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  1. Adapter de la Concorde aux nouveaux bâtiments résidentiels ne m’apparaît pas si difficile. Il faut couper le trottoir Nord de la rue (le plus ensoleillé + les halls des bâtiments) où passent des camions de livraison et des automobilistes se dirigeant vers les hôtels. Vu son étroitesse, la rue devrait être un sens unique et offrir du stationnement qu'un seul côté à fois. Le sens devrait être nord-est, donc de PK à la rue Bleury. PK est double sens et facilitera l'accès. Un petit montage que je viens de faire et qui montre les possibilités : -------------------------------------- Avant : Après : Les flèches jaunes représentent les entrées de stationnement et les aires de livraison. Les flèches bleues représentent les entrées pour les piétons. -------------------------------------- Coupe devant le Peterson Avant : Après : -------------------------------------- Vue vers l'Est, devant le Peterson Avant : Après :
  2. Bâtiment dans Angus, sur la rue Molson. http://binged.it/VZFcWS Des images de plus grandes tailles sont disponibles sur le site. SIÈGE SOCIAL DE L’ORDRE DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS DU QUÉBEC (OIIQ) Montréal, Canada
  3. Petit projet dans le quartier Sainte-Marie, presque sur la piste cyclable en face du parc Bellerive et le fleuve...situé sur une petite rue au sud de la rue Sainte-Catherine, entre les rues Fullum et Dufresne. http://www.belvederestlaurent.ca LE PROJET Modernité et originalité s'épousent harmonieusement dans un ilot lumineux aux frontières du centre-ville et face au fleuve St-Laurent. NOTRE MISSION La mission de l'entreprise consiste à développer de petits projets résidentiels, où l'accent est mis principalement sur une architecture novatrice contemporaine, une maximisation efficace des espaces et l'utilisation de matériaux de qualité. L'appartenance à un milieu de vie, à la fois calme et urbain, se joint à une expérience en copropriété qui se veut simplifiée et responsable. LES APPARTEMENTS Superficie : 663 p.c. à 905 p.c Disponibilité : été 2016 Les appartements bénéficieront tous de la lumière traversant. Chaque unité possèdera 2 balcons, le grand balcon en avant, côté sud, vous permettra de jouir de la vue du fleuve et du pont Jacques Cartier. La fluidité des espaces, la finition soignée dans un environnement bien insonorisé contribueront à votre bien-être. Le rez-de-chaussée de l'immeuble accueillera les stationnements pour les autos (4), les espaces de rangement individuels ainsi que les porte-vélos. Nombre d'unités : 8 Nombre de chambres : 1 ou 2 Notez qu'il sera possible de construire un seul appartement par étage (1550 p.c. environ) RBQ : 5701-6925-01 sent via Tapatalk
  4. J'aime bien l'idée de rendre l'avenue des Canadiens piétonne. Ça fera un beau coin entre l'Avenue (le building, pas la rue!) et la tour des Canadiens.
  5. http://journalmetro.com/actualites/montreal/803754/du-pain-a-domicile-livre-a-cheval/ 05/07/2015 Mise à jour : 5 juillet 2015 | 22:28 Du pain livré à domicile… à cheval Par Mathias Marchal Métro Mathias Marchal/Métro L’initiative de la Run de pain dans le Sud-Ouest vise entre autres à promouvoir la réhabilitation du cheval en milieu urbain. L’arrondissement du Sud-Ouest offre (avec succès) la livraison du pain à cheval, histoire de souligner les 350 ans du cheval canadien. L’initiative du musée La Maison Saint-Gabriel sera répétée tous les samedi matin de l’été dans le quartier Pointe-Saint-Charles. Aux trois quarts de la première Run de pain, les deux tiers des 150 miches s’étaient envolées comme des petits pains. «Il y a encore 150 ans, on trouvait une petite écurie dans chaque ruelle de Montréal. Le cheval servait à tout: à livrer la glace, car il n’y avait pas encore de frigidaire, au livreur de lait, à l’aiguiseur de couteaux, pour l’agriculture et même le déneigement», explique Josée Lapointe, cochère et propriétaire des Écuries de Montréal. «Dans les grandes villes comme New York, Londres et Paris, où le ramassage du crottin n’était pas immédiat, les enfants pouvaient se faire quelques sous en balayant le chemin devant les dames souhaitant traverser la rue sans salir leur robe», renchérit Éric Michaud, animateur historique et boulanger estival. Le cheval besogneux a graduellement disparu avec l’arrivée de l’automobile, et la «run de pain» est devenue une relique à partir des années 1950. En France toutefois, 400 municipalités ont déjà entamé le retour du cheval en ville, que ce soit pour ramasser les poubelles ou pour remplacer les véhicules des employés municipaux dans les parcs. Au Mont-Saint-Michel, une des navettes qui relient les stationnements du site principal carbure au foin et aux carottes. Dans l’ouvrage Le cheval au service de la ville (Éditions Écosociété), un fonctionnaire de la ville de Trouville, Olivier Linot, raconte l’expérience menée depuis 14 ans par cette petite ville française, qui compte désormais cinq chevaux, afin de démystifier son côté folklorique. Depuis l’introduction du cheval en ville, la collecte du recyclage s’est multipliée, les cols bleus sentent leur travail valorisé, sans parler des bénéfices financiers et écologiques, explique-t-il. «Une maman m’a dit que la seule possibilité pour que son fils aille se coucher le soir, c’était de le menacer de le conduire à l’école en auto le lendemain [plutôt qu’en carriole]», illustre M. Linot. Mais Montréal hésite encore. Si le conseiller municipal rêve d’une grande écurie municipale à saveur éducative, qui viendrait aussi fournir les cols bleus en chevaux pour les épauler dans leurs travaux dans les grands parcs, il fait presque cavalier seul. «C’est vrai que ce serait intéressant, mais quand on y regarde de près, c’est plutôt complexe à concrétiser», indique Benoit Dorais, maire de l’arrondissement du Sud-Ouest. 62 000 Pour sauver le paddock du Horse Palace, une fondation a été mise en place. La campagne de sociofinancement qui a été lancée s’était fixé 45 000$ comme objectif. Ce sont finalement 62 000$ qui ont été récoltés. Ce dernier souligne néanmoins que la ville a contribué en 2013 au projet de sauvegarde du Horse Palace, l’une des trois écuries montréalaises, cerné par les nouveaux condos en construction. «On a racheté le terrain adjacent pour le zoner parc. Maintenant, quand on se promène sur la rue Ottawa, on voit d’ailleurs toujours au moins deux ou trois propriétaires de condos qui regardent de leur balcon les chevaux s’ébrouer», ajoute le maire de l’arrondissement. «Le cheval est à Montréal pour y rester», conclut-il.
