Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'rue'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Revitalisation de la rue Saint-Viateur: des bancs œuvres d’art à 5000 $ MONTRÉAL – Alors qu’un nouveau banc public coûte généralement entre 1000 $ et 1700 $, l’arrondissement du Plateau Mont-Royal fera l’achat de 13 bancs à 5000 $ chacun pour revitaliser la rue Saint-Viateur. «Ces bancs sont des œuvres d’art en bois, alors oui c’est cher pour un banc, mais ce n’est pas cher pour une œuvre d’art, lorsqu’on commande une œuvre au Bureau d’Art Public, c’est environ 150 000 $», s’est défendu Luc Ferrandez, maire de l’arrondissement du Plateau Mont-Royal, lundi soir au conseil d’arrondissement, interpelé par Suzanne Craig, une résidente. «Je trouve que c’est nettement exagéré surtout dans une période d’austérité et alors que Saint-Denis, Saint-Laurent et Mont-Royal sont beaucoup plus en demande», a souligné la citoyenne qui vit dans le quartier depuis 35 ans. Style bohème Dans l’ordre du jour, le nouveau mobilier y est décrit comme ayant «un style de la clientèle d'artistes et de bohème de cette partie du quartier». «Ce sont des pièces sculptées à la main, à même une seule bille de bois», a ajouté Jean-François Éthier, artisan-ébéniste de Brun Bois qui a obtenu le contrat. «Ce sera une finition au shou sugi ban, ce qui permet une meilleure résistance à l’extérieur», a poursuivi l’artisan connu pour ses participations aux émissions «Méchant changement» à VRAK TV et de «Sauvez les meubles!» à Canal Vie. Créer une signature En misant sur des œuvres d’art plutôt que sur du mobilier traditionnel, l’arrondissement espère revitaliser et donner une signature au coin de la rue Saint-Viateur et de l’avenue de l’Esplanade, où les 13 bancs seront installés à partir de mai. En été 2013, des bancs d’art public avaient aussi été installés au coin des rues Fairmount et Clark, une dépense d’environ 3000 $ l’unité, mais surtout un vrai succès, selon le maire. «L’impact commercial est gigantesque et l’achalandage touristique énorme, a mentionné M. Ferrandez. Notre pari c’est que oui, il y aura le même impact sur Saint-Viateur.» Moins cher dans Rosemont L’été dernier, Rosemont a aussi misé sur son mobilier urbain pour animer une artère commerciale, avec la transformation de trois bancs sur la rue Masson. Mais l’arrondissement n’a pas déboursé d’argent, en procédant plutôt au remplacement des bancs en résine pour des bancs en bois, qui ont été peints par un artiste du quartier. La SDC Promenade Masson a pour sa part investi 3000 $ dans le projet. Prix pas définitif Enfin, le contrat de 65 558,75 $ octroyé à Brun Bois pour la fabrication de ces 13 bancs ne serait pas définitif, mais plutôt «maximal» puisque l’arrondissement «entend négocier encore pour réduire le coût». «On fait le choix de l’achat local et durable, c’est normal que ça coute un peu plus cher», a souligné Marianne Giguère, conseillère d’arrondissement pour le district de De Lorimier. L’arrondissement n’a pas souhaité nous fournir des croquis puisqu’ils n’étaient pas finalisés.
  2. La SAQ Signature située dans le Complexe Les Ailes déménagera sur la rue de la Montagne. Images : Sid Lee Architecture Le design de la SAQ Signature de Québec est vraiment bien!
  3. http://www.nytimes.com/interactive/2015/11/19/travel/what-to-do-in-36-hours-in-montreal.html 36 Hours in Montreal Whether you want to embrace the season on rinks, trails or runs, or dodge the cold and head to the spa, this vibrant city has it all. Winter is right around the corner, and when the going gets cold — like zero-degrees-Fahrenheit cold — Montrealers get resourceful. Some dodge Canadian winter amid the heated vapors of the city’s Nordic spas or the warming drinks of cozy bars. Others embrace it by skiing and skating in public parks, cheering the hometown Canadiens hockey team and ingesting hearty meals in the new wave of forestlike and lodge-inspired restaurants. And still others flamboyantly celebrate the frozen season, reveling at Igloofest (an outdoor electronic-music extravaganza), Montréal en Lumière (a food and entertainment festival) and sugar shacks (forest canteens that sprout during maple-syrup season) amid near-Arctic conditions. Whether you are more interested in creative cocooning or winter worship, Quebec’s biggest city offers manifold amusements for the province’s defining season. Outerwear recommended. Friday 1. *Ready, Set, Snow, 5 p.m. Skate, ski or sled into winter at Parc du Mont-Royal. (The mountain it partly occupies is said to have provided Montreal’s name.) The sprawling hilltop park is the center of activities involving snow and ice. From December to March, Le Pavillon du Lac aux Castors rents skates (9 Canadian dollars, or $7 at 1.30 Canadian to the U.S. dollar, for two hours), cross-country skis (12 dollars and up for one hour) and inner tubes (5 to 9 dollars, depending on age, for the day) for the nearby outdoor rinks, trails and runs, some affording lovely city views. 