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  1. Montréal, première de classe? La Presse Simon Coutu Des étudiants à la pelle, des fonds abondants en matière de recherche et développement: la métropole compte de nombreux atouts dans sa course aux investisseurs étrangers, mais elle peine aussi à recruter des travailleurs qualifiés. Montréal est la ville où les coûts en recherche et développement sont les plus bas en Amérique du Nord et où l'on retrouve le plus d'étudiants par habitant. Dans son rapport annuel sur les «indicateurs d'attractivité» de Montréal, l'organisme Montréal International conclut que le climat économique de la métropole est propice à l'investissement étranger si on le compare aux grandes villes nord-américaines. Montréal International a comparé la ville aux 19 autres centres nord-américains les plus populeux ainsi qu'aux autres métropoles canadiennes en se basant sur sept indicateurs. On y apprend que Montréal se classe au premier rang canadien pour le nombre de brevet détenus et en deuxième position nord-américaine pour sa qualité de vie. Mais la métropole peine aussi à recruter de la main-d'œuvre qualifiée, indique Montréal International. «C'est certain que Montréal n'est pas New York. Toutefois, on n'y retrouve pas le climat économique sombre que vivent les citoyens américains», soutient le président-directeur général de Montréal International, André Gamache. Maxim Amstrong, économiste au Conference Board du Canada, apporte quelques bémols à l'étude menée par Montréal International. Il croit que le document de promotion est réaliste, mais qu'il ne met en valeur que les meilleurs côtés de la métropole. «Les cinq dernières années ont enlevé beaucoup de pouvoir d'attraction à Montréal. La ville a perdu plusieurs emplois dans le domaine manufacturier. Ce sont les domaines des hautes technologies, de la recherche et des services qui ont contrebalancé l'effet de cette baisse de production.» Vendre Montréal Le PDG de Montréal International pense que la position actuelle de la métropole sur l'échiquier nord-américain est le fruit de l'étroite collaboration entre tous les acteurs du milieu. «Au cours des dernières années, on a mis tout le monde autour de la même table, dit-il. Les changements se font généralement lorsqu'on est capable de reconnaître ses forces et ses faiblesses. Il y a eu une restructuration des outils gouvernementaux. Le monde municipal s'est aussi organisé de concert avec le secteur privé.» Le climat économique favorable stimule les grands travaux de construction. Les deux futurs centres hospitaliers universitaires constituent les plus importants investissements en santé en Amérique du Nord. «Les métiers de la construction ne nécessitent pas de grandes études, explique M. Gamache. La demande est extrêmement forte. Ces nouveaux projets vont aussi avoir un impact considérable dans le domaine de la santé et pour l'industrie pharmaceutique.» Une référence en recherche et développement Sylvie Gagnon, porte-parole d'Investissement Québec, croit que Montréal se démarque dans le secteur de la recherche et du développement grâce à la collaboration étroite entre les écoles, les centres de recherche et les entreprises. «Les coûts reliés à l'exploitation d'un centre de recherche sont très compétitifs à Montréal. Les mesures fiscales du gouvernement favorisent aussi ce secteur.» C'est à Montréal que sont octroyées 30% des subventions canadiennes à la recherche universitaire, souligne Mme Gagnon. «Le réseau de la recherche et du développement à Montréal et au Québec est très vaste. Les entreprises n'ont pas le choix d'investir dans ce secteur. Si elles ne le font pas, elles se font dépasser par la concurrence internationale.» Des locomotives pour l'économie Selon l'étude, Montréal se classe au troisième rang nord-américain pour la croissance de l'emploi en haute technologie. La ville est quatrième en ce qui a trait à la concentration de l'emploi dans ce domaine. Les sciences de la vie, les technologies de l'information et des communications (TIC) ainsi que l'aérospatiale sont les trois domaines qui font la renommée de la ville. La vitalité de la Montréal dans le domaine des hautes technologies a un effet indirect sur celui des services. Selon Montréal International, 24 000 emplois devraient être créés dans la