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  1. Google s'installe à Montréal 25 janvier 2007 - 13h48 La compagnie Google a entrepris de faire de la recherche et du développement à partir de locaux situés à Montréal, révèle le journal Les Affaires dans sa plus récente parution. Les bureaux loués par Google se trouvent dans l'immeuble du 1000 de la rue Gauchetière, en plein cœur du centre-ville montréalais. Une petite équipe de sept ingénieurs et développeurs de logiciels aurait déjà été embauchée, selon ce qu'a appris Les Affaires. Les responsables contactés chez Google, parmi lesquels Lars Hansen, porte-parole de Google au Canada, auraient toutefois refusé de donner davantage de précisions. Le géant Internet a également annoncé, sur ses pages d'offres d'emploi, être à la recherche de développeurs et programmeurs spécialistes du système d'exploitation Windows pour sa filiale montréalaise. Selon Les Affaires, les employés d'une entreprise islandaise, récemment achetée par Google, avaient déjà l'habitude de se réunir de temps à autres à Montréal, ce qui pourrait expliquer l'ouverture de bureaux dans la métropole. Il n'est d'ailleurs pas impossible que cette initiative annonce d'autres investissements de Google au Québec, puisque la compagnie serait aussi à la recherche de locaux commerciaux supplémentaires susceptibles d'accueillir entre 200 et 300 employés.
  2. Le Sainte-Émilie est un projet de 18 condominiums de 1 à 3 chambres, allant de 657 à 1466 pi2, situé à proximité du canal de Lachine et du marché Atwater, dans le très recherché secteur du Sud-Ouest de Montréal. Livraison: décembre 2014 Plus d'information à la page: districtatwater.com Sainte-Émilie coin Bourget
  3. Dernière heure. L’équipementier en télécommunications Ericsson construira un centre de recherche et développement «mondial» de 40 000 mètres carrés à Vaudreuil-Dorion. L’entreprise n’a pas chiffré la valeur de l’investissement. Les installations abriteront la totalité du portefeuille de produits de l’entreprise, ce qui leur permettra de « développer et de vérifier des solutions ainsi que de jeter les bases de la prochaine génération de services technologiques et infonuagiques », précise Ericsson dans un communiqué. Ce nouveau centre doit amorcer ses activités en 2015. Le projet bénéficiera d'une subvention de 10M$ du gouvernement du Québec. Il s'agit d'un troisième centre de recherche et développement au Canada pour Ericsson, après ceux de Montréal et d'Ottawa. Le projet consolide 200 emplois dans la région montréalaise et permettra d'en créer 60 autres, surtout en ingénierie. Plus de détails à venir. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/ericsson-construira-un-centre-de-r-d-a-vaudreuil-dorion/558274#.Uay2gtga44d
  4. McGill prévoit se joindre à l'ÉTS pour établir un centre de recherche dans Griffintown: le Quartier d'innovation (QI) devrait au départ prendre la forme de 2 bâtiments, un pour chaque université. Les partenaires espèrent créer un effet d'entraînement et attirer les entreprises faisant de la recherche dans le quartier. http://www.quartierinnovationmontreal.com/ http://www.mcgilltribune.com/news/mcgill-reveals-more-about-future-quartier-d-innovation-1.2748613?pagereq=1#.TzVDUcgU6Jp Source: http://www.montrealitesurbaines.com/
  5. L'entrepreneuriat en croissance au Québec, selon une étude de l'UQTR PUBLIÉ LE MERCREDI 28 SEPTEMBRE 2016 De plus en plus de Québécois démarrent leur propre entreprise, selon une nouvelle étude réalisée par des chercheurs de l'Institut de recherche sur les PME de l'Université du Québec à Trois-Rivières. Les professeurs Étienne St-Jean et Marc Duhamel ont présenté mercredi les données concernant l'activité entrepreneuriale québécoise, issues de l'enquête 2015 du Global Entrepreneurship Monitor (GEM). On y apprend qu'en 2014, les données démontraient un grand intérêt de la part des Québécois pour mettre sur pied une entreprise, une volonté qui s'est concrétisée en 2015. Le taux d'entrepreneuriat émergent est passé de 10,5 % (en 2013) à 13,5 % (en 2015). Le Québec est vraiment un des leaders sur la planète pour l'intention [entrepreneuriale] et pour l'activité entrepreneuriale. On remarque que le contexte économique semble favorable à la création d'entreprises. Marc Duhamel, chercheur à l'Institut de recherche sur les PME à l'UQTR L'étude révèle aussi que les jeunes Québécois sont très dynamiques sur la scène entrepreneuriale. La tranche des 18-24 ans est plus encline à passer à l'action que dans le reste du Canada ou dans d'autres pays comparables. C'est le cas également des 45 à 54 ans.