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  1. À l'ouest de la rue McGill entre la rue Notre-Dame et Saint-Maurice Demande de démolition pour permettre la construction d'un immeuble commercial et résidentiel
  2. Voici des photos de ce midi ! Etiez vous au courant ?!?!
  3. L’entreprise DevMcGill est heureuse de vous proposer un projet remarquable situé au cœur de Montréal. Le bâtiment à être converti en condominium se trouve à la jonction de trois zones historiques comportant des monuments d’époque et jouxtant plusieurs édifices de qualité. Il a été construit en 1894 et était à l'époque la Brasserie Ekers. Depuis peu il a été classé « édifice à valeur patrimoniale exceptionnelle». Bientôt celui-ci sera la demeure d’une cinquantaine de propriétaires privilégiés. Mais attention, pour vous assurer d'acquérir un des condominiums, vous devez vous manifester d'ici le 30 septembre : vous pourrez ainsi devenir un VIP des Condominiums St.Dominique. (les explications se trouvent à la fin de ce message). EMPLACEMENT Le St-Dominique est situé dans le secteur du Plateau Mont-royal et du Centre-ville, soit aux portes des quartiers animés de Montréal : le Quartier des spectacles, le Quartier Latin, la rue St-Denis et la rue St-Laurent. L’immeuble, localisé à quelques pas de l'intersection des rues Saint-Laurent et Sherbrooke, n’est qu’à quatre minutes à pied du métro Saint-Laurent. La façade de l’ancienne Brasserie Ekers donne sur la rue St-Laurent. Elle a comme voisin immédiat l’élégant Hôtel OPUS. La façade qui donne sur la rue St-Dominique s’ouvre pour sa part sur les bâtiments historiques du monastère du Bon-Pasteur. L’IMMEUBLE L’immeuble sera entièrement rénové à l’extérieur comme à l’intérieur. Il conservera son cachet historique. Des sections seront ajoutées à l’édifice actuel et les facades des rues St-Laurent et St-Dominique feront l’objet d’une attention particulère. L’ENTRÉE DES RÉSIDENTS La façade sur la rue St-Laurent aura une entrée particulère menant aux commerces du rez-de-chaussée. La porte d’entrée principale menant aux appartements, se trouvera cependant sur la paisible rue St-Dominique, directement en face d’un des plus beaux bâtiments historiques de Montréal, le Monastère du Bon-Pasteur. Cette magnifique rue est à sens unique vers le sud et est accessible par la prestigieuse rue Sherbrooke. LES APPARTEMENTS Le St. Dominique n'habritera qu'une cinquantaine d'appartements offrant ainsi un style de vie intime à ses propriétaires. Plusieurs des condominiums auront des balcons ou de grandes terrasses. Certains condos comporteront une mezzanine en deuxième niveau, les Mezza-lofts. D'autres seront aménagés sur un seul niveau, les plain-pied. LES FINITIONS INTÉRIEURES Le design des intérieurs n’est pas encore terminé. Cependant il sera semblable à celui du projet M9 Phase 3 dans le Vieux-Montréal. Vous êtes donc invités à l’Espace Vente et Visite M9 pour voir et toucher la gamme des finis intérieurs. Vous pourrez aussi visiter un appartement témoin. Les finis intérieurs comprendront des comptoirs de quartz, des armoires laminées au design contemporain, des planchers en bois d’ingénierie, de la céramique dans les salles de bain, et bien plus encore. Plusieurs ensembles de finition aux teintes variées seront disponibles. APERÇU DE LA LISTE DE PRIX Les prix incluent les taxes mais non les stationnements intérieurs, sujet à changements TYPE DÉTAILS DIMENSION DESCRIPTION PRIX APPROX. MEZZA-LOFT A 700 pica 1er niveau : 500 pica, plafond de 7’ sous la mezzanine et 15’ dans le salon et salle à diner. Mezzanine: 200 pica, plafond de 6’4’’ 1 chambre, 1 salle de bain. Balcon de 4'X5'. 250 000$ MEZZA-LOFT B 700 pica 1er niveau : 500 pica, plafond de 7’ sous la mezzanine et 15’ dans le salon et salle à diner. Mezzanine : 200 pica, plafond de 7’ 1 chambre, 1 salle de bain. Balcon de 4’ X 5’ 280 000$ MEZZA-LOFT C 850 pica 1er niveau : 700 pica, plafond de 7’ sous la mezzanine et 15’ dans le salon et salle à diner. Mezzanine : 250 pica, plafond de 8' 2 chambres, 1 salle de bain. Balcon de 4’ X 5’ 340 000$ MEZZA-LOFT D 1000 pica 1er niveau : 720 pica, plafond de 7’ sous la mezzanine et 15’ dans le salon et salle à diner. Mezzanine : 280 pica, plafond de 8' 2 chambres, 2 salles de bain. Balcon de 4’ X 5’ 400 000$ PLAIN-PIED E 500 pica 1 niveau, plafond de 9' 6' 1 chambre, 1 salle de bain. Balcon de 4'X5' 195 000$ PLAIN-PIED F 600 pica 1 niveau, plafond de 9' 6'' 1 chambres, bureau, 1 salle de bain. Balcon de 4’ X 5’ 240 000$ PLAIN-PIED G 900 pica 1 niveau, plafond de 9' 6'' 2 chambres, bureau, 2 salles de bain. Balcon de 4’ X 5’ 360 000$ PLAIN PIED H 1500 pica 1 niveau, plafond de 11' 2 chambres, bureau, 2 salles de bain. Terrasse de 20' X 10'. 680 000$ LES STATIONNEMENTS INTÉRIEURS Les places de stationnement intérieurs sont très en demande dans le quartier. Le St-Dominique a la chance de pouvoir offrir des places de stationnement intérieur traditionnel au coût de 45 000$ taxes incluses; des places tandem (espace pour deux véhicules, un derrière l’autre) au coût de 66 000$ seront disponibles. Il y aura également des espaces de stationnement intérieur superposés, disponibles à un coût de 39 000$ taxes incluses (l’image ci-dessous). LA VIE DE QUARTIER Au St.Dominique, les espaces communs sont les attraits du quartier. En effet, grâce à une localisation idéale, les propriétaires auront accès à de multiples services et événements hors du commun. - Les scènes extérieures et intérieures du Quartier des spectacles - De multiples restaurants et cafés sur les rues Saint-Laurent, Saint-Denis, Sherbrooke et Sainte-Catherine - Le cinéma Quartier Latin, les salles de théâtre et de concert - L’Université du Québec à Montréal, le futur CHUM, l’hôtel Opus (pour les invités) et le Village - Le festival International de Jazz - Le festival Juste pour rire - Le festival des Francofolies de Montréal - Le festival de la Main - Le festival Divers/Cité - Le festival International Nuits d’Afrique LES AIRES COMMUNES ET LES FRAIS DE CONDOS Compte-tenu de la taille