2. *Enchanted Forest, 8 p.m. Reheat in the stylish confines of the new SouBois restaurant and nightclub. The underground space suggests a magical woodlands where avant-garde sculptural trees hover over a dining room of plank floors, shingled walls, raw-wood tables and Scandinavian-style chairs. The chef, Guillaume Daly, conjures magic too, metamorphosing rustic Canadian ingredients into innovative treats. The poutine is a gorgeously gloppy stack of greasy thick fries — piled like logs in a fire, and drenched with velvety warm Cheddar sauce, pungent mushrooms and an unctuous block of foie gras — while veal steak gets a funky crunch from spiced popcorn. For dessert, revisit campfire memories courtesy of deconstructed s’mores, replete with cubed marshmallows, jagged chocolate fragments and crumbled cookies. A three-course dinner for two costs about 110 dollars. Make reservations. 3. Canadian Libations, 10 p.m. The staggering whisky menu at the Burgundy Lion, a lively British-style pub with dark wood surfaces and frosted glass, offers further means to warm up. The more exotic specimens hail from Taiwan, Sweden, France and Switzerland, while Canadian representatives include Wiser’s Red Letter (12 dollars), a mellow elixir with a hint of toasted nut. Down the street, candlelit La Drinkerie Ste. Cunégonde offers several Canadian beers as chasers, including Les Trois Lettres IPA (5.50 dollars), a fragrant, floral brew with hints of clove and nutmeg. Saturday 4. Earth and Sky, 9 a.m. Still chilly? Eternal summer awaits inside the humid tropical forest of the Biodôme, a glass-roofed nature preserve containing multiple ecosystems. You might glimpse iguanas, frogs, bats, snakes, sloths and other exotic creatures as you wend your way among the dense vegetation, streams and stone caverns. The trail then takes you into forest, mountains, Atlantic gulf and subarctic islands (complete with penguins). Next door, the two-year-old Rio Tinto Alcan Planetarium is a postmodern silvery structure shaped like two telescopes pointed at the sky. Within, two domed theaters-in-the-round take you on immersive sensory journeys across the cosmos with shows like “Dark Universe,” about dark matter and energy, and “Aurorae,” about the Northern Lights. Admission to both facilities costs 33.50 dollars. Check the website (espacepourlavie.ca) for the film schedule. 5. *Shack Snack, Noon If you can’t get to a real sugar shack, the “Sugar Shack” sampler (11.95 dollars) at Eggspectation — a vast all-day breakfast and brunch hall on fashionable Rue Laurier Ouest — is a copious, calorie-rich substitute. Typical sugar shack fare, the dish heaps on fluffy scrambled eggs, sliced ham, baked beans, fried potato slices and unfilled sweet crepes along with ample maple syrup. The restaurant’s formidable menu also encompasses everything from lobster macaroni and cheese (18.95 dollars) to around 10 types of eggs Benedict. 6. **Buy Canadian, 1:30 p.m. You’ve probably grown a size since that meal. Conveniently, the boutiques along Rue Laurier Ouest brim with Canadian-made garments to accommodate your expanded frame. Chic insulation abounds at La Canadienne, where ladies can score weather-treated knee-high suede boots (450 dollars), a long quilted silvery jacket with a fur-lined hood (1,125 dollars) and much besides. Cool, straightforward, solid-colored garments to wear underneath can be found in the eponymous boutique of the veteran Montreal designer François Beauregard, including stretchy jersey T-shirts in autumnal colors (50 dollars) and dark blue 1940s-style trench coat dresses (189 dollars). Strut the ensemble to Juliette & Chocolat, a cafe serving some 20 types of hot chocolate, complete with tasting notes (6.75 to 8.50 dollars, generally). 7. **Chromatherapy, 3 p.m. With its colorful collections of art and antiquities, the Musée des Beaux Arts de Montreal illuminates even the grayest Montreal days, notably in the ground-floor galleries of 19th- and 20th-century painting. Mediterranean sun, sea and palms radiate from Matisse’s “Seated Woman, Back Turned to the Open Window,” a 1922 canvas set in the French Riviera city of Nice. Almost adjacent, the disassembled, fractured and explicitly naked couple in Picasso’s erotic “Embrace” (1971) generates a different kind of heat. A kaleidoscopic array of iconic furniture and housewares fills the multilevel design pavilion, from burgundy Arne Jacobsen “Egg” chairs to candy-colored Ettore Sottsass bookshelves to space-age 1970s red televisions from the Victor Company of Japan. A sleek yellow Ski-Doo snowmobile from 1961 begs to be borrowed for a joy ride. Admission: 20 and 12 dollars, depending on exhibition. 8. **North Stars, 7 p.m. Canadian pride suffuses the friendly, lively new Manitoba restaurant. Animal furs and raw logs decorate the industrial concrete room, and indigenous ingredients from the Great White North fill the chalkboard menus. Among starters, the plump baseball-size dumpling spills out shredded, succulent pork tongue and flank into a tangy broth floating with crunchy daikon for a Canadian-Chinese mash-up. For mains, thick deer steak gets a zesty drench of red wine sauce infused with Labrador tea and crunch from root vegetables like candied carrot and smoked onion. Maple syrup-smoked bone marrow is topped with berries, onion and Japanese mushrooms for a sublime hunter-gatherer hybrid. A three-course meal for two is about 100 dollars. 