métropole en 2008, une hausse de 1,3%. À lui seul, le secteur des services engendrera 20 000 de ces emplois. «Les secteurs spécialisés sont des locomotives pour l'économie montréalaise, explique M. Gamache. Il y a beaucoup de travail pour les étudiants, ce qui leur permet de poursuivre leur formation. Il y a aussi des emplois plus spécialisés, comme les services juridiques et comptables, qui sont stimulés par l'essor des hautes technologies.» Aujourd'hui, ajoute-t-elle, «les entreprises ont des solutions d'affaires créatives. Il y a aussi des secteurs qui sont basés presque exclusivement sur la créativité comme l'industrie du jeu vidéo». Manque de main-d'œuvre Le déclin de la population montréalaise constitue l'aspect le plus sombre de l'étude. La ville se classe au 11e rang nord-américain avec un taux de croissance de 0,73%. «Notre main-d'œuvre n'est pas suffisante, déplore M. Gamache. Les taux de natalité et d'immigration sont bas. Il y a aussi un faible taux de rétention des travailleurs étrangers.» Maxim Amstrong croit que les villes comme Montréal n'ont pas le choix de trouver plus de main-d'œuvre et de s'attaquer à la pénurie. «Les entreprises déménagent maintenant pour trouver des employés, dit-il. De plus en plus, les gens recherchent une qualité de vie offerte par de petites villes canadiennes.» De son côté, le responsable du développement économique au comité exécutif de la Ville de Montréal, Alan DeSousa, croit que le manque de main-d'œuvre est une conséquence heureuse de la vitalité de l'économie montréalaise. «Nous sommes victimes de notre succès. Le défi de Montréal et du Québec est de profiter de cette opportunité pour former des gens et répondre à la demande de main-d'œuvre.» 34% En 2007, les investissements étrangers représentaient 43 % de tous les investissements privés non résidentiels du Grand Montréal. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080628/LAINFORMER/806281160/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER ______________________________________________________________________________________________________________________ Des milliers d'étudiants s'installent... puis repartent 28 juin 2008 - 09h57 La Presse Philippe Orfali Avec ses 156 000 étudiants, Montréal se classe première parmi les grandes villes d'Amérique du Nord pour le nombre d'étudiants par habitant. Contrairement à ses rivales, Montréal peine toutefois à conserver ses jeunes diplômés: seulement le quart d'entre eux ont décidé de s'établir dans la métropole en 2005. Montréal est une ville qui attire énormément d'étudiants et de chercheurs pour une agglomération de sa taille, explique le titulaire de la chaire de recherche du Canada sur les villes du savoir, Rémy Tremblay. «Montréal, c'est un peu le Boston du Canada. Ce sont deux grandes villes qui, sans être gigantesques, comptent un nombre important d'institutions postsecondaires et attirent des étudiants de partout dans le monde.» Environ 14 500 personnes inscrites dans les universités montréalaises proviennent de l'étranger. «Mais à la différence de Boston, à Montréal, les étudiants s'en vont une fois leurs diplômes en poche.» Au banc des accusés: le fait français. «Montréal est avant tout francophone. Nombre d'étudiants canadiens-anglais et américains viennent faire leurs études à Montréal et profitent de leurs années dans la métropole.» Et puis s'en vont. Une théorie que vient confirmer des données de l'Université McGill, dont 49% des anciens étudiants ont quitté la ville après leurs études. «C'est une très bonne chose d'avoir beaucoup d'universités et d'étudiants. Mais c'est encore plus important d'être capable de garder les diplômés», souligne Maxim Armstrong, économiste au Conference Board du Canada. Montréal International en est bien consciente. Depuis trois ans, l'agence et la Conférence régionale des élus de Montréal ont pris des mesures afin de retenir les étudiants et travailleurs étrangers. «On tente de faciliter l'obtention du visa de travail et du certificat d'acceptation, pour qu'ils puissent travailler dans n'importe quelle entreprise. C'est un peu long à mettre en place, mais ça porte fruit», assure le directeur de la mobilité internationale chez Montréal International, Bernard de Jaham. Même si la taille de sa population la situe au 16e rang en Amérique du Nord