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  1. J'ai trouvé cet intéressant article dans Le Devoir de samedi, un texte qui nous fait réfléchir et qui est empreint de bon sens. Étant moi-même un adepte de ce sport magnifique qu'est le ski de fond et qui me garde effectivement en meilleure forme. Je déplore moi aussi la cherté du billet d'accès qui ne cesse d'augmenter, généralement beaucoup plus vite que l'inflation elle-même. Pourtant les coûts d'entretien sont minimes, et ce sport comme bien d'autres, devrait être encouragé par une tarification minimum, qui inviterait à une pratique régulière de la part de la population en général. On pourrait même dire que le ski de fond remplace avantageusement le vélo en hiver, et que plusieurs parcours cyclables locaux se transforment en réseau plus ou moins bien entretenus. Je reprendrai d'ailleurs la suggestion de l'auteur de cet article qui voudrait que le tarif soit équivalent au taux horaire du salaire minimum, démocratisant ainsi une activité où c'est finalement l'individu qui fait l'essentiel de l'effort, à tout point de vue. Dans une société où les coûts de la santé augmentent plus vite que nos capacités de payer, il est aberrant de ne pas encourager les sports de nature qui contribuent justement à nous garder plus longtemps à l'abri du besoin des services médicaux. Les bienfaits qu'on en retire sont nombreux, non seulement sur le plan physique, mais aussi moral en agissant comme un anti-stress puissant. Notre belle société moderne est remplie de contradictions. Tout concours vers une forme de sédentarité dès le plus jeune âge. Et pour les autres, les sentiers de tout terrain et de motoneiges sont plus développés et plus fréquentés que l'ensemble des sentiers dits de sports de nature, avec bien sûr la pollution et le gaspillage énergétique qui vient avec. Voici le lien et le texte de l'article en question: http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/400812/le-ski-de-fond-bientot-un-sport-de-riches Le ski de fond, bientôt un sport de riches? Dans les parcs du Québec, la tarification est en passe de devenir abusive 22 février 2014 | André Leduc - Saint-Lambert | Actualités en société Le Devoir En cette période d’Olympiques, il serait temps de ramener plus de monde sur les sentiers. Je suis un skieur de fond depuis plus de 37 ans. J’ai connu l’époque du ski de fond accessible et populaire, car c’était gratuit. J’ai commencé à skier au mont Saint-Bruno, le parc était très fréquenté et on faisait la queue pour y entrer. Depuis l’an 2000, on a imposé une tarification d’entrée dans les parcs, j’avais écrit une lettre de protestation contre cette mesure en insistant sur le fait qu’on priverait un bon nombre de citoyens d’un bien public. On pénalise ainsi le citoyen qui veut prendre soin de sa santé. Depuis quelques années, le tarif d’entrée est passé de 3,50 $ à 6,50 $/personne/jour. L’abonnement annuel, de 16 $ à 30 $. La tarification pour le ski de fond est de 13,48 $/personne/jour, plus taxes. Ça commence à faire cher pour faire 1 heure de ski… L’abonnement de saison pour le ski de fond est de 161 $ plus taxes. Le tarif a augmenté constamment depuis l’an 2000. C’est maintenant plus cher qu’un abonnement de ski alpin. On peut en obtenir pour entre 100 $ et 160 $ en semaine. Je concède que l’abonnement de ski donne accès à tous les centres de ski de fond SEPAQ au Québec, mais on voit rarement un Montréalais utiliser le parc d’Aiguebelle en Abitibi, ou le parc du Mont-Mégantic en semaine. Le skieur de fond avec une conscience écologique ne fera pas 400 km de voiture pour skier 20 km. Si on regarde sur le site de la SEPAQ les conditions de neige, on remarque souvent que les sentiers n’ont pas été retracés, on invoque diverses raisons (bris de matériel, neige attendue, pluie, glace, etc.) justifiant le report de l’entretien. Je crains que le ski de fond ne devienne un sport accessible qu’aux nantis, alors que tous les citoyens auraient intérêt à pratiquer ce sport (le plus complet qui soit). Des études scientifiques ont prouvé que le skieur de fond de plus de 80 ans a une meilleure forme physique générale que le coureur du même âge. Vivre vieux et en forme serait-il réservé à une minorité ? Une pratique assidue d’une activité physique améliore la santé générale, réduisant ainsi le recours aux services de santé. En Norvège, le ski de fond est un moyen de transport entre les différents villages. Les pistes sont entretenues. Il serait difficile d’en faire autant en Montérégie vu nos hivers capricieux. On devrait développer une politique d’accessibilité à ce sport pour la population en général. Réduire les tarifs d’entrée serait un premier pas dans ce sens. J’ai remarqué que la fréquentation du parc du Mont-Saint-Bruno avait diminué cette année. D’habitude, les fins de semaine, les terrains de stationnement étaient remplis, on faisait même la queue au poste de péage. Je n’ai vu rien de tel cet hiver. En semaine aussi, c’est moins plein. J’ai eu des commentaires sur la cherté de l’activité. Je n’ai pu que confirmer que c’était vrai. Ces commentaires venaient de professionnels (donc des nantis) qui hésitaient à payer aussi cher pour une activité d’une aussi courte durée (le skieur moyen passe environ 1 heure 15/randonnée). Quand j’étais plus jeune, je mesurais l’accessibilité d’une activité à son tarif horaire : si le tarif horaire était supérieur au salaire minimum c’était trop cher payer. Du ski de fond à 19 $. C’est presque le double du salaire minimum à 10 $. Si on compare en plus au ski alpin, il n’y a pas de remontée mécanique en ski de fond, ni de personnel de soutien pour assurer la sécurité des remontées. Le seul coût, c’est l’entretien mécanique des sentiers. À Bromont, en ski alpin, on peut trouver des tarifs saisonniers qui varient de 100 $ à 300 $ environ. On a développé une politique de bas tarifs et la station s’est développée. Comment se fait-il qu’on puisse offrir du ski à 10 $/jour au parc de la Mauricie ainsi qu’à celui de la Gatineau, de même qu’à Craftsbury au Vermont (là-bas, on fait de la neige pour allonger la saison de ski) ? En cette période d’Olympiques, il serait temps de ramener plus de monde sur les sentiers, de profiter du bel hiver enneigé. Dans les années 1970, une des retombées des Olympiques fut de faire prendre conscience au Québécois moyen qu’il devait se remettre en forme. Le Suédois de 60 ans était en meilleure forme que le Québécois de 25 ans. On a vu nos compatriotes fréquenter les centres de ski de fond, se mettre au jogging, bref, s’activer. Quarante ans plus tard, il n’est pas trop tard pour se rattraper. Une diminution des tarifs serait un pas dans la bonne direction.