9. *Liquor Laboratory, 10 p.m. Tucked across from Parc La Fontaine (a favorite ice-skating spot), Lab is a dimly lighted speakeasy of brick and dark wood where the mad mixologist Fabien Maillard and fellow “labtenders” ceaselessly research new cures for your sobriety. Who else could invent the Jerky Lab Jack (14 dollars), a concoction of Jack Daniels whisky, Curaçao, cane sugar and bitters flavored with barbecue sauce? It’s a gulp of the American south, flamed with a blowtorch and delivered under a miniature clothesline hung with beef jerky. Continuing toward the Equator, Caribbean flavors infuse the dozens of specialty rums (from Cuba, Jamaica, Trinidad, Grenada and beyond) and cocktails like Bébé Dragon, a blast of Barbados rum, house-made ginger syrup, lemon juice, lemon-lime soda, mango and basil (14 dollars). Reserve spots online. Sunday 10. Vintage Voyage, 10 a.m. Finally: a place stocking those stag heads, Lego figurines, cowboy paintings, flapper hats, snow shoes, lace doilies and neon signs you’ve had trouble finding. Near the last stop of the Metro’s blue line, Marché aux Puces Saint Michel is a vintage shopper’s Shangri-La. The sprawling, dusty, musty two-level labyrinth-like flea market holds hundreds of stalls selling the contents of seemingly every Canadian attic and basement. Kiosk 216 has an impeccable collection of vinyl LPs from the “Valley of the Dolls” soundtrack to Serge Gainsbourg’s “Grandes Chansons de Gainsbourg,” while Artiques (kiosk 219; 514-898-2536) sells well-maintained pinball machines, jukeboxes, pipe organs and radios. For gents needing winterwear, La Garette d’Anna (kiosk 358; facebook.com/LaGaretteDAnna) sports an extensive collection of bomber jackets, capes, police caps and pith helmets. Haggle. 11. Ship Shape, 1 p.m. Norway, Sweden and Finland have mastered the art of stylishly dealing with cold weather, and Montreal has paid homage to these experts with numerous Nordic-themed spas around town. The most innovative is Bota Bota, a former ferryboat that was remade in sleek contemporary style and reopened as a wellness facility in the winter of 2010. Spread over five decks, the indoor-outdoor spa offers many massages and facial treatments, but the core experience is the “water circuit” (35 to 70 dollars depending on day and time). Sweat out the weekend’s toxins in a Finnish sauna or hammam; plunge into one of the cold pools; and finally chill out in one of the relaxation areas or the restaurant. The 678 portholes and numerous wall-size glass panels afford superb views of the city skyline, though the best vantage point is the external heated whirlpool bath. There might be no warmer spot amid wintry Montreal. Lodging With 131 suites, downtown’s Hotel Le Crystal (1100, rue de la Montagne, 514-861-5550) offers anti-winter pampering perks like an indoor saltwater pool and an outdoor year-round rooftop hot tub, both with city views. Some executive suites and penthouses have operational fireplaces. Double rooms from 199 Canadian dollars. Situated in the hip Plateau neighborhood, the 21-room Auberge de la Fontaine (1301, rue Rachel Est, 514-597-0166) lies across the street from leafy Parc La Fontaine — home to an outdoor skating rink — and down the street from Lab cocktail bar. Certain rooms have whirlpool baths. Doubles from 122 Canadian dollars.
  4. 2015-11-18 L'égali-Terre (coopérative d'habitation) 5360, 5370 et 5380, rue Rivard Année d'occupation avril 2016 24 unités Utopie-Créatrice (OSBL en habitation) 5350, rue Rivard 8 lgoements Projet pour personnes ayant une déficience intellectuelle http://www.atelierhabitationmontreal.org/projets_en_cours rue St-Denis
  5. Ce projet est situé dans le quartier Mercier-Ouest au 5655 rue Pierre-de-Coubertin, Montréal. Photos : Construction Vergo
  6. Vous pouvez voir des sites de condo avant-apres en construction de 2007. Le cartier homa a changer c'était vraiment désert. cliqué en haut sur la date pour avancer ou reculer au coin ontario/saint clément il y avait un projet de samcon. https://www.google.ca/maps/@45.5585092,-73.5359684,3a,37.5y,333.74h,88.61t/data=!3m6!1e1!3m4!1s-inezCfQC0IZhBkLdtd81Q!2e0!7i3328!8i1664?hl=fr rue viau https://www.google.ca/maps/@45.5594707,-73.5363603,3a,75y,195.35h,70.18t/data=!3m6!1e1!3m4!1syXbepoQ_CpviXosM1vHpEA!2e0!7i3328!8i1664?hl=fr rue saint clement https://www.google.ca/maps/@45.5592963,-73.538376,3a,75y,251.12h,76.62t/data=!3m7!1e1!3m5!1sTFSX94QGCUxHP1kDkeqpfA!2e0!5s20070901T000000!7i3328!8i1664?hl=fr 2014 ''bo condo'' https://www.google.ca/maps/@45.5592931,-73.5383662,3a,75y,66.39h,87.69t/data=!3m7!1e1!3m5!1sWIMn3XDCqdup2bPyxGvUHA!2e0!5s20140501T000000!7i13312!8i6656?hl=fr
  7. Le provigo du 2925 Rue Sherbrooke E, Montréal, QC H1W 1B2 à été transformé en Maxi Ouverture officielle aujourd'hui 29 octobre. Pour ceux qui connaisse le secteur c'est proche du projet de condos U31. Et le Loblaws Angus va etre converti en un Provigo. Votre avis J'ai trouvé l'intérieur petit pour un maxi lui de la rue masson est plus gros. http://ruemasson.com/2015/10/21/loblaws-angus-devient-provigo/
