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  1. Merck Frosst: 91 employés licenciés au Québec 26 novembre 2008 - 06h39 La Presse Vincent Brousseau-Pouliot La cure d'amincissement du géant pharmaceutique Merck vient de faire ses premières victimes au Québec. Hier, sa filiale canadienne Merck Frosst a licencié 150 représentants aux ventes, dont 51 représentants au Québec. Est-ce la fin des licenciements au Québec chez Merck, qui doit licencier 7200 employés à l'échelle mondiale d'ici 2011? Pas nécessairement. «D'autres coupes sont toujours possibles, mais nous ne les souhaitons pas», dit le porte-parole, Vincent Lamoureux. Merck Frosst compte maintenant 1150 employés au Canada, dont 711 à son siège social de Kirkland. Le siège social de Kirkland a perdu environ 500 employés depuis 2001. Parmi les employés restants, 285 personnes travaillent au centre de recherche de l'entreprise qui a été épargné par la nouvelle vague de licenciements. Le mois dernier, Merck a fermé trois de ses sept centres de recherche à l'échelle mondiale. «Nous devrions même y augmenter nos effectifs au centre de recherche de Kirkland au cours des prochaines années, dit M. Lamoureux. Notre mandat est maintenant concentré dans les maladies infectieuses. Avant, nous avions un mandat plus diversifié qui comprenait le diabète, les maladies cardiaques et les maladies inflammatoires.» Il y a un mois, Merck a annoncé son intention de licencier 7200 employés dans le monde d'ici 2011. Le nombre d'employés passerait ainsi de 56 700 à 49 500. Le géant pharmaceutique réduirait ainsi ses effectifs de 13%.
  2. Pharmaceutiques: Montréal traverse une «tempête parfaite» 21 novembre 2008 - 06h15 La Presse Philippe Mercure En 1994, le Suisse Philippe Walker a été mandaté par la multinationale pharmaceutique AstraZeneca pour créer un centre de recherche sur la douleur. Il a choisi de l'installer à Montréal. Quatorze ans plus tard, il sert un avertissement à la métropole. «Montréal a des ingrédients extraordinaires pour faire de la recherche en pharmaceutique. Mais l'environnement change rapidement et nous sommes de moins en moins compétitifs. Nous devons agir», a-t-il lancé hier lors d'une allocution prononcée à Montréal. Le diagnostic du Dr Walker, vice-président, Découverte, chez AstraZeneca à Montréal, est impitoyable. Confrontée à des brevets qui arrivent à échéance et à une pénurie de nouvelles découvertes, l'industrie pharmaceutique traverse une «tempête parfaite». Le siège social britannique de la société qui emploie M. Walker, AstraZeneca, annonçait justement hier la fermeture de trois usines en Europe et la suppression de 1400 postes. Il y a un mois, c'était la multinationale Merck&Co. qui sabrait 7200 postes, dont certains à Montréal. «Ça va continuer», dit M. Walker, citant des chiffres selon lesquels le manque à gagner des géants pharmaceutiques du monde atteindra 28 milliards chaque année à partir de 2010. Dans ce contexte, Montréal devra réagir si elle ne veut pas faire les frais des prochaines abolitions de postes et continuer d'attirer des investissements. «Nos concurrents ne sont pas Vancouver et Toronto. Ce sont Bangalore et Shanghai. Même à l'intérieur d'AstraZeneca, il devient plus difficile d'attirer des dollars à Montréal», dit M. Walker. Crédits d'impôts et politiques gouvernementales favorables, excellence de la recherche universitaire, masse critique de chercheurs dans plusieurs domaines: Montréal conserve pourtant plusieurs des avantages qui avaient attiré M. Walker à Montréal en 1994. Mais une chose fait mal: malgré un milliard investi chaque année en recherche au Québec, les succès commerciaux sont rares. «Il y a un manque crucial de fonds pour la transformation des idées académiques en idées commerciales», dit M. Walker. Autre source d'irritation: le Canada est le seul pays du G7 à ne pas avoir adopté ce qu'on appelle le patent term restoration. L'idée: disons qu'il faut deux ans à Santé Canada pour autoriser la commercialisation d'un médicament. Pendant ce temps, le médicament est protégé par un brevet... mais l'entreprise ne peut pas le vendre. Les autres pays du G7 acceptent de compenser cette période d'attente en prolongeant le brevet; pas le Canada. «Il faut que le Canada se réveille et s'aligne sur le G7. On pourrait avoir un petit avantage compétitif assez facilement», a dit M. Walker à La Presse Affaires en marge de l'allocution. Mais le Dr Walker n'est pas débarqué hier qu'avec un diagnostic pessimiste; il avait aussi des remèdes dans sa mallette. L'un d'eux: la spécialisation. «Il est essentiel de concentrer nos investissements pour atteindre une position de chef de file mondial dans un certain nombre de maladies clés», a-t-il dit, soulignant que Montréal est en avance dans les maladies du système nerveux, en cardiologie, en oncologie et en diabète et que c'est là qu'il faut miser. Prochaine étape: augmenter le financement destiné à commercialiser les idées provenant de la recherche fondamentale... et, surtout, s'arranger pour que les chercheurs universitaires, les petites entreprises de biotechnologies et les grandes pharmas se parlent. Trop souvent, dit M. Walker, on voit à Montréal des professeurs d'université fonder des entreprises sans se demander si leurs produits intéressent les grandes pharmaceutiques ou même s'il existe un marché pour eux. «Des gens qui inventent des solutions à des problèmes qui n'existent plus, c'est une perte d'énergie», dit M. Walker.
