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  1. Read more: http://montreal.ctvnews.ca/westmount-mayor-critical-of-montreal-s-3-4-tax-hike-1.956037#ixzz26Yf3DSjn I want someones head for this. It goes to show, that city doesn't care about traffic. They like everything packed up (i.e causing pollution and wasting gas). These people are completely useless. It be beautiful if CSL, VSL and others can sue Montreal for screwing them over.
  2. Ville de Montréal - Portail officiel - Détail du communiqué Réaménagement de la rue Saint-Hubert et remplacement de la marquise - La Ville investit 50 M$ pour redynamiser la Plaza Saint-Hubert 5 février 2017 Montréal, le 5 février 2017 – Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, accompagné de M. Marc-André Gadoury, responsable du dossier vélo au sein de l'Administration Coderre et de Mme Érika Duchesne, conseillère de la Ville pour l'arrondissement Rosemont–La Petite-Patrie, a annoncé aujourd'hui les grands principes du projet de réaménagement de la Plaza Saint-Hubert, située sur la rue Saint-Hubert, entre les rues de Bellechasse et Jean-Talon. « Je suis heureux de vous annoncer que mon Administration investira environ 50 M$ pour refaire les infrastructures de la Plaza Saint-Hubert, réaménager la rue et remplacer la marquise, qui en avait bien besoin. Nous allons redonner à la Plaza Saint-Hubert ses lettres de noblesse, la propulser au 21e siècle et offrir aux Montréalais un espace de vie agréable et une expérience commerciale unique et attractive », a déclaré M. Coderre. Les travaux d'infrastructure et d'aménagement de surface visent à mettre à niveau les infrastructures souterraines, dont les conduites d'égout et d'aqueduc, à améliorer l'esthétisme et la convivialité de la rue et la visibilité des commerces. En accord avec les commerçants et la Société de développement commercial (SDC) de la Plaza Saint-Hubert, la marquise, installée en 1984 et qui constitue l'emblème de cette rue commerciale, sera démantelée. Une nouvelle marquise, plus légère, plus claire, n'obstruant pas les fenêtres du deuxième étage des bâtiments sera installée. À cette occasion, la Ville de Montréal mettra en place un programme, le PRAM-Artères en chantier, destiné notamment à offrir des subventions aux propriétaires des bâtiments pour leur permettre d'effectuer des rénovations sur leurs façades avant l'installation de la nouvelle marquise. « La nouvelle marquise, des places publiques pour mettre en valeur certains bâtiments, des trottoirs plus larges, du nouveau mobilier, un éclairage plus performant et des arbres qui ne seront plus, enfin, situés sous la marquise, feront de cette rue commerciale unique à Montréal un endroit où il fera bon se promener pour découvrir ou redécouvrir les commerces », a ajouté M. Lionel Perez, membre du comité exécutif responsable des infrastructures au comité exécutif. Démarche participative, chantier exemplaire Dans sa volonté affirmée de faire du projet de réaménagement de la rue Saint-Hubert un chantier exemplaire en matière de concertation, de consultation et de gestion de chantier, la Ville de Montréal a tenu, depuis 2012, diverses activités auxquelles la SDC de la Plaza Saint-Hubert, les commerçants, les usagers et les résidents ont pris part. Afin d'atténuer l'impact des travaux et pour augmenter l'attrait de la Plaza Saint-Hubert avant, pendant et après les travaux, la Ville de Montréal a fait appel à des firmes de concepteurs afin qu'elles développent, en concertation avec les citoyens, des pistes d'intervention permettant d'animer la rue et d'améliorer l'expérience des usagers. Les détails de ces mesures de mitigation seront dévoilés ultérieurement. Pour en apprendre davantage sur le projet, consulter le lien suivant : ici. [TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=width: 217][/TD] [TD=width: 555][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=width: 100%][h=1]Réaménagement de la rue Saint-Hubert[/h]La rue Saint-Hubert a plus de cent ans. Caractérisée par sa marquise de verre construite en 1984, elle est une artère commerciale majeure de la ville de Montréal. Mieux connue sous le nom de Plaza St-Hubert, cette portion de la rue, située entre les rues de Bellechasse et Jean-Talon, a connu certaines transformations au cours des dernières années. À la fin de 2018, la Ville de Montréal procédera à d’importants travaux dont : La mise à niveau des infrastructures souterraines (conduites d’égout et d’aqueduc); Le remplacement de la marquise par une installation