et au deuxième rang canadien, «Montréal se hisse souvent dans le peloton de tête des 20 plus grandes agglomérations du continent nord-américain et au premier rang canadien», affirme le président du conseil de Montréal International, Pierre Brunet, dans la préface de la troisième édition des Indicateurs d'attractivité. Le palmarès compilé par Montréal International contient toutefois de nombreuses lacunes, croit Rémy Tremblay, qui est également l'auteur d'une étude sur les palmarès de villes. «Comme c'est généralement le cas de ces exercices, on choisit les indicateurs les plus favorables ou on les présente de manière à ne pas trop nuire à la ville que l'on veut promouvoir.» «Le cas le plus flagrant est le tableau sur la scolarisation. On dit que 50% des Montréalais détiennent un DEC ou un baccalauréat. Mais on se garde bien de comparer ces données avec celles d'autres villes! Si Raleigh (capitale de la Caroline-du-Nord) et Ottawa avaient été incluses dans l'étude, Montréal aurait moins bien paru.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080628/LAINFORMER/806281161/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  2. Aérospatiale: le dollar entraînerait des déménagements 18 juin 2008 - 11h57 Presse Canadienne L'industrie aérospatiale canadienne profitera d'une remontée de la production pour afficher cette année son niveau de bénéfice le plus élevé en cinq ans, estime le Conference Board du Canada. L'institut de recherche économique avertit toutefois que la vigueur du huard pourrait entraîner au cours des prochaines années des transferts de production - incluant les appareils de la Série C projetée par Bombardier (BBD.B) - au profit d'autres pays plus concurrentiels. Dans sa note de conjoncture sectorielle du printemps sur l'industrie aérospatiale, l'institut de recherche écrit que les bénéfices escomptés cette année s'élèveront à 533 M$, soit leur plus haut niveau depuis 2003. De 2009 à 2012, ils devraient afficher une croissance à deux chiffres, soutient le Conference Board, mais les marges de profit demeureront minces par rapport aux niveaux enregistrés jusqu'à présent dans l'industrie. En outre, deux facteurs instables risquent d'entraîner une détérioration de la conjoncture dans l'industrie, soit les cours record du pétrole et la vigueur du dollar canadien. Ce dernier élément, qui rendrait le Canada moins attrayant que d'autres pays comme lieu de production, pourrait entraîner le déménagement de la production dans d'autres pays, y compris la fabrication des pièces des avions de 100 à 149 places de la Série C que Bombardier songe à lancer cette année, écrit le Conference Board du Canada. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080618/LAINFORMER/80618122/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  3. Quel que soit le type de régime de retraite, ce sont toujours les employés qui en portent le gros du risque en bout de piste, contrairement aux idées reçues, montre une nouvelle recherche. Pour en lire plus...
  4. Au moment où le secteur de l'automobile canadien souffre des malheurs nord-américains de GM, Ford et Chrysler, 54 projets ont reçu hier un financement totalisant 20 M$. Pour en lire plus...
  5. Boehringer Ingelheim finalise un agrandissement à Laval Denis Lalonde, LesAffaires.com 11:29 La pharmaceutique allemande Boehringer Ingelheim a finalisé un agrandissement de 36 millions de dollars à ses laboratoires de Laval, ce qui permettra à l’entreprise d’embaucher 40 chercheurs supplémentaires. L’équipe de Boehringer Ingelheim à Laval compte déjà 150 chercheurs et travaille à la recherche sur le traitement de maladies infectieuses telles l’hépatite C et le sida, maladies pour lesquelles il n’existe actuellement aucun traitement ni vaccin satisfaisants. Au Canada, Boehringer Ingelheim compte 715 employés. En plus de ses installations de Laval, l’entreprise possède trois autres centres de recherche principaux, situés à Biberach (Allemagne), à Ridgefield (États-Unis) et à Vienne (Autriche). La multinationale fondée en 1885 compte 39 800 employés dans 47 pays, incluant 3 300 scientifiques. Son siège social est basé à Ingelheim, en Allemagne.
  6. Les biotechs à la recherche d'un partenariat ou d'une collaboration sont tentées de se tourner vers les marchés européens et asiatiques. Pour en lire plus...
