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  1. mardi 22 mai 2007 Les commerçants de l'avenue du Mont-Royal prennent le virage vert et tentent d'entraîner leur clientèle dans leur sillon. L'avenue commerciale deviendrait la première au Canada à se doter d'un plan de développement durable. La société de développement de l'avenue Mont-Royal lance une campagne d'achat local pour inciter les gens à faire leurs courses à pied, dans leur quartier, plutôt qu'en auto dans les banlieues. La campagne « Sur l'avenue, je fais mes courses à pied », sera expliquée dans un kiosque et des vidéos seront diffusées dans des établissements commerciaux. Le magasinage à pied et l'utilisation de sacs réutilisables seront encouragés. Une flotte de 20 vélos communautaires sera également mise à la disposition du public. Une mesure qui tombe pile avec la grève des employés d'entretien de la Société de transport de Montréal (STM). Les commerçants vendront aussi un sac de magasinage réutilisable. Autant de petits gestes qui, mis ensemble, peuvent apporter beaucoup à la vie de quartier, selon le directeur de la société de développement, Michel Depatie.
  2. Le conflit s'envenime Cimetière Notre-Dame-des-Neiges Une centaine d'employés du cimetière Notre-Dame-des-Neiges ont décidé à la toute dernière minute, lundi, de faire la grève. Une dizaine d'enterrements ont dû être annulés et les personnes en deuil ont dû rebrousser chemin. Les employés avaient décrété la semaine dernière qu'ils ne feraient plus de mises en terre les fins de semaine. En plus de ces moyens de pression, les employés laissent le cimetière sens dessus dessous depuis plusieurs semaines. Des déchets traînent sur les terrains et sur les routes, offrant un triste spectacle aux visiteurs. Les syndiqués se disent frustrés de voir les négociations de leur prochaine convention collective échouer. « On est en moyen de pression tant et aussi longtemps que ça ne sera pas réglé. Le cimetière ne sera pas beau. Ça va être un laisser-aller de plus en plus », affirme Sylvain Leblanc, opérateur de machinerie lourde au Cimetière Notre-Dame-des-Neiges. Dans leur nouvelle convention collective, les employés du cimetière demandent principalement trois choses: * Une semaine de travail de quatre jours * Un régime de retraite à prestations déterminées avec possibilité de rachat * Un minimum de 36 semaines de travail pour les saisonniers En attendant, plusieurs personnes dans le deuil souhaitent le retour des employés du cimetière pour enterrer un des leurs. La situation inquiète aussi plusieurs salons funéraires, pour qui une éventuelle grève illimitée signifierait une baisse d'activités. Le syndicat et l'administration du cimetière n'ont pas voulu commenter la situation. Les employés manifesteront mardi matin au centre-ville pour signifier leur mécontentement. --------------------- Je trouve cela scandaleux, dégueulasse, des gens dans le deuil incapable de faire le dernier adieux a leurs proches tout cela pcq une gang de bébé gatés syndiqués veulent toujours avoir plus. De plus ils laissent le cimetiere dans un état pitoyable, ce qui rend la visite des gens qui vont visiter le cimetiere moribonde et non agréable du tout. Je trouve que c'est vraiment pousser la chose trop loin, et ca va meme a manquer de respect envers tout ceux qui sont inhumés a cete endroit. Je suis habituellement pas pro-syndicat loin de la, mais cela ca dépasse les bornes dans leur attitude et geste.