* '' Les entrepreneurs au Québec sont fortement innovants et sont dans des créneaux de niche et ça, c'est une excellente nouvelle pour le développement économique, puisque quand on a des entreprises qui innovent, on a plus de chances d'avoir des entreprises pérennes, qui vont se distinguer des autres.'' -Étienne St-Jean, chercheur à l'Institut de recherche sur les PME à l'UQTR Tournés vers l'international : un exemple shawiniganais Les chercheurs de l'UQTR ont constaté que les entrepreneurs québécois sont davantage tournés vers les marchés internationaux qu'ailleurs au Canada. La compagnie SIM à Shawinigan se spécialise notamment dans les services de formation en santé et sécurité au travail aux entreprises. Elle compte de nombreux clients à l'étranger. « Souvent, nos clients ne sont pas des entreprises du Québec, confirme la présidente-directrice générale Chantal Trépanier. Ce sont des multinationales qui ont des sites ailleurs dans le monde et qui nous amènent à travailler avec eux sur leurs sites. » ''C'est comme une condition, une évidence. On ne pourrait pas dire : On va travailler juste au Québec.'' -*Chantal Trépanier, PDGSim La PDG croit qu'il est essentiel pour les entreprises d'ici de se tourner vers l'international. SIM compte une centaine d'employés. D'après les informations de Marie-Pier Bouchard http://ici.radio-canada.ca/regions/mauricie/2016/09/28/006-entrepreneuriat-etude-uqtr-trois-rivieres-professeurs-st-jean-duhamel-demarrage-entreprise.shtml
  6. Nom: Centre de recherche du Centre hospitalier de l'Université de Montréal - CRCHUM Hauteur: 6, 15 étages Coût du projet: 470 000 000,00 $ Promoteur: Gouvernement du Québec Architecte: Emplacement: St-Denis/Viger/Sanguinet/St-Antoine Début de construction: 2010 Fin de construction: 2014
  7. Nouveau projet du promoteur du 240 Bates, voici le 2285 Ekers. À la lisière de l'élégante et réputée Outremont, mais sis dans la désirée et pittoresque Ville de Mont-Royal, les condos Ekers réserve à ses occupants confort et volupté tant recherché du condo urbain. Avivez vos sens dans un environnement floral, au décor franc et inspirant. Osez Ville Mont-Royal. http://2285ekers.com/
  8. Philippe Couillard veut recouvrir Ville-Marie et créer un quartier de la santé François Pouliot . les affaires.com . 14-06-2013 (modifié le 14-06-2013 à 16:40) Philippe Couillard souhaite que le tronçon Est de l'autoroute Ville-Marie soit recouvert afin de créer un nouveau quartier de la santé au centre-ville de Montréal. Le chef du Parti libéral a le projet à cœur et a même promis vendredi que si sa formation était portée au pouvoir, il s'occuperait personnellement du dossier. « On a mis 300 M$ d'argent public à l'Ouest et ça a rapporté 1 G$ d'investissements privés », a lancé monsieur Couillard à la tribune de la Chambre de commerce métropolitain de Montréal. Il faisait allusion au recouvrement de la partie Ouest de l'autoroute Ville-Marie et au Quartier international. Le nouveau quartier s'articulerait autour du CHUM et de son centre de recherches, qui doit être inauguré avant la fin de 2013. Le quartier s'étendrait du CHUM jusqu'au futur agrandissement du Centre des congrès. Monsieur Couillard a estimé que les investissements publics pour recouvrir l'autoroute Ville-Marie, de même que ceux nécessaires à l'arrivée de quelques établissements publics dans le secteur, pourraient s'élever « à plusieurs centaines de millions, probablement 1 G $ ». Il a soutenu qu'ils généreraient cependant des investissements encore plus considérables en provenance du privé. Le recouvrement de l'autoroute Ville-Marie, a-t-il précisé, permettrait aussi d'éliminer la fracture qui sépare le centre-ville du littoral, et de relier le fleuve à pied et à vélo. Au cours de son allocution, monsieur Couillard a notamment insisté sur l'importance des transferts technologiques des centres de recherches vers les entreprises privées. Il n'a pas écarté la possibilité de bonifier les programmes de stimulation de la recherche en sciences de la vie, mais a laissé entendre qu'il n'y aurait pas d'aide spécifique pour l'établissement d'entreprises dans le quartier. « On verra s'il y a lieu de bonifier (les crédits à la recherche), mais je me méfie des crédits d'impôt sur un site géographique particulier, ça a parfois conduit à des expériences malheureuses », a-t-il fait valoir. Le chef libéral a précisé que le recouvrement et le développement du nouveau quartier de la santé se ferait progressivement dans le temps.