  7. Desjardins un peu plus torontois 13 mars 2008 - 06h26 La Presse Martin Vallières La division de recherche de la filiale boursière du Mouvement Desjardins est encore affectée par des changements de personnel d'importance à Montréal, qui rehaussent l'influence de ses effectifs à Toronto, déjà plus nombreux. Cette fois, c'est la direction même du service d'analyse financière des entreprises de Valeurs mobilières Desjardins (VMD) qui devient un peu plus torontoise, après le départ de son directeur qui était basé au siège social de Montréal. Le vice-président principal et directeur de la recherche, Jon Reider, a quitté Desjardins à Montréal le mois dernier, a-t-on confirmé à La Presse Affaires mercredi. Et il a été remplacé par deux codirecteurs de recherche provenant des rangs de VMD à Toronto, Patrick Bartlett et Joseph MacKay, qui est aussi un analyste d'expérience à Bay Street dans le secteur du commerce de détail. Click here to find out more! À la direction de VMD mercredi, on soulignait que M. Bartlett «est à Montréal deux ou trois jours par semaine. Mais il n'a pas donné suite à une demande d'un entretien par téléphone avec La Presse Affaires. Avec ce changement, la direction de la recherche chez VMD cohabite désormais à ses bureaux de Toronto avec sa direction de stratégie d'investissement. Cette dernière relève de Peter Gibson, qui avait été embauché tambour battant par VMD à Toronto en mai 2004, supplantant du coup son stratège montréalais. Ce transfert de mandat vers Bay Street au sein de la filiale boursière de Desjardins avait provoqué une controverse dans le milieu financier à Montréal. Par ailleurs, le nombre d'analystes boursiers de VMD à Montréal continue de diminuer, au détriment de sa couverture d'entreprises québécoises d'importance. Cette fois, le départ de l'analyste Jesse Hayem, confirmé en début de semaine, incite la filiale boursière de Desjardins à cesser le suivi d'entreprises comme Saputo, Alimentation Couche-Tard, Dorel et Gildan Activewear. Il s'agit d'entreprises dirigées de Montréal dont la valeur boursière individuelle dépasse le milliard de dollars, et avoisine même les 5 milliards dans le cas de Saputo et de Gildan. Aussi, quatre autres entreprises québécoises de valeur boursière intermédiaire sont délaissées par VMD, dont Mega Brands, Uni-Sélect, Quincaillerie Richelieu et Atrium Innovations. En tout, ces entreprises québécoises mises au rancart par le service d'analystes de la filiale boursière de Desjardins totalise 15 milliards de dollars de valeur en Bourse. VMD a annoncé cette décision à ses clients-investisseurs mardi, dans quelques lignes inscrites à la fin de son bulletin quotidien des commentaires et recommandations d'analystes. Et mercredi, on ne pouvait indiquer chez VMD si cette interruption de suivi était permanente ou temporaire, le temps de réaffecter ces entreprises auprès d'autres analystes, à Toronto surtout. Selon le site Internet de VMD, seulement cinq de ses 17 analystes principaux sont encore à ses bureaux de Montréal, les autres sont tous à ses bureaux de Toronto. Il faut dire que la situation n'est guère mieux chez sa principale concurrente au Québec, la Financière Banque Nationale (FBN). Seulement deux des 21 analystes principaux de la FBN sont encore à ses bureaux de Montréal, selon la liste la plus récente fournie à La Presse Affaires. Les autres sont surtout à Toronto, et quelques-uns sont à Calgary, pour le suivi des entreprises pétrolières. Par ailleurs, comme pour tous ses documents d'analystes, c'est en anglais que Valeurs mobilières Desjardins a averti ses clients-investisseurs, mardi, du départ d'un analyste montréalais et de l'interruption du suivi de plusieurs entreprises québécoises. Aussi, dans la portion francophone du site internet des clients de Valeurs mobilières Desjardins, c'est en anglais seulement que l'on retrouve la longue liste de rapports de ses analystes. Même les commentaires des deux principaux analystes francophones de VMD encore en poste à Montréal y sont publiés en anglais seulement. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080313/LAINFORMER/803130647/-1/LAINFORMER