plus légère et plus claire; L’élargissement des trottoirs; L’aménagement de places publiques et la mise en place de mobilier urbain distinctif; L’alignement d’arbres en bordure de la marquise. Ces travaux auront pour effet d’augmenter le confort et la convivialité de cette artère tout en améliorant son esthétisme et la visibilité de ses commerces. [h=2]Mise en valeur du chantier et de l’artère commerciale[/h]Dans le but d’augmenter l’attrait de la Plaza St-Hubert avant, pendant et après les travaux, la Ville de Montréal a fait appel à quatre firmes de concepteurs, Atomic 3, Daily tous les jours, la SHED, et Muhidin Kadric afin qu’elles développent des pistes d’intervention permettant d’animer la rue et d’améliorer l’expérience de ses usagers. Précisons que les idées retenues s’inspirent de celles proposées par les citoyens lors d’une consultation publique ayant eu lien en 2016. Par ailleurs, afin de soutenir l’activité commerciale pendant les travaux, la Ville de Montréal lancera le PR@M Saint-Hubert qui comprend également un volet d’aide à la rénovation des commerces. [/TD] [TD=width: 15][/TD] [/TR] [TR] [TD=width: 100%, colspan: 3][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 100%] [/TABLE] [/TD] [TD=width: 217][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD][TABLE=class: RegionNoBorder, width: 100%] <tbody>[TR] [TD=class: RegionHeaderColor, width: 100%][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD][TABLE=class: RegionNoBorder, width: 100%] <tbody>[TR] [TD=class: RegionHeaderColor, width: 100%] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE]
  3. Malek

    Autoroute 35

    L’ensemble du corridor Montréal-Boston est desservi par des autoroutes, à l’exception du tronçon de 37,9 km sur la route 133 compris entre Saint-Jean-sur-Richelieu et la frontière américaine. Actuellement, en raison de l'absence d'une autoroute dans le secteur, la circulation locale, régionale et de transit s'effectue sur la route 133, ce qui entraîne plusieurs inconvénients pour les agglomérations traversées. Le projet de parachèvement de l’autoroute 35 (autoroute de la Vallée-des-Forts) vise à terminer ce trait d’union essentiel de près de 500 km, entre Montréal et Boston, et à faire du lien autoroute 35/Interstate 89 un véritable corridor de commerce entre le Québec et la Nouvelle-Angleterre. Le parachèvement de l'autoroute 35 a pour objectifs : d’assurer la sécurité des usagers; de terminer un important lien autoroutier entre le Québec et les États-Unis en améliorant la mobilité des personnes et des marchandises; d’améliorer la qualité de vie ainsi que la sécurité des riverains de la route 133. Le nouveau tronçon d’autoroute à quatre voies traversera le territoire de cinq municipalités, soit Saint-Jean-sur-Richelieu, Saint-Alexandre et Saint-Sébastien, qui font partie de la MRC du Haut-Richelieu, ainsi que Saint-Pierre-de-Véronne-à-Pike-River et Saint-Armand, qui font partie de la MRC de Brome-Missisquoi. Cinq échangeurs seront construits pour assurer le lien entre les voies autoroutières et le réseau local. Ils seront situés dans les secteurs d’Iberville, de Saint-Alexandre, de Saint Sébastien et de Saint-Armand (nord et sud). Tracé / Plan / Maquette Carte - Tracé et échangeurs planifiés (948 Ko) Esquisses des infrastructures projetées: Échangeur Iberville (route 133) (230 Ko) Échangeur Iberville (Grande-Ligne) (202 Ko) Échangeur Saint-Alexandre (649 Ko) Échangeur Saint-Sébastien (1,2 Mo) Pont de la rivière aux Brochets (529 Ko) Échangeur Saint-Armand nord (230 Ko) Échangeur Saint-Armand sud (443 Ko)
  4. Issu du PTI 2016-2018 de la ville: Nature du projet: Le projet consiste à démolir la structure étagée actuelle et à la remplacer par une intersection urbaine, tout en préservant la voie réservée aux autobus sur le chemin de la Côte‐des‐Neiges. Le projet améliorera la sécurité pour les piétons et les cyclistes et contribuera entre autres à diminuer la circulation de transit sur les chemins Remembrance et Camillien‐Houde. La séquence des travaux n'est pas encore déterminée, mais il est envisageable que les travaux aient lieu durant les années 2019 à 2021. Justifications et bénéfices du projet: Le carrefour étagé Côte‐des‐Neiges / Remembrance a été construit en 1960 pour inciter les Montréalais et les touristes à venir en plus grand nombre sur la montagne. L’aménagement était conçu pour offrir aux automobilistes une expérience paysagère de qualité, de type « parkway ». Les deux structures étagées composant le carrefour sont toutefois