  8. En attendant la ligne bleue Par Marc-André Carignan Le moins qu’on puisse dire à propos de la rue Jean-Talon Est, c’est qu’elle n’est vraiment pas l’artère commerciale la plus attrayante de Montréal. Pour y avoir travaillé dans une autre vie, je vous avoue que je ne m’ennuie pas tellement de son architecture commerciale et résidentielle disparate, de ses trottoirs ravagés par le temps et de ses arbres chétifs qu’on peut pratiquement compter sur les doigts d’une main. Et que dire de ses «mosaïques» d’asphalte et de pavé uni de trois ou quatre mètres de large, faisant grossièrement le lien entre le trottoir et les façades commerciales? Quelques restaurants y ont vu l’occasion d’aménager des terrasses, mais pour les autres, c’est un espace tristement oublié où pousse la mauvaise herbe. Cela dit, il faut reconnaître que l’artère s’en sort relativement bien sur le plan commercial, particulièrement à l’est de Viau. On y croise peu de locaux vacants, alors que les communautés culturelles (ghanéenne, arménienne, algérienne…) trouvent progressivement leur place dans cette zone longtemps dominée par la communauté italienne. La qualité de l’offre commerciale s’améliore également avec de nouveaux commerçants qui décident d’en faire leur terre d’accueil. Reste que cette artère névralgique de Saint-Léonard a mal vieilli et aurait besoin d’un peu d’amour. «Il faut ramener un sentiment de fierté sur la rue, avoue Sylvain Tardif, directeur de la Société de développement commercial (SDC) Jean-Talon Est. On a besoin de places publiques, de verdure, d’art public. On doit donner le goût aux résidants et aux commerçants de s’impliquer dans le quartier.» M. Tardif planche d’ailleurs en ce moment, en collaboration avec la ville-centre, sur un projet de revitalisation urbaine estimé à 3M$, qui s’étendrait de Viau à Langelier. Les objectifs: verdir Jean-Talon Est, favoriser la marche, voire le vélo, avec un design urbain adéquat et, surtout, attirer de nouvelles PME. «Il y a de la pauvreté dans le quartier, et la création d’emplois pour les nouveaux arrivants est une priorité, poursuit M. Tardif. Plusieurs d’entre eux sont diplômés, mais n’arrivent pas à travailler. […] On veut donc attirer de nouveaux commerces, mais aussi remplir nos bureaux avec des entreprises qui offrent des emplois de qualité.» Pour le directeur de la SDC, un milieu de vie plus attractif est incontournable à ce stade-ci pour réussir à attirer de nouveaux investisseurs. Il compte également sur l’arrivée tant espérée (mais pas encore confirmée) de la ligne bleue du métro. «Beaucoup de gens circuleront à pied pour se rendre aux stations de métro, notamment sur Jean-Talon, indique-t-il. Il faut préparer le quartier pour mieux desservir les futurs usagers. Il faut aussi penser à densifier le secteur pour y amener davantage de résidants. […] Il y a encore beaucoup de pain sur la planche.» La ville-centre et l’arrondissement Saint-Léonard organiseront des consultations publiques cet hiver afin d’inviter les résidents et les commerçants à participer au projet de revitalisation urbaine. Le début de travaux est prévu pour 2017. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/853933/en-attendant-la-ligne-bleue/
  9. « Montréal 360 » : Importante simulation d’actes terroristes le 24 octobre sur le territoire de Montréal
  10. Nouveau quartier à proximité de la très commerciale rue Sainte-Catherine (1.25 km entièrement piétonnière), Bordeaux Photos : Sud-Ouest : QUENTIN SALINIER, PHILIPPE TARIS et VALÉRIE DEYMES Bien que de taille modeste, Bordeaux présente certains éléments qui si appliqués à Montreal en ferait une ville accomplie : 1. Grande rue piétonne et commerciale 2. Gare ferroviaire charmante et élégante (un peu le cas de toutes les villes d'Europe) : Source : Cyberevasion 3. Réseau de tramway dense et étendu : Source : objectifAquitaine 4. Low-rise contemporary architecture : Source : France 3 Aquitaine Tous des projets à taille humaine
  11. Ancienne usine CRANE dans Pointe St-Charles sur la rue St-Patrick pres de la piste cyclable du canal lachine un peu avant d'arriver a l'echangeur Turcot dans le sector de la rue Cabot. Ils sont entrain de refaire la maçonnerie et de changer les fenêtres. Très belle édifice industriel. Vont en faire des locaux pour des bureaux. Photo prise aujourd'hui le 16 septembre 2015
  12. Situé sur la rue des Migrateurs. Le territoire pointillé continue de se développer et depuis que la photo a été prise, il s'est construit une SAQ Dépôt. Photos : Smart Centres Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  13. Adapter de la Concorde aux nouveaux bâtiments résidentiels ne m’apparaît pas si difficile. Il faut couper le trottoir Nord de la rue (le plus ensoleillé + les halls des bâtiments) où passent des camions de livraison et des automobilistes se dirigeant vers les hôtels. Vu son étroitesse, la rue devrait être un sens unique et offrir du stationnement qu'un seul côté à fois. Le sens devrait être nord-est, donc de PK à la rue Bleury. PK est double sens et facilitera l'accès. Un petit montage que je viens de faire et qui montre les possibilités : -------------------------------------- Avant : Après : Les flèches jaunes représentent les entrées de stationnement et les aires de livraison. Les flèches bleues représentent les entrées pour les piétons. -------------------------------------- Coupe devant le Peterson Avant : Après : -------------------------------------- Vue vers l'Est, devant le Peterson Avant : Après :