  3. En 1994, Philippe Walker a été mandaté par AstraZeneca pour créer un centre de recherche sur la douleur. Il a choisi de l'installer à Montréal. Maintenant, il sert un avertissement. Pour en lire plus...
  4. Le départ du PDG du numéro deux de la recherche en ligne retardera les discussions sur une éventuelle fusion, affirme le Financial Times mercredi. Pour en lire plus...
  5. L'impact d'une faillite des trois grands constructeurs automobiles américains serait catastrophique pour l'économie américaine, selon une étude du Centre pour la recherche automobile. Pour en lire plus...
  6. Économie sociale: 2 G$ chaque année à Montréal 21 octobre 2008 - 06h31 La Presse Philippe Mercure Une économie qui ne carbure pas à la recherche de profits? Ça existe. Et ça brasse 2 milliards de dollars par année à Montréal seulement, selon le tout premier portrait de l'économie sociale dévoilé hier. Cette économie souvent qualifiée de «marginale» fait aussi travailler 60 000 Montréalais dans 3590 établissements, selon les chiffres de la chaire de recherche du Canada en économie sociale de l'UQAM et présentés hier conjointement avec la Conférence régionale des élus de Montréal. Notons qu'en 2005, Montréal affichait un produit intérieur brut (PIB) de 92,2 milliards de dollars. «L'économie sociale, vous l'utilisez probablement tous les jours sans vous en rendre compte», a lancé Édith Cyr, présidente du comité d'économie sociale de la Conférence des élus de Montréal, qui se réjouit d'avoir finalement un portrait quantitatif de la situation. Qu'est-ce que l'économie sociale? En clair, les entreprises qui y participent combinent deux missions: l'une économique, l'autre sociale. La définition englobe autant le Mouvement Desjardins que le cinéma Beaubien, en passant par le réseau de CPE, les YMCA et les entreprises de réinsertion sociale. Les statistiques dévoilées hier excluent cependant les contributions importantes du Mouvement Desjardins et de la Coop fédérée. Pour entrer dans la catégorie, l'entreprise doit être gérée de façon autonome et démocratique. Elle doit aussi limiter ou interdire les distributions de profits, les réinvestissant plutôt dans ses activités ou dans la collectivité. Quant aux champs d'activités, ils vont de la santé à la culture en passant par le commerce, l'habitation et le loisir. «Un gros avantage» Mal comprise, l'économie sociale? Quand on lui demande comment il vit le fait de s'inscrire dans ce mouvement, le directeur général de la radio CIBL, Éric Lefebvre, répond que «ça fait une différence au niveau des leviers financiers». Le journaliste concède que sans actionnaires prêts à injecter de l'argent, la recherche de fonds doit effectivement être difficile; M. Lefebvre s'esclaffe. «Ça donne accès à des leviers financiers, autant des prêts que des subventions. C'est un gros avantage! Vous vous attendiez à ce que ce soit un inconvénient?» Oups! C'est qu'il existe tout un réseau qui vient en aide à l'économie sociale. Et il a son propre vocabulaire. «Capital patient», «capital amical», «capital de connivence»: les prêts qu'on accorde aux entreprises d'économie sociale le sont souvent à des bien meilleures conditions que ce qu'offrent les firmes de capital-risque. La Fiducie du Chantier de l'économie sociale, par exemple, offre des prêts sans remboursement de capital avant 15 ans à des taux de 8,5%. Le fonds initial de 52,8 millions de dollars provient de Développement économique du Canada, mais aussi du Fonds de solidarité de la FTQ, du Fondaction de la CSN et du gouvernement du Québec. À quel point les entreprises d'économie sociale dépendent-elles des subventions? Impossible à dire, répondent les chercheurs. Leurs revenus proviennent à 49% du secteur public, mais ce chiffre englobe aussi tous les contrats de service auprès du gouvernement. La radio de CIBL affirme que sur un budget annuel de 600 000$, seulement 60 000$ proviennent des subventions. Et en ces jours où la crise financière est sur toutes les lèvres et où l'on parle de «moraliser» le capitalisme, l'économie sociale pourrait être appelée à connaître un essor, croient ses défenseurs. «Les phases d'émergence de l'économie sociale sont souvent liées aux périodes de crise économique», a expliqué hier Marie J. Bouchard, de l'UQAM, donnant comme exemple les coopératives agricoles qui ont poussé au Québec en temps difficiles.