  3. vendredi 04 mai 2007 Le Devoir L'artiste Roadsworth est choisi pour insuffler un peu de vie à cet espace déserté. Trop souvent désertée par les passants, la place Émilie-Gamelin tentera de se refaire une beauté dès cet été grâce aux talents de l'artiste du pochoir Roadsworth, retenu par l'arrondissement du centre-ville pour transformer ce lieu de passage majeur en échiquier géant. L'oeuvre, qui sera inaugurée à la fin du mois de juin, sera réalisée dans la foulée du programme de financement d'art public Vill'Art Marie, créé l'an dernier par le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, pour revitaliser plusieurs places stratégiques au coeur de la métropole. Mais l'idée d'insuffler un peu de vie à la place Émilie-Gamelin émane aussi du groupe Dada Diffusion Art actuel, qui privilégie l'occupation des espaces publics par les artistes. La directrice de cet organisme, France Parenteau, qui se désolait de voir un si bel espace déserté, s'est mise en tête d'inoculer un sentiment d'appartenance chez les Montréalais qui traversent chaque jour cette vaste place, plus occupée par les coups de vent et les pigeons que par les citoyens. «La place Émilie-Gamelin est au carrefour de la Grande Bibliothèque, de l'UQAM, du métro Berri-UQAM et de la gare centrale. C'est donc un des lieux de passage les plus fréquentés de la ville. Mais les passants la contournent et ne se l'approprient pas. On veut en faire une place vivante, une vitrine pour les arts», a expliqué hier Mme Parenteau, qui a soumis l'idée à la Ville. L'idée sera donc de créer sur le sol un échiquier géant, portant le sceau de Roadsworth, dont les pochoirs créatifs ont envahi l'an dernier la place faisant face au Centre des congrès de Montréal. L'oeuvre sera assortie de pièces d'échecs géantes, qui inviteront, trois jours par semaine les promeneurs à s'arrêter pour tenter un échec et mat. La place Émilie-Gamelin, qui fut longtemps un parc de stationnement moche, a été réaménagée en parc à l'occasion des festivités du 350e anniversaire de Montréal et retapée à l'aide de dalles de pierre, de plans inclinés en gazon et de terrasses. Mais même les trois oeuvres de Melvin Charney qui y sont installées n'ont jamais réussi à y faire s'arrêter les Montréalais, de sorte que l'endroit est devenu le point de chute de plusieurs itinérants. «Avec les étudiants de l'UQAM, les usagers de la bibliothèque et les tours à bureaux autour, il y a ici un potentiel fameux pour y créer une vitrine des arts. Ça pourrait devenir un genre de Washington Square», souhaite France Parenteau. Ce projet s'accompagnera aussi d'une remise en beauté de la place de l'Espoir, un petit parc créé rue Sainte-Catherine à l'angle de la rue Panet, au début des années 1990, en hommage aux victimes du VIH. Lui aussi désaffecté, le parc sera requinqué par des murales temporaires réalisées par des artistes de l'UQAM, ainsi que par Roadsworth qui viendra y apporter son grain de sel. Le coût total du projet s'élève à 80 000 $, dont 30 000 $ proviendront du fonds d'art public de l'arrondissement de Ville-Marie, financé par les nouvelles amendes imposées pour assurer la propreté et les surplus provenant de la vente de permis. En effet, depuis que le gouvernement Harper a réduit de 1 % la TPS, la Ville a laissé inchangé le coût de tous ses permis et verse l'excédent, soit l'équivalent de 30 000 $ par année, dans son nouveau fonds pour l'art public.
  4. La Ville de Montréal participera au tiers du financement public total du projet du Centre culturel NCC et investira un montant maximum de 500 000 $ dès 2007 afin de procéder au démarrage du projet MONTREAL, le 27 avril - La Ville de Montréal est fière de participer au financement du projet de restauration, de rénovation et de redéploiement du Centre culturel NCC/Charles H. Este, situé dans l'arrondissement du Sud-Ouest. Le comité exécutif de la Ville de Montréal s'est engagé à investir le tiers du financement public nécessaire à la réalisation de ce projet, en fonction de la participation financière des gouvernements du Québec et du Canada. La Ville injectera un montant maximal de 500 000 $ en 2007. Selon un protocole à établir conjointement avec l'organisme, cette somme sera dédiée aux travaux de restauration, de rénovation et de redéploiement du centre. "L'administration de la Ville de Montréal soutient ce projet depuis plusieurs années. Il est significatif pour l'histoire de la population noire anglophone montréalaise. Le projet de restauration, de rénovation et de redéploiement se réalisera d'ici la fin 2008, et les nombreuses consultations réalisées au préalable permettent d'affirmer que ce sera un projet rassembleur et grandement attendu par la communauté", a déclaré le maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay. "Nous sommes heureux de constater