  2. Quelqu'un serait au courant des projets Accès Condo à venir qui ne sont pas encore annoncés officiellement ? Normalement les projets du genre sont en construction bien avant leurs annonces... Merci
  3. Il va bien falloir se décider et aller de l'avant là dessus.... L'indépendance énergétique Québécoise serait déjà un gros plus pour notre économie. Publié le 08 janvier 2014 à 07h48 | Mis à jour à 07h48 Onze personnalités recommandent au gouvernement du Québec d'autoriser l'exploration des ressources pétrolières et réclament un débat à ce sujet. Elles ont publié mercredi un manifeste qui soutient que le Québec peut améliorer sa situation économique en réduisant sa dépendance au pétrole étranger. Le manifeste est signé, entre autres, par Bernard Landry, Monique Jérôme-Forget, Éric Forest, Joseph Facal et Françoise Bertrand. Le groupe soutient que le pétrole pourrait permettre aux Québécois de s'enrichir collectivement et estime que ce serait une erreur de ne pas en profiter. Le collectif fait valoir que le Québec envoie bon an mal an entre 11 et 14 milliards de dollars à l'étranger pour ses importations de pétrole. Le groupe de signataires insiste sur l'importance de réaliser l'exploration et l'exploitation du pétrole québécois en observant de hauts standards de protection de l'environnement. Il juge qu'il faut viser à minimiser l'impact sur l'environnement en mettant en place un cadre d'exploitation rigoureux.
  4. À la lumière de ce document daté de novembre 2013 et déposé à l'OCPM, la petite tour (à construire ?) sur la portion bureaux du Centre Bell serait toujours dans les plans de CF : http://ocpm.qc.ca/sites/ocpm.qc.ca/files/pdf/P72/3b.pdf 14 étages, 140 unités résidentielles
  5. Un autre bon article qui met les choses en perspective en pesant sagement le pour et le contre du mouvement syndicaliste. D'ailleurs trop de gens sautent aux conclusions en méprisant les syndicats, comme si la société irait mieux sans leur précieuse contribution. C'est indéniablement faire preuve d'aveuglement volontaire et d'ignorance que de porter un jugement aussi sévère, sur une institution encore aussi indispensable aujourd'hui, qu'au début de la lutte des travailleurs. Rien n'est parfait dans ce bas-monde, et sans contre-poids, tous les pouvoirs finissent par abuser, sous une forme ou une autre d'injustice. Ainsi tout comme en physique: pour trouver et conserver l'équilibre, tout mouvement a besoin d'une force contraire et équivalente qui s'applique de manière aussi constante. Publié le 07 janvier 2014 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 L'année du syndicalisme? Ma Presse Brigitte Breton Le Soleil (Québec) C'est le temps des résolutions, et le mouvement syndical québécois a de l'ambition. La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) veut faire de 2014 l'année du syndicalisme. La Fédération des travailleurs du Québec souhaite pour sa part que le monde syndical se mobilise pour défendre ses valeurs face au régime conservateur et aux attaques de la droite. Elles ne manqueront pas de boulot. Les organisations syndicales ont en effet une pente à remonter, et leur perte de popularité a débuté bien avant que la commission Charbonneau étale les comportements douteux et mafieux d'un Jocelyn Dupuis à la direction de la FTQ-Construction et l'apathie du président de la FTQ, Michel Arsenault, pour y mettre fin. Les belles années des syndicats sont derrière eux. Les citoyens, y compris ceux qui sont syndiqués, sont plus individualistes et croient moins en la force de l'action regroupée. Dans la tête de certains, les syndicats sont des empêcheurs de tourner en rond, des créatures qui n'agissent que par intérêts corporatistes. Ils sont un frein à leurs ambitions et à leur rémunération personnelles, un fardeau pour les gouvernements, les municipalités et les employeurs, et une cotisation syndicale ne représente qu'une inutile ponction sur leur chèque de paye. Pour eux, si les syndicats n'existaient pas, tout irait tellement mieux dans la société. Les taxes et les impôts seraient forcément plus bas, la dispensation des services plus efficace et moins onéreuse. Le travail de chacun, du simple manoeuvre au professionnel, serait évidemment payé à sa juste valeur, sans arbitraire, et pas un employeur ne rognerait sur les conditions de travail de ses employés pour verser plus de dividendes aux actionnaires ou pour hausser davantage sa propre rémunération. Jamais, jamais. Que les 100 patrons les mieux payés au Canada gagnent 171 fois le salaire moyen de leurs employés serait chose du passé. Tout le monde serait content comme au Walmart. Et quelle est cette prétention que le rôle des organisations syndicales va au-delà de la négociation d'un contrat de travail? Les gouvernements et les employeurs n'avaient pas besoin de l'avis des syndicats pour fixer un salaire minimum, des normes minimales de travail ou des règles strictes en matière de santé et de sécurité au travail. Pas plus que leur intervention n'était nécessaire pour faire adopter une loi sur l'équité salariale, prévoir des congés parentaux ou pour bâtir un réseau de services de garde de qualité. Ils auraient accordé tout ça aux Québécoises et aux Québécois, syndiqués ou non, sans la pression des porte-parole syndicaux. Il faut une méconnaissance des gains sociaux acquis