  7. Une économie qui ne carbure pas à la recherche de profits? Ça existe. Et ça brasse 2 milliards de dollars par année à Montréal seulement, selon le tout premier portrait de l'économie sociale dévoilé hier. Pour en lire plus...
  8. Le fabricant canadien de moteurs d'avions en a fait l'annonce lundi. Cet argent ira aux activités de recherche et développement de l'entreprise. Pour en lire plus...
  9. Recherche et développement Pratt & Whitney annonce un investissement de 360 M$ Mise en ligne 20/10/2008 14h41 Recherche et développement - Pratt & Whitney annonce un investissement de 360 M$ http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/10/20081020-144124.html ARGENT Pratt & Whitney Canada (P&WC) annonce un investissement de plus de 360 millions $ en recherche et développement dans la région de Montréal. Cet investissement s'échelonnera sur trois ans. Investissement Québec offrira une aide remboursable de 125 millions $ à l'entreprise, a confirmé le ministre du Développement économique, Raymond Bachand. «Cette aide remboursable contribuera au maintien de nos activités R&D dans la région montréalaise et à l'économie québécoise», a déclaré le premier vice-président de P&WC, John Saabas. L'entreprise, dont le siège social est situé à Longueuil, souhaite améliorer sa technologie pour construire des moteurs d'avions «qui dépasseront les normes environnementales les plus exigeantes». «Grâce à nos investissements soutenus en R&D, nous avons mis en marché plus de 65 nouveaux moteurs au cours des 15 dernières années, ce qui est une grande réalisation», a ajouté M. Saabas. Les principaux centres de recherche et développement de l'entreprise sont situés à Longueuil et à Mississauga. L’entreprise y emploie quelque 1 500 ingénieurs.
  10. Cette annonce survient après la décision par le gouvernement du Québec d'accorder à l'entreprise une aide remboursable pour la recherche et le développement. Pour en lire plus...
  11. Le géant de la recherche Internet devrait abolir au moins 1000 emplois en dévoilant les résultats du troisième trimestre mardi. Pour en lire plus...
  12. Tous les intervenants rencontrés par La Presse l’ont affirmé : pour réussir en affaires à l’international, il faut temps, patience et persévérance. La plus grande erreur consiste à aller trop vite. « Beaucoup de PME agissent trop rapidement sans avoir pensé à toutes les conséquences et fait leur recherche. Ce n’est pas un coup de dé «, dit Antoine Panet-Raymond, conseiller principal aux projets internationaux, HEC Montréal. Pour en lire plus...
  13. Estimant qu'il convient d'injecter, outre des liquidités, de la crédibilité au secteur financier, la Commission européenne souhaite une réponse internationale et des changements à long terme pour contrer la crise. Pour en lire plus...
  14. Devant la difficulté d'obtenir du financement au Canada, l'industrie des biotechnologies demande à Québec et Ottawa de revoir leurs règles. Pour en lire plus...
  15. La firme de design et de fabrication aéronautique Héroux Devtek, de Longueuil, obtiendra ce matin un appui financier fédéral de près de 30 millions de dollars à son projet de recherche et développement sur les trains d'atterrissage de l'avenir. Pour en lire plus...