  6. Visionnez ici la présentation du projet Un projet « vert » en harmonie avec le milieu : Début des travaux d'aménagement de l'antenne ferroviaire Longue-Pointe en piste multifonctionnelle 4 juillet 2014 Montréal, le 4 juillet 2014 – Le maire de l'arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve et responsable du développement durable, de l'environnement, des grands parcs et des espaces verts au comité exécutif de la Ville de Montréal, M. Réal Ménard, en présence de ses collègues élu-es de l'arrondissement et de M. Aref Salem, responsable du transport au comité exécutif de la Ville de Montréal, a annoncé ce matin, en conférence de presse, le début des travaux d'aménagement de l'antenne ferroviaire Longue-Pointe, localisée dans le district de Maisonneuve–Longue-Pointe, en piste multifonctionnelle de 0,5 km, qui se déploie d'est en ouest, de la rue Viau à l'avenue Bennett et entre les rues de Rouen (nord) et Ontario (sud). « Je suis fier d'annoncer le début des travaux de l'antenne ferroviaire Longue-Pointe qui, à la suite de consultations publiques tenues en 2012 dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, répond maintenant aux attentes du milieu. Cette piste multifonctionnelle sera un aménagement vert, récréatif et sécuritaire qui embellira le quartier tout en améliorant la qualité de vie des résidents. Il y aura plantation de 78 arbres d'espèces variées ainsi que 941 arbustes et de nombreuses vivaces. De plus, les eaux de pluie seront captées et un système d'éclairage moins énergivore sera installé », a souligné le maire de l'arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve, M. Réal Ménard. Le projet de réaménagement de l'antenne ferroviaire Longue-Pointe en piste multifonctionnelle La Ville de Montréal a signé un bail à long terme de 60 ans avec le ministère des Transports, actuel propriétaire de cette partie de l'ancienne emprise ferroviaire, afin d'aménager entre autres cette piste multifonctionnelle. Les travaux d'aménagement de 3,2 M$ sont financés par la Ville et l'agglomération de Montréal. Ils débuteront en août 2014 pour se poursuivre pendant une période de 13 à 15 semaines. Une étape de plus dans la mise en place du Quartier vert Maisonneuve Le responsable du transport au comité exécutif de la Ville de Montréal, M. Aref Salem, a déclaré : « Ce projet s'inscrit dans l'optique de l'établissement du Quartier vert Maisonneuve, dont le cœur est le marché Maisonneuve, à proximité de la rue Notre-Dame. Le projet du quartier vert vise ainsi à apaiser la circulation et à améliorer la sécurité par la réduction des vitesses et de la circulation de transit. L'implantation d'une piste multifonctionnelle dans cette ancienne emprise ferroviaire sera un jalon de plus dans la mise en place d'un corridor cycliste est-ouest dans l'axe de la rue Souligny. » Un projet attendu dans Hochelaga-Maisonneuve Selon la conseillère du district de Maisonneuve–Longue-Pointe, Mme Laurence Lavigne Lalonde : « C'est grâce à la participation de nos citoyens et citoyennes ainsi qu'à nos partenaires que ce projet d'aménagement s'est précisé. Cette piste multifonctionnelle, inscrite dans ce quartier densément peuplé, présente également un important lieu de socialisation avec son jardin communautaire, sa place publique et son aire de jeu pour les enfants. De plus, le développement résidentiel récent du secteur s'est fait en harmonie avec ce projet. » Source : Arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve
  7. Le Belvédère St Laurent est un projet doté d'une architecture contemporaine qui s'intègre bien dans le tissu urbain. L'accent est mis sur la qualité des matériaux, une finition intérieure soignée et une gestion facile avec des frais de condo minimes. Situé sur une toute petite rue en retrait face au fleuve, vous aurez néanmoins l'avantage de vous rendre au métro en 7 minutes de marche et vous aurez également un accès rapide aux grands réseaux routiers. Bonne visite sur le site http://www.belvederestlaurent.ca/
  8. Dans LaPresse : Publié le 25 juin 2014 à 09h54 | Mis à jour à 09h54 Le Westmount Square transformé en condos [ATTACH=CONFIG]16318[/ATTACH] La ville de Westmount est contre le projet de conversion du Westmount Square en condos. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRECHETTE, LA PRESSE ANDRÉ DUBUC La Presse La frénésie entourant la copropriété résidentielle gagne les propriétaires de tours de bureaux du centre-ville. La société Elad Canada souhaite convertir en condos le prestigieux édifice de bureaux du 1, Westmount Square, oeuvre de l'architecte Mies van der Rohe. Lors d'une assemblée publique tenue le 4 juin, Amnon Safran, représentant du promoteur, a chiffré à 20 millions le coût de conversion pour aménager 120 unités de copropriété divises dans les 20 étages de la tour de 200 000 pieds carrés. La Ville est contre La Ville de Westmount reçoit négativement le projet. Le 17 mars 2014, elle a instauré un gel de 90 jours qui empêche la conversion d'immeubles de bureaux en condominiums dans le secteur sud-est de la ville. «Tant que la Ville n'a pas terminé son exercice de vision du quartier, on ne veut pas de conversions», explique Johanne Poirier, directrice de l'aménagement urbain. Parmi les exemples récents de conversion, Mme Poirier parle de l'ex-édifice du Reader's Digest, au 215, rue Redfern, et de l'ancienne école Vanguard, au sud de la rue Sainte-Catherine, rue Metcalfe, qui est en voie de démolition. Elle sera remplacée par des condos. «Le conseil réagit à l'accumulation de ce type de projets, poursuit Mme Poirier. Le conseil veut conserver une vocation commerciale à l'intérieur des limites de Westmount. La Ville ne veut pas devenir un secteur 100% résidentiel. Elle veut avoir un mélange d'usages.» Construit en 1966, le Westmount Square est composé de trois tours et d'un quatrième immeuble de deux étages. Deux des tours ont toujours été à vocation résidentielle. Dans les années 2000, elles sont néanmoins passées d'un statut locatif à celui de copropriétés indivises. L'architecte au dossier, Michel Lauzon, du cabinet Lemay, s'est récemment inscrit au registre des lobbyistes. «Le projet de conversion s'inscrit dans un plan de revitalisation globale du complexe de Westmount Square incluant la transformation du centre commercial, le remplacement de systèmes mécaniques et la rénovation complète de l'enveloppe du bâtiment», lit-on dans sa fiche déposée en mai dernier.
  9. http://blogue.onf.ca/blogue/2015/05/21/montreal-dhier-aujourdhui-films-onf/ Montréal de 1940 à aujourd’hui à travers les films de l’ONF Films Documentaire | 21 mai 2015 par Emilie Nguyen Des années 1940 à aujourd’hui, la ville de Montréal a fait l’objet de nombreux films de l’ONF. En fouillant dans la collection, force est de constater que la cité aux cent clochers a été la muse de plusieurs cinéastes, tels que Jacques Giraldeau, Jacques Leduc, Hubert Aquin, Luc Bourdon et Michel Brault. Chacun à leur manière, ils nous ont donné à voir la ville dans un style cinématographique propre à leur démarche et à leur époque. Objectif-Expo-67-tv-big Image tirée du film Objectif 67 En raison de mon obsession pour l’ordre et la chronologie, j’ai rassemblé quelques-uns de ces titres de manière à pouvoir suivre l’évolution de la ville à travers les décennies. Une occasion de replonger dans le Montréal des années 1940 et d’entreprendre une balade au parc Lafontaine sur une musique bucolique; d’être aux premières loges pour admirer les chars allégoriques du défilé de la Saint-Jean-Baptiste en 1959; de prendre le mini-rail pour revivre en couleur les heures merveilleuses de l’Expo 67; de revisiter le quartier Griffintown et les commerces du boulevard Saint-Laurent dans les années 1970; de contempler Montréal sous toutes ses coutures dans les années 1990, et de terminer le voyage par une flânerie interactive sur le Mont-Royal en compagnie de l’écrivain Dany Laferrière. Bon voyage temporel! 1940 La cité de Notre-Dame (1942) Avec ce documentaire passionnant, redécouvrez la ville de Montréal en 1942…et en couleur! Entrez dans le quotidien fourmillant de la métropole avant les gratte-ciel et les autoroutes. Déambulez parmi ses églises, ses vieux marchés, ses galeries d’art, ses universités, son aéroport, ses gares de triage et son port, guidé par une charmante narration. La Cité de Notre-Dame par Vincent Paquette, Office national du film du Canada Au parc Lafontaine (1947) Dans ce court métrage, voyez comment les Montréalais profitaient des beautés du Parc Lafontaine dans les années 1940. À l’époque où les ours noirs, les renards, les chats sauvages et les oiseaux de proie cohabitaient gaiement; où les enfants s’amusaient sous l’oeil attendri des parents, des amoureux, des promeneurs. On y rencontre des gens de tous les âges, tous les types, tous les genres, car chaque jour le tout Montréal se donne rendez-vous au parc Lafontaine… Au parc Lafontaine par Pierre Petel, Office national du film du Canada 1950 Au bout de ma rue (1958) Filmé par Michel Brault, ce charmant petit film raconte l’histoire d’un gamin vivant dans le centre-sud de Montréal qui profite d’un jour de congé pour prendre la poudre d’escampette. Suivez-le alors qu’il découvre le bord de l’eau, l’horizon élargi du grand fleuve Saint-Laurent et l’activité bouillonnante du port de Montréal, tel qu’il était en 1958. Au bout de ma rue par Louis-Georges Carrier, Office national du film du Canada Jour de juin (1959) Revivez les festivités de la Saint-Jean-Baptiste à Montréal en 1959. Soyez aux premières loges d’une foule de 700 000 à 