arrivées à la fin de leur vie utile (ces dernières ont été incluses pour cette raison dans le plus récent « Plan d'action sur 21 structures ayant un indice d'état de 1 » de la Ville). En outre, le carrefour actuel est inhospitalier non seulement pour les piétons et les cyclistes, mais également pour les automobilistes qui tentent de sortir du stationnement du manège militaire et ceux qui traversent l’intersection des chemins Belvédère et Côte‐des‐Neiges. Les principaux bénéfices anticipés du projet sont les suivants : • remplacement d’une infrastructure de transport arrivée à la fin de sa vie utile; • réduction de la vitesse observée des véhicules circulant sur le chemin de la Côte‐des‐Neiges; • réduction de la circulation de transit sur les chemins Remembrance et Camillien‐Houde; • amélioration de la sécurité des piétons et des cyclistes; • contribution à l’implantation du chemin de ceinture du mont Royal (destiné aux piétons et aux cyclistes); • mise en valeur du patrimoine historique et naturel du mont Royal. Plans et Devis: Début: 2017 Fin: 2017 Un avant‐projet préliminaire a été préparé par le SGPVMR. L'avant‐projet définitif pourrait être réalisé en 2016. Travaux: Début: 2018 Fin: 2020
  5. Port de Montréal Photo : Luc Lavigne Le gouvernement Marois, la Ville de Montréal et l'Administration portuaire de Montréal annoncent la signature d'une entente pour le prolongement du boulevard de l'Assomption, afin de faciliter l'accès au port. Les améliorations visent aussi le prolongement de l'avenue Souligny ainsi que le réaménagement des liens entre le port et l'autoroute 25. Ces changements faisaient partie des priorités de la Ville dans son dernier plan de transport. Le projet doit faciliter le transport des marchandises en raccordant plus directement le port au réseau autoroutier. Il doit aussi diminuer le transit de camions sur la rue Notre-Dame. « C'est une bonne nouvelle pour le développement de l'est de Montréal et pour l'ensemble du Québec », affirme le ministre des Transports, Sylvain Gaudreault, dans un communiqué. Québec croit aussi que le projet améliorera la qualité de vie des citoyens en réduisant la pollution, le bruit et les risques d'accident dans les quartiers adjacents. Aucun échéancier toutefois n'a été établi pour les travaux, et aucun détail n'a été donné concernant le coût du projet. Le ministère des Transports doit par ailleurs mener les études pour les réaménagements à proximité de l'autoroute 25. Mise en valeur des terrains Le projet vise aussi le désenclavement et le développement de terrains vacants à vocation industrielle dans ce secteur. « L'établissement de ce nouveau lien routier de 1,5 km contribuera à la mise en valeur d'un quadrilatère de 300 000 mètres carrés situé entre la rue Dickson et la cour de triage du CN, et entre les rues Hochelaga et Notre-Dame, où plusieurs terrains sont enclavés et vacants », précise la Ville de Montréal. « L'amélioration de l'accessibilité routière au Port de Montréal et l'allégement du camionnage sur la rue Notre-Dame représentent des avantages considérables, qui bénéficieront au développement économique de l'est de la métropole », affirme de son côté le maire de Montréal, Michael Applebaum, dans un communiqué. Quant à la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, elle salue cette décision, des changements qu'elle souhaitait voir se réaliser depuis 2011.
  6. La ville veut mettre Berri à niveau avec la rue Sherbrooke. Modifier la configuration actuelle du viaduc qui est de type autoroutier et qui ne répond plus au besoin du secteur. Éventuellement, cette structure sera retirée et la rue Berri pourra être rehaussée au niveau de la rue Sherbrooke afin de corriger des problématiques de sécurité au niveau des intersections Berri / Ontario et Berri / Chérier. Des analyses en vue de baliser la portée des interventions sont présentement en cours avec la STM en raison de la présence du tunnel du métro situé directement sous l'emprise de la rue Berri. Quant à la portée de la bonification de l'aménagement des rues, elle sera définie avec les partenaires au courant de 2018 afin d'en préciser les coûts et les échéanciers. Entre temps, des travaux de sécurisation de la structure du viaduc, le remplacement de la membrane du tablier et la réfection des murs de soutènement seront effectués en 2018 pour se terminer en 2019 (financés par le Programme de réfection des structures routières - 46000) Pas une bonne nouvelle pour les cyclistes, la côte Berri pourrait devenir plus à pic.