  16. Le chef de file de la recherche sur le web lance son propre navigateur Internet, nommé Chrome, un défi direct à Microsoft et sa nouvelle version d'Internet Explorer. Pour en lire plus...
  17. Compte tenu de la popularité du moteur de recherche, on pourrait s'attendre à ce que l'impact de Google sur les entreprises soit phénoménal. Or, ce n'est pas le cas. Pour en lire plus...
  18. En raison d'une charge qui ne se reproduit pas et de la réduction des frais de recherche et développement, l'ancienne Neurochem réduit ses pertes de 58% au deuxième trimestre mais cherche de l'argent. Pour en lire plus...
  19. Le numéro un de la recherche sur Internet envisage d'investir dans de jeunes sociétés, comme le font souvent les géants du secteur technologique. Pour en lire plus...
  20. Propriétaires cherchent locataires Photo Martin Chamberland, La Presse Philippe Orfali La Presse Le nombre d’appartements inoccupés a bondi à Montréal depuis le 1er juillet, selon les propriétaires de logements et les groupes communautaires. Une situation qui pourrait laisser présager des jours meilleurs pour les locataires et des maux de tête pour les propriétaires. L’Opération relogement de l’Office municipal d’habitation de Montréal (OMHM), qui vient en aide aux familles sans logis, a reçu environ 350 appels cette année. C’est trois fois moins que les 1200 appels reçus en 2007. «Ce sont maintenant les propriétaires qui nous appellent, parce qu’ils sont à la recherche de locataires», affirme le chargé de projet Frédéric Roy. L’OMHM a reçu une quarantaine d’appels du genre depuis le 1er juillet. «Notre recherche de logements a été beaucoup plus simple que l’an dernier. Les locataires avaient beaucoup plus de choix», dit-il. Même son de cloche au Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU). «On a constaté une augmentation importante du taux d’inoccupation du logement locatif, indique la porte-parole, Marie-Josée Corriveau. Beaucoup moins de gens sont venus nous voir cette année.» Les propriétaires ne devraient pas s’inquiéter pour l’instant, estime toutefois le professeur d’urbanisme à l’Université de Montréal Daniel Gill. « Avec un taux d’inoccupation actuel d’environ 3%, on est à un point d’équilibre, dit-il. Mais si la tendance se poursuit, le taux de logements inoccupés à Montréal pourrait facilement atteindre 5% d’ici trois ou quatre ans. » Rendus là, les propriétaires n’auront d’autre choix que de baisser leur loyer ou d’offrir des mois gratuits, croit l’expert. «Pas question», tranche Hans Brouillette, porte-parole de la Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIQ). «Tous les coûts d’exploitation augmentent, c’est illogique que nous baissions nos loyers. Ce sont déjà les plus bas en Amérique du Nord.» De locataires à propriétaires Selon la CORPIQ, le fait que les salaires aient augmenté plus rapidement que les loyers des Québécois incite de plus en plus de locataires montréalais à s’acheter une maison en banlieue. «Cinquante pour cent des Montréalais étaient locataires en 2001. On est rendus à environ 45% en 2008, dit M. Brouillette. Ça a des répercussions sur les propriétaires de logements locatifs.» Plusieurs milliers de logements abordables ont également été bâtis au cours des dernières années par le gouvernement provincial, regrette M. Brouillette. «Que le gouvernement cesse de bâtir du logement social ! s’exclame-t-il. On en a des logements. Ce qu’il faut, c’est prendre l’argent qu’on aurait mis dans les logements neufs et aider les familles à payer le juste prix pour leur logement.» Une proposition qui fait bien rire Marie-Josée Corriveau, du FRAPRU. Selon elle, les logements qui affichent encore «À louer» sont soit hors de prix ou en mauvaise condition. «Les propriétaires doivent comprendre qu’ils ne peuvent pas demander des prix exorbitants pour leur appartement. Avec une plus grande offre de logements, les locataires vont refuser de payer autant.»