800 000 personnes pour voir passer les chars allégoriques, les fanfares d’un événement annuel qui rappelle à tout un peuple ses racines profondes. Jour de juin par ONFB, Office national du film du Canada 1960 À Saint-Henri le cinq septembre (1962) Réalisé par Hubert Aquin en 1962, ce grand classique impérissable du cinéma québécois nous fait visiter en 24 heures le quartier populaire de Saint-Henri à travers les images tournées par un collectif des plus grands cinéastes de l’époque. Le film a été inspiré par le roman Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy. À Saint-Henri le cinq septembre par Hubert Aquin, Office national du film du Canada Objectif 67 (1967) Évoquant les heures merveilleuses de l’Expo 67, ce film en couleur nous replonge au coeur de cet événement marquant dans la vie des montréalais. Dans sa course, la caméra prend le minirail, visite les îles, la Ronde, la Cité du Havre, envahit les pavillons, les restaurants, suit les clowns et capte la joie de la foule. Objectif : Expo 67 par William Brind, Office national du film du Canada 1970 Griffintown (1972) Le quartier Griffintown n’a pas toujours été le berceau de condominiums argentés et des jeunes gens branchés. Ce court métrage documentaire nous montre le quartier tel qu’il était dans les années 1970, ignoré et dévasté. Une population réduite mais opiniâtre s’acharne à y vivre et à lutter contre la tyrannie de l’industrie qui cherche à les exproprier. Griffintown par Michel Régnier, Office national du film du Canada Une rue de lait et de miel (1973) Tourné dans les années 1970, ce court métrage documentaire rend hommage au boulevard Saint-Laurent, artère principale de Montréal. Une rue qui demeure, pour nombre d’immigrants, l’endroit où s’est amorcée leur vie nouvelle. Dans cet excellent film, le cinéaste revisite la rue et les commerçants qui l’ont accueilli à l’âge de huit ans, lorsqu’il arriva au Canada avec ses parents. Une rue de lait et de miel par Albert Kish, Office national du film du Canada 1980 Albédo (1982) Mélangeant fiction et documentaire, ce long métrage établit un parallèle entre la vie du photographe David Marvin et l’histoire de Griffintown, un quartier de Montréal auquel il a consacré une partie de son œuvre. Albédo par Jacques Leducet par Renée Roy, Office national du film du Canada 1990 Les amoureux de Montréal (1992) Le cinéaste Jacques Giraldeau nous présente Montréal sous toutes ses coutures et dans tous ses replis… Montréal baignée dans toutes ses lumières, été comme hiver, revisitée par un cinéaste amoureux de ses rues, de ses ruelles, de ses quartiers, de ses parcs, de son fleuve, de ses églises, de ses édifices… Visages d’hier et d’aujourd’hui. Une ville disparate, de verre et de béton, façonnée par des architectes qui lui ont donné un corps et… une âme! Les amoureux de Montréal par Jacques Giraldeau, Office national du film du Canada 2000 La mémoire des anges (2008) À la fois documentaire, poème et essai, La mémoire des anges est une expérience unique permettant de revisiter la ville de Montréal des années 1950 et 1960, avec ses grandes figures, ses lieux emblématiques et ses citoyens ordinaires. Pour ce faire, le cinéaste Luc Bourdon a procédé à un assemblage d’archives et d’extraits tirés de 120 films produits par l’ONF. Un tour de force magistral! La mémoire des anges par Luc Bourdon, Office national du film du Canada 2010 Sacrée montagne (2010) Revisitez un des lieux les plus emblématiques de Montréal avec ce documentaire Web qui explore notre relation au sacré à travers le Mont-Royal. Dans cette courte vidéo tirée du projet, l’écrivain Dany Laferrière livre une réflexion sur la place du sacré dans l’histoire et l’imaginaire québécois, revivant pour l’occasion ses premiers pas dans ce Montréal que sa mère, depuis Port-au-Prince, appelait « la ville de Dieu ». Sacrée montagne – La métaphore de Montréal par Hélène de Billyet par Gilbert Duclos, Office national du film du Canada À Saint-Henri, le 26 août (2011) Tourné en 24 heures, À St-Henri, le 26 août rassemble quelques-uns des plus brillants cinéastes documentaires québécois d’aujourd’hui autour de cet ancien quartier ouvrier de Montréal. Dans un style cinéma direct, à l’affût des histoires qui font l’épaisseur d’une journée dans la vie quotidienne du quartier, ce film parcourt des trajectoires qui se côtoient ou se traversent tout en restant opaques les unes aux autres. Réalisé en 2010, ce film est un hommage à l’oeuvre collective d’Hubert Aquin, À Saint-Henri le cinq septembre. Il témoigne de la transformations d’un espace urbain resté profondément enraciné dans son passé industriel vibrant. La musique a été composée par le talentueux Patrick Watson. Le film est maintenant disponible en location. Pour le visionner, cliquez ici. À