intime du projet, le St.Dominique n’aura pas d’aires communes telles une piscine ou une salle communautaire. L’investissement mensuel en frais de copropriété sera donc réduit, soit environ 22 cents le pied carré. Les propriétaires pourront profiter de la situation idéale; ils pourront avoir accès à pied à de nombreux services. LA DATE D’OCCUPATION La rénovation majeure du St.Dominique sera complétée à l’automne 2012. Les résidents pourront prendre possession de leur condominium à cette date. COMMENT DEVENIR PROPRIÉTAIRE? La première étape dans le processus d’achat d’un appartement des Condominiums St.Dominique est d’acquérir un certificat VIP. Ce dernier donne un privilège exclusif, avant l’ouverture au grand public, de faire un choix prioritaire. Cela permet de bien choisir l’emplacement, la vue et de profiter d’une réduction du prix d’achat. Le premier arrivé sera le premier servi. Les appartements (condominiums) seront ultérieurement vendus aux VIP en fonction de l’ordre chronologique dans lequel les certificats auront été acquis. C’est donc dire que le premier VIP aura le premier choix, le second le deuxième et ainsi de suite. Nous communiquerons avec tous les détenteurs d’un certificat au mois d’octobre pour donner plus de renseignements sur la pré-vente exclusive. COMMENT ACQUÉRIR UN CERTIFICAT VIP DES CONDOMINIUMS ST.DOMINIQUE? Pour acquérir un Certificat VIP, vous devez vous rendre à l’Espace vente et visite M9, au 800 rue Wellington, dans le Vieux-Montréal, entre samedi le 25 septembre et jeudi le 30 septembre à 16h. Les heures d’ouverture de l’Espace vente et visite M9-3 sont du samedi au dimanche, de 12h à 17h, et du lundi au jeudi, de 13h à 19h. Vous devrez déposer un chèque de 1000$, remboursable en tout temps pour toute raison, au nom du notaire Millowitz, Hodes, Bergeron, Ce bureau gardera ce montant en fidéicommis. À l’Espace vente et visite M9, un certificat VIP vous sera remis afin de confirmer que vous avez effectué un dépôt remboursable en tout temps par le notaire, à votre demande. Vos coordonnées ainsi que les Plans Types qui vous intéressent seront annotés sur le Certificat alors faites vos choix selon la liste de prix partielle ci-haut et venez nous rencontrer! À PROPOS DU PROMOTEUR DevMcGill poursuit une mission claire depuis plus de 10 ans : bâtir aujourd’hui les espaces de demain. Maintes fois primé, le design des projets de DevMcGill séduit l’imaginaire. Espaces lofts, appartements-boutiques, pied-à-terre ou condominiums, ils offrent une multitude d’espaces vivants et intelligents qui, chaque fois, respectent leur vision : mieux comprendre, pour mieux construire et ainsi mieux vivre. DevMcGill est passé maître dans l’art de créer des espaces de vie urbains, contemporains et repensés comme en témoignent le COUVENT OUTREMONT sur les flancs du Mont-Royal ou le CAVERHILL, le 777 et ORLÉANS dans le Vieux-Montréal. En 2005, DevMcGill poursuit son ascension et signe les condominiums M9 dans le secteur du Vieux-Montréal. Hommage au technicolor et à la transparence. À la vie urbaine. Tél.: 514 400-7900
  4. Griffintown est vraiment dans un boom de condos, mais aussi de restaurants de qualités! Puisque beaucoup de membres de ce forum vont déménager ou visiter Griffintown, j'ai décidé de commencer une liste de restaurant dans le quartier. Étant ''foody'' moi-même et ayant été à presque tout les restaurants du coin, j'aimerais partager cette liste puisque certains restos sont très peu connus! Voici une liste de restaurants dans Griffintown (et autour) à essayer! Grinder Le Richmond Code Ambiance Le Boucan Shinji Duo D Nora Gray Cafe Griffintown Arem La Gargote des Antiquaires Bonnys Rufus Rockhead Le Bureau Brasseur de Montreal New City Gas Sushi Taxi Grinder) Restos de tartares et de viandes avec importation de vin privé. Décor incroyable et l'ambiance ni manque jamais! Grinder (rue Notre-Dame) Le Richmond) Italien nouveau-genre avec bonne collection de vin. Restaurant caché sur la rue (déserte) Richmond, mais l'intérieur est superbe avec haut plafond. Le Richmond (rue Richmond) Code Ambiance) Cuisine française moderne avec des ingrédients recherchés de la plus haute qualité. Atmosphère très calme. À visiter pour la qualité des plats et non pour l'ambiance. Code Ambiance (rue Notre-Dame) Le Boucan) Petit resto sympa de viandes fumées (poulets et ribs) style smokehouse. Browny au bacon à essayer! Le Boucan (rue Notre-Dame) Shinji) Nouveau restaurant japonais avec un décor et style incroyable. Shinji (rue Notre-Dame) Duo D) Petit bistro français aucunement prétentieux avec des prix très résonables pour la qualité reçue. Duo D (rue Notre-Dame) Nora Gray) Petit restaurant italien de grande qualité. Réservez d'avance!!! Nora Gray (rue Saint-Jaques) Cafe Griffintown) Jolie petit cafe également ouvert pour le brunch. Il y a souvent de la musique ''live'' en soirée. Cafe Griffintown (rue Notre-Dame) Arem) Nouveau restaurant iranien moléculaire. Absolument unique en son genre, mais incroyablement cher! Arem (rue William) La Gargote) Petit restaurant très traditionel français et très tranquille. (rue Notre-Dame) Bonnys) Restaurant végétarien avec goût et abordable. Bonnys (rue Notre-Dame) Rufus Rockhead) Nouveau bar de Jeff Stinco (Simple Plan). Style et atmosphère avec live DJ tous les soirs. Rufus Rockhead (rue Notre-Dame) Le Bureau) Bar de tapas avec atmosphère détendue. Fromage flambé à essayer! Le Bureau (rue Notre-Dame) Brasseurs de Montreal) Bistro de bières artisanales présentement en ''rénovation''. Brasseurs de Montreal (rue William) New City Gas) Bar et club avec pleins d'évènements de grandes envergures! Pour ceux qui aiment la musique électronique! New City Gas (rue Ottawa) Sushi Taxi) Restaurant de sushi parfait pour takeout! Sushi Taxi (rue Notre-Dame)
  5. Une extension contemporaine que je trouve sympathique, dans le Mile End. C'est simple, mais ça respecte les particularités patrimoniales de l'édifice agrandi. le projet est fini depuis quelques temps, mais je trouvais que c'était digne de mention sur Mtlurb!