  9. Le groupe international de services conseils en technologies de l’information et en management Amaris, dont le siège social se trouve à Genève, s’implante à Montréal. Amaris dit viser la création d’une cinquantaine d’emplois dans la métropole au cours des trois prochaines années afin de «renforcer le développement de ses activités en Amérique du Nord». L’entreprise, présente dans plus de 40 villes (surtout en Europe et dans les Balkans), a ses locaux rue Saint-Sacrement, dans le Vieux-Montréal. Amaris possède également des bureaux à New York, Mexico et Sao Paulo. «Le Grand Montréal se positionne comme un relais stratégique pour notre entreprise. Cette ouverture sur le continent nord-américain nous rapproche de nouveaux centres de décision et renforce notre présence auprès de nos clients internationaux», a déclaré le directeur du développement Amérique du Nord d'Amaris, Jean-François Thunet, dans un communiqué. «Le Grand Montréal se différencie par un environnement des plus compétitifs, avec un bassin de recherche R&D parmi les plus dynamiques au monde et de réelles opportunités dans le domaine des technologies de pointe», a-t-il ajouté. Amaris souhaite que son équipe montréalaise contribue au développement de projets en technologies de l’information, en télécommunications et en biotechnologie et pharmaceutique. Montréal International, qui a notamment le mandat d'attirer des investissements directs étrangers dans la région, a accompagné l'entreprise dans son projet d'implantation au Québec. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/amaris-s-implante-a-montreal/558759#.Ubo4vdjDXe6
  10. Voici les 7 propositions lauréates du concours Nordicité, retenues parmi les 36 projets déposés, qui ont été dévoilées le 29 avril à la Cinémathèque québécoise. Pour voir toutes les propositions et consulter le rapport du jury http://aduq.ca/concours-nordicite/ "L’ensemble des propositions permet d’alimenter une réflexion riche qui se poursuivra dans le but de stimuler la créativité en vue de la prochaine saison hivernale. L’ADUQ souhaite ainsi mettre sur pied une série d’évènements, dont le vernissage et un débat, afin que ce concours puisse nourrir en continu la recherche sur le thème. Par la suite, une publication, voire même la réalisation de certaines propositions pourraient être envisageables. Les organisateurs se réjouissent donc de voir que le médium du concours d’idée peut réellement jouer un rôle dans la recherche d’idées novatrices, et alimenter un débat plus concret et imagé."