grâce à la contribution et à la détermination des syndicalistes, ou vouloir surfer sur le sentiment antisyndical ambiant, pour croire que tout ira mieux pour M. et Mme Tout-le-Monde si les méchants syndicats étaient condamnés au mutisme et à l'inaction. Bien sûr, il faut viser un équilibre. Trop de pouvoir aux syndicats n'est pas plus sain que trop de pouvoir au patronat. Il faut tenter de concilier les intérêts de chacune des parties, s'ajuster de part et d'autre aux besoins changeants, aux préoccupations de la main-d'oeuvre d'aujourd'hui, aux transformations du marché du travail et aux effets de la mondialisation. Les organisations syndicales ont raison de s'inquiéter et de se mobiliser contre certaines mesures préconisées par le gouvernement Harper. Accusant les syndicats de défendre des intérêts corporatistes, celui-ci réplique qu'il continuera «à maintenir les taxes et les impôts bas pour les contribuables, ainsi qu'à prioriser l'économie et la création d'emplois». Comme si l'objectif des syndicats était de nuire à l'économie, de perdre des jobs et d'alourdir le fardeau fiscal de leurs membres. Les conservateurs veulent plutôt réduire au silence les voix critiques et discordantes.
  6. Les rues pietonnieres sont un lien extraordinaire entre la ville et ses habitants. On veut faire revenir les familles en Centre ville, la rue pietonne en serait un élément attractif mais dans quel secteur de la ville? Quelle serait la rue ou vous voudriez entendre plus les pas des passants que les moteurs des voitures?
  7. I'm looking for funny or memorable ENGAGEMENT RING stories. If you think you know one, post it here or send me a message, I would greatly appreciate it! Je recherche des histoires drôles ou mémorables de bagues de fiançailles. Si vous en connaissez une, envoyez moi un message ou simplement affichez là ici. Ce serait grandement apprécié!
  8. Beau projet ! Ce serait en construction. Quelqu'un peut confirmer ? Ressource intermédiaire Fleury 3955 Fleury, Montréal
  9. Un complexe de luxe pour financer le retour du baseball à Montréal Pour financer le retour du baseball majeur à Montréal, un groupe secret d'hommes d'affaires envisage de construire un hôtel cinq étoiles, une boîte de nuit et une salle de spectacles. L'immense projet baptisé «le Littoral de Montréal» serait situé dans l'arrondissement du Sud-Ouest entre les ponts Champlain et Victoria. Destinées à «une clientèle ciblée», ses installations de luxe viseraient à financer le sport amateur ainsi que la construction d'un stade de baseball. Le projet est porté par l'avocat de Québec Guy Bertrand. Son désir de doter Montréal d'infrastructures sportives est connu depuis des années. Mais l'aventure est entourée de mystère. On ignore qui sont les bailleurs de fonds, même si l'avocat parle «d'investisseurs orientaux et internationaux». Guy Bertrand vient toutefois de mettre à jour son inscription au registre des lobbyistes, et de nouveaux éléments ont émergé, dont l'idée de financer un stade de baseball par un complexe de luxe. «Avant de se lancer dans la construction d'un stade et d'installations pour le sport amateur, il faut un projet rentable», a expliqué Guy Bertrand en entrevue. Selon l'inscription au registre, le complexe serait érigé en bordure du fleuve en cinq temps. Il comprendrait en plus du complexe de luxe, un stade de baseball, un centre sportif, un anneau de glace et peut-être un vélodrome. Le centre sportif serait doté de plateaux pour «par exemple le taekwondo, le judo, le ping-pong, note Me Bertrand. On a déjà été en contact avec des fédérations sportives et le but n'est pas de dédoubler ce qui se fait au Parc olympique, mais d'offrir des infrastructures qui n'existent pas ou qui doivent être améliorées.» La consultation du registre permet par ailleurs de découvrir l'identité d'au moins un des partenaires de Me Bertrand, la firme Scéno Plus. Cette entreprise de design montréalaise a notamment mené plusieurs projets d'envergure dans des casinos américains, comme la conception de salles de spectacles. Encore bien du travail à faire Mais le Littoral de Montréal est encore loin d'une réalisation. Et le retour du baseball à Montréal n'est pas pour demain la veille. Guy Bertrand précise ne pas avoir contacté le «Projet baseball Montréal» de Warren Cromartie. Le site envisagé est par ailleurs lourdement contaminé. Sa décontamination coûterait 100 millions de dollars. Me Bertrand entend d'ailleurs faire des démarches auprès du gouvernement fédéral pour obtenir des fonds publics, précisant que le reste du projet sera porté par des investisseurs privés. «La décontamination de ce secteur sera un enjeu important», reconnaît le maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, qui dit avoir vaguement entendu parler du projet de Guy Bertrand, même si aucune démarche formelle n'a été entreprise, selon lui. «Je suis maire de l'arrondissement depuis 2009 et j'ai vu passer trois projets de stade de baseball sur ce site», note-t-il. Guy Bertrand n'est pas pressé. "Ça fait cinq ans qu'on travaille sur ce projet et c'est du sérieux. On va y aller tranquillement, assure-t-il. Que ceux qui veulent se complaire dans la morosité s'y complaisent. Moi, je pense qu'il faut ramener le baseball à Montréal et peut-être même les Jeux olympiques. C'est possible.» http://www.lapresse.ca/sports/baseball/201308/23/01-4682468-un-complexe-de-luxe-pour-financer-le-retour-du-baseball-a-montreal.php