  7. Modernisation de la rue Notre-Dame doit attendre André Beauvais Le Journal de Montréal 09/07/2006 08h49 Le dossier n'avance pas vite, car ils sont parfois une douzaine d'intervenants autour de la table à défendre des positions opposées. Même si le premier ministre Jean Charest a annoncé le choix du concept novateur de la modernisation de la rue Notre-Dame, il y a un an, la Ville et le ministère des Transports sont encore loin de s'entendre sur ce fameux concept routier. Claude Paquet, chef du service des projets pour la région de Montréal, au ministère des Transports, a confirmé hier qu'on est encore loin de lancer des appels d'offres pour les secteurs Hochelaga-Maisonneuve et Sainte-Marie. Mais il en est autrement pour le secteur Souligny (de Dickson à la 25). M. Paquet soutient que les appels d'offres pour cette partie de la rue Notre-Dame seront lancés dans quelque six mois. Il reconnaît que les deux autres secteurs qui traversent des quartiers plus populeux font toujours l'objet de discussions sur l'intégration des normes de l'hôtel de ville sur la volonté de construire un boulevard urbain et des normes du ministère qui favorisent toujours une circulation rapide à «saveur» d'autoroute. «C'est pas facile, dit-il, surtout quand on considère que, dans Sainte-Marie, la rue Notre-Dame devient le prolongement vers l'est de l'autoroute Ville-Marie.» Sécurité On devine dans les propos de M. Paquet que les deux parties ne partagent toujours pas une même solution qui puisse répondre aux besoins de diverses clientèles routières et à la grande volonté de l'administration de Montréal de réaliser une telle voie, rapide ou pas, sur une base de sécurité à toute épreuve. «On continue de chercher des solutions dans nos rencontres, qui sont quasi quotidiennes. Mais il y a beaucoup d'intervenants et, certains jours, on se retrouve une bonne douzaine de personnes autour de la table à faire valoir différents points de vue», affirme Claude Paquet. Il évalue actuellement le projet de la rue Notre-Dame à 600 millions, dont 500 proviendront de Québec et 100 de la Ville. Il n'est donc pas tellement difficile de comprendre que le ministère des Transports a le gros bout du bâton. Le ministère des Transports est propriétaire de 90 % de la superficie nécessaire au projet. Il négocie encore l'expropriation de terrains commerciaux, côté sud de Notre-Dame, dans Hochelaga. Les premières expropriations et démolitions de centaines de logements pour le projet de la rue Notre-Dame ont été réalisées au début des années 1970! Les travaux devaient débuter dans les années suivantes.
  8. http://ocpm.qc.ca/fr/consultation-publique/voies-dacces-au-parc-mont-royal L'Office de consultation publique de Montréal a été mandaté par le comité exécutif pour assurer la tenue d'une consultation publique visant à évaluer le projet pilote de retrait de la circulation de transit pour les véhicules particuliers sur les voies Camillien-Houde et Remembrance et à imaginer le futur pour ces chemins d’accès au parc du Mont-Royal. Au cours des prochains mois, l’Office mettra en place une démarche participative visant à réfléchir l’avenir et l’aménagement des chemins d’accès au parc du Mont-Royal et évaluer le projet pilote de retrait de la circulation de transit automobile sur les voies Camillien-Houde et Remembrance. Cette démarche proposera des activités variées, en personne et en ligne, et culminera par des séances d’audition des opinions au mois de novembre après la fin du projet pilote. Le sujet vous intéresse ? Inscrivez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer de nos nouvelles.
  9. LONGUEUIL, QC, le 7 août 2018 /CNW Telbec/ - Le ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports informe les usagers de la route que les travaux pour la construction du pont d'étagement dans l'axe du boulevard du Quartier, au-dessus de l'autoroute 10, à Brossard, débuteront le 13 août et doivent se poursuivre jusqu'en 2019. Ces travaux entraîneront des entraves essentiellement sur l'autoroute 10 ainsi que dans l'échangeur des autoroutes 10 et 30. Durant certaines phases de travaux, la limite de vitesse sur l'autoroute 10 sera réduite à 70 km/h aux abords du chantier et la largeur des voies de l'autoroute 10 sera réduite à 3,3 m. Lors des fermetures complètes de l'autoroute 10, les chemins de détour seront balisés à l'aide de panneaux de signalisation. D'autres communiqués seront émis en temps opportun pour préciser les fermetures complètes. À noter que la construction du pont d'étagement est financée par la Ville de Brossard. Toutefois, le Ministère assure la surveillance des travaux puisque le pont d'étagement est situé au-dessus de l'autoroute. En