  11. https://www.facebook.com/centrevillemontreal Ville-Marie, Montréal (centre-ville) 16 minutes ago L'arrondissement de Ville-Marie recherche présentement un photographe étudiant pour l'été. Vous avez la tête de l'emploi? Postulez en ligne : http://bit.ly/10HX0a9
  12. http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2013/02/22/rester-a-montreal-pour-innover/
  13. Il n'y a pas trois ans, trouver de nouvelles pousses technologiques montréalaises prometteuses relevait du défi. Cette année, c'est faire le tri dans le lot de ces jeunes «start-up» qui est le plus difficile. Sur les talons de Beyond the Rack et de Woozworld, en voici cinq qui pourraient faire leur marque en 2012. Gamerizon Gamerizon se spécialise dans les jeux mobiles grand public. Le succès de sa série de jeux mobiles Chop Chop lui a permis de décrocher un financement de 5 millions, l'automne dernier. Les ambitions du studio montréalais sont cependant bien plus élevées que cela: l'entreprise se voit comme le prochain Zynga, géant du jeu vidéo de prochaine génération. «L'entreprise a certainement les moyens de générer des revenus annuels supérieurs à 100 millions», estime Chris Arsenault, directeur du fonds iNovia, qui participe au financement de l'entreprise. Hopper Les sites de voyage se suivent et se ressemblent. Hopper risque de tomber comme un pavé dans la mare. Trois ans de développement et 8 millions en financement obtenus à la fin de l'été 2011 font monter les attentes pour ce moteur de recherche fondé par trois anciens d'Expedia. L'objectif: répondre à des requêtes comme «meilleures plages d'Europe» ou «villes d'Espagne» avec des résultats concrets: noms de lieux, vols abordables, hébergement sur mesure. «Il n'existe pas d'Amazon, d'iTunes ou de Google pour le voyage. C'est ce que Hopper compte devenir», a récemment déclaré Frédéric Lalonde, cofondateur de Hopper. iGet.it Des sites tels Amazon, eBay et Groupon semblent avoir saturé le magasinage à rabais sur l'internet, alors les fondateurs de iGet.it ont opté pour la formule inverse: offrir peu de produits exclusifs, triés sur le volet, à des acheteurs fortunés. Des ventes éclair qui devraient plaire aux fabricants désireux de liquider leur inventaire sans dégrader la valeur de leur marque, explique Jean-Yves Martineau, cofondateur du site. «C'est simple et ingénieux. En plus, l'équipe a déjà un oeil sur l'évolution future du site», dit Jean-Sébastien Cournoyer, de Real Ventures, un des principaux investisseurs dans iGet.it. Planora Planora s'est dotée d'un nouveau PDG en novembre dernier: Pierre Donaldson, ancien membre du conseil de Mediagrif et partenaire depuis 2005 dans le fonds BlackBerry chez JLA Ventures. C'est généralement bon signe de voir un investisseur effectuer un tel saut. Spécialisée dans la conception automatisée d'horaires de travail sur mesure, Planora a notamment permis à la SAQ de réduire sensiblement le coût de gestion de ses 3000 employés. Prochain objectif: prendre d'assaut le marché anglophone des moyennes et grandes entreprises. Wajam Google et Microsoft ne jurent plus que par la recherche sociale. Wajam se targue de les avoir coiffés au poteau. La jeune entreprise montréalaise propose aux internautes un plugiciel gratuit qui compile les recommandations de leurs contacts sur Facebook, Twitter ou ailleurs, et qui intègre les plus pertinentes dans les résultats de recherche de Bing, Google, Amazon, TripAdvisor et Yelp, notamment. Wajam vient d'ajouter une fonction de recommandation de séquences vidéo. Ne reste plus qu'à trouver une façon de rendre cette opération profitable. http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/internet/201201/09/01-4484049-cinq-start-up-montrealaises-a-surveiller-en-2012.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_aujourdhui-sur-lapresseca_267_accueil_ECRAN1POS2
  14. Encore une fois, j'ai fait une petite recherche, mais je ne l'ai pas vu sur le forum... Le projet est juste à côté du Pivot.