  6. La ville de St-Eustache a une grande histoire. Une histoire qui se situe principalement dans les années 1700 et 1800 mais dont le point culminant se joue le 14 décembre 1837 lors de l'attaque militaire du général et gouverneur John Colborne envers les patriotes. Aujourd'hui nous somme bien loin de tout cela. Voici donc quelques photos d'un passé pas si lointain et du présent de cette ville. __________________________________ L’histoire de la paroisse Saint-Eustache remonte au XVIIIe siècle. Un presbytère-chapelle est construit dès 1774 sur un terrain ayant été offert par le Seigneur Louis-Eustache Lambert Dumont et longeant la rivière des Mille-Îles. Six ans plus tard, débute la construction de la première église, qui sera bénite en 1783. Entre 1830 et 1833 l’actuelle haute façade en pierre est construite. Cette église occupe une place spéciale dans l’histoire du Québec surtout en raison des événements tragiques qui s’y sont déroulés en 1837, lors de la bataille des Patriotes. Le bâtiment sera lourdement endommagé lors de la rébellion . Ce n'est que 4 ans plus tard, que le curé Paquin peut enfin entreprendre la reconstruction de l'église. Durant la deuxième moitié du XXe siècle, Saint-Eustache connaît un important développement économique et démographique. Ainsi, les paroisses Christ-Roi, Saint-Esprit et Sainte-Marguerite-Bourgeoys voient le jour respectivement en 1964, 1970 et 1989, afin de répondre aux besoins d’une communauté en croissance. Quant à l’église de Saint-Eustache, elle fut classée monument et lieu historique en 1970. Grâce à sa voûte en berceau elle bénéficie d’une si belle acoustique que l'Orchestre symphonique de Montréal y a enregistré tous ses albums pendant plus de 20 ans. Elle est d’ailleurs visitée par des milliers de touristes chaque année. Source: Ville de St-Eustache. Église de St-Eustache, 1920 // 23 Mars 2013. Les bâtiments de droite ont disparus mais la Maison Charles Marsil a gauche, est toujours en place... Hotel St-Eustache vers 1940 // 1975 Située au 124-128 Rue Saint Eustache, l’Hôtel Saint-Eustache, dans la rue du même nom, a connu plusieurs propriétaires durant sa longue vie, dont Joseph-Mathias Goulet, les familles Pesant, Laurin et Jos. Lauzé. L’hôtel dispose de la traditionnelle taverne en plus d’être le point de service local pour la compagnie de d’autobus Provincial Transport. Comme plusieurs autres établissements de Saint-Eustache, il fut rasé par un incendie d’origine douteuse dans les années '80. Ce bâtiment comprenait aussi dans les années '70, la discothèque "Le Stress", qui était très populaire a cette époque. Hotel St-Eustache 1975 // 30 mars 2013. (tout a disparue, des condos font maintenant partie du décor). Hotel Riviere du Chene, St-Eustache, 1902. (Vue de la rue St-Eustache) L’Hôtel Rivière-du-Chêne bâti vers 1900 sur la rue Saint-Eustache au coin de la rue Dorion, a pris le nom d’Hôtel des Mille-Iles et a longtemps été opéré par Napoléon Robin et son fils Jean. L’hôtel fut rénové puis converti en logements vers 1967. Ce qu'est devenue l'Hotel Rivière du Chêne, 30 mars 2013 Hotel Riviere du Chene, St-Eustache, 1968 (coin Dorion). 30 mars 2013, coin Dorion. La maison Brion, année inconnue // 30 mars 2013. Construite en 1771, la maison Brion est située au 65 de la rue Saint-Louis, dans le vieux Saint-Eustache. Avec l'église de Saint-Eustache, elle est un des rares témoins de la bataille du 14 décembre 1837. Le 14 décembre 1837, comme une bonne partie du village, la maison est incendiée durant la bataille. Elle restera en ruines pendant neuf ans, témoin de la lutte. En septembre 1838, Pierre Janvry donne le terrain et les murs de pierre qui subsistent à son fils Édouard, comme cadeau pour son mariage avec Marie-Charles Dumoulin. Un an plus tard, Édouard revend le tout à Ambroise Brion dit Lapierre, un cultivateur de Saint-Eustache. En mai 1846, Lapierre signe un marché de construction avec le maçon Ulric Robillard. Ce dernier devra démolir ce qui reste des murs du second étage (car a l'origine elle avait donc deux étages) et reconstruire la maison dans les murs du rez-de-chaussée. C'est cette maison que nous pouvons toujours observer aujourd'hui sur la rue Saint-Louis. Magasin Paquin vers 1898 // 30 mars 2013. Au début de 1800, le docteur Jacques Labrie acquiert la propriété de Joseph Debien sur la rue Saint-Eustache. Il agrandit la maison et fait ériger des murs de pierres. Il habite la demeure près de 20 ans. Puis, William-Henry Scott achète la propriété et y établit un magasin général. A sa mort, les enfants Scott continuent à opérer le commerce. En 1875, Joseph-Albert Paquin acquiert la bâtisse. Après un incendie majeur en 1889, la maison et le magasin sont reconstruits. Devenu une quincaillerie, le commerce ferme ses portes vers 1990. La maison est toujours occupée par les descendants de Joseph-Albert Paquin. Banque Provincial, 1970 // 30 mars 2013. Ce bâtiment construit dans les années '20 et abritant la banque provinciale (aujourd’hui fusionnée avec la banque canadienne nationale qui a créé la banque nationale) a eu pignon sur la rue St-Eustache de 1930 à 1979. Hotel Bellevue dans les années '60 // 30 mars 2013. Situé a l'angle des rues Saint-Louis et Saint-Eustache (face a l'église). Elle fut construite entre 1905 et 1910 par Cléophas Laurin puis opéré par Charles-Édouard Girard, l’hôtel Bellevue accueille des visiteurs de partout. Dans les années 1950, l’aile ‘Indian Lounge’ est ajoutée du côté sud-ouest. Le corps principal de l’hôtel fut incendié en 1974, ne laissant que l’aile ‘Indian Lounge’. Aujourd’hui un commerce de vêtements occupe la bâtisse rénovée en plus d'un autre bâtiment plus récent construit a l'emplacement de l'hotel. La maison Globensky-Coriveau vers 1890 et 1930. Portant les adresses 64 et 68 rue St-Eustache dans le village du même nom, Hubert Globensky fit construire cette maison en 1832. Le notaire Cyrille H. Champagne s’y installe ensuite jusqu’à sa mort en 1906. Son fils Hector y réside jusqu’à son décès en 1941. Enfin, le docteur Yvon Corriveau acquiert la maison en 1941. [C’est lui qui va la faire reculer de quelques mètres vers l’arrière]. Maintenant, l’emplacement est occupé par le restaurant Saint-Eustache. Source: Ville de St-Eustache ------------------------------------------------------------ De la fin des années 1780 jusqu'en 1795, l'emplacement de la maison Hubert Globensky appartient à la seigneuresse de Blainville, Marie-Thérèse Céloron de Blainville. En 1799, Auguste Globensky, un chirurgien polonais s'étant établi au Canada après la Révolution américaine, achète le terrain. Une maison en pièce sur pièce ainsi que divers bâtiments s'y trouvent déjà. À la mort de son père en 1830, le marchand Hubert Globensky fait l'acquisition de la propriété. Deux ans plus tard, il fait démolir l'ancienne demeure et bâtit la résidence actuelle. Le magasin et la maison d'Hubert Globensky sont pillés par les Patriotes durant les jours précédent la bataille du 14 décembre 1837. En raison du soutien apporté par Globensky au parti loyal, sa demeure est toutefois épargnée par les troupes du général Colborne. Une partie de l'état-major de l'armée britannique y est logé après la bataille. En 1941, le docteur Yvon Corriveau devient propriétaire de la maison. En plus d'y apporter quelques modifications, il la fait reculer de quelques mètres vers l'arrière. La demeure était auparavant située en bordure du trottoir. La maison Hubert Globensky est l'une des rares demeures d'inspiration néoclassique dans la région. L'architecture néoclassique apparaît durant la seconde moitié du XVIIIe siècle et domine jusqu'à la moitié du XIXe siècle. Style inspiré de l'Antiquité gréco-romaine, le néoclassique se démarque par sa recherche de symétrie, d'harmonie et de clarté. Les maisons d'inspiration néoclassique se caractérisent aussi par la présence d'une vaste galerie couverte d'un auvent en façade ainsi que d'un fronton au-dessus de la porte d'entrée. La façade de la maison Hubert Globensky était auparavant ornée d'une longue galerie. 30 Mars 2013, Position éloignée du trottoir par rapport a avant 1941. .....a suivre !!