  8. LAB Recherche réinvestit 40 M$ dans la Cité de la biotech Une seconde expansion en moins de deux ans par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 7 octobre 2007 à 5:47 Soyez le premier à commenter cet article LAB Recherche s'apprête à doubler ses installations au coeur de la Cité de la biotechnologie et de la santé humaine. (Photo: Martin Alarie) Fichier: LAB LAB Recherche réinvestit 40 M$ dans la Cité de la biotech Une seconde expansion en moins de deux ans Décidément, la croissance est au rendez-vous chez LAB Recherche, qui entreprend de doubler ses installations dans la Cité de la biotechnologie et de la santé humaine. Moins d'un an après l'inauguration de la nouvelle aile construite au coût de 12 M$, voilà que cette entreprise réinvestit 40 M$ dans une nouvelle phase d'expansion qui portera à 170 000 pieds carrés la superficie totale de ses locaux bordant le boulevard Armand-Frappier. Concrètement, les salles dédiées aux études de toxicologie de nouveaux médicaments sur les rongeurs et les plus grands animaux passeront de 33 à 80. Nécessaires au développement de médicaments pour le traitement de maladies humaines, ces recherches précliniques contribuent à mettre au travail 225 personnes dans les installations lavalloises. Les travaux d'agrandissement devraient être mis en chantier ce mois-ci. Tripler les revenus «Cette expansion nous permettra de tripler nos revenus en cinq ans», déclarait, mercredi, au Courrier Laval le président et chef de la direction, Luc Mainville. Au fil des 18 prochains mois, une centaine de techniciens et scientifiques joindra les rangs lavallois de LAB Recherche, dont les effectifs se chiffrent présentement à 525 employés à travers le monde. Plus de 40 % de ces employés sont basés à Laval, là où LAB International a implanté le siège social de sa division recherche, qui opère également des locaux au Danemark et en Hongrie. Spécialisé dans les services de recherches contractuelles offerts aux grandes sociétés pharmaceutiques et biotechnologiques, LAB Recherche teste l'efficacité et la sécurité de nouveaux médicaments en phase préclinique. «Le marché mondial [de la sous-traitance] est estimé à 4 milliards de dollars par année avec une croissance annuelle avoisinant les 18 %», indique M. Mainville. La demande est là, justifiant pleinement ces investissements colossaux liés directement à l'augmentation de la capacité des recherches in vivo non clinique. «Nous sommes le 8e plus gros joueur dans le domaine», reprend le grand patron de LAB Recherche qui entend bien accroître ses parts de marchés. Pour l'instant, l'entreprise lavalloise détient moins de 2 % du marché mondial. Au printemps dernier, cette entreprise de services contractuels avait remporté la palme dans la catégorie <@Ri>Innovation technologique<@p> lors du gala Dunamis honorant les sociétés les plus méritantes de la région. 50 M$ en 2006 LAB Recherche a clôturé l'année 2006 avec des revenus de 49,6 M$, fruits de plus de 1200 études réalisées auprès d'une clientèle notamment formée de plus de 700 pharmaceutiques et sociétés en biotechnologie de par le monde. À la lumière des résultats publiés au terme du premier semestre de l'année en cours, il appert que les affaires marchent plutôt rondement. Les ventes ont atteint 28,3 M$, une hausse de 23 % par rapport à la même période l'an dernier. Aux dires de la vice-présidente finances, Louise Bussières, les sociétés provenant des États du nord-est américain auraient généré beaucoup d'activités en 2007, alors que l'importante clientèle basée sur la côte ouest leur est toujours aussi loyale. Bon an mal an, les études en toxicologie menées dans les laboratoires de Laval sont effectuées pour le compte d'entreprises nord-américaines dans une fourchette de 70 % à 80 %, principalement des sociétés américaines, précise Luc Mainville. Quant aux mandats que les pharmaceutiques et biotechs de l'Asie et de l'Australie confient à LAB Recherche, plusieurs sont effectués aux bureaux de Laval, pendant que les contrats émanant du continent européen sont traités depuis les installations du Danemark et de la Hongrie.Fichier: LAB
  9. Le haut savoir propulse Montréal Alain Duhamel, Journal LesAffaires 16 août 2007 Pour en savoir plus Autres textes : Montréal International Articles de l'industrie Envoyer à un ami<LI class=imprimer>Imprimer cet article Écrire à l'auteur Les indicateurs clés de vitalité sont passés au vert Montréal immobilisée ? Pourtant, le taux de chômage, qui avoisinait 14 % il y a 10 ans. s'établissait à 6,7 % au printemps dernier, son taux le plus bas depuis 33 ans. Quant au capital de risque, il a hissé Montréal en tête des villes canadiennes au titre de la valeur investie (434 millions de dollars) grâce à la vigueur de l'activité dans les sciences de la vie, où l'investissement