  15. Les pages qui suivent contiennent un sondage en ligne. Il servira d'outil facile et rapide pour donner votre avis sur la rue St-Viateur. En prenant quelques minutes pour répondre aux questions concernant votre utilisation et votre perception de la rue St-Viateur et des quartiers aux alentours, vous aiderez grandement l'équipe de recherche. Le questionnaire ne prendra qu'environ 15 minutes à remplir et vous pouvez ne pas répondre à certaines questions si vous le désirez. http://www.mcgill.ca/urbandesign/projects/cfme-mesv/stvf/
  16. L'illusion tranquille: l'efficience des PPP Christian Bordeleau, Doctorant à la School of Public Policy and Administration de Carleton University à Ottawa. L'auteur a reçu la bourse d'excellence du Fonds commémoratif Louise-Montpetit-Morrisseau en administration publique et la bourse de doctorat du Fonds québécois de recherche sur la société et la culture. Le Devoir Édition du lundi 10 août 2009 Mots clés : Turcot, Gestion, PPP, Construction, Gouvernement, Québec (province) Après plus d'un an de contestations et d'avis défavorables en ce qui a trait à la formule des PPP dans divers projets, la ministre des Transports, Julie Boulet, a finalement répudié publiquement -- le 24 juillet dernier -- l'application de la formule PPP à l'échangeur Turcot «étant donné que c'est un dossier très complexe, avec beaucoup de partenaires». Les intérêts corporatifs ayant perdu cette bataille d'influence, la présidente de la Fédération des chambres de commerce du Québec, Françoise Bertrand, probablement dans l'espoir d'éviter la contagion, signe un billet intitulé «Des PPP qui fonctionnent bien!» (sic) (Le Devoir, 28 juillet 2009). Mis à part l'enthousiasme débordant de Mme Bertrand pour les intérêts privés qu'elle représente, il y a lieu de se demander quelles sont les prémisses du modèle des PPP qu'elle chérit tant. En effet, il est inquiétant de voir sans cesse des assertions grossières quant à l'efficience des PPP sans aucune remise en question -- et ce, dans plusieurs médias nationaux -- et il est temps de se questionner, pour peu que cela soit possible ici, sur la validité empirique de cette rhétorique économique. Nouvelles doxa en matière de réalisation d'infrastructures publiques La première prémisse des PPP postule que l'utilisation du libre marché permet l'obtention d'une réalisation de projet plus efficiente. Premièrement, le marché n'a aucune efficience sui generis, et la crise économique que nous traversons en est la preuve tangible. Sa supériorité est illusoire, car sa seule force réside dans l'abstraction des externalités (ex.: la pollution ou les maux sociaux). Sur une échelle absolue et durable, le marché est sous-efficient sans une régulation forte et structurante, ce qui permet la modulation de cette déficience reconnue. Seuls quelques dogmatiques personnages en sont encore à proposer l'efficience des mécanismes du libre marché à «l'état naturel» (c.-à-d. le «laisser-faire») comme solution aux problèmes sociaux, et les États qui se drapaient jadis dans l'arrogance de ce paradigme font aujourd'hui amende honorable. La recherche de pointe en science politique a bien démontré que sans coordination (c.-à-d. régulation) le résultat des agrégations individuelles est sous-optimal pour le groupe (c.-à-d. les citoyens). Alors que 47 millions d'Américains sont sans assurance maladie dans un système entièrement contrôlé par le libre marché, Joseph Stiglitz, Prix Nobel d'économie et ex-vice-président de la Banque mondiale, affirmait le 9 janvier dernier que l'on ne pouvait plus se fier au marché, que cette idéologie était -- comme bien d'autres -- révolue. Le président Obama tente d'ailleurs de sortir le pays de cette douve. Que l'on se le tienne pour dit, le marché sur lequel «s'assoient les PPP» n'a pas «d'efficience transcendantale». Pas de gaspillage, vraiment? La deuxième prémisse postule que le marché fait toujours une allocation optimale des ressources en raison de la concurrence. Ainsi, le «client» (c.