  10. je ne crois pas que cet article à été publier encore... quand même intéressant. La souveraineté ne serait pas « mauvaise » pour le Québec Le 29 juin 2012 à 14h11 | ARGENTMise à jour le 21 février 2013 à 15h53 Olivier Bourque Argent Un chercheur de l'Institut Fraser croit que la souveraineté ne serait pas mauvaise économiquement pour le Québec. Il compare la province à la Slovaquie qui a vécu un véritable essor après l'éclatement de la Tchécoslovaquie en 1989. « Ça pourrait avoir un effet positif sur le Québec. En tout cas, ça ne serait sûrement pas la crise que certains anticipent. Je crois même que les liens avec les autres Canadiens seraient plus chaleureux », a souligné le chercheur Filip Palda, appelé à commenter un sondage soulignant que la moitié des Canadiens sont peu inquiets quant à une possible séparation. Cette position semble surprenante pour l'Institut Fraser. Leur dernière étude, qui date d'environ 20 ans, indique que les coûts de la séparation « seraient très élevés pour le Québec » et qu'un tort serait porté « aux deux économies ». « L'étude de l'institut a été publiée à une autre époque lorsque la situation était différente », a souligné M. Palda qui a confirmé que cette nouvelle position était la sienne. Il a ainsi fait une comparaison avec la Slovaquie qui est devenue un pays en 1989 après la Révolution de velours. « Avant que ça devienne un pays, nous étions pessimistes. Il était isolé, sans aucune nouvelle technologie, et recevait une péréquation. Mais les Slovaques ont généré un taux de croissance impressionnant à un rythme spectaculaire », a souligné le chercheur. « Je ne crois pas que le Québec souffrirait s'il perdait sa péréquation (NDLR: une balance de 4,4 milliards $). Pour le Québec, c'est un mauvais encouragement pour les politiciens », a-t-il poursuivi. M. Palda croit que l'avenir sera aux petites nations qui pourront tirer profit du nouveau contexte économique. « L'appartenance à un grand pays est en train de disparaître. Car la technologie permet d'avoir accès à de grands marchés. […] Avant, le commerce s'effectuait Est-Ouest au Canada, mais maintenant c'est Nord-Sud », a-t-il poursuivi. L'IREC… en accord Fait inusité, cette position rejoint celle de l'Institut de recherche en économie contemporaine (IREC), jugée à gauche sur l'échiquier économique. Le chercheur Robert Laplante croit que la comparaison avec la Slovaquie n'est toutefois pas tout à fait correcte. « Le Québec a davantage de ressources et de moyens. Mais il est vrai que la Slovaquie a profité de sa séparation pour s'ouvrir économiquement », a-t-il souligné. M. Laplante croit surtout que la fédération canadienne actuelle est très loin d'aider l'économie québécoise. « On le voit très bien, a-t-il soutenu. Les sables bitumineux font hausser le dollar canadien et cela fait mal à nos exportations. Donc pour le Québec et même l'Ontario, ce n'est pas du tout viable économiquement de rester dans le Canada. » Mais comment le Québec pourrait-il aller combler le montant de péréquation qu'il reçoit chaque année? Le chercheur croit que la province pourrait couper dans le gras. « Bien sûr, c'est préoccupant. Mais il faut savoir qu'on pourrait très bien équilibrer nos finances publiques en éliminant les doublons. Il y en a beaucoup actuellement. Et les dépenses ne seraient pas les mêmes dans un Québec souverain. Pas sûr qu'on se payerait des F-35 à 30 milliards $ », a-t-il constaté. Imprimer http://argent.canoe.ca/nouvelles/affaires/souverainete-mauvaise-quebec-29062012
  11. Salut tout le monde, Je veux imprimer des cartes d'affaires pour MTLURB que je voudrais par la suite distribuer aux membres qui en font la demande (certains d'entre vous visitent des chantiers, bureaux de ventes, veulent faire connaitre le site à des amis, etc etc). Est-ce qu'il y aurais parmi vous quelqu'un qui serait intéressé à en faire le design? Si vous êtes intéressés svp me laisser savoir ici, ou par message privé. Le site va assumer tous les frais de l'impression des cartes. Merci d'avance, Malek
  12. Bonjour, En lisant le journal Métro le 11 juin dernier, je suis tombé sur un article qui parlait d'un projet de canal au Nicaragua pour relier l'Atlantique au Pacifique. Si ça se réalisait, ça serait vraiment un méga projet. http://journalmetro.com/monde/326112/le-nicaragua-veut-creuser-son-propre-canal/ Voici également d'autres informations. http://www.latribune.fr/entreprises-finance/services/transport-logistique/20130614trib000770333/le-nicaragua-veut-construire-un-canal-pour-concurrencer-celui-de-panama.html http://fr.wikipedia.org/wiki/Projet_de_canal_du_Nicaragua
  13. 2017 est l'année du 375ème de Montréal, une année importante qui ouvre la porte à plusieurs réalisations d'envergure, qui pourraient enrichir et embellir cette ville au potentiel encore trop peu exploité. Je ne veux pas ici proposer un sondage en limitant les choix de projets, mais plutôt faire un appel de propositions, dont chacun rêve personnellement pour sa ville. L'occasion est belle de laisser aller votre imagination et vos fantaisies, tout est permis pour un cadeau d'anniversaire. Alors qu'est-ce qu'on offre à une ville comme Montréal, qui serait significatif et durable?