  7. Plaza St-Hubert — La fin de la marquise? Écrit par Yvon Laprade Ruefrontenac.com Mercredi, 19 mai 2010 La controversée marquise qui recouvre les deux trottoirs de la Plaza St-Hubert depuis plus d’un quart de siècle est-elle sur le point d’être démolie? «On se pose la question très sérieusement», confirme en entrevue à Rue Frontenac le directeur général de la Société de développement commercial Plaza St-Hubert, Mike Parente. En septembre 2009, une étude réalisée par une firme d’architectes et de design (Atelier Braq) n’écarte pas le scénario de la démolition et insiste sur l’importance de «faire quelque chose pour rendre la Plaza St-Hubert plus attirante et attrayante», précise le directeur général. «Il est clair que la marquise a vieilli et qu’elle cache les façades des commerces, entre la rue Jean-Talon et la rue Bellechasse (sur 1,2 kilomètre). Si on la détruit, il faudra ravaler certaines façades qui sont fades et sans attrait», explique Mike Parente. Il ajoute cependant: «Les commerçants sont divisés. Certains veulent qu’on libère la rue Saint-Hubert de cette structure de verre, tandis que d’autres souhaitent simplement qu’on la modernise.» «Mais il est clair que le statu quo est inacceptable», ajoute-t-il. Passée de mode Le directeur général déplore toutefois «une certaine forme d’inaction» des élus municipaux dans ce dossier. «La marquise appartient à la Ville de Montréal, c’est même elle qui en avait défrayé les coûts en 1984 (plus de 20 M$). Or, depuis quelques années, elle n’assume plus les frais d’entretien. Ce sont les commerçants qui doivent débourser jusqu’à 40 000$ par année. Ça crée du mécontentement», fait-il valoir. Mike Parente reconnaît que le concept des marquises sur les artères commerciales semble dépassé. «On en voit de moins en moins. Ce n’est plus un attrait», dit-il. Avant d’être recouverte et «protégée du soleil et des intempéries», la rue Saint-Hubert était une artère commerciale avec de simples auvents en toile, et des lampadaires «Washington» éclairaient les commerces et les trottoirs. Regain de popularité Toutes ces questions entourant le maintien ou la démolition de la marquise n’empêchent pas les 400 marchands de voir l’avenir avec optimisme en ce 50e anniversaire de cette rue commerciale très fréquentée. «On a connu nos moments difficiles au cours des années 1990, avec la prolifération des centres commerciaux et la venue des power centers, mais depuis dix ans, on observe un nouveau dynamisme. Nous demeurons la rue consacrée à la mariée, mais de nouvelles boutiques branchées diversifient l’offre aux consommateurs», observe Mike Parent. Il rappelle que la rue Saint-Hubert fait travailler des commerçants indépendants, des petits entrepreneurs, dans bien des cas, qui ont à cœur le développement urbain. «Nous allons toujours être là. Nous investissons dans l’économie locale, en créant des emplois et en payant des taxes à la Ville de Montréal», insiste le directeur général. La Plaza St-Hubert a une histoire. Le plus vieux commerce, Labelle Fourrures, aura 100 ans en 2010. La Quincaillerie Lambert et L.L. Lozeau ont traversé le temps avec élégance. Festivités Pour souligner ses 50 ans, les commerçants de la Plaza St-Hubert vont mettre en valeur l’aspect historique de cette artère de la Petite-Patrie. Du 7 au 11 juillet, 300 000 visiteurs sont attendus avec fermeture de la rue, la présence d’amuseurs publics, des spectacles sur deux scènes et des jeux pour enfants. Le volet culturel s’articule autour des spectacles de Orange Orange, Antoine Gratton et Les Respectables le vendredi 9 juillet et Maytiss, Caïman Fu ainsi que Wesli le samedi 10 juillet. Ces spectacles seront présentés sur une grande scène aménagée à l’angle des rues Bélanger et Saint-Hubert. http://ruefrontenac.com/affaires/commercedetail/22883-marquise
  8. Enfin, un article français qui ne leur dit pas de s'installer sur le Plateau Dans l'Express.fr Les quartiers bon marché de Montréal Par Philippe Renault, publié le 11/08/2014 à 08:00 Ils portent des noms poétiques ou évocateurs du climat et on n'y croise pas des Français à tous les coins de rue! Les secteurs pas chers de la métropole gagnent à être connus. Les éditions Héliopoles livrent leurs bons plans, à l'occasion de la sortie du guide "S'installer à Montréal". Côte-des-Neiges Situé à l'ouest du mont Royal, c'est un des arrondissements les plus populaires de la ville. Depuis longtemps déjà, il attire de nombreux nouveaux immigrants, ce qui en fait l'un des quartiers les plus cosmopolites de Montréal. Pas moins de 80 communautés ethniques y sont représentées et on y trouve une importante population étudiante du fait de la proximité de l'Université de Montréal, mais aussi de ses loyers abordables. Bien desservi par les transports en commun, il compte notamment huit stations de métro, presque un record. Les logements à louer, constitués essentiellement d'appartements, de duplex et de maisons, sont nombreux, mais parfois difficiles à obtenir du fait d'une forte demande. La partie sud, proche du mont Royal et de l'université, est plutôt fréquentée par la classe moyenne ou moyenne supérieure qui aime se rapprocher du quartier huppé et calme d'Outremont sans en subir les prix prohibitifs. Dans le secteur plus au nord et à l'ouest du chemin de la Côte-Sainte-Catherine, les logements sont souvent plus anciens et surtout de moins bonne qualité. De belles demeures cossues côtoient des appartements pas toujours salubres. Cette réputation de quartier défavorisé lui colle à la peau. Côte-desNeiges bouillonne toutefois de vie. Les commerces sont variés et certains restent ouverts 24 heures sur 24. Il en va de même pour les restaurants très "cuisine du monde": vietnamiens, libanais, indiens, italiens, portugais... pour la plupart abordables et authentiques. À Côte-des-Neiges, on peut faire le tour de la planète en un jour. Hochelaga-Maisonneuve Voici un des secteurs de Montréal qui a mauvaise réputation. Prostitution, trafic de stupéfiants en pleine rue, homicides et interventions policières à Hochelaga-Maisonneuve occupent souvent la une des journaux. La réalité est cependant plus contrastée. Certes, le quartier a subi la fermeture de nombreuses entreprises et a dû faire face à une hausse du chômage et de la pauvreté dans les années 1980, mais le renouveau est en marche depuis une dizaine d'années. Les anciennes usines y sont transformées en lofts ou en coopératives d'habitation, les rues commerçantes rajeunissent, l'offre culturelle se développe... bref, Hochelaga-Maisonneuve change. Le quartier reste néanmoins l'un des plus accessibles de la métropole, avec un loyer moyen, tous types de logements confondus, de 652 $ CAN. Pour combien de temps encore? Les chantiers de construction qui poussent dans ses rues augurent d'un prochain embourgeoisement, comme c'est déjà le cas avec la place Valois et ses commerces raffinés. En dehors de quelques zones dites difficiles, Hochelaga-Maisonneuve, un des quartiers les plus étendus de la ville, comporte de nombreux îlots résidentiels très agréables. C'est le cas par exemple des abords du Stade olympique et du parc Maisonneuve ou des alentours de la station de métro Joliette. Les zones qui posent encore problème se situent au sud de la rue Ontario et à l'ouest du boulevard Pie-IX. On est loin toutefois de l'époque où les Québécois qualifiaient le coin de coupe-gorge. Villeray Parc-Extension Ce périmètre, qui s'étend de part et d'autre du grand parc Jarry, a conservé sa réputation de secteur ouvrier et populaire. Comme Côte-des-Neiges, c'est aujourd'hui l'un des plus multiculturels. Villeray compte environ 25% de nouveaux venus récents et Parc-Extension, près de 60%. Les immigrés grecs de Parc-Extension ont petit à petit été remplacés par des Indiens et des Pakistanais tandis qu'à Villeray, Italiens et Portugais ont cédé la place aux Vietnamiens et aux Maghrébins. Le secteur est réputé pour son grand nombre de locations et ses prix abordables. On y trouve aussi de grands appartements. Les logements sont majoritairement composés de duplex et d'immeubles anciens. Cependant, l'apparition de nouveaux immeubles ou de bâtiments industriels transformés en condominiums vient modifier petit à petit la physionomie de Villeray-Parc-Extension. Le Sud-Ouest Cet arrondissement, longtemps parmi les plus défavorisés de Montréal, est constitué de plusieurs quartiers au caractère distinct, mais tous de nature essentiellement populaire. Griffintown, Petite-Bourgogne, Pointe-SaintCharles, Saint-Henri... autant de faubourgs qui ont longtemps pâti d'une mauvaise