-à-d., dans le cas des PPP, le gouvernement) en «a toujours plus pour son argent». Le schème privé serait donc supérieur au schème de réalisation public, car il n'y aurait pas de «gaspillage». Si cela était vraiment le cas, on peut se demander où réside l'efficience promise par le marché dans les 18,3 milliards qu'il s'est «alloués» -- à même les fonds de secours gouvernementaux -- en primes de performance, d'excellence et en options prestigieuses -- permettant aux spéculateurs de Wall Street d'attendre la fin de la crise financière dans des résidences champêtres à «skier et bien manger»! Ces événements tangibles devraient rappeler à la population la déficience des mécanismes du marché même dans l'allocation de ses propres ressources. Pour preuve s'il en faut une, l'échec spectaculaire du métro londonien géré en PPP a été qualifié de «sous-performance pathétique» par le Comité des transports de la Chambre des communes en 2008. Après la réalisation de seulement 40 % du projet, le public doit éponger la dette de deux milliards laissée par Metronet à la suite de l'allocation de «contrats surpayés à ses propres actionnaires» (House of Commons, 16 janvier 2008). Pour en finir avec un mythe Il faut comprendre que la prétendue «compétitivité» des mécanismes du privé sur le secteur public ne s'exerce que par le rejet des externalités sur autrui; une problématique très bien connue dans les études sur l'environnement et en matière de solidarité sociale. Comprise de cette façon, la compétitivité peut donc se mesurer par le rejet maximum des externalités -- lorsque l'on compare avec un concurrent qui n'est pas en mesure d'externaliser (ou disposé à le faire) tout autant -- dans une sorte de course au nivellement vers le bas. C'est sur cet axe que la prétendue compétitivité du privé joue contre le gouvernement, car ce dernier ne peut pas suivre le marché dans l'externalisation extrême. Pour illustrer simplement, les évasions à répétition de prisonniers des pénitenciers britanniques gérés en PPP ne sont pas des externalités qui ont été considérées acceptables par la collectivité et cette dernière n'était pas prête à prendre ce risque pour économiser sur le salaire de quelques gardiens. Alors que le partenaire privé cherche à «couper au maximum» pour augmenter son rendement, dans une société démocratique, on se rend rapidement compte de la limite du dogme de l'efficience en matière de gouvernance. Lorsque l'on s'attarde à la concurrence réelle, on peut constater qu'elle est quasi inexistante dans le contexte de mégaprojets, et ce, particulièrement au Québec. Avec la monopolisation croissante de nombre de secteurs économiques, l'argument d'une concurrence accrue à long terme est imaginaire, surtout que l'on assiste actuellement à des «mariages» d'entreprises dans des «consortiums». Qui plus est, au Québec, dans un contexte où les firmes de génie se comptent sur les doigts de la main et où tout le monde se connaît, le taux horaire, des uns comme des autres, n'est pas un secret de Polichinelle, et ce, particulièrement lorsque tout le monde suit les mêmes devis gouvernementaux. En fait, cette concurrence -- telle qu'elle est conceptualisée dans la rhétorique du marché -- est plutôt une version «édulcorée» et «faiblichonne». Dans ce contexte, les firmes recherchent constamment une «rotation» dans l'allocation des contrats à l'aide de nombreux lobbyistes, de contributions électorales et de «bons amis»; les problèmes éthiques ne sont jamais loin derrière. C'est pour cela que le président de SNC-Lavalin, Jacques Lamarre, multipliait «les coups de fil», allant jusqu'à effectuer son propre lobbying, pour que ce soit «son tour» avec le PPP Turcot (La Presse, 22 octobre 2008); il devra maintenant se trouver un nouveau projet! Gros biscuit pour un risque aussi réduit Contrairement à ce que certains tentent de laisser croire aux citoyens, les «consortiums» ne sont pas des regroupements spontanés de passionnés du «service à la clientèle» (c.