St-Henri, le 26 août – (Bande-annonce) par Shannon Walsh, Office national du film du Canada D’où je viens (2013) Dans ce superbe documentaire, le cinéaste Claude Demers (Les dames en bleu) revisite le quartier populaire de Verdun où il a grandi pour y interroger le mystère de ses origines. La ville et le fleuve Saint-Laurent constituent la toile de fond de cette ode à la vie et à la beauté du monde. Une œuvre libre et humaine, qui nous montre un visage de Verdun que vous n’avez jamais vu. Pour en savoir plus, lisez notre entretien avec le réalisateur. Le film est maintenant disponible en location. Pour le visionner, cliquez ici. D'où je viens – (Bande-annonce) par Claude Demers, Office national du film du Canada Et vous, quels sont vos films préférés de notre collection sur Montréal? À Saint-Henri le cinq septembre, Au parc Lafontaine, cité, Claude Demers, D'où je viens, Documentaire, film, Griffintown, Histoire, Hubert Aquin, Jacques Giraldeau, Jacques Leduc, La cité de Notre-Dame, La mémoire des anges, Luc Bourdon, Métropole, Michel Brault, mont Royal, Montréal, Saint-Henri, Saint-Jean-Baptiste, Saint-Laurent, Urbanisme, Ville, ville-marie, webdocumentaire sent via Tapatalk
  10. J'ai passé cet apres midi sur la 720 ouest . Et j'ai vue des ouvriers installer des nouveau rails a la hauteur de la rue Bethune un peu a l'est du viaduc Glen. Surement la 3 ieme voie qui va vers la station Vendome. Je n'ai pas pris de photos par contre.
  11. La place d'Armes reconstruite Éric Clément La Presse Quelque 6,7 millions de dollars seront consacrés dans les prochaines années par l'agglomération montréalaise pour reconstruire complètement la place d'Armes, dans le Vieux-Montréal. «La place n'a pas été refaite depuis le milieu des années 70, explique Gilles Morel, secrétaire permanent du comité de coordination du Vieux-Montréal, à la Ville de Montréal. Elle manifeste des signes d'âge importants. La Côte de la Place-d'Armes, la place d'Armes elle-même et la rue Saint-Sulpice jusqu'à la rue de la Commune seront donc refaites.» La place d'Armes fait actuellement l'objet d'études afin d'en apprécier la fréquentation dans le but de la réaménager en tenant compte des automobiles et du flux de touristes. «Au cours de l'automne, des gens de l'Université de Montréal ont installé une caméra pour analyser la circulation des piétons, dit M. Morel. De plus, Tecsult a fait des comptages qui montrent qu'il y a jusqu'à 70 autobus chaque jour sur la place d'Armes.» Le pavement et les trottoirs seront refaits. La statue de Paul Chomedey de Maisonneuve, en place depuis près d'un siècle, ne sera pas déplacée, mais la fontaine sera rénovée. Sous la fontaine demeurent les vestiges de vieilles latrines qui logent actuellement une vaste colonie de rats. S'il n'est pas question d'installer une «Dame Pipi» sur la place, Gilles Morel dit qu'après avoir vérifié l'état de la structure de ces latrines, la Ville et la Société de développement commercial décideront si on peut les utiliser pour opérer un service. Sinon, elles seront démolies. Tout le réaménagement fera l'objet d'une réflexion. «Il y aura notamment un atelier l'automne prochain qui impliquera des équipes montréalaises, Design Montréal, et des équipes d'autres villes de design de l'UNESCO, comme Buenos Aires et Berlin. Par la suite, on fera un appel d'offres pour être en travaux en 2009-2010. Mais dès cette année, on refera la rue Saint-Sulpice dont on a reconstruit le réseau d'aqueduc.» Le nouveau design de la rue Saint-Sulpice sera d'ailleurs défini dès la fin du mois d'avril. Les plans seront présentés aux résidants du quartier. Chemin piétonnier au cimetière Notre-Dame-des-Neiges Par ailleurs, 3 millions seront investis pour créer un chemin piétonnier qui fera le tour du cimetière de Notre-Dame-des-Neiges. «Il partira du lac aux Castors, fera un circuit à l'intérieur du cimetière en fonction de l'intérêt d'un certain nombre de caveaux, descendra vers le chemin de la Côte-des-Neiges, fera le tour près de l'Université de Montréal et reviendra jusqu'au chemin Olmstead.» Tous ces travaux font partie d'un plan de mise en valeur du patrimoine pour lequel l'agglomération va emprunter 23,5 millions. Québec le finance en partie (8 millions) grâce aux ententes signées depuis 1979 entre la province et la Ville pour entretenir le Vieux-Montréal. Mis à part la place d'Armes et le chemin de ceinture du cimetière, d'autres travaux visent la restauration des mansardes et du campanile de l'hôtel de ville (3,8 millions), la réfection des trottoirs de la rue Notre-Dame et de la rue Saint-Paul (3 millions), le réaménagement du chemin Queen Mary (2,5 millions), la rénovation des fortifications du Champ-de-Mars (1,5 million) et le remplacement des pavés de la rue de la Commune (1,4 million).