réputation. Qu'on se rassure, pauvreté, criminalité et logements délabrés appartiendront bientôt au passé, car le Sud-Ouest est en pleine mutation. C'est le secteur qui monte. La revitalisation de Griffintown, transformé en un vaste ensemble immobilier assez luxueux, est un bon exemple de l'embourgeoisement en cours. Le Sud-Ouest, c'est avant tout une proximité avec le centre-ville à pied ou à bicyclette, via les pistes cyclables. Ces dernières longent le canal Lachine, dont les rives autrefois encombrées d'immeubles industriels ont été transformées en trouées vertes invitant à la promenade. On y compte aussi plusieurs stations de métro. On trouve dans ce quartier de belles résidences victoriennes, d'anciennes usines ou entrepôts reconvertis en lofts ainsi que de simples logements ouvriers. Certains îlots tels que celui de la rue Sébastopol, près du parc des Cheminots, à Pointe-Saint-Charles, comportent de charmantes demeures avec jardin... on se croirait presque en banlieue. Pour le moment, les loyers y sont abordables, et on peut y dénicher de belles maisons individuelles ou des duplex avec jardin pour moins de 450 000 $. Bien sûr, quelques zones encore en chantier peuvent rebuter et le manque de commerces se fait aussi parfois sentir. Quant au passé de violence, il s'est considérablement estompé, mais n'a pas totalement disparu. Il est donc prudent de bien se renseigner avant de s'installer. Incontestablement, un vent de renouveau souffle sur le Sud-Ouest, qui devient une des aires les plus courues de la métropole. De plus en plus d'artistes s'y installent, comme la chanteuse Isabelle Boulay. On peut parier que d'ici à une dizaine d'années, le quartier aura totalement changé. Les autres quartiers pas chers Saint-Michel, Montréal-Nord, Anjou, Pointe-aux-Trembles, Rivière-des-Prairies, Verdun
  9. Voici le projet Contrecoeur. Situé à l'intersection des rues de Contrecoeur et Pierre-de-Coubertin, celui-ci est composé de 3 maisons de ville. Malgré une apparence bleutée sur le rendu, la brique est plutôt grise en vrai. Bien plus beau! En date du 10 décembre 2013 :
  10. Secteur Bellechasse: un vaste terrain à s'approprier Danielle Bonneau La Presse Selon une des équipes qui ont participé à l'atelier de design urbain, le viaduc Rosemont-Van Horne pourrait être entouré d'un parc, au même niveau. Il deviendrait une rue surélevée, avec deux larges traverses piétonnes. Sous le parc et sous la rue surélevée pourraient notamment être aménagés une piscine, des gymnases et un centre communautaire. Illustration fournie par NIP Paysage et ACDF Adieu site industriel gris et rébarbatif. Les environs du viaduc Rosemont-Van Horne devraient être verdis et être accessibles aux piétons et aux cyclistes, suggèrent à l'unanimité les quatre équipes qui ont participé à l'atelier de design urbain consacré au secteur Bellechasse. Elles seront présentes au Théâtre Plaza, le 26 novembre prochain, pour présenter leurs propositions. Pendant quatre jours, les participants se sont creusés les méninges pour revitaliser le vaste quadrilatère bordé au nord par la rue de Bellechasse, au sud par des voies ferrées, à l'ouest par le boulevard Saint-Laurent et à l'est par la rue Saint-Denis. Le but? Créer un milieu diversifié avec au moins 1500 nouveaux logements, des commerces et entreprises générant des emplois dans un environnement vert. Installés au 5800, rue Saint-Denis, dans un immense local situé au 12e étage, ils avaient une vue superbe sur le territoire à métamorphoser. Loin de se laisser rebuter par la présence des voies ferrées et du viaduc Rosemont-Van Horne, tous ont cherché à en tirer profit. L'équipe formée de l'Atelier In Situ, Vlan Paysages, Nik Luka et Kim Letendre, par exemple, se sert des voies ferrées pour réactiver le quartier et enrichir le transport en commun. Elle propose d'intégrer une gare intermodale liant le train de banlieue, le métro et les autobus. Le viaduc? Il n'est plus uniquement réservé aux automobilistes. Cyclistes et piétons peuvent circuler sur deux des quatre voies. Le viaduc étant surélevé, il devient un belvédère. «C'est un atout», souligne Micheline Clouard, architecte paysagiste associée chez Vlan Paysages. Un parc glisse par ailleurs en dessous, de même que sous la voie ferrée. Des «bâtisserelles» Le viaduc est verdi et démoli en partie dans la proposition de l'équipe composée des firmes Catalyse urbaine, Affleck + de la Riva et Blouin Tardif. Couvert d'un tapis de verdure, il s'arrête net en sa partie la plus élevée pour offrir une vue superbe sur le mont Royal et la nouvelle forêt urbaine plantée le long de la voie ferrée. Les autobus de la Société de transport de Montréal (STM), actuellement en biais avec la station de métro Rosemont, déménagent à côté du 5800 Saint-Denis dans un immense bâtiment recouvert de verdure, sur lequel les passants pourront se promener. C'est une des deux «bâtisserelles» aménagées pour faciliter la circulation à travers le site. Les firmes NIP Paysage et ACDF, qui forment la troisième équipe, misent aussi beaucoup sur la verdure pour tisser des liens entre les arrondissements de Rosemont-La Petite-Patrie, du Plateau-Mont-Royal et d'Outremont. Un nouveau parc est implanté tout autour du viaduc, au même niveau. «Il devient une rue surélevée, qui inclue deux larges traverses piétonnes», précise Michel Langevin, architecte paysagiste chez NIP Paysage. Sous le parc et sous la rue surélevée sont notamment aménagés une piscine, des gymnases et un centre communautaire, au bénéfice commun des résidants des arrondissements de Rosemont-La Petite-Patrie et du Plateau-Mont-Royal. Quant à la quatrième équipe, formée des firmes Bosses Design et Orange Tango, elle tire profit de l'espace sous le viaduc pour y aménager un vaste parc. Deux traverses piétonnes, sous la voie ferrée et au même niveau qu'elle, facilitent l'accès aux quartiers voisins. Rue Saint-Denis, les autobus de la STM demeurent au même endroit. Garés dans un vaste garage en pente, en partie souterrain, les véhicules sont visibles et animent l'artère. L'atelier de design urbain s'inscrivait à l'intérieur du processus, amorcé en septembre, pour revitaliser le secteur Bellechasse. «La réflexion effectuée par chacune des équipes nous permettra de sortir des sentiers battus», indique André Lavallée, maire de l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie. Les équipes présenteront leurs propositions le 26 novembre prochain, à 19h30, au Théâtre Plaza, situé au 6505, rue Saint- Hubert. Le programme particulier d'urbanisme (PPU) du site sera élaboré au cours de l'hiver prochain. Il devrait être soumis à une consultation publique au printemps. Différentes propositions http://galeriedephotos.montoit.ca/index.php?t=&a=150&m=mt
  11. Je n'ai pas beaucoup de détail sur ce projet mais en me baladant j'ai aperçu un avis de la ville sur l'immeuble existant et j'ai été ravi de lire que la proposition comporte un immeuble de 6 étages avec du commercial au rez-de-chaussée et des logements aux étages. En plein sur Jean-Talon ouest au nord de la Petite-Italie et à la limite de ce qu'on appel maintenant le Mile-x, un nouveau quartier en pleine transformation mais à échelle humaine. Sur le site il y a présentement un Mike's sous-marin qui est fermé. Voici l'avis: L'objet du projet de résolution est à l'effet d'accorder la demande d'autorisation pour la construction d'un bâtiment de 6 étages, avec construction hors toit, abritant plus de 36 logements et dont le rez-de-chaussée, face à la rue Jean-Talon, sera uniquement occupé à des fins commerciales d'une superficie égale ou supérieure à 400 mètres carrés et dont une partie du rez-de-chaussée de la rue Clark sera occupée à des fins commerciales d'une superficie égale ou supérieure à 50 mètres carrés http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav16597.pdf