  14. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/812810/un-no-mans-land-en-voie-de-disparition/ Un no man’s land en voie de disparition Par Marc-André Carignan Marc-André Carignan Cet édifice de six étages, signé par Neuf Architect(e)s, abritera le Centre local de services communautaires des Faubourgs. Pour avoir animé l’émission matinale de CIBL pendant près de trois ans au coin du boulevard Saint-Laurent et de la rue Sainte-Catherine, j’ai été un témoin privilégié de l’évolution de cette intersection emblématique de Montréal. Chaque jour, en arrivant ou en partant du boulot, je prenais le temps d’analyser les ouvertures [ou les fermetures!] de boutiques et de restaurants dans le secteur, les édifices en décrépitude, la multiplication des itinérants qui consommaient des drogues dures sans aucune gêne sur le trottoir. Mais ce qui m’a le plus frappé ces dernières années, c’est une inquiétante rupture du tissu urbain qui s’aggravait entre le Quartier Latin et la place des Festivals. Pendant qu’on investissait des millions de dollars à l’ouest de Saint-Laurent, l’est de la rue Sainte-Catherine, entre la Main et la rue Saint-Denis, devenait un no man’s land, une zone commerciale à l’agonie avec ses stationnements à ciel ouvert, ses graffitis, ses terrains vagues et ses bâtiments placardés. On avait le goût de s’enfuir. Mais cette époque semble heureusement tirer à sa fin. Ce que j’y ai observé le week-end dernier est plus qu’encourageant pour l’avenir du quartier. Les terrains sous-utilisés disparaissent le long de cette portion de Sainte-Catherine. L’immense stationnement en face du Métropolis a disparu à moitié pour accueillir un pôle de services communautaires avec un Centre local de services communautaires (CLSC). Le terrain de l’ancienne librairie Guérin [clôturé depuis des années] laisse place à un chantier qui mènera à l’aménagement de nouveaux espaces commerciaux et de copropriétés. Plusieurs projets de condos font également leur apparition au sud de l’artère, derrière la Société des arts technologiques. De son côté, l’UQAM poursuit sa contribution à la revitalisation de la rue Sainte-Catherine. L’institution a récemment inauguré son nouveau pavillon de Mode, à proximité de la rue Sanguinet, qui aura permis de réhabiliter deux édifices abandonnés. Des travaux de rénovation se poursuivent aussi dans deux autres bâtiments de l’université, à quelques pas de la rue Saint-Denis, où s’établiront d’ici l’automne un Centre de la petite enfance pour parents étudiants et une nouvelle adresse du groupe Desjardins. Sans compter que l’art urbain joue également un rôle prépondérant dans le réaménagement du secteur. Non seulement les membres du festival d’art de rue Under Pressure y ont peint des murales pour camoufler des chantiers et des façades d’édifices négligés, mais le groupe a aussi mis sur pied des galeries d’art éphémères. «On a obtenu des ententes avec des propriétaires [de bâtiments] pour faire de leurs locaux vacants des espaces culturels, explique Adrien Fumex de Under Pressure. Ça évite de placarder les édifices le temps qu’ils se trouvent des locataires permanents et ça permet aux artistes qui n’ont pas accès aux galeries commerciales d’exposer leur art.» Et que dire des terrasses de restaurants qui font leur apparition sur ce petit bout de rue? C’est un signe qui ne ment pas quand un quartier se prend en main. Il ne reste plus qu’à espérer que d’autres acteurs du coin, comme les Foufounes électriques, se joignent bientôt à la parade en revitalisant leur façade défraîchie. sent via Tapatalk
  15. Quelques bonnes idées dans ce texte. Mais chose certaine est qu'il est temps de s'occuper de cet édifice comme d'autres beaux bâtiments qui font partis de notre patrimoine.
  16. J'aime bien l'idée de rendre l'avenue des Canadiens piétonne. Ça fera un beau coin entre l'Avenue (le building, pas la rue!) et la tour des Canadiens.
  17. http://journalmetro.com/actualites/montreal/803754/du-pain-a-domicile-livre-a-cheval/ 05/07/2015 Mise à jour : 5 juillet 2015 | 22:28 Du pain livré à domicile… à cheval Par Mathias Marchal Métro Mathias Marchal/Métro L’initiative de la Run de pain dans le Sud-Ouest vise entre autres à promouvoir la réhabilitation du cheval en milieu urbain. L’arrondissement du Sud-Ouest offre (avec succès) la livraison du pain à cheval, histoire de souligner les 350 ans du cheval canadien. L’initiative du musée La Maison Saint-Gabriel sera répétée tous les samedi matin de l’été dans le quartier Pointe-Saint-Charles. Aux trois quarts de la première Run de pain, les deux tiers des 150 miches s’étaient envolées comme des petits pains. «Il y a encore 150 ans, on trouvait une petite écurie dans chaque ruelle de Montréal. Le cheval servait à tout: à livrer la glace, car il n’y avait pas encore de frigidaire, au livreur de lait, à l’aiguiseur de couteaux, pour l’agriculture et même le déneigement», explique Josée Lapointe, cochère et propriétaire des Écuries de Montréal. «Dans les grandes villes comme New York, Londres et Paris, où le ramassage du crottin n’était pas immédiat, les enfants pouvaient se faire quelques sous en balayant le chemin devant les dames souhaitant traverser la rue sans salir leur robe», renchérit Éric Michaud, animateur historique et boulanger estival. Le cheval besogneux a graduellement disparu avec l’arrivée de l’automobile, et la «run de pain» est devenue une relique à partir des années 1950. En France toutefois, 400 municipalités ont déjà entamé le retour du cheval en ville, que ce soit pour ramasser les poubelles ou pour remplacer les véhicules des employés municipaux dans les parcs. Au Mont-Saint-Michel, une des navettes qui relient les stationnements