s'est accru de 42 % en une année pour atteindre 263 millions en 2006. L'économie du savoir est un moteur toujours plus puissant pour Montréal. Ainsi, l'emploi en haute technologie a progressé l'an dernier de 3 %, à un rythme presque deux fois plus rapide que celui de l'emploi total. " Il a bien fallu qu'il se passe quelque chose ", conclut Pierre Brunet, président de Montréal International. À ses yeux, l'immobilisme ne sied pas à la métropole. Le thème a surgi l'an dernier après l'échec du projet de Loto- Québec et du Cirque du Soleil d'aménager au bassin Peel un vaste complexe de divertissement comprenant un casino. Les promoteurs n'ont pu abattre le barrage médiatique des opposants à la propagation du jeu. " Tout le monde a eu sa leçon et tout le monde le regrette royalement ! Ce projet n'aurait jamais dû être abandonné si rapidement. " Indicateurs encourageants Les données du recensement de 2006 sont encourageantes. Elles font état d'une progression de 5,2 % de la population métropolitaine, la plus forte hausse depuis les années 90. Montréal continue d'attirer l'investissement étranger : 20 des 34 projets de plus de 20 millions de dollars annoncés proviennent de sociétés privées étrangères et une dizaine de ces investissements sont en rapport avec l'une ou l'autre des trois grappes industrielles de pointe. Le secteur manufacturier, mis à mal par l'appréciation de la devise canadienne, avait perdu 28 0000 emplois en 2006 et a pesé sur le PIB montréalais en le ramenant à 1,6 %, le plus faible taux de croissance des cinq plus grandes villes au pays (Toronto, Vancouver, Calgary, Ottawa, Montréal). Mais le rapport publié ces jours-ci par Montréal International préfère bien sûr mettre l'accent sur les atouts. L'exercice consiste à comparer Montréal à d'autres villes nord-américaines en regard de sa qualité de vie, de ses institutions d'enseignement et de recherche et du dynamisme de ses grappes d'entreprises. En recherche, l'indicateur composite du Research Infosource place Montréal au premier rang canadien. Montréal détient le premier rang au pays pour le nombre de centres de recherche (200), de brevets détenus (plus de 700) et de chercheurs (5 000). " Grâce à nos universités, nous avons un milieu plus dynamique parce qu'il s'effectue ici plus de recherche qu'à Toronto et à Vancouver", dit Pierre Brunet. La reprise apparaît désormais sur l'écran radar du Conference Board du Canada, qui prévoit une croissance de 2,6 % du PIB réel de la région métropolitaine cette année.
  10. .(..même si elle le mérite) Le pavillon des Sciences biologiques obtient la certification LEED Argent Le 4 septembre 2007 – Le US Green Building Council vient de confirmer qu'il accorde au pavillon des Sciences biologiques de l'UQAM la très prestigieuse certification LEED (Leadership in Energy and Environmental Design), décernée aux bâtiments « verts ». De plus, le pavillon se classe dans la catégorie Argent, ce qui signifie qu'il a obtenu plus de points que le nombre nécessaire pour la simple certification. Conçu par les deux firmes d'architectes Tétreault Parent Languedoc et Associés et Saia Barbarese Topouzanov architectes, la construction du pavillon des Sciences biologiques s'est effectuée entre 2003 et 2005. La certification LEED Afin d'obtenir la certification LEED en tant que « bâtiment vert », l'UQAM a réussi à intégrer un grand nombre de critères définis dans la grille LEED. Dans son évaluation, l'organisme note entre autres : l'accès du site au transport en commun; les stationnements pour vélos les douches réservées aux cyclistes; le design novateur permettant d'économiser l'eau potable la performance énergétique de l'enveloppe extérieure les systèmes de traitement de l'air l'utilisation de produits nettoyants écologiques la récupération des eaux de pluie l'installation d'urinoirs secs Le pavillon des Sciences biologiques Situé au 141, avenue du Président-Kennedy ce pavillon, dont la partie la plus élevée compte 11 étages dont 9 en surface, est en forme de spirale et intègre une serre de recherche. Exploitant le thème de la transparence, sa façade de verre coloré réfère à la structure spiralée de l'ADN. Le pavillon abrite notamment le Département des sciences biologiques, les directions de programmes en biologie, le Module de biologie, divers laboratoires, centres, groupes et chaires de recherche, une animalerie et des associations et regroupements d'étudiants. Depuis son achèvement, la qualité de construction