  12. http://affaires.lapresse.ca/economie/grande-entrevue/201405/30/01-4771436-david-culver-lalcan-davant-nexiste-plus.php À 89 ans, David Cutler se rend encore à son bureau tous les matins à 9h, pour y passer la journée. Mieux encore, l'ancien PDG de l'Alcan - qui a fondé la firme d'investissement CAI, lorsqu'il a pris sa retraite de la multinationale montréalaise en 1989 - vient de faire paraître un livre où il relate les grands évènements de sa vie peu banale. Publié aux éditions McGill-Queen's University Press, Expect Miracles - Recollection of a Lucky Life, a été coécrit par l'ex-journaliste Allan Freeman qui a longtemps travaillé pour le Wall Street Journal avant de devenir correspondant à l'étranger du Globe and Mail à Londres et Washington. «Ce goût d'écrire m'est venu de ma mère. Même si elle n'a pas fait de grandes études, elle a écrit toute sa vie. Des poèmes, des nouvelles, un journal. De 1926 à 1986 elle a écrit, à la main, un total de 48 000 pages qui sont aujourd'hui aux Archives nationales. «Elle était passionnée d'histoire et s'intéressait beaucoup à la culture francophone. Entre les deux guerres, elle a écrit une «Histoire des Canadiens français de 1629 à 1940 «. J'aimerais la publier pour donner la vision que pouvait avoir de la société francophone du Québec, une Canadienne anglaise, née à Halifax», m'explique David Culver, dans son bureau de la rue Drummond, situé à quelques pas de marche de la Maison Alcan, rue Sherbrooke Ouest. Toute sa vie durant, David Culver a évolué dans le «Golden Square Mile», le bastion de la bourgeoise anglophone - de 1850 à 1930 - dans le secteur centre-ouest du centre-ville de Montréal. Il a grandi sur la rue Peel, au coin de l'avenue Doctor-Penfield, dans une maison de 12 pièces, chauffées, sur quatre étages, et que son père louait 150$ par mois. Puis il a construit la Maison Alcan, rue Sherbrooke. Depuis 1989, il a son bureau tout juste à côté, rue Drummond. Après avoir obtenu un diplôme en sciences de l'Université McGill, David Culver a décroché un MBA de l'Université Harvard et un certificat du Centre d'études industrielles de Genève. Il commence sa carrière chez Alcan en 1949. Il y a travaillé durant 40 ans.. Une entreprise pro-Québec Il est donc évidemment beaucoup question d'Alcan dans le livre de David Culver. Il est devenu le président de la division Alcan Canadian Company en 1975, un an avant l'élection du Parti québécois et l'exode anglophone qui a suivi. «Contrairement à beaucoup d'entreprises canadiennes-anglaises, Alcan a toujours entretenu de bonnes relations avec les gouvernements du Québec et la communauté francophone», souligne l'homme d'affaires. Ce trait culturel a pris origine en 1928, lorsque Alcan, qui était basée à Pittsburgh, a envoyé R.E. Powell au Canada pour y superviser les activités qui y prenaient une forte expansion. Rapidement, ce dirigeant américain a compris que l'avenir de l'entreprise allait être intimement lié au fort potentiel hydroélectrique dont elle pouvait disposer au Saguenay-Lac-St-Jean. Il a décidé de déménager le siège social canadien d'Alcan de Toronto à Montréal. Contrairement au CN qui se targuait de n'avoir aucun vice-président francophone à son siège social montréalais, R.E. Powell a embauché beaucoup de Canadiens français à des postes-clés de la direction d'Alcan. «On a toujours eu de bonnes relations avec Québec et c'est dans ce contexte qu'en 1976, au lendemain de l'élection du PQ, j'ai annoncé au conseil d'administration qu'il fallait investir 500 millions pour la construction d'une nouvelle usine à La Baie. On avait besoin de ces nouvelles capacités. «Les administrateurs m'ont dit: tu es fou. Le PQ s'est engagé à tenir un référendum et ils peuvent vouloir nationaliser notre entreprise ou nos actifs hydroélectriques. Si tu veux ton projet, fais signer une lettre à René Lévesque - avec son sang - dans laquelle il s'engage à ne jamais nous nationaliser. «Je leur ai répondu qu'il y aurait au moins de 10 à 15 autres gouvernements qui allaient se succéder au Québec pendant la durée de vie utile de notre usine. Il ne fallait pas s'inquiéter pour rien», relate David Culver. L'ex-dirigeant assure qu'il a toujours eu de bonnes relations avec René Lévesque, qui comprenait bien l'importance d'Alcan. Davis Culver a même profité de la panique anglophone de la fin des années 70 pour réaliser son rêve de donner à Alcan son propre siège social à Montréal. «On était locataire dans une tour et je voulais donner un siège social chaleureux pour nos employés. J'ai décidé d'acheter la maison de Lord Althelson, située en face du Club Mont-Royal, et six autres édifices qui étaient attenants. «Ça nous a coûté moins de 5 millions. La tenue prochaine du référendum de 1980 avait fait chuter totalement les prix», se rappelle-t-il dans un large sourire. La vente de la Maison Alcan et le déménagement prochain du siège social de Rio Tinto Alcan dans la nouvelle Tour Deloitte chagrine d'ailleurs David Culver, passionné d'architecture qui aimait bien la chaleur et le rayonnement du complexe Alcan. Il souhaite que Guy Laliberté, l'un des acheteurs de la Maison Alcan, se serve de l'atrium pour y présenter des spectacles. «Cet endroit doit continuer de vivre», souhaite David Culver. L'ex-PDG d'Alcan est aussi désolé par le départ annoncé cette semaine de la PDG Jacynthe Côté et constate que l'entreprise ne sera plus jamais ce qu'elle a déjà été. «L'Alcan d'avant n'existe plus. Je ne critique pas Rio Tinto mais l'aluminium, ce n'est pas le même business que le minerai de fer. On marche par cycles de dix ans où on fait beaucoup d'argent pendant deux ans et les huit autres années, il faut gérer de façon serrée. On reste profitable mais on n'obtient pas les mêmes marges que le minerai de fer», expose-t-il. Lorsqu'il a quitté la présidence d'Alcan, en 1989, l'entreprise comptait plus de 70 000 employés dans le monde. Aujourd'hui, en incluant ses coentreprises, Rio Tinto Alcan compte 26 000 employés.
  13. Clark des Arts Clark des Arts nouveau projet immobilier de condos neufs dans le quartier des spectacles de Montréal. Condos à vendre par l’agence immobilière McGill immobilier, courtiers immobiliers condos Montréal. En construction… livraison février 2014 Les Condos Clark des Arts est un projet unique qui vise à transformer deux immeubles classés historiques par la ville, en un condominium luxueux urbain à deux pas du Quartier des Spectacles, des soirées vibrantes du Boul. St. Laurent et du cœur de Montréal, tout en étant à proximité des tours à bureaux et de l’UQAM. Situé sur la rue Clark entre Sherbrooke et Ontario, Clark des arts marie agréablement l’environnement paisible de la rue à la vivacité du centre-ville et ses activités. L’intérieur des condos Clark des arts comprend des cuisines luxueuses, des planchers de bois franc partout, des tuiles dans les salles de bain et les cuisines et bien d’autres caractéristiques de luxe et de qualité à travers tous les condos. Que ce soit pour un pied à terre ou pour votre résidence urbaine, nos condos d’une ou deux chambres à coucher de différentes grandeurs, font de notre condominium le meilleur choix en ville. Veuillez vous enregistrer immédiatement pour recevoir tous les renseignements incluant les prix de vente, aussitôt qu’ils seront rendus publics. Le bureau de ventes sera ouvert pour la prévente très bientôt. Ne manquez pas votre chance d’être le propriétaire d’un condo dans le cœur même du Quartier des Spectacles. Rue Clark, Entre Sherbrooke O. et Ontario O. Quand l’ancien se marie au nouveau! http://www.mcgillimmobilier.com/clark-des-arts-condos-montreal/ Présentement sur Google map :http://maps.google.ca/maps?q=Place+des+Arts,+Montr%C3%A9al,+QC&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.511114,-73.56779&spn=0.000015,0.010568&sll=45.50867,-73.553992&sspn=0.522585,1.352692&oq=Montr%C3%A9al,+QC+place+des+&hq=Place+des+Arts,+Montr%C3%A9al,+QC&t=m&z=17&layer=c&cbll=45.511183,-73.56794&panoid=Mg-pDi2Ji2L8FsnJjRaArQ&cbp=12,82.24,,0,-5.01
  14. Rue St-Jacques coin Sainte Magurite 25 condos sur 3 étages http://www.jardinstjacques.com/
  15. Nouvelle caserne du SIM, coin sud-ouest du boulevard Gouin et au nord de la rue Sherbrooke. Certifié Leed Or. Investissement de 7$M http://www.portailconstructo.com/actualites/construction_deux_nouvelles_casernes_montreal
  16. Voilà un nouveau projet sur Beaubien au coin de la Roche. La Belle Province sera démolie prochainement pour faire place à de nouveaux condos. Super emplacement je trouve, un peu bruyant, mais près de tout. http://www.chapam.ca/133-projets/ROCHE_condominiums.html
  17. http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav16698.pdf "sur l'ensemble du 9e étage d'un bâtiment projeté de 9 étages situé aux 166-174, rue Sainte-Catherine Est, l'usage résidentiel "bâtiment abritant un nombre illimité de logements", et ce, conformément à la procédure des usages conditionnels et à l'article 247 du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement de Ville-Marie (01-282) [dossier 1146347033];" (...) "La séance du conseil d'arrondissement au cours de laquelle seront étudiés ces demandes aural ieu le mercredi 7 mai 2014, à 19 h, à la salle du conseil, 800, boulevard De Maisonneuve Est, rez-de-chaussée." Donc : 9 étages, résidentiel (possiblement locatif).