que les nombreux efforts consentis par les membres du conseil d'administration du Centre culturel NCC/Charles H. Este, par l'arrondissement du Sud-Ouest et par la Ville de Montréal, et ce, depuis plusieurs années, reçoivent l'appui du comité exécutif", a ajouté la mairesse de l'arrondissement du Sud-Ouest, madame Jacqueline Montpetit. La petite histoire d'un grand projet A l'origine une église méthodiste, l'édifice hébergeant le Centre culturel NCC/Charles H. Este, anciennement le Centre communautaire des Noirs, a été construit au début des années 1900 dans le quartier de la petite Bourgogne. Le Centre culturel NCC, une organisation privée à but non lucratif (OBNL), a été fondée en 1927 afin d'améliorer les conditions sociales et économiques des gens de la communauté noire de Montréal. Avec le temps, cet organisme s'est orienté vers le soutien des activités s'adressant aux familles et aux jeunes. Depuis quelques années, l'immeuble centenaire nécessite des réparations majeures. Le NCC, avec le soutien de la Ville, a donc cherché à développer un projet permettant de rénover et de restaurer le bâtiment, tout en offrant à la population noire de Montréal de nouveaux services. En 2003, avec l'aide de l'arrondissement du Sud-Ouest et du Service de développement culturel, de la qualité du milieu de vie et de diversité ethnoculturelle de la Ville de Montréal, le nouveau conseil d'administration du Centre culturel NCC/Charles H. Este a lancé une vaste consultation afin d'élaborer un projet viable et lié très étroitement à la population multiethnique de ce quartier, et tout particulièrement, à la communauté noire anglophone. La conclusion de cette consultation a permis de définir un projet original. Celui-ci comprendra des logements, une salle multifonctionnelle, un centre de référence sur l'histoire des Noirs de Montréal, géré par un OBNL d'employabilité, ainsi que des salles d'activités et de réunions. Ce centre sera ouvert aux membres de la communauté noire, à la population de l'arrondissement du Sud-Ouest ainsi qu'aux organismes à but non lucratif. Concert bénéfice Le maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay, la mairesse de l'arrondissement du Sud-Ouest, madame Jacqueline Montpetit, en présence du chanteur Oliver Jones et de distingués invités, vont participer au concert bénéfice du Centre culturel NCC/Charles H. Este, donné à l'Eglise St-James, le dimanche 29 avril à 19h.
  5. 25 avril 2007 Scène un prise deux. L’arrondissement de Rosement poursuit sa lutte aux vieux canards à spring et structures de jeu moches. On investira 2 M$ dans quatre parcs de Rosemont–La Petite-Patrie. Comme l'année dernière, le maire André Lavallée a convié le Journal de Rosemont–Petite-Patrie à une tournée dans les parcs du coin, ceux qui feront l'objet de travaux. Cette fois, on vise essentiellement les aires de jeu destinées aux enfants de 5 à 12 ans. Tour du proprio On grimpe à bord de la minifourgonnette de l’arrondissement. Jacques Savard, directeur des travaux publics, prend le volant. Premier arrêt, le parc Beaubien – rue Beaubien, entre la 6e Avenue et la 9e Avenue. Les modules de bois peints en brun, d’une autre époque, feront bientôt place à de rutilants modules. Là, c’est surtout la petite pataugeoire, dans le décor rosemontois depuis les années 1950, et le Chalet des baigneurs qui seront retapés. La pataugeoire conservera la même superficie mais accueillera une nouvelle structure avec des jets d’eau variés. Le petit bassin sera muni d’un système de filtration afin d'assurer la salubrité de l'eau. Le contour de béton et d’asphalte fera place à un nouveau revêtement. L’endroit sera aussi clôturé. Fini les baignades improvisées pour toutou, espère le maire de Rosemont–La Petite-Patrie. Le parc Beaubien se taille la part du lion de toute cette seconde phase du plan de revitalisation des aires de jeu de l’arrondissement: 700 000 $ sont prévus au budget. Les travaux débuteront à la fin de la saison estivale. Parc de la Louisianne On remonte. Direction: le parc de la Louisiane – 31e Avenue et Beabien où l'aire de jeu pour les enfants de 5 à 12 ans sera réaménagée. André Lavallée profite du trajet pour parler du parc Jean-et-Éva-Tremblay, situé dans le secteur Angus, près de la rue Rachel. L’endroit s'est développé il y a une quinzaine d’années, faisant grimper du coup le nombre de bouts de chou dans le secteur. D'où la nécessité de remplacer les structures fatiguées, juge-t-on. Soccer au parc Père-Marquette Le maire Lavallée espère pouvoir refaire entièrement le terrain de soccer du parc Père-Marquette, travaux évalués à 500 000 $. L’arrondissement complète actuellement le montage financier et croise les doigts afin de dégotter, d'ici la fin de l’année, les fonds nécessaires. Plus qu'un vœu pieux, cette réfection est inscrite au plan