cas de contraintes opérationnelles ou de conditions météorologiques défavorables, le début du chantier pourrait être reporté. Pour tous les détails et les mises à jour, nous vous invitons à consulter le Québec 511. Le Ministère remercie les usagers de la route pour leur collaboration. De 2018 à 2020, plus de 4,8 milliards de dollars seront investis sur le réseau routier québécois, où plus de 2 000 chantiers seront en activité, créant plus de 31 000 emplois. Afin de planifier adéquatement vos déplacements, informez-vous sur les entraves en cours et à venir en consultant le Québec 511. Pour la sécurité des usagers de la route et celle des travailleurs, le respect de la signalisation en place est essentiel. Portail Québec
  10. Réaménagement de l'échangeur A-20/A-25/Rte-132 L’échangeur situé à la jonction de l’autoroute 20, de l’autoroute 25 et de la route 132 à Longueuil constitue une véritable plaque tournante pour le réseau routier supérieur de la Rive-Sud de Montréal. En plus de donner accès au pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine, cet échangeur assure la continuité de l’autoroute 20 le long du fleuve Saint-Laurent, dans l’axe de la route 132, jusqu’au pont Champlain. L’échangeur a été construit dans les années 60 et sa configuration géométrique présente certaines déficiences qui limitent aujourd’hui la capacité des autoroutes 20 et 25. L’achalandage est très élevé sur ces deux grands axes, soit plus de 100 000 véhicules par jour, sans compter les quelque 620 déplacements quotidiens d’autobus. De plus, trois structures qui font partie de cet échangeur ont atteint leur durée de vie utile et nécessitent une reconstruction complète. C’est aussi le cas de la chaussée de l’autoroute 20/route 132 à Longueuil, sur un tronçon compris entre le boulevard Roland Therrien et l’échangeur. Plus d'information: http://www.longueuil.ca/vw/asp/gabarits/gabarit_popup.asp?ID_MESSAGE=29539&ID_ARROND_COMM=40 et http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/regions/monteregie_est/reame_echan_a20_a25_r132
  11. Réaménagement de la rue de la Concorde Partagez sur Facebook Partagez sur Twitter Partagez sur LinkedIn
  12. Griffintown: Montréal lance un concours de design pour la rue Smith La petite artère deviendra un axe important de la première phase du projet Jeanne Corriveau Le Devoir 8 janvier 2011 Montréal La Ville de Montréal lancera un concours de design pour refaire une beauté à la rue Smith qui bordera le projet immobilier Griffintown. Cette petite rue qui, à l'heure actuelle, ne paie pas de mine, deviendra un axe important dans le cadre de la première phase du projet immobilier de 475 millions de dollars du promoteur Devimco. En attendant le début de la construction des premiers condos, la Ville prépare le terrain en vue du réaménagement de la rue Smith, entre la rue Ann et le canal de Lachine, qui sera rafraîchie dans la foulée du projet de revitalisation urbaine du secteur. Montréal souhaite recevoir des propositions d'aménagement par l'entremise d'un concours de design qu'elle lancera au printemps prochain. Outre la rue elle-même, la Ville entend réaménager la bande de terrain qui longe les voies ferroviaires du CN ainsi que le «square Gallery» situé à l'angle de la rue Murray. Comme la Ville souhaite accorder le contrat en fonction de la qualité du design des propositions et non uniquement du prix, elle devra demander l'autorisation du ministère des Affaires municipales pour être en mesure d'octroyer le contrat sans autre appel d'offres. Selon Liliane Cardinal, qui dirige la Division des grands projets à la Ville, il s'agirait d'une formalité. Le projet de réaménagement nécessitera des investissements de 10 millions, et les travaux s'échelonneront de 2012 à 2016. Pour sa part, le promoteur Devimco devrait donner le coup d'envoi aux travaux de construction de la première phase de son projet au cours des prochains mois. «District Griffin» comportera 1375 condos, un hôtel et des commerces dans des tours de 19 étages qui seront construites entre les rues Wellington et Smith. Rappelons que le 30 août dernier, le promoteur avait dévoilé la nouvelle mouture de son projet, plus modeste que celui envisagé quelques années auparavant. En raison de la récession, Devimco a préféré procéder par phases. Alors que le projet initial de 1,3 milliard prévoyait la construction de 4000 unités résidentielles, le promoteur a limité à 1375 le nombre de condos qui seront construits dans un premier temps. Un hôtel de 150 chambres est également prévu. «La première phase des travaux devrait débuter bientôt, a indiqué Liliane Cardinal. Le promoteur a quelques semaines de retard, mais rien d'inquiétant.»