  18. C'est un quiz! Vous devez identifier ou était situé ce projet de Karl Fischer. La seule info disponible est qu'il était situé sur la rue de la Montagne. Je compte 30 étages. Je ne connais pas la réponse!
  19. Mise à jour continuellement. Classement par décénies. -Nombre d'étages / nom du projet (année, si disponible) et lien vers le fil- ***2010 à 2019*** 52 :: QUAD Windsor (750 Peel) (2014) 45 :: Univers Condos, tour 1 (2013) 40 :: 1215 Square Phillips (2012) 40 :: Espace Montmorency, tour 1 (2013) (Laval) 40 :: Espace Montmorency, tour 2 (2013) (Laval) 40 :: Îlot Overdale (2013) 38 :: Hilton Montreal (2011) 30 :: Tour St-Jacques (2011) 29 :: Les Diamants, tour 1 (2012) 28 :: Les Diamants, tour 2 (2012) 28 :: Le Commodore, tour 1 (2014) (Laval) 27 :: Le Commodore, tour 2 (2014) (Laval) 27 :: Écocité sur le Bois, tour 1 (2010) 26 :: Espace Montmorency, tour 3 (2013) (Laval) 26 :: Espace Montmorency, tour 4 (2013) (Laval) 26 :: Espace Montmorency, tour 5 (2013) (Laval) 26 :: Place du SPECTRUM / Complexe SIDEV (2011) 25 :: Univers Condos, tour 2 (2013) 24 :: Écocité sur le Bois, tour 2 et autres (2010) 24 :: Le Square Dorchester (2011) 21 :: Espace Montmorency, tour 6 (2013) (Laval) 21 :: 1800 René-Lévesque Ouest (2011) 21 :: 1200 Mackay (2015) 21 :: Le Triomphe (2014) 20 :: Rio Tinto Alcan, agrandissement du siège social (2010) 20 :: Boulevard du Souvenir (2012) (Laval) 20 :: Magasin Steve's - 20 étages (2014) 18 :: Tour Telus - Ilôt Overdale (2013) 17 :: 1175 Mackay 17 :: Maison Ogilvy (2013) 16 :: Ilot Voyageur (2012) 16 :: Le Belvédère Hampstead (2013) 14 :: Tour Tysel (2012) (Brossard) 14 :: 1800 René-Lévesque Ouest (2011) 13 :: Royal Hotel (2011) 13 :: Édifice Intact (2012) (Longueuil) 12 :: Tour Catania (2013) (Brossard) 12 :: Condos Signature, tour 1 (2013) (Laval) 12 :: Condos Signature, tour 2 (2013) (Laval) 12 :: Condos Signature, tour 3 (2013) (Laval) 11 :: Le MUZ (2015) 10 :: Boulevard du Souvenir (2012) (Laval) 10 :: Le LVL v. 2.0 (2014) (Laval) 10 :: Luz condos (2015) 9 :: Marianopolis (2010) 8 :: Lumen, phase 1 (2011) 8 :: Lumen, phase 2 (2011) 8 :: Lumen, phase 3 (2011) 8 :: Rue Crescent / Rue Drummond (2011) 8 :: 59 Crémazie Ouest (2010) 7 :: Secteur 9 (2014) (Laval) 7 :: Place Lennox (2012) 5 :: Ogilvy Warehouse (2015) 4 :: Le RL (2011) X :: Griffintown (2010) X :: Lac Mirabel (2011) X :: Gentilly 2 (2012) X :: Condos le Parc (2014) X :: Westmount Square (Conversion en condos) (2015) X :: Château Maplewood (1420 Mont-Royal) (2012) X :: MUHC : Hôpital Général de Montréal (2012) X :: Agrandissement Poste de police 31 (Parc Jarry) (2010) X :: Ferrari + Maserati Showroom par Panzini (2010) X :: Édifice métro Longueuil (densification) (2010) ***2000 à 2009*** 60 :: Hôpital Privé Griffintown, Tour 1 (2009) 60 :: Hôpital Privé Griffintown, Tour 2 (2009) 50 :: 1300 René-Lévesque Ouest (2004) 35 :: 1300 René-Lévesque ouest (2003) 35 :: Les résidences étudiantes ÉTS, phase 4 (2007) 34 :: Le Mackay (2009) 32 :: Tour Mansfield (2008) 30 :: Projet Karl Fisher - boul. de Maisonneuve (2003) 28 :: Le Mackay (2008) 28 :: Condos Île Charron (2008) 25 :: Place du Commerce Électronique, phases 3 et suivantes 23 :: 53 Sherbrooke Ouest - 23 Étages (2007) 22 :: 1440 de la Montagne (2008) 21 :: 750 Peel (2007) 21 :: Le Maritime (2007) 20 :: La pointe de la Voie maritime 20 :: Le Prestige de la Rivière (2007) 17 :: Le Cristofe-Alexandre (2005) 17 :: Le Chagall (2007) 16 :: Porte Sainte-Marie (2004) 16 :: 1500 René-Lévesque Ouest (2007) 16 :: Mackay / Guy (2002) 15 :: Le Riopelle (2008) 14 :: Siège social d'Autodesk, phase 2 (2008) 13 :: 1 Avenue du Port (2008) 13 :: Le Quartier Parisien (2007) 12 :: Musée Juif de Montréal (2003) 11 :: 225 St Jacques (2007) 11 :: Embassy Suites P.E.T. (2007) 10 :: Le Victoria (2008) 8 :: MG1 (2007) 7 :: Le Saint-François (2003) 7 :: Hôtel Notman-Panzini (2001) 7 :: Prince/Wellington (2007) 6 :: Square Cartier phase 2 (2008) 6 :: Habitations Laurier (2004) 5 :: Le Madison du Vieux-Port (2008) 5 :: 1080 Boul. Taschereau (Longueuil) (2008) 5 :: Siège social d'Autodesk, phase 1 (2008) X :: Place des Amériques - Casino/Centre Congrès/Gare/Hotels/Salle de concert (2002) X :: Cirque du Soleil / Bassin Peel (2004) X :: Stade des Expos centre-ville (2001) X :: Condominiums Site Jenkins Lachine (2007) X :: Reveport - Aerodream (2007) X :: Technoparc Montréal (2005) X :: Déménagement de l'hippodrome à Laval (2008) X :: Parc Rives-Nouvelles (2008) X :: L'ONU à Montréal (2007) X :: Écran géant centre-ville (2007) X :: Destination commerciale et de loisirs Balmoral (2002) X :: Technodôme (2000) ***1990 à 1999*** 72 :: 1250 René-Lévesque ouest (1992) 34 :: 750 Peel (1991) 25 :: 500, boul. de Maisonneuve ouest (1991) 17 :: Pointe Nord Canderel, tour 5 (1999) 15 :: Pointe Nord Canderel, tour 4 (1999) 13 :: Pointe Nord Canderel, tour 3 (1999) 9 :: Pointe Nord Canderel, tour 2 (1999) 8 :: Pointe Nord Canderel, tour 1 (1999) X :: Expos Office Complex (1998) ***1980 à 1989*** 42 :: 750 Peel, tour 2 (1988) 40 :: Hydro-Québec / rénovations et agrandissement (1986) 37 :: Galleria Dorchester (Îlot Overdale), tour 1 (1987) 37 :: Galleria Dorchester (Îlot Overdale), tour 2 (1987) 33 :: Tour SNC, phase 2 (1989) 30 :: 701 University (1980) 27 :: 750 Peel (1986) 24 :: 750 Peel, tour 1 (1988) 23 :: Place du Nouveau Monde (1984) 19 :: Complexe Métro de Bleury (1983) 7 :: 1000 Saint-Antoine Ouest (1983) 7 :: 2000 rue Drummond (1983) 6 :: 460 Saint-François-Xavier (1983) ? :: Galleria Dorchester (1984) X :: Salle de l'OSM, 1984 à aujourd'hui ***1970 à 1979*** 75 :: Blue Bonnets (1973) 60+ :: Place Dupuis (1972) 50 :: Hôtel coin Gauchetière et St-Antoine (1972) 40 :: 1-Blue Bonnets (1973) 40 :: 2-Blue Bonnets (1973) 35 :: ICAO Hotel (1971) 22 :: Complexe du Canadien Pacifique (1976) 20 :: Mountain Apartments (1971) 17 :: Mountain Condo (1972) X :: Complexe Desjardins (version 1971) X :: Projet Soeurs Grises (~1975) ***1960 à 1969*** 47 :: Tour de la Bourse II 47 :: Tour de la Bourse III 38 :: Sheraton Cartier 36 :: Tour Laurier (1963) 20 :: Projet Eaton-Mace (1968) X :: Tour Montréal-Paris (1964) X :: STM : métro : ligne 3 rouge (1967) ***1950 à 1959*** 30 :: 800 Dorchester (version 1953) X :: Autoroute dans l'emprise de la Rue de la Commune - Vieux- Port (1959) ***1940 à 1949*** ***1930 à 1939*** X :: Hôtel de ville et centre d'affaires (1931) ***1920 à 1929*** 40 :: Canadian Pacific Railway Co. 35 :: Hôtel Windsor 6 :: Stade des Royaux de Montréal (1927) ***1910 à 1919*** X :: Centre administratif (1913) X :: Strathcona Boulevard and Parks (1910) ***1900 à 1909*** ***19?? à 19??*** 80 :: Tour Bonaventura 70 :: 900 de Maisonneuve ouest 52 :: Place de la Concorde 28 :: Hôtel Sheraton ***1890 à 1899*** X :: Terminal du Grand Trunk Railway Co. (1897) X :: Boulevard de l'Opéra (1894) X :: Tramways aériens
  20. Nouvelle adresse dans le Quartier des spectacles : Café Parvis : un petit nouveau, rue Mayor Publié le 4 février 2014 par Quartier des spectacles Les huit partenaires derrière le Furco frappent encore. Situé dans le grand local adjacent au populaire bar, le Café Parvis, ouvert depuis quelques jours à peine, est un café et une pizzeria. L’endroit séduit déjà les Montréalais le jour et on prévoit une ouverture en soirée d’ici le printemps. Rencontre avec Éric Bélanger, chef superviseur et associé au Café Parvis, au Furco et à la Buvette Chez Simone. Comment est né le Café Parvis? Quand nous avons ouvert le Furco, en octobre 2012, nous avions prévu qu’il serait en opération midi et soir. Nous avons d’abord ouvert le soir, pour le rodage, puis, après une semaine, le bar était déjà plein tous les soirs. C’est devenu très rapidement un endroit où c’était continuellement la fête. Nous n’avons donc jamais ouvert le midi. Puis, on nous a proposé le local adjacent. Au départ, nous étions plus ou moins intéressés parce que nous étions satisfaits du Furco. Mais l’idée d’ouvrir un café me trottait dans la tête depuis un moment. Puisque le local était parfait et que ça fonctionnait bien avec les associés du Furco, nous avons décidé d’aller de l’avant. Le Parvis, lui, sera ouvert seulement le midi? Notre objectif est de l’ouvrir matin, midi et soir! Le Parvis ouvre dès sept heures le matin. Nous servons un café haut de gamme – notre barista est même allée suivre une formation en Oregon! – ainsi que des viennoiseries qui sont cuisinées sur place. Nous nous préparons pour l’ouverture de soir, qui se fera d’ici le printemps, quand tout sera à mon goût. Pour le moment, donc, nous sommes ouverts du lundi au vendredi, de 7 h à 15 h, et, bientôt, nous ouvrirons les soirs et les week-ends. Qu’est-ce qu’on retrouve au menu? Il y a six sortes de pizzas, autant de salades et une soupe. On peut manger sur place ou commander pour emporter. Le concept ressemble à celui de la Buvette chez Simone [où Éric Bélanger est aussi associé], c’est-à-dire que, sur le menu, vous encerclez ce que vous voulez et nous l’apportons sur des plateaux pour permettre le partage entre les convives. C’est parfait pour le midi. Cela nous permet de faire un service rapide en moins de 45 minutes. Nous proposons des pizzas romaines, qui ont une pâte plus épaisse et plus croustillante que la pizza napolitaine. Les recettes se veulent inventives. Il y a, par exemple, une pizza avec du boudin maison et des oignons caramélisés. Une autre est garnie de saumon fumé maison, de salade fraîche et d’huile citronnée. Vous avez un permis d’alcool? Oui. C’est un permis pour restaurant, donc il faut manger pour consommer de l’alcool. Nous proposons six bières en fut d’une microbrasserie québécoise. La carte des vins est restreinte, mais bien choisie : il y a douze bouteilles et au verre, nous proposons deux vins d’importation privée qui ont été créés spécialement pour nous. Le vrai bar, il est à côté; c’est le Furco. Ici, nous voulions créer une pizzeria conviviale où les prix sont abordables. Quelle est l’ambiance du Parvis? Nous avons voulu créer une ambiance un peu seventies. Nous souhaitions déménager l’esprit du Mile-End au centre-ville, parce qu’il n’y a pas vraiment d’établissement de ce genre ici. C’est le designer Zébulon Perron, aussi partenaire dans l’aventure, et moi-même qui avons pensé le décor qui comprend des références rétro et beaucoup de plantes. Quels autres projets avez-vous en tête pour le Parvis? Nous souhaitons avoir des places de terrasse sur la rue dès le printemps. La demande de permis a été faite. La terrasse serait ouverte du matin jusqu’à environ 21 h ou 22 h. Nous pourrions la garder ouverte jusqu’à 23 h, mais nous voulons nous assurer d’une bonne cohabitation avec le voisinage. Aussi, j’aimerais ajouter une serre sur le toit. Nous pourrions y faire pousser nos propres piments. Nous allons probablement commencer les travaux en mai. Quelle image vous vient en tête quand vous pensez au Quartier des spectacles? L’Église Unie Saint-James. J’aime beaucoup l’architecture et je venais souvent me promener dans le quartier pendant les travaux de revitalisation de l’église. C’est comme ça d’ailleurs que j’ai trouvé le local de la rue Mayor, derrière l’église, et que nous nous sommes installés ici. Café Parvis 433, rue Mayor
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