triennal de l'arrondissement, dans sa planification pour 2007-2009. Des parcs et des sous Les investissements dans les parcs s'inscrivent en droite ligne avec le plan familial des élus locaux qui souhaitent faire de l’arrondissement un petit nid douillet pour tous. Pour que le financement soit à la hauteur des attentes, André Lavallée évalue la possibilité d’élargir le spectre des sources de financement. Pourrait-on courtiser le secteur privé ou compter sur des projets d’entreprises visant l'aide à la communauté, par exemple, afin de les mettre à contribution dans nos parcs? La formule n’est pas définie, mais oui, on réfléchit à différentes stratégies, expose le maire. «Montréal et le gouvernement du Québec contribuent financièrement aux efforts de l'arrondissement. Nous envisageons aussi des partenariats [privés] mais avec des règles très claires», dit-il. Par exemple, pas de privilège pour un promoteur qui déciderait d’investir dans du mobilier urbain, signale André Lavallée. Plantation d'arbres Détour par le parc Lafond. Les petits rigolos qui coupent à travers le parc avec leur voiture, sur le sentier piéton aménagé dans le prolongement de la 15e Avenue, frapperont un mur... de bois. Une cinquantaine d'arbres seront plantés. Avant le terminus, la fourgonnette passe devant la piscine du parc du Pélican, à l'angle de Masson et de la 1re Avenue. Un véritable champ de bataille où s'active encore l'artillerie lourde. L'été dernier, on y a entrepris des travaux de l'ordre de 1,7 M$. «On est dans les temps, on respecte le budget. Les travaux intérieurs et extérieurs ont suivi leur cours cet hiver et la piscine ouvrira comme prévu pour la saison», promet Jacques Savard. L'année dernière, l'arrondissement a investi 8 M$ dans huit de ses parcs. On a principalement rajeuni les aires de jeu pour les enfants de 2 à 5 ans, injecté 3 M$ pour le nouveau parc Jean-Duceppe – sur le site du Technopôle Angus – et investi 2,1 M$ dans le parc Étienne-Desmarteau.
  6. 25/04/2007 De nombreuses activités se tiendront au cours des prochains mois au parc Jean-Drapeau à Montréal pour marquer le 40e anniversaire de l'Expo 67. Entre autres, l'exposition «Expo 67, passeport pour le monde» sera présentée du 23 juin au 3 septembre au Complexe aquatique de l'île Sainte-Hélène. On y retrouvera des montages photographiques, des artefacts, des capsules d'information et des projections vidéo. Également, «La Balade du 40e» proposera une visite guidée des îles, du 4 juillet au 31 août. Des activités d'animations accompagneront ce parcours faisant revivre l'esprit d'Expo 67. Le parcours «Une galerie d'art à ciel ouvert» proposera d'autre part un circuit de découverte des oeuvres d'art créées à l'occasion de l'Expo 67, dont l'Homme de Calder. L'Orchestre symphonique de Montréal présentera un concert au parterre de l'île Sainte-Hélène en hommage à Montréal dans le cadre de son programme «L'OSM dans les parcs», le 28 juillet à 20 heures. Ce concert soulignera deux événements marquants de la Ville: les 350 ans de l'arrivée des Sulpiciens à Montréal et les 40 ans de l'Expo 67. Parmi les autres événements qui se dérouleront au parc Jean-Drapeau, il faut souligner le déménagement de la «Fête des enfants de Montréal» et les «Week-ends du monde au parc Jean-Drapeau» dont la thématique sera les 40 ans d'Expo 67. Rappelons que l'exposition universelle de Montréal s'est déroulée du 27 avril au 29 octobre 1967. Plus de 50 millions de visiteurs se sont retrouvés sous le signe de l'amitié, de la paix et de la fraternité, avec une moyenne quotidienne de 271 900 visiteurs.
  7. (Le samedi 07 avril 2007)La Ville de Montréal et le chef cuisinier Antoine Richard se sont associés pour réaliser à Verdun « L'Espace Françoise-Kayler «, un projet de librairie-bibliothèque gastronomique couplée à un restaurant, à une salle de réception de 200 places sur un toit panoramique et à un gîte touristique. Cet aménagement de 1 million de dollars vise à faire la promotion des produits du terroir québécois, a appris La Presse. Le projet, en gestation depuis un an, sera aménagé au-dessus d'un stationnement municipal étagé qui donne sur les rues Ethel et Wellington. Il sera composé de deux bâtiments. Le premier comprendra la librairie-bibliothèque, baptisée L'Espace Françoise-Kayler, où la réputée critique gastronomique participera à des rencontres sur la cuisine et les produits régionaux. « La librairie-bibliothèque ne sera pas seulement un endroit destiné à la vente et à la consultation sur place de livres de cuisine du monde entier, ce sera aussi un lieu de rencontres», a dit Mme Kayler, journaliste retraitée de La Presse. Françoise Kayler fournira à la bibliothèque des livres d'art culinaire qu'elle a acquis durant sa carrière. On pourra aussi y louer des ustensiles de cuisine rares que l'on