  14. Déménageons le Port de Montréal, dit Gaétan Frigon GAÉTAN FRIGON . les affaires.com . 13-09-2011 Tags : Économie, Montréal, Port de Montréal BLOGUE. Il y a quelques semaines, j’ai fait une balade en bateau sur le St-Laurent, à partir du Vieux-Port jusqu’à Contrecoeur. Outre les paysages bien de chez-nous, notamment dans les Iles de Boucherville et du coté sud du fleuve, ce qui m’a le plus frappé, ce sont les kilomètre de rives utilisés par le Port de Montréal. Quoiqu’il soit difficile en bateau d’estimer une distance terrestre, il m’a semblé que l’ensemble des installations du port s’étalait sur environ 15 kilomètres. J’ai trouvé cela aberrant et me suis mis à rêver d’un nouveau Montréal qui reprendrait possession, au nom de sa population et de son développement futur, de ces rives qui ont certes une valeur immobilière inestimable et qui pourraient sortir Montréal du pétrin financier dans lequel elle se trouve. Montréal a cette chance inouïe d’être située le long de ce majestueux fleuve St-Laurent qui est au cœur de l’histoire du Québec. Il est vrai que le Port de Montréal est d’une importance capitale pour le développement et le commerce de la grande région métropolitaine, mais est-il nécessaire qu’il soit situé presqu’en plein cœur de la ville alors qu’il pourrait très bien déménager ses pénates plus à l’Est près de Contrecoeur où il a déjà des installations importantes? Contrairement à d’autres grandes villes à travers la planète qui doivent vivre avec un port impossible à déménager, faute d’espace, le Port de Montréal ne manquerait pas d’espace plus à l’Est pour, non seulement remplacer ses installations actuelles mais aussi pour assurer son expansion future. Imaginons alors un projet de société basé sur le déménagement du Port de Montréal. Je n’ai évidemment pas fait d’études et je ne connais pas les problèmes qui seraient associés à un tel déménagement, mais il m’a semblé que cela serait possible s’il y avait une volonté politique d’agir en ce sens. Et cette volonté politique devrait commencer par une décision du gouvernement fédéral de contribuer directement au renouveau de Montréal en lui remettant la propriété de tous les terrains appartenant au Port de Montréal en autant que la Ville de Montréal accepte en retour de défrayer les coûts associés à son déménagement plus à l’Est. Admettons d’ailleurs qu’une telle décision pourrait être populaire au point de donner aux conservateurs un certain nombre de sièges à Montréal, là où tous leurs efforts ont échoués dans le passé. Il est connu que l’administration du port a toujours refusé de considérer un déménagement potentiel, même partiel. Elle tient historiquement à chaque pouce carré de terrain comme à la prunelle de ses yeux. Je me souviens très bien de son objection presque maladive, il y a une dizaine d’années, à conserver le quai Bickerdike que Loto-Québec aurait aimé utiliser pour un développement majeur qui aurait changé le visage du Vieux-Port. Personne ne va me faire croire que le traitement des conteneurs doit se faire en plein cœur de la ville. Il serait important pour l’administration du Port de Montréal de regarder plus loin que leurs intérêts à court et moyen terme et d’accepter d’être les artisans d’un nouveau Montréal. Dans le fonds, l’idéal serait que l’un des candidats à la mairie, lors des prochaines élections municipales, axe son programme autour du déménagement du port et du développement de Montréal sur les terrains actuels. Ce serait là le premier grand projet structurant à voir le jour à Montréal depuis l’Expo 67 et les Jeux Olympiques de 1976. Le déménagement du Port de Montréal serait quelque chose de permanent qui changerait le visage de la métropole du Québec pour le très long terme. Ce serait plus que de simples souvenirs d’autant plus que la vente ou la location des terrains actuels rapporterait pas mal plus que les coûts associés au déménagement. Y-a-t’il quelqu’un pour prendre le flambeau…..?... http://www.lesaffaires.com/blogues/gaetan-frigon/dmnageons-le-port-de-montral-dit-gatan-frigon/534782
  15. Je vais continuer à partager avec vous les p'tits projets de mon quartier! Le 277 Mont-Royal Est, en construction depuis quelques mois déjà! Un beau petit projet qui s'intègre plutôt bien dans son environnement! Je me demandais pendant longtemps quel serait le revêtement, puisqu'il y a un petit jeu avec les fenêtres. Finalement : Grosses plaques de pierres grises! C'est très bien. Un commerce au RDC vient d'ouvrir. Un resto/take-out libanais! Incroyablement bon et peu cher!