du Pavillon des sciences biologiques a été reconnue à plusieurs reprises. Ainsi en 2006, le pavillon a obtenu le prix ARMATURA 2006, catégorie « Institutionnelle » du concours « Créer pour durer » de l'Institut d'acier d'armature du Québec. De plus, le cabinet d'architectes Saia, Barbarese, Topouzanov, faisant partie du consortium de constructeurs du Complexe des sciences Pierre-Dansereau, s'est vu remettre, à San Francisco, à l'automne 2006, l'or dans la catégorie « Intérieurs d'entreprises » à l'occasion de la remise des prix Hue de Benjamin Moore, afin de souligner l'utilisation de la couleur dans plusieurs de leurs réalisations, notamment au pavillon des Sciences biologiques de l'UQAM. Par ailleurs, le consortium d'ingénieurs Pasquin St-Jean/Nicolet Chartrand Knoll a reçu, en mars dernier, le Grand Prix du génie-conseil québécois catégorie « Bâtiment-Structure », décerné par l'Association des ingénieurs-conseils du Québec (AICQ), pour la construction du pavillon des Sciences biologiques de l'UQAM. Mentionnons enfin que le pavillon apparaît dans l'ouvrage 3e Florilège d'établissements d'enseignement exemplaires choisis à la suite d'un concours international organisé par l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE). Source UQAM, ( oups, il manque la partie financière...bon je charrie là, c'est bien pour l'UQAM cette certification)
  11. Ericsson embauche 200 personnes à Montréal 15:18 | Denis Lalonde, LesAffaires.com La direction d’Ericsson Canada souhaite embaucher près de 200 nouveaux employés à ses bureaux de Montréal au cours des 4 à 6 prochains mois. Pour en savoir plus Ericsson Article connexe Ericsson est notamment à la recherche de développeurs de logiciels, de concepteurs et d’intégrateurs de systèmes, d’Intégrateurs de systèmes client, d’analystes de soutien des systèmes et de gestionnaires de projets. Le recrutement commence immédiatement pour 95 postes, dont 68 sont permanents, alors que les autres sont contractuels. Selon l’entreprise, le centre de recherche et développement et de services de Montréal est l'un des plus importants d’Ericsson à l'extérieur de la Suède, avec 1600 employés. La société y a d'ailleurs réalisé des investissements de 152M$ en 2006. Le centre a pour mission de développer, tester et supporter les systèmes pour plusieurs standards sans fil, de même que pour la technologie de la prochaine génération de solutions en télécommunications. C’est donc un revirement de situation pour le centre d’Ericsson à Montréal, qui avait perdu 300 emplois il y a deux ans parce que la société n’était pas parvenue à percer le marché américain avec sa technologie CDMA, une norme en téléphonie sans-fil. Les suppressions d’alors avaient surtout touché des ingénieurs et des informaticiens.
  12. Presse Canadienne 18/06/2007 La formule des PPP est décidément la voie à emprunter pour les Centres hospitaliers universitaires de Montréal, et ce pour des raisons de respect du budget, de l'échéancier et de bon entretien des édifices au fil des ans, conclut le ministre de la Santé Philippe Couillard. Le ministre de la Santé et des Services sociaux a ainsi confirmé, lundi, que la formule de partenariat public-privé pour les hôpitaux universitaires de Montréal, avec une large participation du secteur privé, était la voie choisie par le gouvernement, justement parce qu'il veut partager les risques avec le privé, vu l'ampleur des projets. La partie du Centre hospitalier de l'Université de Montréal qui sera réalisée en mode PPP comprend les unités de soins ambulatoires, les plateaux techniques, l'urgence, les nouvelles unités d'hospitalisation, l'enseignement, le Centre de recherche, le stationnement et la centrale thermique. La construction du CHUM devrait débuter en 2009 pour se terminer en 2013. La phase la plus intensive de la construction sera en 2011. Le budget global de construction des projets demeure à 3,6 milliards $. Le gouvernement pense toujours pouvoir s'en tirer avec des paiements plafonds de 850 millions $ pour le CHUM, 215 millions $ pour le Centre de recherche du CHUM et 1,12 milliard $ pour le Campus Glen (McGill). Ces paiements constitueront une sorte de loyer que versera le gouvernement, qui inclut non seulement les coûts de construction, mais aussi les coûts de conception, de financement et d'entretien des actifs pour une période de 35 ans. Ces chiffres ne sont toutefois pas définitifs; ils ne le seront que lors de la signataure de l'entente de partenariat.