n'a pas toujours les moyens de s'offrir, comme un appareil à fondue ou un moule à kouglof. Un restaurant de type bistrot de 40 places sera aménagé dans le bâtiment. On y servira une cuisine faite à partir de produits du terroir. Près du restaurant, une salle de réception de 550 m2, d'une capacité de 200 personnes, offrira une vue exceptionnelle sur le centre-ville de Montréal et le fleuve Saint-Laurent. Dans cette salle, des professionnels participeront à des activités de promotion des produits alimentaires québécois. Un jardin de 350 m2 sera aussi aménagé sur le toit. Le second bâtiment abritera un gîte touristique de type « couette et café». Ancien propriétaire du restaurant La P'tite Table, à Verdun, et ex-directeur général de la Société de développement commercial Wellington, Antoine Richard a eu l'idée de ce projet le jour où il est monté sur le toit de 2500 m2 du stationnement étagé. « Je me suis rendu compte du potentiel de l'endroit, dit-il. On a une vue de l'Oratoire Saint-Joseph jusqu'au mont Saint-Bruno. Je me suis dis qu'on pourrait y aménager une salle de réception, surtout qu'une salle de 200 places avec une telle vue, il n'y en a pas à Verdun.» Le stationnement continuera d'exister (il sera rafraîchi). Les visiteurs pourront y mettre leur véhicule, à moins qu'ils ne viennent en métro, puisque la station de L'Église est à deux pas. « L'arrondissement est enchanté par ce projet très original et novateur de la part de deux professionnels réputés, a dit le maire de Verdun, Claude Trudel. On va les accompagner dans cette démarche, d'autant que cela va apporter beaucoup de fraîcheur à ce quartier de Verdun.» Le projet est en effet une collaboration entre la Ville de Montréal et l'entreprise de M. Richard, Barka Inc. Un bail emphytéotique donnera au promoteur la propriété des lieux pendant 40 ans, à la suite de quoi la Ville pourra récupérer tous les droits sur les améliorations apportées à l'immeuble. « Nos cinq premières années seront gratuites, a dit le chef Richard. Les cinq années suivantes, on paiera 10 000 $ de loyer et, les 30 ans suivants, on paiera au minimum 2% du chiffre d'affaires. C'est donc une situation gagnante pour la Ville. Plus ça marche, plus on gagne de l'argent et plus elle en gagne aussi.» Verdun tirera donc profit d'un lieu qui, autrement, demeurerait inoccupé. De plus, l'aménagement bonifie la valeur de l'immeuble à des coûts minimes pour la Ville. On a déjà trouvé quelque 500 000 $ pour ce projet évalué à 1 million.» Nous avons un dossier au ministère québécois du Tourisme, dit Antoine Richard. Nous travaillons aussi avec la Banque de développement du Canada.»
  8. Montréal accueille un centre mondial d'excellence sur le tourisme 19 février 2007 Presse Canadienne Il s'agit d'un nouvel organisme voué à la recherche et la création d'outils afin de soutenir le développement touristique durable des destinations à travers le monde. Ce centre est mis sur pied par l'Organisation mondiale du tourisme, une branche des Nations unies. L'organisme sera présidé par André Vallerand, ancien ministre du Tourisme du Québec et actuellement président du conseil des destinations de l'Organisation mondiale du tourisme. La direction générale du Centre, qui comptera initialement quatre ou cinq employés, a été confiée à François Bédard, professeur au département d'études urbaines et touristiques de l'Ecole des sciences de la gestion de l'UQAM. En procédant à l'annonce, lundi matin, le ministre des Travaux publics et Services gouvernementaux du Canada et responsable de la région de Montréal, Michael Fortier, a soutenu que l'implantation de l'organisme international générera des retombées de 10 millions $ sur trois ans. Parmi les outils offerts, on parle d'un système de certification de l'excellence des destinations touristiques, d'un portail électronique d'information, d'outils de gestion de marketing, de recherches comparatives et de formation. Le budget de l'organisme sera de 1,5 million $ pour les trois premières années, financé à parts égales par Québec et Ottawa. Le Centre entend devenir autosuffisant au terme de ces trois années et prévoit tirer ses revenus de la certification, des contributions de membres et de la vente de services divers issus de ses travaux de recherche.
  9. Le Victoria Architectes: DCYSM Fin de la construction:2008 Utilisation: Résidentiel Emplacement: Quartier International, Montréal ? mètres - 10 étages Descriptions: - Le projet est situé sur le même terrain que la Place de la Cité Internationale, au coin de la rue Viger et Square Victoria. - La tour, qui sera juste devant le Square Victoria, possèdra 104 unités - C'est Westcliff, le même promoteur que la Place de la Cité Internationale, qui la constuira. 3 images. Le Victoria - 2003
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