du site principal carbure au foin et aux carottes. Dans l’ouvrage Le cheval au service de la ville (Éditions Écosociété), un fonctionnaire de la ville de Trouville, Olivier Linot, raconte l’expérience menée depuis 14 ans par cette petite ville française, qui compte désormais cinq chevaux, afin de démystifier son côté folklorique. Depuis l’introduction du cheval en ville, la collecte du recyclage s’est multipliée, les cols bleus sentent leur travail valorisé, sans parler des bénéfices financiers et écologiques, explique-t-il. «Une maman m’a dit que la seule possibilité pour que son fils aille se coucher le soir, c’était de le menacer de le conduire à l’école en auto le lendemain [plutôt qu’en carriole]», illustre M. Linot. Mais Montréal hésite encore. Si le conseiller municipal rêve d’une grande écurie municipale à saveur éducative, qui viendrait aussi fournir les cols bleus en chevaux pour les épauler dans leurs travaux dans les grands parcs, il fait presque cavalier seul. «C’est vrai que ce serait intéressant, mais quand on y regarde de près, c’est plutôt complexe à concrétiser», indique Benoit Dorais, maire de l’arrondissement du Sud-Ouest. 62 000 Pour sauver le paddock du Horse Palace, une fondation a été mise en place. La campagne de sociofinancement qui a été lancée s’était fixé 45 000$ comme objectif. Ce sont finalement 62 000$ qui ont été récoltés. Ce dernier souligne néanmoins que la ville a contribué en 2013 au projet de sauvegarde du Horse Palace, l’une des trois écuries montréalaises, cerné par les nouveaux condos en construction. «On a racheté le terrain adjacent pour le zoner parc. Maintenant, quand on se promène sur la rue Ottawa, on voit d’ailleurs toujours au moins deux ou trois propriétaires de condos qui regardent de leur balcon les chevaux s’ébrouer», ajoute le maire de l’arrondissement. «Le cheval est à Montréal pour y rester», conclut-il.
  18. Le Belvédère St Laurent est un projet doté d'une architecture contemporaine qui s'intègre bien dans le tissu urbain. L'accent est mis sur la qualité des matériaux, une finition intérieure soignée et une gestion facile avec des frais de condo minimes. Situé sur une toute petite rue en retrait face au fleuve, vous aurez néanmoins l'avantage de vous rendre au métro en 7 minutes de marche et vous aurez également un accès rapide aux grands réseaux routiers. Bonne visite sur le site http://www.belvederestlaurent.ca/
  19. Petit projet dans le quartier Sainte-Marie, presque sur la piste cyclable en face du parc Bellerive et le fleuve...situé sur une petite rue au sud de la rue Sainte-Catherine, entre les rues Fullum et Dufresne. http://www.belvederestlaurent.ca LE PROJET Modernité et originalité s'épousent harmonieusement dans un ilot lumineux aux frontières du centre-ville et face au fleuve St-Laurent. NOTRE MISSION La mission de l'entreprise consiste à développer de petits projets résidentiels, où l'accent est mis principalement sur une architecture novatrice contemporaine, une maximisation efficace des espaces et l'utilisation de matériaux de qualité. L'appartenance à un milieu de vie, à la fois calme et urbain, se joint à une expérience en copropriété qui se veut simplifiée et responsable. LES APPARTEMENTS Superficie : 663 p.c. à 905 p.c Disponibilité : été 2016 Les appartements bénéficieront tous de la lumière traversant. Chaque unité possèdera 2 balcons, le grand balcon en avant, côté sud, vous permettra de jouir de la vue du fleuve et du pont Jacques Cartier. La fluidité des espaces, la finition soignée dans un environnement bien insonorisé contribueront à votre bien-être. Le rez-de-chaussée de l'immeuble accueillera les stationnements pour les autos (4), les espaces de rangement individuels ainsi que les porte-vélos. Nombre d'unités : 8 Nombre de chambres : 1 ou 2 Notez qu'il sera possible de construire un seul appartement par étage (1550 p.c. environ) RBQ : 5701-6925-01 sent via Tapatalk
  20. Adopter une résolution autorisant la démolition du bâtiment existant situé aux 2148-2150, rue de la Montagne ainsi que la construction d'un bâtiment commercial sur le lot 1 341 026, en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble Une demande de projet particulier a été déposée le 6 mai 2015 afin d’évaluer la démolition du bâtiment existant ainsi que des dérogations relatives à la hauteur minimale prescrite, à la superficie maximale du commerce et à l’unité de chargement dans le cadre de la construction d’un édifice commercial bordant la rue de la Montagne. Cette demande peut être effectuée en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (CA-24-011). DÉCISION(S) ANTÉRIEURE(S) n/a DESCRIPTION Description du site La propriété est située dans l’ouest de l’arrondissement dans le secteur animé de Bishop/Crescent entre la rue Sherbrooke et le boulevard De Maisonneuve. L’emplacement, d’une superficie de 267 m², est actuellement occupé par un bâtiment de 3 étages plus soussol construit en contiguïté avec les 2 bâtiments voisins. Ledit bâtiment a été construit vers 1866 et a été agrandi en 1969 dans la cour avant jusqu'à la limite d’emprise de la rue de la Montagne. Cet agrandissement est venu masquer et/ou enlever la plupart des caractéristiques architecturales d’origine. Le bâtiment est actuellement vacant. Il comportait un restaurant au rez-de-chaussée, une boutique de chaussures au