 CBC/Radio-Canada
  22. Read more: http://www.journaldequebec.com/2014/10/01/un-chef-quebecois-etoile
  23. il y a des milliers de gratte ciel a travers le monde...Si vous n en n aviez qu UN (1) a nommer, lequel serait il? Gratte ciel de plus de 150m, hors ceux qui sont en construction... Merci de mettre une photo pour illustration et un commentaire pourquoi ce choix...
  24. J'ai essayé de formuler ma question autrement mais elle ne rentre pas complètement dans la case du titre. L'idée est de savoir si vous seriez favorable à l'installation d'un ascenseur pour vélos et personnes, reliant le boulevard René-Lévesque au Pont Jacques-Cartier. J'ai exposé brièvement l'idée dans le fil sur le développement des terrains de Radio-Canada, mais je pense qu'elle pourrait faire l'objet de discussions à part. Pourquoi alors ne pas profiter de l'engouement du vélo et des bixis, en installant un ascenseur qui relierait un des trottoirs du pont (ou les deux par une passerelle sous le pont) à la piste cyclable qui longe déjà le boulevard René-Lévesque. Ainsi on connecterait le réseau cyclable à la rive sud, aux iles et au réseau de la voie maritime du St-Laurent à peu de frais. Un énorme incitatif autant pour le vélo dans l'offre du transport en commun que pour le loisir et les déplacements en ville. Cet ascenseur aurait l'avantage d'éviter un long et pénible détour, serait plus sécuritaire et couperait la longueur du trajet pour relier les deux rives. Il rendrait en plus le circuit plus accessible aux randonneurs du dimanche qui hésitent devant les pentes et se privent de pistes cyclables parmi les plus belle de la région. Même sur le plan touristique ce serait un avantage certain puisqu'il attirerait une clientèle jeune et dynamique qui recherchent ce genre d'expériences en voyage. Finalement il favoriserait un circuit en boucle à travers les iles pour revenir au centre-ville par le pont de la Concorde. On pourrait en faire la promotion dans les brochures, louer des vélos de randonnée près de l'ascenseur et même organiser des activités connexes. On trouve ce genre d'ascenseurs dans certaines villes (dont Barcelone) et qui relient deux quartiers voisins mais situés à des hauteurs différentes. Ce pourrait être fait en PPP et on pourrait demander un tarif raisonnable et même l'inclure dans la CAM et aussi dans le bixi. Je n'y vois que des avantages et une excellente opportunité d'offrir en même temps un magnifique point de vue sur la ville sans autre formalité.
  25. Le MTQ projète de compléter l'élargissement du pont MGR-Langlois (en réalité quatre structures), de telle sorte que la r-201 entre l'A-20 (Coteau) et l'A-30 (future A-530) serait entièrement à quatre voies. Le tout évidemment sujet aux consultations et évaluations environnementales "habituelles". Je n'ai rien contre! Toutefois, je me sens intrigué, considérant le futur pont de l'A-30 qui rejoindra l'A-20 approximativement au km 29, soit 15 km en aval de l'échangeur A-20/r-201. Comme le premier sera à péage, et non le second, je me demande bien si une telle amélioration de la r-201 ne nuirait pas à la rentabilité du péage sur l'A-30, et partant, si des oppositions "obscures" au projet du MTQ (pour la r-201) ne surgiront pas un de ces jours. Chose certaine, pour la ville de S. de Valleyfield, une r-201 améliorée serait un gros avantage (surtout pour la liason vers Toronto); dans le cas contraire (ie. pas d'élargissement de la r-201), la future A-30, même avec son "appendice" A-530, pourrait avoir des effets mitigés (des pour et des contre) pour Valleyfield.
×
×
  • Créer...