  12. http://www.condospromenade.com/fr.php Petit projet sur la Promenade Ontario près de l'intersection Pie-IX avec la SAQ qui est présentement l'autre bord de la rue va déménager au rez-de-chaussée de l'édifice. La construction est bien avancée. Cette portion de la promenade s'en vient pas mal du tout...
  13. Peut-être que certains d'entre vous ont remarqué que le 2020 University se faisait "retaper" un peu! Changement de fenêtre jusqu'à maintenant, mais mes sources à l'IA (les proprios) m'ont dit qu'il y aurait de plus gros changements à venir. Ils voudraient fermer la galerie marchande au niveau du Métro McGill. La terrasse serait complètement refaite. La base donnant sur Maisonneuve serait complètement transformée (vitrée, je crois), s'ouvrant à la rue et accueillant de nouveaux commerces. Voilà les changements, jusqu'à maintenant : Avant (vitres noires) - Après (vitres blanches)
  14. Nom: Le Triomphe Hauteur: 21 étages/~70 mètres Coût du projet: 45 000 000$ Promoteur: Développement Domaine Architecte: Beique, Legault, Thuot. Emplacement: 2055 rue Stanley Début de construction: Fin de construction:
  15. Deux projets communautaires situé derrière le YMCA sur la rue Hochelaga entre les avenue Bennett et Aird sont proposé d'être construit prochainement.
  16. Deux projets communautaires situé derrière le YMCA sur la rue Hochelaga entre les avenue Bennett et Aird sont proposé d'être construit prochainement. Le premier projet est Le Bon Dieu dans la rue, qui est un bâtiment de 3 étages (9,90 mètres) situé sur le coté de l'avenue Bennett. Le projet comprends 17 logements. Le second projet est La Fondation des Aveugles du Québec qui est un bâtiment de 5 étages (14,44 mètres) construit du coté de l'avenue Aird. Le projet comprends 31 logements. Une séance d'information aura lieu le mardi 22 mai à 19h à la maison de la culture Maisonneuve au 4200 rue Ontario Est.
  17. Projet terminé
  18. Projet terminé
  19. Annonce ce matin du programme de rue piétonnes. 5 nouvelles rues sont projetées pour cette été : http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201501/18/01-4836240-montreal-devoile-son-programme-de-rues-pietonnes.php
  20. C'est vraiment triste! Dans le journal Métro : R.I.P. Prince-Arthur Selon Eco-compteur, plus de 40 000 personnes déambulent quotidiennement sur la rue Prince-Arthur malgré son déclin. Marc-André Carignan La rue Prince-Arthur était «aux soins palliatifs» depuis déjà plusieurs années, et sa santé économique se dégradait à vue d’œil. Mais là, c’est vrai: elle a rendu l’âme ces derniers mois dans un silence presque absolu. Sur la portion piétonnisée entre Saint-Laurent et le carré Saint-Louis, le paysage est plus morose que jamais dans cette rue qui a jadis fait la réputation de Montréal, avec ses terrasses, ses artistes et ses formules Apportez votre vin. Les restaurateurs, principaux piliers de l’activité économique du secteur depuis les années 1980, n’auront malheureusement jamais réussi à se renouveler face à la compétition de plus en plus féroce sur l’île. Si on ajoute à cela des hausses marquées des coûts d’exploitation et des taxes foncières sur le Plateau, l’inévitable devait arriver un jour ou l’autre. Les locaux commerciaux vacants se succèdent désormais dans cette rue (le taux d’inoccupation dépasse les 30%), tout comme les graffitis qui pullulent sur les édifices désertés. La neige est à peine déblayée, et plusieurs portes et fenêtres sont placardées. Le coût mensuel de certains locaux délaissés aurait même diminué de 50% à 60% au cours des cinq dernières années, selon des commerçants que j’ai questionnés à ce sujet. Ironiquement, Prince-Arthur possède toujours un certain charme malgré sa déconfiture. Sa configuration à l’échelle humaine s’avère très attractive, et sa localisation entre le métro Sherbrooke et la Main rend ce lien pédestre quasi indispensable pour les piétons et les cyclistes. Plus de 40 000 personnes y circulent quotidiennement, un chiffre plutôt impressionnant pour une artère «cliniquement morte». Son potentiel de réaménagement est donc énorme, et les élus de l’arrondissement le savent très bien. «Vous m’auriez parlé de Prince-Arthur il y a huit mois, j’aurais été très découragée, me confiait récemment la conseillère du district Jeanne-Mance, Christine Gosselin. Mais là, on voit un renouveau. Une association marchande volontaire a été créée, de nouveaux bâtiments sont en chantier ou le seront bientôt. Et puis quelques commerces ont ouvert leurs portes. Ça devrait amener un second souffle.» L’arrondissement planche également sur divers scénarios pour dynamiser les environs, notamment durant la période estivale. «On tente de développer un projet de danse à ciel ouvert, de guinguette où les citoyens pourraient socialiser, poursuit-elle. L’idée d’un marché de fruits et légumes ou d’antiquités a également été évoquée.» Propositions intéressantes, certes, mais on devra aller beaucoup plus loin. Ce qu’il faut avant tout pour Prince-Arthur (et plusieurs autres artères sur l’île), c’est un véritable plan de match pour le développement commercial. Un plan qui forcerait l’administration Coderre à réévaluer le fardeau fiscal imposé aux commerçants, à épurer les couches bureaucratiques qui nuisent à l’épanouissement des artères (pour installer de simples lumières de Noël, par exemple!) et à élaborer des stratégies pour limiter la spéculation immobilière. Un remède de cheval, quoi. Plus d’un local commercial sur trois est vacant sur la rue Prince-Arthur Les graffitis pullulent plus que jamais sur la rue piétonne