-à-d. les citoyens dans le jargon réducteur des PPP); ce sont des holdings financiers, recherchant une rente étatique sécurisée, en finançant des projets publics garantis sur des décennies. Ces «bassins de liquidités» sont à la recherche constante de projets rentiers rapportant des intérêts à deux chiffres -- sans les risques assortis habituellement à cette gamme de taux; c'est dans ce contexte que le concept des PPP est très alléchant et que le public doit être extrêmement vigilant, de surcroît, lorsqu'un gouvernement complaisant siège. À l'inverse de ce qui est propagé par certains, le risque n'est pas «assumé» par le consortium, mais il est simplement évalué et inclus dans la facture totale; l'économie est donc factice «bon temps» et les Britanniques, parmi tant d'autres, ont appris à la dure ce que signifie «mauvais temps»: une prise de risque totale de l'État. Ce dernier ne peut pas laisser en friche un métro, un hôpital, une prison ou un pont que le «partenaire» a abandonné en cours de réalisation de projet. Encore heureux que la crise financière soit survenue avant que l'entente du PPP Turcot n'ait été signée! Mme Bertrand ne s'inspire pas de l'état de la recherche empirique dans son apologie sur les PPP, mais semble plutôt éprise, comme bien d'autres, d'une version libérale d'Alice au pays des merveilles! http://www.ledevoir.com/2009/08/10/262213.html
  17. Montréal perd un éminent chercheur Mise à jour le lundi 4 mai 2009 à 19 h 32 Un chercheur réputé de l'Université de Montréal annonce qu'il poursuivra sa carrière aux États-Unis. Le Dr Rafick-Pierre Sékaly, qui est bien connu au pays pour ses travaux sur le sida, se dit mécontent des récentes compressions du gouvernement Harper dans la recherche scientifique au Canada. M. Sékaly a accepté le poste de directeur scientifique d'un institut de recherche de Floride, le Vaccine and Gene Therapy Institute. Il amènera avec lui une partie de son équipe de recherche, soit une vingtaine de chercheurs. Le Dr Sékaly maintiendra toutefois certaines activités de laboratoire à l'Université de Montréal. L'occasion d'une vie Outre son insatisfaction en matière de financement au Canada, Rafick-Pierre Sékaly affirme que ce déménagement aux États-Unis constitue pour lui et son équipe une occasion unique. Il a déclaré au quotidien Globe & Mail que sa décision a en partie été motivée par les nouvelles possibilités offertes aux jeunes chercheurs de talent de son équipe. « Ils commencent leur carrière et sont inquiets de leur avenir ici », a expliqué M. Sékaly. Selon lui, les jeunes scientifiques auront de meilleures perspectives d'avenir aux États-Unis, où le président Barack Obama a prévu dans son plan de relance économique une somme de 10 milliards de dollars pour la recherche médicale. Avec son nouveau poste en Floride, le chercheur s'attend d'ailleurs à doubler son budget de recherche actuel. Dans le budget fédéral de janvier, des coupes de 147,9 millions de dollars en trois ans ont été annoncées pour les trois agences qui répartissent les fonds de recherche pour les universités. En mars, un groupe de scientifiques a signé une lettre au premier ministre Harper pour protester contre ces coupes. Malgré le contexte actuel, le chercheur qui a quitté le Liban pour le Canada en 1986 dit que le pays lui a donné beaucoup. « Je ne serais pas où je suis aujourd'hui sans le soutien du Canada », a-t-il déclaré au Globe & Mail.
  18. Dommage... Leur nouveau siège social à St-Laurent viens tout juste d'être inauguré en plus, depuis 2 ans seulement je crois. ------------------------- Commerce de détail Le siège social canadien de Tommy Hilfiger quitterait Montréal 20 avril 2009 - 12h21 Carl Renaud Argent Les installations québécoises de Tommy Hilfiger sont menacées de fermeture, selon ce qu’a appris Argent. Un informateur a confié à Argent que l’entreprise américaine fermera son siège social canadien, situé dans l’Arrondissement St-Laurent à Montréal, pour le déménager aux États-Unis. L’un des principaux détaillants du Québec a, par ailleurs, confirmé le projet de Tommy Hilfiger. Les activités de Tommy Canada et de Tommy USA ont été regroupées en mars dernier pour former Tommy Amérique du Nord. Environ 200 personnes travailleraient au siège social canadien de Tommy Hilfiger, selon le répertoire ICRIQ du Centre de recherche industrielle du Québec. Chez Tommy Hilfiger Canada, le responsable des opérations Alan Abramowicz, admet que le détaillant s’apprête à annoncer des changements mais il refuse de préciser si les activités du siège social canadien seront déménagées aux États-Unis. Le porte-parole d’Apax Partners, fonds d’investissement britannique qui contrôle Tommy Hilfiger depuis 2006, a également refusé de répondre aux questions d’Argent.