sous-sol et 3 logements aux étages supérieurs. Selon une inspection de juin 2013, les logements sont vacants depuis cette date. Enfin, une ruelle publique donne accès à l’arrière de la propriété. Le programme Le requérant désire démolir le bâtiment existant et le remplacer par un nouveau bâtiment commercial. Tous les planchers, la toiture ainsi que le 3e étage (avec toit mansard) seraient démolis. Seul les fondations et une partie du mur arrière seraient conservées. Le nouveau bâtiment aurait 2 étages plus sous-sol et 11,79 mètres de hauteur, donc moins haut, en mètres, que le bâtiment existant. L’ensemble du bâtiment serait occupé par une boutique de vêtements de 520 m2. Au niveau stationnement, il y aurait 1 unité pour auto et 5 unités pour vélo situées à l’extérieur dans la cour arrière. L’accès à ces stationnements se ferait par la ruelle publique à l’arrière. Enfin, il n’y aurait aucune unité de chargement et les livraisons se feraient par cette même ruelle. sent via Tapatalk
  21. http://blogue.onf.ca/blogue/2015/05/21/montreal-dhier-aujourdhui-films-onf/ Montréal de 1940 à aujourd’hui à travers les films de l’ONF Films Documentaire | 21 mai 2015 par Emilie Nguyen Des années 1940 à aujourd’hui, la ville de Montréal a fait l’objet de nombreux films de l’ONF. En fouillant dans la collection, force est de constater que la cité aux cent clochers a été la muse de plusieurs cinéastes, tels que Jacques Giraldeau, Jacques Leduc, Hubert Aquin, Luc Bourdon et Michel Brault. Chacun à leur manière, ils nous ont donné à voir la ville dans un style cinématographique propre à leur démarche et à leur époque. Objectif-Expo-67-tv-big Image tirée du film Objectif 67 En raison de mon obsession pour l’ordre et la chronologie, j’ai rassemblé quelques-uns de ces titres de manière à pouvoir suivre l’évolution de la ville à travers les décennies. Une occasion de replonger dans le Montréal des années 1940 et d’entreprendre une balade au parc Lafontaine sur une musique bucolique; d’être aux premières loges pour admirer les chars allégoriques du défilé de la Saint-Jean-Baptiste en 1959; de prendre le mini-rail pour revivre en couleur les heures merveilleuses de l’Expo 67; de revisiter le quartier Griffintown et les commerces du boulevard Saint-Laurent dans les années 1970; de contempler Montréal sous toutes ses coutures dans les années 1990, et de terminer le voyage par une flânerie interactive sur le Mont-Royal en compagnie de l’écrivain Dany Laferrière. Bon voyage temporel! 1940 La cité de Notre-Dame (1942) Avec ce documentaire passionnant, redécouvrez la ville de Montréal en 1942…et en couleur! Entrez dans le quotidien fourmillant de la métropole avant les gratte-ciel et les autoroutes. Déambulez parmi ses églises, ses vieux marchés, ses galeries d’art, ses universités, son aéroport, ses gares de triage et son port, guidé par une charmante narration. La Cité de Notre-Dame par Vincent Paquette, Office national du film du Canada Au parc Lafontaine (1947) Dans ce court métrage, voyez comment les Montréalais profitaient des beautés du Parc Lafontaine dans les années 1940. À l’époque où les ours noirs, les renards, les chats sauvages et les oiseaux de proie cohabitaient gaiement; où les enfants s’amusaient sous l’oeil attendri des parents, des amoureux, des promeneurs. On y rencontre des gens de tous les âges, tous les types, tous les genres, car chaque jour le tout Montréal se donne rendez-vous au parc Lafontaine… Au parc Lafontaine par Pierre Petel, Office national du film du Canada 1950 Au bout de ma rue (1958) Filmé par Michel Brault, ce charmant petit film raconte l’histoire d’un gamin vivant dans le centre-sud de Montréal qui profite d’un jour de congé pour prendre la poudre d’escampette. Suivez-le alors qu’il découvre le bord de l’eau, l’horizon élargi du grand fleuve Saint-Laurent et l’activité bouillonnante du port de Montréal, tel qu’il était en 1958. Au bout de ma rue par Louis-Georges Carrier, Office national du film du Canada Jour de juin (1959) Revivez les festivités de la Saint-Jean-Baptiste à Montréal en 1959. Soyez aux premières loges d’une foule de 700 000 à 800 000 personnes pour voir passer les chars allégoriques, les fanfares d’un événement annuel qui rappelle à tout un peuple ses racines profondes. Jour de juin par ONFB, Office national du film du Canada 1960 À Saint-Henri le cinq septembre (1962) Réalisé par Hubert Aquin en 1962, ce grand classique impérissable du cinéma québécois nous fait visiter en 24 heures le quartier populaire de Saint-Henri à travers les images tournées par un collectif des plus grands cinéastes de l’époque. Le film a été inspiré par le roman Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy. À Saint-Henri le cinq septembre par Hubert Aquin, Office national du film du Canada Objectif 67 (1967) Évoquant les heures merveilleuses de l’Expo 67, ce film en couleur nous replonge au coeur de cet événement marquant dans la vie des montréalais. Dans sa course, la caméra prend le minirail, visite les îles, la Ronde, la Cité du Havre, envahit les pavillons, les restaurants, suit les clowns et capte la joie de la foule. Objectif : Expo 67 par William Brind, Office national du film du Canada 1970 Griffintown (1972) Le quartier Griffintown n’a pas toujours été le berceau de condominiums argentés et des jeunes gens branchés. Ce court