  21. http://www.quartierhochelaga.com/vandalisme-chez-des-commerces-dhochelaga-maisonneuve/ Publié par : Jean-Pierre J. Godbout 27 novembre 2013 dans Citoyenneté 17 commentaires Le Chasseur, rue Ontario Si de la neige est tombée sur Montréal ce matin, c’est plutôt une vague de nouveaux actes de vandalisme envers des commerces ciblés et bien connus qui a secoué le quartier. Les vitrines du resto-bar Le Chasseur, des bistros Bagatelle et Le Valois sur la rue Ontario ainsi que du bistro In Vivo sur la rue Sainte-Catherine ont été cassées en même temps que leur était laissé un message clairement anti-embourgeoisement au ton agressif. Réveillée à 4 h 30 ce mercredi 27 novembre par un appel de l’entreprise responsable du système d’alarme, la copropriétaire du bistro In Vivo Annie Martel s’est rendue au restaurant afin de constater l’état de la situation. « On avait une fenêtre brisée, et j’ai trouvé une brique à l’intérieur accompagnée d’un message.» (Voir l’image ci-dessous.) Le message retrouvé chez certains commerçants vandalisés. Les policiers, arrivés sur place une heure et demie après l’appel au service d’urgence 9-1-1, n’ont pu que constater les dégâts en précisant à Mme Martel qu’il y avait « [des] anarchistes dans le quartier », comme quoi ils n’étaient pas surpris d’un tel acte. Tandis que les agents du SPVM étaient encore au bistro In Vivo, ils ont reçu un appel pour la même raison, mais concernant cette fois Le Valois, sur la rue Ontario. Préoccupée par le fait que certains commerçants ne disposent pas de système d’alarme, Mme Martel s’est déplacée vers d’autres commerces susceptibles d’être visés par les vandales. Elle a pu constater les dégâts au Chasseur et au Valois. Du côté de Bagatelle Bistro, en plus de la brique lancée dans le commerce, l’intérieur de ce dernier avait été aspergé de peinture, forçant la fermeture de l’établissement pour la journée. Mathieu Ménard du resto-bar Le Chasseur a constaté à quel point les vandales ont dû forcer pour arriver à casser une vitrine de son commerce. À l’extérieur de la porte d’entrée on y trouvait une brique cassée en deux, outil présumé de la tentative d’effraction et puis à l’intérieur, le marteau utilisé pour réaliser les dégâts laissé derrière. «On essaye juste de travailler nous aussi », mentionne M. Ménard, plutôt dépassé par la vague de vandalisme dans le quartier. « Ça commence à être lourd » Malheureusement, la scène ne fait que rappeler les nombreux incidents du genre survenus au cours de la dernière année; pensons à la peinture jaune sur la devanture du saucissier William J. Walter au mois de mai, à l’unicorne de Zone Homa peint en rouge l’été dernier et, tout récemment, au graffiti de nature politique inscrit sur un mur du bistro In Vivo. « Ça commence à être lourd », souligne Mme Martel au sujet de la situation qui prend sérieusement de l’ampleur. Du côté du SPVM, on confirme la production de quatre rapports pour les incidents, mais on n’a aucun suspect dans ces affaires et on n’a procédé à aucune arrestation pour l’instant. À la suite de l’analyse de ces nouveaux rapports, le service de police sera en mesure de décider s’il y a lieu de mener une enquête plus approfondie.
  22. Quartier Sainte-Marie CA11 240691 Adopter une résolution autorisant la transformation et l'occupation d'un bâtiment conventuel à des fins commerciale et résidentielle, sur le lot 1 424 427 situé sur la rue Fullum, entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard de Maisonneuve Est, en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble - 1er projet de résolutionIl est proposé par Sammy Forcillo appuyé par Richard Deschamps D'adopter le premier projet de résolution à l'effet : D'accorder, pour le lot 1 424 427 (Maison des Soeurs de la Providence), situé dans la partie ouest de l'îlot bordé par les rues Fullum et Sainte-Catherine Est et le boulevard de Maisonneuve Est, l'autorisation d'occuper à des fins résidentielles et commerciales et de transformer l'ancien couvent et ses dépendances, et ce, en dérogation aux articles 94, 134, 182, 609 et 610 du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement Ville-Marie (01-282), conformément aux plans des pages 9 à 40 du document de présentation pour le projet particulier, le tout préparé par Éric Leblanc architecte et estampillés parl’arrondissement de Ville-Marie le 19 septembre 2011; D'assortir cette autorisation des conditions suivantes : a) de soumettre dès la première demande de permis un plan d'ensemble d'aménagement paysager assorti d'une garantie financière basée sur une estimation effectuée par un professionnel afin d'en assurer la réalisation; c) de respecter une implantation au sol, un alignement sur rue, une hauteur maximale et des retraits d'alignement conformément aux plans mentionnés précédemment; d) les usages projetés dans le bâtiment devront respecter la répartition des usages indiqués aux plans cités au point 1; e) de soumettre les demandes de permis de transformation de ce projet à la procédure du titre VIII du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement Ville-Marie (01-282). En plus des critères prévus au titre VIII du règlement, les critères additionnels suivants s'appliquent : i) le traitement architectural de la construction doit favoriser l'unité et l'homogénéité de l'ensemble, notamment en ce qui a trait aux matériaux de parement et aux ouvertures; ii) la couleur et la texture du revêtement de la façade doivent être compatibles avec celle des édifices significatifs du secteur; iii) les constructions hors toit et les équipements mécaniques hors toit doivent être traités de manière à assurer leur intégration architecturale (matériaux et volumétrie); iv) toutes les façades visibles de la voie publique doivent être traitées avec le même soin que les façades principales notamment quant aux choix des matériaux et aux ouvertures; v) les matériaux utilisés doivent être durables et conformes aux échantillons déposés; vi) l'aménagement paysager des espaces libres et des aires de détentes extérieurs doit privilégier les éléments végétaux; De fixer un délai de 60 mois pour la réalisation des travaux visés par la présente autorisation, à défaut de quoi, elle sera nulle et sans effet. Adoptée à l'unanimité.