  16. Un musée plus grand? Photo: Jean-Claude Dufresne/©Le Québec en images, CCDMD Église Erskine & American (image modifiée) Le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) met en marche son projet, caressé depuis longtemps, de transformer l'église Erskine & American en pavillon d'art canadien, rapporte La Presse. Inoccupé depuis 2004, l'édifice patrimonial du 19e siècle jouxte le pavillon Michal et Renata Hornstein du MBAM. L'arrondissement de Ville-Marie se prononce vendredi sur le projet, lit-on dans le quotidien. La nef serait convertie en salle de concert, de réception et de conférence. Selon l'arrondissement, le Musée souhaite aussi démolir la partie arrière de l'église. Un bâtiment « de facture contemporaine » serait érigé à la place et abriterait des salles d'exposition. L'étude du projet en est à sa première étape. L'arrondissement doit d'abord modifier son plan d'urbanisme. Le projet ne pourra aller de l'avant que lorsque le conseil municipal de Montréal l'aura adopté. Des détails la semaine prochaine Le MBAM doit tenir une conférence de presse la semaine prochaine afin de donner plus de détails sur le projet. L'institution de la rue Sherbrooke tente depuis des années d'intégrer l'ancienne église Erskine & American dans son giron muséal. Divers scénarios ont avorté, faute de financement. En 2004, un projet estimé à 12 millions n'avait notamment pas vu le jour faute de financement, rappelle La Presse. Rien n'a été précisé sur le montage financier du projet actuel.
  17. walker

    L'HOMME de Calder

    La sculpture "L'Homme" d'Alexander Calder, sur le site d'EXPO 67, serait, d'apres la revue MONTREAL centre-ville (printemps 2008), " la plus importante oeuvre d'art de la collection municipale d'art de la ville de Montreal, mais aussi la plus grande oeuvre de valeur au Canada ". Sa valeur serait evaluee a 50 millions de dollars americains (Quoiqu'avec la valeur du dollar americain, on ne sait plus si c'est un " plus value" )
  18. Je n'avais jamais entendu parlé de ce projet j'ai vu cela en regardant les photos d'histoires de Montreal qui sont présentées près de la Place Jacques-Cartier dans le Vieux-Port. Il y a déja eu un projet d'une autoroute à la fin des années 50 qui aurait traversée d'est en ouest le Vieux-Port , dans l'emprise actuelle de la rue de la Commune. Selon la pancarte, des citoyens et un urbaniste de la Ville se serait objecter et le projet n'a jamais eu lieu. Quand meme fascinant de voir qu'on était prêt à tout détruire le patrimoine et couper l'accès au port pratiquement.... Désolé pour la photo de cellulaire
  19. Encore un nouveau projet. C'est la phase 2 de ce projet terminé en 2008 http://mtlurb.com/forums/showthread.php/1538-Tour-Deguire-phase-1-9-%C3%A9tages Je ne suis pas certain du nombre d'étages, mais d'après les évocations que j'ai vu, ça serait autour de 12 ou 15 étages. Site actuel : http://maps.google.ca/maps?f=q&source=s_q&hl=fr&geocode=&q=acadie,+montr%C3%A9al&sll=46.800059,-65.302734&sspn=4.203876,11.634521&ie=UTF8&hq=&hnear=Boulevard+de+l%27Acadie,+Montr%C3%A9al,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec&ll=45.529375,-73.680024&spn=0.001056,0.00284&t=h&z=19&layer=c&cbll=45.52916,-73.679274&panoid=Oa2UXLhKoW02f3AI0XQJnQ&cbp=12,325.67,,0,-0.01
  20. Je ne suis pas du genre a faire les guerres Anglo-Franco (J'en ai vraiment rien a faire). Mais l'article m'a frappe quand meme. Par Normand Lester | La chronique de Normand Lester – lun. 2 avr. 2012 René Lévesque les appelait les «Rhodésiens blancs», allusion aux colons britanniques d’Afrique australe. Depuis la conquête, ils constituent la classe dominante à Montréal où une bonne partie des rues, des places et des lieux publics portent des noms destinés à rappeler leur suprématie sur leurs serviteurs francophones: de Nelson à Wellington en passant par Victoria. Ce sont eux qui constituèrent les féroces milices supplétives du général Colborne qui mirent à feu et à sang les fermes de la Rive-Sud de Montréal durant les troubles de 1837. Et encore eux, en 1849, à l’incitation de la Gazette, qui incendièrent le Parlement canadien qui siégeait à Montréal pour voter des compensations pour leur pillage de la décennie précédente. Not for those damn french bastards, never! Le gouverneur, Lord Elgin, doit se réfugier sur l’île Sainte-Hélène de crainte d’être lynché par les «montrealers». On aurait pu penser que la Révolution tranquille et l’enseignement généralisé du français dans les écoles anglaises depuis quarante ans avaient eu raison de la mentalité «Race des Seigneurs» des jeunes Anglo-Montréalais. Un sondage de L’actualité nous démontre qu’il n’en est rien. Les jeunes anglos se considèrent toujours comme membres d’une élite privilégiée qui impose sa culture et sa langue supérieure à la masse inculte et ignorante que constitue la majorité francophone déclinante de Montréal. Le français, c’est bon pour les campagnes environnantes. Not for Montreal. It’s ours! Pour eux, à Montréal, aujourd’hui comme au XIXe siècle, c’est en anglais que ça se passe et que ça doit se passer. Oui, mais que voulez-vous, l’anglais est la langue mondiale de communication! Est-ce que cela fait que la langue de communication