métrage documentaire nous montre le quartier tel qu’il était dans les années 1970, ignoré et dévasté. Une population réduite mais opiniâtre s’acharne à y vivre et à lutter contre la tyrannie de l’industrie qui cherche à les exproprier. Griffintown par Michel Régnier, Office national du film du Canada Une rue de lait et de miel (1973) Tourné dans les années 1970, ce court métrage documentaire rend hommage au boulevard Saint-Laurent, artère principale de Montréal. Une rue qui demeure, pour nombre d’immigrants, l’endroit où s’est amorcée leur vie nouvelle. Dans cet excellent film, le cinéaste revisite la rue et les commerçants qui l’ont accueilli à l’âge de huit ans, lorsqu’il arriva au Canada avec ses parents. Une rue de lait et de miel par Albert Kish, Office national du film du Canada 1980 Albédo (1982) Mélangeant fiction et documentaire, ce long métrage établit un parallèle entre la vie du photographe David Marvin et l’histoire de Griffintown, un quartier de Montréal auquel il a consacré une partie de son œuvre. Albédo par Jacques Leducet par Renée Roy, Office national du film du Canada 1990 Les amoureux de Montréal (1992) Le cinéaste Jacques Giraldeau nous présente Montréal sous toutes ses coutures et dans tous ses replis… Montréal baignée dans toutes ses lumières, été comme hiver, revisitée par un cinéaste amoureux de ses rues, de ses ruelles, de ses quartiers, de ses parcs, de son fleuve, de ses églises, de ses édifices… Visages d’hier et d’aujourd’hui. Une ville disparate, de verre et de béton, façonnée par des architectes qui lui ont donné un corps et… une âme! Les amoureux de Montréal par Jacques Giraldeau, Office national du film du Canada 2000 La mémoire des anges (2008) À la fois documentaire, poème et essai, La mémoire des anges est une expérience unique permettant de revisiter la ville de Montréal des années 1950 et 1960, avec ses grandes figures, ses lieux emblématiques et ses citoyens ordinaires. Pour ce faire, le cinéaste Luc Bourdon a procédé à un assemblage d’archives et d’extraits tirés de 120 films produits par l’ONF. Un tour de force magistral! La mémoire des anges par Luc Bourdon, Office national du film du Canada 2010 Sacrée montagne (2010) Revisitez un des lieux les plus emblématiques de Montréal avec ce documentaire Web qui explore notre relation au sacré à travers le Mont-Royal. Dans cette courte vidéo tirée du projet, l’écrivain Dany Laferrière livre une réflexion sur la place du sacré dans l’histoire et l’imaginaire québécois, revivant pour l’occasion ses premiers pas dans ce Montréal que sa mère, depuis Port-au-Prince, appelait « la ville de Dieu ». Sacrée montagne – La métaphore de Montréal par Hélène de Billyet par Gilbert Duclos, Office national du film du Canada À Saint-Henri, le 26 août (2011) Tourné en 24 heures, À St-Henri, le 26 août rassemble quelques-uns des plus brillants cinéastes documentaires québécois d’aujourd’hui autour de cet ancien quartier ouvrier de Montréal. Dans un style cinéma direct, à l’affût des histoires qui font l’épaisseur d’une journée dans la vie quotidienne du quartier, ce film parcourt des trajectoires qui se côtoient ou se traversent tout en restant opaques les unes aux autres. Réalisé en 2010, ce film est un hommage à l’oeuvre collective d’Hubert Aquin, À Saint-Henri le cinq septembre. Il témoigne de la transformations d’un espace urbain resté profondément enraciné dans son passé industriel vibrant. La musique a été composée par le talentueux Patrick Watson. Le film est maintenant disponible en location. Pour le visionner, cliquez ici. À St-Henri, le 26 août – (Bande-annonce) par Shannon Walsh, Office national du film du Canada D’où je viens (2013) Dans ce superbe documentaire, le cinéaste Claude Demers (Les dames en bleu) revisite le quartier populaire de Verdun où il a grandi pour y interroger le mystère de ses origines. La ville et le fleuve Saint-Laurent constituent la toile de fond de cette ode à la vie et à la beauté du monde. Une œuvre libre et humaine, qui nous montre un visage de Verdun que vous n’avez jamais vu. Pour en savoir plus, lisez notre entretien avec le réalisateur. Le film est maintenant disponible en location. Pour le visionner, cliquez ici. D'où je viens – (Bande-annonce) par Claude Demers, Office national du film du Canada Et vous, quels sont vos films préférés de notre collection sur Montréal? À Saint-Henri le cinq septembre, Au parc Lafontaine, cité, Claude Demers, D'où je viens, Documentaire, film, Griffintown, Histoire, Hubert Aquin, Jacques Giraldeau, Jacques Leduc, La cité de Notre-Dame, La mémoire des anges, Luc Bourdon, Métropole, Michel Brault, mont Royal, Montréal, Saint-Henri, Saint-Jean-Baptiste, Saint-Laurent, Urbanisme, Ville, ville-marie, webdocumentaire sent via Tapatalk
  22. J'ai passé cet apres midi sur la 720 ouest . Et j'ai vue des ouvriers installer des nouveau rails a la hauteur de la rue Bethune un peu a l'est du viaduc Glen. Surement la 3 ieme voie qui va vers la station Vendome. Je n'ai pas pris de photos par contre.
  23. http://www.condospromenade.com/fr.php Petit projet sur la Promenade Ontario près de l'intersection Pie-IX avec la SAQ qui est présentement l'autre bord de la rue va déménager au rez-de-chaussée de l'édifice. La construction est bien avancée. Cette portion de la promenade s'en vient pas mal du tout...
×
×
  • Créer...