  23. http://www.groupedayan.com/9425-rue-meilleur.php sur ce lot vacant: [sTREETVIEW]https://maps.google.ca/maps?q=9425+Rue+Meilleur&ie=UTF8&ll=45.537952,-73.656209&spn=0.001182,0.002401&sll=45.5388622,-73.6597156&sspn=0.0057713,0.0109864&hnear=9425+Rue+Meilleur,+Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec&t=h&z=19&layer=c&cbll=45.53788,-73.656476&panoid=30JHmLjEgX1eF_6IBh9ovQ&cbp=12,323.89,,0,-9.19[/sTREETVIEW]
  24. Dans le sujet sur l'état des rues commerciales dans le Plateau Mont-Royal, il y avait un désaccord sur l'appréciation des saillies vertes. Pour l'un c'était de la mauvais herbe, pour l'autre, c'était très réussi. J'ai donc décidé de faire un sujet montrant quelques exemples de verdissement à Montréal, histoire d'avoir un endroit où montrer ce qu'on aime, ce qu'on aime pas. Le verdissement prend une place importante dans plus en plus de villes, et a un impact de plus en plus significatif sur l'urbanisme, le paysage urbain, et même la configuration de nos rues. Je trouve donc pertinent d'en parler dans un forum d'urbanisme! J'ai donc fait un petit tour rapide dans mon quartier et aux alentours: le nord du Plateau, Saint-Viateur Est, le Mile-End. Nous sommes en septembre, donc c'est pas mal moins fleuri et coloré que durant le reste de l'été, mais ça donne une idée de la qualité de l'infrastructure, je crois. La saillies vertes Ces saillies ont non seulement pour objectif de verdir une rue, mais aussi d'augmenter le dégagement pour la visibilité des piétons et des automobilistes, ainsi réduire la distance à traverser dans une rue. Une des plus grande saillies sur le Plateau. Elle va de la rue Boucher jusqu'à Maguire, et ainsi s'occupe de deux intersections d'un seul coup. Il y a une bonne diversité dans les plantes choisies pour l'aménagement. Sur Fairmount, une grande saillie est aussi devenue une petite place publique bien occupée: Voici quelques autres saillies dans le secteur: Retrait d'un cul-de-sac dans le parc Laurier On avait bien ri de la peinture verte sur la chaussée, mais l'aménagement final est plus qu'un simple bout de gazon. Les travaux du parc Laurier ont permis de revitalisé le parc. Le sud du parc Laurier est maintenant très populaire. La fin de semaine, il est difficile de trouver la moindre place libre. Il n'y a pas grand monde un vendredi matin de septembre par contre, plus simple pour les photos . Verdissement du terre-plein de Saint-Joseph Pas vraiment la place pour un motif floral complexe, c'este du foin et des arbres, plutôt que du béton et un bac à fleurs. Champ des possibles, nouveau parc laissé à l'état naturel C'est grâce à la pression populaire que cet espace n'a pas été aménagé en parc traditionnel. Il est donc laissé dans un état naturel. Par contre, le terrain est fortement contaminé, et ça énerve le gouvernement du Québec. En tout cas, c'est une bonne oasis de verdure à côté d'un imposant centre d'emplois. Verdissement du domaine public par les citoyens Les fameuses fausses d'arbre appropriées par des citoyens et des commerces pour y planter quelques fleurs. Je n'ai pas les exemples les plus éloquents en photos, c'était ce qu'il y avait sur mon chemin. Voici une initiative plus particulière: des bacs sont installés pour y planter des trucs comestibles (un organisme bénévole gère tout cela). Rendu en septembre, ça pousse moins bien, mais il y a quelques semaines on pouvait même cueillir son propre blé d'inde de ces bacs. Le papier présent est un plan avec les emplacements de ces bacs comestibles dans le quartier. Il y a du verdissement partout, et je n'ai pas couvert les ruelles vertes du coin. S'il y a du verdissement que vous aimez dans votre coin, ou s'il y a des aménagements qui sont dignes de la mauvaise herbe que vous voulez dénoncer, n'hésitez pas à mettre vos photos dans ce sujet!
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