  13. Le réseau routier croule plus vite qu'on ne peut le réparer Pont fermé sur l'autoroute 20, à Saint-Hyacinthe. PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE BRUNO BISSON La Presse Le ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports (MTMDET) ne parviendra pas à freiner la détérioration des ponts, des structures et des chaussées de son réseau routier dans les prochaines années, même s'il réalise tous les chantiers prévus jusqu'en 2020, qui totalisent près de 5 milliards. Dans un avis transmis au sous-ministre des Transports Marc Lacroix, au début de cette année, un comité formé de trois experts indépendants brosse un portrait préoccupant de la capacité financière et opérationnelle du Ministère à atteindre les cibles fixées pour améliorer l'état de ses ponts et de ses chaussées. Ces trois experts étaient appelés à fournir un avis sur la programmation 2018-2020 des travaux routiers du MTMDET, annoncée en mars dernier. Cette programmation prévoit des investissements de 4,8 milliards pour financer la construction ou la réfection de 674 ponts sur le réseau routier supérieur, 263 ponts sur les réseaux municipaux (un total de plus de 2000 chantiers). Se réjouissant de l'augmentation prévue du niveau d'activité par rapport à l'exercice précédent, le comité conclut toutefois que «même si tous les travaux programmés étaient pleinement réalisés, le résultat ne permettrait pas d'atteindre les cibles du plan stratégique 2017-2020 à l'égard du pourcentage des structures et des chaussées en bon état. En fait, il y aura une détérioration au cours des prochaines années, selon les prévisions du Ministère». Des progrès compromis Ce comité est formé par Jean Bédard, professeur de comptabilité et gouvernance des sociétés à l'Université Laval, Jacques Girard, ingénieur et expert en travaux routiers et en normalisation, et Louis Lévesque, ancien sous-ministre de Transport et Infrastructure Canada. C'est la deuxième fois que ces experts sont appelés à se pencher sur les travaux du MTMDET. «Le volume des travaux réalisés dans les deux dernières années est insuffisant pour maintenir les progrès observés au cours de la dernière décennie au chapitre de l'état des structures et du réseau routier.» - Extrait de l'avis sur la programmation 2018-2020 des travaux routiers du MTMDET Ces progrès ont été permis par l'injection de dizaines de milliards de dollars dans un vaste plan de redressement du réseau routier lancé il y a 10 ans «en réponse à l'effondrement du viaduc de la Concorde» à Laval en 2006. L'effondrement avait fait cinq morts et six blessés graves et avait mis en lumière la vulnérabilité d'un réseau routier ayant souffert d'un manque d'entretien flagrant durant des années. Les améliorations obtenues au terme de ces investissements colossaux sont toutefois fragiles, disent les experts, comme en témoignent les difficultés rencontrées par le Ministère l'an dernier. Les inondations du printemps 2017 et le conflit de travail dans l'industrie de la construction ont ralenti les chantiers du MTMDET. Ces problèmes étaient largement hors de son contrôle, mais le ralentissement qu'ils ont provoqué ne peut pas être rattrapé. «Cette réduction des travaux réalisés en 2017 aura un impact négatif permanent sur l'état du réseau, expliquent-ils, puisque les travaux effectués en 2018, qui auraient dû être effectués en 2017, retarderont d'autres travaux à 2019, et ainsi de suite.» Manque de compétence et de main-d'oeuvre Pour assurer la réalisation d'un volume de travaux suffisant pour améliorer l'état des ponts et chaussées du Québec, les experts plaident pour «une augmentation de la capacité opérationnelle et des ressources financières du Ministère», tout en identifiant une de ses principales faiblesses : «des carences au niveau des ressources humaines, en nombre ou en compétence, ont un impact important sur la capacité à préparer des projets». Le Ministère a de la difficulté à recruter et à retenir sa main-d'oeuvre, particulièrement en région, affirment-ils. Et lorsqu'il arrive à convaincre des professionnels compétents d'y travailler, ceux-ci «se voient convoiter par plusieurs employeurs, dont de grandes sociétés privées offrant des conditions très avantageuses». Appelé à commenter cet avis du comité d'experts indépendants, le Ministère, qui est actuellement sans ministre à la suite des élections de lundi dernier, n'a pas répondu hier à l'invitation de La Presse. https://www.lapresse.ca/actualites/201810/04/01-5199139-le-reseau-routier-croule-plus-vite-quon-ne-peut-le-reparer.php
  14. Je n'ai pas trouvé de fil existant, alors j'en crée un. Issu du document du PTI 2016-2018 de la Ville de Montréal: Le projet comprend le réaménagement de l'échangeur Sherbrooke, l'ajout d'une piste multifonctionnelle en direction nord, la démolition du pont de Boucherville Nord, le prolongement de la voie de service sud, le prolongement de la 3e voie rapide en direction sud, le réaménagement de la voie de service nord et des murs antibruit côté est et l'aménagement de nouveaux accès au port de Montréal. Justifications et bénéfices du projet: Échangeur Sherbrooke: Amélioration de la sécurité et confort des piétons par l'aménagement d'intersections en «T» et l'installation de feux de circulation Réduction de la circulation sur les rues locales par la réouverture de la bretelle A‐25 sud et l'ajout de bretelles vers et depuis Notre‐Dame Démolition du pont De Boucherville Le pont a atteint sa durée de vie, économie de coûts d'entretien de la structure à long terme Prolongement de la voie de service sud: Réduction de la circulation sur les rues locales, configuration plus conforme aux attentes des usagers Prolongement de la 3e voie rapide de la A‐25 Augmente la sécurité routière en éliminant la zone de convergence actuelle Réaménagement de la voie de service nord et du mur antibruit Plans et Devis 2014 à 2015 (Plans et devis completés à 95 %) Travaux 2015 à 2017