  13. Ipsos Agrandit Et Consolide Le Bureau De Montréal Tout Le Personnel Au Québec Réuni Au Même Endroit Attention: Rédacteur financier MONTREAL, QUEBEC, MEDIA ADVISORY--(CCNMatthews - 25 avril 2007) - Ipsos a regroupé ses opérations au Québec sous un seul et même toit. Le transfert réunira les équipes, en pleine croissance, de l'entreprise dans un bureau central, récemment restauré, situé dans le centre de Montréal, permettant ainsi une meilleure efficacité, une collaboration accrue des projets et des équipes, ainsi qu'une amélioration globale du service clientèle. Les 55 employés de Montréal, comprenant des chercheurs en publicité, en santé, en marketing et affaires publiques, ainsi que le personnel de l'exploitation, occupent à présent deux étages sur 2300 mètres carrés au 1440 Rue Ste. Catherine O. Ce nouveau bureau abrite également 200 stations d'entretien assisté par ordinateur (CATI) et des installations pour groupes de discussion à la pointe de la technologie. François Descarie, vice Président principal confie : "Nous sommes très enthousiasmés d'avoir tous les spécialistes Ipsos réunis sous un seul et même toit. Ipsos travaille à présent avec un grand nombre de clients basés au Québec et le regroupement de toutes nos équipes service client et de toutes nos équipes opérationnelles permettra à Ipsos d'étendre nos services et d'augmenter notre base de clients. Nous sommes particulièrement impatients de proposer la gamme complète de produits et de services Ipsos aux clients basés aux Québec, permettant ainsi de servir les intérêts des marchés aux quatre coins de la planète. De plus, Ipsos est à présent l'une des entreprises de recherche les plus grandes au Québec." Lys Hugessen, un vice président d'Ipsos ASI à Montréal ajoute : "C'est l'avenir : partager les méthodologies, les solutions de recherche et les expériences afin de servir au mieux notre clientèle. En outre, ce nouvel endroit est superbe et très spacieux. Les bureaux arborent des combinaisons de couleurs vives conçues pour stimuler une atmosphère de créativité, de jeunesse et de vitalité." News Releases are available at: http://www.ipsos-na.com/news/
  14. Une biotech américaine s'amène à Montréal 18 avril 2007 - 12h13 Presse Canadienne L’américaine Molecular Biometrics va ouvrir une installation de recherche et de développement à Montréal. Cette entreprise de métabolomique développe des méthodes d'analyse pour le diagnostic moléculaire, les applications de surveillance en médecine et la découverte et le développement de médicaments. Son siège est situé à Chester, dans le New Jersey. L'emplacement de Montréal sera géré et exploité par Molecular Biometrics Canada. Le pdg de l’entreprise, James Posillico, a expliqué que le temps était propice pour mettre sur pied une installation de recherche à Montréal. Il souhaite y développer davantage de produits de fertilité et initier de nouvelles recherches dans des secteurs thérapeutiques additionnels. Cela comprend la médecine materno-foetale et les maladies neurodégénératives. Selon M. Posillico, il y a un bassin de talent scientifique hautement expérimenté à Montréal et la région possède un long historique de soutien aux percées dans la recherche biomédicale. Molecular Biometrics Canada servira aussi de base d'exploitation commerciale pour servir le marché canadien. Les installations canadiennes se concentreront sur le développement et le progrès de la nouvelle plateforme technologique de la société, fondée sur les sciences novatrices de la métabolomique, de la bioinformatique et de la biospectroscopie. Les détails sur le moment de l'ouverture des installations et leur lieu n'ont pas été précisés.
  15. (13/04/2007)Après celles de l'aérospatiale, du cinéma, de l'agro-alimentaire, entre autres, la grappe industrielle des technologies de l'information et des communications vient de naître. TechnoMontréal est le nom de baptême de cette grappe industrielle des technologies de l'information et des communications du Grand Montréal. Cette nouvelle grappe industrielle, lancée vendredi en présence du ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Raymond Bachand, et du maire de Montréal, Gérald Tremblay, vise à créer entre 15 000 et 25 000 emplois liés aux technologies de l'information et aux communications d'ici 2010. On compte actuellement 108 000 emplois dans ces secteurs: logiciels, fabrication, services informatiques, services en télécommunications et autres, indique la Presse Canadienne. La grappe vise également à faire croître les exportations de 30% dans le domaine des communications et des technologies de l'information. Ses partenaires souhaitent aussi voir les effectifs en recherche et développement augmenter de 25% dans les secteurs privé et universitaire.
  16. AstraZeneca investit 10 M$ à Montréal 2 février 2007 - 14h43 LaPresseAffaires.com Presse Canadienne AstraZeneca Canada investira 10 M$ en vue d'agrandir son centre de recherche fondamentale situé dans l'arrondissement montréalais de Saint-Laurent. Plus de détails suivront
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