  21. Les entreprises au pays sont peu imposées 28 juillet 2008 - 11h44 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque L'étude confirme, par ailleurs, l'avance de Montréal en matière de recherche et développement. Voilà une étude qui va déboulonner un vieux mythe, celui d’un Canada socialisant et étatisant qui impose lourdement ses entreprises. Selon une étude de KPMG, le Canada occupe la troisième place parmi 10 pays où le fardeau fiscal des entreprises est le plus léger. Seules les entreprises du Mexique et des Pays-Bas sont moins imposées que celles du Canada, indique l’étude. Suivent l’Australie, les États-Unis, le Royaume-Uni, le Japon, l’Allemagne, l’Italie et la France. L’étude a en outre comparé le régime fiscal de 102 villes de 10 pays, en se concentrant sur 35 grandes villes (plus de 2 millions d’habitants). Les experts ont analysé le fardeau fiscal des entreprises dont l’impôt sur les bénéfices, l’impôt sur le capital, les taxes de vente et la taxe foncière. En bref, plus un résultat est bas, plus les taxes imposées aux entreprises sont basses. Sur les 35 grandes villes étudiées, Vancouver arrive quatrième, Montréal, sixième, et Toronto, septième. Les trois premières places vont à des villes de Puerto Rico et du Mexique. L’étude contient une bonne nouvelle pour Montréal. La ville se débrouille très bien dans le domaine de la recherche et du développement où elle se classe au premier rang. Ailleurs au Québec, les villes de Sherbrooke et de Québec se comparent avantageusement à leurs contreparties américaines, notamment en recherche et développement, souligne le rapport de KPMG.
  22. Le prix de l’essence vous fait rager. Vous avez décidé de regarder du côté des voitures hybrides. Un petit conseil: il faut s’armer de patience. Pour en lire plus...
  23. Le plus grand manufacturier au Canada d'électroménagers de marques comme GE et Hot Point a décidé de transférer au Mexique 30% de sa production et même sa recherche et développement. Pour en lire plus...
  24. Des investissements de 70 millions créeront 200 emplois au Québec La Presse canadienne Édition du mercredi 16 juillet 2008 Farnbourough -- Les compagnies RTI Claro, LISI Aéronautique Canada et un consortium comprenant Bombardier, Bell Helicopter et Composites Atlantic ont profité de la vitrine qu'est le Salon de Farnborough pour annoncer des investissements de plus 70 millions et la création d'environ 200 emplois au Québec. Au stand du Québec, le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, a de son côté annoncé que son gouvernement allait fournir un appui financier à tous «ces projets structurants». Expansion RTI Claro recevra ainsi 1 million pour soutenir son projet d'expansion de 13,5 millions. La firme de Laval qui fabrique des pièces en alliage de titane compte acquérir de nouveaux équipements afin d'augmenter sa capacité de production. Une cinquantaine de nouveaux emplois devraient être créés avec cette expansion. «On espère être en place avec le nouvel équipement et la nouvelle structure d'ici la fin de l'année», a précisé Francisco Vega, directeur du développement d'affaires de la compagnie. La filiale québécoise de l'entreprise LISI Aerospace a quant à elle obtenu un prêt de 1,9 million du gouvernement dans le cadre d'un investissement total de 10 millions. Elle souhaite elle aussi augmenter sa capacité de production. La compagnie qui fabrique des pièces pour l'aéronautique compte créer 150 emplois sur quatre ans. Recherche De leur côté, Bombardier, Bell Helicopter et Composites Atlantic se sont réjouis d'avoir obtenu neuf millions en crédits d'impôt pour un projet de recherche de pointe en partenariat avec le Centre national de recherche canadien (CNRC). «Cette aide nous permet d'accélérer la recherche», a précisé Jacques Saint-Laurent, président de Bell Helicopter. Aussi, ce type de collaboration permet de «combler la distance qui existait entre les recherches universitaires et le développement industriel», a-t-il poursuivi. «Pour des questions stratégiques», il s'est toutefois fait discret sur le contenu exacte de ces recherches dont la valeur totale s'élève à 47 millions. Il s'agit, en gros, de recherches sur les pièces qui servent à former la structure des avions et des hélicoptères. «Il peut s'agir d'études sur de nouveaux matériaux, par exemple», a précisé un proche du dossier. Cinquante chercheurs provenant des trois entreprises et de l'Institut de recherche aérospatiale du CNRC participent à ce projet actuellement. «Ils sont tous basés dans la région de Montréal. C'est très facile pour eux de communiquer ou de se rencontrer», a souligné Jacques Saint-Laurent.
  25. Le fournisseur d'accès Yahoo! a rejeté une nouvelle tentative de rachat de ses opérations de recherche en ligne par le géant du logiciel Microsoft, affirmant que cette offre aurait démantelé sa franchise Internet. Pour en lire plus...
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