  15. - Complété à la fin de 2015 - Vise à prolonger le boulevard Maurice-Duplessis, entre la 87e avenue et le boulevard de la Rivière-des-Prairies - Aménagement d'une voie cyclable du côté nord du boulevard et de trottoirs de chaque côté de cette même artère - Assurer la circulation sécuritaire des cyclistes et des piétons à proximité de la future gare et du terminus d’autobus - Coûts de ces travaux évalués à 25 M$
  16. http://auto.lapresse.ca/technologies/201507/29/01-4888911-la-route-de-demain-prefabriquee-en-plastique-recycle.php Publié le 29 juillet 2015 à 09h46 | Mis à jour à 09h46 La route de demain: préfabriquée en plastique recyclé? Denis Arcand La Presse La route de demain sera faite de plastique recyclé et l'âge d'or de l'asphalte achève, prédit la société néerlandaise VolkerWessels, qui vient de rendre publique sa technologie PlasticRoad. VolkerWessels affirme que ses routes de plastique recyclé se construiraient et s'entretiendraient bien plus rapidement que les routes d'aujourd'hui. Les travaux routiers seraient plus courts: ils se mesureraient en semaines, pas en mois. Et ils seraient moins fréquents. La clef? La préfabrication en usine de segments modulaires et leur installation sur un simple lit de sable. Les routes de plastique dureront trois fois plus longtemps que nos voies asphaltées d'aujourd'hui, et ce, avec un entretien minime, affirme la compagnie. Comme une piste Scalextrix «L'idée est de mouler les segments pour qu'ils s'imbriquent les uns dans les autres. La largeur idéale est d'environ 3,5 m, soit la largeur d'une voie routière», a indiqué à La Presse Simon Jorritsma, conseiller développements nouveaux et techniques spéciales chez InfraLinq, la filiale asphalte de VolkerWessels. «On pourrait aussi faire des pistes cyclables», ajoute-t-il. Autre avantage, le concept PlasticRoad prévoit un espace creux toujours accessible où on pourrait faire passer le câble, les fils électriques alimentant les lampadaires et les feux de circulation, l'aqueduc, les tuyaux d'égout et d'eau de pluie et, un jour, l'infrastructure électronique permettant la conduite autonome des voitures de demain. L'asphalte est un excellent revêtement routier, mais les problèmes liés au pétrole et les besoins nouveaux auxquels font face les entrepreneurs exigent de nouvelles solutions, estime Simon Jorritsma. «Le plastique est une alternative durable très supérieure et ouvre la porte à toutes sortes d'autres innovations, comme la production d'électricité, le chauffage des routes, des surfaces de roulement moins bruyantes et la construction modulaire», écrit-il. Plastique recyclé à 100% «Notre intention est d'utiliser seulement du plastique recyclé», sans adjuvant d'hydrocarbures, a indiqué à La Presse M. Jorritsma, qui fait remarquer que 55% du plastique produit dans le monde est brûlé dans des incinérateurs. «C'est du gaspillage d'incinérer le plastique si on peut le réutiliser et lui donner un usage nouveau de haute qualité [...] pour faire des routes.» Dans une région comme le Québec, avec ses températures extrêmes, une route de plastique tiendrait-elle le coup? «La structure routière PlasticRoad n'est pas affectée par la température ni la corrosion; elle résiste facilement à des températures allant de -40 à 80 degrés Celsius», écrit M. Jorritsma. Épandage de sel Pour ce qui est du sel et du gel, VolkerWessels n'a pas encore de certitude: «Nous voulons développer un prototype avec les bons partenaires et faire des expériences et des tests», a-t-il indiqué à La Presse. Il ajoute que la société travaille sur un système de tuyaux permettant de stocker la chaleur solaire absorbée par la route, et de chauffer la route assez pour éviter le gel (et le sel) aux températures modérées. La PlasticRoad a un autre argument intéressant, compte tenu des scandales récents dans la construction au Québec: ce sera «beaucoup plus facile de vérifier la qualité de la route (rigidité, écoulement des eaux, etc.)». La question de l'adhérence, surtout au froid, est un élément majeur: «Premièrement, on va voir si on peut rendre antidérapant le plastique lui-même. Si ça ne marche pas, on pourrait intégrer du sable ou du gravier dans la surface de roulement», a indiqué M. Jorritsma. Et combien coûterait la Plastic Road? «À ce stade-ci, on ne peut pas encore parler du coût par kilomètre», a répondu M. Jorritsma. La ville de Rotterdam, aux Pays-Bas, a déjà signalé son intérêt à faire un projet-pilote sur ses rues urbaines. M. Jorritsma ajoute que plusieurs villes sont intéressées à participer à des projets-pilotes, dans plusieurs pays du monde.