  19. CAE investira 714 millions en R&D Mise à jour le mardi 31 mars 2009, 11 h 56 . Le fabricant de simulateurs de vol CAE investira jusqu'à 714 millions de dollars dans le Projet Falcon au cours des 5 prochaines années. Le Projet Falcon est un programme de recherche et développement visant à transposer les technologies de simulation à d'autres secteurs de l'aéronautique que la formation, comme l'analyse et les opérations. « Ce nouveau Projet Falcon nous permettra de continuer à diversifier les activités de CAE en tirant parti de ses technologies principales dans les marchés adjacents [...] - Le président de CAE, Rober E. Brown » Le gouvernement canadien investira jusqu'à 250 millions de dollars dans le projet, une somme qui est remboursable par l'entreprise située dans l'arrondissement Saint-Laurent de Montréal. Le programme créera et permettra de conserver quelque 1000 emplois. « L'innovation est essentielle pour permettre à CAE de conserver sa position de chef de file dans les domaines de la modélisation, de la simulation et de la formation », a déclaré le président et chef de la direction de CAE, Robert E. Brown. « Nous continuerons donc à investir en R. D., même en ces temps difficiles. ». CAE précise qu'elle continuera à former des partenariats avec les universités et les principaux organismes de recherche au Canada de même qu'avec les fournisseurs de partout au pays. CAE est un leader dans le domaine des technologies de simulation de vol et de formation destinées à l'aviation civile et aux forces de défense de nombreux pays. Elle génère des revenus annuels de plus de 1,4 milliard de dollars canadiens et compte environ 7000 employés répartis dans plus de 75 sites situés dans 20 pays.
  20. Pfizer/Wyeth : emplois compromis à Montréal * Dominique Lemoine, Lesaffaires.com * 26 janvier 2009 Wyeth emploie 1200 personnes à Montréal. Photo : Bloomberg Dans la foulée de l’acquisition de Wyeth, Pfizer congédiera 15% de la main-d’œuvre combinée des deux entreprises, soit 19 000 personnes, et fermera cinq usines, selon Bloomberg. Pfizer et Wyeth emploient ensemble 130 000 travailleurs. À Montréal, Wyeth emploie un total de 1 200 personnes répartis dans son usine de fabrication et de distribution, et dans son centre de recherche et de développement de Ville-Saint-Laurent. Environ 600 personnes travaillent pour Pfizer au Québec. La chef des communications et stratégies chez Wyeth Canada, Isabelle Lavoie, a indiqué ne pas encore savoir si des suppressions d’emplois seront effectuées à Montréal. Même chose du côté de Pfizer Canada, où la directrice des communications, Rhonda O’Gallagher, soutient qu’il est trop tôt pour connaître l’impact de l’acquisition sur les activités de Pfizer et de Wyeth au Canada. Selon Bloomberg, Pfizer prévoit que l’expiration du brevet du Lipitor et la mise en marché d’équivalents génériques provoqueront une baisse de 12 milliards de dollars de ses ventes à partir 2011. L’entreprise devra alors réduire de 70% les coûts de Wyeth en recherche, marketing et administration pour garder ses revenus au niveau actuel (2,69 dollars par action) entre 2010 et 2015, selon Tim Anderson, analyste chez Sanford C. Bernstein à New York. «Ce type de décision est nécessaire pour donner de la valeur aux actionnaires de Pfizer», soutient Seamus Fernandez, analyste chez Leerink Swan à Boston. À son arrivée à la tête de Pfizer en juillet 2006, l’actuel chef de la direction, Jeffrey Kindler, avait congédié plus de 15 000 employés en deux ans et fermé cinq centres de recherche. L’acquisition crée une entreprise ayant un revenu annuel d’environ 55% plus élevé que le deuxième plus important fabricant de médicaments au niveau mondial, GlaxoSmithKline.
  21. Je suis à la recherche d'une photo datant des années 80 et d'un peux d'information général. Les plus âgés pourront m'aider ici. Vous rappelez vous de l'édifice qui enjambait le boulevard de Maisonneuve, je crois à la hauteur de Drummond ou de la Montagne. je ne m'en rappel que vaguement. Quel était la vocation et le nom de cet édifice et quelqu'un a-t'il une photo de ça. Ma conjointe ne s'en rappel pas du tout et comme moi elle est en début trentaine mais elle n'arrive pas à s'en rappeler. J'ai besoin des gars ici pour pouvoir prouver que j'ai raison. Allez les boyz, de l'aide.
  22. Le géant de la recherche a annoncé hier la suppression de 100 emplois. Il s'agit des premiers licenciements de l'histoire de l'entreprise. Pour en lire plus...
  23. Le laboratoire américain Pfizer se prépare à licencier d'ici à la fin de l'année de 5 à 8% de ses effectifs de recherche, soit jusqu'à 800 personnes. Pour en lire plus...
  24. Selon le Bureau national de la recherche économique (NBER), la récession économique a commencé aux Etats-Unis en décembre 2007 et est toujours en cours. Pour en lire plus...
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