est moins l’italien à Rome, l’allemand à Berlin ou l’espagnol à Madrid? Non, bien sûr. C’est différent à Montréal parce que nos Anglais savent à qui ils ont affaire. À l’un des peuples les plus serviles de la planète. Et ils en profitent. Cette méprisable soumission obséquieuse qui est notre caractéristique nationale est facile à vérifier au quotidien. Allez dans n’importe quel endroit public à Montréal. Constatez l’aplatventrisme des francophones de souche qui passent à l’anglais «par politesse» dès qu’ils détectent un quelconque accent chez leur interlocuteur. Mettez ça sur le compte de notre complexe d’infériorité congénital. Heureusement, les nouveaux arrivants francophones ne sont pas affligés de cette tare et ils se comportent plus dignement que nous dans ces situations. Au cours des dernières décennies, malgré la loi 101, le sentiment de supériorité linguistique des jeunes anglophones a été renforcé par les décisions de la Cour Suprême du Canada (dominée par les Anglos et des lèche-bottines choisis par eux) invalidant certaines de ses clauses essentielles et par l’action du Parti libéral du Québec, une formation qui n’existe que pour assurer la pérennité de leur domination. Il serait vraiment révélateur que L’actualité fasse des sondages semblables sur les jeunes des autres groupes majoritairement apparentés aux Anglos-Montréalais comme les Grecs, les Juifs et les Italiens. Mais je suis parfaitement conscient que cela ne se fera jamais. Les résultats obtenus seraient sans doute encore plus désolants. Le mépris affiché pour le français et les francophones serait politiquement explosif au point de rendre le sondage impubliable. Que faire? Pas grand-chose n’est possible pour le moment. La majorité francophone, en plus d’être lâche et de se complaire à servir de tapis, est divisée politiquement. Tant que le Parti libéral reste au pouvoir, il va tout faire pour défendre les intérêts de ses bailleurs de fonds et électeurs qui lui accordent un soutien aussi massif qu’inconditionnel: les Anglos-ethniques, les vieux francophones ignorants, les affairistes magouilleurs et la mafia. C’est une combinaison dure à battre.
  21. Je suis tombé sur ce vidéo et je trouvais cela vraiment impressionnant. Qu'en pensez-vous ? Croyez-vous que cette vitesse de construction serait quelque chose de sécuritaire et réalisable dans notre environnement/climat ? http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2012/01/20120109-095626.html
  22. Un complexe de 400 boutiques imaginé à l’aérogare de Mirabel Un promoteur italien souhaite implanter un complexe de 400 magasins à l’ancienne aérogare de Mirabel, dans les Laurentides. Un promoteur italien souhaite implanter un complexe de 400 magasins à l’ancienne aérogare de Mirabel, dans les Laurentides. Grandprixone, une entreprise italienne qui se spécialise dans l’implantation de commerces de type « factory outlet », serait en pourparlers avec Aéroports de Montréal (ADM) depuis près d’un an déjà. D’ailleurs, un de ses dirigeants avait dévoilé les grandes lignes du projet le printemps dernier à un magazine italien, information qui n’avait toutefois pas été reprise au Québec. Grandprixone chercherait à implanter ses complexes à proximité de circuits de course automobile dans le monde, apprend-on. Dans le cas présent, on pense à la piste Gilles-Villeneuve à Montréal, mais également au circuit ICAR sur le tarmac de l’aéroport de Mirabel. Sur trois étages L’aérogare, qui offre environ 64 000 mètres carrés d’espaces, serait considérablement transformée pour accueillir des commerces et des activités récréotouristiques sur trois étages. Le niveau inférieur serait consacré au marché de l’automobile, le rez-de-chaussée abriterait des magasins d’usines de grandes marques dans le domaine de la mode, tandis que, sur la mezzanine, on trouverait des boutiques d’alimentation et des restaurants. L’ampleur de l’investissement n’est pas précisée. ADM n’a pas confirmé ces informations. Le directeur du Centre local de développement (CLD) de Mirabel, Jean-Luc Riopel, a dit ne pas en savoir beaucoup plus lui-même. « On ne les a jamais rencontrés », a-t-il indiqué en parlant des promoteurs, confirmant que ceux-ci ont pour l’instant limité leurs démarches à la compagnie aéroportuaire. Grandprixone ne serait pas la seule entreprise à avoir présenté de nouvelles propositions pour l’aérogare, mais elle jouirait d’une entente prioritaire avec ADM. « Ça semble des gens sérieux qui, jusqu’à présent, ont livré la marchandise », a ajouté M. Riopel, évoquant diverses études préalables. Prudence Le directeur du CLD est resté prudent et n’a pas caché pas avoir été échaudé dans le passé par de tels projets de grande envergure. Ce fut le cas avec le complexe récréotouristique Rêveport à l’aérogare et avec le méga centre commercial Lac Mirabel. « Ça fait dix ans qu’on travaille sur la nouvelle vocation de l’aérogare », a rappelé Jean-Luc Riopel. Le projet de Grandprixone émerge au même moment où un groupe d’investisseurs locaux, la famille Delorme-Robitaille, prépare la relance de l’ancien hôtel de l’aéroport, ainsi que la construction d’un centre de congrès et de deux patinoires intérieures sur le même site.