  17. L'AMT a publié un appel d'offres pour la création d'une voie réservée sur accotement sur la route 116, entre Saint-Bruno et Saint-Basile-le-Grand. Évalué autour de 5,3 M$, ce projet s'inscrit dans le plan stratégique de l'AMT visant à l'implantation de Mesures Préférentielles pour Bus (MPB). https://www.amt.qc.ca/fr/actualites/projets/voies-reservees https://seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?SubCategoryCode=C02&callingPage=4&ColumnAction=1&ItemId=911630a1-84d4-4699-843f-b9952b625800&COpp=Search&p=2&VPos=0 http://ancien.amt.qc.ca/corpo/Appro/appel/appels_fiche.asp?fiche=1000936
  18. http://www.ledevoir.com/culture/television/438093/un-fleuve-une-ile-une-ville?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+fluxdudevoir+(Le+fil+de+presse+du+Devoir Un fleuve, une île, une ville 25 avril 2015 |Paul Cauchon | Télévision Photo: Le fleuve et son île Télévision Le fleuve et son île (dans le cadre de 1001 vies) Radio-Canada, samedi, 21 h Voilà, en accéléré, un excellent cours sur l’histoire de Montréal qui montre comment la ville s’est structurée autour du fleuve Saint-Laurent. Quand les premiers colons sont arrivés sur ce territoire occupé par les Amérindiens, il n’y avait pas de route : la route, c’était le fleuve. Et cette grande route était bloquée par les rapides de Lachine. La bourgade qui allait devenir Montréal était alors un lieu de transbordement pour les marchands, qui ne pouvaient franchir les rapides. Le documentaire s’attarde à quelques figures historiques, dont celle de Jeanne Mance dont on ne se rappelle jamais assez l’importance, figure de proue des premiers temps de la colonie. On survole quelques moments-clés : la Grande Paix de Montréal, la conquête britannique, la construction du pont Victoria, premier pont à franchir le fleuve, considéré à l’époque comme la 8e merveille du monde, le rôle joué par John Molson et ses bateaux, la construction du canal de Lachine, et un arrêt fort éclairant aux studios de Norman Notman, dont les clichés représentent aujourd’hui un témoignage fabuleux sur l’histoire de la métropole sent via Tapatalk
  19. via le Journal de Montréal LONGUEUIL Une nouvelle voie réservée CHRISTOPHER NARDI / AGENCE QMI Publié le: lundi 11 août 2014, 16H16 | Mise à jour: lundi 11 août 2014, 17H23 Les résidents de la Rive-Sud profiteront dès le printemps d’une nouvelle voie réservée de cinq kilomètres qui reliera la gare d'autobus Brossard-Panama au terminus Longueuil. L'Agence métropolitaine de transport (AMT) rallongera donc la voie réservée sur le boulevard Taschereau grâce à deux tronçons de voies bidirectionnelles. La première sera située entre la rue Auguste et l’échangeur de la route 116 et le second tronçon reliera l’échangeur à la voie réservée actuelle aménagée à la sortie du boulevard Lafayette. Selon une porte-parole de l’AMT, cette construction amènera une économie de temps de 5 % à 15 % aux voyageurs. De plus, elle permettra aux autobus qui y circulent de respecter leurs horaires en réduisant la congestion sur leur route. «L’aménagement de voies réservées permet des gains en terme de fiabilité et de régularité des horaires. Elles garantissent en quelque sorte le temps de parcours, un avantage significatif pour les clients», explique Claudia Martin. Au total, ce seront près de 250 autobus provenant de trois sociétés de transport de la Rive-Sud qui emprunteront la nouvelle voie quotidiennement. L’AMT a lancé l’appel d’offres pour les travaux la semaine dernière et s’attend à entamer la construction d’ici les prochaines semaines. La voie réservée devrait donc être inaugurée au début de l’année 2015.
  20. I just returned from my annual vacation on Prince Edward Island. One thing that strikes me every time is the sheer time it takes to get from Montreal to PEI. IMO, this could be significantly shortened if Quebec Autoroute 10 were to be extended through Maine (passing adjacent to Bangor) and connecting with New Brunswick Highway 1. This would allow for a quicker passage from Montreal, Ontario and Western Canada to the Maritimes. The proposed divided highway would be about 400 KM (250 miles) in length, and would be significantly shorter than the alternate route by way of the TransCanada/Autoroute 20/NB Highway 2.
  21. Le siège social de McDonald's se trouve à une demi-heure de route à l'ouest de Chicago, dans une banlieue cossue nommée Oak Brook. Pour en lire plus...
  22. S'il n'en tient qu'à une annonce matinale du géant des télécoms, le rachat et la privatisation par le régime des enseignants ontariens Teachers' aura lieu dans un mois malgré la crise du crédit. Pour en lire plus...
  23. La route des entreprises s'annonce cahoteuse dans les prochains mois. Chacune doit trouver les façons de rester sur le chemin qui la mènera sans trop d'ennuis jusqu'à la reprise économique. Pour en lire plus...
  24. La route s'annonce agitée sur le front de l'emploi et le prochain trimestre pourrait probablement être dur également, a dit la porte-parole, Dana Perino. Pour en lire plus...
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