  23. Voici ma proposition pour le projet d'un nouveau pont champlain. Je suis en faveur de conserver le pont Champlain actuel. Nous sauvons sur les couts de démolition, et avec une nouvelle vocation plus faible en terme d'usure, la structure pourrait durer beaucoup plus longtemps. Le gros de mon plan serait de construire un nouveau pont à 8 voies en (presque) parallel au pont actuel. Le vieux pont Champlain serait utilisé pour supporter du transport en commun (autobus, métro, et possiblement covoiturage) Situation actuelle qui cause des embouteillages: Autoroute 10 (Brossard) - 4 voies de chaque bord Nouveau pont Champlain - 3 voies de chaque bord A-15/20 jusqu'à Turcot - 2 voies de chaque bord Futur: Autoroute 10 (Brossard) - 4 voies de chaque bord Nouveau pont Champlain - 4 voies de chaque bord A-15/20 jusqu'à Turcot - 3 voies de chaque bord De plus, en lien avec ma vision pour le metro 2100, le pont Champlain pourrait porter des voies de metro pour la ligne rouge. Voici alors mon plan: Commentaires? Suggestions? Don't go too rough on my foolish ideas... this one took hours to make!
  24. Fin de non-recevoir de citoyens au projet d'hippodrome à Laval Karim Benessaieh La Presse Après les organismes communautaires de Pointe-Saint-Charles, au tour des jeunes mères de Laval de partir en croisade contre un projet de Loto-Québec. Cette fois, c'est l'arrivée d'un hippodrome et d'un salon de jeu de 1300 appareils dans un secteur rural de Laval qui suscite la mobilisation générale. Le vaste champ à la croisée des autoroutes 440 et 13, à Sainte-Dorothée, dans un magnifique coin champêtre, est un des endroits privilégiés pour la construction d'un nouveau complexe de jeu baptisé Ludoplex. Et les résidants du coin, une dizaine de mères en tête, n'en veulent pas. Elles affirment avoir accumulé quelque 6500 signatures en guise de protestation. «Laissez-nous la nature, on est ici pour ça, lance Carole Poirier, une des trois leaders du mouvement. J'ai choisi cet endroit parce que c'était familial; je ne veux pas élever mes enfants dans le béton.» On n'a toujours aucune confirmation officielle de l'endroit choisi pour ce complexe. Tant du côté de Loto-Québec que du promoteur privé de l'hippodrome, Attractions hippiques, propriété du sénateur libéral Paul J. Massicotte, on se montre discret. Quatre emplacements avaient été identifiés l'automne dernier, à Boisbriand, à Blainville et à Laval. Les municipalités de Boisbriand et Blainville ont adopté en janvier dernier une résolution s'opposant fermement à l'arrivée de ce projet. Un des terrains lavallois, une immense carrière abandonnée près du palais de justice, serait nettement plus coûteux à aménager, une facture supplémentaire de près de 100 millions, selon le sénateur Massicotte. Restent les terres agricoles à Sainte-Dorothée, à l'intersection de deux axes routiers fréquentés. Rien pour le quartier Selon la fiche technique rendue publique par Loto-Québec, on offrira 1300 «positions de jeux» - essentiellement des appareils de loterie vidéo - et divers restaurants, bars et terrasse totalisant un millier de places. L'hippodrome sera quant à lui exploité par Attractions hippiques, qui gérera également les paris mutuels. L'achalandage serait de cinq à 6000 personnes par jour, le projet créerait 320 emplois dont 60 % à temps complet et le tout serait prêt fin 2008. L'investissement serait de 99 millions. Ces arguments n'ébranlent guère les opposantes. «On est inquiètes : un salon de jeu, ça amène une clientèle peu appréciée dans un quartier résidentiel, estime Marie-Claude Brouillette, la deuxième organisatrice. On aimerait bien avoir quelque chose qui correspond plus à nos valeurs.» Sainte-Dorothée, estime Carole Poirier, a besoin de bien des infrastructures avant de se doter d'un pareil complexe de jeu. «De l'espace pour nos écoles, une cité des jeunes, par exemple. Et on n'a même pas de piscine intérieure.» «Immoral» Les contestataires ont pris connaissance avec ironie des propos du sénateur Massicotte qui a précisé que Loto-Québec visait une clientèle «plus jeune» dans les hippodromes en leur offrant un divertissement à caractère familial. «C'est immoral», soutient Sonia Verreault, la troisième chef du groupe. «Quand j'entends cet argument familial, j'ai de la misère, ajoute Mme Poirier. L'enfant va se baigner dans la piscine pendant que son père va aller perdre l'argent du loyer, c'est ça qu'on veut?» La sortie en février dernier de 18 directions de la santé publique, qui qualifiaient de «situation préoccupante» la combinaison d'hippodromes et de salons de jeu, est venue confirmer leurs craintes. Pétition à la ministre Courchesne Après plus de deux mois de mobilisation, les trois jeunes mères - qui ont enrôlé près de 70 bénévoles - poseront aujourd'hui leur premier geste officiel. Leur pétition sera déposée au bureau de la députée du coin, la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, Michelle Courchesne. Il a été impossible de joindre cette dernière hier. Dans une entrevue il y a deux semaines au Devoir, Mme Courchesne a assuré ses électeurs de Sainte-Dorothée qu'elle se ferait l'«écho» de leur mécontentement. «On ne peut pas s'imaginer qu'un tel équipement vienne s'installer dans un quartier sans tenir compte de l'avis de la population. En 2007, c'est impensable.» Rendez-vous ensuite ce soir à l'assemblée municipale de Laval, où les opposants interpelleront le maire Gilles Vaillancourt. Et ensuite? «On va contacter les partis d'opposition, on va essayer de faire bouger ce gouvernement minoritaire, répond Carole Poirier. Dans Pointe-Saint-Charles, ils ont réussi.»
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